Vacances chez ma tante, 2ème partie
Récit érotique écrit par Swissbite18 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances chez ma tante, 2ème partie
Vacances chez ma tante, 2ème partie
Je me sentais sur un nuage après ce partage orgasmique et le fait que ce fut avec ma tante ne me troubla d’aucune façon. D’ailleurs visiblement cet échange corporel avait également semblé la satisfaire. Délaissant ma tante je retournai m’allonger sur mon transat et appréciai le calme après cette tempête de jouissances. Non seulement j’avais baisé, et quelle baise, avec une mature mais en plus c’était la sœur de ma mère. J’en ressentais une forte excitation et, bien que m’étant vidé les couilles, je ne tardai pas à ressentir un gonflement excitant s’emparer de ma queue. Le temps de reprendre nos esprits et ma tante me dit qu’il serait bon de prendre une douche revigorante que nous pourrions partager pour économiser de l’eau. Je ne pouvais refuser une telle proposition après ce que nous venions de partager et c’est d’un pas alerte que je la suivi dans la fraîcheur de la maison.
L’avantage de la salle de bain était qu’elle était construite pour être simplement pratique. Le sol étant totalement recouvert de carrelage et très légèrement en pente descendante depuis les murs jusqu’au centre de la pièce, l’évacuation d’eau se faisait ainsi par simple gravitation et il suffisait ensuite de passer un racloir de caoutchouc pour supprimer le film d’eau résiduel. Son invitation à partager une douche commune n’était pas innocente et dura bien plus longtemps que nécessaire. Laissant ainsi le temps à nos corps de se frotter l’un a l’autre, tout en laissant nos mains vagabondes se délecter de la découverte de nos courbes respectives.
La douche terminée il était temps de préparer le repas du soir, qui fut pris au jardin sous les rayons tièdes du soleil couchant. Nous n’avons presque pas échangé de paroles, j’étais sur mon petit nuage et je n’avais point envie d’en redescendre tout comme pour elle je le supposai. L’on passa une partie de la soirée devant un film diffusé à la TV. Et ce fût elle qui la première se retira dans sa chambre pour la nuit en me gratifiant d’un doux baiser sur les lèvres puis me murmurant dans l’oreille un souhait de doux rêves. Ponctuant sa phrase par le fait que ce serait le cas pour elle. J’eu du mal à trouver le sommeil cette nuit-là par la faute des images de notre baise et de ma queue qui ne faisait que durcir et se ramollir à intervalles réguliers.
Durant les jours suivants je continuai de passer mes journées en totale nudité et profitai de parfaire mon bronzage en étant attentif à ne plus me brûler. Je pris même l’habitude de jardiner nu avec pour unique accessoire une paire de baskets. Lorsque penché en avant, je désherbais entre les rangées de plantations, la sensation solaire s’insinuait jusque dans ma raie fessière et je ressentais la chaleur solaire titiller ma rondelle. Sensation étrange mais excitante. J’aurais bien voulu pouvoir m’observer dans cette position avec mon cul ainsi exposé à tout venant. Durant la semaine qui suivit, lorsque ma tante rentrait du travail il n’y eu rien de sexuel entre nous. Si ce n’est un jeu du chat et de la souris qu’elle ne laissait jamais aller plus loin qu’un érotisme affiché et assumé…
Pour la fin de semaine elle me fit part qu’elle avait prévu de retrouver ses amis naturistes et profiter de la plage et de la mer. Elle me posa donc la question de savoir si j’étais intéressé pour l’accompagner et faire connaissance avec ses amis. Qui d’ailleurs pour une partie d’entre eux étant parents viendraient accompagnés de leurs enfants ; certains étant dans ma tranche d’âge. Elle ne me faisait en aucun cas l’obligation de l’accompagner si cela me perturbait.
- Tu verras si tu viens que c’est moins problématique que tu ne le pense d’être nu en compagnie d’un groupe personnes. Le nombre fait sérieusement baisser l’excitation que l’on pourrait ressentir. Et en plus nous ne serons pas sur la plage publique nous irons dans une petite crique discrète prévue à cet effet et connue uniquement des naturistes de la région.
Je ne lui répondis pas dans l’immédiat ayant besoin de réfléchir à sa proposition. Tout en lui promettant de lui donner ma réponse au plus tard le vendredi.
Dans mes réflexions j’essayai de peser le pour et le contre. Faire du naturisme en privé et finalement très lié au sexe ne me semblait pas une approche correcte. Bien que me questionnant sur ce que pourrait être de me retrouver nu au milieu d’autres personnes, je devais au moins tenter une fois l’expérience ; expérience qui peut ’être ne se représenterait plus à l’avenir après mon retour de vacances. Je pris donc sur moi et l’informai le vendredi soir que je l’accompagnerais.
Le samedi matin après avoir déjeuné et préparé un pic-nic nous avons pris la direction de la crique. Celle –ci était assez éloignée du village et pour des raisons de discrétion tous les naturistes y venaient soit à pied, en bicyclette, ou mobylette. Une forêt de pins parsemée d’épais buissons faisait office de barrière naturelle et, pour toute personne n’ayant pas connaissance du lieu et le cheminement pour y accéder la crique était invisible. Ma tante m’expliqua que ce lieu existait déjà dans sa jeunesse et, qu’elle en avait découvert l’existence lors de l’été qui marquait la fin de sa scolarité.
Cet été là elle avait invité sa meilleure amie à passer quelques jours à la maison. Et celle-ci s’était involontairement trahie lorsqu’elle l’avait surprise nue un soir au moment où elle avait retiré son maillot de bain et, qu’elle avait constaté, qu’elle ne portait aucune trace du port dudit maillot de bain son corps étant entièrement bronzé… Son amie s’était affolée d’être ainsi découverte et lui avait demandé en pleurant de tenir cela secret. Ma tante lui avait donc fait cette promesse. Le soir venu dans la tranquillité de la chambre ma tante avait questionné son amie pour en apprendre davantage sur ce manque de marquage. Celle-ci lui avait alors avoué que dans sa famille la nudité n’était pas un tabou et que durant les périodes estivales ils vivaient pratiquement toujours nus dans leur maison et jardin. Et qu’ils se rendaient régulièrement dans cette crique pour des bains de mer et que mis à part eux il y avait encore un très petit nombre d’autres familles qui s’y retrouvaient. Ma tante n’avait pas trouvé cela choquant et, avait même osé demander à son amie si elle pourrait éventuellement y aller en sa compagnie? Son amie ne pouvait pas décider d’elle-même et devrait en faire la demande à ses propres parents. Ma tante insista toutefois sur le fait que ses parents à elle (mes grands-parents) ne devraient rien savoir de cela car ils n’avaient pas cette liberté d’esprit pour accepter la nudité. Son amie lui promis donc d’en faire la demande à ses parents.
