Vacances du 28.07.2003 2/4
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2024 dans la catégorie Plus on est
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Vacances du 28.07.2003 2/4
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la concepti00on de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
30.07.2003
Cela fait maintenant 2 jours que Caline a calmé cette démangeaison qui lui chatouillait sa petite chatte avec ces jeunes.
— Caline... Il y a une question qui me revient toujours ?
— Oui chéri ?
— Cette partie de jambes en l'air avec les 2 zozos... Elle... Comment dire... Elle n'était pas si... Exceptionnelle !
— Tu as raison ! J'ai de suite senti qu'ils leurs manquaient de... Professionnalisme... Et au fond... je n'étais pas très rassurée car je ne te savais pas présent !
— Et... Si tu avais su que je vous observais ?
— J'aurais sûrement fait plus !
Ce soir nous avons rendez-vous chez un ami Albert De Moustaque, fils d'un papa qui a les poches qui débordent de tunes... Avec Albert, nous avons un point commun : nous sommes tous deux du signe du scorpion et fait plus incroyable, nous sommes né le même jour le 03.11 mais il est mon aîné de 2 ans. Ses parents sont des aristos mais très humbles bien que très riches, quoique à mon sens, la richesse pécuniaire n'est pas la plus importante... Nous philosopherons une autre fois. Pendant plus de 15 ans, ils venaient chaque année passer 1 mois de vacances à ľhôtel que gère mon père. À force, on a fait connaissance et sommes devenus d'assez bons amis. On a fait les 400 coups ensemble, nos premières beuveries et surtout nos premières parties de jambes en l'air... Je veux dire par là, on a draguer, un été, 2 filles avec qui on avait fini la soirée à les baiser à la plage, après un bain de minuit fait dans les règles de l'art (je parle du bain de minuit) sans rien... C’est de là (j'en suis certain) qu'ont débuté mes fantasmes les plus coquins.
Sa famille possède une maison secondaire à quelques dizaines de kilomètres de notre camping et par "chance", Albert y passe quelques jours. Lors d'un coup de fil il m'a précisé sa présence dans ces lieux et on a programmé de se voir.
À 9h du mat, Caline décide d'allé faire des courses pour remplir le frigo, moi je reste là à me détendre sur la terrasse de notre mobil-home. Je regarde le camping se réveiller peu à peu, j'aime bien ça. D'ailleurs sur l'emplacement d'en face, un couple de notre tranche d'âge, la trentaine. Elle est brune, de taille moyenne avec beaucoup de charme et lui assez grand, mince les yeux bleu. Ils ont de jeunes enfants qui occupent la majorité de leur temps et ne leur en laisse plus pour eux.
Heureusement que mes beaux-parents avaient accepté de garder ma fille pour ne pas avoir cet inconvénient. Le mari est sur la terrasse comme moi et gère le petit déjeuner des deux garnements tandis que sa femme va se doucher. Le bruit de l'eau attire mon attention vers la fenêtre de la salle d'eau flouté, je peux voir que celle-ci est entrouverte me laissant une superbe vue sur la douche. Pour le moment, rien, juste de l'eau qui coule, je vois seulement une forme qui se déshabille à travers la fenêtre. Je n'ai pas eu longtemps à attendre pour la voir entrer dans sa douche. Elle est encore plus jolie nue. L'eau ruisselle sur sa peau déjà bronzé, sa tête penché en arrière, ses mains dans ses cheveux me laissent une vue magnifique sur cette poitrine lourde et blanche. Je suis hypnotisé par ce que je vois, mes yeux, remontent vers son visage et croisent les siens.
Elle me voit !
Mon rythme cardiaque s'accélère !
Que va t'elle faire ?
Hurler ?
Crier à son mari qu'un homme la regarde pendant sa douche ?
Ou simplement fermer la fenêtre ?
Alors que je me prépare au scandale, à ma grande surprise, cette déesse n'en fait rien. Elle me sourie et continue son show, elle passe ses mains sur sa poitrine, la massant sensuellement tout en me fixant du regard. Cette vision est surréaliste... D'un côté le mari s'occupant des enfants et de l'autre sa femme faisant un spectacle hot de chez hot en me fixant. Mon sexe se dresse et j'ai du mal à dissimuler une certaine excitation, elle continue ses caresses de plus en plus intime en s'appuyant sur la parois de la cabine. Je la vois qu'elle descend le pommeau de douche vers son sexe, sa respiration s'accélère. Elle bascule sa tête en arrière et se mord les lèvres, son corps est prit de tremblements, elle est en train de jouir ! Elle me sourie à encore puis ferme la fenêtre. Je la vois à nouveau sur la terrasse, elle me fait, au passage, un clin d'œil. C'est sur cette fin agréable que je décide d'aller prendre à mon tour ma douche et me préparer.
Caline revient des courses. Après le rangement, un petit repas et quelques banalités nous voilà au début de ľaprès-midi et nous décidons de passer à la plage. La transparence du maillot de bain de Caline est trop bandante. La plage se termine sans encombre. Nous rentrons et sur le chemin croisons nos voisins d'en face, les salutations sont courtoises et la coquine épouse m'adresse un sourire complice.
