Vacances chez ma tante, 1ère partie
Récit érotique écrit par Swissbite18 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Vacances chez ma tante, 1ère partie
Je venais d’atteindre mes 18 ans et j’avais passé quelques mois difficiles suite à un accident. La rééducation avait été longue et difficile. Je pouvais enfin quitter définitivement le centre médical et reprendre une vie normale. Bien qu’ayant suivi des cours d’appui je n’avais pas réussi mes examens finaux et je devais patienter jusqu’à l’année suivante pour les repasser afin de pouvoir continuer mes études. J’avais occupé l’automne l’hiver et le printemps à faire des petits boulots à temps partiel pour me faire un peu d’argent et ça me permettait d’avoir du temps pour réviser et étudier. Au printemps je m’étais réinscrit et j’avais finalement réussi mes examens. Je n’étais de loin pas dans les premiers mais le plus important était fait.
Au début du mois de Mai ma mère me fit savoir que vu ma réussite elle m’offrait la possibilité de passer de longue vacances chez sa sœur. Ma tante habitait la maison familiale située en Sicile et en bord de mer. On avait l’habitude depuis de nombreuses années d’y aller en vacances d’été. Le soleil et la chaleur y étant toujours bien présents. Ma mère m’emmena donc jusqu’à l’aéroport et ne manqua pas de me donner ses dernières recommandations pour mon séjour. Comme ma tante travaillait jusqu’au début du mois de Juillet je ne devais pas être une charge pour elle et donc me comporter en adulte et l’aider en participant aux tâches ménagères ou autres qu’elles me délégueraient.
Ma tante me réceptionna donc à l’aéroport et, après 2 heures de voiture, nous étions enfin parvenus à destination. Comme c’était un samedi elle était donc libre pour le week-end. Après avoir posé mes bagages et pris une douche le moment de passer à table était venu et le repas fut pris en extérieur sur la terrasse. La température était déjà bien agréable et me changeait du climat Suisse. Comme à son habitude ma tante faisait toujours une sieste après les repas de midi. J’en fis donc de même et c’est elle qui me réveilla 1 petite heure plus tard. On passa une partie de l’après-midi à faire du jardinage, il y avait des plantations à effectuer et l’entretien courant de désherbage. Le repas du soir n’étant pas prévu avant 20 heures elle me proposa d’aller profiter de la tranquillité de la plage très peu fréquentée en cette saison.
Le temps était doux et la mer peu agitée et personne en vue à part nous deux. On s’installa au bas d’une dune herbeuse et une fois en maillot on fila piquer une tête dans la grande bleue. Le soleil déclinait doucement et il était fort agréable de rester allongé sur nos linges pour profiter de cette douce chaleur. Tandis que nous discutions j’observais ma tante et pour la première fois je la voyais différemment que les années précédentes. Elle n’était pas très grande de corpulence mince et sa peau était déjà légèrement colorée par le soleil. Elle avait une petite poitrine mais on la devinait ferme, son ventre était plat et elle avait un fessier qui n’était de loin pas déplaisant à mater. Lorsqu’elle reparti se baigner seule une seconde fois je visualisai que l’intérieur de ses cuisses ne se touchaient pas et que dans le tissu de son maillot une fois mouillé la forme de sa vulve se révélait un peu.
Nous papotions tranquillement quand j’entendis au loin des voix. Un groupe de personne était arrivé et s’installa à bonne distance de nous. Ma tante devait les connaître car ils échangèrent un signe de salutation. Je ne fis pas autrement cas de leur présence mais quand je les regardai à nouveau ils se dirigeaient vers la mer et ce qui me surprit fut qu’ils étaient totalement nus.
Ma tante remarqua mon étonnement et me demanda si cela me choquait de les voir ainsi. Cela ne me choquait pas mais me surprenait. Ma tante m’expliqua qu’elle les connaissait car elle avait été à l’école avec certains d’entre eux. Et dans la foulée elle m’avoua qu’elle aussi pratiquait le naturisme.
Durant toutes les années précédentes je n’aurais jamais imaginé ou soupçonné que ma tante fasse du naturisme. D’ailleurs quand nous venions en vacances elle ne prenait aucun risque et s’abstenait d’en faire.
Comme elle avait abordé le sujet elle me demanda si cela me gênerait durant mon séjour qu’elle pratique le naturisme comme elle le faisait habituellement ? Car dès que la température s’y prêtait elle déambulait nue tant dans la maison que à l’extérieur dans le jardin, qui était à l’abri des éventuels regards indiscrets du voisinage.
J’étais un peu pris au dépourvu par sa question. Ce n’est pas que cela me choquait mais j’étais un peu gêné et je me voyais mal lui dire qu’elle devait s’en abstenir durant tout mon séjour. Je lui donnai donc une réponse positive tout en ne sachant pas comment j’allais vivre cette situation. Je précisai toutefois que je n’envisageais toutefois pas de me mettre moi aussi nu. Pour elle il était évident que cela allait de soi et qu’elle respecterait mon choix. Elle me dit que l’on ferait un test sur quelques jours et que si cela me posait problème elle ferait en sorte de limiter au minimum voir éviter tout naturisme en ma présence ou sans mon consentement. Sur ces bonnes paroles ont pris le chemin du retour. La soirée se passa tranquillement sans naturisme car le fond de l’air était un peu frais.
Le soir allongé dans mon lit j’étais un peu dans le doute ne sachant pas à quoi m’attendre lorsque je la verrais le lendemain matin. Mon questionnement se transforma peu à peu en des pensées un peu plus excitantes et je ne tardai pas à bander. Je glissai ma main sous le drap et commençai à me branler. Je n’eus pas besoin de m’astiquer la bite longuement pour que je soulage mon excitation avec quelques bonnes giclées de sperme jouissives…
Le lendemain matin ce fut la bonne odeur du café provenant de la cuisine qui me titillant les narines me réveilla. Je me levai un peu inquiet et incertain de la tenue dans laquelle j’allais la trouver. Je fus soulagé en arrivant dans la cuisine de la trouver habillée de manière légère, jupe et blouse. Le déjeuner avalé j’allai prendre ma douche. En redescendant je proposai à ma tante de l’aider pour le ménage, elle me remercia de ma proposition mais elle n’avait pas besoin de mon aide pour cette fois. J’allai donc m’installer au jardin dans un coin partiellement ombragé pour profiter de la température clémente sans pour autant risquer un coup de soleil. Je m’installai confortablement dans un transat avec pour compagnie un bon bouquin. Au bout d’un certain temps et ayant terminé son ménage ma tante vint me rejoindre.
Faisant suite à la discussion du jour précédent elle me demanda toutefois si cela me dérangeait qu’elle s’installe nue au soleil ? Je lui répondis avec certainement un peu de stress dans la voix que non.
Elle installa donc son transat en plein soleil mais un peu à l’écart de moi. Je m’efforçai de rester serein mais, je ne pouvais éviter de jeter de temps à autre un regard au-dessus de mon bouquin dans sa direction. Elle retira son peu de vêtements avant de s’enduire de crème solaire. Elle s’était mise de profil par rapport à moi pour certainement être le plus pudique possible pour ensuite s’allonger. Mais le simple fait de l’observer ainsi faisait déjà gonfler mon pénis. J’étais dissipé et je n’avançais pas rapidement dans ma lecture, étant perturbé par la vision de sa nudité. Ses seins effectivement n’était pas très grand mais était bien fermes et, au centre de ses aréoles, ses mamelons pointaient tout aussi fermement. Quant à son entre-jambe, que parfois j’apercevais quand elle changeait de position, il lui manquait la majorité de sa pilosité pubienne et ce qui en subsistait formait comme une frontière qui entourait sa vulve rebondie d’où émergeait ses petites lèvres. J’étais au supplice de pouvoir ainsi l’observer et je sentais que de la mouille d’excitation s’échappait de mon pénis sous tension et en imbibait mon slip. Le temps passant je m’habituai un peu à la situation et, j’arrivai à me concentrer sur ma lecture, tandis que mon pénis se mettait calmement au repos.
