Vacances du 28.07.2003 3/4
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 52 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Cher Tamis ont reçu un total de 148 960 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2024 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 2 277 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Vacances du 28.07.2003 3/4
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la concepti00on de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
31.07.2003
De retour au camping, nous n'avons échangé aucun mot sur ce qui c'était passé la nuit dernière. Et le petit train-train des vacances revient, en nous dirigeant vers notre emplacement nous croisons nos voisins et leurs enfants. Il s'appelle François, il a 34 ans et il travaille dans une agence banquaire à Poitier et elle se nomme Cindy, a 28 ans et bosse comme comptable dans une société de peinture en bâtiment. Nous échangeons quelques mots puis ils nous proposent de venir boire l'apéro ce soir, si nous n'avons rien de prévu. Rendez-vous est pris pour ce soir, la petite famille reprend son chemin pour aller faire des courses et nous, nous nous rendons à notre mobil-home.
Il ne fait pas très beau aujourd'hui, nous décidons donc d'aller visiter un de ces joli village fortifié de la région.
Le temps gris mais pas froid, ma femme met un short, un débardeur et des petites tennis blanches. Moi je porte une chemisette rouge, un bermuda en jean, des baskets et prends mon appareil photo, qui a brillé par son absence ces derniers jours... Je m'en mords les doigts.
Une heure de route et à chaque fois que je pose mes yeux sur ma princesse, je peux voir que son visage est radieux et détendu comme toute femme qui a bien jouit. Nous discutons de chose et d'autres pendant le trajet, je lui rappelle encore et encore que j'ai de la chance d'avoir une si belle et si coquine épouse.
Nous voilà arrivé, je me garer dans le centre ville où se trouve le vieux Pézenas. Nous déambulons dans ces petites ruelles, c'est très beau, ces vieux bâtiments ornés de vieilles portes cachant des trésors architecturaux. Caline et moi sommes sous le charme, imaginant les têtes couronnées qui sont passées par ici. J'immortalise la visite en faisant quelques clichés puis ma muse se met à poser prenant des poses, au début, loufoques. Puis, sans que je lui demande quoi que ce soit, elle se met à prendre des poses plus érotiques, relevant légèrement son débardeur pour laisser apparaitre son nombril ou déboutonnant son short. Nous continuons notre visite et lui fait part de l'excitation que cette petite série de photos a eu sur moi. Ma petite princesse me regarde d'un air coquin et me dit :
— Tu n'as encore rien vu mon petit cochon !
Je vais la prendre au mot, car il y a de quoi improviser ici et avec mon appareil.. Et pendant la visite de l'église je lui demande si elle est toujours prête à continuer.
— Je vais prendre quelques clichés, tu veux bien te mettre ici ?
— Ici ?
— Oui, comme ça... Hummm que tu es jolie... Vas-y... Allumes le feu "de l'enfer"!
Caline prend une pose à l'endroit indiqué, mon œil de photographe amateur a de suite saisi le bon emplacement où elle sera invisible aux yeux des autres touristes, bien qu'une petite exhib ne sera pas de refus. Quand je dégaine mon appareil pour la mitrailler je lui dis :
— Chérie... Fais moi une pose comme tu sais si bien les faire !
— Qu'est ce que tu veux dire ?
— Avec tes poses excitantes, comme tout à l'heure et j'ai bien l'intention de continuer ce que tu as commencé.
— Pas ici c'est une église !
— Ah ouiiiii -Dis-je avant de rajouter-Excusez moi cher Jésus mais avec ma meuf on a bien l'intention de pêcher... Quelques photos excitantes et si t'as des réclamations vas ľdire à Allah !
Caline relève un peu son débardeur et laisse à nouveau apparaitre son nombril, je fait quelques shoot puis lui dis :
— Bon le nombril c'est fait il va falloir être un peu plus... "Pudique" maintenant mon cœur !
Pour mon plus grand bonheur, elle se met un doigt dans la bouche puis son autre main entre ses cuisses par dessus son short et ferme les yeux, comme si elle était entrain de jouir. On ne voit rien de son corps mais l'attitude est assez sexy. Nous décidons de changer d'endroit avant d'être surpris par quelqu'un et nous remontons les ruelles arrivant sur une place avec une jolie fontaine et quelques terrasses pour se rafraichir. Nous nous installons à l'une d'elles puis commandons des boissons fraiches. Caline me fait remarquer qu'il y a longtemps qu'elle n'a pas m'a vu aussi coquin.