Quelques jours plus tard son amie lui demanda de passer chez elle. C’est donc dans un état assez anxieux que ma tante se rendit en début d’après-midi chez son amie ne sachant pas qu’elle avait été la réaction et décision des parents de son amie. A son arrivée, la famille au grand complet l’accueillit, son amie, ses parents, ainsi que sa jeune sœur et son frère plus âgé. Ils s’installèrent au salon et les parents lui firent part de leur décision (familiale) et que, ils étaient prêts à lui faire entièrement confiance pour autant qu’elle jure de son côté de garder tout cela secret. Ma tante certifia donc qu’elle ne dévoilerait à personne cet aspect de leur vie. Alors pour sceller cet accord la famille de son amie l’invita tout comme eux, à retirer entièrement leurs habits, et ainsi de profiter en totale nudité du soleil extérieur. C’est toute rougissante et en leur tournant le dos que ma tante se dénuda entièrement et cela pour la première fois en compagnie d’autres personnes. Lorsqu’elle se retourna pour leur faire face elle se sentit encore plus mal à l’aise car elle seule portait les traces blanches laissées par le port du maillot de bain. Traces qui s’estompèrent rapidement suite à la fréquentation presque journalière du jardin naturiste de la famille de son amie.
- Voilà comment j’ai commencé ma vie naturiste et, en ce qui te concerne, tu auras ‘avantage d’avoir déjà un fond de teint complet pour ta 1ère journée dans un groupe naturiste. Et d’autre part je peux t’assurer que mes amis naturistes ne connaissent rien de notre petit secret à nous deux
Arrivés sur place il y avait déjà quelques personnes présentes. Il s’agissait de couples et de familles. Après avoir déposé nos bagages dans un coin ombragé ce fût avec une certaine appréhension que je retirai tous mes vêtements. J’avais l’impression que tous les regards se portaient sur moi… ce qui n’était pas totalement faux. Je me forçai à prendre un air détendu et prenant ma serviette de bain j’allai m’installer au soleil pour bouquiner tandis que ma tante partait papoter avec ses amis. Au début j’eu de la peine à me concentrer sur ma lecture ayant cette impression d’être observé puis, le temps passant je me séparai de cette sensation et me trouvai dans un état serein et heureusement détendu physiquement. J’avais cette crainte que mon pénis ne se redresse par un quelconque effet d’excitation. Heureusement ce ne fût pas véritablement le cas, tout au plus il gonfla mais tout en restant flasque. Le second stade à franchir fût de me lever et d’aller me baigner. Heureusement le cheminement ne fût pas trop long et la baignade rafraîchissante eu pour effet de réduire le volume de mon pénis et de mon paquet couillu. L’effet du chaud et froid sur les parties génitales m’étonneras toujours. Au sortir de l’eau ma tante me fit signe de la rejoindre et me présenta a ses amis. Une fois les présentations faites elle m’indiqua qu’il y avait dans un recoin de la crique un tuyau d’amené d’eau douce qui permettait de se débarrasser du sel marin mais à utiliser avec modération car la source d’eau à laquelle il était connecté n’avait pas un débit énorme.
La journée passant je me sentit de plus en plus à l’aise et fit encore connaissance avec quelques autres naturistes. Il y en avait de tout âge mais avec une majorité dans la tranche d’âge 30-40 ans. Ce n’est qu’en milieu d’après-midi que je vis arriver quelques jeunes dans ma tranche d’âge. Une constatation que je fis est que tous âges confondus, ils étaient pratiquement tous sans pilosité pubienne. J’étais un des rares avec ma tante à arborer du poil.
Un autre détail anatomique attira mon regard chez un garçon. C’était le fait qu’il soit circoncis. J’avais déjà vu cela en photo ou vidéo mais jamais en vrai. Dans quelques vidéos pornos j’avais pu observer des bites circoncises en érection et je trouvais cela « excitant – viril - cochon » de voir ainsi les courbes du gland totalement exposé et cette vision m’excitait bien que je n’avais aucun attrait spécifique envers les garçons. Pouvoir ainsi l’observer en vrai me procurait presque une excitation bien qu’il ne soit même pas en érection. Je fis vite connaissance avec les jeunes et passai le restant de l’aprèm entre baignades- lecture – discussions.
La journée se termina sur une dernière baignade avant de reprendre le chemin du retour. La soirée à la maison se passa en toute quiétude et je partageai mon ressenti de cette 1ère expérience communautaire de naturisme avec ma tante. Elle me fit part que le lendemain elle serait absente toute la journée et ne rentrerait que tardivement. Donc j’étais totalement libre de faire mon programme. Il fut vite fait… journée crique naturiste.
Le lendemain matin après le déjeuner je préparai mon pic-nic et enfourchant mon vélo pris la direction de la crique. Arrivé sur place il y avait déjà 2 couples présents dont 1 que j’avais rencontré le jour précédent. Je les saluai et m’installai pas très loin d’eux. Encore bien ombragée en matinée la crique profitait du courant d’air de brise marine. Je profitai de m’installer sous les branches d’un pin parasol ce qui me donnerait par la suite de l’ombre. Je profitai tout d’abord pour me mettre au soleil avant qu’il ne devienne trop brûlant. Le temps de me crémer le corps et je m’allongeai sur ma serviette. Au bout d’un certain temps j’avais cette sensation bizarre de me sentir observé. De manière naturelle je changeai de position et m’allongeant sur le côté je pouvais observer discrètement les deux couples, mon regard caché par la visière de ma casquette. Le couple que je connaissais avait l’air de totalement m’ignorer, tandis que l’autre couple portait régulièrement leurs regards sur moi. A un certain moment la femme s’installa face à moi sur le dos et repliant ses jambes elle m’offrit une vue imprenable sur son entrejambe… son homme lui était allongé sur le côté et je vis son pénis frémir et commencer à gonfler pour finalement s’exhiber en totale érection… A mon avis cette exhibition ne pouvait être le fruit du hasard et je me pris au jeu prenant soin de rester discret envers l’autre couple. Je ne tardai pas à me laisser aller et mon sexe commença à gonfler pour se retrouver lui aussi en totale érection. Ce petit jeu d’exhibition dura un petit moment et, certainement satisfait de m’avoir ainsi provoqué, tout cela se calma tranquillement et tout se remis en position repos. Un peu plus tard le couple se leva et parti se baigner. Au retour de leur baignade je fus gratifié d’un large sourire de la femme et d’un clin d’œil de son homme. Par la suite d’autres personnes vinrent, connues du jour d’avant ou nouvelles, et la journée se déroula agréablement. Je fis plus ample connaissance avec quelques jeunes du jour précédent dont le garçon circoncis qui était accompagné ce jour-là de sa sœur. Etant donné que ma tante ne rentrerait que tardivement j’avais prévu de rester tardivement pour profiter un max de la crique. Lors d’une discussion je fis part de ce fait au garçon et à sa sœur. Ils me firent part qu’ils aimeraient bien rester en ma compagnie si j’étais d’accord et pour autant que leurs parents leur donnent le leur. Cela ne m’embêtait pas du tout et comme ils habitaient proche de chez ma tante on rentrerait en groupe. L’accord des parents fut obtenu et ils s’organisèrent pour que le garçon rentre d’abord avec les parents avant de revenir avec le nécessaire pour leur repas du soir.