Au bout d’un certain temps elle se leva pour aller se chercher une boisson et en passant près de moi elle me demanda si j’en voulais également. Sans lever le nez de mon livre j’approuvai sa demande. Elle revint de la cuisine avec un pichet de citronnade bien frais ainsi que deux verres qu’elle déposa sur la table de jardin ou elle s’installa et qui était disposée sous l’ombrage d’un arbre. Elle en remplit les deux verres et je fus bien obligé de me lever et de m’y déplacer pour me désaltérer. Je m’assis sur le siège libre et tandis que nous papotions j’avais de la peine à détacher mon regard de sa poitrine. Je m’imaginais bien qu’elle s’en apercevait mais elle n’en montra pas le moindre signe éventuel de gêne. Elle fut la première à se lever et à retourner s’allonger. Elle s’allongea sur le ventre et elle me surprit en m’interpellant et me demandant si je voulais bien lui enduire le dos de crème solaire. J’étais bien embêté par sa demande mais lui opposer un refus me semblait comme lui avouer que sa nudité me troublait. Je répondis donc favorablement à sa requête et c’est d’une main tremblante que je lui enduisis le dos, de ses épaules jusqu’à la courbe naissante de son fessier. Ce simple fait suffit à remettre en émoi mon pénis qui, heureusement, était bien enfermé et retenu dans mon slip et short. Heureusement que j’avais eu la précaution de ne pas mettre mon maillot de bain car sinon il aurait été bien difficile de cacher la bosse de tension qui s’y serait développé. Elle me remercia et je retournai m’installer sur mon transat avec les idées un peu troublées et un pénis en ébullition. Le temps passant il se calma et la matinée se termina avec plus de sérénité et de relâchement. Quand ma tante quitta à nouveau son transat ce fut pour aller se doucher et préparer le repas. Tandis qu’elle se douchait je me levai et installai sur la table le nécessaire pour le repas. Elle revint de la douche avec juste une robe de coton légère qui lui collait un peu sur sa peau encore humide. Le repas pris elle partit faire sa sieste tandis que moi je m’occupais de desservir la table et m’occuper de la vaisselle.
Quand j’eu terminé les tâches ménagères je remontai dans ma chambre pour également profiter d’une sieste. Je me rafraîchis sous une douche rapide pour ensuite m’allonger sur le lit. A peine allongé des images et sensations érotiques m’envahirent, entraînant immédiatement la mise sous tension de ma virilité. Je saisi ma queue durcie et, commençai à me masturber avec lenteur, je ne voulais pas décharger trop rapidement. Des pensées érotiques traversaient mon esprit tandis que je visualisais mentalement la nudité de ma tante. Je ne sais ce qui me prit à cet instant mais je me levai et allai sur le balcon. Celui-ci courait sur toute la longueur de la façade et n’était pas visible du voisinage, ma chambre tout comme celle de ma tante y avait accès. Dans un état presque second et mon pénis érigé droit devant moi je me dirigeai précautionneusement vers la chambre de ma tante. En m’approchant j’entendis comme un murmure qui en provenait. Je me fis le plus discret possible et plus je m’approchais plus ce murmure se transformait en râle jouissif. Le store vénitien en bois était baissé à mi-hauteur, les lamelles entre-ouvertes, je penchai ma tête et glissai un regard que j’espérais discret entre les lamelles.
J’aperçus alors ma tante nue allongée sur le dos avec ses cuisses relevées et écartées et, à l’intérieur desquelles, ses mains caressaient sa vulve et son clitoris. Cette vision et ses râles raidirent encore davantage ma queue d’ado et un jus d’excitation perlait de mon gland gonflé et rougeoyant. Jamais je n’avais été autant excité et, d’une main je m’activais sur ma queue tandis que de l’autre je me palpai le paquet couillu. J’avais le regard et l’esprit totalement absorbé dans la vue de cette chatte mature qui se faisait câliner. Une main cessa ses caresses et ses doigts écartant les petites lèvres ouvrirent le passage pour que de les doigts de l’autre main s’insinuent et envahissent le vagin en y imprimant des mouvements de vas et viens de plus en plus soutenus. Je me calquai inconsciemment sur le même rythme et j’augmentai la pression de mes doigts autour de ma queue raidie. Je ne tins pas longtemps et quand la jouissance arriva je déchargeai de longues giclées de foutre qui allèrent arroser le sol. Tandis que ma queue débandait lentement de sa rigidité ma tante se cambra sur son lit et relevant ses fesses elle jouit dans un râle qui fit frissonner tout son corps et qui en disait long sur sa jouissance. Je repris lentement mes esprits tandis que, du bout de ma queue ramollissante, perlait le dernier filet de découille qui s’étirait jusqu’ à mes pieds. Ce fut à cet instant que je pris conscience que je m’étais aventuré bien en avant dans l’encadrement de la porte fenêtre. Je reculai précipitamment en espérant que ma tante, prise dans son excitation, ne m’ait pas aperçu et aussi qu’elle ne sorte pas sur le balcon trop tôt, ce qui me laisserait éventuellement du temps pour aller discrètement nettoyer les taches de ma jouissance. Je retournai dans ma chambre, me laissai tomber sur le lit, et plongeai dans une sieste reposante et revigorante.
Lorsque j’émergeai de la sieste tout était calme. J’allai vérifier l’état des traces sur le balcon et je fus rassuré que l’on n’y voyait rien pour autant que l’on ne sache pas ce qui s’y était passé. Par la même occasion je constatai que ma tante était encore en sieste. Pour ne pas faire de bruit je me refusai une douche rafraîchissante et je me contentai d’un rinçage rapide de mon organe reproducteur avant d’enfiler mon maillot de bain et de descendre au jardin rejoindre mon transat.
En cet instant je me sentais allégé de toute tension d’ordre sexuel et m’étant installé dans un coin ombragé je me surpris à l’idée de retirer mon maillot pour m’allonger nu sur le transat. Je me questionnais sur le fait de laisser tomber cette protection textile et de me retrouver nu en plein air au risque de m’exposer au regard de ma tante. Je cogitai ainsi pendant un moment pour finalement prendre sur moi et retirer mon maillot me retrouvant ainsi nu comme au premier jour. Je m’allongeai sur le transat et repris ma lecture. Étonnamment l’entier de mon corps, et non pas seulement mon intimité nouvellement mise à l’air, percevait l’espace qui l’environnait d’une manière différente, une douceur générale semblait m’envelopper dans un cocon soyeux, je me laissai emporter tant dans ma lecture que par cette douce sensation sans voir le temps passer. Ce fut un léger bruissement qui me fit lever les yeux de mon bouquin et tourner la tête dans la direction d’où il provenait. Je constatai à cet instant que ma tante, ayant également terminé sa sieste, revenait s’installer au jardin et s’approchait en totale nudité. Un large sourire éclairait son visage et je supposais qu’il était provoqué par ma vision allongé nu sur le transat. Je me senti tout d’un coup presque pris de panique mais surtout très gêné de la situation.
Je supposai, mais à tort, qu’elle allait à nouveau s’installer au soleil. Mais au lieu de cela elle vint avec son transat s’installer sous l’ombrage toute proche de moi. J’avais la sensation que mon visage devait être rouge de gêne et que cela devait être bien trop visible, tandis que mon sexe lui, semblait se recroqueviller pour quasiment vouloir disparaître comme un escargot dans sa coquille. Elle fit encore quelques allés et venues pour installer la table basse et y déposer de la boisson ainsi que des fruits avant de s’installer sur son transat avec elle aussi un bouquin. Toutefois avant de se lancer en lecture elle me fit part verbalement de son approbation au fait que je me sois ainsi mis nu, mais que en aucun cas je ne devais m’y sentir obligé. En rougissant à nouveau, je bredouillai que en aucun cas je ne m’y sentais obligé et, que c’était une expérience à faire au moins une fois pour, selon l’expression, ne pas mourir idiot. Ma réponse eue au moins pour effet de faire apparaître à nouveau sur son visage un large sourire.
Le temps passait agréablement dans une douceur agréable et je me sentais de plus en plus serein dans cette nouvelle situation. Peu à peu je me relaxai et j’en arrivai même à oublier que j’étais totalement nu. Étonnamment mon intimité elle aussi se détendit et repris des proportions plus naturelles sans pour autant que cela ne m’affecte.