Il est l'heure de se préparer pour aller chez Albert. Caline s'habille ďun chemisier rose avec un large décolleté ainsi qu'une jupe en jeans plutôt courte et les talons haut que j'affectionne tant. Elle est parfaitement maquillé, les cheveux tirés en arrière ce qui lui donne l'air sexy et en même temps décontracté. Mon ami habite à 30mn de notre lieu de vacances, le temps d'acheter une bouteille de vin rouge et nous voilà chez lui. Il vit dans une vieille maison de ville de deux étages qu'il a retaper avec goût. Celle-ci possède une grande terrasse de 50m² avec splendide barbecue, salon de jardin et jacuzzi se situant au premier étage. Albert et moi nous sautons dans les bras ľun de ľautre puis il se retourne et complimente Caline sur sa tenue. Ma femme satisfaite de l'effet qu'elle a fait sur mon ami, le remercie par un bisou sur la joue. Albert nous explique qu'un couple d'amis viendra nous rejoindre pour le repas, pour nous pas de problèmes :
— Les amis de mes amis sont mes amis comme on dit !
Le couple arrive vers 20 heures 30, l'homme, Christian, environ 45 ans, 1m80 plutôt sportif et assez charmeur. Elle, elle se nomme Séverine, même tranche d'âge, à peu près 1m75 blonde avec une petite paire de lunettes avec de fines montures qui lui donne un air coincé le tout emballé dans une robe d'été légère laissant deviner une poitrine généreuse.
Les politesses d'usage échanger et nous décidons de prendre l'apéro. Les filles s'installent côte à côte dans le canapé, moi à côté de Caline, Albert et Christian et moi face de nous. Les conversations vont bon train et l'alcool aidant, tout le monde se lâche. Albert nous raconte ses histoires en club libertin, c'est excitant cet univers, qu'il nous avoue, encore faut il avoir le courage d'y aller. Je remarque que Caline boit les paroles ďAlbert, je sens chez elle une certaine excitation, d'ailleurs ses jambes sont légèrement écartées. J'en profite pour relater quelques unes de mes aventures sans préciser que la partenaire féminine de mes récits est ma femme. Caline fait semblant d'être surprise par mes révélations et qu'elle n'aurait pas accepté d'être l'actrice d'un de mes aventures.
— Bizarre Caline... Toi aussi tu es du signe du scorpion et... J'en ai peu connu de scorpions des deux sexes qui ne soient pas... Comment dire... Attirées par des aventures sexuelles ! Dit Albert.
— Je confirme, bien que je n'ai le témoignage que d'une seule amie scorpionne ! Nous dit Séverine.
— On a là, par exemple, une preuve en live... Dis-je.
— Hein... De quoi tu parles ? Me demande Christian.
— Les gars j'espère que vous avez bien profité puisque cette coquine de Caline ne comprend pas mes avertissements... Chérie... Tu devrais un peu serrer tes cuisses car on a une formidable vue sur ta culotte !
— Haaa ďaccord... C'était ça que tu cherchais à me dire depuis tout à l'heure ? Où est le blems... Qui n'en porte pas... Ce n'est qu'une culotte et puis... Qui te dit que j'en porte une ?
Tout le monde éclate de rire sauf moi car j'essaie de faire le mec sérieux et Albert me confirme :
— Te fais pas de soucis mec... Ta femme porte bien une culotte !
Cette confirmation déclenche un nouveau fou rire.
Nous passons enfin à table... Le repas est excellent, les bouteilles continuent à se vider ce qui a un effet désinhibant sur l'ensemble des convives. Albert me demande si nous avons ramené nos maillots de bain pour faire un passage dans le jacuzzi.
— Non, tu ne m'avais pas dit de les ramener !
— C'est pas grave... De toute façon... Il n'y a aucun écriteau qui nous interdit ďen faire sans... Moi, ça ne me gène pas !
— Non... C’est gentil cher ami... Mais il se fait tard là, et on doit encore se taper 30 bornes !
— Tu déconnes là mec... Vous n'allez pas rentrer ? Avec tout ce que tu as bu, je ne donne pas cher de ta peau... Jamais tu ne joindras ton lit en un seul morceau... Vous devriez dormir ici, c'est plus prudent et franchement j'avais prévu le coup et je vous ai préparé une chambre pour toi et une autre pour Christian !
— Tu as raison mec comme toujours ! Répond ai-je, avant de rajouter — Bon, excusez moi, je ne veux pas plomber cette fin de soirée mais j'ai un coup de barre là... Je vous laisse vous amuser entre vous... Et s'il vous plaît... Ne faites pas trop de bruits !
En m'adressant à ma princesse :
— Tu as ta "carte blanche" !
Je peux voir dans les traits du visage de nos amis un air ďincompréhension à cette dernière phrase, et un large sourire sur le visage de Caline. "Carte blanche" est notre code pour exprimer notre (mon) total accord pour prendre part à des jeux coquins si jeux coquins il y a. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que, comme tout bon scorpion qui se respecte, Albert a une envie, une idée coquine derrière cette proposition de jacuzzi.
