Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1260)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1260)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1260) –
Il l’embrasse avec une certaine tendresse qu’elle n’a pas l’habitude de recevoir de sa part, tout en malaxant sa poitrine, puis reprend…
- Bien, maintenant passons à ta deuxième ineptie. Je suis un homme et un Maître très exigeant, difficile à satisfaire, sans doute plus difficile que la plupart de mes Invités. Penses-tu que si tu n’avais pas été parfaitement digne de me satisfaire je t’aurais offert Ma marque ?
- Non Maître.
- Donc si je t’ai jugée digne de Moi, c’est que je te juge digne de satisfaire chacun de mes Invités quels qu’ils soient. Ta réflexion était donc bien médiocre et totalement infondée. Tu es loin d’être idiote, tu m’as habitué à mieux. Une preuve encore, s’il en était nécessaire, que lorsque tu te poses des questions sur ta condition, tu fais preuve d’un très mauvais bon sens... Toutefois, je comprends ton interrogation, il est vrai que cela peut sembler curieux que je t’ai ‘épargné’ jusqu’à maintenant certaines tâches. C’est une des raisons pour laquelle je voulais que tu fasses le service ce soir, que tu comprennes que ce n’est pas parce que tu n’as pas encore eu le privilège d’effectuer toutes les tâches, que je ne t’en juge pas digne. C’est simplement que tu ne vis pas séant et que lorsque tu viens, je veux profiter de toi autrement qu’aux tâches domestiques. As-tu compris.
- Oui Maître, répond la jeune femme sur un ton peu certain.
- Je t’écoute, répond-t-Il souriant.
- Merci Maître d’avoir daigné me donner des explications.
- Non, j’écoute l’autre question qui taraude ton esprit… ton visage est un livre ouvert, sourit-Il.
- C’est que… être livrée à vos Invités n’est pas une tâche domestique, alors… non mais j’ai compris que…Vous n’aviez pas encore eu le temps de me faire l’honneur de ce rôle…et que je le vivrai le jour où Vous le déciderez.
Le Noble sourit, Il conserve son regard plongé dans le sien, l’observe un instant sans répondre, cherchant dans ses yeux si elle est réellement persuadée de ce qu’elle vient de dire.
- Hum, en fait non, tu ne seras jamais livrée lors de mes simples orgies, jamais ainsi.
- D’accord Maître, répond-t-elle sans comprendre mais sachant qu’elle n’a pas à en connaitre la raison.
- Tout comme d’autres de Mes esclaves d’ailleurs. Tu as bien dû remarquer que d’autres n’avaient jamais rempli ce rôle ?
- J’avoue ne pas avoir fait attention, Maître.
- Est-ce que Vanessa perd sa perspicacité et sa réflexion dès qu’elle devient Keira MDE ?, sourit-Il. Tu as bien dû remarquer que même chez Mes esclaves, il y avait une sorte de hiérarchie, n’est-ce pas ?
- Oui Maître, il y a Vos esclaves qui vivent 24h/24 en Votre château, et Vos soumis, comme moi qui ont une vie vanille en parallèle.
- Certes, mais pas que. Certains et certaines ont le privilège de faire parties de ceux qui attirent le regard d’une simple ondulation du corps, de ceux qui éveillent les désirs même immobile, de ceux que m’envient les autres Dominants, sans même les avoir testés. Bien que chacun de Mes esclaves soient importants à Mes yeux, ces derniers sont en quelque sorte Mes favoris. Et tu en fais partie, sache-le.
- Maître, je … je ne mérite pas cet honneur.
- En partie non, car la nature t’a faite ainsi, mais tu l’as aussi provoqué, ton corps est sculpté par ton hygiène de vie, ton mental s’est forgé dans tes expériences personnelles. Une soumise aux courbes proche de la perfection, qui peut endurer bien plus que la plupart des soumises, ça attire les convoitises. Si tu faisais partie des esclaves mis à disposition lors d’une de mes soirées, tous souhaiteraient te posséder et le risque serait pour toi d’être sollicitée au-delà de tes limites et pour le déroulement de la soirée de créer des tensions. Comprends-tu ?
- Oui Maître.
