Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°925)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°925)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°925) –
Vanessa rejoint le bureau du Maître et patiente au milieu de la pièce son retour. Le Noble revient et sans faire attention à elle, va s’asseoir à son bureau pour vaquer à ses occupations.
- Félicitations, tu as été parfaite, lui dit-il soudain, tout en levant la tête pour fixer Sa soumise d’un regard fier.
- Merci Monsieur, répond la jeune femme heureuse d’avoir satisfait le Maître.
- Monsieur ?, accuse Le Maître des lieux.
- Maître, je suis désolée, je vous prie de bien vouloir sanctionner cette faute inexcusable, se reprend-t-elle immédiatement.
- Pourquoi cet écart de parole ?
- Maître, j’ai manqué d’attention, je mérite une sanction pour être plus attentive.
- Et que penses-tu mériter ?
- Je ne sais pas Maître, 50 coups appliqués par votre Majordome, ose-t-elle sans trop savoir ce que vaut une telle faute.
- Hum, pourquoi Walter, ne suis-je pas capable d’appliquer les sanctions moi-même ?
- Ce serait trop d’honneur que vous me feriez, Maître, je ne mérite pas votre main.
- Hum, vas te placer debout mains sur mon bureau, cul tendu et, patiente ainsi.
Sans dire un mot la jeune femme obéit promptement, honteuse d’avoir déçu si lamentablement le Maître. Le Noble décroche son téléphone.
- Mon cher Walter, j’aurai besoin de tes services, veux-tu bien venir, avec ce dont nous avons parlé hier soir, j’ai un sujet pour le tester.
Keira MDE se demande ce dont parle le Maître, et ce qu’elle va devoir endurer pour se racheter, mais elle est tellement fâchée contre elle-même qu’elle est prête à tout accepter. Seulement quelques minutes plus tard, le Majordome fait son apparition dans la pièce, mais Vanessa lui tournant le dos ne voit pas ce qu’il a apporté.
- Toujours aussi efficace, mon cher ami, voilà un cul pour expérimenter ton idée, ce sera 50 coups, je t’en prie, l’accueille Le Noble en lui désignant la jeune femme.
- Monsieur le Marquis, autant ? Qu’a-t-elle fait, hésite le Majordome appréciant Keira MDE et ne souhaitant pas la blesser plus qu’elle ne le mérite.
- soumise, explique à Monsieur Walter, ordonne Monsieur Le Marquis.
- Monsieur, j’ai manqué de respect au Maître en oubliant comment je devais m’adresser à lui, je mérite une sanction exemplaire, quelle qu’elle soit, répond la jeune femme d’une voix déterminée.
Walter est surpris qu’elle ait pu commettre ce genre de faute, il regarde Monsieur Le Marquis d’un œil interrogateur qui lui fait signe de commencer.
- Bien, alors ce sera 50 coups, inutile de te rappeler que si tu bouges ou si un autre son que le comptage des coups sort de ta bouche je recommencerai à zéro.
Walter passe un gant et se saisit du bouquet d’orties fraiches qu’il a amené. Il prend le recul nécessaire et frappe une première fois le fessier de la jeune femme. Elle s’attendait à un coup plus fort mais la brulure qu’elle ressent quelques secondes après, lui fait comprendre qu’elle va peiner à supporter la sanction.
- Un, merci Monsieur, dit-elle sur un ton toujours aussi déterminé.
Le Majordome continue, et sans fléchir la jeune femme compte les coups, les brulures sont de plus en plus intenses et sa voix commence à changer, Vanessa contient ses pleurs, étouffe le sanglot qui veut sortir, elle refuse de craquer, elle veut tenir coûte que coûte. Alors qu’elle compte le cinquantième coup, une larme perle sur sa joue, Vanessa baisse la tête pour la cacher, mais elle tombe sur le bureau du Noble à qui elle n’échappe pas. Puis elle s’agenouille, fait face au Majordome pour baiser la main qu’il lui tend et en silence reprend sa position d’attente, baissant la tête pour cacher ses yeux humides.
- Eh bien très cher, il semble que ton idée soit efficace, nous en reparlerons, je te remercie Walter, tu peux disposer.
