Vacances chez tata
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vacances chez tata
Léa passait deux semaines de vacances chez son oncle et sa tante. Cette dernière était la sœur de la mère de la jeune fille qui venait de fêter ses 19 ans. Sa tante, Laura était la cadette de sa fratrie et avait dix ans d’écart avec la mère de Léa. Aussi, Laura n’avait qu’à peine quinze ans de plus que sa nièce. Quant à Romain, son mari, il avait à peine quarante ans.
Laura était une femme blonde, dynamique, plutôt extravertie. Physiquement, elle se trouvait plutôt quelconque, bien que son mari ne cesse de lui répéter qu’était belle. Romain, de son côté était plutôt réservé, ne parlant qu’à bon escient. Il était de taille moyenne, châtain, avec quelques rondeurs autour de la taille.
Un soir, tandis qu’ils étaient tous couchés depuis quelques temps, Léa redescendit dans la cuisine pour aller boire une verre d’eau. Elle passa non loin de la chambre de son oncle et de sa tante et entendit des bruits s’en échapper. Elle se figea puis se rapprocha de la porte pour écouter.
« Ca ne fait pas de doute, ils baisent ! », pensa-t-elle.
Alors qu’elle aurait dû s’éloigner pour les laisser tranquille, la jeune femme resta là, avide de les écouter. A force de les entendre faire l’amour, Léa sentit son ventre se gorger de chaleur et de picotements. Les gémissements de Laura ne cessaient de l’exciter.
N’y tenant plus, Léa plongea sa main dans le short de son pyjama. Du doigt, elle fouilla l’entrée de son vagin qui libéra une cyprine abondante. Elle continua ainsi à s’exciter avant de remonter son index humide le long de sa fente et de se mettre à masturber frénétiquement son clitoris.
Léa entendit sa tante jouir dans la pièce à côté. Elle se caressa de plus belle. La jeune femme fût prise à son tour par un orgasme. Elle se pinça les lèvres pour étouffer ses gémissements de plaisir. Appuyée contre, le mur, elle serra fortement ses cuisses sur sa main qui ne cessait de branler son petit bouton. La vague de plaisir passée, elle se dépêcha de regagner sa chambre, lorsqu’elle entendit Romain jouir à son tour.
Le lendemain, tandis que Léa venait de s’habiller, elle profitait dans le transat du soleil d’été avant que celui-ci ne devienne écrasant plus tard dans la journée. Laura apparût alors vêtue d’une jolie robe légère, virevoltant au moindre mouvement. Elle était blanche parsemée de motifs floraux turquoises.
- J’adore ta robe ! S’exclama Léa avec enthousiasme.
- Merci. J’en ai une qui lui ressemble beaucoup, tu voudrais l’essayer ?
- Ho oui avec plaisir ! s’emballa la jeune femme.
Les deux femmes se retrouvèrent dans la chambre de Laura. Cette dernière chercha dans sa penderie et en sortie une robe dans le même style que celle qu’elle portait. Laura et sa nièce avaient la même taille et corpulence aussi pouvaient-elles s’échanger facilement leur tenue.
Laura tendit la robe à sa nièce. La jeune fille fit un pas pour sortir de la chambre mais sa tante dit :
- Tu peux te changer là, ne fait pas de chichi voyons !
- D’accord, céda Léa, tout de même un peu gênée.
Sa tante était une femme volubile, qui par le ton de sa voix, l’intonation de son timbre et les gestes qu’elle joignait laissait peu de place à l’opposition. De sorte que Léa avait du mal à aller à l’encontre de sa tante.
La jeune femme retira son top, puis son short pour se retrouver en culotte. Elle ne portait pas de soutien-gorges et se sentit un peu embarrassée de se retrouver à moitié nue devant sa tante qui s’extasia :
- Ils sont magnifiques, dit-elle en fixant les seins de sa nièce.
- Merci, répondit timidement Léa dont les joues rougissaient.
- J’adorerai avoir les mêmes !
La poitrine de Léa était en effet splendide et cette dernière l’aimait plutôt bien. Ses seins étaient bien ronds comme des pommes, fermes et se jouant de la gravité. La petite aréole en leur centre joliment dessinée et les mamelons naturellement saillant terminaient de rendre cette poitrine parfaite.
Sa tante en profita pour contempler la peau douce de sa nièce. Jamais le terme peau de pêche n’eut pu être mieux employé que pour désigner la peau de Léa.
- Et ces fesses ! Mais tu veux me démoraliser ! S’exclama Laura avec amusement.
- Quoi mes fesses ?
- Elles sont à l’image de tes seins.
Ses fesses étaient bien rondes aussi, mises en valeur par une forte cambrure. Laura admira le postérieur de sa nièce, et bien que caché en grande parti par la culotte rose qu’elle portait, laissait entrevoir des fesses sensuelles. Son regard se perdit ensuite sur les petites fossettes en creux de ses reins. Laura était en admiration devant le corps de sa nièce.
La tante de Léa alla fouiller dans un tiroir et revint avec un string qu’elle tendit à sa nièce.
- Avec des fesses comme ça, tu dois essayer ça.
Léa regarda quelques instant le petit bout de tissus que lui avait tendu sa tante.
- Ne fait pas ta timorée ! On est faite pareil ! Regarde pour te mettre à l’aise.
Laura attrapa le bas de sa robe et la souleva pour la retirer. Elle retira son soutien-gorge et libéra sa poitrine. Elle tourna sur elle-même, à présent uniquement vêtue d’un shorty blanc.