- Donc comme pour Mes autres favoris, je t’offre individuellement, ou comme récompense à un éventuel jeu. De temps en temps, tu seras donc offerte à tous en soirée, mais seulement lors des soirées où ce sont l’ensemble de Mes favoris qui sont mis à disposition et uniquement avec la crème des crèmes des Dominants, les plus expérimentés parmi mes nombreuses relations …
soumise Keira MDE, comprend que Le Noble est attentif au bon déroulement de Ses soirées, mais également à l’intégrité physique de ceux qui Lui appartiennent, elle sourit, heureuse de Lui appartenir.
- Pourquoi ce sourire ?
- La joie de Vous appartenir Maître, que Vous preniez de Votre temps pour m’expliquer Vos décisions, chose dont Vous n’êtes pas tenu.
- Bien, maintenant que tout est éclairci dans ta tête, tu vas rejoindre les cuisines servir Marie pour la nuit, allons file.
La jeune femme craint Marie la cuisinière, mais ne veut en aucun cas attiser les foudres du Maître, en faisant ressentir sa déception, aussi elle conserve une attitude neutre, cachant sa crainte de devoir la servir. Vanessa descend du bureau du Maître, s’incline avec respect et quitte la pièce, arpentant rapidement les couloirs jusqu’aux cuisines. Arrivée devant la porte, elle frappe et entre sur ordre, elle s’agenouille en position d’attente alors que la cuisinière termine de corriger un esclave mâle positionné en levrette, les fesses rougies par une large spatule, de cuisine, en bois que tient encore en main, Marie...
- Tu as de la chance que je ne m’occupe pas de toi ce soir, j’ai une chienne plus intéressante. File au Chenil et ne traîne pas, Monsieur Walter t’attend pour te remettre ta cage de chasteté et t’enfermer, dit Marie frappant une dernière fois le fessier du jeune homme.
L’esclave mâle part sans demander son reste, son fessier violacé de la sévère sanction qu’il vient visiblement de recevoir. Vanessa constate qu’il bande comme un taureau. La cuisinière se tourne alors vers Keira MDE, elle tourne autour, savoure par avance de disposer d’elle, parcourant l’ensemble de son corps de la palette de sa cravache qu’elle vient d’empoigner tout en ayant au préalable déposé sa spatule en bois sur un coin de table.
- Jolies marques, bien réparties, sans nul doute appliquées par une main d’expérience, c’est une badine n’est-ce pas, interroge-t-elle arrêtant sa palette sur le fessier de Vanessa.
- Oui, Madame Marie, répond humblement la jeune femme.
- Une sanction ?
- Oui Madame.
- Pour ?
- Pour avoir crié lors d’une introduction anale, Madame.
- Comme quoi tu es encore loin de mériter la marque du Maître.
- Quel Maître t’a administré cette sanction ?
- Monsieur Le Commandant, Madame.
- Ah ?, s’étonne la cuisinière qui pensait que Le Commandant serait bien incapable de sanctionner sa propre compagne de la sorte. Ainsi tout arrive ! … Bien, le travail ici est terminé, suis-moi.
La sévère cuisinière quitte la cuisine en direction de ses quartiers, suivie de soumise Keira MDE qui reste derrière elle à quatre pattes. La Domina l’a fait entrer dans sa chambre, la laissant se placer en son centre en position d’attente. Sans aucun ordre, elle la laisse ici, allant se doucher dans la salle de bain attenante. Marie revient un long moment plus tard, s’approche de la jeune femme qui remarquant les cuissardes de la cuisinière, comprend qu’elle s’est changée pour l’occasion. Marie toise sévèrement Keira MDE de haut, un long moment puis sans un mot la prend par la queue de cheval pour la traîner dans un coin de la pièce équipée en matériel BDSM. La cuisinière l’a relève sans aucune douceur et lui plaque le ventre contre une croix de Saint-André à laquelle elle l’attache prestement. Marie d’un air sadique, carnassier se dirige vers le présentoir sur lequel repose fouets, cravaches, martinets et autres objets de la même espèce, et se saisit d’une badine et revient vers elle.