Sans un mot le Majordome quitte la pièce, laissant la jeune femme en compagnie du Maître. Le Noble s’approche d’elle, s’accroupit à sa hauteur et d’une main prend son menton pour plonger son regard bleu dans ses yeux humides. Vanessa baisse immédiatement les yeux, honteuse de se montrer faible devant Lui.
- Regarde-moi, ordonne-t-il d’une voix étonnamment douce.
Ravalant sa fierté, la jeune femme obéit et plonge ses yeux dans le regard dominateur du Maître.
- Pourquoi ces pleurs ? questionne-t-il en essuyant ses yeux de ses pouces.
- La honte de vous avoir déçu par une faute de débutante, Maître, souffle-t-elle.
- Seulement la honte ?, accuse Le Noble.
- Et la douleur, Maître, se résigne-t-elle à avouer.
- La faute est pardonnée, lui souffle le Noble en l’embrassant sur le front.
Puis la laissant reprendre ses esprits, il la laisse ainsi et repart s’asseoir à son bureau pour traiter les dossiers en cours… Après quelques minutes, on frappe à la porte, sur ordre du Noble un homme y entre et vient se placer devant son bureau, patientant debout l’autorisation de s’asseoir.
- Monsieur le Marquis, Vous avez demandé à me voir ?
- Ah Franck, oui j’avais besoin de précisions, répond Le Maitre des lieux sans lui permettre de s’asseoir. Ne t’avais-je pas précisé que la soumise que je t’ai envoyé hier soir à l’hôtel était réservée à un client ?
- Si Monsieur le Marquis, mais… - Et ne suis-je pas suffisamment généreux concernant le personnel soumis que je mets à ta disposition ?
- Si Monsieur le Marquis, mais… - Alors pourquoi ai-je eu la désagréable surprise de découvrir son fessier marqué de TA ceinture ?, gronde le Châtelain.
- Monsieur le Marquis, … elle avait terminé, elle était disponible et patientait à une place qui n’était pas la sienne.
- Ne t’a-t-elle pas informé que c’était selon MA volonté ?, accuse Le Noble.
- Si Monsieur le Marquis, mais… - Il n’y a pas de mais qui tienne, tu connais parfaitement MES règles et je ne peux tolérer qu’un de mes directeurs ne les respectent pas scrupuleusement.
- Cela ne se reproduira pas, s’excuse l’homme comprenant qu’il a outrepassé ses droits.
- Effectivement, puisque tu es relevé de tes fonctions, à partir de maintenant, répond calmement Le Châtelain.
- Monsieur le Marquis, je vous en prie, laissez-moi une autre chance, panique-t-il.
- Penses-tu réellement que je puisse effacer une telle faute comme cela ?
- Non, mais peut-être que vous pouvez me laisser me racheter ?, ose le directeur.
- Hum, qu’es-tu prêt à faire pour te racheter ?, interroge Le Noble.
- Tout, répond rapidement, trop rapidement, l’homme avant de s’apercevoir de l’impact de ce mot.
- Vraiment tout ?, sourit le Châtelain.
- Disons que… que… je voudrais parvenir à obtenir votre pardon, hésite l’homme, mais...
- Mais ? interroge Le Noble voyant dans le ton de l’homme qu’il n’est pas prêt à tout.
- Mais… je suis un dominant… - Certes, mais de second choix… Toutefois j’entends ta réticence, et je ne ferai pas de toi un chien soumis, ce n’est pas dans tes cordes, ni dans ta nature… Je vais donc placer Bruno à la direction par Intérim, un de mes fidèles soumis prendra sa place à la réception. Pour te faire pardonner, tu vas passer une semaine à chacun des postes de l’hôtel, en commençant par celui de ramasser les déchets dans le parc, puis tu seras sous les ordres de la gouvernante pour prendre le rôle de femme de chambre, et ainsi de suite jusqu’à reprendre ta place, si j’estime que tu la mérites encore. A chaque fin de semaine, j’aurai le rapport de ton comportement et de ton travail, si tu travailles bien, tu monteras au poste au-dessus, sinon tu redescendras au poste en-dessous pour une semaine de plus. Evidemment tu seras payé à la valeur du poste, ton salaire va donc être beaucoup plus bas pendant quelques mois. Mais si tu as une quelconque difficulté pour subvenir aux besoins de ta famille, j’avancerais les frais et je les retirerais sur ta paie lorsqu’elle sera plus conséquente. Est-ce compris ?