Effectivement, une fois que mon ami Albert a eu la bonté de me désigner notre chambre pour la nuit, de par la fenêtre, je constate que j'ai une vue parfaite sur le jacuzzi. Malgré cette excitation développée après toutes les idées que je me suis faite, en m'imaginant cette fin de soirée, une fatigue que l'alcool a accentué, fait de moi un candidat rapide au sommeil. Des rires me sortent de mon sommeil, ma main tâte pour chercher ma femme... Rien, je tourne la tète mais Caline n'est pas là et visiblement ses vêtements non plu. D'ailleurs je ne me rappelle pas l'avoir vu... A-t-elle suivi mes recommandations ?
J'en suis sûre !
Je me lève, me dirige vers la fenêtre et vois Albert et Christian, visiblement nu dans le jacuzzi parlant à une troisième personne que je ne vois pas. J'imagine que c'est Séverine puisqu'elle n'est pas dans le jacuzzi et que les paroles la concernant sont assez familières.
— Viens... Te fait pas prier on sait que tu en meurs d'envie ! Que dit Albert.
— À poils beauté, on va être bien tous ensemble ! Crie presque Christian.
C'est sûre maintenant, ils doivent converser avec Séverine. Il me reste à résoudre l'énigme où est Caline ?
Peut-être est elle au toilettes ?
Toujours est-il que je décide de me laisser aller à mon passe-temps préfère, le voyeurisme. Je suis tout excité à l'idée de voir cette femme coincée se mettre nue devant ses deux mâles en rut.
Mon attente est récompensé en voyant effectivement Séverine avancer nue vers le jacuzzi. Elle a de très belles fesses, son corps est entièrement bronzé ce qui insinue qu'elle pratique le bronsage intégral, c'est donc étonnant qu'elle soit gène de se mettre nue devant son homme et Albert.
Elle monte les marches puis se glisse dans l'eau, embrasse son homme sur la bouche puis Albert et s'installe entre eux. Elle écarte les cuisses puis y glisse une de ses mains en se mordant les lèvres. Une sensation familière me reprend au moment ou Séverine s'adresse à une quatrième personne.
— À ton tour ma belle, déshabilles-toi et rejoins moi !
C'est à ce moment que Caline apparaît à mes yeux, avance vers eux, elle défait son chemisier, dégrafe son soutien gorge sous les encouragements du petit groupe.
— C’est bien ma coquine... Encore un petit effort et ce sera parfait ! Commente Albert.
Caline fait glisser sa jupe au sol, retire ses talons puis enlève le dernier bout de tissu qui cachait son intimité. Elle est maintenant nue et tous peuvent voir le Corps de ma princesse dans son intégralité. Elle monte dans le jacuzzi, des mains l'aide à enjamber le rebord, puis elle s'installe à son tour. Les trois compères se rapprochent de ma femmes, les baisers pleuvent, les caresses aussi. Elle n'hésite pas à rendre se qu'on lui offre. Je n'en crois pas mes yeux, ou plutôt si, et je suis heureux...
Il y a eu cette petite aventure au camping, maintenant mon ami d'enfance et ce couple... Lâches-toi petite princesse.
Les hommes se sont assis sur le bord du jacuzzi, Séverine suce Albert pendant que ma déesse branle Christian. Les deux hommes se félicitent tout en encourageant les deux femmes.
— Bon les gars... Vous avez eu votre petite gâterie, maintenant retour à l'envoyeur... Christian, Albert venez vous occuper de la chatte à cette coquine ! Suggère Séverine.
— Et toi alors ? Demande Caline tout sourire.
— Chuut ! Tu vas profiter de ses deux là, ce que je vais faire ne te regarde pas !
Caline se résigne et ne cherche pas à savoir plus puis porte le sexe de Christian à sa bouche pour le sucer. Albert passe derrière cette chienne qui pompe ce dard bien raide puis commence à la caresser, les gémissements de ma femme ne se font pas attendre, elle se cambre de plus en plus offrant son intimité à qui le veut, à qui la veut.
J'entend Séverine dire :
— Je pars chercher un ami... En attendant amusez-vous bien !
Son ami ? Encore une queue pour cette fin de soirée ? Et qui peut bien être son ami ?
Je continue de profiter du spectacle que Caline m'offre avec les deux hommes. Elle est maintenant culbuter violemment par Albert qui lui met de grands coups de bassin. Elle a du mal à continuer sa fellation. Les mots crus fusent, ils l'insultent, la traitent de tout les noms, se réjouissant ďavance en lui décrivant ce qu'ils vont lui faire.
Soudain, j'entends des bruits dans l'escalier, je me précipite dans le lit faisant mine de dormir. Séverine entre dans la chambre. De mes yeux mi-clos, je suis les courbes de son corps que la lumière du couloir m'éclaire. Elle se rapproche doucement, jette le draps à terre et caresse mon sexe déjà dur et y dépose un baiser.