- Tu vois, pareil ! Enfin presque ! ajouta-t-elle avec un rire.
Léa retira finalement sa culotte. Sa tante admira la fine toison châtain qui parsemait son pubis. La jeune femme enfila alors le string noir en satin, égayé de quelques fantaisies fuchsia.
- Il te va à ravir ! Tourne-toi pour voir.
Léa obéit et fit gracilement un tour sur elle même. Laura se délecta de ses fesses libérées, au milieu desquelles plongeait le bout de tissus.
- Tu me rends jalouse, tu sais ?
- Dis pas ça tata. Tu es belle comme tout.
- Merci, tu es gentille, répondit Laura avec un sourire.
Les deux femmes se regardaient, troublées.
- Je peux toucher ? Je suis vraiment jalouse, ajouta-t-elle en fixant les seins de sa nièce.
- Oui, si tu veux.
Laura s’approcha et posa sa main sur l’un des seins de Léa. Elle frolla, massa même la poitrine ferme. Elle sentait l’excitation la gagner de plus en plus. Quant à Léa, elle était troublée du plaisir qu’elle ressentait à se faire caresser les seins de la sorte par sa tante.
- Ho ! tata ! Dit-elle alors qu’un puissant frissons la parcourut.
Laura se mit à jouer avec les tétons qui avaient doublés de volume. Ils se pliaient sous les caresses quand les doigts passaient dessus. Elles les pinçait, les tirait.
- Tu aimes bien ?
- Oui, répondit la jeune dans un long souffle.
Laura se pencha vers la poitrine et se mit à lécher les mamelons excités. Elle mordilla les excroissances de chair, les aspira, les lécha. Léa s’était complètement abandonnées aux caresses de sa tante, plus aucune résistance ne subsistait en elle.
Laura se plaça dans le dos de sa nièce et massa longuement ses fesses, qu’elle écartait parfois lors d’un geste plus appuyé.
Ses bras firent le tour de Léa pour caresser à nouveaux ces seins qu’elle lui enviait. Tout en malaxant sa poitrine, elle déposa de petits baiser dans le cou de la jeune femme.
- Tu sens bon, la complimenta Laura.
Léa inclina la tête de côté pour offrir son cou aux voluptueux baiser de sa tante. La jeune femme qui avaient les yeux à présent fermés, se laissait envahir pour les agréables sensations que lui procuraient Laura. Son ventre s’échauffait, sa chatte s’humidifiait.
Laura glissa sa main droite sur le ventre plat de sa nièce. Lorsque les doigts atteignirent le string ils arrêtèrent leur irrésistible descente pour jouer avec l’élastique de ce dernier. La main finit par forcer le passage pour s’insinuer dans le sous-vêtement. Les doigts jouèrent quelques instants avec le doux duvet.
Léa respirait de plus en plus fort, ainsi abandonnées au plaisir des caresses de sa tante.
Laura fit glisser un peu plus sa main et rencontra le clitoris gonflé de sa nièce. Elle se mit à délicatement le masturber. Léa suffoquait.
Les doigts effrontés poursuivirent leur chemin pour s’aventurer le long de la fente pour attendre la margelle du puits humide. L’index tourna de nombreuses fois autour de l’orifice, libérant la cyprine qui s’écoulait abondamment de la chatte de la jeune femme. Laura enfonça doucement son majeur dans le vagin de sa nièce et branla sa chatte, d’abord lentement puis avec de plus en plus de vigueur, tout en excitant avec son pouce son petit bouton.
Léa respirait fort, s’asphyxiait. Elle lâchait de temps en temps quelques gémissements aigu.
Soudain, la jeune femme fut emportée par un orgasme. Son corps tremblait tandis que sa tante la masturbait de plus en plus vigoureusement. Léa gémissait son plaisir.
- Hoooo ! Tataaaaa !
Laura se recula. Il porta ostensiblement son majeur couvert de cyprine à sa bouche. Léa la regarda sucer son doigts, troublée, mais dans un état de bien être total. Sa tante lui tendit la robe.
- Tu es magnifique ! admit Laura lorsque sa nièce eût revêtu la robe.
- Merci, répondit la jeune femme qui avait l’impression que le rouge lui montait à nouveau aux joues.
Sa tante déposa un rapide baiser sur sa bouche et sortit de la pièce, laissant la jeune femme un peu dans un état second.
Le soir même Laura raconta l’aventure à son mari. Elle vit une lueur briller dans ses yeux et il lui fit l’amour avec plus de fougue que d’habitude. Laura ne se vexa pas en pensant que Romain avait dû s’imaginer avec Léa alors qu’il lui labourait la chatte avec vigueur. Son éjaculation fût pour sa jeune nièce, et Laura ne pu que s’incliner, elle-même ayant été envoûtée par la beauté magnétique de la jeune femme.
Sur le matin, alors que Romain dormait encore, Laura se réveille de bonne heure. Ses pensées allèrent vers sa nièce aussi finit-elle par se caressa en pensant à elle. Elle jouit en silence à côté de son mari immobile.
Le soir suivant, ils étaient tous les trois devant la télé. Léa avait prit une douche peu de temps auparavant et avait revêtue son pyjama, constitué d’un short et d’un débardeur à fine bretelles. Romain, assis à gauche de sa nièce ne pouvait détourner les yeux des mamelons saillants sous le fin pyjama, comme si les effrontés mamelons voulaient déchirer le tissus. Avant ce jour, il n’avait jamais envisagé sa nièce ainsi. L’évènement de la veille avait tout changé.