- Monsieur le Marquis, je… je ne peux pas… être sous les ordres de mes hommes… c’est humiliant… je… - Effectivement, mais chaque acte a ses conséquences, je te laisse deux options : Accepter ou partir, à toi de choisir ! Mais tu prends la décision maintenant.
- Monsieur le Marquis, je… j’accepte, se résigne l’homme comprenant qu’il n’a pas d’autres choix. Et je tiens réellement à vous présenter mes excuses pour mon comportement.
- Eh bien, soit appliqué à tes futures tâches et nous en reparlerons, allez, file, le nettoyage du parc t’attend.
Sans un mot de plus l’homme quitte le bureau du Marquis pour rejoindre l’hôtel au poste le plus bas qui soit, habituellement réservé aux esclaves du Château. Keira MDE qui patiente toujours en position d’attente, les fesses rouges et brûlantes du récent contact avec les orties, comprend un peu plus le fonctionnement des sociétés du Maître, et elle le trouve juste dans la décision qu’il vient d’appliquer. Il a proposé une alternative au licenciement mérité de cet homme, elle comprend que le Maître est un grand humaniste, même s’il doit faire preuve de fermeté dans la direction de son personnel… Après de longues minutes à travailler Le Noble quitte son bureau en claquant des doigts pour intimer l’ordre à Keira MDE de le suivre. Elle se déplace derrière Lui, à quatre pattes jusqu’au Perron du Château, là il descend les marches et monte dans la Rolls que Walter a garée devant, Vanessa monte à son tour, restant à Ses pieds, et le Majordome ferme la porte avant de prendre le volant. Tout le trajet Le Noble lui caresse tendrement les cheveux, comme pour lui faire comprendre que son écart de conduite est bel et bien pardonné. La luxueuse voiture se stoppe, le Majordome ouvre la porte et la jeune femme découvre sa maison avec son compagnon qui attend sur le pas de la porte, immédiatement, Vanessa baisse la tête honteuse de se présenter le fessier rougit d’une sanction, devant lui.
- Laurent, comment allez-vous.
- Parfaitement bien Edouard, je ne pensais pas que vous viendriez en personne la ramener, s’étonne le commandant.
- J’avais envie de vous rendre visite.
- J’en suis ravi, vous prendrez bien un café ?
- Un thé plutôt, volontiers.
Les deux hommes se dirigent vers le salon, Keira MDE suivant toujours à quatre pattes, le commandant s’absente et revient avec le thé. Ils entament une conversation banale, ignorant la jeune femme. Mais le regard insistant du commandant sur le fessier rougit de sa compagne fait réagir Le Noble.
- Vous vous demandez la raison de ce fessier rougi ? sourit Monsieur Le Marquis.
- J’avoue que je suis curieux, je suppose qu’elle n’a pas été à la hauteur de la mission que vous lui avez confiée.
- Pas le moins du monde, elle a été parfaite, je n’aurais pu espérer mieux.
- Alors qu’a-t-elle fait pour mériter ces marques ?
- soumise, explique à ton éducateur.
- Monsieur, je… j’ai manqué de respect au Maître ? dit la jeune femme d’une voix tremblante.
- Comment ?, interroge Le commandant d’une voix terriblement déçue.
- J’ai oublié comment je devais m’adresser à Lui, je l’ai appelé Monsieur, au lieu de l’appeler Maître, explique-t-elle en baissant la tête plus que de raison.
Le commandant se lève, se dirige var la jeune femme, il pose doucement sa main sur la marque des Evans apposée au fer rouge quelques mois plus tôt.
- Hum…tu as mérité cette sanction, j’espère que tu as conscience qu’un tel comportement est indigne d’une soumise MDE. Cette marque ne veut donc rien dire pour toi ?, insiste Le Commandant pour déstabiliser sa compagne.
- Si Monsieur, je ne mérite pas de la porter, je suis désolée d’avoir porté préjudice au Maître et à votre éducation, je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses.
- Il me semble que la sanction a été à la hauteur de la faute, qui a été pardonnée, j’espère simplement qu’à l’avenir tu ne nous décevras plus de la sorte, ajoute-t-il pour piquer à vif l’orgueil de la jeune femme.
