Vacances - Avec Laure, la fin des vacances
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2014 dans la catégorie Plus on est
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Vacances - Avec Laure, la fin des vacances
Leslie VA23 – Vacances - Avec Laure, la fin des vacances
Lorsqu’Ambre se réveilla, elle se retrouva nez à nez avec Laure, qui la regardait intensément.
- Bonjour, Ambre, dit Laure, tu es belle quand tu dors. »Ambre rougit car elle ne s’attendait pas à cela, elle sentit son cœur se serrer, elle se sentait bien entre Laure et moi, et elle n’était pas prête à nous quitter, enfin pas comme cela, pas sans avoir encore prit du plaisir.
Certes, elle avait fait l’amour avec nous et avec le couple hier soir et elle y avait pris beaucoup de plaisir, mais elle aurait aimé encore jouir au moins une fois avant de nous quitter.
- Tu sais, dit Ambre, on a fait l’amour et j’ai beaucoup aimé, mais…- Mais tu aimerais encore…- Oui encore !
Laure se posta face à elle et lui dit :- Ambre, nous allons partir demain matin, à l’aube, et tu retiendras ce que tu veux, mais j’aimerais quand même que tu te souviennes de nous un peu, du plaisir que nous avons pris ici ensemble avec Leslie et que nous pourrions peut-être nous revoir un jour.
- C’est toujours ce que l’on dit.
- Chut, ne dis rien, profitons de l’instant et un jour peut-être…Laure l’embrassa sur la joue tendrement et disparut vers la salle de bains, laissant Ambre anéantie de tristesse.
Après tout, Laure avait peut-être raison, un jour peut-être que…
Comme une chatte, Ambre se glissa vers moi et se mit à lécher la peau de mon cou remontant lentement jusqu’au bord de ma courte chevelure, donnant, au passage, de rapides coup de langue sur mes oreilles. Appréciant le traitement, j’ai soupiré et Ambre se mit à frotter son bassin contre mes fesses.
En femme féline, Ambre mordilla la peau de mon épaule et je ne pus m’empêcher de murmurer :- Petite sauvage !
Je me suis retourné vers Ambre en sentant une douce chaleur envahir mon corps, et je sentis mes tétons se dresser d’envie.
Je me mis à masser sa poitrine, le pouce venant jouer avec la pointe de son sein. Des vagues de plaisir aigu venait irradier son corps, la faisant gémir de plaisir. J’enfonçais un ongle dans son téton et elle se mordit la lèvre pour taire le cri de plaisir qui lui remontait dans sa gorge.
Toute à son plaisir, elle se laissait dévorer par ce feu intérieur qui ma submergeait. Puis, ma main qui jouait avec ses seins descendit et caressa sa vulve humide et je sentis le sexe d’Ambre s’ouvrir comme une fleur et son désir couler hors de son intimité.
Elle pressa davantage son fruit intime sur ma main et râla de bonheur en sentant mon majeur redessiner sa fente. Ma main glissa le long de ses lèvres intimes et s’empara de son sexe, glissant sur son plaisir, pénétrant dans sa chair.
Ambre sentit mes doigts la visiter et caresser les parois sensibles de son antre intime, lui arrachant des gémissements de plaisir. Elle était agitée des spasmes du plaisir en sentant mes mains sur elle, sur son sexe, mais aussi sur ses seins et sur son visage.
Elle sentait l’orgasme monter au rythme de mes caresses, il n’y avait que le plaisir, si profond, si brûlant, qui la gagnait toute entière.
Ambre poussa un cri de bonheur, le corps tendu par un ultime spasme de jouissance lorsque je la pénétrais, son front était couvert de sueur et sa respiration haletante.
Elle perdit connaissance quelques temps plus tard, épuisée de bonheur quand je jouis en elle.
Puis sans un mot Ambre disparue…
Les vacances allaient se terminé et nous allions faire nos bagages, demain ce serait le départ.
Laure regarda Leslie et se mit à penser…« Mon amante, ma douce Leslie, mon grand amour, cet être avec laquelle je veux passer le restant de ses jours, qui était restée prostrée pendant des semaines suite à sa dépression.