- Bien, je vais parfaire l’œuvre du Commandant qui commence déjà à s’estomper, inutile de te rappeler que je ne veux aucun son de ta bouche, ni aucun mouvement. Et pas la peine de compter, j’aime le silence. Et sache que ce traitement que je daigne t’infliger n’est pas une sanction mais juste pour Mon plaisir. Oui le plaisir de maltraiter ton cul de chienne… Le plaisir de voir rougir ton fessier de salope, le plaisir de te procurer une vive douleur cuisante, et tous ces plaisirs réunis, sache, ô combien ils m’excitent, dit-elle d’un ton sadique et pervers.
Sans attendre de réponse, elle frappe un premier coup que la jeune femme accepte dans un souffle silencieux. Les autres coups suivent relativement rapidement, ils sont forts et sans modération, ne lui laissant pas de possibilité de récupérer, mais soumise Keira MDE souhaite de toute son âme honorer la Marque du Maître, prouver à la sadique cuisinière qu’elle la mérite réellement, aussi elle se concentre pour rester telle une poupée de cire… Les fesses et le derrière des cuisses de la jeune femme sont striées de toute part, violacées comme elles l’ont rarement été, presque à sang mais sans que celui-ci ne coule. Après avoir coloré amplement le fessier de Vanessa plus que de raison, Marie s’arrête car elle connaît les règles du Château et sait qu’elle ne pourrait aller guère plus loin tout en les respectant, c’est-à-dire ne jamais faire saigner. Et ainsi, elle est contrainte de modérer son sadisme. La cuisinière détache Keira MDE, la tourne pour la rattacher de nouveau, lui présentant ainsi son autre face. La perverse cuisinière se saisit d’un coffret qu’elle présente à la jeune femme. Il est rempli de pinces à linge en bois et de ficelle, Keira MDE comprend rapidement ce qui l’attend et s’apprête à accepter cette nouvelle épreuve avec l’attitude digne d’une soumise MDE.
Marie dans un sourire empli de perversité, un regard sadique, commence son œuvre par les tétons de la jeune femme, pour ensuite disposer une couronne de pinces sur chaque sein avant de s’attaquer à ses flancs remontant jusqu’à l’intérieur de ses bras, respectant un écartement parfait, voire millimétré. Elle prend son temps, dépose chaque pince doucement afin que la soumise MDE ressente fortement la morsure de chacune d’elle, une à une sur son corps meurtri. Puis Marie s’attaque au sexe de Vanessa, parant ses lèvres intimes et terminant par son clitoris. La cuisinière se recule, admire un instant son œuvre avec des yeux brillants d’un appétit carnassier et va s’asseoir dans un fauteuil lui faisant face, savourer une tasse de thé. soumise Keira MDE patiente le bon vouloir de la cuisinière, offerte à sa vue, ressentant particulièrement la morsure de la pince qui s’est emparée de son clitoris. Après de longues minutes, elle revient vers la jeune femme, pose ses mains sur les pinces ornant ses tétons, les retire ensemble et sans ménagement avant de les remettre aussitôt. soumise Keira MDE serre les dents pour supporter la douleur de ce traitement sadique, ce qui satisfait la cuisinière.
- Hum, finalement, tu mérites peut-être ta place en ces lieux, voyons si la suite prouvera ta détermination, dit-elle se saisissant des ficelles reliées aux pinces ornant les flancs de la jeune femme.
Marie la regarde attentivement, puis d’un coup, tire sur les ficelles, faisant sauter en une fraction de seconde les pinces de ces flancs. Le corps de la jeune femme présente les traces rouges vives des pinces retirées, tranchant avec le blanc de sa peau…
- Bien, tu sais comment je vais retirer les suivantes ?, questionne la cuisinière d’un ton pervers.
- Avec la cravache, Madame ? répond Keira MDE connaissant les habitudes des Dominants pour faire tomber des pinces.
- Hum, oui je pourrais, mais ce serait beaucoup trop rapide et, donc trop doux. Pour toi, j’ai choisi le martinet.