— C'est vrai que nous avons mis de côté nos jeux coquins et pervers depuis ta grosse ! Que je lui réponds.
Elle rigole, moi aussi et décidons de continuer notre parcours. A chaque fois que nous nous retrouvons seul, Caline me fait une pose plus ou moins sexy puis nous arrivons dans une cour intérieur, avec une espèce de chaise que l'on portait autrefois pour promener certaines personnes importantes et un tres bel escalier. Marion s'installe dans la chaise et une fois les quelques touristes montés dans l'escalier ou sortis, elle se met à baisser son short rapidement et relève son débardeur jusqu'a la gorge. Je prend une photo le plus vite possible pour éviter que des personnes entrant dans ces lieux ne voient ma femme dans cette tenue... Une fois la photo prise, ma petite coquine vient me rejoindre.
— Montre moi ce que ça donne ?
— Tiens regarde !
— Ah c'est pas mal, mais je dois pouvoir faire encore mieux.
Je lui lance un regard interrogateur.
— Bah tu voulais que je sois coquine, je le fais pour toi mon amour, c'est pour te faire plaisir.
— Pour nous faire plaisir, tu veux dire.
Les touristes sont redescendus des étages et se dirigent vers l'extérieur.
— Attend moi ici mon chéri et rejoins moi en haut dans 5 minutes !
J'attends et j'en profite pour jeter un coup œil dehors et je constate que la rue se vide des touristes. Il n'y a que quelques habitants ce qui nous assure un petit temps de calme. Estimant que ces 5 mn étaient passées je me mets en marche pour rejoindre l'amour de ma vie. Je remarque de suite que les tennis de Caline sont au milieu de l'escalier et comprends de suite que c'est un jeu de piste. Je prends en photo chaque indice et continu ma progression. Le débardeur est posé sur le sol du premier étage, je le ramasse et me précipite vers l'escalier suivant qui m'amène à son short posé lui aussi au milieu de l'escalier. Je cours pour trouver les autres indices avant que d'autres personnes ne rentrent et je trouve enfin les sous-vêtements noirs en dentelle que portait ma femme en venant faire cette visite.
— Bon je crois que... J'ai tout là, il ne me reste plus que celle qui les avait sur le dos ! Dis-je à haute voix.
Je me dirige vers le dernier étage pour retrouver ma femme forcement nue et j'image cachée dans un coin. C'est tout autre chose qui m'attend, à mi-parcours j'entend de légers gémissements, je continu le cœur battant et trouve Caline allongée, les jambes écartées, face à l'escalier, son sexe épilé et ses seins bronzés. Elle est là, comme offerte à cet individu qui est entrain de monter l'escalier (en l'occurrence : moi). Je prends le maximum de photo voulant immortaliser cette scène, Caline ouvre les yeux pour s'assurer de ma présence puis entre les râles et le bruit de ses doigts dans sa chatte, elle me dit :
— Sors ta queue... Je veux sucer une bite car je vais bientôt jouir !
Je m'exécute et approche mon sexe de cette bouche qui se veut gourmande, c'est tout bonnement irréel, ma femme se met à trembler prise par une violente jouissance et je suis sur le point de faire de même. Que c'est bon, je déverse tout dans sa bouche pendant qu'elle continue sa fellation. Soudain des paroles au rez de chaussée... On entend un couple qui monte, je regarde rapidement par dessus la rambarde et vois un couple d'environ 50 ans qui se dirige vers le dernier étage.
— Vite Caline rhabille toi !
— Détends-toi chéri, il n'y a rien de grave.
Je lui donne ses vêtements et commence à descendre loin d'avoir envie d'être surpris. Je croise le couple, leur dit bonjour puis continu ma descente. Me voilà en bas dans la cours, je regarde vers le haut. Je peux voir le couple qui arrive bientôt au dernier étage et ma femme qui me fait signe à l'étage au-dessus encore... Nue ! Je lui fais comprendre qu'il faut qu'elle se dépêche mais elle a une réaction inattendue ! Elle me montre ses vêtements, me les jette et commence sa descente. Je ramasse le tout et cherche cette coquine du regard, elle va croiser le couple.