Pendant son séjour dans la maison de repos, je m’étais inquiétée sur sa santé et son état, et aussi beaucoup ennuyée, puis ensuite après sa sortie de la clinique elle est restée au lit, dormant, ne se réveillant que pour prendre un peu d’eau, avaler quelques biscuits et se rendormir sans prononcer un mot.
Il n’y avait, dans ces instants, aucune animosité dans le regard de sa chérie, mais il n’y avait pas non plus cette passion qu’elle avait connue dans son regard, depuis le premier jour de leur rencontre, lorsqu’elles avaient fait l’amour, jusqu’à cette satanée rencontre qui avait tout bouleversé.
Leslie était comme morte, mais elle ne pouvait se résoudre à la laisser ainsi, comprenant ce besoin de Leslie de se replier sur elle-même, après avoir tant souffert.
A sa place, elle aurait fait sûrement comme elle, mais elle l’aimait, et avait tout pour ranimer cette flamme qui l’avait rendue folle d’amour.
C’est pour cela qu’elles étaient partie en vacances et que Leslie aujourd’hui revivait !
Sa Leslie était enfin de retour, et elle allait lui faire un cadeau de fin de vacances. »
Laure s’assit sur le lit et rejeta le drap du lit. Cela dévoila le dos de Leslie jusqu’à la naissance de sa raie culière. Laure sentit sa gorge se serrer, elle aurait bien déposé un baiser sur cette partie du corps de sa compagne, mais se ravisa et rabattit le drap.
Elle sortit du lit et enfila prudemment un slip en dentelle blanc avant de décrocher le téléphone.
- Ici la réception je suis à votre écoute.
- Allô Pierre, c’est Laure de la chambre vingt et une, tu peux venir maintenant ?
- C’est justement ma pause, j’arrive tout de suite.
- Merci.
Et Laure raccrocha…
Laure fit le tour du lit en recoiffant un peu ses cheveux, et elle n’eut pas attendre, Pierre ne tarda pas à frapper. Laure lui ouvrit et reçut aussitôt les lèvres du jeune garçon sur les siennes. Sans pouvoir se retenir, Laure poursuivit le baiser et Pierre tenta de la prendre dans ses bras. Mais elle se dégagea doucement, et le jeune autochtone fit une mine dépitée. Laure, néanmoins, lui octroya un sourire.
- Non, pas maintenant… Je veux que tu m’aides, que tu nous aides.
Pierre lança un regard sur Leslie, qui venait de remuer, révélant sa poitrine, le jeune garçon rougit, ce qui eut le don d’arracher un petit rire à Laure. Pierre tenta de reprendre un peu de contenance et entra dans la chambre, non sans lancer des regards tantôt sur Leslie, tantôt sur Laure.
- Qu’est-ce qu’il y a, elle est malade ?
Laure soupira en lançant un dernier regard à Leslie.
- Oui et non, mais je voudrais qu’avant de partir tu t’occupes d’elle et qu’elle garde un bon souvenir de ces vacances, tu vois ce que je veux dire ?
- Et qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
- D’après toi, tu veux que je te fasse un dessin ?
Pierre eut un petit sourire complice et ils s’embrassèrent doucement, sans un bruit…
Je sentis Pierre qui caressait mes cheveux et je sentis la chaleur monter en moi, puis après avoir été longuement caressée, un doigt s’est immiscé soudain dans ma caverne inondée de plaisir, et j’ai commencé à crier mon plaisir.
Mes seins étaient durs comme du bois et d’un geste sec, il pénétra si fort mon petit trou que je me suis cambrée.
Puis j’ai sentis son corps sur moi et son sexe à l’orée de ma rondelle, quand il m’a perforé l’anus, j’ai hurlé de plaisir et j’ai gémis pendant toute la durée de la sodomie.
Son sexe imposant me perforait les entrailles et j’aimais ça…Oui je revivais.
Après avoir jouit, il m’embrassa et sortit.
Je restais un moment allongée, sous les yeux amoureux de Laure, heureuse que j’ai pris tant de plaisir.
Elle retrouvait Leslie, son amoureuse dans la même état d’avant son aventure avec la petite asiatique.
Elle passa une main douce sur mon visage en disant :- Je t’aime !