Joignant le geste à la parole, Marie frappe une première fois la poitrine de la jeune femme… Vanessa se surprend depuis déjà un long moment de constater que son bas-ventre réagit par une évidente humidité aux traitements de Marie …
(A suivre …)
Il l’embrasse avec une certaine tendresse qu’elle n’a pas l’habitude de recevoir de sa part, tout en malaxant sa poitrine, puis reprend…
- Bien, maintenant passons à ta deuxième ineptie. Je suis un homme et un Maître très exigeant, difficile à satisfaire, sans doute plus difficile que la plupart de mes Invités. Penses-tu que si tu n’avais pas été parfaitement digne de me satisfaire je t’aurais offert Ma marque ?
- Non Maître.
- Donc si je t’ai jugée digne de Moi, c’est que je te juge digne de satisfaire chacun de mes Invités quels qu’ils soient. Ta réflexion était donc bien médiocre et totalement infondée. Tu es loin d’être idiote, tu m’as habitué à mieux. Une preuve encore, s’il en était nécessaire, que lorsque tu te poses des questions sur ta condition, tu fais preuve d’un très mauvais bon sens... Toutefois, je comprends ton interrogation, il est vrai que cela peut sembler curieux que je t’ai ‘épargné’ jusqu’à maintenant certaines tâches. C’est une des raisons pour laquelle je voulais que tu fasses le service ce soir, que tu comprennes que ce n’est pas parce que tu n’as pas encore eu le privilège d’effectuer toutes les tâches, que je ne t’en juge pas digne. C’est simplement que tu ne vis pas séant et que lorsque tu viens, je veux profiter de toi autrement qu’aux tâches domestiques. As-tu compris.
- Oui Maître, répond la jeune femme sur un ton peu certain.
- Je t’écoute, répond-t-Il souriant.
- Merci Maître d’avoir daigné me donner des explications.
- Non, j’écoute l’autre question qui taraude ton esprit… ton visage est un livre ouvert, sourit-Il.
- C’est que… être livrée à vos Invités n’est pas une tâche domestique, alors… non mais j’ai compris que…Vous n’aviez pas encore eu le temps de me faire l’honneur de ce rôle…et que je le vivrai le jour où Vous le déciderez.
Le Noble sourit, Il conserve son regard plongé dans le sien, l’observe un instant sans répondre, cherchant dans ses yeux si elle est réellement persuadée de ce qu’elle vient de dire.
- Hum, en fait non, tu ne seras jamais livrée lors de mes simples orgies, jamais ainsi.
- D’accord Maître, répond-t-elle sans comprendre mais sachant qu’elle n’a pas à en connaitre la raison.
- Tout comme d’autres de Mes esclaves d’ailleurs. Tu as bien dû remarquer que d’autres n’avaient jamais rempli ce rôle ?
- J’avoue ne pas avoir fait attention, Maître.
- Est-ce que Vanessa perd sa perspicacité et sa réflexion dès qu’elle devient Keira MDE ?, sourit-Il. Tu as bien dû remarquer que même chez Mes esclaves, il y avait une sorte de hiérarchie, n’est-ce pas ?
- Oui Maître, il y a Vos esclaves qui vivent 24h/24 en Votre château, et Vos soumis, comme moi qui ont une vie vanille en parallèle.
- Certes, mais pas que. Certains et certaines ont le privilège de faire parties de ceux qui attirent le regard d’une simple ondulation du corps, de ceux qui éveillent les désirs même immobile, de ceux que m’envient les autres Dominants, sans même les avoir testés. Bien que chacun de Mes esclaves soient importants à Mes yeux, ces derniers sont en quelque sorte Mes favoris. Et tu en fais partie, sache-le.
- Maître, je … je ne mérite pas cet honneur.
- En partie non, car la nature t’a faite ainsi, mais tu l’as aussi provoqué, ton corps est sculpté par ton hygiène de vie, ton mental s’est forgé dans tes expériences personnelles. Une soumise aux courbes proche de la perfection, qui peut endurer bien plus que la plupart des soumises, ça attire les convoitises. Si tu faisais partie des esclaves mis à disposition lors d’une de mes soirées, tous souhaiteraient te posséder et le risque serait pour toi d’être sollicitée au-delà de tes limites et pour le déroulement de la soirée de créer des tensions. Comprends-tu ?
- Oui Maître.