La fin d’après-midi approchant les gens commencèrent petit à petit à quitter la crique. Le garçon s’absenta le temps de faire l’aller-retour et lorsque qu’il revint le dernier couple quittait la crique.
Nous nous retrouvions donc tous les trois à pouvoir profiter pleinement de cette crique. On se défoula physiquement dans des jeux aquatiques et acrobatiques avant de se rincer à l’eau de source puis de rejoindre nos linges pour papoter tout en mangeant. Ce fut la fille qui a un certain moment me déconcerta par la franchise d’une question.
- Tu ne te rase pas les poils pubiens parce que tu trouves que ça fait trop gamin ?
Je lui répondis que cela n’avait rien à voir avec cette vision. Je me rasais sous les aisselles mais pas les poils pubiens car les rares fois où je l’avais fait (pour faire plaisir à une fille) je n’appréciais pas les démangeaisons et petits boutons dus à la repousse. Tout comme j’avais testé des crèmes dépilatoires mais avec pour résultat une allergie a celles-ci.
- Et tu n’as jamais essayé l’épilation ?
- Bein je n’ai jamais eu ce courage car ça ne doit pas être trop agréable de se faire arracher les poils. Et mis à part le pubis il y a encore plus sensible comme zone chez un garçon ; le petit paquetage au-dessous…
- Bein nous on est habitué depuis assez jeune à se faire épiler et cela a notre demande bien entendu. Quand on a commencé ça n’était pas trop fourni en poils et surtout bien plus fins que les tiens. Alors ce n’était pas trop douloureux et puis maintenant on le fait régulièrement sans attendre que ça repousse de trop. Alors ça picote juste un peu. Tu devrais au moins essayer une fois. Si tu veux je peux demander à maman ? Elle travaille dans un salon de beauté et fait beaucoup d’épilations, entre-autres pour nos amis naturistes.
- -Je sais pas trop je vais y réfléchir, et en plus je n’ai pas beaucoup d’argent alors ce n’est pas forcément possible.
- Pour ce qui est de l’argent je pense qu’elle serait d’accord de te faire un rabais, surtout si tu cries beaucoup quand elle arrachera.
Sa dernière remarque la fit rire à gorge déployée tout comme son frère. Moi un peu moins mais toutefois j’en ris aussi.
- Si je comprends bien c’est votre maman qui vous épile les parties intimes et ça ne vous dérange pas ?
- Bein pas plus que ça. On est habitué depuis tout petit à se voir nu en famille que ça n’a pas posé problème quand on lui a demandé. Sauf pour mon frère, ça le fait parfois bander quand elle le tripote pour l’épiler.
Et elle reparti dans un éclat de rire. Son frère sourit mais sans plus à sa remarque et ne sembla gêné par cette confidence.
Ayant fini de manger et tandis que le soleil déclinait doucement on s’allongea sur les linges pour apprécier la douceur de la soirée qui débutait. Tandis que nous étions allongés ; le garçon entre moi et sa sœur ; je ne pouvais m’empêcher de lancer de temps à autre un regard vers son pénis. Celui-ci me faisait face et reposait mollement détendu sur l’aine. L’ouverture de son urètre au centre de son gland me faisait l’impression d’un œil bridé qui me fixait. J’avais de la peine à en détacher mon regard et ce fut encore plus difficile lorsque je m’aperçus qu’il entrait en érection. Tandis que son érection progressait ; son pénis s’allongeant et se gonflant sous la pression sanguine ; se déplaça pour s’allonger sur son pubis imberbe et m’offrit ainsi une vue magnifique de son gland pulpeusement gorgé de sang qui palpitait sous les ondes de pression sanguine.
Je me régalais de cette vue excitament lubrique tandis que ma queue se mettait elle aussi à bander. Je n’avais en tête que l’envie irrésistible d’allonger mon bras et saisir entre mes doigts cette bite raidie pour la palper sous toutes les coutures. Sous toutes les coutures était le bon terme car, on voyait clairement le marquage des points de couture sur cette frontière de coloration différenciée entre la peau extérieure et celle intérieure mise à jour par la circoncision et qui était plus pâle. J’en bandais tellement fort que du jus de lubrification s’échappait de ma bite en feu. Je restais ainsi sous hypnose de sa queue un bon moment avant que mon excitation ne se relâche et que ma queue débande pour se mettre en mode gonflé mais mi molle. Je me relevai ainsi avec ma virilité gonflée bien apparente pour aller me rafraîchir dans la mer.
M’étant redressé je perçus un mouvement et jetant un coup d’œil sur le côté je vis que la sœur se relevait elle aussi.
- Attends, je viens me rafraîchir avec toi.
Le frère lui restait toujours allongé les yeux fermés et la bite en érection. Sa sœur ne se gêna pas, tout en se relevant de poser un regard insistant sur l’attribut érigé de son frère.
- Tu vois il n’y a pas que l’épilation qui le fait bander. Et elle me gratifia d’un large sourire tout en dirigeant son regard vers mon entrejambe gonflé.
Tu es une idiote lui répondit son frère ; sans pour autant esquisser le moindre mouvement pour cacher son état.
Elle me rejoignit et on alla tranquillement se rafraîchir. A la sortie du bain on alla se rincer à la fraîcheur de l’eau de source. Pour profiter de cette douche de fraîcheur nous sommes allés nous promener le long de la plage les corps encore ruisselants.