Vers la fin d’après-midi, le soleil déclinant, ma tante changea à nouveau d’emplacement pour s’installer sous ses rayons. J’hésitai à la suivre, car je m’imaginais bien que si je m’installais comme elle au soleil il serait indispensable que je me protège avec de la crème solaire et, je me voyais mal m’enduire de crème devant elle et surtout dans une certaine zone. Toutefois je me motivai et pris sur moi de franchir cette étape. Advienne que pourras me dis-je et assume. Tandis qu’elle-même se crémait à nouveau je déplaçai mon transat non loin d’elle et lorsque elle eut fini de se protéger elle me transmit simplement le flacon de crème et, tout en remettant ses lunettes solaires elle s’allongea sur son transat pour reprendre sa lecture. Je m’enduisis de crème le plus rapidement possible tout en laissant pour le final mes parties intimes, je ne voulais pas risquer le cas échéant de lui offrir la vue d’un début ou d’une érection, ou alors d’une façon la plus brève possible. A peine terminé de m’en enduire la zone sensible celle-ci avait déjà pris du volume et, ce fut plus que rapidement, que je m’allongeai de manière à lui cacher cet émoi. Je repris ma lecture et peu à peu je me détendis à nouveau me sentant à nouveau serein et en toute quiétude. Le rayonnement solaire était agréable à ressentir et j’avais l’impression que chaque pore de ma peau l’absorbait pour s’en abreuver. Les sensations que je ressentais me donnaient l’impression d’être sur un nuage bercé par une douce brise câline. J’en perdis un peu la notion de la réalité et sombrai dans un état entre l’éveil et le sommeil. Lorsque j’émergeai de ce qui me semblait être une douce rêverie je constatai que ma virilité s’était largement réveillée et s’exhibait fièrement et outrageusement allongée sur mon bas ventre, tandis que mon paquet couillu, gorgé de chaleur, s’était distendu et pendouillait avec ses occupants entre mes cuisses.
Mes pensées se bousculaient, quelle attitude devais-je adopter ? Je pris sur moi de ne pas réagir avec trop de rapidité en cherchant à tout prix de cacher cet état de fait et me disant que cela n’était pas motivé par une excitation sexuelle mais à cet état de béatitude que j’avais ressenti. Donc ma tante devait sans doute être consciente de cela et, ne m’en tiendrait pas forcément rigueur. Par chance, durant ce court laps temps de réflexion, mon organe avait déjà repris une attitude et une dimension plus convenable, sauf que mon paquet couillu lui, restait toujours autant distendu du fait du rayonnement solaire qui le chauffait. Ma tante elle, me semblait toujours absorbée dans la lecture de son bouquin. Avait-elle remarqué mon état turgescent passager ? Pourquoi me poser la question, la réponse étant autant évidente que l’exposition de ma bandaison.
La fin de journée approchait et donc le moment de préparer le repas soir. Nous prîmes celui-ci dans le jardin en profitant de la douceur de l’air. Toutefois tant pour la préparation du repas que pour le repas nous avions remis le strict minimum de vêtements nécessaire. Et alors qu’en temps normal à la maison nous serions toujours habillés de la tête aux pieds ici, le fait de n’être qu’en sous-vêtements et en compagnie de ma tante ne me troublait pas.
En fin de repas au moment du café ma tante a abordé le sujet de mon essai de naturisme de la journée. Elle était intéressée à connaître mon ressenti sur cette première journée bien particulière pour moi.
Je lui dis que le matin je ne m’étais senti pas trop à l’aise et même un peu honteux de l’apercevoir nue. Et pour être honnête je lui ai avoué que j’avais aussi eu des réactions d’excitation à certains moments.
Bien évidemment je ne fis aucune allusion sur ce qui s’était passé durant la sieste.
Pour ce qui en était de l’après-midi, avant qu’elle n’arrive de la sieste, bien qu’ayant été très mal à l’aise au début de me retrouver tout nu, même en étant seul c’était ma première fois en plein air, j’avais toutefois ressenti des sensations très agréable. Et que quand elle était arrivée elle aussi nue j’avais été très stressé. Toutefois le temps passant le côté très agréable de cette nudité avait pris le dessus sur mes appréhensions initiales. Dans l’ensemble c’était une découverte positive. Au final je tenais toutefois à m’excuser si dans l’après-midi elle avait pu constater de ma part un comportement inadéquat voir offensant pour elle, lorsque je m’étais retrouvé en érection sans le vouloir, pour cela je m’expliquai un peu plus sur ce que j’avais ressenti comme sensations à ce moment-là et qui n’avaient rien à voir avec une excitation - exhibition qui aurait été purement sexuelle. Je ressentais le besoin de me dédouaner par avance si elle aurait trouvé cela incorrect voir offensant.
Après m’avoir écouté elle me rassura avec un grand sourire et me dit qu’en aucun cas elle n’avait trouvé cela offensant pour elle de voir que j’avais eu une érection. Et elle savait pertinemment, depuis le temps qu’elle faisait du naturisme, que cela était inhérent au sexe masculin et se produisait sans que cela soit dû forcément à une quelconque excitation sexuelle. En plus j’avais l’inconfort de la jeunesse ou cela est plus expressif tout en étant toutefois involontaire. Et si toutefois je décidais de continuer l’expérience je n’aurais pas à en avoir honte ou à m’en excuser vis-à-vis d’elle. Si tu persiste sur le chemin du naturisme tu verras qu’avec le temps ces états involontaires seront de plus en plus espacés. Et pour être également honnête vis-à-vis de toi, j’ai bien remarqué ton érection involontaire et ça ne m’a pas été désagréable du tout de le voir et t’observer ainsi en érection dans ton demi sommeil, d’autant plus que à ce que j’en ai vu tu es déjà bien équipé. Et j’espère ne pas te choquer en te disant cela quand bien même je suis ta tante. Avec ces bonnes paroles elle m’a gratifié d’un large sourire et d’un clin d’œil complice, tandis que pour moi les joues en feu, mon visage devait avoir viré au rouge carmin en entendant ce commentaire. Et je dois dire que dans mon slip un autre élément devint en feu, heureusement qu’il se calma rapidement sinon j’aurais eu du mal à cacher cet état de fait si j’avais dû quitter la table à ce moment-là.
Ensuite la discussion est revenue sur des sujets plus courants pour finalement se terminer sur mon emploi du temps pour l’aide à lui apporter. Emploi du temps qu’elle ne chargea pas beaucoup étant donné qu’elle travaillait à mi-temps elle serait déjà de retour à la maison pour le repas de midi. Et lorsque plus tard nous sommes partis nous coucher et qu’à la porte de ma chambre elle me souhaita la bonne nuit je ressenti dans ses mots comme un sous-entendu subtil. Allongé sur mon lit en attendant le sommeil je fantasmais sur sa chatte et je bandais dur. Je me fis une bonne branlette et j’envoyai ma découille imbiber les draps pour ensuite m’endormir comme un bienheureux.