Le Noble s’amuse de voir son ami déstabiliser sa propre compagne, il est heureux de voir avec quelle facilité il fait la part des choses entre la femme et la soumise. Ils reprennent leur discussion ignorant de nouveau Vanessa, puis Le Noble prend congé, le commandant le raccompagne.
- Tu as bien rougi son fessier, Edouard, qu’as-tu utilisé ?
- Des orties, sourit Le Noble.
- Comme quoi les anciennes méthodes sont encore parfois les meilleurs, s’amuse Laurent. Me permets-tu de la soigner, pour atténuer les brulures qu’elle doit encore ressentir ?
- Evidemment, je ne l’ai pas fait car je voulais qu’elle vive la punition jusqu’à son retour, mais je compte sur toi. Bien, je vais retourner vaquer à mes nombreuses occupations, je te souhaite une excellente soirée.
- Merci Edouard, d’être venu en personne, à bientôt.
Laurent rejoint Vanessa au salon, après être passé par la salle de bain, il lui intime l’ordre de se mettre à quatre pattes, ce qu’elle fait sans tarder. Puis d’une main douce, il passe un gant de toilette humidifié à l’eau froide sur les fesses de la jeune femme, avant d’y appliquer une crème. Instantanément elle ressent la chaleur s’atténuer. Puis, il dépose un peignoir sur ses épaules, retire son collier, et l’aide à se relever, elle éclate en sanglots dans ses bras.
- Eh bien qu’est-ce qui ne va pas ?
- J’ai été indigne de mon rang, indigne de ton éducation, sanglote-t-elle.
- Je ne vais pas dire que la faute était normale, mais tu as subi les conséquences de tes actes en faisant honneur à ton rang, l’affaire est close. Et puis il me semble que tu as remplie correctement ta mission, c’est là le plus important, non ?, termine-t-il en l’embrassant.
- Oui mais… - Allons, tu en feras d’autres des fautes, Miss parfaite, sourit-il. Le Maître t’a pardonné et tu vas te rappeler cette erreur quelques jours sur la position assise, tu as été assez punie, ne te torture pas ainsi l’esprit.
Il l’embrasse dans un long baiser passionné et ils terminent la soirée en profitant l’un de l’autre…
(A suivre …)
Vanessa rejoint le bureau du Maître et patiente au milieu de la pièce son retour. Le Noble revient et sans faire attention à elle, va s’asseoir à son bureau pour vaquer à ses occupations.
- Félicitations, tu as été parfaite, lui dit-il soudain, tout en levant la tête pour fixer Sa soumise d’un regard fier.
- Merci Monsieur, répond la jeune femme heureuse d’avoir satisfait le Maître.
- Monsieur ?, accuse Le Maître des lieux.
- Maître, je suis désolée, je vous prie de bien vouloir sanctionner cette faute inexcusable, se reprend-t-elle immédiatement.
- Pourquoi cet écart de parole ?
- Maître, j’ai manqué d’attention, je mérite une sanction pour être plus attentive.
- Et que penses-tu mériter ?
- Je ne sais pas Maître, 50 coups appliqués par votre Majordome, ose-t-elle sans trop savoir ce que vaut une telle faute.
- Hum, pourquoi Walter, ne suis-je pas capable d’appliquer les sanctions moi-même ?
- Ce serait trop d’honneur que vous me feriez, Maître, je ne mérite pas votre main.
- Hum, vas te placer debout mains sur mon bureau, cul tendu et, patiente ainsi.
Sans dire un mot la jeune femme obéit promptement, honteuse d’avoir déçu si lamentablement le Maître. Le Noble décroche son téléphone.
- Mon cher Walter, j’aurai besoin de tes services, veux-tu bien venir, avec ce dont nous avons parlé hier soir, j’ai un sujet pour le tester.
Keira MDE se demande ce dont parle le Maître, et ce qu’elle va devoir endurer pour se racheter, mais elle est tellement fâchée contre elle-même qu’elle est prête à tout accepter. Seulement quelques minutes plus tard, le Majordome fait son apparition dans la pièce, mais Vanessa lui tournant le dos ne voit pas ce qu’il a apporté.
- Toujours aussi efficace, mon cher ami, voilà un cul pour expérimenter ton idée, ce sera 50 coups, je t’en prie, l’accueille Le Noble en lui désignant la jeune femme.