— Bonjour, monsieur... Madame !
Caline, le plus naturellement possible continue la descente des marches. Je peux voir le regard étonné de l'homme et celui choquée de sa femme qui rouspète après cette femme qui s'exhibe ainsi. Caline fait fit de ces reproches et me retrouve avec un calme olympien, se rhabille et nous partons de Pézenas en riant pour aller retrouver Cindy et François pour l'apéro.
18h00, Nous retrouvons notre mobil-home et décidons de nous préparer pour le rendez vous de ce soir. Caline entre la première dans la douche, je la suis tout excité par notre petite aventure.
— Qu'est ce que tu fais ? Me demande-t-elle avec une certaine ironie.
— J'ai très envie de te baiser mon amour !
Je me place derrière elle, la plaque contre la paroi de douche puis glisse mon sexe dans sa petite chatte aux lèvres lisses. Les claquements de bassins contre ses fesse se mêlent aux gémissements de ma petite salope.
— Vas-y baises-moi ! Baises cette salope ! J'ai envie que tout le monde sache que je me fais tringler !
— Même par nos voisins ?
— Ouiiii... Je suis sûre et même plus que certaine, que Sophie n'a pas sentit la queue de son homme depuis un long moment... Ça lui fera quelque chose de nous entendre... Allez baises-moi plus fort chéri !
Au bout de quelques minutes nous jouissons. Le temps de reprendre nos esprits et nous enfilons nos vetements pour ce soir. Rien d'exceptionnel, jupe en jean et top blanc pour Caline et bermuda blanc et tee-shirt bleu pour moi.
En partant pour rejoindre nos nouveaux amis, Caline me glisse à l'oreille qu'elle n'a pas de sous-vêtements. Je la regarde, souris et nous traversons l'allée pour rejoindre la terrasse du mobil-home de Cindy et François.
Nous sommes accueillis chaleureusement par notre couple de voisin, elle s'est faite très belle, ses cheveux bruns tirés en arrière, une robe rouge très près du corps un peu gâché par la marque de ses sous-vêtements et des talons haut. Son mari, lui est en jeans et chemise noire.
François fait faire le tour rapide du locataire à Caline ce qui permet à Cindy de me glisser discrètement à l'oreille qu'elle a été très excitée se sachant observée lors de sa séance de masturbation l'autre jour puis me demande :
— Comment tu me trouve ce soir ?
— Très désirable... Mais il est dommage de voir la trace de tes sous-vêtements sous ta robe.
Elle me fixe mais ne dit rien, Caline et François reviennent et nous nous mettons à table pour faire honneur à l'apéro que nos voisins nous ont préparé.
— Vos enfants ne sont pas là? demande Marion.
— Non, ils sont avec des copains avec qui ils ont sympatisés ici ! Répond François.
Alors que nous conversions, Cindy entre dans le mobil-home, puis elle revient. François trop occupé à faire la conversation à ma femme ne remarque pas l'aller retour de sa femme.
— J'ai enlevé mon soutien-gorge. Me chuchote Cindy.
— Je vois mais il y a toujours ton string !
— ....
Elle me fixe et se lève à nouveau, elle s'arrange pour que je puisse l'apercevoir dans l'encadrement de la porte, remonte sa robe, descend rapidement son string et replace sa robe. La revoilà qui se remet à table et me dit :
— Et maintenant ?
— C'est mieux !
— Chérie ! Dit François. Je vais aller chercher des pizzas enfin si ca tente Caline et Hamed !
Nous répondons par l'affirmative et Caline dit qu'elle va l'accompagner si ça ne le gêne pas, car elle saura mieux choisir pour nous. Visiblement assez ravi, François se met en route avec ma femme.
— Nous voilà seuls pour au moins 30mn... Viens voir j'ai quelque chose à te montrer !
Je suis Cindy dans le mobil-home, elle referme la porte et m'emmène jusqu'à leur chambre. Elle ouvre l'armoire, fouille et sort un gode de belle taille.