Quant à Laura, elle fixait avec envie la peau douce des jambes de sa nièce que le short très court laisser apparaître. Elle sentait une irrésistible excitation l’envelopper.
Seule Léa regardait la télé, sans se préoccuper de son oncle et sa tante. Lors d’une coupure pub, le couple se retrouva dans la cuisine.
- Tu as envie d’elle ? demanda sans ambage Laura.
- Oui, beaucoup, admit son mari, un peu honteux.
- Moi aussi. Fait mine d’aller te coucher et reviens dans 30min. Je me charge de la mettre en condition. Ce sera plus facile si tu n’es pas là pour l’instant.
A la fin de la pub, Laura revint s’asseoir près de sa nièce, après avoir enfilé une nuisette couleur framboise, relativement sexy. Son mari dit tout haut :
- Ce film est nul ! Je préfère aller me coucher. Bonne nuit Léa.
- Bonne nuit tonton.
Laura attendu quelques minutes puis posa sa main sur la cuisse nue de sa nièce. Cette dernière ne réagit pas. Puis la tante de Léa commença à imprimer un léger mouvement sur la peau douce. Au fil des minutes son mouvement se fit de plus en plus ample. La main remonta jusqu’ en haut des cuisses, repoussant le fin tissus du short. Léa ne pouvait plus ignorer les intentions de sa tante, si bien que son corps se mit à réagir. La jeune femme sentit ses tétons se dresser, plus qu’ils ne l’étaient déjà naturellement.
Laura approcha son visage de la jeune femme. Léa tourna la tête en direction de sa tante. Leur bouche se tenait à quelques centimètres l’une de l’autre. Elles restèrent quelques instants à guetter ce que l’autre allait faire, à sentir son souffle. Laura fut la première à bouger. Elle déposa ses lèvres sur celles de sa nièce qui ouvrit lentement sa bouche pour accueillir la langue de sa tante.
Leur bouches grandes ouvertes, elles dévoraient l’autre avec passion. La main de Laura se plaqua sur le sein de sa nièce, qui imita sa tante. Elles s’embrassaient, se caressaient les seins, les cuisses, le ventre. La chaleur envahissait leur corps.
- Laisse-moi te faire plaisir tata.
La main de la jeune femme se glissa entre les jambes de sa tante jusqu’à son intimité. A force de caresser sa vulve excitée, la jeune femme sentit l’humidité traverser le shorty de Laura. Elle écarta ce dernier et ses doigts touchèrent la peau lisse de sa vulve. Laura s’abandonnait cette fois aux caresses de sa jeune nièce.
Léa branla longuement le clitoris de sa tante qui était complètement emportée par les agréables sensations prodiguées par la jeune femme. Tellement excitée par la première heure du film, Laura ne fut pas longue à jouir. Elle laissa les gémissements envahir la pièce. Léa, inquiète que son oncle les entende, plaqua sa main sur la bouche de sa partenaire.
Lorsque sa jouissance eut cessé de secouer son corps, Laura se tourna vers sa nièce. Elle lui retira son short de pyjama et dévoila sa jeune chatte luisante de mouille. A genoux entre ses jambes, Laura lécha la vulve ouverte de désir. Léa s’enfonça un peu plus dans le canapé pour savourer la langue de sa tante sur son intimité. Sa dévouée tante léchait sa chatte, buvait son jus, mordillait ses lèvres. Elle se mit à aspirer son clitoris ce qui lui procura des sensations folles.
Tandis que Léa, les yeux fermés, haletait de désir, Romain refit son apparition. Il arriva du côté du dossier du canapé. Laura lui fit signe d’approcher. L’homme sortit sa queue qui était prête à exploser. Entre le temps qu’il passa à fixer sa nièce durant le film et celui à les écouter jouir, il était au bord de l’extase. Laura lui fit signa d’approcher sa queue du visage de sa nièce et dit :
- Ma chérie, j’aimerai bien que tu fasses plaisir à tonton aussi.
Léa ouvrit les yeux et eut un sursaut de surprise en voyant le membre de Romain à quelques centimètres de son visage. Passé la stupéfaction, elle ouvrit la bouche pour sucer la bite de son oncle. La jeune femme prenait autant de plaisir à lécher cette belle queue qu’à en donner. Elle s’arrêtait régulièrement quelques instants, incapable de sucer le membre, emportée par une vague de plaisir.
Laura voyant son mari au bord de l’explosion, proposa à sa nièce :
- Tu veux faire jouir ton tonton dans ta bouche.
La jeune femme répondit un « oui » qui se perdit dans un soupir de plaisir.
Ne tenant plus, Romain se laissa aller. Il poussa un grognement puis éjacula dans la bouche de sa nièce. Léa avala tout le sperme qui se déversa dans sa bouche et continua à sucer avec gourmandise le membre qui ramollissait tout doucement.
Se fut au tour de Léa d’être secouée par les spasmes d’un puissant orgasme. Elle gémit, cria presque tandis que sa tante aspirait son petit bouton autant qu’elle le pouvait et que son oncle caressait ses seins au travers de son pyjama.
Laura prit la main de sa nièce et la tira vers elle pour qu’elle se lève. Elle attrapa le bas de son pyjama et le lui enleva. La jeune femme se retrouva complètement nue, sous le regard excité de son oncle et sa tante. Ces derniers retirèrent à leur tour les vêtements qu’il leur restait.