Le lendemain matin quand je me réveillai elle était déjà partie au travail et après mon déjeuner je m’attelai aux tâches ménagères que je devais effectuer. Une fois celles-ci terminées il me restait encore quelques heures à disposition avant son retour. Le soleil réchauffait déjà l’atmosphère et je m’installai confortablement au jardin allongé nu sur mon transat. Comme ce n’était pas cuisant je me mis bien au soleil et ne pris pas la peine de me protéger avec de la crème, erreur fatale. Quand elle revint du travail j’étais toujours allongé sur mon transat mais endormi. Lorsqu’elle me réveilla elle était assez hilare. Je n’ai pas tardé à comprendre ce qui l’amusait tant quand je ressenti le picotement de ma peau, j’étais cuit et de couleur rosé comme une crevette sur toute ma surface arrière, je m’étais endormi en position ventrale. Je n’osais pas imaginer ce que cela aurait été si c’était sur l’autre face que je m’étais endormi. Ma tante me dit de rester ainsi allongé tandis qu’elle allait chercher de la pommade pour calmer mon coup de soleil. De retour elle commença par me pommader le dos avant d’éviter mon fessier et de continuer par mes mollets avant de remonter sur mes cuisses puis sur mon fessier. Pour cela elle m’avait fait écarter légèrement les jambes et, tandis qu’elle me tartinait les fesses elle passait délicatement les mains le long de ma raie pour ensuite glisser sur l’intérieur de mes cuisses. A un moment donné ses mains devinrent plus inquisitrices et ses doigts vinrent effleurer mon paquet couillu… Non seulement j’étais échaudé par l’effet du coup de soleil mais en plus de cela s’ajoutait l’échauffement de son traitement, et celui-ci ne tarda pas à me mettre la queue au garde-à-vous et comme elle n’était pas positionné sous moi mais entre mes cuisses je lui offrais ainsi une vue dégagée sur mon paquet de couilles et ma bite toute raide. Je sentis ses doigts effleurer délicatement ma queue raidie avant qu’elle n’en termine et retourne en cuisine préparer le repas. Je mis un certain temps avant de me lever ce qui permit à mon anatomie de reprendre une position plus relaxée. Je me questionnai de savoir si ses effleurements subtils étaient accidentels ou pas, dans le doute je penchai pour le mode accidentellement voulu…
Vu l’état de mon fessier elle me dispensa de mettre un slip pour le repas. J’eu un peu de peine à rester assis pour le repas et celui-ci aussitôt terminé je me remis prestement debout. Je m’occupai de la vaisselle tandis qu’elle allait dans sa chambre pour sa traditionnelle sieste. La vaisselle rangée j’allai m’allonger sur mon lit dans la seule position permise, donc ventrale. La pommade faisait son effet tout comme le courant d’air propulsé par le ventilateur judicieusement dirigé sur mon fessier. Je somnolai ainsi un moment et ce fut le bruit de la douche qui me réveilla. Quand celui-ci cessa ma tante vint glisser sa tête dans l’entrebâillement de la porte et me voyant réveillé me conseilla d’aller également me rafraîchir et principalement mon côté dorsal. Ce que je fis tandis qu’elle allait s’installer encore toute humide de sa douche sur son transat. Je restai un bon moment sous une douche fraîche avant d’aller moi aussi encore tout humide m’installer au jardin. Ou je m’installai bien à l’ombre. Allongé sur le ventre ce n’était pas ma position préférée pour bouquiner et au bout de quelques minutes je cessai ma lecture. D’où j’étais je pouvais observer ma tante allongée mais de profil. Au bout d’un certain temps elle se leva et déplace son transat ce qui fit que maintenant je la voyais de face mais toujours allongée. Le temps passant et à chaque fois qu’elle se retournait j’avais une magnifique vue sur son entre-jambe. Et à cela s’ajoutait le fait qu’il me semblait qu’avec chaque retournement qu’elle effectuait ses jambes restaient à chaque fois plus écartées. Et ce n’était pas et de loin, un effet de mon imagination. J’avais maintenant en face de moi une vue totalement dégagée de son entre-jambe ou, dans le final du triangle que formait ses cuisses, s’exposait à ma vue son excitante vulve ainsi que son p’ti trou que, ses petites fesses rondes et fermes, ne pouvait pas dissimuler. Ma queue s’était érigée sous l’afflux sanguin provoqué par cette vision excitante. Puis petit à petit cet espacement alla decrescendo et il en alla de même de mon excitation. En milieu d’après-midi elle alla se rafraîchir sous la douche et quand elle revint encore ruisselante d’eau elle m’indiqua d’un petit signe que je ferais bien d’en faire de même. Je suivi son conseil sans attendre me doutant qu’elle était plus compétente que moi pour cela. De retour de la douche je la trouvai allongée en position ventrale. Arrivant près d’elle elle me demanda si je voulais bien l’enduire de crème. Je ne pouvais lui refuser ce service après les bons soins qu’elle m’avait prodigué et je trouvais que c’était un échange de bons procédés. Je commençai par lui en enduire les bras et les épaules, avant de descendre le long de son dos en faisant le choix tout comme elle me l’avait fait, de m’arrêter à la lisière de ses fesses. Ensuite je me déplaçai afin de continuer en lui enduisant les mollets puis en remontant le long de ses jambes et cuisses, pour finalement lui enduire ses petites fesses fermes et tout comme elle me l’avait fait ,me permettre de glisser mes doigts le long de sa raie, dans laquelle était visible son petit trou d’une teinte subtilement brun pâle. Puis de glisser mes mains de part et d’autre de sa vulve pour revenir sur l’intérieur de ses cuisses. J’étais assis sur le bord du transat à hauteur de son fessier et, tandis que je lui étalais ainsi avec volupté de la crème sur ces zones érogènes, je ressenti imperceptiblement ses cuisse s’écarter comme pour m’inviter à être plus entreprenant. Ma queue s’était déjà dressée bien raide et mon gland palpitant me démangeait. Je glissai plus audacieusement mes mains le long de sa vulve pulpeuse et la lui caressai avec douceur. Puis je glissai mes doigts sur le côté de ses petites lèvres et les écartai délicatement. Et tandis que je lui écartais ses petites lèvres je voyais apparaître sa chair couleur rosée de son entrée vaginale qui brillait sous l’afflux de sa mouille. Tandis que je caressais cette douce vision je senti sa main se poser sur ma cuisse et la parcourir jusqu’à arriver à la racine de ma queue puis, enserrer celle-ci délicatement entre ses doigts pour remonter lentement le long de mon membre palpitant et venir tâter le bout de mon gland et y trouver ma mouille puis, tirant délicatement sur mon prépuce, elle décalotta complètement mon gland et, récoltant ma mouille, elle l’en enduisit faisant glisser ses doigts sur le pourtour de ma couronne. J’avais un mal fou à me contenir mais je m’obligeai à me détourner des sensations que je ressentais pour me concentrer et m’appliquer à lui caresser la vulve et l’entrée de son vagin. Sa respiration devenait plus lourde et elle cambra davantage son fessier. J’accentuai et accélérai alors mes mouvements. De sa chatte baveuse s’écoulait un mince filet de mouille que j’étalais par mes mouvements sur toute sa vulve qui, elle, s’était moelleusement gonflée sous l’effet de l’excitation. J’avais également une vue totalement dégagée sur son petit trou qui semblait me regarder et, donnait l’impression de respirer au même rythme que l’excitation. Cette douce couronne teintée semblait respirer au même rythme que l’état d’excitation et parfois s’entrouvrait laissant apparaître en son centre un trou noir dans lequel je m’imaginais y glisser ma raideur. Sa main relâcha son étreinte et quitta mon membre engorgé de sang. Elle roula sur le côté et se retrouva ainsi allongée sur le dos et, relevant ses cuisses et les écartant, elle me fit part de son envie d’être pénétrée en me susurrant :
- Glisse-moi ta queue dans la chatte…
Je ne pouvais refuser une telle invitation et, me relevant je me glissai entre ses cuisses et, tandis que mon gland venait buter sur sa vulve, elle me saisit la queue et frottant mon gland sur ses petites lèvres elle les entrouvrit tout poussant son bassin en avant elle s’introduisit alors ma queue dans son nid de jouissance. Je commençai des vas et viens tout en regardant ma queue qui se recouvrait de sa mouille baveuse et blanchâtre. D’une main elle câlinait le capuchon de son clito duquel émergeait son bouton d’amour rosé. Je devais me concentrer pour aller et venir en elle sans trop me précipiter ne voulant pas précipiter mon éjaculation. Elle me guidait dans son désir-plaisir et retirant ma queue de sa chatte, elle déposa mon gland baveux de mouille sur son clito tout en le maintenant pressé dessus et l’agitant de droite à gauche pour se branler son bouton d’amour. J’observais et profitais des sensations que cela me procurait quand soudain elle se cambra et secouée d’un spasme violent elle jouit en laissant s’échapper des giclées de mouille de sa chatte. J’avais déjà vu des éjaculations féminines mais seulement en vidéo et vivre cela en vrai, son jus éclaboussant mes organes génitaux fit que je ne pus me retenir bien longtemps tellement cette vision et sensation m’excita. Mon paquet couillu se resserra et mes couilles remontèrent se coller à la base de ma queue pour se vider en expulsant ses giclées de jouissance. Je giclai si fort que mon premier jet atterrit sur ses seins et puis, tandis que je me vidai et la pression diminuant, mes jets furent plus court et mes derniers écoulements se répandirent sur sa vulve en se mélangeant a son propre jus de jouissance. Nous étions tous deux à bout de souffle avec nos organes génitaux tout baveux de nos éjaculations réciproques. Il nous fallut quelques minutes pour pouvoir reprendre nos esprits et calmer les palpitations de jouissances. Agenouillé entre ses cuisses je regardais ma queue ramollie, mais encore gonflée, reposant sur sa vulve le tout lubrifié par le mélange de nos éjaculations. Une envie irrépressible me saisit et je reculai pour pouvoir ainsi abaisser mon visage entre ses cuisses, et me mettre à lécher notre mixité d’éjaculats, nettoyer sa vulve et me gorger de ces jus d’amours odorants. Cela du bien lui convenir car, lorsque j’en eu terminé, c’est elle qui s’asseyant sur le rebord du transat me fit comprendre par un geste de me mettre debout devant elle. S’approchant alors de mon bas ventre elle le lécha pour ensuite gober et sucer ma queue flasque et terminer en me léchant le paquet couillu.