- Tu parles et tu commente toujours aussi franchement ? Ton frère ne se vexe ou fâche jamais quand tu fais certaines allusions ?
- Ça lui arrivait de se vexer au début mais il a compris que c’est juste pour l’embêter et d’ailleurs lui aussi maintenant ne se prive pas parfois de faire certaines remarques allusives sur ma féminité. C’est un peu le jeu du chat et de la souris.
- Mais mis à part les remarques que tu lui fais ça te gêne pas de le voir bander ? J’ai même eu l’impression que cela semble te plaire de le voir dans cette situation ?
- Pour te répondre franchement, ce n’est pas parce que c’est mon frère que ça me dérange de le voir avec la bite toute raide. Pour moi voir sa bite molle ou dure se limite à ce qu’elle est et je la dissocie du fait que c’est celle de mon frère. A mon tour de te poser une autre question.
- Tout a l’heure quand nous étions allongé j’ai vu que tu observais intensément la bite de mon frère et que tu as bien durement bandé toi aussi en le mâtant ; tu es gay ?
- Pour te répondre avec franchise je ne suis apparemment pas gay. Jusqu’à maintenant je n’ai eu des rapports qu’avec des filles et ce sont les filles qui m’excitent. Mais je te cache que le détail de la circoncision m’excite.
Et je lui expliquai quel effet la vue d’une bite circoncise me faisait.
- Alors me voilà un peu rassurée sur le sujet. Je trouvais dommage à ce que j’en ai vu que les filles ne puissent pas profiter de ta grosse bite.
Sur cette remarque elle abaissa sans fausse pudeur son regard sur mon entrejambe.
- D’ailleurs à ce que je peux observer en ce moment ta grosse bite indique fièrement la direction du vent.
Elle n’avait pas tort car durant cet échange verbal, ma queue s’était à nouveau raidie d’excitation sur ces quelques confidences échangées. Baissant mon regard je constatai qu’elle aussi devait ressentir une certaine excitation au vu de ses mamelons fièrement érigés au centre de ses aréoles. Ses seins n’étaient pas imposants mais bien fermes. Notre marche nous avait emmenés à l’extrémité de la crique ou il y avait quelques rochers posés sur la plage. Je me rapprochai d’elle et tandis que je penchai ma tête elle relava la sienne et nos lèvres se rencontrèrent. Plus bas je senti ma queue venir buter sur son ventre lisse. Je glissai mes mains sur ses seins et commençai à titiller ses mamelons tendus par l’excitation. Je senti sa main glisser sur mon bas ventre et ses doigts encercler la base de ma bite pour ensuite glisser tel un anneau jusqu’au bout de celle-ci avant de revenir en arrière et décalotter mon gland sur lequel ses doigts vinrent titiller mon excitation et en recueillir la mouille qui en sortait. De mon côté j’avais laissé glisser une main jusqu’à sa vulve et je la trouvai voluptueusement gonflée et lui écartant les lèvres je pus constater son état d’excitation car elle aussi mouillait bien fortement. On se câlina ainsi un bon moment, elle jouant avec mon gland et moi lui caressant le clito et glissant mes doigts dans sa chatte baveuse… A un certain moment elle lâcha sa prise sur mon membre et me tourna le dos. Prenant appui de ses mains sur un rocher elle se cambra et m’offrit ainsi son fessier tendu au centre duquel s’exposait sa vulve baveuse d’excitation ainsi que son p’ti trou du cul tout lisse et rose. Je me rapprochai et saisissant ma queue d’une main j’appliquai mon gland sur l’entrée de sa vulve et commençai à l’aide celui-ci à la caresser en lui écartant les lèvres. Son p’ti cul tendu frétillait d’excitation et je ne tardai pas à insister la pression sur l’entrée de sa vulve. Ses lèvres s’écartèrent et laissèrent mon gland pénétrer sa petite chatte. Je n’arrêtai pas le mouvement et lentement mais sûrement j’insérai toute ma bite dans sa chatte ne m’arrêtant que lorsque mon pubis buta sur son fessier tendu. Heureusement que la p’tite coquine mouillait fort car ma queue était bien à l’étroit dans sa p’tite chatte ; elle n’avait pas dû en voir passer énormément depuis ses débuts. La p’tite coquine mouillait fort et commença rapidement à gémir lorsque j’entrepris mes allers-retours. Je la saisis par les hanches et augmentai le rythme et la pression de mes coups de reins. Je la travaillai ainsi pendant un bon moment et elle appréciait ma vigueur car ses gémissements se transformèrent rapidement en couinement de p’tite cochonne tandis que mon bas ventre faisait claquer son fessier sur lequel il venait buter à chaque coup de reins. D’un coup je senti son fessier se raidir et sa vulve se contracter autour de ma bite me faisant comprendre qu’elle avait un orgasme. Son p’ti cul vibra sous les ondes de plaisir de sa jouissance tandis que je restai immobile ma bite plantée au plus profond de sa chatte. Petit à petit elle se détendit a nouveau et je repris mes coups de reins. Je relâchai ma prise sur ses hanches et tandis que je la labourai je commençai à lui caresser le fessier au centre duquel palpitait son p’ti trou légèrement ouvert, c’est comme s’il me regardait pulsant en rythme. Je laissai donc s’écouler un filet de salive sur sa p’tite rondelle toute rose et la lui caressai, pour finalement lui glisser un doigt dedans. La réaction à cet envahisseur fût plutôt un râle d’approbation qui ne tarda à se confirmer à mes oreilles.
- Tu es un cochon mais j’aime ça. Continue de ramoner la moule avec ta grosse queue et me doigter mon p’ti cul de cochonne !!!
- T’aime ça la bite !!! Et tu es encore serrée comme une pucelle !!!
Je lui ramonai avec ardeur sa moule de cochonne, et quand je fût prêt à exploser, je retirai au dernier moment ma bite de sa moule poisseuse et mon doigt de son cul pour lui envoyer mes giclées de sperme sur le dos et le cul. Il me fallut un petit moment pour redescendre sur terre et reprendre mes esprits, tout comme elle d’ailleurs. Ayant relâché tout mon jus et ma tension je restai collé à elle, ma bite poisseuse reposant sur son cul et donnant l’impression qu’un pinceau de peintre avait tracé des giclures blanchâtres sur une toile vierge. Je repris encore plus totalement mes esprits lorsque je vis atterrir de nouvelle giclures !!! Je tournai vivement la tête dans la direction de leur provenance et je vis son frère terminer de s’astiquer la trique et envoyer sa découille !!!
A bientôt pour la suite.