— Voilà se qui me donne du plaisir depuis quelques mois ! François ne me touche plus et je dois me faire jouir toute seule. Je ne l'ai jamais trompé mais depuis que tu m'as surprise dans ma douche, je ne voulais pas m'exhiber mais c'est venu comme ça et depuis... Je ne pense qu'à ça !
— C'est à dire ? À t'exhiber ?
— À goûter à ton membre qui fait tant jouir ta femme !
Elle relève sa robe puis frotte son gode contre sa chatte, elle me fixe puis ses yeux descendent pour fixer la braguette de mon bermuda. J'ouvre ma braguette, sors mon sexe, à moitié dur, de sa cage. Cindy s'assois sur le bord du lit les jambes grandes ouvertes et tout en continuant de frotter son gode contre sa chatte, elle attrape ma queue et commence à la branler.
Je laisse échapper un soupir de satisfaction au moment où sa bouche, de mère au foyer, avale mon sexe. On se croirait dans un film porno, elle suce comme si elle avait été privé de sexe pendant des années.
— Attends... Je vais enlever ma robe, si tu savais comme je suis en manque, je me surprends à vouloir faire des trucs dingues !
— Et tu es prête à tout ?
— Tout ? Chai pas mais... Je crois que oui !
— On verra, dorénavant tu devras faire tout ce que je veux... D'accord?
— Oui... Mais baises-moi là s'il te plait avant qu'ils ne reviennent !
Je lui relève les jambes et plonge ma bite au fond de sa chatte toute humide, elle est chaude et étroite, mes coups de reins deviennent de plus en plus rapide et Cindy m'encourage :
— Oh ouiiii... Baises-moi... C'est est bon... Huummmm !
— Suces ton gode pendant que j'te baise ptite salope !
Cindy porte son gode à la bouche et le suce avec conviction. Je vois ses seins lourds se balancer, cela m'excite de baiser cette femme pendant que son mari est partit nous chercher à manger... Elle se déboîte, se met à 4 pattes et me dit :
— Prends moi comme une chienne !
Je ne peux que répondre rapidement à une si douce demande. La prends ainsi offerte. Mon regard se pose sur ce petit trou... Je encore entrain de me demander si elle s'est déjà fait enculer, quand son corps vibre... Elle est secouée ďune onde de jouissance, explosant bruyamment puis me dit :
— Branles-toi... Je veux que tu jouisses sur mes fesses !
Je m'active et en quelques secondes, voyant que cette respectable dame est passée de "mère de famille" à celui de "salope" !
J'envoie un long jet de sperme sur les fesses blanches de Cindy. Elle s'allonge sur le coté, me regarde en souriant tout en frottant son jouet sur sa poitrine.
— J'ai beaucoup aimé, cela faisait un sacré bout de temps que je m'étais faite baisé !
— Et bien il y aura beaucoup d'autres fois si tu fais tout ce que je te demande... Donne moi ton numéro de GSM, je pourrais te dicter ce que tu dois faire plus discrètement... Mais fais gaffes à supprimer les messages que je t'envoie !
Une fois le numéro enregistré, un peu de nettoyage puis nous retournons sur la terrasse pour attendre nos moitié. Ils arriveront 10mn plus tard.
— Vous en avez mis du temps ! Il y avait tant de monde ? Demande Cindy.
— Heu oui oui ! Répond François l'air gêné.
Nous passons à table, le reste de la soirée se passe normalement et nous nous quittons vers 00h30. Nous rentrons donc dans notre mobil-home quand je sens que mon portable vibre dans ma poche. Je n'attends pas que Caline s'éloigne et sors mon téléphone pour lire le message et surprise !! Ce n'est pas Cindy mais Séverine qui m'envoie un message que je lisà haute voix.
"Bonsoir petite salope ! J'espère que ton petit cul s'est bien remis, mais ne crois pas que j'en ai terminé avec toi, je me doute que tu n'as rien dit à ta femme (ah si elle savait qu'on s'était juré de ne rien se cacher !) alors si tu ne veux pas qu'elle sache que tu as adoré te faire enculer, tu devras être mon jouet pendant le reste de tes vacances en m'envoyant des M.M.S comme preuve que tu m'obéis bien et peut-être que je te rendrais ta liberté pour ton retour à Paris..."
Moi qui venait de trouver une femme objet en la personne de Cindy pour le reste des vacances, me voila qu'à mon tour, je deviens le jouet de Séverine !