Le lendemain matin nous étions sur la route.
A suivre…
Lorsqu’Ambre se réveilla, elle se retrouva nez à nez avec Laure, qui la regardait intensément.
- Bonjour, Ambre, dit Laure, tu es belle quand tu dors. »Ambre rougit car elle ne s’attendait pas à cela, elle sentit son cœur se serrer, elle se sentait bien entre Laure et moi, et elle n’était pas prête à nous quitter, enfin pas comme cela, pas sans avoir encore prit du plaisir.
Certes, elle avait fait l’amour avec nous et avec le couple hier soir et elle y avait pris beaucoup de plaisir, mais elle aurait aimé encore jouir au moins une fois avant de nous quitter.
- Tu sais, dit Ambre, on a fait l’amour et j’ai beaucoup aimé, mais…- Mais tu aimerais encore…- Oui encore !
Laure se posta face à elle et lui dit :- Ambre, nous allons partir demain matin, à l’aube, et tu retiendras ce que tu veux, mais j’aimerais quand même que tu te souviennes de nous un peu, du plaisir que nous avons pris ici ensemble avec Leslie et que nous pourrions peut-être nous revoir un jour.
- C’est toujours ce que l’on dit.
- Chut, ne dis rien, profitons de l’instant et un jour peut-être…Laure l’embrassa sur la joue tendrement et disparut vers la salle de bains, laissant Ambre anéantie de tristesse.
Après tout, Laure avait peut-être raison, un jour peut-être que…
Comme une chatte, Ambre se glissa vers moi et se mit à lécher la peau de mon cou remontant lentement jusqu’au bord de ma courte chevelure, donnant, au passage, de rapides coup de langue sur mes oreilles. Appréciant le traitement, j’ai soupiré et Ambre se mit à frotter son bassin contre mes fesses.
En femme féline, Ambre mordilla la peau de mon épaule et je ne pus m’empêcher de murmurer :- Petite sauvage !
Je me suis retourné vers Ambre en sentant une douce chaleur envahir mon corps, et je sentis mes tétons se dresser d’envie.
Je me mis à masser sa poitrine, le pouce venant jouer avec la pointe de son sein. Des vagues de plaisir aigu venait irradier son corps, la faisant gémir de plaisir. J’enfonçais un ongle dans son téton et elle se mordit la lèvre pour taire le cri de plaisir qui lui remontait dans sa gorge.
Toute à son plaisir, elle se laissait dévorer par ce feu intérieur qui ma submergeait. Puis, ma main qui jouait avec ses seins descendit et caressa sa vulve humide et je sentis le sexe d’Ambre s’ouvrir comme une fleur et son désir couler hors de son intimité.
Elle pressa davantage son fruit intime sur ma main et râla de bonheur en sentant mon majeur redessiner sa fente. Ma main glissa le long de ses lèvres intimes et s’empara de son sexe, glissant sur son plaisir, pénétrant dans sa chair.
Ambre sentit mes doigts la visiter et caresser les parois sensibles de son antre intime, lui arrachant des gémissements de plaisir. Elle était agitée des spasmes du plaisir en sentant mes mains sur elle, sur son sexe, mais aussi sur ses seins et sur son visage.
Elle sentait l’orgasme monter au rythme de mes caresses, il n’y avait que le plaisir, si profond, si brûlant, qui la gagnait toute entière.
Ambre poussa un cri de bonheur, le corps tendu par un ultime spasme de jouissance lorsque je la pénétrais, son front était couvert de sueur et sa respiration haletante.
Elle perdit connaissance quelques temps plus tard, épuisée de bonheur quand je jouis en elle.
Puis sans un mot Ambre disparue…
Les vacances allaient se terminé et nous allions faire nos bagages, demain ce serait le départ.
Laure regarda Leslie et se mit à penser…« Mon amante, ma douce Leslie, mon grand amour, cet être avec laquelle je veux passer le restant de ses jours, qui était restée prostrée pendant des semaines suite à sa dépression.
