Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1233)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1233)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1233) –
- En position au centre de la pièce, c’est à ton tour de nous divertir, annonce-t-Il d’un ton dominant…
La jeune femme obtempère sans tarder, offrant une position parfaite à l’assistance, les délectant de la vue de ses formes parfaitement équilibrées, de sa beauté exquise, de toute la splendeur de sa féminité dans sa parfaite nudité…
- Quand t’es-tu touchée pour la dernière fois ?
- Avant de connaitre la joie d’être à Vos pieds, Maître, répond-t-elle avec sincérité.
- Voilà une soumise obéissante qui sait se retenir, fait-Il remarquer bien fort. Bien, je t’avais promis la jouissance lors de ma prochaine venue, tu l’as amplement méritée. Tu vas donc pouvoir l’atteindre, en te touchant, te caressant, sans retenue, là devant nous. Alors, commence, Ma bonne chienne si dévouée et surtout fidèle au Maître …
Monsieur le Marquis d’Evans dit cela en dévisageant Sophie d’un sévère regard… Quant à Vanessa, elle est étonnée de cette exigence, elle n’a jamais reçu un tel ordre. Elle est heureuse de pouvoir jouir, mais ressent une certaine gêne à obtenir l’orgasme de la sorte. Toutefois elle a connu pire humiliation et s’applique donc pour offrir un spectacle agréable, scabreux, lubrique et sensuel en exhibant et écartant au maximum ses cuisses avant de poser sa main sur son sexe déjà très humide. Vanessa excite son clitoris, puis pousse un doigt dans son vagin qu’elle ressort trempé. Elle le suce avec sensualité, et pose de nouveau sa main sur sa chatte, excitant habilement son bouton de chair si réceptif. Vanessa fait monter doucement son plaisir, sans oublier qu’elle doit se donner en spectacle, et plaire aux Maîtres qui la regardent. Alors elle ondule son bassin de manière lascive au rythme de ses attouchements fermant les yeux pour laisser sa jouissance venir. Après de longues minutes, l’orgasme arrive enfin, elle le laisse éclater dans un long cri de plaisir non dissimulé, son corps empli de spasmes se cambre irradié par des décharges électrique de bien-être. Sa cyprine coule sur ses doigts, sa bouche largement ouverte ainsi que ses yeux démontrent également tout le ressenti si agréable de la jouissance, avant de s’effondrer au sol, tremblante de ce plaisir orgasmique si longtemps souhaité.
Le Châtelain regarde ses acolytes et s’amuse de constater à la forme de leur pantalon que ce spectacle ne les a pas laissés indifférents. Il envoie un sourire entendu à Laurent qui hausse les épaules d’un air fataliste comme pour dire « que veux-tu, elle me fascine ». soumise Keira MDE reprend ses esprits et se remet immédiatement en position, prosternée face au Noble.
- Maître, merci de m’avoir autorisé cette si bonne jouissance.
- Je te l’avais promis, je tiens toujours mes promesses, tu as su la mériter, insiste Monsieur Le Marquis en regardant de nouveau Sophie pour lui faire prendre conscience de tout ce qu’elle a perdu.
- Bien, mes amis, que diriez-vous de terminer cette soirée au salon ? propose Laurent.
- Entendu, je termine ici et vous rejoins, accepte Le Noble.