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la concepti00on de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S: si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouverts mon zob, j'aurais fait le tour de la terre :))
31.07.2003
De retour au camping, nous n'avons échangé aucun mot sur ce qui c'était passé la nuit dernière. Et le petit train-train des vacances revient, en nous dirigeant vers notre emplacement nous croisons nos voisins et leurs enfants. Il s'appelle François, il a 34 ans et il travaille dans une agence banquaire à Poitier et elle se nomme Cindy, a 28 ans et bosse comme comptable dans une société de peinture en bâtiment. Nous échangeons quelques mots puis ils nous proposent de venir boire l'apéro ce soir, si nous n'avons rien de prévu. Rendez-vous est pris pour ce soir, la petite famille reprend son chemin pour aller faire des courses et nous, nous nous rendons à notre mobil-home.
Il ne fait pas très beau aujourd'hui, nous décidons donc d'aller visiter un de ces joli village fortifié de la région.
Le temps gris mais pas froid, ma femme met un short, un débardeur et des petites tennis blanches. Moi je porte une chemisette rouge, un bermuda en jean, des baskets et prends mon appareil photo, qui a brillé par son absence ces derniers jours... Je m'en mords les doigts.
Une heure de route et à chaque fois que je pose mes yeux sur ma princesse, je peux voir que son visage est radieux et détendu comme toute femme qui a bien jouit. Nous discutons de chose et d'autres pendant le trajet, je lui rappelle encore et encore que j'ai de la chance d'avoir une si belle et si coquine épouse.
Nous voilà arrivé, je me garer dans le centre ville où se trouve le vieux Pézenas. Nous déambulons dans ces petites ruelles, c'est très beau, ces vieux bâtiments ornés de vieilles portes cachant des trésors architecturaux. Caline et moi sommes sous le charme, imaginant les têtes couronnées qui sont passées par ici. J'immortalise la visite en faisant quelques clichés puis ma muse se met à poser prenant des poses, au début, loufoques. Puis, sans que je lui demande quoi que ce soit, elle se met à prendre des poses plus érotiques, relevant légèrement son débardeur pour laisser apparaitre son nombril ou déboutonnant son short. Nous continuons notre visite et lui fait part de l'excitation que cette petite série de photos a eu sur moi. Ma petite princesse me regarde d'un air coquin et me dit :
— Tu n'as encore rien vu mon petit cochon !
Je vais la prendre au mot, car il y a de quoi improviser ici et avec mon appareil.. Et pendant la visite de l'église je lui demande si elle est toujours prête à continuer.
— Je vais prendre quelques clichés, tu veux bien te mettre ici ?
— Ici ?
— Oui, comme ça... Hummm que tu es jolie... Vas-y... Allumes le feu "de l'enfer"!
Caline prend une pose à l'endroit indiqué, mon œil de photographe amateur a de suite saisi le bon emplacement où elle sera invisible aux yeux des autres touristes, bien qu'une petite exhib ne sera pas de refus. Quand je dégaine mon appareil pour la mitrailler je lui dis :
— Chérie... Fais moi une pose comme tu sais si bien les faire !
— Qu'est ce que tu veux dire ?
— Avec tes poses excitantes, comme tout à l'heure et j'ai bien l'intention de continuer ce que tu as commencé.
— Pas ici c'est une église !
— Ah ouiiiii -Dis-je avant de rajouter-Excusez moi cher Jésus mais avec ma meuf on a bien l'intention de pêcher... Quelques photos excitantes et si t'as des réclamations vas ľdire à Allah !
Caline relève un peu son débardeur et laisse à nouveau apparaitre son nombril, je fait quelques shoot puis lui dis :
— Bon le nombril c'est fait il va falloir être un peu plus... "Pudique" maintenant mon cœur !
Pour mon plus grand bonheur, elle se met un doigt dans la bouche puis son autre main entre ses cuisses par dessus son short et ferme les yeux, comme si elle était entrain de jouir. On ne voit rien de son corps mais l'attitude est assez sexy. Nous décidons de changer d'endroit avant d'être surpris par quelqu'un et nous remontons les ruelles arrivant sur une place avec une jolie fontaine et quelques terrasses pour se rafraichir. Nous nous installons à l'une d'elles puis commandons des boissons fraiches. Caline me fait remarquer qu'il y a longtemps qu'elle n'a pas m'a vu aussi coquin.