Je me sentais sur un nuage après ce partage orgasmique et le fait que ce fut avec ma tante ne me troubla d’aucune façon. D’ailleurs visiblement cet échange corporel avait également semblé la satisfaire. Délaissant ma tante je retournai m’allonger sur mon transat et appréciai le calme après cette tempête de jouissances. Non seulement j’avais baisé, et quelle baise, avec une mature mais en plus c’était la sœur de ma mère. J’en ressentais une forte excitation et, bien que m’étant vidé les couilles, je ne tardai pas à ressentir un gonflement excitant s’emparer de ma queue. Le temps de reprendre nos esprits et ma tante me dit qu’il serait bon de prendre une douche revigorante que nous pourrions partager pour économiser de l’eau. Je ne pouvais refuser une telle proposition après ce que nous venions de partager et c’est d’un pas alerte que je la suivi dans la fraîcheur de la maison.
L’avantage de la salle de bain était qu’elle était construite pour être simplement pratique. Le sol étant totalement recouvert de carrelage et très légèrement en pente descendante depuis les murs jusqu’au centre de la pièce, l’évacuation d’eau se faisait ainsi par simple gravitation et il suffisait ensuite de passer un racloir de caoutchouc pour supprimer le film d’eau résiduel. Son invitation à partager une douche commune n’était pas innocente et dura bien plus longtemps que nécessaire. Laissant ainsi le temps à nos corps de se frotter l’un a l’autre, tout en laissant nos mains vagabondes se délecter de la découverte de nos courbes respectives.
La douche terminée il était temps de préparer le repas du soir, qui fut pris au jardin sous les rayons tièdes du soleil couchant. Nous n’avons presque pas échangé de paroles, j’étais sur mon petit nuage et je n’avais point envie d’en redescendre tout comme pour elle je le supposai. L’on passa une partie de la soirée devant un film diffusé à la TV. Et ce fût elle qui la première se retira dans sa chambre pour la nuit en me gratifiant d’un doux baiser sur les lèvres puis me murmurant dans l’oreille un souhait de doux rêves. Ponctuant sa phrase par le fait que ce serait le cas pour elle. J’eu du mal à trouver le sommeil cette nuit-là par la faute des images de notre baise et de ma queue qui ne faisait que durcir et se ramollir à intervalles réguliers.
Durant les jours suivants je continuai de passer mes journées en totale nudité et profitai de parfaire mon bronzage en étant attentif à ne plus me brûler. Je pris même l’habitude de jardiner nu avec pour unique accessoire une paire de baskets. Lorsque penché en avant, je désherbais entre les rangées de plantations, la sensation solaire s’insinuait jusque dans ma raie fessière et je ressentais la chaleur solaire titiller ma rondelle. Sensation étrange mais excitante. J’aurais bien voulu pouvoir m’observer dans cette position avec mon cul ainsi exposé à tout venant. Durant la semaine qui suivit, lorsque ma tante rentrait du travail il n’y eu rien de sexuel entre nous. Si ce n’est un jeu du chat et de la souris qu’elle ne laissait jamais aller plus loin qu’un érotisme affiché et assumé…
Pour la fin de semaine elle me fit part qu’elle avait prévu de retrouver ses amis naturistes et profiter de la plage et de la mer. Elle me posa donc la question de savoir si j’étais intéressé pour l’accompagner et faire connaissance avec ses amis. Qui d’ailleurs pour une partie d’entre eux étant parents viendraient accompagnés de leurs enfants ; certains étant dans ma tranche d’âge. Elle ne me faisait en aucun cas l’obligation de l’accompagner si cela me perturbait.
- Tu verras si tu viens que c’est moins problématique que tu ne le pense d’être nu en compagnie d’un groupe personnes. Le nombre fait sérieusement baisser l’excitation que l’on pourrait ressentir. Et en plus nous ne serons pas sur la plage publique nous irons dans une petite crique discrète prévue à cet effet et connue uniquement des naturistes de la région.
Je ne lui répondis pas dans l’immédiat ayant besoin de réfléchir à sa proposition. Tout en lui promettant de lui donner ma réponse au plus tard le vendredi.
Dans mes réflexions j’essayai de peser le pour et le contre. Faire du naturisme en privé et finalement très lié au sexe ne me semblait pas une approche correcte. Bien que me questionnant sur ce que pourrait être de me retrouver nu au milieu d’autres personnes, je devais au moins tenter une fois l’expérience ; expérience qui peut ’être ne se représenterait plus à l’avenir après mon retour de vacances. Je pris donc sur moi et l’informai le vendredi soir que je l’accompagnerais.
Le samedi matin après avoir déjeuné et préparé un pic-nic nous avons pris la direction de la crique. Celle –ci était assez éloignée du village et pour des raisons de discrétion tous les naturistes y venaient soit à pied, en bicyclette, ou mobylette. Une forêt de pins parsemée d’épais buissons faisait office de barrière naturelle et, pour toute personne n’ayant pas connaissance du lieu et le cheminement pour y accéder la crique était invisible. Ma tante m’expliqua que ce lieu existait déjà dans sa jeunesse et, qu’elle en avait découvert l’existence lors de l’été qui marquait la fin de sa scolarité.
Cet été là elle avait invité sa meilleure amie à passer quelques jours à la maison. Et celle-ci s’était involontairement trahie lorsqu’elle l’avait surprise nue un soir au moment où elle avait retiré son maillot de bain et, qu’elle avait constaté, qu’elle ne portait aucune trace du port dudit maillot de bain son corps étant entièrement bronzé… Son amie s’était affolée d’être ainsi découverte et lui avait demandé en pleurant de tenir cela secret. Ma tante lui avait donc fait cette promesse. Le soir venu dans la tranquillité de la chambre ma tante avait questionné son amie pour en apprendre davantage sur ce manque de marquage. Celle-ci lui avait alors avoué que dans sa famille la nudité n’était pas un tabou et que durant les périodes estivales ils vivaient pratiquement toujours nus dans leur maison et jardin. Et qu’ils se rendaient régulièrement dans cette crique pour des bains de mer et que mis à part eux il y avait encore un très petit nombre d’autres familles qui s’y retrouvaient. Ma tante n’avait pas trouvé cela choquant et, avait même osé demander à son amie si elle pourrait éventuellement y aller en sa compagnie? Son amie ne pouvait pas décider d’elle-même et devrait en faire la demande à ses propres parents. Ma tante insista toutefois sur le fait que ses parents à elle (mes grands-parents) ne devraient rien savoir de cela car ils n’avaient pas cette liberté d’esprit pour accepter la nudité. Son amie lui promis donc d’en faire la demande à ses parents.