Pendant son séjour dans la maison de repos, je m’étais inquiétée sur sa santé et son état, et aussi beaucoup ennuyée, puis ensuite après sa sortie de la clinique elle est restée au lit, dormant, ne se réveillant que pour prendre un peu d’eau, avaler quelques biscuits et se rendormir sans prononcer un mot.
Il n’y avait, dans ces instants, aucune animosité dans le regard de sa chérie, mais il n’y avait pas non plus cette passion qu’elle avait connue dans son regard, depuis le premier jour de leur rencontre, lorsqu’elles avaient fait l’amour, jusqu’à cette satanée rencontre qui avait tout bouleversé.
Leslie était comme morte, mais elle ne pouvait se résoudre à la laisser ainsi, comprenant ce besoin de Leslie de se replier sur elle-même, après avoir tant souffert.
A sa place, elle aurait fait sûrement comme elle, mais elle l’aimait, et avait tout pour ranimer cette flamme qui l’avait rendue folle d’amour.
C’est pour cela qu’elles étaient partie en vacances et que Leslie aujourd’hui revivait !
Sa Leslie était enfin de retour, et elle allait lui faire un cadeau de fin de vacances. »
Laure s’assit sur le lit et rejeta le drap du lit. Cela dévoila le dos de Leslie jusqu’à la naissance de sa raie culière. Laure sentit sa gorge se serrer, elle aurait bien déposé un baiser sur cette partie du corps de sa compagne, mais se ravisa et rabattit le drap.
Elle sortit du lit et enfila prudemment un slip en dentelle blanc avant de décrocher le téléphone.
- Ici la réception je suis à votre écoute.
- Allô Pierre, c’est Laure de la chambre vingt et une, tu peux venir maintenant ?
- C’est justement ma pause, j’arrive tout de suite.
- Merci.
Et Laure raccrocha…
Laure fit le tour du lit en recoiffant un peu ses cheveux, et elle n’eut pas attendre, Pierre ne tarda pas à frapper. Laure lui ouvrit et reçut aussitôt les lèvres du jeune garçon sur les siennes. Sans pouvoir se retenir, Laure poursuivit le baiser et Pierre tenta de la prendre dans ses bras. Mais elle se dégagea doucement, et le jeune autochtone fit une mine dépitée. Laure, néanmoins, lui octroya un sourire.
- Non, pas maintenant… Je veux que tu m’aides, que tu nous aides.
Pierre lança un regard sur Leslie, qui venait de remuer, révélant sa poitrine, le jeune garçon rougit, ce qui eut le don d’arracher un petit rire à Laure. Pierre tenta de reprendre un peu de contenance et entra dans la chambre, non sans lancer des regards tantôt sur Leslie, tantôt sur Laure.
- Qu’est-ce qu’il y a, elle est malade ?
Laure soupira en lançant un dernier regard à Leslie.
- Oui et non, mais je voudrais qu’avant de partir tu t’occupes d’elle et qu’elle garde un bon souvenir de ces vacances, tu vois ce que je veux dire ?
- Et qu’est-ce que tu veux que je fasse ?
- D’après toi, tu veux que je te fasse un dessin ?
Pierre eut un petit sourire complice et ils s’embrassèrent doucement, sans un bruit…
Je sentis Pierre qui caressait mes cheveux et je sentis la chaleur monter en moi, puis après avoir été longuement caressée, un doigt s’est immiscé soudain dans ma caverne inondée de plaisir, et j’ai commencé à crier mon plaisir.
Mes seins étaient durs comme du bois et d’un geste sec, il pénétra si fort mon petit trou que je me suis cambrée.
Puis j’ai sentis son corps sur moi et son sexe à l’orée de ma rondelle, quand il m’a perforé l’anus, j’ai hurlé de plaisir et j’ai gémis pendant toute la durée de la sodomie.
Son sexe imposant me perforait les entrailles et j’aimais ça…Oui je revivais.
Après avoir jouit, il m’embrassa et sortit.
Je restais un moment allongée, sous les yeux amoureux de Laure, heureuse que j’ai pris tant de plaisir.
Elle retrouvait Leslie, son amoureuse dans la même état d’avant son aventure avec la petite asiatique.
Elle passa une main douce sur mon visage en disant :- Je t’aime !
Le lendemain matin nous étions sur la route.
A suivre…
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