— C'est vrai que nous avons mis de côté nos jeux coquins et pervers depuis ta grosse ! Que je lui réponds.
Elle rigole, moi aussi et décidons de continuer notre parcours. A chaque fois que nous nous retrouvons seul, Caline me fait une pose plus ou moins sexy puis nous arrivons dans une cour intérieur, avec une espèce de chaise que l'on portait autrefois pour promener certaines personnes importantes et un tres bel escalier. Marion s'installe dans la chaise et une fois les quelques touristes montés dans l'escalier ou sortis, elle se met à baisser son short rapidement et relève son débardeur jusqu'a la gorge. Je prend une photo le plus vite possible pour éviter que des personnes entrant dans ces lieux ne voient ma femme dans cette tenue... Une fois la photo prise, ma petite coquine vient me rejoindre.
— Montre moi ce que ça donne ?
— Tiens regarde !
— Ah c'est pas mal, mais je dois pouvoir faire encore mieux.
Je lui lance un regard interrogateur.
— Bah tu voulais que je sois coquine, je le fais pour toi mon amour, c'est pour te faire plaisir.
— Pour nous faire plaisir, tu veux dire.
Les touristes sont redescendus des étages et se dirigent vers l'extérieur.
— Attend moi ici mon chéri et rejoins moi en haut dans 5 minutes !
J'attends et j'en profite pour jeter un coup œil dehors et je constate que la rue se vide des touristes. Il n'y a que quelques habitants ce qui nous assure un petit temps de calme. Estimant que ces 5 mn étaient passées je me mets en marche pour rejoindre l'amour de ma vie. Je remarque de suite que les tennis de Caline sont au milieu de l'escalier et comprends de suite que c'est un jeu de piste. Je prends en photo chaque indice et continu ma progression. Le débardeur est posé sur le sol du premier étage, je le ramasse et me précipite vers l'escalier suivant qui m'amène à son short posé lui aussi au milieu de l'escalier. Je cours pour trouver les autres indices avant que d'autres personnes ne rentrent et je trouve enfin les sous-vêtements noirs en dentelle que portait ma femme en venant faire cette visite.
— Bon je crois que... J'ai tout là, il ne me reste plus que celle qui les avait sur le dos ! Dis-je à haute voix.
Je me dirige vers le dernier étage pour retrouver ma femme forcement nue et j'image cachée dans un coin. C'est tout autre chose qui m'attend, à mi-parcours j'entend de légers gémissements, je continu le cœur battant et trouve Caline allongée, les jambes écartées, face à l'escalier, son sexe épilé et ses seins bronzés. Elle est là, comme offerte à cet individu qui est entrain de monter l'escalier (en l'occurrence : moi). Je prends le maximum de photo voulant immortaliser cette scène, Caline ouvre les yeux pour s'assurer de ma présence puis entre les râles et le bruit de ses doigts dans sa chatte, elle me dit :
— Sors ta queue... Je veux sucer une bite car je vais bientôt jouir !
Je m'exécute et approche mon sexe de cette bouche qui se veut gourmande, c'est tout bonnement irréel, ma femme se met à trembler prise par une violente jouissance et je suis sur le point de faire de même. Que c'est bon, je déverse tout dans sa bouche pendant qu'elle continue sa fellation. Soudain des paroles au rez de chaussée... On entend un couple qui monte, je regarde rapidement par dessus la rambarde et vois un couple d'environ 50 ans qui se dirige vers le dernier étage.
— Vite Caline rhabille toi !
— Détends-toi chéri, il n'y a rien de grave.
Je lui donne ses vêtements et commence à descendre loin d'avoir envie d'être surpris. Je croise le couple, leur dit bonjour puis continu ma descente. Me voilà en bas dans la cours, je regarde vers le haut. Je peux voir le couple qui arrive bientôt au dernier étage et ma femme qui me fait signe à l'étage au-dessus encore... Nue ! Je lui fais comprendre qu'il faut qu'elle se dépêche mais elle a une réaction inattendue ! Elle me montre ses vêtements, me les jette et commence sa descente. Je ramasse le tout et cherche cette coquine du regard, elle va croiser le couple.