- Donc comme pour Mes autres favoris, je t’offre individuellement, ou comme récompense à un éventuel jeu. De temps en temps, tu seras donc offerte à tous en soirée, mais seulement lors des soirées où ce sont l’ensemble de Mes favoris qui sont mis à disposition et uniquement avec la crème des crèmes des Dominants, les plus expérimentés parmi mes nombreuses relations …
soumise Keira MDE, comprend que Le Noble est attentif au bon déroulement de Ses soirées, mais également à l’intégrité physique de ceux qui Lui appartiennent, elle sourit, heureuse de Lui appartenir.
- Pourquoi ce sourire ?
- La joie de Vous appartenir Maître, que Vous preniez de Votre temps pour m’expliquer Vos décisions, chose dont Vous n’êtes pas tenu.
- Bien, maintenant que tout est éclairci dans ta tête, tu vas rejoindre les cuisines servir Marie pour la nuit, allons file.
La jeune femme craint Marie la cuisinière, mais ne veut en aucun cas attiser les foudres du Maître, en faisant ressentir sa déception, aussi elle conserve une attitude neutre, cachant sa crainte de devoir la servir. Vanessa descend du bureau du Maître, s’incline avec respect et quitte la pièce, arpentant rapidement les couloirs jusqu’aux cuisines. Arrivée devant la porte, elle frappe et entre sur ordre, elle s’agenouille en position d’attente alors que la cuisinière termine de corriger un esclave mâle positionné en levrette, les fesses rougies par une large spatule, de cuisine, en bois que tient encore en main, Marie...
- Tu as de la chance que je ne m’occupe pas de toi ce soir, j’ai une chienne plus intéressante. File au Chenil et ne traîne pas, Monsieur Walter t’attend pour te remettre ta cage de chasteté et t’enfermer, dit Marie frappant une dernière fois le fessier du jeune homme.
L’esclave mâle part sans demander son reste, son fessier violacé de la sévère sanction qu’il vient visiblement de recevoir. Vanessa constate qu’il bande comme un taureau. La cuisinière se tourne alors vers Keira MDE, elle tourne autour, savoure par avance de disposer d’elle, parcourant l’ensemble de son corps de la palette de sa cravache qu’elle vient d’empoigner tout en ayant au préalable déposé sa spatule en bois sur un coin de table.
- Jolies marques, bien réparties, sans nul doute appliquées par une main d’expérience, c’est une badine n’est-ce pas, interroge-t-elle arrêtant sa palette sur le fessier de Vanessa.
- Oui, Madame Marie, répond humblement la jeune femme.
- Une sanction ?
- Oui Madame.
- Pour ?
- Pour avoir crié lors d’une introduction anale, Madame.
- Comme quoi tu es encore loin de mériter la marque du Maître.
- Quel Maître t’a administré cette sanction ?
- Monsieur Le Commandant, Madame.
- Ah ?, s’étonne la cuisinière qui pensait que Le Commandant serait bien incapable de sanctionner sa propre compagne de la sorte. Ainsi tout arrive ! … Bien, le travail ici est terminé, suis-moi.
La sévère cuisinière quitte la cuisine en direction de ses quartiers, suivie de soumise Keira MDE qui reste derrière elle à quatre pattes. La Domina l’a fait entrer dans sa chambre, la laissant se placer en son centre en position d’attente. Sans aucun ordre, elle la laisse ici, allant se doucher dans la salle de bain attenante. Marie revient un long moment plus tard, s’approche de la jeune femme qui remarquant les cuissardes de la cuisinière, comprend qu’elle s’est changée pour l’occasion. Marie toise sévèrement Keira MDE de haut, un long moment puis sans un mot la prend par la queue de cheval pour la traîner dans un coin de la pièce équipée en matériel BDSM. La cuisinière l’a relève sans aucune douceur et lui plaque le ventre contre une croix de Saint-André à laquelle elle l’attache prestement. Marie d’un air sadique, carnassier se dirige vers le présentoir sur lequel repose fouets, cravaches, martinets et autres objets de la même espèce, et se saisit d’une badine et revient vers elle.