— Ouvres les yeux petite salope, je sais que tu ne dors pas puisque je t'ai vu nous mater par la fenêtre... Ça t'excites de voir ta femme se faire baiser hein ?
Je fais toujours semblant de dormir, je ne sais pas comment réagir à tout ça
— Tu ne veux toujours pas ouvrir les yeux ? Tu finiras bien par changer d'avis crois moi ! Ils finissent tous par faire ce que je dis.
Elle se penche alors sur moi et avale ma queue, elle suce divinement bien, sa main serre ma bite fermement. Je ne donne pas plus de cinq minutes de ce traitement pour lui décharger entre ses lèvres, avec les cris de plaisir, qui chatouillent mes oreilles, que ma femme pousse et cela ne fait qu'accentuer mon excitation.
Voilà qu'elle change de position et se place en 69 au-dessus de moi, elle frotte son sexe sur ma bouche, je peux sentir son odeur, je continu de feindre le sommeil, mais je suis un mauvais acteur. Elle décide d'arrêter sa fellation pour s'empaler sur mon zob, qui entre nous, ne demande que ça.. Les mouvements de son bassin, me rendent dingue, enfin j'ouvre les yeux. Derrière ses lunettes, les yeux de Séverine me fixent ďun air sévère et elle me dit :
— Alors petite salope... Tu te décides enfin à ouvrir les yeux ? Je vais me faire un honneur... Une joie de te baiser pendant que ta femme en prend plein dans ses trous !
J'essaye de répondre mais elle m'ordonne de me taire.
— Lèves-toi et appuis-toi sur le bord de la fenêtre, je veux que tu regardes à quel point ta femme est une salope !
— Tu nous apprends rien là... Je le sais, elle le sais... Et on en est fier !
Je vois effectivement que Caline et ses amants, ne sont plus dans le jacuzzi mais sur le canapé. Albert est allongé, ma petite salope de princesse est assise sur son mat en chair et Christian est dans le cul de ma femme. Elle adore se faire prendre de cette façon, après la levrette, c'est ľunion qu'elle adore le plus. Deux queues dans son corps est son plus grand et inavouable plaisir.
Soudain je sens la langue de Séverine me manger littéralement l'anus, j'essaye de me dégager mais...
— Bouges pas ! Qu’elle m'ordonne.
De sa main, elle me prend le sexe pour le masser doucement. Ce traitement combiné à celui de sa langue est un délice.
— Ne bouges pas ou bien tu vas le regretter ! M’ordonne-t-elle.
Elle s'éloigne, fouille dans ce qui semble être un sac puis revient.
— Tu vas voir... Tu vas aimer grave ce que j'vais t'faire salope !
Je sens quelque chose de froid pousser contre mon anus, je me crispe mais Séverine saisit mes côtes ďamour et me donne un vigoureux coup de rein.
— Tu le sens là ? C'est mon gode-ceinture que toutes les petites salopes comme toi apprécient... Il ne va pas te mordre, il va juste te faire voir les étoiles !
Le gland factice fini par entrer et les va-et-vient commencent... Un peu douloureux au début, vu que cette salope ne m'a préparer à intromission qu'avec sa bave puis de plus en plus elle est devenue agréable. Elle me baise maintenant royalement, la situation est surréaliste... Ma femme sur la terrasse subissant une double pénétration et moi à l'étage, la regardant par la fenêtre en train de me faire enculer par une femme que je croyais "coincée".
— T'aime ça en prendre plein le cul... Hein... Petite salope ? Dis le que tu aimes ça !
— Oui j'aime ça !
— Plus fort... Qu'ils t'entendent !
— Oui j'aime ça ! Crie ai-je.
— Plus fort ! Dit-elle en me claquant les fesses.
— Ouiiiiii... C'est si boooooon de se faire enculer ! Hurle ai-je.
Ni caline, ni Albert et encore moins Christian ne lèvent la tête pour voir ďoù vient se cri. Je suis moi-même surpris par les mots qui sortent de ma bouche. Séverine s'accélère le rythme de ses introductions, son bassin claque sur mes fesses, une chaleur se fait ressentir dans mon ventre, de longs jets de sperme atterrissent sur le mur.
— Huuuummm ouiiiiii.Tu me fais jouir du cuuuuul....
— C'est bien petite salope, t'as été une bonne petite chienne. On se reverra, j'ai d'autre projet pour toi. Tu peux aller te coucher maintenant !
Comme un petit garçon, je fais ce que me dit cette femme et me mets au lit, elle rigole puis quitte la chambre. Au moment où ses pas descendent l'escalier, j'entends ma femme qui jouit à son tours.
J'entends Séverine les rejoindre et demander :
— Alors les garçons ? Vous avez bien fait mumuse avec la femme de notre ami ?
— Oh que oui ! Répond Christian. Elle a presque un si beau cul que toi ma chérie !
— T'étais où tout ce temps ? Demande Albert.
— Entrain d'enculer ton ami !
— Ah oui... On a entendu ! Dit Christian.
— J'en étais sûre que Hamed aime la bite ! Commente mon cher ami Albert.