— Bonjour, monsieur... Madame !
Caline, le plus naturellement possible continue la descente des marches. Je peux voir le regard étonné de l'homme et celui choquée de sa femme qui rouspète après cette femme qui s'exhibe ainsi. Caline fait fit de ces reproches et me retrouve avec un calme olympien, se rhabille et nous partons de Pézenas en riant pour aller retrouver Cindy et François pour l'apéro.
18h00, Nous retrouvons notre mobil-home et décidons de nous préparer pour le rendez vous de ce soir. Caline entre la première dans la douche, je la suis tout excité par notre petite aventure.
— Qu'est ce que tu fais ? Me demande-t-elle avec une certaine ironie.
— J'ai très envie de te baiser mon amour !
Je me place derrière elle, la plaque contre la paroi de douche puis glisse mon sexe dans sa petite chatte aux lèvres lisses. Les claquements de bassins contre ses fesse se mêlent aux gémissements de ma petite salope.
— Vas-y baises-moi ! Baises cette salope ! J'ai envie que tout le monde sache que je me fais tringler !
— Même par nos voisins ?
— Ouiiii... Je suis sûre et même plus que certaine, que Sophie n'a pas sentit la queue de son homme depuis un long moment... Ça lui fera quelque chose de nous entendre... Allez baises-moi plus fort chéri !
Au bout de quelques minutes nous jouissons. Le temps de reprendre nos esprits et nous enfilons nos vetements pour ce soir. Rien d'exceptionnel, jupe en jean et top blanc pour Caline et bermuda blanc et tee-shirt bleu pour moi.
En partant pour rejoindre nos nouveaux amis, Caline me glisse à l'oreille qu'elle n'a pas de sous-vêtements. Je la regarde, souris et nous traversons l'allée pour rejoindre la terrasse du mobil-home de Cindy et François.
Nous sommes accueillis chaleureusement par notre couple de voisin, elle s'est faite très belle, ses cheveux bruns tirés en arrière, une robe rouge très près du corps un peu gâché par la marque de ses sous-vêtements et des talons haut. Son mari, lui est en jeans et chemise noire.
François fait faire le tour rapide du locataire à Caline ce qui permet à Cindy de me glisser discrètement à l'oreille qu'elle a été très excitée se sachant observée lors de sa séance de masturbation l'autre jour puis me demande :
— Comment tu me trouve ce soir ?
— Très désirable... Mais il est dommage de voir la trace de tes sous-vêtements sous ta robe.
Elle me fixe mais ne dit rien, Caline et François reviennent et nous nous mettons à table pour faire honneur à l'apéro que nos voisins nous ont préparé.
— Vos enfants ne sont pas là? demande Marion.
— Non, ils sont avec des copains avec qui ils ont sympatisés ici ! Répond François.
Alors que nous conversions, Cindy entre dans le mobil-home, puis elle revient. François trop occupé à faire la conversation à ma femme ne remarque pas l'aller retour de sa femme.
— J'ai enlevé mon soutien-gorge. Me chuchote Cindy.
— Je vois mais il y a toujours ton string !
— ....
Elle me fixe et se lève à nouveau, elle s'arrange pour que je puisse l'apercevoir dans l'encadrement de la porte, remonte sa robe, descend rapidement son string et replace sa robe. La revoilà qui se remet à table et me dit :
— Et maintenant ?
— C'est mieux !
— Chérie ! Dit François. Je vais aller chercher des pizzas enfin si ca tente Caline et Hamed !
Nous répondons par l'affirmative et Caline dit qu'elle va l'accompagner si ça ne le gêne pas, car elle saura mieux choisir pour nous. Visiblement assez ravi, François se met en route avec ma femme.
— Nous voilà seuls pour au moins 30mn... Viens voir j'ai quelque chose à te montrer !
Je suis Cindy dans le mobil-home, elle referme la porte et m'emmène jusqu'à leur chambre. Elle ouvre l'armoire, fouille et sort un gode de belle taille.
— Voilà se qui me donne du plaisir depuis quelques mois ! François ne me touche plus et je dois me faire jouir toute seule. Je ne l'ai jamais trompé mais depuis que tu m'as surprise dans ma douche, je ne voulais pas m'exhiber mais c'est venu comme ça et depuis... Je ne pense qu'à ça !