Au début du mois de Mai ma mère me fit savoir que vu ma réussite elle m’offrait la possibilité de passer de longue vacances chez sa sœur. Ma tante habitait la maison familiale située en Sicile et en bord de mer. On avait l’habitude depuis de nombreuses années d’y aller en vacances d’été. Le soleil et la chaleur y étant toujours bien présents. Ma mère m’emmena donc jusqu’à l’aéroport et ne manqua pas de me donner ses dernières recommandations pour mon séjour. Comme ma tante travaillait jusqu’au début du mois de Juillet je ne devais pas être une charge pour elle et donc me comporter en adulte et l’aider en participant aux tâches ménagères ou autres qu’elles me délégueraient.
Ma tante me réceptionna donc à l’aéroport et, après 2 heures de voiture, nous étions enfin parvenus à destination. Comme c’était un samedi elle était donc libre pour le week-end. Après avoir posé mes bagages et pris une douche le moment de passer à table était venu et le repas fut pris en extérieur sur la terrasse. La température était déjà bien agréable et me changeait du climat Suisse. Comme à son habitude ma tante faisait toujours une sieste après les repas de midi. J’en fis donc de même et c’est elle qui me réveilla 1 petite heure plus tard. On passa une partie de l’après-midi à faire du jardinage, il y avait des plantations à effectuer et l’entretien courant de désherbage. Le repas du soir n’étant pas prévu avant 20 heures elle me proposa d’aller profiter de la tranquillité de la plage très peu fréquentée en cette saison.
Le temps était doux et la mer peu agitée et personne en vue à part nous deux. On s’installa au bas d’une dune herbeuse et une fois en maillot on fila piquer une tête dans la grande bleue. Le soleil déclinait doucement et il était fort agréable de rester allongé sur nos linges pour profiter de cette douce chaleur. Tandis que nous discutions j’observais ma tante et pour la première fois je la voyais différemment que les années précédentes. Elle n’était pas très grande de corpulence mince et sa peau était déjà légèrement colorée par le soleil. Elle avait une petite poitrine mais on la devinait ferme, son ventre était plat et elle avait un fessier qui n’était de loin pas déplaisant à mater. Lorsqu’elle reparti se baigner seule une seconde fois je visualisai que l’intérieur de ses cuisses ne se touchaient pas et que dans le tissu de son maillot une fois mouillé la forme de sa vulve se révélait un peu.
Nous papotions tranquillement quand j’entendis au loin des voix. Un groupe de personne était arrivé et s’installa à bonne distance de nous. Ma tante devait les connaître car ils échangèrent un signe de salutation. Je ne fis pas autrement cas de leur présence mais quand je les regardai à nouveau ils se dirigeaient vers la mer et ce qui me surprit fut qu’ils étaient totalement nus.
Ma tante remarqua mon étonnement et me demanda si cela me choquait de les voir ainsi. Cela ne me choquait pas mais me surprenait. Ma tante m’expliqua qu’elle les connaissait car elle avait été à l’école avec certains d’entre eux. Et dans la foulée elle m’avoua qu’elle aussi pratiquait le naturisme.
Durant toutes les années précédentes je n’aurais jamais imaginé ou soupçonné que ma tante fasse du naturisme. D’ailleurs quand nous venions en vacances elle ne prenait aucun risque et s’abstenait d’en faire.
Comme elle avait abordé le sujet elle me demanda si cela me gênerait durant mon séjour qu’elle pratique le naturisme comme elle le faisait habituellement ? Car dès que la température s’y prêtait elle déambulait nue tant dans la maison que à l’extérieur dans le jardin, qui était à l’abri des éventuels regards indiscrets du voisinage.
J’étais un peu pris au dépourvu par sa question. Ce n’est pas que cela me choquait mais j’étais un peu gêné et je me voyais mal lui dire qu’elle devait s’en abstenir durant tout mon séjour. Je lui donnai donc une réponse positive tout en ne sachant pas comment j’allais vivre cette situation. Je précisai toutefois que je n’envisageais toutefois pas de me mettre moi aussi nu. Pour elle il était évident que cela allait de soi et qu’elle respecterait mon choix. Elle me dit que l’on ferait un test sur quelques jours et que si cela me posait problème elle ferait en sorte de limiter au minimum voir éviter tout naturisme en ma présence ou sans mon consentement. Sur ces bonnes paroles ont pris le chemin du retour. La soirée se passa tranquillement sans naturisme car le fond de l’air était un peu frais.
Le soir allongé dans mon lit j’étais un peu dans le doute ne sachant pas à quoi m’attendre lorsque je la verrais le lendemain matin. Mon questionnement se transforma peu à peu en des pensées un peu plus excitantes et je ne tardai pas à bander. Je glissai ma main sous le drap et commençai à me branler. Je n’eus pas besoin de m’astiquer la bite longuement pour que je soulage mon excitation avec quelques bonnes giclées de sperme jouissives…
Le lendemain matin ce fut la bonne odeur du café provenant de la cuisine qui me titillant les narines me réveilla. Je me levai un peu inquiet et incertain de la tenue dans laquelle j’allais la trouver. Je fus soulagé en arrivant dans la cuisine de la trouver habillée de manière légère, jupe et blouse. Le déjeuner avalé j’allai prendre ma douche. En redescendant je proposai à ma tante de l’aider pour le ménage, elle me remercia de ma proposition mais elle n’avait pas besoin de mon aide pour cette fois. J’allai donc m’installer au jardin dans un coin partiellement ombragé pour profiter de la température clémente sans pour autant risquer un coup de soleil. Je m’installai confortablement dans un transat avec pour compagnie un bon bouquin. Au bout d’un certain temps et ayant terminé son ménage ma tante vint me rejoindre.
Faisant suite à la discussion du jour précédent elle me demanda toutefois si cela me dérangeait qu’elle s’installe nue au soleil ? Je lui répondis avec certainement un peu de stress dans la voix que non.
Elle installa donc son transat en plein soleil mais un peu à l’écart de moi. Je m’efforçai de rester serein mais, je ne pouvais éviter de jeter de temps à autre un regard au-dessus de mon bouquin dans sa direction. Elle retira son peu de vêtements avant de s’enduire de crème solaire. Elle s’était mise de profil par rapport à moi pour certainement être le plus pudique possible pour ensuite s’allonger. Mais le simple fait de l’observer ainsi faisait déjà gonfler mon pénis. J’étais dissipé et je n’avançais pas rapidement dans ma lecture, étant perturbé par la vision de sa nudité. Ses seins effectivement n’était pas très grand mais était bien fermes et, au centre de ses aréoles, ses mamelons pointaient tout aussi fermement. Quant à son entre-jambe, que parfois j’apercevais quand elle changeait de position, il lui manquait la majorité de sa pilosité pubienne et ce qui en subsistait formait comme une frontière qui entourait sa vulve rebondie d’où émergeait ses petites lèvres. J’étais au supplice de pouvoir ainsi l’observer et je sentais que de la mouille d’excitation s’échappait de mon pénis sous tension et en imbibait mon slip. Le temps passant je m’habituai un peu à la situation et, j’arrivai à me concentrer sur ma lecture, tandis que mon pénis se mettait calmement au repos.