Laurent et l’autre Maître quitte le donjon pour rejoindre le salon, alors que Monsieur Le Marquis se lève solennellement pour rejoindre Sophie. Il la toise encore de sa hauteur un moment, restant silencieux, l’observant déçu qu’elle ait trahit la confiance qu’Il avait placée en elle. Un long temps s’écoule sans aucun bruit… Puis au bout de quelques minutes, Il se décide à parler et c’est avec un ton triste, sincèrement triste et déçu que le Noble lui dit :
- Sophie, hélas, il est temps pour nous de nous quitter. Tu vas passer la nuit ici, dans la cage, à même le sol, sans même une couverture, ce sera ton avant-dernière sanction pour ne pas avoir respecté le fait de dormir nue. Et tu seras attachée évidemment, pour éviter que tu ne te donnes du plaisir encore une fois. Pour la sanction concernant ta trahison avec d’autres, tu l’auras compris, c’est ta liberté et ainsi ce sera ta dernière sanction. Demain on viendra te chercher, on te donnera tout ce qui est nécessaire pour ta nouvelle vie de femme, que tu ne sois pas dans le besoin comme je te l’ai déjà dit. Tu ne me verras plus jamais, je ne te ferais plus jamais l’honneur de t’adresser la parole, toutefois si un jour tu as un problème, tu pourras contacter mon secrétariat, il fera en sorte de t’aider à le résoudre, que ce soit matériellement ou financièrement. Adieu Sophie.
- Au … Au revoir Maître, un sanglot dans la voix- Non Sophie, ce n’est pas un au revoir, c’est un Adieu et il n’y a plus de Maître qui tienne.
- A… Adieu Monsieur, se reprend Sophie en éclatant en larmes à profusion, les mains sur son visage…
Sophie pleure comme elle n’a jamais pleuré de sa vie. Elle est emplie de remords, elle regrette profondément ce qu’elle a fait, prenant vraiment conscience de ses fautes. Sophie savait bien pourtant ce qu’elle risquait mais n’avait pas forcément conscience que le Noble serait si intransigeant. Elle comprend qu’il aurait été trop facile d’être punie et pardonnée, que fauter n’est pas sans conséquences et qu’il faut assumer ses erreurs en acceptant avec humilité le verdict final. L’exclusion est pour elle, la pire des sanctions, ne plus être aux pieds de Celui qui lui a fait confiance sera très difficile à supporter… Mais, résolue, elle sait qu’Il a raison d’avoir agi ainsi, qu’elle mérite ce qui lui arrive, mon dieu ce qu’elle peut avoir des regrets sincères... Elle prend simplement conscience qu’il est trop tard… Le Noble claque des doigts et soumise Keira MDE qui attendait toujours prosternée, le rejoint immédiatement.
- Occupe-toi d’elle et rejoins-nous de suite, ordonne-t-Il en tournant les talons sans un regard pour Sophie.
Malgré toute la colère que Vanessa ressent envers Sophie, elle ne peut s’empêcher de ressentir son désarroi. Alors c’est avec délicatesse qu’elle l’installe dans la cage sans couverture, puis qu’elle lui attache les poignets avant de refermer la porte. Sophie se met à pleurer sans discontinuer alors que Vanessa remonte les escaliers, rejoindre Le Maître. Elle arrive à la porte du salon et attend l’ordre d’entrer, Le Noble lui fait signe, aussitôt elle vient s’agenouiller à ses côtés. Le Châtelain pose sa main sous son menton pour plonger son regard dans le sien, lui sourit satisfait et annonce tout en retirant son collier.
- soumise Keira MDE, aucun faux pas ce soir, continue de Me rendre fier de la sorte, tu vas pouvoir laisser place à Vanessa pour la fin de la soirée, tes habits sont sur le fauteuil.
- Merci Maître, répond la jeune femme en s’inclinant tout en se levant pour se diriger vers ses habits.
Vanessa les passe et s’assoit dans le fauteuil entre Laurent et Monsieur Le Marquis. Les trois hommes reprennent leur conversation, l’invité parlant des soucis qu’il rencontre avec sa soumise. Mais Vanessa reste en retrait, pensive elle ne parvient pas à prendre part à la conversation, ce qui étonne Le Noble…
- Vanessa, tu n’as pas l’air bien, ça va ?, s’inquiète-t-Il sincèrement.
- Euh…oui … oui, je vous prie de bien vouloir m’excuser, je suis simplement un peu fatiguée.
- Fatiguée ? Hum, en d’autres circonstances ce mensonge aurait été sanctionné, accuse Le Noble. Je vois bien que quelque chose te perturbe, allons, parle sans hésiter, je te le permets.