Ainsi s'achève cette soirée vraiment particulière.
À suivre...
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la concepti00on de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
30.07.2003
Cela fait maintenant 2 jours que Caline a calmé cette démangeaison qui lui chatouillait sa petite chatte avec ces jeunes.
— Caline... Il y a une question qui me revient toujours ?
— Oui chéri ?
— Cette partie de jambes en l'air avec les 2 zozos... Elle... Comment dire... Elle n'était pas si... Exceptionnelle !
— Tu as raison ! J'ai de suite senti qu'ils leurs manquaient de... Professionnalisme... Et au fond... je n'étais pas très rassurée car je ne te savais pas présent !
— Et... Si tu avais su que je vous observais ?
— J'aurais sûrement fait plus !
Ce soir nous avons rendez-vous chez un ami Albert De Moustaque, fils d'un papa qui a les poches qui débordent de tunes... Avec Albert, nous avons un point commun : nous sommes tous deux du signe du scorpion et fait plus incroyable, nous sommes né le même jour le 03.11 mais il est mon aîné de 2 ans. Ses parents sont des aristos mais très humbles bien que très riches, quoique à mon sens, la richesse pécuniaire n'est pas la plus importante... Nous philosopherons une autre fois. Pendant plus de 15 ans, ils venaient chaque année passer 1 mois de vacances à ľhôtel que gère mon père. À force, on a fait connaissance et sommes devenus d'assez bons amis. On a fait les 400 coups ensemble, nos premières beuveries et surtout nos premières parties de jambes en l'air... Je veux dire par là, on a draguer, un été, 2 filles avec qui on avait fini la soirée à les baiser à la plage, après un bain de minuit fait dans les règles de l'art (je parle du bain de minuit) sans rien... C’est de là (j'en suis certain) qu'ont débuté mes fantasmes les plus coquins.
Sa famille possède une maison secondaire à quelques dizaines de kilomètres de notre camping et par "chance", Albert y passe quelques jours. Lors d'un coup de fil il m'a précisé sa présence dans ces lieux et on a programmé de se voir.
À 9h du mat, Caline décide d'allé faire des courses pour remplir le frigo, moi je reste là à me détendre sur la terrasse de notre mobil-home. Je regarde le camping se réveiller peu à peu, j'aime bien ça. D'ailleurs sur l'emplacement d'en face, un couple de notre tranche d'âge, la trentaine. Elle est brune, de taille moyenne avec beaucoup de charme et lui assez grand, mince les yeux bleu. Ils ont de jeunes enfants qui occupent la majorité de leur temps et ne leur en laisse plus pour eux.
Heureusement que mes beaux-parents avaient accepté de garder ma fille pour ne pas avoir cet inconvénient. Le mari est sur la terrasse comme moi et gère le petit déjeuner des deux garnements tandis que sa femme va se doucher. Le bruit de l'eau attire mon attention vers la fenêtre de la salle d'eau flouté, je peux voir que celle-ci est entrouverte me laissant une superbe vue sur la douche. Pour le moment, rien, juste de l'eau qui coule, je vois seulement une forme qui se déshabille à travers la fenêtre. Je n'ai pas eu longtemps à attendre pour la voir entrer dans sa douche. Elle est encore plus jolie nue. L'eau ruisselle sur sa peau déjà bronzé, sa tête penché en arrière, ses mains dans ses cheveux me laissent une vue magnifique sur cette poitrine lourde et blanche. Je suis hypnotisé par ce que je vois, mes yeux, remontent vers son visage et croisent les siens.
Elle me voit !
Mon rythme cardiaque s'accélère !
Que va t'elle faire ?
Hurler ?
Crier à son mari qu'un homme la regarde pendant sa douche ?
Ou simplement fermer la fenêtre ?
Alors que je me prépare au scandale, à ma grande surprise, cette déesse n'en fait rien. Elle me sourie et continue son show, elle passe ses mains sur sa poitrine, la massant sensuellement tout en me fixant du regard. Cette vision est surréaliste... D'un côté le mari s'occupant des enfants et de l'autre sa femme faisant un spectacle hot de chez hot en me fixant. Mon sexe se dresse et j'ai du mal à dissimuler une certaine excitation, elle continue ses caresses de plus en plus intime en s'appuyant sur la parois de la cabine. Je la vois qu'elle descend le pommeau de douche vers son sexe, sa respiration s'accélère. Elle bascule sa tête en arrière et se mord les lèvres, son corps est prit de tremblements, elle est en train de jouir ! Elle me sourie à encore puis ferme la fenêtre. Je la vois à nouveau sur la terrasse, elle me fait, au passage, un clin d'œil. C'est sur cette fin agréable que je décide d'aller prendre à mon tour ma douche et me préparer.
Caline revient des courses. Après le rangement, un petit repas et quelques banalités nous voilà au début de ľaprès-midi et nous décidons de passer à la plage. La transparence du maillot de bain de Caline est trop bandante. La plage se termine sans encombre. Nous rentrons et sur le chemin croisons nos voisins d'en face, les salutations sont courtoises et la coquine épouse m'adresse un sourire complice.