Au bout d’un certain temps elle se leva pour aller se chercher une boisson et en passant près de moi elle me demanda si j’en voulais également. Sans lever le nez de mon livre j’approuvai sa demande. Elle revint de la cuisine avec un pichet de citronnade bien frais ainsi que deux verres qu’elle déposa sur la table de jardin ou elle s’installa et qui était disposée sous l’ombrage d’un arbre. Elle en remplit les deux verres et je fus bien obligé de me lever et de m’y déplacer pour me désaltérer. Je m’assis sur le siège libre et tandis que nous papotions j’avais de la peine à détacher mon regard de sa poitrine. Je m’imaginais bien qu’elle s’en apercevait mais elle n’en montra pas le moindre signe éventuel de gêne. Elle fut la première à se lever et à retourner s’allonger. Elle s’allongea sur le ventre et elle me surprit en m’interpellant et me demandant si je voulais bien lui enduire le dos de crème solaire. J’étais bien embêté par sa demande mais lui opposer un refus me semblait comme lui avouer que sa nudité me troublait. Je répondis donc favorablement à sa requête et c’est d’une main tremblante que je lui enduisis le dos, de ses épaules jusqu’à la courbe naissante de son fessier. Ce simple fait suffit à remettre en émoi mon pénis qui, heureusement, était bien enfermé et retenu dans mon slip et short. Heureusement que j’avais eu la précaution de ne pas mettre mon maillot de bain car sinon il aurait été bien difficile de cacher la bosse de tension qui s’y serait développé. Elle me remercia et je retournai m’installer sur mon transat avec les idées un peu troublées et un pénis en ébullition. Le temps passant il se calma et la matinée se termina avec plus de sérénité et de relâchement. Quand ma tante quitta à nouveau son transat ce fut pour aller se doucher et préparer le repas. Tandis qu’elle se douchait je me levai et installai sur la table le nécessaire pour le repas. Elle revint de la douche avec juste une robe de coton légère qui lui collait un peu sur sa peau encore humide. Le repas pris elle partit faire sa sieste tandis que moi je m’occupais de desservir la table et m’occuper de la vaisselle.
Quand j’eu terminé les tâches ménagères je remontai dans ma chambre pour également profiter d’une sieste. Je me rafraîchis sous une douche rapide pour ensuite m’allonger sur le lit. A peine allongé des images et sensations érotiques m’envahirent, entraînant immédiatement la mise sous tension de ma virilité. Je saisi ma queue durcie et, commençai à me masturber avec lenteur, je ne voulais pas décharger trop rapidement. Des pensées érotiques traversaient mon esprit tandis que je visualisais mentalement la nudité de ma tante. Je ne sais ce qui me prit à cet instant mais je me levai et allai sur le balcon. Celui-ci courait sur toute la longueur de la façade et n’était pas visible du voisinage, ma chambre tout comme celle de ma tante y avait accès. Dans un état presque second et mon pénis érigé droit devant moi je me dirigeai précautionneusement vers la chambre de ma tante. En m’approchant j’entendis comme un murmure qui en provenait. Je me fis le plus discret possible et plus je m’approchais plus ce murmure se transformait en râle jouissif. Le store vénitien en bois était baissé à mi-hauteur, les lamelles entre-ouvertes, je penchai ma tête et glissai un regard que j’espérais discret entre les lamelles.
J’aperçus alors ma tante nue allongée sur le dos avec ses cuisses relevées et écartées et, à l’intérieur desquelles, ses mains caressaient sa vulve et son clitoris. Cette vision et ses râles raidirent encore davantage ma queue d’ado et un jus d’excitation perlait de mon gland gonflé et rougeoyant. Jamais je n’avais été autant excité et, d’une main je m’activais sur ma queue tandis que de l’autre je me palpai le paquet couillu. J’avais le regard et l’esprit totalement absorbé dans la vue de cette chatte mature qui se faisait câliner. Une main cessa ses caresses et ses doigts écartant les petites lèvres ouvrirent le passage pour que de les doigts de l’autre main s’insinuent et envahissent le vagin en y imprimant des mouvements de vas et viens de plus en plus soutenus. Je me calquai inconsciemment sur le même rythme et j’augmentai la pression de mes doigts autour de ma queue raidie. Je ne tins pas longtemps et quand la jouissance arriva je déchargeai de longues giclées de foutre qui allèrent arroser le sol. Tandis que ma queue débandait lentement de sa rigidité ma tante se cambra sur son lit et relevant ses fesses elle jouit dans un râle qui fit frissonner tout son corps et qui en disait long sur sa jouissance. Je repris lentement mes esprits tandis que, du bout de ma queue ramollissante, perlait le dernier filet de découille qui s’étirait jusqu’ à mes pieds. Ce fut à cet instant que je pris conscience que je m’étais aventuré bien en avant dans l’encadrement de la porte fenêtre. Je reculai précipitamment en espérant que ma tante, prise dans son excitation, ne m’ait pas aperçu et aussi qu’elle ne sorte pas sur le balcon trop tôt, ce qui me laisserait éventuellement du temps pour aller discrètement nettoyer les taches de ma jouissance. Je retournai dans ma chambre, me laissai tomber sur le lit, et plongeai dans une sieste reposante et revigorante.
Lorsque j’émergeai de la sieste tout était calme. J’allai vérifier l’état des traces sur le balcon et je fus rassuré que l’on n’y voyait rien pour autant que l’on ne sache pas ce qui s’y était passé. Par la même occasion je constatai que ma tante était encore en sieste. Pour ne pas faire de bruit je me refusai une douche rafraîchissante et je me contentai d’un rinçage rapide de mon organe reproducteur avant d’enfiler mon maillot de bain et de descendre au jardin rejoindre mon transat.
En cet instant je me sentais allégé de toute tension d’ordre sexuel et m’étant installé dans un coin ombragé je me surpris à l’idée de retirer mon maillot pour m’allonger nu sur le transat. Je me questionnais sur le fait de laisser tomber cette protection textile et de me retrouver nu en plein air au risque de m’exposer au regard de ma tante. Je cogitai ainsi pendant un moment pour finalement prendre sur moi et retirer mon maillot me retrouvant ainsi nu comme au premier jour. Je m’allongeai sur le transat et repris ma lecture. Étonnamment l’entier de mon corps, et non pas seulement mon intimité nouvellement mise à l’air, percevait l’espace qui l’environnait d’une manière différente, une douceur générale semblait m’envelopper dans un cocon soyeux, je me laissai emporter tant dans ma lecture que par cette douce sensation sans voir le temps passer. Ce fut un léger bruissement qui me fit lever les yeux de mon bouquin et tourner la tête dans la direction d’où il provenait. Je constatai à cet instant que ma tante, ayant également terminé sa sieste, revenait s’installer au jardin et s’approchait en totale nudité. Un large sourire éclairait son visage et je supposais qu’il était provoqué par ma vision allongé nu sur le transat. Je me senti tout d’un coup presque pris de panique mais surtout très gêné de la situation.
Je supposai, mais à tort, qu’elle allait à nouveau s’installer au soleil. Mais au lieu de cela elle vint avec son transat s’installer sous l’ombrage toute proche de moi. J’avais la sensation que mon visage devait être rouge de gêne et que cela devait être bien trop visible, tandis que mon sexe lui, semblait se recroqueviller pour quasiment vouloir disparaître comme un escargot dans sa coquille. Elle fit encore quelques allés et venues pour installer la table basse et y déposer de la boisson ainsi que des fruits avant de s’installer sur son transat avec elle aussi un bouquin. Toutefois avant de se lancer en lecture elle me fit part verbalement de son approbation au fait que je me sois ainsi mis nu, mais que en aucun cas je ne devais m’y sentir obligé. En rougissant à nouveau, je bredouillai que en aucun cas je ne m’y sentais obligé et, que c’était une expérience à faire au moins une fois pour, selon l’expression, ne pas mourir idiot. Ma réponse eue au moins pour effet de faire apparaître à nouveau sur son visage un large sourire.
Le temps passait agréablement dans une douceur agréable et je me sentais de plus en plus serein dans cette nouvelle situation. Peu à peu je me relaxai et j’en arrivai même à oublier que j’étais totalement nu. Étonnamment mon intimité elle aussi se détendit et repris des proportions plus naturelles sans pour autant que cela ne m’affecte.
Vers la fin d’après-midi, le soleil déclinant, ma tante changea à nouveau d’emplacement pour s’installer sous ses rayons. J’hésitai à la suivre, car je m’imaginais bien que si je m’installais comme elle au soleil il serait indispensable que je me protège avec de la crème solaire et, je me voyais mal m’enduire de crème devant elle et surtout dans une certaine zone. Toutefois je me motivai et pris sur moi de franchir cette étape. Advienne que pourras me dis-je et assume. Tandis qu’elle-même se crémait à nouveau je déplaçai mon transat non loin d’elle et lorsque elle eut fini de se protéger elle me transmit simplement le flacon de crème et, tout en remettant ses lunettes solaires elle s’allongea sur son transat pour reprendre sa lecture. Je m’enduisis de crème le plus rapidement possible tout en laissant pour le final mes parties intimes, je ne voulais pas risquer le cas échéant de lui offrir la vue d’un début ou d’une érection, ou alors d’une façon la plus brève possible. A peine terminé de m’en enduire la zone sensible celle-ci avait déjà pris du volume et, ce fut plus que rapidement, que je m’allongeai de manière à lui cacher cet émoi. Je repris ma lecture et peu à peu je me détendis à nouveau me sentant à nouveau serein et en toute quiétude. Le rayonnement solaire était agréable à ressentir et j’avais l’impression que chaque pore de ma peau l’absorbait pour s’en abreuver. Les sensations que je ressentais me donnaient l’impression d’être sur un nuage bercé par une douce brise câline. J’en perdis un peu la notion de la réalité et sombrai dans un état entre l’éveil et le sommeil. Lorsque j’émergeai de ce qui me semblait être une douce rêverie je constatai que ma virilité s’était largement réveillée et s’exhibait fièrement et outrageusement allongée sur mon bas ventre, tandis que mon paquet couillu, gorgé de chaleur, s’était distendu et pendouillait avec ses occupants entre mes cuisses.