Quelques jours plus tard son amie lui demanda de passer chez elle. C’est donc dans un état assez anxieux que ma tante se rendit en début d’après-midi chez son amie ne sachant pas qu’elle avait été la réaction et décision des parents de son amie. A son arrivée, la famille au grand complet l’accueillit, son amie, ses parents, ainsi que sa jeune sœur et son frère plus âgé. Ils s’installèrent au salon et les parents lui firent part de leur décision (familiale) et que, ils étaient prêts à lui faire entièrement confiance pour autant qu’elle jure de son côté de garder tout cela secret. Ma tante certifia donc qu’elle ne dévoilerait à personne cet aspect de leur vie. Alors pour sceller cet accord la famille de son amie l’invita tout comme eux, à retirer entièrement leurs habits, et ainsi de profiter en totale nudité du soleil extérieur. C’est toute rougissante et en leur tournant le dos que ma tante se dénuda entièrement et cela pour la première fois en compagnie d’autres personnes. Lorsqu’elle se retourna pour leur faire face elle se sentit encore plus mal à l’aise car elle seule portait les traces blanches laissées par le port du maillot de bain. Traces qui s’estompèrent rapidement suite à la fréquentation presque journalière du jardin naturiste de la famille de son amie.
- Voilà comment j’ai commencé ma vie naturiste et, en ce qui te concerne, tu auras ‘avantage d’avoir déjà un fond de teint complet pour ta 1ère journée dans un groupe naturiste. Et d’autre part je peux t’assurer que mes amis naturistes ne connaissent rien de notre petit secret à nous deux
Arrivés sur place il y avait déjà quelques personnes présentes. Il s’agissait de couples et de familles. Après avoir déposé nos bagages dans un coin ombragé ce fût avec une certaine appréhension que je retirai tous mes vêtements. J’avais l’impression que tous les regards se portaient sur moi… ce qui n’était pas totalement faux. Je me forçai à prendre un air détendu et prenant ma serviette de bain j’allai m’installer au soleil pour bouquiner tandis que ma tante partait papoter avec ses amis. Au début j’eu de la peine à me concentrer sur ma lecture ayant cette impression d’être observé puis, le temps passant je me séparai de cette sensation et me trouvai dans un état serein et heureusement détendu physiquement. J’avais cette crainte que mon pénis ne se redresse par un quelconque effet d’excitation. Heureusement ce ne fût pas véritablement le cas, tout au plus il gonfla mais tout en restant flasque. Le second stade à franchir fût de me lever et d’aller me baigner. Heureusement le cheminement ne fût pas trop long et la baignade rafraîchissante eu pour effet de réduire le volume de mon pénis et de mon paquet couillu. L’effet du chaud et froid sur les parties génitales m’étonneras toujours. Au sortir de l’eau ma tante me fit signe de la rejoindre et me présenta a ses amis. Une fois les présentations faites elle m’indiqua qu’il y avait dans un recoin de la crique un tuyau d’amené d’eau douce qui permettait de se débarrasser du sel marin mais à utiliser avec modération car la source d’eau à laquelle il était connecté n’avait pas un débit énorme.
La journée passant je me sentit de plus en plus à l’aise et fit encore connaissance avec quelques autres naturistes. Il y en avait de tout âge mais avec une majorité dans la tranche d’âge 30-40 ans. Ce n’est qu’en milieu d’après-midi que je vis arriver quelques jeunes dans ma tranche d’âge. Une constatation que je fis est que tous âges confondus, ils étaient pratiquement tous sans pilosité pubienne. J’étais un des rares avec ma tante à arborer du poil.
Un autre détail anatomique attira mon regard chez un garçon. C’était le fait qu’il soit circoncis. J’avais déjà vu cela en photo ou vidéo mais jamais en vrai. Dans quelques vidéos pornos j’avais pu observer des bites circoncises en érection et je trouvais cela « excitant – viril - cochon » de voir ainsi les courbes du gland totalement exposé et cette vision m’excitait bien que je n’avais aucun attrait spécifique envers les garçons. Pouvoir ainsi l’observer en vrai me procurait presque une excitation bien qu’il ne soit même pas en érection. Je fis vite connaissance avec les jeunes et passai le restant de l’aprèm entre baignades- lecture – discussions.
La journée se termina sur une dernière baignade avant de reprendre le chemin du retour. La soirée à la maison se passa en toute quiétude et je partageai mon ressenti de cette 1ère expérience communautaire de naturisme avec ma tante. Elle me fit part que le lendemain elle serait absente toute la journée et ne rentrerait que tardivement. Donc j’étais totalement libre de faire mon programme. Il fut vite fait… journée crique naturiste.
Le lendemain matin après le déjeuner je préparai mon pic-nic et enfourchant mon vélo pris la direction de la crique. Arrivé sur place il y avait déjà 2 couples présents dont 1 que j’avais rencontré le jour précédent. Je les saluai et m’installai pas très loin d’eux. Encore bien ombragée en matinée la crique profitait du courant d’air de brise marine. Je profitai de m’installer sous les branches d’un pin parasol ce qui me donnerait par la suite de l’ombre. Je profitai tout d’abord pour me mettre au soleil avant qu’il ne devienne trop brûlant. Le temps de me crémer le corps et je m’allongeai sur ma serviette. Au bout d’un certain temps j’avais cette sensation bizarre de me sentir observé. De manière naturelle je changeai de position et m’allongeant sur le côté je pouvais observer discrètement les deux couples, mon regard caché par la visière de ma casquette. Le couple que je connaissais avait l’air de totalement m’ignorer, tandis que l’autre couple portait régulièrement leurs regards sur moi. A un certain moment la femme s’installa face à moi sur le dos et repliant ses jambes elle m’offrit une vue imprenable sur son entrejambe… son homme lui était allongé sur le côté et je vis son pénis frémir et commencer à gonfler pour finalement s’exhiber en totale érection… A mon avis cette exhibition ne pouvait être le fruit du hasard et je me pris au jeu prenant soin de rester discret envers l’autre couple. Je ne tardai pas à me laisser aller et mon sexe commença à gonfler pour se retrouver lui aussi en totale érection. Ce petit jeu d’exhibition dura un petit moment et, certainement satisfait de m’avoir ainsi provoqué, tout cela se calma tranquillement et tout se remis en position repos. Un peu plus tard le couple se leva et parti se baigner. Au retour de leur baignade je fus gratifié d’un large sourire de la femme et d’un clin d’œil de son homme. Par la suite d’autres personnes vinrent, connues du jour d’avant ou nouvelles, et la journée se déroula agréablement. Je fis plus ample connaissance avec quelques jeunes du jour précédent dont le garçon circoncis qui était accompagné ce jour-là de sa sœur. Etant donné que ma tante ne rentrerait que tardivement j’avais prévu de rester tardivement pour profiter un max de la crique. Lors d’une discussion je fis part de ce fait au garçon et à sa sœur. Ils me firent part qu’ils aimeraient bien rester en ma compagnie si j’étais d’accord et pour autant que leurs parents leur donnent le leur. Cela ne m’embêtait pas du tout et comme ils habitaient proche de chez ma tante on rentrerait en groupe. L’accord des parents fut obtenu et ils s’organisèrent pour que le garçon rentre d’abord avec les parents avant de revenir avec le nécessaire pour leur repas du soir.