— C'est à dire ? À t'exhiber ?
— À goûter à ton membre qui fait tant jouir ta femme !
Elle relève sa robe puis frotte son gode contre sa chatte, elle me fixe puis ses yeux descendent pour fixer la braguette de mon bermuda. J'ouvre ma braguette, sors mon sexe, à moitié dur, de sa cage. Cindy s'assois sur le bord du lit les jambes grandes ouvertes et tout en continuant de frotter son gode contre sa chatte, elle attrape ma queue et commence à la branler.
Je laisse échapper un soupir de satisfaction au moment où sa bouche, de mère au foyer, avale mon sexe. On se croirait dans un film porno, elle suce comme si elle avait été privé de sexe pendant des années.
— Attends... Je vais enlever ma robe, si tu savais comme je suis en manque, je me surprends à vouloir faire des trucs dingues !
— Et tu es prête à tout ?
— Tout ? Chai pas mais... Je crois que oui !
— On verra, dorénavant tu devras faire tout ce que je veux... D'accord?
— Oui... Mais baises-moi là s'il te plait avant qu'ils ne reviennent !
Je lui relève les jambes et plonge ma bite au fond de sa chatte toute humide, elle est chaude et étroite, mes coups de reins deviennent de plus en plus rapide et Cindy m'encourage :
— Oh ouiiii... Baises-moi... C'est est bon... Huummmm !
— Suces ton gode pendant que j'te baise ptite salope !
Cindy porte son gode à la bouche et le suce avec conviction. Je vois ses seins lourds se balancer, cela m'excite de baiser cette femme pendant que son mari est partit nous chercher à manger... Elle se déboîte, se met à 4 pattes et me dit :
— Prends moi comme une chienne !
Je ne peux que répondre rapidement à une si douce demande. La prends ainsi offerte. Mon regard se pose sur ce petit trou... Je encore entrain de me demander si elle s'est déjà fait enculer, quand son corps vibre... Elle est secouée ďune onde de jouissance, explosant bruyamment puis me dit :
— Branles-toi... Je veux que tu jouisses sur mes fesses !
Je m'active et en quelques secondes, voyant que cette respectable dame est passée de "mère de famille" à celui de "salope" !
J'envoie un long jet de sperme sur les fesses blanches de Cindy. Elle s'allonge sur le coté, me regarde en souriant tout en frottant son jouet sur sa poitrine.
— J'ai beaucoup aimé, cela faisait un sacré bout de temps que je m'étais faite baisé !
— Et bien il y aura beaucoup d'autres fois si tu fais tout ce que je te demande... Donne moi ton numéro de GSM, je pourrais te dicter ce que tu dois faire plus discrètement... Mais fais gaffes à supprimer les messages que je t'envoie !
Une fois le numéro enregistré, un peu de nettoyage puis nous retournons sur la terrasse pour attendre nos moitié. Ils arriveront 10mn plus tard.
— Vous en avez mis du temps ! Il y avait tant de monde ? Demande Cindy.
— Heu oui oui ! Répond François l'air gêné.
Nous passons à table, le reste de la soirée se passe normalement et nous nous quittons vers 00h30. Nous rentrons donc dans notre mobil-home quand je sens que mon portable vibre dans ma poche. Je n'attends pas que Caline s'éloigne et sors mon téléphone pour lire le message et surprise !! Ce n'est pas Cindy mais Séverine qui m'envoie un message que je lisà haute voix.
"Bonsoir petite salope ! J'espère que ton petit cul s'est bien remis, mais ne crois pas que j'en ai terminé avec toi, je me doute que tu n'as rien dit à ta femme (ah si elle savait qu'on s'était juré de ne rien se cacher !) alors si tu ne veux pas qu'elle sache que tu as adoré te faire enculer, tu devras être mon jouet pendant le reste de tes vacances en m'envoyant des M.M.S comme preuve que tu m'obéis bien et peut-être que je te rendrais ta liberté pour ton retour à Paris..."
Moi qui venait de trouver une femme objet en la personne de Cindy pour le reste des vacances, me voila qu'à mon tour, je deviens le jouet de Séverine !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Cher Tamis
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...