Mes pensées se bousculaient, quelle attitude devais-je adopter ? Je pris sur moi de ne pas réagir avec trop de rapidité en cherchant à tout prix de cacher cet état de fait et me disant que cela n’était pas motivé par une excitation sexuelle mais à cet état de béatitude que j’avais ressenti. Donc ma tante devait sans doute être consciente de cela et, ne m’en tiendrait pas forcément rigueur. Par chance, durant ce court laps temps de réflexion, mon organe avait déjà repris une attitude et une dimension plus convenable, sauf que mon paquet couillu lui, restait toujours autant distendu du fait du rayonnement solaire qui le chauffait. Ma tante elle, me semblait toujours absorbée dans la lecture de son bouquin. Avait-elle remarqué mon état turgescent passager ? Pourquoi me poser la question, la réponse étant autant évidente que l’exposition de ma bandaison.
La fin de journée approchait et donc le moment de préparer le repas soir. Nous prîmes celui-ci dans le jardin en profitant de la douceur de l’air. Toutefois tant pour la préparation du repas que pour le repas nous avions remis le strict minimum de vêtements nécessaire. Et alors qu’en temps normal à la maison nous serions toujours habillés de la tête aux pieds ici, le fait de n’être qu’en sous-vêtements et en compagnie de ma tante ne me troublait pas.
En fin de repas au moment du café ma tante a abordé le sujet de mon essai de naturisme de la journée. Elle était intéressée à connaître mon ressenti sur cette première journée bien particulière pour moi.
Je lui dis que le matin je ne m’étais senti pas trop à l’aise et même un peu honteux de l’apercevoir nue. Et pour être honnête je lui ai avoué que j’avais aussi eu des réactions d’excitation à certains moments.
Bien évidemment je ne fis aucune allusion sur ce qui s’était passé durant la sieste.
Pour ce qui en était de l’après-midi, avant qu’elle n’arrive de la sieste, bien qu’ayant été très mal à l’aise au début de me retrouver tout nu, même en étant seul c’était ma première fois en plein air, j’avais toutefois ressenti des sensations très agréable. Et que quand elle était arrivée elle aussi nue j’avais été très stressé. Toutefois le temps passant le côté très agréable de cette nudité avait pris le dessus sur mes appréhensions initiales. Dans l’ensemble c’était une découverte positive. Au final je tenais toutefois à m’excuser si dans l’après-midi elle avait pu constater de ma part un comportement inadéquat voir offensant pour elle, lorsque je m’étais retrouvé en érection sans le vouloir, pour cela je m’expliquai un peu plus sur ce que j’avais ressenti comme sensations à ce moment-là et qui n’avaient rien à voir avec une excitation - exhibition qui aurait été purement sexuelle. Je ressentais le besoin de me dédouaner par avance si elle aurait trouvé cela incorrect voir offensant.
Après m’avoir écouté elle me rassura avec un grand sourire et me dit qu’en aucun cas elle n’avait trouvé cela offensant pour elle de voir que j’avais eu une érection. Et elle savait pertinemment, depuis le temps qu’elle faisait du naturisme, que cela était inhérent au sexe masculin et se produisait sans que cela soit dû forcément à une quelconque excitation sexuelle. En plus j’avais l’inconfort de la jeunesse ou cela est plus expressif tout en étant toutefois involontaire. Et si toutefois je décidais de continuer l’expérience je n’aurais pas à en avoir honte ou à m’en excuser vis-à-vis d’elle. Si tu persiste sur le chemin du naturisme tu verras qu’avec le temps ces états involontaires seront de plus en plus espacés. Et pour être également honnête vis-à-vis de toi, j’ai bien remarqué ton érection involontaire et ça ne m’a pas été désagréable du tout de le voir et t’observer ainsi en érection dans ton demi sommeil, d’autant plus que à ce que j’en ai vu tu es déjà bien équipé. Et j’espère ne pas te choquer en te disant cela quand bien même je suis ta tante. Avec ces bonnes paroles elle m’a gratifié d’un large sourire et d’un clin d’œil complice, tandis que pour moi les joues en feu, mon visage devait avoir viré au rouge carmin en entendant ce commentaire. Et je dois dire que dans mon slip un autre élément devint en feu, heureusement qu’il se calma rapidement sinon j’aurais eu du mal à cacher cet état de fait si j’avais dû quitter la table à ce moment-là.
Ensuite la discussion est revenue sur des sujets plus courants pour finalement se terminer sur mon emploi du temps pour l’aide à lui apporter. Emploi du temps qu’elle ne chargea pas beaucoup étant donné qu’elle travaillait à mi-temps elle serait déjà de retour à la maison pour le repas de midi. Et lorsque plus tard nous sommes partis nous coucher et qu’à la porte de ma chambre elle me souhaita la bonne nuit je ressenti dans ses mots comme un sous-entendu subtil. Allongé sur mon lit en attendant le sommeil je fantasmais sur sa chatte et je bandais dur. Je me fis une bonne branlette et j’envoyai ma découille imbiber les draps pour ensuite m’endormir comme un bienheureux.
Le lendemain matin quand je me réveillai elle était déjà partie au travail et après mon déjeuner je m’attelai aux tâches ménagères que je devais effectuer. Une fois celles-ci terminées il me restait encore quelques heures à disposition avant son retour. Le soleil réchauffait déjà l’atmosphère et je m’installai confortablement au jardin allongé nu sur mon transat. Comme ce n’était pas cuisant je me mis bien au soleil et ne pris pas la peine de me protéger avec de la crème, erreur fatale. Quand elle revint du travail j’étais toujours allongé sur mon transat mais endormi. Lorsqu’elle me réveilla elle était assez hilare. Je n’ai pas tardé à comprendre ce qui l’amusait tant quand je ressenti le picotement de ma peau, j’étais cuit et de couleur rosé comme une crevette sur toute ma surface arrière, je m’étais endormi en position ventrale. Je n’osais pas imaginer ce que cela aurait été si c’était sur l’autre face que je m’étais endormi. Ma tante me dit de rester ainsi allongé tandis qu’elle allait chercher de la pommade pour calmer mon coup de soleil. De retour elle commença par me pommader le dos avant d’éviter mon fessier et de continuer par mes mollets avant de remonter sur mes cuisses puis sur mon fessier. Pour cela elle m’avait fait écarter légèrement les jambes et, tandis qu’elle me tartinait les fesses elle passait délicatement les mains le long de ma raie pour ensuite glisser sur l’intérieur de mes cuisses. A un moment donné ses mains devinrent plus inquisitrices et ses doigts vinrent effleurer mon paquet couillu… Non seulement j’étais échaudé par l’effet du coup de soleil mais en plus de cela s’ajoutait l’échauffement de son traitement, et celui-ci ne tarda pas à me mettre la queue au garde-à-vous et comme elle n’était pas positionné sous moi mais entre mes cuisses je lui offrais ainsi une vue dégagée sur mon paquet de couilles et ma bite toute raide. Je sentis ses doigts effleurer délicatement ma queue raidie avant qu’elle n’en termine et retourne en cuisine préparer le repas. Je mis un certain temps avant de me lever ce qui permit à mon anatomie de reprendre une position plus relaxée. Je me questionnai de savoir si ses effleurements subtils étaient accidentels ou pas, dans le doute je penchai pour le mode accidentellement voulu…