Il est l'heure de se préparer pour aller chez Albert. Caline s'habille ďun chemisier rose avec un large décolleté ainsi qu'une jupe en jeans plutôt courte et les talons haut que j'affectionne tant. Elle est parfaitement maquillé, les cheveux tirés en arrière ce qui lui donne l'air sexy et en même temps décontracté. Mon ami habite à 30mn de notre lieu de vacances, le temps d'acheter une bouteille de vin rouge et nous voilà chez lui. Il vit dans une vieille maison de ville de deux étages qu'il a retaper avec goût. Celle-ci possède une grande terrasse de 50m² avec splendide barbecue, salon de jardin et jacuzzi se situant au premier étage. Albert et moi nous sautons dans les bras ľun de ľautre puis il se retourne et complimente Caline sur sa tenue. Ma femme satisfaite de l'effet qu'elle a fait sur mon ami, le remercie par un bisou sur la joue. Albert nous explique qu'un couple d'amis viendra nous rejoindre pour le repas, pour nous pas de problèmes :
— Les amis de mes amis sont mes amis comme on dit !
Le couple arrive vers 20 heures 30, l'homme, Christian, environ 45 ans, 1m80 plutôt sportif et assez charmeur. Elle, elle se nomme Séverine, même tranche d'âge, à peu près 1m75 blonde avec une petite paire de lunettes avec de fines montures qui lui donne un air coincé le tout emballé dans une robe d'été légère laissant deviner une poitrine généreuse.
Les politesses d'usage échanger et nous décidons de prendre l'apéro. Les filles s'installent côte à côte dans le canapé, moi à côté de Caline, Albert et Christian et moi face de nous. Les conversations vont bon train et l'alcool aidant, tout le monde se lâche. Albert nous raconte ses histoires en club libertin, c'est excitant cet univers, qu'il nous avoue, encore faut il avoir le courage d'y aller. Je remarque que Caline boit les paroles ďAlbert, je sens chez elle une certaine excitation, d'ailleurs ses jambes sont légèrement écartées. J'en profite pour relater quelques unes de mes aventures sans préciser que la partenaire féminine de mes récits est ma femme. Caline fait semblant d'être surprise par mes révélations et qu'elle n'aurait pas accepté d'être l'actrice d'un de mes aventures.
— Bizarre Caline... Toi aussi tu es du signe du scorpion et... J'en ai peu connu de scorpions des deux sexes qui ne soient pas... Comment dire... Attirées par des aventures sexuelles ! Dit Albert.
— Je confirme, bien que je n'ai le témoignage que d'une seule amie scorpionne ! Nous dit Séverine.
— On a là, par exemple, une preuve en live... Dis-je.
— Hein... De quoi tu parles ? Me demande Christian.
— Les gars j'espère que vous avez bien profité puisque cette coquine de Caline ne comprend pas mes avertissements... Chérie... Tu devrais un peu serrer tes cuisses car on a une formidable vue sur ta culotte !
— Haaa ďaccord... C'était ça que tu cherchais à me dire depuis tout à l'heure ? Où est le blems... Qui n'en porte pas... Ce n'est qu'une culotte et puis... Qui te dit que j'en porte une ?
Tout le monde éclate de rire sauf moi car j'essaie de faire le mec sérieux et Albert me confirme :
— Te fais pas de soucis mec... Ta femme porte bien une culotte !
Cette confirmation déclenche un nouveau fou rire.
Nous passons enfin à table... Le repas est excellent, les bouteilles continuent à se vider ce qui a un effet désinhibant sur l'ensemble des convives. Albert me demande si nous avons ramené nos maillots de bain pour faire un passage dans le jacuzzi.
— Non, tu ne m'avais pas dit de les ramener !
— C'est pas grave... De toute façon... Il n'y a aucun écriteau qui nous interdit ďen faire sans... Moi, ça ne me gène pas !
— Non... C’est gentil cher ami... Mais il se fait tard là, et on doit encore se taper 30 bornes !
— Tu déconnes là mec... Vous n'allez pas rentrer ? Avec tout ce que tu as bu, je ne donne pas cher de ta peau... Jamais tu ne joindras ton lit en un seul morceau... Vous devriez dormir ici, c'est plus prudent et franchement j'avais prévu le coup et je vous ai préparé une chambre pour toi et une autre pour Christian !
— Tu as raison mec comme toujours ! Répond ai-je, avant de rajouter — Bon, excusez moi, je ne veux pas plomber cette fin de soirée mais j'ai un coup de barre là... Je vous laisse vous amuser entre vous... Et s'il vous plaît... Ne faites pas trop de bruits !
En m'adressant à ma princesse :
— Tu as ta "carte blanche" !
Je peux voir dans les traits du visage de nos amis un air ďincompréhension à cette dernière phrase, et un large sourire sur le visage de Caline. "Carte blanche" est notre code pour exprimer notre (mon) total accord pour prendre part à des jeux coquins si jeux coquins il y a. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que, comme tout bon scorpion qui se respecte, Albert a une envie, une idée coquine derrière cette proposition de jacuzzi.