- Je pense à Sophie, Maître.
- Le contraire m’eut étonné. Mais j’avais cru comprendre que tu ressentais une certaine antipathie à son égard, me serais-je trompé ?
- Non Maître, j’étais en colère contre elle, c’est vrai, pour avoir eu si peu de respect envers Votre Personne, Votre Marque, envers le Grand Maître mondialement connu et si renommé dans notre monde de la Domination/soumission que Vous êtes… Oui, tout le monde sait que Vous êtes une Référence pour beaucoup de Maîtres (esse) et soumis (se) et ça Sophie en n’a même pas eu conscience… Cela m’a peiné personnellement, dans mon orgueil de soumise MDE… Mais à contrario sa situation d’être exclue me chagrine, même si je comprends que cette ultime sanction était juste et nécessaire...
- Dans la vie, on doit assumer ses erreurs, quelles qu’elles soient.
- J’en ai bien conscience, encore une fois. Je réalise seulement que rien n’est jamais acquis, que porter Votre Marque ne veut pas dire qu’on l’a mérité, mais qu’on doit chaque jour démontrer qu’on la mérite.
- Ah ? Tu ne le réalises seulement que maintenant ?, s’étonne-t-Il.
- J’en avais conscience, mais la réalité est plus forte ce soir. J’espère ne jamais en arriver là.
- Cela faisait longtemps que Vanessa n’avait pas douté de ses capacités de soumise, n’est-ce pas, Laurent ?
Laurent, sourit au Noble.
- Effectivement, répond Le Commandant amusé.
- Je laisse le soin à l’éducateur de répondre, annonce Monsieur Le Marquis.
Laurent observe Vanessa d’un regard aimant, puis d’un ton très doux, il lui explique.
- Chérie, je ne suis pas devin, nul ne peut prédire ce que sera ton avenir de soumise. Mais à l’heure actuelle, je suis certain d’une chose, c’est que jamais tu ne déshonorerais la Marque de mon ami, le Maître qui te soumet, en toute conscience et, que jamais tu ne cacherais une faute. Tu as toujours assumé tes erreurs, même celles qui ne valaient pas la peine d’être retenues, tu as toujours eu à cœur d’approcher de la perfection dans ta soumission. Donc oui tu feras encore des fautes qui mériteront sanctions, mais je sais que tu les assumeras avec la dignité dû au rang d’une soumise MDE.
Vanessa ne répond rien, elle se contente de sourire à son amant tout en rougissant du compliment qu’il vient de lui faire.
- Laurent, vous n’êtes pas aussi passionné habituellement lorsque vous devez rassurer une soumise, s’amuse Le Châtelain.
- Probablement non, répond Le Commandant.
- Bien, nous allons prendre congé, demain Walter viendra chercher Sophie pour l’emmener là où elle le voudra, hors du Château, bien évidemment….
Tous se lèvent, Laurent et Vanessa raccompagnant leurs invités à la porte d’entrée. Ils se saluent, et les deux hommes entrent dans la Rolls Royce, conduite par Walter.
La soirée a été longue, Laurent propose à Vanessa d’aller se coucher directement, ce qu’elle accepte sans hésitation. Alors qu’elle s’allonge à ses côtés, il la retourne sur le ventre, massant délicatement son dos, elle ferme les yeux pour apprécier toute cette douceur. Après de longues minutes, elle sent qu’un objet a remplacé ses mains, elle le reconnaît immédiatement, c’est sa ceinture qui parcours avec délicatesse son corps.
- Il me semble avoir compris ce matin que tu avais envie d’y gouter, dit-il avec malice en la frappant légèrement avec.
- Oui Monsieur, merci de me faire cet honneur, répond-t-elle immédiatement.
- Vanessa, ce n’est pas l’éducateur qui agit là, tu n’as pas ton collier, si tu as envie que j’arrête, tu es libre de refuser.