Romain était hypnotisé par le corps de sa nièce. Ses yeux se perdirent sur ses jambes galbées, ses hanches larges et sa taille fine, sa toison châtain, le creux de ses reins, son ventre plat, ses seins ronds, ses mamelons, ses bras délicats, son cou fin, son visage tendre, ses yeux pétillants d’excitation. Léa fut traversée par un frissons à voir comment son oncle la regardait, à voir l’excitation qu’il éprouvait à la contempler.
Laura et Romain se rapprochèrent de la jeune femme. Leurs mains se mirent à explorer le jeune corps de leur nièce. Une main sur un sein, ou sur son ventre, une autre sur ses fesses, sur sa cuisse. Son oncle était subjugué par les magnifiques seins de la jeune femme, ces seins bien ronds, fermes..
Ses doigts se délectaient de la douceur de Léa. La jeune femme fermaient les yeux et se laissait explorer par ces quatre mains avides de caresses. Elle savoura les doigts qui pinçaient ses tétons, cette paume qui malaxait son sein, cette main qui massait ses fesses, ces doigts qui exploraient ses cuisses jusqu’à l’entrée chaude et humide de son intimité.
Léa respirait de plus en plus fort, transportée par les agréables attentions de son oncle et sa tante. Des doigts s’insinuèrent le long de sa fente trempée de mouille tandis qu’elle sentait la queue de Romain grossir de plus en plus et appuyer contre le haut de sa cuisse. Ce membre dur qui tapait contre sa peau excitait grandement Léa. Elle se mit à imaginer cette hampe de chair s’enfoncer dans son ventre.
Romain alla s’asseoir dans le canapé. Les deux femmes, à genoux se partageaient sa queue. Elles suçaient ensemble ou à tour de rôle. Léa prenait beaucoup de plaisir à lécher cette verge, à sentir ce membre dur déformer sa bouche, d’autant qu’elle avait encore le goût de son sperme sur sa langue. Lorsque le membre eu retrouvé sa pleine mesure, Laura proposa :
- Vas-y chevauche-le.
Elle enjamba Romain et s’assit sur lui pour s’empaler sur sa queue. Elle poussa un soupir lorsque le membre s’enfonça en elle. Elle chevaucha à sa guise, accélérant, ralentissant quand cela lui plaisait.
De temps en temps, Laura la faisait s’arrêter pour sortir la queue de la chatte de sa nièce et la sucer longuement puis la refourrait dans la vagin avide de sensations de la jeune femme. Alors qu’elle caressait son intimité, la quadragénaire eu un regard un peu jaloux envers la jeune femme en observant sa poitrine à peine bouger alors qu’elle s’excitait avec ivresse sur Romain.
Ce dernier prit à pleine main les seins fermes de Léa et les massa avec envie. La jeune femme fermait les yeux tandis que son partenaire pinçait ses tétons, tirait dessus. Elle haletait de plaisir.
Les deux femmes se mirent à genoux sur la canapé, offrant leurs belles fesses à Romain. Ce dernier prit sa femme en levrette, donnant de grands coup de reins. Léa fixait sa tante qui semblait se perdre dans les limbes du plaisir. Son regard se porta sur sa poitrine à peine plus opulente que la sienne et fixa les seins bouger à chaque coup de boutoir de son mari. Léa passa sa main entre ses jambes et caressa sa fente dégoulinante de mouille.
Romain laissa sa femme pour prendre Léa de la même manière, tandis que Laura branlait le petit bouton de la jeune femme. Cette dernière fut rapidement à nouveau débordante d’excitation. Elle sentait la jouissance prête à s’emparer de son corps. Elle sentit la queue s’enfoncer encore une fois en elle et le doigt agile de sa tante appuyer sur son clitoris sensible et ce fût une déferlante de plaisir. Elle sentit son vagin se contracter sur la queue qui coulissait en elle, son ventre prit de spasme, ses mamelons être assaillis par des frissons.
Laura alla se coucher sur la grand table, avide de ressentir en elle la queue de son mari. Ce dernier se mit entre ses jambes pour continuer à lui donner du plaisir. La jeune femme goba les seins de sa tante, lécha et aspira les mamelons excités. Elle caressa en même temps avec douceur le clitoris qui réclamait de l’attention.
- Ho ! Ouuuiii, ma chérie, vas-y, c’est bon.
Encouragée par les gémissements de plaisir de sa tante, la jeune femme continua de plus belle.
Soudain, Léa tourna la tête vers Romain qui émit un grognement. Elle le vit, la queue à la main, en train de se masturber au dessus de la vulve de Laura. Avec excitation , elle vit le sperme de son oncle recouvrir le sexe de Laura.
- Ma chérie, va me lécher la chatte, fais moi jouir, je ne suis pas loin.
Léa se mit entre les jambes et lécha la chatte de sa tante couverte de sperme. Tout en récoltant la semence blanchâtre, elle cherchait à donner du plaisir à sa parente. Sa langue s’insinua dans le vagin détrempé, lécha les lèvres. Elle aspira à la fois le clitoris de sa tante et le sperme qui le recouvrait. Romain caressa la poitrine de son épouse et regardait avec excitation sa nièce dévorer la chatte de sa femme.
Laura gémit enfin de plaisir, emportée par les divines caresses de sa nièce. Elle eut là un des orgasmes les plus plaisant de sa vie.
- Hoooo Putain ! Léaaaa ! T’arrête pas ! C’est bon !