La fin d’après-midi approchant les gens commencèrent petit à petit à quitter la crique. Le garçon s’absenta le temps de faire l’aller-retour et lorsque qu’il revint le dernier couple quittait la crique.
Nous nous retrouvions donc tous les trois à pouvoir profiter pleinement de cette crique. On se défoula physiquement dans des jeux aquatiques et acrobatiques avant de se rincer à l’eau de source puis de rejoindre nos linges pour papoter tout en mangeant. Ce fut la fille qui a un certain moment me déconcerta par la franchise d’une question.
- Tu ne te rase pas les poils pubiens parce que tu trouves que ça fait trop gamin ?
Je lui répondis que cela n’avait rien à voir avec cette vision. Je me rasais sous les aisselles mais pas les poils pubiens car les rares fois où je l’avais fait (pour faire plaisir à une fille) je n’appréciais pas les démangeaisons et petits boutons dus à la repousse. Tout comme j’avais testé des crèmes dépilatoires mais avec pour résultat une allergie a celles-ci.
- Et tu n’as jamais essayé l’épilation ?
- Bein je n’ai jamais eu ce courage car ça ne doit pas être trop agréable de se faire arracher les poils. Et mis à part le pubis il y a encore plus sensible comme zone chez un garçon ; le petit paquetage au-dessous…
- Bein nous on est habitué depuis assez jeune à se faire épiler et cela a notre demande bien entendu. Quand on a commencé ça n’était pas trop fourni en poils et surtout bien plus fins que les tiens. Alors ce n’était pas trop douloureux et puis maintenant on le fait régulièrement sans attendre que ça repousse de trop. Alors ça picote juste un peu. Tu devrais au moins essayer une fois. Si tu veux je peux demander à maman ? Elle travaille dans un salon de beauté et fait beaucoup d’épilations, entre-autres pour nos amis naturistes.
- -Je sais pas trop je vais y réfléchir, et en plus je n’ai pas beaucoup d’argent alors ce n’est pas forcément possible.
- Pour ce qui est de l’argent je pense qu’elle serait d’accord de te faire un rabais, surtout si tu cries beaucoup quand elle arrachera.
Sa dernière remarque la fit rire à gorge déployée tout comme son frère. Moi un peu moins mais toutefois j’en ris aussi.
- Si je comprends bien c’est votre maman qui vous épile les parties intimes et ça ne vous dérange pas ?
- Bein pas plus que ça. On est habitué depuis tout petit à se voir nu en famille que ça n’a pas posé problème quand on lui a demandé. Sauf pour mon frère, ça le fait parfois bander quand elle le tripote pour l’épiler.
Et elle reparti dans un éclat de rire. Son frère sourit mais sans plus à sa remarque et ne sembla gêné par cette confidence.
Ayant fini de manger et tandis que le soleil déclinait doucement on s’allongea sur les linges pour apprécier la douceur de la soirée qui débutait. Tandis que nous étions allongés ; le garçon entre moi et sa sœur ; je ne pouvais m’empêcher de lancer de temps à autre un regard vers son pénis. Celui-ci me faisait face et reposait mollement détendu sur l’aine. L’ouverture de son urètre au centre de son gland me faisait l’impression d’un œil bridé qui me fixait. J’avais de la peine à en détacher mon regard et ce fut encore plus difficile lorsque je m’aperçus qu’il entrait en érection. Tandis que son érection progressait ; son pénis s’allongeant et se gonflant sous la pression sanguine ; se déplaça pour s’allonger sur son pubis imberbe et m’offrit ainsi une vue magnifique de son gland pulpeusement gorgé de sang qui palpitait sous les ondes de pression sanguine.
Je me régalais de cette vue excitament lubrique tandis que ma queue se mettait elle aussi à bander. Je n’avais en tête que l’envie irrésistible d’allonger mon bras et saisir entre mes doigts cette bite raidie pour la palper sous toutes les coutures. Sous toutes les coutures était le bon terme car, on voyait clairement le marquage des points de couture sur cette frontière de coloration différenciée entre la peau extérieure et celle intérieure mise à jour par la circoncision et qui était plus pâle. J’en bandais tellement fort que du jus de lubrification s’échappait de ma bite en feu. Je restais ainsi sous hypnose de sa queue un bon moment avant que mon excitation ne se relâche et que ma queue débande pour se mettre en mode gonflé mais mi molle. Je me relevai ainsi avec ma virilité gonflée bien apparente pour aller me rafraîchir dans la mer.
M’étant redressé je perçus un mouvement et jetant un coup d’œil sur le côté je vis que la sœur se relevait elle aussi.
- Attends, je viens me rafraîchir avec toi.
Le frère lui restait toujours allongé les yeux fermés et la bite en érection. Sa sœur ne se gêna pas, tout en se relevant de poser un regard insistant sur l’attribut érigé de son frère.
- Tu vois il n’y a pas que l’épilation qui le fait bander. Et elle me gratifia d’un large sourire tout en dirigeant son regard vers mon entrejambe gonflé.
Tu es une idiote lui répondit son frère ; sans pour autant esquisser le moindre mouvement pour cacher son état.
Elle me rejoignit et on alla tranquillement se rafraîchir. A la sortie du bain on alla se rincer à la fraîcheur de l’eau de source. Pour profiter de cette douche de fraîcheur nous sommes allés nous promener le long de la plage les corps encore ruisselants.
- Tu parles et tu commente toujours aussi franchement ? Ton frère ne se vexe ou fâche jamais quand tu fais certaines allusions ?