- Non continue, je t’en prie, implore-t-elle sentant son excitation monter.
Laurent sourit, décidemment elle est faite pour ce monde, à n’en pas douter, il se rend compte de la chance qu’il a, de l’avoir rencontrée et de partager sa vie, de pouvoir vivre en toute transparence avec elle, sans cacher son moi profond.
Vanessa patiente, son fessier cambré, espérant sentir rapidement le cuir de sa ceinture, son corps frémissant, tout en elle est un appel à la luxure. Il frappe ses fesses offertes de quelques coups retenus, puis prend sa ceinture et la lui passe autour du coup pour s’en servir de laisse, avant de la redresser à quatre pattes devant lui. Il tient fermement la ceinture, serrant avec douceur son cou, cette simple action excite Vanessa qui ne tarde pas à sentir son plaisir couler le long de ses cuisses. La verge dressée et avec une extrême délicatesse Laurent la pénètre et, entreprend de lents va-et-vient, prenant son temps, souhaitant avant tout faire monter le plaisir de sa compagne ce qu’il ne tarde pas à obtenir… Après de longues minutes, il desserre sa ceinture du cou de sa compagne, prend ses deux mains puis il les place derrière son dos, puis lie ses poignets entre eux serrant la boucle avec douceur. Vanessa se retrouve la tête contre le matelas, les fesses tendues en arrière, le dos cambré, attendant qu’il la reprenne sentant son excitation monter. Il s’enfonce une nouvelle fois en elle, mais plus rapidement, engageant une véritable saillie qui emmène la jeune femme au bord de l’orgasme…
- Je t’en supplie, arrête, je ne vais pas me retenir, implore-t-elle.
- Alors ne te retiens pas, répond-t-il d’un ton joueur.
- Mais je n’ai pas l’autorisation.
- Personne n’est obligé de le savoir, ça peut rester entre nous, répond-t-il.
- Pardon ? répond-t-elle peu certaine d’avoir compris sa dernière phrase.
- Tu pourrais jouir ce soir sans que ce fait ne sorte de cette pièce, insiste-t-il.
- Hors de question ! s’offusque-t-elle, choquée que son compagnon puisse ainsi accepter qu’elle mente au Maître auquel elle appartient.
- Alors retiens-toi, termine-t-il d’un ton pervers, accélérant son mouvement.
Le Commandant termine rapidement en éjaculant en de longs flots saccadés de sperme chaud, pour ne pas pousser Vanessa à la faute, jouissant dans un long râle, tout en se déversant en elle. Il desserre ses liens, lui caresse amoureusement le dos, puis la retourne pour l’embrasser, mais elle détourne la tête fâchée.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’as pas aimé ? demande-t-il.
- Tu m’as encouragé à désobéir à Monsieur Le Marquis, je n’en reviens pas, je pensais que tu étais fidèle à son amitié et à sa confiance qu’il te porte. Et que tu respectais en priorité les engagements qu’implique notre appartenance à ce monde, répond-t-elle fâchée.
- Voyons chérie, c’était une simple démonstration, pour te prouver que tu étais incapable de désobéir sans en accepter les conséquences. Tu me connais pourtant, je suis étonné que tu n’aies pas compris, répond-t-il amusé. Tu sais bien que jamais, je dis bien, jamais, je ne trahirai Edouard… Il est comme mon grand frère…- Je…je suis désolée, répond-t-elle baissant les yeux.
- Je ne t’en veux pas, je suis heureux de constater ta fidélité, dit-il en l’embrassant.
- Et cette petite leçon était une exigence de Monsieur Le Marquis ?
- Non une de mes initiatives, pourquoi ?