Pendant toute la durée du séjour, ils firent l’amour à de nombreuses reprises, et ce fut parmi les meilleures vacances qu’ils passèrent tous les trois.
Laura était une femme blonde, dynamique, plutôt extravertie. Physiquement, elle se trouvait plutôt quelconque, bien que son mari ne cesse de lui répéter qu’était belle. Romain, de son côté était plutôt réservé, ne parlant qu’à bon escient. Il était de taille moyenne, châtain, avec quelques rondeurs autour de la taille.
Un soir, tandis qu’ils étaient tous couchés depuis quelques temps, Léa redescendit dans la cuisine pour aller boire une verre d’eau. Elle passa non loin de la chambre de son oncle et de sa tante et entendit des bruits s’en échapper. Elle se figea puis se rapprocha de la porte pour écouter.
« Ca ne fait pas de doute, ils baisent ! », pensa-t-elle.
Alors qu’elle aurait dû s’éloigner pour les laisser tranquille, la jeune femme resta là, avide de les écouter. A force de les entendre faire l’amour, Léa sentit son ventre se gorger de chaleur et de picotements. Les gémissements de Laura ne cessaient de l’exciter.
N’y tenant plus, Léa plongea sa main dans le short de son pyjama. Du doigt, elle fouilla l’entrée de son vagin qui libéra une cyprine abondante. Elle continua ainsi à s’exciter avant de remonter son index humide le long de sa fente et de se mettre à masturber frénétiquement son clitoris.
Léa entendit sa tante jouir dans la pièce à côté. Elle se caressa de plus belle. La jeune femme fût prise à son tour par un orgasme. Elle se pinça les lèvres pour étouffer ses gémissements de plaisir. Appuyée contre, le mur, elle serra fortement ses cuisses sur sa main qui ne cessait de branler son petit bouton. La vague de plaisir passée, elle se dépêcha de regagner sa chambre, lorsqu’elle entendit Romain jouir à son tour.
Le lendemain, tandis que Léa venait de s’habiller, elle profitait dans le transat du soleil d’été avant que celui-ci ne devienne écrasant plus tard dans la journée. Laura apparût alors vêtue d’une jolie robe légère, virevoltant au moindre mouvement. Elle était blanche parsemée de motifs floraux turquoises.
- J’adore ta robe ! S’exclama Léa avec enthousiasme.
- Merci. J’en ai une qui lui ressemble beaucoup, tu voudrais l’essayer ?
- Ho oui avec plaisir ! s’emballa la jeune femme.
Les deux femmes se retrouvèrent dans la chambre de Laura. Cette dernière chercha dans sa penderie et en sortie une robe dans le même style que celle qu’elle portait. Laura et sa nièce avaient la même taille et corpulence aussi pouvaient-elles s’échanger facilement leur tenue.
Laura tendit la robe à sa nièce. La jeune fille fit un pas pour sortir de la chambre mais sa tante dit :
- Tu peux te changer là, ne fait pas de chichi voyons !
- D’accord, céda Léa, tout de même un peu gênée.
Sa tante était une femme volubile, qui par le ton de sa voix, l’intonation de son timbre et les gestes qu’elle joignait laissait peu de place à l’opposition. De sorte que Léa avait du mal à aller à l’encontre de sa tante.
La jeune femme retira son top, puis son short pour se retrouver en culotte. Elle ne portait pas de soutien-gorges et se sentit un peu embarrassée de se retrouver à moitié nue devant sa tante qui s’extasia :
- Ils sont magnifiques, dit-elle en fixant les seins de sa nièce.
- Merci, répondit timidement Léa dont les joues rougissaient.
- J’adorerai avoir les mêmes !
La poitrine de Léa était en effet splendide et cette dernière l’aimait plutôt bien. Ses seins étaient bien ronds comme des pommes, fermes et se jouant de la gravité. La petite aréole en leur centre joliment dessinée et les mamelons naturellement saillant terminaient de rendre cette poitrine parfaite.
Sa tante en profita pour contempler la peau douce de sa nièce. Jamais le terme peau de pêche n’eut pu être mieux employé que pour désigner la peau de Léa.
- Et ces fesses ! Mais tu veux me démoraliser ! S’exclama Laura avec amusement.
- Quoi mes fesses ?
- Elles sont à l’image de tes seins.
Ses fesses étaient bien rondes aussi, mises en valeur par une forte cambrure. Laura admira le postérieur de sa nièce, et bien que caché en grande parti par la culotte rose qu’elle portait, laissait entrevoir des fesses sensuelles. Son regard se perdit ensuite sur les petites fossettes en creux de ses reins. Laura était en admiration devant le corps de sa nièce.
La tante de Léa alla fouiller dans un tiroir et revint avec un string qu’elle tendit à sa nièce.
- Avec des fesses comme ça, tu dois essayer ça.
Léa regarda quelques instant le petit bout de tissus que lui avait tendu sa tante.
- Ne fait pas ta timorée ! On est faite pareil ! Regarde pour te mettre à l’aise.
Laura attrapa le bas de sa robe et la souleva pour la retirer. Elle retira son soutien-gorge et libéra sa poitrine. Elle tourna sur elle-même, à présent uniquement vêtue d’un shorty blanc.
- Tu vois, pareil ! Enfin presque ! ajouta-t-elle avec un rire.
Léa retira finalement sa culotte. Sa tante admira la fine toison châtain qui parsemait son pubis. La jeune femme enfila alors le string noir en satin, égayé de quelques fantaisies fuchsia.