Effectivement, une fois que mon ami Albert a eu la bonté de me désigner notre chambre pour la nuit, de par la fenêtre, je constate que j'ai une vue parfaite sur le jacuzzi. Malgré cette excitation développée après toutes les idées que je me suis faite, en m'imaginant cette fin de soirée, une fatigue que l'alcool a accentué, fait de moi un candidat rapide au sommeil. Des rires me sortent de mon sommeil, ma main tâte pour chercher ma femme... Rien, je tourne la tète mais Caline n'est pas là et visiblement ses vêtements non plu. D'ailleurs je ne me rappelle pas l'avoir vu... A-t-elle suivi mes recommandations ?
J'en suis sûre !
Je me lève, me dirige vers la fenêtre et vois Albert et Christian, visiblement nu dans le jacuzzi parlant à une troisième personne que je ne vois pas. J'imagine que c'est Séverine puisqu'elle n'est pas dans le jacuzzi et que les paroles la concernant sont assez familières.
— Viens... Te fait pas prier on sait que tu en meurs d'envie ! Que dit Albert.
— À poils beauté, on va être bien tous ensemble ! Crie presque Christian.
C'est sûre maintenant, ils doivent converser avec Séverine. Il me reste à résoudre l'énigme où est Caline ?
Peut-être est elle au toilettes ?
Toujours est-il que je décide de me laisser aller à mon passe-temps préfère, le voyeurisme. Je suis tout excité à l'idée de voir cette femme coincée se mettre nue devant ses deux mâles en rut.
Mon attente est récompensé en voyant effectivement Séverine avancer nue vers le jacuzzi. Elle a de très belles fesses, son corps est entièrement bronzé ce qui insinue qu'elle pratique le bronsage intégral, c'est donc étonnant qu'elle soit gène de se mettre nue devant son homme et Albert.
Elle monte les marches puis se glisse dans l'eau, embrasse son homme sur la bouche puis Albert et s'installe entre eux. Elle écarte les cuisses puis y glisse une de ses mains en se mordant les lèvres. Une sensation familière me reprend au moment ou Séverine s'adresse à une quatrième personne.
— À ton tour ma belle, déshabilles-toi et rejoins moi !
C'est à ce moment que Caline apparaît à mes yeux, avance vers eux, elle défait son chemisier, dégrafe son soutien gorge sous les encouragements du petit groupe.
— C’est bien ma coquine... Encore un petit effort et ce sera parfait ! Commente Albert.
Caline fait glisser sa jupe au sol, retire ses talons puis enlève le dernier bout de tissu qui cachait son intimité. Elle est maintenant nue et tous peuvent voir le Corps de ma princesse dans son intégralité. Elle monte dans le jacuzzi, des mains l'aide à enjamber le rebord, puis elle s'installe à son tour. Les trois compères se rapprochent de ma femmes, les baisers pleuvent, les caresses aussi. Elle n'hésite pas à rendre se qu'on lui offre. Je n'en crois pas mes yeux, ou plutôt si, et je suis heureux...
Il y a eu cette petite aventure au camping, maintenant mon ami d'enfance et ce couple... Lâches-toi petite princesse.
Les hommes se sont assis sur le bord du jacuzzi, Séverine suce Albert pendant que ma déesse branle Christian. Les deux hommes se félicitent tout en encourageant les deux femmes.
— Bon les gars... Vous avez eu votre petite gâterie, maintenant retour à l'envoyeur... Christian, Albert venez vous occuper de la chatte à cette coquine ! Suggère Séverine.
— Et toi alors ? Demande Caline tout sourire.
— Chuut ! Tu vas profiter de ses deux là, ce que je vais faire ne te regarde pas !
Caline se résigne et ne cherche pas à savoir plus puis porte le sexe de Christian à sa bouche pour le sucer. Albert passe derrière cette chienne qui pompe ce dard bien raide puis commence à la caresser, les gémissements de ma femme ne se font pas attendre, elle se cambre de plus en plus offrant son intimité à qui le veut, à qui la veut.
J'entend Séverine dire :
— Je pars chercher un ami... En attendant amusez-vous bien !
Son ami ? Encore une queue pour cette fin de soirée ? Et qui peut bien être son ami ?
Je continue de profiter du spectacle que Caline m'offre avec les deux hommes. Elle est maintenant culbuter violemment par Albert qui lui met de grands coups de bassin. Elle a du mal à continuer sa fellation. Les mots crus fusent, ils l'insultent, la traitent de tout les noms, se réjouissant ďavance en lui décrivant ce qu'ils vont lui faire.
Soudain, j'entends des bruits dans l'escalier, je me précipite dans le lit faisant mine de dormir. Séverine entre dans la chambre. De mes yeux mi-clos, je suis les courbes de son corps que la lumière du couloir m'éclaire. Elle se rapproche doucement, jette le draps à terre et caresse mon sexe déjà dur et y dépose un baiser.
— Ouvres les yeux petite salope, je sais que tu ne dors pas puisque je t'ai vu nous mater par la fenêtre... Ça t'excites de voir ta femme se faire baiser hein ?