- C’est malin, je venais d’évacuer une envie de jouissance de plusieurs semaines, et tu l’as ravivée en moins de quelques heures…
Laurent lui sourit, la prend dans ses bras comme pour se faire pardonner, sans un mot de plus, Vanessa s’endort …
(A suivre …)
- En position au centre de la pièce, c’est à ton tour de nous divertir, annonce-t-Il d’un ton dominant…
La jeune femme obtempère sans tarder, offrant une position parfaite à l’assistance, les délectant de la vue de ses formes parfaitement équilibrées, de sa beauté exquise, de toute la splendeur de sa féminité dans sa parfaite nudité…
- Quand t’es-tu touchée pour la dernière fois ?
- Avant de connaitre la joie d’être à Vos pieds, Maître, répond-t-elle avec sincérité.
- Voilà une soumise obéissante qui sait se retenir, fait-Il remarquer bien fort. Bien, je t’avais promis la jouissance lors de ma prochaine venue, tu l’as amplement méritée. Tu vas donc pouvoir l’atteindre, en te touchant, te caressant, sans retenue, là devant nous. Alors, commence, Ma bonne chienne si dévouée et surtout fidèle au Maître …
Monsieur le Marquis d’Evans dit cela en dévisageant Sophie d’un sévère regard… Quant à Vanessa, elle est étonnée de cette exigence, elle n’a jamais reçu un tel ordre. Elle est heureuse de pouvoir jouir, mais ressent une certaine gêne à obtenir l’orgasme de la sorte. Toutefois elle a connu pire humiliation et s’applique donc pour offrir un spectacle agréable, scabreux, lubrique et sensuel en exhibant et écartant au maximum ses cuisses avant de poser sa main sur son sexe déjà très humide. Vanessa excite son clitoris, puis pousse un doigt dans son vagin qu’elle ressort trempé. Elle le suce avec sensualité, et pose de nouveau sa main sur sa chatte, excitant habilement son bouton de chair si réceptif. Vanessa fait monter doucement son plaisir, sans oublier qu’elle doit se donner en spectacle, et plaire aux Maîtres qui la regardent. Alors elle ondule son bassin de manière lascive au rythme de ses attouchements fermant les yeux pour laisser sa jouissance venir. Après de longues minutes, l’orgasme arrive enfin, elle le laisse éclater dans un long cri de plaisir non dissimulé, son corps empli de spasmes se cambre irradié par des décharges électrique de bien-être. Sa cyprine coule sur ses doigts, sa bouche largement ouverte ainsi que ses yeux démontrent également tout le ressenti si agréable de la jouissance, avant de s’effondrer au sol, tremblante de ce plaisir orgasmique si longtemps souhaité.
Le Châtelain regarde ses acolytes et s’amuse de constater à la forme de leur pantalon que ce spectacle ne les a pas laissés indifférents. Il envoie un sourire entendu à Laurent qui hausse les épaules d’un air fataliste comme pour dire « que veux-tu, elle me fascine ». soumise Keira MDE reprend ses esprits et se remet immédiatement en position, prosternée face au Noble.
- Maître, merci de m’avoir autorisé cette si bonne jouissance.
- Je te l’avais promis, je tiens toujours mes promesses, tu as su la mériter, insiste Monsieur Le Marquis en regardant de nouveau Sophie pour lui faire prendre conscience de tout ce qu’elle a perdu.
- Bien, mes amis, que diriez-vous de terminer cette soirée au salon ? propose Laurent.
- Entendu, je termine ici et vous rejoins, accepte Le Noble.