- Il te va à ravir ! Tourne-toi pour voir.
Léa obéit et fit gracilement un tour sur elle même. Laura se délecta de ses fesses libérées, au milieu desquelles plongeait le bout de tissus.
- Tu me rends jalouse, tu sais ?
- Dis pas ça tata. Tu es belle comme tout.
- Merci, tu es gentille, répondit Laura avec un sourire.
Les deux femmes se regardaient, troublées.
- Je peux toucher ? Je suis vraiment jalouse, ajouta-t-elle en fixant les seins de sa nièce.
- Oui, si tu veux.
Laura s’approcha et posa sa main sur l’un des seins de Léa. Elle frolla, massa même la poitrine ferme. Elle sentait l’excitation la gagner de plus en plus. Quant à Léa, elle était troublée du plaisir qu’elle ressentait à se faire caresser les seins de la sorte par sa tante.
- Ho ! tata ! Dit-elle alors qu’un puissant frissons la parcourut.
Laura se mit à jouer avec les tétons qui avaient doublés de volume. Ils se pliaient sous les caresses quand les doigts passaient dessus. Elles les pinçait, les tirait.
- Tu aimes bien ?
- Oui, répondit la jeune dans un long souffle.
Laura se pencha vers la poitrine et se mit à lécher les mamelons excités. Elle mordilla les excroissances de chair, les aspira, les lécha. Léa s’était complètement abandonnées aux caresses de sa tante, plus aucune résistance ne subsistait en elle.
Laura se plaça dans le dos de sa nièce et massa longuement ses fesses, qu’elle écartait parfois lors d’un geste plus appuyé.
Ses bras firent le tour de Léa pour caresser à nouveaux ces seins qu’elle lui enviait. Tout en malaxant sa poitrine, elle déposa de petits baiser dans le cou de la jeune femme.
- Tu sens bon, la complimenta Laura.
Léa inclina la tête de côté pour offrir son cou aux voluptueux baiser de sa tante. La jeune femme qui avaient les yeux à présent fermés, se laissait envahir pour les agréables sensations que lui procuraient Laura. Son ventre s’échauffait, sa chatte s’humidifiait.
Laura glissa sa main droite sur le ventre plat de sa nièce. Lorsque les doigts atteignirent le string ils arrêtèrent leur irrésistible descente pour jouer avec l’élastique de ce dernier. La main finit par forcer le passage pour s’insinuer dans le sous-vêtement. Les doigts jouèrent quelques instants avec le doux duvet.
Léa respirait de plus en plus fort, ainsi abandonnées au plaisir des caresses de sa tante.
Laura fit glisser un peu plus sa main et rencontra le clitoris gonflé de sa nièce. Elle se mit à délicatement le masturber. Léa suffoquait.
Les doigts effrontés poursuivirent leur chemin pour s’aventurer le long de la fente pour attendre la margelle du puits humide. L’index tourna de nombreuses fois autour de l’orifice, libérant la cyprine qui s’écoulait abondamment de la chatte de la jeune femme. Laura enfonça doucement son majeur dans le vagin de sa nièce et branla sa chatte, d’abord lentement puis avec de plus en plus de vigueur, tout en excitant avec son pouce son petit bouton.
Léa respirait fort, s’asphyxiait. Elle lâchait de temps en temps quelques gémissements aigu.
Soudain, la jeune femme fut emportée par un orgasme. Son corps tremblait tandis que sa tante la masturbait de plus en plus vigoureusement. Léa gémissait son plaisir.
- Hoooo ! Tataaaaa !
Laura se recula. Il porta ostensiblement son majeur couvert de cyprine à sa bouche. Léa la regarda sucer son doigts, troublée, mais dans un état de bien être total. Sa tante lui tendit la robe.
- Tu es magnifique ! admit Laura lorsque sa nièce eût revêtu la robe.
- Merci, répondit la jeune femme qui avait l’impression que le rouge lui montait à nouveau aux joues.
Sa tante déposa un rapide baiser sur sa bouche et sortit de la pièce, laissant la jeune femme un peu dans un état second.
Le soir même Laura raconta l’aventure à son mari. Elle vit une lueur briller dans ses yeux et il lui fit l’amour avec plus de fougue que d’habitude. Laura ne se vexa pas en pensant que Romain avait dû s’imaginer avec Léa alors qu’il lui labourait la chatte avec vigueur. Son éjaculation fût pour sa jeune nièce, et Laura ne pu que s’incliner, elle-même ayant été envoûtée par la beauté magnétique de la jeune femme.
Sur le matin, alors que Romain dormait encore, Laura se réveille de bonne heure. Ses pensées allèrent vers sa nièce aussi finit-elle par se caressa en pensant à elle. Elle jouit en silence à côté de son mari immobile.
Le soir suivant, ils étaient tous les trois devant la télé. Léa avait prit une douche peu de temps auparavant et avait revêtue son pyjama, constitué d’un short et d’un débardeur à fine bretelles. Romain, assis à gauche de sa nièce ne pouvait détourner les yeux des mamelons saillants sous le fin pyjama, comme si les effrontés mamelons voulaient déchirer le tissus. Avant ce jour, il n’avait jamais envisagé sa nièce ainsi. L’évènement de la veille avait tout changé.
Quant à Laura, elle fixait avec envie la peau douce des jambes de sa nièce que le short très court laisser apparaître. Elle sentait une irrésistible excitation l’envelopper.
Seule Léa regardait la télé, sans se préoccuper de son oncle et sa tante. Lors d’une coupure pub, le couple se retrouva dans la cuisine.