- Monsieur le Marquis, autant ? Qu’a-t-elle fait, hésite le Majordome appréciant Keira MDE et ne souhaitant pas la blesser plus qu’elle ne le mérite.
- soumise, explique à Monsieur Walter, ordonne Monsieur Le Marquis.
- Monsieur, j’ai manqué de respect au Maître en oubliant comment je devais m’adresser à lui, je mérite une sanction exemplaire, quelle qu’elle soit, répond la jeune femme d’une voix déterminée.
Walter est surpris qu’elle ait pu commettre ce genre de faute, il regarde Monsieur Le Marquis d’un œil interrogateur qui lui fait signe de commencer.
- Bien, alors ce sera 50 coups, inutile de te rappeler que si tu bouges ou si un autre son que le comptage des coups sort de ta bouche je recommencerai à zéro.
Walter passe un gant et se saisit du bouquet d’orties fraiches qu’il a amené. Il prend le recul nécessaire et frappe une première fois le fessier de la jeune femme. Elle s’attendait à un coup plus fort mais la brulure qu’elle ressent quelques secondes après, lui fait comprendre qu’elle va peiner à supporter la sanction.
- Un, merci Monsieur, dit-elle sur un ton toujours aussi déterminé.
Le Majordome continue, et sans fléchir la jeune femme compte les coups, les brulures sont de plus en plus intenses et sa voix commence à changer, Vanessa contient ses pleurs, étouffe le sanglot qui veut sortir, elle refuse de craquer, elle veut tenir coûte que coûte. Alors qu’elle compte le cinquantième coup, une larme perle sur sa joue, Vanessa baisse la tête pour la cacher, mais elle tombe sur le bureau du Noble à qui elle n’échappe pas. Puis elle s’agenouille, fait face au Majordome pour baiser la main qu’il lui tend et en silence reprend sa position d’attente, baissant la tête pour cacher ses yeux humides.
- Eh bien très cher, il semble que ton idée soit efficace, nous en reparlerons, je te remercie Walter, tu peux disposer.
Sans un mot le Majordome quitte la pièce, laissant la jeune femme en compagnie du Maître. Le Noble s’approche d’elle, s’accroupit à sa hauteur et d’une main prend son menton pour plonger son regard bleu dans ses yeux humides. Vanessa baisse immédiatement les yeux, honteuse de se montrer faible devant Lui.
- Regarde-moi, ordonne-t-il d’une voix étonnamment douce.
Ravalant sa fierté, la jeune femme obéit et plonge ses yeux dans le regard dominateur du Maître.
- Pourquoi ces pleurs ? questionne-t-il en essuyant ses yeux de ses pouces.
- La honte de vous avoir déçu par une faute de débutante, Maître, souffle-t-elle.
- Seulement la honte ?, accuse Le Noble.
- Et la douleur, Maître, se résigne-t-elle à avouer.
- La faute est pardonnée, lui souffle le Noble en l’embrassant sur le front.
Puis la laissant reprendre ses esprits, il la laisse ainsi et repart s’asseoir à son bureau pour traiter les dossiers en cours… Après quelques minutes, on frappe à la porte, sur ordre du Noble un homme y entre et vient se placer devant son bureau, patientant debout l’autorisation de s’asseoir.
- Monsieur le Marquis, Vous avez demandé à me voir ?
- Ah Franck, oui j’avais besoin de précisions, répond Le Maitre des lieux sans lui permettre de s’asseoir. Ne t’avais-je pas précisé que la soumise que je t’ai envoyé hier soir à l’hôtel était réservée à un client ?
- Si Monsieur le Marquis, mais… - Et ne suis-je pas suffisamment généreux concernant le personnel soumis que je mets à ta disposition ?
- Si Monsieur le Marquis, mais… - Alors pourquoi ai-je eu la désagréable surprise de découvrir son fessier marqué de TA ceinture ?, gronde le Châtelain.
- Monsieur le Marquis, … elle avait terminé, elle était disponible et patientait à une place qui n’était pas la sienne.
- Ne t’a-t-elle pas informé que c’était selon MA volonté ?, accuse Le Noble.
- Si Monsieur le Marquis, mais… - Il n’y a pas de mais qui tienne, tu connais parfaitement MES règles et je ne peux tolérer qu’un de mes directeurs ne les respectent pas scrupuleusement.