- Bien, je vais parfaire l’œuvre du Commandant qui commence déjà à s’estomper, inutile de te rappeler que je ne veux aucun son de ta bouche, ni aucun mouvement. Et pas la peine de compter, j’aime le silence. Et sache que ce traitement que je daigne t’infliger n’est pas une sanction mais juste pour Mon plaisir. Oui le plaisir de maltraiter ton cul de chienne… Le plaisir de voir rougir ton fessier de salope, le plaisir de te procurer une vive douleur cuisante, et tous ces plaisirs réunis, sache, ô combien ils m’excitent, dit-elle d’un ton sadique et pervers.
Sans attendre de réponse, elle frappe un premier coup que la jeune femme accepte dans un souffle silencieux. Les autres coups suivent relativement rapidement, ils sont forts et sans modération, ne lui laissant pas de possibilité de récupérer, mais soumise Keira MDE souhaite de toute son âme honorer la Marque du Maître, prouver à la sadique cuisinière qu’elle la mérite réellement, aussi elle se concentre pour rester telle une poupée de cire… Les fesses et le derrière des cuisses de la jeune femme sont striées de toute part, violacées comme elles l’ont rarement été, presque à sang mais sans que celui-ci ne coule. Après avoir coloré amplement le fessier de Vanessa plus que de raison, Marie s’arrête car elle connaît les règles du Château et sait qu’elle ne pourrait aller guère plus loin tout en les respectant, c’est-à-dire ne jamais faire saigner. Et ainsi, elle est contrainte de modérer son sadisme. La cuisinière détache Keira MDE, la tourne pour la rattacher de nouveau, lui présentant ainsi son autre face. La perverse cuisinière se saisit d’un coffret qu’elle présente à la jeune femme. Il est rempli de pinces à linge en bois et de ficelle, Keira MDE comprend rapidement ce qui l’attend et s’apprête à accepter cette nouvelle épreuve avec l’attitude digne d’une soumise MDE.
Marie dans un sourire empli de perversité, un regard sadique, commence son œuvre par les tétons de la jeune femme, pour ensuite disposer une couronne de pinces sur chaque sein avant de s’attaquer à ses flancs remontant jusqu’à l’intérieur de ses bras, respectant un écartement parfait, voire millimétré. Elle prend son temps, dépose chaque pince doucement afin que la soumise MDE ressente fortement la morsure de chacune d’elle, une à une sur son corps meurtri. Puis Marie s’attaque au sexe de Vanessa, parant ses lèvres intimes et terminant par son clitoris. La cuisinière se recule, admire un instant son œuvre avec des yeux brillants d’un appétit carnassier et va s’asseoir dans un fauteuil lui faisant face, savourer une tasse de thé. soumise Keira MDE patiente le bon vouloir de la cuisinière, offerte à sa vue, ressentant particulièrement la morsure de la pince qui s’est emparée de son clitoris. Après de longues minutes, elle revient vers la jeune femme, pose ses mains sur les pinces ornant ses tétons, les retire ensemble et sans ménagement avant de les remettre aussitôt. soumise Keira MDE serre les dents pour supporter la douleur de ce traitement sadique, ce qui satisfait la cuisinière.
- Hum, finalement, tu mérites peut-être ta place en ces lieux, voyons si la suite prouvera ta détermination, dit-elle se saisissant des ficelles reliées aux pinces ornant les flancs de la jeune femme.
Marie la regarde attentivement, puis d’un coup, tire sur les ficelles, faisant sauter en une fraction de seconde les pinces de ces flancs. Le corps de la jeune femme présente les traces rouges vives des pinces retirées, tranchant avec le blanc de sa peau…
- Bien, tu sais comment je vais retirer les suivantes ?, questionne la cuisinière d’un ton pervers.
- Avec la cravache, Madame ? répond Keira MDE connaissant les habitudes des Dominants pour faire tomber des pinces.
- Hum, oui je pourrais, mais ce serait beaucoup trop rapide et, donc trop doux. Pour toi, j’ai choisi le martinet.
Joignant le geste à la parole, Marie frappe une première fois la poitrine de la jeune femme… Vanessa se surprend depuis déjà un long moment de constater que son bas-ventre réagit par une évidente humidité aux traitements de Marie …
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