- Ça lui arrivait de se vexer au début mais il a compris que c’est juste pour l’embêter et d’ailleurs lui aussi maintenant ne se prive pas parfois de faire certaines remarques allusives sur ma féminité. C’est un peu le jeu du chat et de la souris.
- Mais mis à part les remarques que tu lui fais ça te gêne pas de le voir bander ? J’ai même eu l’impression que cela semble te plaire de le voir dans cette situation ?
- Pour te répondre franchement, ce n’est pas parce que c’est mon frère que ça me dérange de le voir avec la bite toute raide. Pour moi voir sa bite molle ou dure se limite à ce qu’elle est et je la dissocie du fait que c’est celle de mon frère. A mon tour de te poser une autre question.
- Tout a l’heure quand nous étions allongé j’ai vu que tu observais intensément la bite de mon frère et que tu as bien durement bandé toi aussi en le mâtant ; tu es gay ?
- Pour te répondre avec franchise je ne suis apparemment pas gay. Jusqu’à maintenant je n’ai eu des rapports qu’avec des filles et ce sont les filles qui m’excitent. Mais je te cache que le détail de la circoncision m’excite.
Et je lui expliquai quel effet la vue d’une bite circoncise me faisait.
- Alors me voilà un peu rassurée sur le sujet. Je trouvais dommage à ce que j’en ai vu que les filles ne puissent pas profiter de ta grosse bite.
Sur cette remarque elle abaissa sans fausse pudeur son regard sur mon entrejambe.
- D’ailleurs à ce que je peux observer en ce moment ta grosse bite indique fièrement la direction du vent.
Elle n’avait pas tort car durant cet échange verbal, ma queue s’était à nouveau raidie d’excitation sur ces quelques confidences échangées. Baissant mon regard je constatai qu’elle aussi devait ressentir une certaine excitation au vu de ses mamelons fièrement érigés au centre de ses aréoles. Ses seins n’étaient pas imposants mais bien fermes. Notre marche nous avait emmenés à l’extrémité de la crique ou il y avait quelques rochers posés sur la plage. Je me rapprochai d’elle et tandis que je penchai ma tête elle relava la sienne et nos lèvres se rencontrèrent. Plus bas je senti ma queue venir buter sur son ventre lisse. Je glissai mes mains sur ses seins et commençai à titiller ses mamelons tendus par l’excitation. Je senti sa main glisser sur mon bas ventre et ses doigts encercler la base de ma bite pour ensuite glisser tel un anneau jusqu’au bout de celle-ci avant de revenir en arrière et décalotter mon gland sur lequel ses doigts vinrent titiller mon excitation et en recueillir la mouille qui en sortait. De mon côté j’avais laissé glisser une main jusqu’à sa vulve et je la trouvai voluptueusement gonflée et lui écartant les lèvres je pus constater son état d’excitation car elle aussi mouillait bien fortement. On se câlina ainsi un bon moment, elle jouant avec mon gland et moi lui caressant le clito et glissant mes doigts dans sa chatte baveuse… A un certain moment elle lâcha sa prise sur mon membre et me tourna le dos. Prenant appui de ses mains sur un rocher elle se cambra et m’offrit ainsi son fessier tendu au centre duquel s’exposait sa vulve baveuse d’excitation ainsi que son p’ti trou du cul tout lisse et rose. Je me rapprochai et saisissant ma queue d’une main j’appliquai mon gland sur l’entrée de sa vulve et commençai à l’aide celui-ci à la caresser en lui écartant les lèvres. Son p’ti cul tendu frétillait d’excitation et je ne tardai pas à insister la pression sur l’entrée de sa vulve. Ses lèvres s’écartèrent et laissèrent mon gland pénétrer sa petite chatte. Je n’arrêtai pas le mouvement et lentement mais sûrement j’insérai toute ma bite dans sa chatte ne m’arrêtant que lorsque mon pubis buta sur son fessier tendu. Heureusement que la p’tite coquine mouillait fort car ma queue était bien à l’étroit dans sa p’tite chatte ; elle n’avait pas dû en voir passer énormément depuis ses débuts. La p’tite coquine mouillait fort et commença rapidement à gémir lorsque j’entrepris mes allers-retours. Je la saisis par les hanches et augmentai le rythme et la pression de mes coups de reins. Je la travaillai ainsi pendant un bon moment et elle appréciait ma vigueur car ses gémissements se transformèrent rapidement en couinement de p’tite cochonne tandis que mon bas ventre faisait claquer son fessier sur lequel il venait buter à chaque coup de reins. D’un coup je senti son fessier se raidir et sa vulve se contracter autour de ma bite me faisant comprendre qu’elle avait un orgasme. Son p’ti cul vibra sous les ondes de plaisir de sa jouissance tandis que je restai immobile ma bite plantée au plus profond de sa chatte. Petit à petit elle se détendit a nouveau et je repris mes coups de reins. Je relâchai ma prise sur ses hanches et tandis que je la labourai je commençai à lui caresser le fessier au centre duquel palpitait son p’ti trou légèrement ouvert, c’est comme s’il me regardait pulsant en rythme. Je laissai donc s’écouler un filet de salive sur sa p’tite rondelle toute rose et la lui caressai, pour finalement lui glisser un doigt dedans. La réaction à cet envahisseur fût plutôt un râle d’approbation qui ne tarda à se confirmer à mes oreilles.
- Tu es un cochon mais j’aime ça. Continue de ramoner la moule avec ta grosse queue et me doigter mon p’ti cul de cochonne !!!
- T’aime ça la bite !!! Et tu es encore serrée comme une pucelle !!!
Je lui ramonai avec ardeur sa moule de cochonne, et quand je fût prêt à exploser, je retirai au dernier moment ma bite de sa moule poisseuse et mon doigt de son cul pour lui envoyer mes giclées de sperme sur le dos et le cul. Il me fallut un petit moment pour redescendre sur terre et reprendre mes esprits, tout comme elle d’ailleurs. Ayant relâché tout mon jus et ma tension je restai collé à elle, ma bite poisseuse reposant sur son cul et donnant l’impression qu’un pinceau de peintre avait tracé des giclures blanchâtres sur une toile vierge. Je repris encore plus totalement mes esprits lorsque je vis atterrir de nouvelle giclures !!! Je tournai vivement la tête dans la direction de leur provenance et je vis son frère terminer de s’astiquer la trique et envoyer sa découille !!!
A bientôt pour la suite.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très belle histoire , vivement la suite
Toujours aussi bon , a quand la suite ?
Très presse de retrouver sa tante
Très presse de retrouver sa tante