- Cela ne se reproduira pas, s’excuse l’homme comprenant qu’il a outrepassé ses droits.
- Effectivement, puisque tu es relevé de tes fonctions, à partir de maintenant, répond calmement Le Châtelain.
- Monsieur le Marquis, je vous en prie, laissez-moi une autre chance, panique-t-il.
- Penses-tu réellement que je puisse effacer une telle faute comme cela ?
- Non, mais peut-être que vous pouvez me laisser me racheter ?, ose le directeur.
- Hum, qu’es-tu prêt à faire pour te racheter ?, interroge Le Noble.
- Tout, répond rapidement, trop rapidement, l’homme avant de s’apercevoir de l’impact de ce mot.
- Vraiment tout ?, sourit le Châtelain.
- Disons que… que… je voudrais parvenir à obtenir votre pardon, hésite l’homme, mais...
- Mais ? interroge Le Noble voyant dans le ton de l’homme qu’il n’est pas prêt à tout.
- Mais… je suis un dominant… - Certes, mais de second choix… Toutefois j’entends ta réticence, et je ne ferai pas de toi un chien soumis, ce n’est pas dans tes cordes, ni dans ta nature… Je vais donc placer Bruno à la direction par Intérim, un de mes fidèles soumis prendra sa place à la réception. Pour te faire pardonner, tu vas passer une semaine à chacun des postes de l’hôtel, en commençant par celui de ramasser les déchets dans le parc, puis tu seras sous les ordres de la gouvernante pour prendre le rôle de femme de chambre, et ainsi de suite jusqu’à reprendre ta place, si j’estime que tu la mérites encore. A chaque fin de semaine, j’aurai le rapport de ton comportement et de ton travail, si tu travailles bien, tu monteras au poste au-dessus, sinon tu redescendras au poste en-dessous pour une semaine de plus. Evidemment tu seras payé à la valeur du poste, ton salaire va donc être beaucoup plus bas pendant quelques mois. Mais si tu as une quelconque difficulté pour subvenir aux besoins de ta famille, j’avancerais les frais et je les retirerais sur ta paie lorsqu’elle sera plus conséquente. Est-ce compris ?
- Monsieur le Marquis, je… je ne peux pas… être sous les ordres de mes hommes… c’est humiliant… je… - Effectivement, mais chaque acte a ses conséquences, je te laisse deux options : Accepter ou partir, à toi de choisir ! Mais tu prends la décision maintenant.
- Monsieur le Marquis, je… j’accepte, se résigne l’homme comprenant qu’il n’a pas d’autres choix. Et je tiens réellement à vous présenter mes excuses pour mon comportement.
- Eh bien, soit appliqué à tes futures tâches et nous en reparlerons, allez, file, le nettoyage du parc t’attend.
Sans un mot de plus l’homme quitte le bureau du Marquis pour rejoindre l’hôtel au poste le plus bas qui soit, habituellement réservé aux esclaves du Château. Keira MDE qui patiente toujours en position d’attente, les fesses rouges et brûlantes du récent contact avec les orties, comprend un peu plus le fonctionnement des sociétés du Maître, et elle le trouve juste dans la décision qu’il vient d’appliquer. Il a proposé une alternative au licenciement mérité de cet homme, elle comprend que le Maître est un grand humaniste, même s’il doit faire preuve de fermeté dans la direction de son personnel… Après de longues minutes à travailler Le Noble quitte son bureau en claquant des doigts pour intimer l’ordre à Keira MDE de le suivre. Elle se déplace derrière Lui, à quatre pattes jusqu’au Perron du Château, là il descend les marches et monte dans la Rolls que Walter a garée devant, Vanessa monte à son tour, restant à Ses pieds, et le Majordome ferme la porte avant de prendre le volant. Tout le trajet Le Noble lui caresse tendrement les cheveux, comme pour lui faire comprendre que son écart de conduite est bel et bien pardonné. La luxueuse voiture se stoppe, le Majordome ouvre la porte et la jeune femme découvre sa maison avec son compagnon qui attend sur le pas de la porte, immédiatement, Vanessa baisse la tête honteuse de se présenter le fessier rougit d’une sanction, devant lui.
- Laurent, comment allez-vous.
- Parfaitement bien Edouard, je ne pensais pas que vous viendriez en personne la ramener, s’étonne le commandant.