Laurent et l’autre Maître quitte le donjon pour rejoindre le salon, alors que Monsieur Le Marquis se lève solennellement pour rejoindre Sophie. Il la toise encore de sa hauteur un moment, restant silencieux, l’observant déçu qu’elle ait trahit la confiance qu’Il avait placée en elle. Un long temps s’écoule sans aucun bruit… Puis au bout de quelques minutes, Il se décide à parler et c’est avec un ton triste, sincèrement triste et déçu que le Noble lui dit :
- Sophie, hélas, il est temps pour nous de nous quitter. Tu vas passer la nuit ici, dans la cage, à même le sol, sans même une couverture, ce sera ton avant-dernière sanction pour ne pas avoir respecté le fait de dormir nue. Et tu seras attachée évidemment, pour éviter que tu ne te donnes du plaisir encore une fois. Pour la sanction concernant ta trahison avec d’autres, tu l’auras compris, c’est ta liberté et ainsi ce sera ta dernière sanction. Demain on viendra te chercher, on te donnera tout ce qui est nécessaire pour ta nouvelle vie de femme, que tu ne sois pas dans le besoin comme je te l’ai déjà dit. Tu ne me verras plus jamais, je ne te ferais plus jamais l’honneur de t’adresser la parole, toutefois si un jour tu as un problème, tu pourras contacter mon secrétariat, il fera en sorte de t’aider à le résoudre, que ce soit matériellement ou financièrement. Adieu Sophie.
- Au … Au revoir Maître, un sanglot dans la voix- Non Sophie, ce n’est pas un au revoir, c’est un Adieu et il n’y a plus de Maître qui tienne.
- A… Adieu Monsieur, se reprend Sophie en éclatant en larmes à profusion, les mains sur son visage…
Sophie pleure comme elle n’a jamais pleuré de sa vie. Elle est emplie de remords, elle regrette profondément ce qu’elle a fait, prenant vraiment conscience de ses fautes. Sophie savait bien pourtant ce qu’elle risquait mais n’avait pas forcément conscience que le Noble serait si intransigeant. Elle comprend qu’il aurait été trop facile d’être punie et pardonnée, que fauter n’est pas sans conséquences et qu’il faut assumer ses erreurs en acceptant avec humilité le verdict final. L’exclusion est pour elle, la pire des sanctions, ne plus être aux pieds de Celui qui lui a fait confiance sera très difficile à supporter… Mais, résolue, elle sait qu’Il a raison d’avoir agi ainsi, qu’elle mérite ce qui lui arrive, mon dieu ce qu’elle peut avoir des regrets sincères... Elle prend simplement conscience qu’il est trop tard… Le Noble claque des doigts et soumise Keira MDE qui attendait toujours prosternée, le rejoint immédiatement.
- Occupe-toi d’elle et rejoins-nous de suite, ordonne-t-Il en tournant les talons sans un regard pour Sophie.
Malgré toute la colère que Vanessa ressent envers Sophie, elle ne peut s’empêcher de ressentir son désarroi. Alors c’est avec délicatesse qu’elle l’installe dans la cage sans couverture, puis qu’elle lui attache les poignets avant de refermer la porte. Sophie se met à pleurer sans discontinuer alors que Vanessa remonte les escaliers, rejoindre Le Maître. Elle arrive à la porte du salon et attend l’ordre d’entrer, Le Noble lui fait signe, aussitôt elle vient s’agenouiller à ses côtés. Le Châtelain pose sa main sous son menton pour plonger son regard dans le sien, lui sourit satisfait et annonce tout en retirant son collier.
- soumise Keira MDE, aucun faux pas ce soir, continue de Me rendre fier de la sorte, tu vas pouvoir laisser place à Vanessa pour la fin de la soirée, tes habits sont sur le fauteuil.
- Merci Maître, répond la jeune femme en s’inclinant tout en se levant pour se diriger vers ses habits.
Vanessa les passe et s’assoit dans le fauteuil entre Laurent et Monsieur Le Marquis. Les trois hommes reprennent leur conversation, l’invité parlant des soucis qu’il rencontre avec sa soumise. Mais Vanessa reste en retrait, pensive elle ne parvient pas à prendre part à la conversation, ce qui étonne Le Noble…
- Vanessa, tu n’as pas l’air bien, ça va ?, s’inquiète-t-Il sincèrement.
- Euh…oui … oui, je vous prie de bien vouloir m’excuser, je suis simplement un peu fatiguée.
- Fatiguée ? Hum, en d’autres circonstances ce mensonge aurait été sanctionné, accuse Le Noble. Je vois bien que quelque chose te perturbe, allons, parle sans hésiter, je te le permets.