- Tu as envie d’elle ? demanda sans ambage Laura.
- Oui, beaucoup, admit son mari, un peu honteux.
- Moi aussi. Fait mine d’aller te coucher et reviens dans 30min. Je me charge de la mettre en condition. Ce sera plus facile si tu n’es pas là pour l’instant.
A la fin de la pub, Laura revint s’asseoir près de sa nièce, après avoir enfilé une nuisette couleur framboise, relativement sexy. Son mari dit tout haut :
- Ce film est nul ! Je préfère aller me coucher. Bonne nuit Léa.
- Bonne nuit tonton.
Laura attendu quelques minutes puis posa sa main sur la cuisse nue de sa nièce. Cette dernière ne réagit pas. Puis la tante de Léa commença à imprimer un léger mouvement sur la peau douce. Au fil des minutes son mouvement se fit de plus en plus ample. La main remonta jusqu’ en haut des cuisses, repoussant le fin tissus du short. Léa ne pouvait plus ignorer les intentions de sa tante, si bien que son corps se mit à réagir. La jeune femme sentit ses tétons se dresser, plus qu’ils ne l’étaient déjà naturellement.
Laura approcha son visage de la jeune femme. Léa tourna la tête en direction de sa tante. Leur bouche se tenait à quelques centimètres l’une de l’autre. Elles restèrent quelques instants à guetter ce que l’autre allait faire, à sentir son souffle. Laura fut la première à bouger. Elle déposa ses lèvres sur celles de sa nièce qui ouvrit lentement sa bouche pour accueillir la langue de sa tante.
Leur bouches grandes ouvertes, elles dévoraient l’autre avec passion. La main de Laura se plaqua sur le sein de sa nièce, qui imita sa tante. Elles s’embrassaient, se caressaient les seins, les cuisses, le ventre. La chaleur envahissait leur corps.
- Laisse-moi te faire plaisir tata.
La main de la jeune femme se glissa entre les jambes de sa tante jusqu’à son intimité. A force de caresser sa vulve excitée, la jeune femme sentit l’humidité traverser le shorty de Laura. Elle écarta ce dernier et ses doigts touchèrent la peau lisse de sa vulve. Laura s’abandonnait cette fois aux caresses de sa jeune nièce.
Léa branla longuement le clitoris de sa tante qui était complètement emportée par les agréables sensations prodiguées par la jeune femme. Tellement excitée par la première heure du film, Laura ne fut pas longue à jouir. Elle laissa les gémissements envahir la pièce. Léa, inquiète que son oncle les entende, plaqua sa main sur la bouche de sa partenaire.
Lorsque sa jouissance eut cessé de secouer son corps, Laura se tourna vers sa nièce. Elle lui retira son short de pyjama et dévoila sa jeune chatte luisante de mouille. A genoux entre ses jambes, Laura lécha la vulve ouverte de désir. Léa s’enfonça un peu plus dans le canapé pour savourer la langue de sa tante sur son intimité. Sa dévouée tante léchait sa chatte, buvait son jus, mordillait ses lèvres. Elle se mit à aspirer son clitoris ce qui lui procura des sensations folles.
Tandis que Léa, les yeux fermés, haletait de désir, Romain refit son apparition. Il arriva du côté du dossier du canapé. Laura lui fit signe d’approcher. L’homme sortit sa queue qui était prête à exploser. Entre le temps qu’il passa à fixer sa nièce durant le film et celui à les écouter jouir, il était au bord de l’extase. Laura lui fit signa d’approcher sa queue du visage de sa nièce et dit :
- Ma chérie, j’aimerai bien que tu fasses plaisir à tonton aussi.
Léa ouvrit les yeux et eut un sursaut de surprise en voyant le membre de Romain à quelques centimètres de son visage. Passé la stupéfaction, elle ouvrit la bouche pour sucer la bite de son oncle. La jeune femme prenait autant de plaisir à lécher cette belle queue qu’à en donner. Elle s’arrêtait régulièrement quelques instants, incapable de sucer le membre, emportée par une vague de plaisir.
Laura voyant son mari au bord de l’explosion, proposa à sa nièce :
- Tu veux faire jouir ton tonton dans ta bouche.
La jeune femme répondit un « oui » qui se perdit dans un soupir de plaisir.
Ne tenant plus, Romain se laissa aller. Il poussa un grognement puis éjacula dans la bouche de sa nièce. Léa avala tout le sperme qui se déversa dans sa bouche et continua à sucer avec gourmandise le membre qui ramollissait tout doucement.
Se fut au tour de Léa d’être secouée par les spasmes d’un puissant orgasme. Elle gémit, cria presque tandis que sa tante aspirait son petit bouton autant qu’elle le pouvait et que son oncle caressait ses seins au travers de son pyjama.
Laura prit la main de sa nièce et la tira vers elle pour qu’elle se lève. Elle attrapa le bas de son pyjama et le lui enleva. La jeune femme se retrouva complètement nue, sous le regard excité de son oncle et sa tante. Ces derniers retirèrent à leur tour les vêtements qu’il leur restait.
Romain était hypnotisé par le corps de sa nièce. Ses yeux se perdirent sur ses jambes galbées, ses hanches larges et sa taille fine, sa toison châtain, le creux de ses reins, son ventre plat, ses seins ronds, ses mamelons, ses bras délicats, son cou fin, son visage tendre, ses yeux pétillants d’excitation. Léa fut traversée par un frissons à voir comment son oncle la regardait, à voir l’excitation qu’il éprouvait à la contempler.