- J’avais envie de vous rendre visite.
- J’en suis ravi, vous prendrez bien un café ?
- Un thé plutôt, volontiers.
Les deux hommes se dirigent vers le salon, Keira MDE suivant toujours à quatre pattes, le commandant s’absente et revient avec le thé. Ils entament une conversation banale, ignorant la jeune femme. Mais le regard insistant du commandant sur le fessier rougit de sa compagne fait réagir Le Noble.
- Vous vous demandez la raison de ce fessier rougi ? sourit Monsieur Le Marquis.
- J’avoue que je suis curieux, je suppose qu’elle n’a pas été à la hauteur de la mission que vous lui avez confiée.
- Pas le moins du monde, elle a été parfaite, je n’aurais pu espérer mieux.
- Alors qu’a-t-elle fait pour mériter ces marques ?
- soumise, explique à ton éducateur.
- Monsieur, je… j’ai manqué de respect au Maître ? dit la jeune femme d’une voix tremblante.
- Comment ?, interroge Le commandant d’une voix terriblement déçue.
- J’ai oublié comment je devais m’adresser à Lui, je l’ai appelé Monsieur, au lieu de l’appeler Maître, explique-t-elle en baissant la tête plus que de raison.
Le commandant se lève, se dirige var la jeune femme, il pose doucement sa main sur la marque des Evans apposée au fer rouge quelques mois plus tôt.
- Hum…tu as mérité cette sanction, j’espère que tu as conscience qu’un tel comportement est indigne d’une soumise MDE. Cette marque ne veut donc rien dire pour toi ?, insiste Le Commandant pour déstabiliser sa compagne.
- Si Monsieur, je ne mérite pas de la porter, je suis désolée d’avoir porté préjudice au Maître et à votre éducation, je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses.
- Il me semble que la sanction a été à la hauteur de la faute, qui a été pardonnée, j’espère simplement qu’à l’avenir tu ne nous décevras plus de la sorte, ajoute-t-il pour piquer à vif l’orgueil de la jeune femme.
Le Noble s’amuse de voir son ami déstabiliser sa propre compagne, il est heureux de voir avec quelle facilité il fait la part des choses entre la femme et la soumise. Ils reprennent leur discussion ignorant de nouveau Vanessa, puis Le Noble prend congé, le commandant le raccompagne.
- Tu as bien rougi son fessier, Edouard, qu’as-tu utilisé ?
- Des orties, sourit Le Noble.
- Comme quoi les anciennes méthodes sont encore parfois les meilleurs, s’amuse Laurent. Me permets-tu de la soigner, pour atténuer les brulures qu’elle doit encore ressentir ?
- Evidemment, je ne l’ai pas fait car je voulais qu’elle vive la punition jusqu’à son retour, mais je compte sur toi. Bien, je vais retourner vaquer à mes nombreuses occupations, je te souhaite une excellente soirée.
- Merci Edouard, d’être venu en personne, à bientôt.
Laurent rejoint Vanessa au salon, après être passé par la salle de bain, il lui intime l’ordre de se mettre à quatre pattes, ce qu’elle fait sans tarder. Puis d’une main douce, il passe un gant de toilette humidifié à l’eau froide sur les fesses de la jeune femme, avant d’y appliquer une crème. Instantanément elle ressent la chaleur s’atténuer. Puis, il dépose un peignoir sur ses épaules, retire son collier, et l’aide à se relever, elle éclate en sanglots dans ses bras.
- Eh bien qu’est-ce qui ne va pas ?
- J’ai été indigne de mon rang, indigne de ton éducation, sanglote-t-elle.
- Je ne vais pas dire que la faute était normale, mais tu as subi les conséquences de tes actes en faisant honneur à ton rang, l’affaire est close. Et puis il me semble que tu as remplie correctement ta mission, c’est là le plus important, non ?, termine-t-il en l’embrassant.
- Oui mais… - Allons, tu en feras d’autres des fautes, Miss parfaite, sourit-il. Le Maître t’a pardonné et tu vas te rappeler cette erreur quelques jours sur la position assise, tu as été assez punie, ne te torture pas ainsi l’esprit.
Il l’embrasse dans un long baiser passionné et ils terminent la soirée en profitant l’un de l’autre…
(A suivre …)
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