Vu l’état de mon fessier elle me dispensa de mettre un slip pour le repas. J’eu un peu de peine à rester assis pour le repas et celui-ci aussitôt terminé je me remis prestement debout. Je m’occupai de la vaisselle tandis qu’elle allait dans sa chambre pour sa traditionnelle sieste. La vaisselle rangée j’allai m’allonger sur mon lit dans la seule position permise, donc ventrale. La pommade faisait son effet tout comme le courant d’air propulsé par le ventilateur judicieusement dirigé sur mon fessier. Je somnolai ainsi un moment et ce fut le bruit de la douche qui me réveilla. Quand celui-ci cessa ma tante vint glisser sa tête dans l’entrebâillement de la porte et me voyant réveillé me conseilla d’aller également me rafraîchir et principalement mon côté dorsal. Ce que je fis tandis qu’elle allait s’installer encore toute humide de sa douche sur son transat. Je restai un bon moment sous une douche fraîche avant d’aller moi aussi encore tout humide m’installer au jardin. Ou je m’installai bien à l’ombre. Allongé sur le ventre ce n’était pas ma position préférée pour bouquiner et au bout de quelques minutes je cessai ma lecture. D’où j’étais je pouvais observer ma tante allongée mais de profil. Au bout d’un certain temps elle se leva et déplace son transat ce qui fit que maintenant je la voyais de face mais toujours allongée. Le temps passant et à chaque fois qu’elle se retournait j’avais une magnifique vue sur son entre-jambe. Et à cela s’ajoutait le fait qu’il me semblait qu’avec chaque retournement qu’elle effectuait ses jambes restaient à chaque fois plus écartées. Et ce n’était pas et de loin, un effet de mon imagination. J’avais maintenant en face de moi une vue totalement dégagée de son entre-jambe ou, dans le final du triangle que formait ses cuisses, s’exposait à ma vue son excitante vulve ainsi que son p’ti trou que, ses petites fesses rondes et fermes, ne pouvait pas dissimuler. Ma queue s’était érigée sous l’afflux sanguin provoqué par cette vision excitante. Puis petit à petit cet espacement alla decrescendo et il en alla de même de mon excitation. En milieu d’après-midi elle alla se rafraîchir sous la douche et quand elle revint encore ruisselante d’eau elle m’indiqua d’un petit signe que je ferais bien d’en faire de même. Je suivi son conseil sans attendre me doutant qu’elle était plus compétente que moi pour cela. De retour de la douche je la trouvai allongée en position ventrale. Arrivant près d’elle elle me demanda si je voulais bien l’enduire de crème. Je ne pouvais lui refuser ce service après les bons soins qu’elle m’avait prodigué et je trouvais que c’était un échange de bons procédés. Je commençai par lui en enduire les bras et les épaules, avant de descendre le long de son dos en faisant le choix tout comme elle me l’avait fait, de m’arrêter à la lisière de ses fesses. Ensuite je me déplaçai afin de continuer en lui enduisant les mollets puis en remontant le long de ses jambes et cuisses, pour finalement lui enduire ses petites fesses fermes et tout comme elle me l’avait fait ,me permettre de glisser mes doigts le long de sa raie, dans laquelle était visible son petit trou d’une teinte subtilement brun pâle. Puis de glisser mes mains de part et d’autre de sa vulve pour revenir sur l’intérieur de ses cuisses. J’étais assis sur le bord du transat à hauteur de son fessier et, tandis que je lui étalais ainsi avec volupté de la crème sur ces zones érogènes, je ressenti imperceptiblement ses cuisse s’écarter comme pour m’inviter à être plus entreprenant. Ma queue s’était déjà dressée bien raide et mon gland palpitant me démangeait. Je glissai plus audacieusement mes mains le long de sa vulve pulpeuse et la lui caressai avec douceur. Puis je glissai mes doigts sur le côté de ses petites lèvres et les écartai délicatement. Et tandis que je lui écartais ses petites lèvres je voyais apparaître sa chair couleur rosée de son entrée vaginale qui brillait sous l’afflux de sa mouille. Tandis que je caressais cette douce vision je senti sa main se poser sur ma cuisse et la parcourir jusqu’à arriver à la racine de ma queue puis, enserrer celle-ci délicatement entre ses doigts pour remonter lentement le long de mon membre palpitant et venir tâter le bout de mon gland et y trouver ma mouille puis, tirant délicatement sur mon prépuce, elle décalotta complètement mon gland et, récoltant ma mouille, elle l’en enduisit faisant glisser ses doigts sur le pourtour de ma couronne. J’avais un mal fou à me contenir mais je m’obligeai à me détourner des sensations que je ressentais pour me concentrer et m’appliquer à lui caresser la vulve et l’entrée de son vagin. Sa respiration devenait plus lourde et elle cambra davantage son fessier. J’accentuai et accélérai alors mes mouvements. De sa chatte baveuse s’écoulait un mince filet de mouille que j’étalais par mes mouvements sur toute sa vulve qui, elle, s’était moelleusement gonflée sous l’effet de l’excitation. J’avais également une vue totalement dégagée sur son petit trou qui semblait me regarder et, donnait l’impression de respirer au même rythme que l’excitation. Cette douce couronne teintée semblait respirer au même rythme que l’état d’excitation et parfois s’entrouvrait laissant apparaître en son centre un trou noir dans lequel je m’imaginais y glisser ma raideur. Sa main relâcha son étreinte et quitta mon membre engorgé de sang. Elle roula sur le côté et se retrouva ainsi allongée sur le dos et, relevant ses cuisses et les écartant, elle me fit part de son envie d’être pénétrée en me susurrant :
- Glisse-moi ta queue dans la chatte…
Je ne pouvais refuser une telle invitation et, me relevant je me glissai entre ses cuisses et, tandis que mon gland venait buter sur sa vulve, elle me saisit la queue et frottant mon gland sur ses petites lèvres elle les entrouvrit tout poussant son bassin en avant elle s’introduisit alors ma queue dans son nid de jouissance. Je commençai des vas et viens tout en regardant ma queue qui se recouvrait de sa mouille baveuse et blanchâtre. D’une main elle câlinait le capuchon de son clito duquel émergeait son bouton d’amour rosé. Je devais me concentrer pour aller et venir en elle sans trop me précipiter ne voulant pas précipiter mon éjaculation. Elle me guidait dans son désir-plaisir et retirant ma queue de sa chatte, elle déposa mon gland baveux de mouille sur son clito tout en le maintenant pressé dessus et l’agitant de droite à gauche pour se branler son bouton d’amour. J’observais et profitais des sensations que cela me procurait quand soudain elle se cambra et secouée d’un spasme violent elle jouit en laissant s’échapper des giclées de mouille de sa chatte. J’avais déjà vu des éjaculations féminines mais seulement en vidéo et vivre cela en vrai, son jus éclaboussant mes organes génitaux fit que je ne pus me retenir bien longtemps tellement cette vision et sensation m’excita. Mon paquet couillu se resserra et mes couilles remontèrent se coller à la base de ma queue pour se vider en expulsant ses giclées de jouissance. Je giclai si fort que mon premier jet atterrit sur ses seins et puis, tandis que je me vidai et la pression diminuant, mes jets furent plus court et mes derniers écoulements se répandirent sur sa vulve en se mélangeant a son propre jus de jouissance. Nous étions tous deux à bout de souffle avec nos organes génitaux tout baveux de nos éjaculations réciproques. Il nous fallut quelques minutes pour pouvoir reprendre nos esprits et calmer les palpitations de jouissances. Agenouillé entre ses cuisses je regardais ma queue ramollie, mais encore gonflée, reposant sur sa vulve le tout lubrifié par le mélange de nos éjaculations. Une envie irrépressible me saisit et je reculai pour pouvoir ainsi abaisser mon visage entre ses cuisses, et me mettre à lécher notre mixité d’éjaculats, nettoyer sa vulve et me gorger de ces jus d’amours odorants. Cela du bien lui convenir car, lorsque j’en eu terminé, c’est elle qui s’asseyant sur le rebord du transat me fit comprendre par un geste de me mettre debout devant elle. S’approchant alors de mon bas ventre elle le lécha pour ensuite gober et sucer ma queue flasque et terminer en me léchant le paquet couillu.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien écrit et bandant, je vais guetter la suite
une suite semblait prévue, mais elle se fait attendre.... pourtant plein de choses sont à
découvrir avec tante si charmante, et libre!!
découvrir avec tante si charmante, et libre!!
Merci
Récit excellent et bandant
Récit excellent et bandant
Tres tres excitant
C'est vraiment excellent, avec l'excitation qui monte peu à peu... très bien écrit, bravo!