Laura et Romain se rapprochèrent de la jeune femme. Leurs mains se mirent à explorer le jeune corps de leur nièce. Une main sur un sein, ou sur son ventre, une autre sur ses fesses, sur sa cuisse. Son oncle était subjugué par les magnifiques seins de la jeune femme, ces seins bien ronds, fermes..
Ses doigts se délectaient de la douceur de Léa. La jeune femme fermaient les yeux et se laissait explorer par ces quatre mains avides de caresses. Elle savoura les doigts qui pinçaient ses tétons, cette paume qui malaxait son sein, cette main qui massait ses fesses, ces doigts qui exploraient ses cuisses jusqu’à l’entrée chaude et humide de son intimité.
Léa respirait de plus en plus fort, transportée par les agréables attentions de son oncle et sa tante. Des doigts s’insinuèrent le long de sa fente trempée de mouille tandis qu’elle sentait la queue de Romain grossir de plus en plus et appuyer contre le haut de sa cuisse. Ce membre dur qui tapait contre sa peau excitait grandement Léa. Elle se mit à imaginer cette hampe de chair s’enfoncer dans son ventre.
Romain alla s’asseoir dans le canapé. Les deux femmes, à genoux se partageaient sa queue. Elles suçaient ensemble ou à tour de rôle. Léa prenait beaucoup de plaisir à lécher cette verge, à sentir ce membre dur déformer sa bouche, d’autant qu’elle avait encore le goût de son sperme sur sa langue. Lorsque le membre eu retrouvé sa pleine mesure, Laura proposa :
- Vas-y chevauche-le.
Elle enjamba Romain et s’assit sur lui pour s’empaler sur sa queue. Elle poussa un soupir lorsque le membre s’enfonça en elle. Elle chevaucha à sa guise, accélérant, ralentissant quand cela lui plaisait.
De temps en temps, Laura la faisait s’arrêter pour sortir la queue de la chatte de sa nièce et la sucer longuement puis la refourrait dans la vagin avide de sensations de la jeune femme. Alors qu’elle caressait son intimité, la quadragénaire eu un regard un peu jaloux envers la jeune femme en observant sa poitrine à peine bouger alors qu’elle s’excitait avec ivresse sur Romain.
Ce dernier prit à pleine main les seins fermes de Léa et les massa avec envie. La jeune femme fermait les yeux tandis que son partenaire pinçait ses tétons, tirait dessus. Elle haletait de plaisir.
Les deux femmes se mirent à genoux sur la canapé, offrant leurs belles fesses à Romain. Ce dernier prit sa femme en levrette, donnant de grands coup de reins. Léa fixait sa tante qui semblait se perdre dans les limbes du plaisir. Son regard se porta sur sa poitrine à peine plus opulente que la sienne et fixa les seins bouger à chaque coup de boutoir de son mari. Léa passa sa main entre ses jambes et caressa sa fente dégoulinante de mouille.
Romain laissa sa femme pour prendre Léa de la même manière, tandis que Laura branlait le petit bouton de la jeune femme. Cette dernière fut rapidement à nouveau débordante d’excitation. Elle sentait la jouissance prête à s’emparer de son corps. Elle sentit la queue s’enfoncer encore une fois en elle et le doigt agile de sa tante appuyer sur son clitoris sensible et ce fût une déferlante de plaisir. Elle sentit son vagin se contracter sur la queue qui coulissait en elle, son ventre prit de spasme, ses mamelons être assaillis par des frissons.
Laura alla se coucher sur la grand table, avide de ressentir en elle la queue de son mari. Ce dernier se mit entre ses jambes pour continuer à lui donner du plaisir. La jeune femme goba les seins de sa tante, lécha et aspira les mamelons excités. Elle caressa en même temps avec douceur le clitoris qui réclamait de l’attention.
- Ho ! Ouuuiii, ma chérie, vas-y, c’est bon.
Encouragée par les gémissements de plaisir de sa tante, la jeune femme continua de plus belle.
Soudain, Léa tourna la tête vers Romain qui émit un grognement. Elle le vit, la queue à la main, en train de se masturber au dessus de la vulve de Laura. Avec excitation , elle vit le sperme de son oncle recouvrir le sexe de Laura.
- Ma chérie, va me lécher la chatte, fais moi jouir, je ne suis pas loin.
Léa se mit entre les jambes et lécha la chatte de sa tante couverte de sperme. Tout en récoltant la semence blanchâtre, elle cherchait à donner du plaisir à sa parente. Sa langue s’insinua dans le vagin détrempé, lécha les lèvres. Elle aspira à la fois le clitoris de sa tante et le sperme qui le recouvrait. Romain caressa la poitrine de son épouse et regardait avec excitation sa nièce dévorer la chatte de sa femme.
Laura gémit enfin de plaisir, emportée par les divines caresses de sa nièce. Elle eut là un des orgasmes les plus plaisant de sa vie.
- Hoooo Putain ! Léaaaa ! T’arrête pas ! C’est bon !
Pendant toute la durée du séjour, ils firent l’amour à de nombreuses reprises, et ce fut parmi les meilleures vacances qu’ils passèrent tous les trois.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire classique joliment écrite.
Très belle histoire erotique et sensuel le. Toujours en famille
Très belle histoire, bien racontée, très sensuelle et excitante. Je vais lire les autres récits
hummm, quelle belle histoire de famille