Je fais toujours semblant de dormir, je ne sais pas comment réagir à tout ça
— Tu ne veux toujours pas ouvrir les yeux ? Tu finiras bien par changer d'avis crois moi ! Ils finissent tous par faire ce que je dis.
Elle se penche alors sur moi et avale ma queue, elle suce divinement bien, sa main serre ma bite fermement. Je ne donne pas plus de cinq minutes de ce traitement pour lui décharger entre ses lèvres, avec les cris de plaisir, qui chatouillent mes oreilles, que ma femme pousse et cela ne fait qu'accentuer mon excitation.
Voilà qu'elle change de position et se place en 69 au-dessus de moi, elle frotte son sexe sur ma bouche, je peux sentir son odeur, je continu de feindre le sommeil, mais je suis un mauvais acteur. Elle décide d'arrêter sa fellation pour s'empaler sur mon zob, qui entre nous, ne demande que ça.. Les mouvements de son bassin, me rendent dingue, enfin j'ouvre les yeux. Derrière ses lunettes, les yeux de Séverine me fixent ďun air sévère et elle me dit :
— Alors petite salope... Tu te décides enfin à ouvrir les yeux ? Je vais me faire un honneur... Une joie de te baiser pendant que ta femme en prend plein dans ses trous !
J'essaye de répondre mais elle m'ordonne de me taire.
— Lèves-toi et appuis-toi sur le bord de la fenêtre, je veux que tu regardes à quel point ta femme est une salope !
— Tu nous apprends rien là... Je le sais, elle le sais... Et on en est fier !
Je vois effectivement que Caline et ses amants, ne sont plus dans le jacuzzi mais sur le canapé. Albert est allongé, ma petite salope de princesse est assise sur son mat en chair et Christian est dans le cul de ma femme. Elle adore se faire prendre de cette façon, après la levrette, c'est ľunion qu'elle adore le plus. Deux queues dans son corps est son plus grand et inavouable plaisir.
Soudain je sens la langue de Séverine me manger littéralement l'anus, j'essaye de me dégager mais...
— Bouges pas ! Qu’elle m'ordonne.
De sa main, elle me prend le sexe pour le masser doucement. Ce traitement combiné à celui de sa langue est un délice.
— Ne bouges pas ou bien tu vas le regretter ! M’ordonne-t-elle.
Elle s'éloigne, fouille dans ce qui semble être un sac puis revient.
— Tu vas voir... Tu vas aimer grave ce que j'vais t'faire salope !
Je sens quelque chose de froid pousser contre mon anus, je me crispe mais Séverine saisit mes côtes ďamour et me donne un vigoureux coup de rein.
— Tu le sens là ? C'est mon gode-ceinture que toutes les petites salopes comme toi apprécient... Il ne va pas te mordre, il va juste te faire voir les étoiles !
Le gland factice fini par entrer et les va-et-vient commencent... Un peu douloureux au début, vu que cette salope ne m'a préparer à intromission qu'avec sa bave puis de plus en plus elle est devenue agréable. Elle me baise maintenant royalement, la situation est surréaliste... Ma femme sur la terrasse subissant une double pénétration et moi à l'étage, la regardant par la fenêtre en train de me faire enculer par une femme que je croyais "coincée".
— T'aime ça en prendre plein le cul... Hein... Petite salope ? Dis le que tu aimes ça !
— Oui j'aime ça !
— Plus fort... Qu'ils t'entendent !
— Oui j'aime ça ! Crie ai-je.
— Plus fort ! Dit-elle en me claquant les fesses.
— Ouiiiiii... C'est si boooooon de se faire enculer ! Hurle ai-je.
Ni caline, ni Albert et encore moins Christian ne lèvent la tête pour voir ďoù vient se cri. Je suis moi-même surpris par les mots qui sortent de ma bouche. Séverine s'accélère le rythme de ses introductions, son bassin claque sur mes fesses, une chaleur se fait ressentir dans mon ventre, de longs jets de sperme atterrissent sur le mur.
— Huuuummm ouiiiiii.Tu me fais jouir du cuuuuul....
— C'est bien petite salope, t'as été une bonne petite chienne. On se reverra, j'ai d'autre projet pour toi. Tu peux aller te coucher maintenant !
Comme un petit garçon, je fais ce que me dit cette femme et me mets au lit, elle rigole puis quitte la chambre. Au moment où ses pas descendent l'escalier, j'entends ma femme qui jouit à son tours.
J'entends Séverine les rejoindre et demander :
— Alors les garçons ? Vous avez bien fait mumuse avec la femme de notre ami ?
— Oh que oui ! Répond Christian. Elle a presque un si beau cul que toi ma chérie !
— T'étais où tout ce temps ? Demande Albert.
— Entrain d'enculer ton ami !
— Ah oui... On a entendu ! Dit Christian.
— J'en étais sûre que Hamed aime la bite ! Commente mon cher ami Albert.
Ainsi s'achève cette soirée vraiment particulière.
À suivre...
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