- Je pense à Sophie, Maître.
- Le contraire m’eut étonné. Mais j’avais cru comprendre que tu ressentais une certaine antipathie à son égard, me serais-je trompé ?
- Non Maître, j’étais en colère contre elle, c’est vrai, pour avoir eu si peu de respect envers Votre Personne, Votre Marque, envers le Grand Maître mondialement connu et si renommé dans notre monde de la Domination/soumission que Vous êtes… Oui, tout le monde sait que Vous êtes une Référence pour beaucoup de Maîtres (esse) et soumis (se) et ça Sophie en n’a même pas eu conscience… Cela m’a peiné personnellement, dans mon orgueil de soumise MDE… Mais à contrario sa situation d’être exclue me chagrine, même si je comprends que cette ultime sanction était juste et nécessaire...
- Dans la vie, on doit assumer ses erreurs, quelles qu’elles soient.
- J’en ai bien conscience, encore une fois. Je réalise seulement que rien n’est jamais acquis, que porter Votre Marque ne veut pas dire qu’on l’a mérité, mais qu’on doit chaque jour démontrer qu’on la mérite.
- Ah ? Tu ne le réalises seulement que maintenant ?, s’étonne-t-Il.
- J’en avais conscience, mais la réalité est plus forte ce soir. J’espère ne jamais en arriver là.
- Cela faisait longtemps que Vanessa n’avait pas douté de ses capacités de soumise, n’est-ce pas, Laurent ?
Laurent, sourit au Noble.
- Effectivement, répond Le Commandant amusé.
- Je laisse le soin à l’éducateur de répondre, annonce Monsieur Le Marquis.
Laurent observe Vanessa d’un regard aimant, puis d’un ton très doux, il lui explique.
- Chérie, je ne suis pas devin, nul ne peut prédire ce que sera ton avenir de soumise. Mais à l’heure actuelle, je suis certain d’une chose, c’est que jamais tu ne déshonorerais la Marque de mon ami, le Maître qui te soumet, en toute conscience et, que jamais tu ne cacherais une faute. Tu as toujours assumé tes erreurs, même celles qui ne valaient pas la peine d’être retenues, tu as toujours eu à cœur d’approcher de la perfection dans ta soumission. Donc oui tu feras encore des fautes qui mériteront sanctions, mais je sais que tu les assumeras avec la dignité dû au rang d’une soumise MDE.
Vanessa ne répond rien, elle se contente de sourire à son amant tout en rougissant du compliment qu’il vient de lui faire.
- Laurent, vous n’êtes pas aussi passionné habituellement lorsque vous devez rassurer une soumise, s’amuse Le Châtelain.
- Probablement non, répond Le Commandant.
- Bien, nous allons prendre congé, demain Walter viendra chercher Sophie pour l’emmener là où elle le voudra, hors du Château, bien évidemment….
Tous se lèvent, Laurent et Vanessa raccompagnant leurs invités à la porte d’entrée. Ils se saluent, et les deux hommes entrent dans la Rolls Royce, conduite par Walter.
La soirée a été longue, Laurent propose à Vanessa d’aller se coucher directement, ce qu’elle accepte sans hésitation. Alors qu’elle s’allonge à ses côtés, il la retourne sur le ventre, massant délicatement son dos, elle ferme les yeux pour apprécier toute cette douceur. Après de longues minutes, elle sent qu’un objet a remplacé ses mains, elle le reconnaît immédiatement, c’est sa ceinture qui parcours avec délicatesse son corps.
- Il me semble avoir compris ce matin que tu avais envie d’y gouter, dit-il avec malice en la frappant légèrement avec.
- Oui Monsieur, merci de me faire cet honneur, répond-t-elle immédiatement.
- Vanessa, ce n’est pas l’éducateur qui agit là, tu n’as pas ton collier, si tu as envie que j’arrête, tu es libre de refuser.
- Non continue, je t’en prie, implore-t-elle sentant son excitation monter.
Laurent sourit, décidemment elle est faite pour ce monde, à n’en pas douter, il se rend compte de la chance qu’il a, de l’avoir rencontrée et de partager sa vie, de pouvoir vivre en toute transparence avec elle, sans cacher son moi profond.
Vanessa patiente, son fessier cambré, espérant sentir rapidement le cuir de sa ceinture, son corps frémissant, tout en elle est un appel à la luxure. Il frappe ses fesses offertes de quelques coups retenus, puis prend sa ceinture et la lui passe autour du coup pour s’en servir de laisse, avant de la redresser à quatre pattes devant lui. Il tient fermement la ceinture, serrant avec douceur son cou, cette simple action excite Vanessa qui ne tarde pas à sentir son plaisir couler le long de ses cuisses. La verge dressée et avec une extrême délicatesse Laurent la pénètre et, entreprend de lents va-et-vient, prenant son temps, souhaitant avant tout faire monter le plaisir de sa compagne ce qu’il ne tarde pas à obtenir… Après de longues minutes, il desserre sa ceinture du cou de sa compagne, prend ses deux mains puis il les place derrière son dos, puis lie ses poignets entre eux serrant la boucle avec douceur. Vanessa se retrouve la tête contre le matelas, les fesses tendues en arrière, le dos cambré, attendant qu’il la reprenne sentant son excitation monter. Il s’enfonce une nouvelle fois en elle, mais plus rapidement, engageant une véritable saillie qui emmène la jeune femme au bord de l’orgasme…
- Je t’en supplie, arrête, je ne vais pas me retenir, implore-t-elle.
- Alors ne te retiens pas, répond-t-il d’un ton joueur.
- Mais je n’ai pas l’autorisation.
- Personne n’est obligé de le savoir, ça peut rester entre nous, répond-t-il.
- Pardon ? répond-t-elle peu certaine d’avoir compris sa dernière phrase.
- Tu pourrais jouir ce soir sans que ce fait ne sorte de cette pièce, insiste-t-il.
- Hors de question ! s’offusque-t-elle, choquée que son compagnon puisse ainsi accepter qu’elle mente au Maître auquel elle appartient.
- Alors retiens-toi, termine-t-il d’un ton pervers, accélérant son mouvement.
Le Commandant termine rapidement en éjaculant en de longs flots saccadés de sperme chaud, pour ne pas pousser Vanessa à la faute, jouissant dans un long râle, tout en se déversant en elle. Il desserre ses liens, lui caresse amoureusement le dos, puis la retourne pour l’embrasser, mais elle détourne la tête fâchée.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Tu n’as pas aimé ? demande-t-il.
- Tu m’as encouragé à désobéir à Monsieur Le Marquis, je n’en reviens pas, je pensais que tu étais fidèle à son amitié et à sa confiance qu’il te porte. Et que tu respectais en priorité les engagements qu’implique notre appartenance à ce monde, répond-t-elle fâchée.
- Voyons chérie, c’était une simple démonstration, pour te prouver que tu étais incapable de désobéir sans en accepter les conséquences. Tu me connais pourtant, je suis étonné que tu n’aies pas compris, répond-t-il amusé. Tu sais bien que jamais, je dis bien, jamais, je ne trahirai Edouard… Il est comme mon grand frère…- Je…je suis désolée, répond-t-elle baissant les yeux.
- Je ne t’en veux pas, je suis heureux de constater ta fidélité, dit-il en l’embrassant.
- Et cette petite leçon était une exigence de Monsieur Le Marquis ?
- Non une de mes initiatives, pourquoi ?
- C’est malin, je venais d’évacuer une envie de jouissance de plusieurs semaines, et tu l’as ravivée en moins de quelques heures…
Laurent lui sourit, la prend dans ses bras comme pour se faire pardonner, sans un mot de plus, Vanessa s’endort …
(A suivre …)
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