Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1261)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1261)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1261) –
Vanessa se surprend depuis déjà un long moment de constater que son bas-ventre réagit par une évidente humidité aux traitements de Marie … mais sans trop de force, cette frappe sur sa poitrine ne retire aucune pince qui ne cède à ce premier coup. Alors avec un sourire pervers la cuisinière frappe plus fort, plusieurs coups de suite, alternant entre les deux seins de la jeune femme, jusqu’à ce qu’après une vingtaine de coups, la dernière pince tombe. Marie se recule, observe avec satisfaction la poitrine zébrée de Vanessa avant de s’attaquer de la même manière au sexe de la soumise MDE. La première pince à tomber est celle fixé au clitoris, son décrochement arrache une grimace à Keira MDE qui inspire fortement pour soutenir ce traitement, mais réussit à ne lâcher aucun son, même pas un gémissement. Les autres pinces tombent rapidement, mais Marie continue de frapper le sexe de la jeune femme, ne le trouvant pas suffisamment marqué à son goût. Lorsqu’elle termine, Vanessa souffle de soulagement. Marie détache la jeune femme qui s’agenouille immédiatement tout en baisant la main qu’elle lui tend, puis retourne dans son fauteuil, la laissant parmi les pinces qui jonchent le sol.
- Ramasse ces pinces, remets les dans leur boite et viens devant moi, lui ordonne-t-elle d’un ton sec. Mais vois-tu, j’ai déposé la boite, là par terre à mes pieds, et donc tu vas ramasser chaque pince avec tes dents et venir déposer chacune d’elle dans cette boite à quatre pattes, comme une petite chienne qui ramène le bâton. Aller au travail salope, ramène-moi chaque pince dans ta gueule de chienne…
soumise Keira MDE obéit promptement, rangeant les pinces dans le coffret qu’elle ramène entre ses dents une par une. Une fois terminée, elle vient rejoindre la cuisinière toujours à quatre pattes. Marie remonte sa jupe de cuir sur sa taille écarte largement les cuisses et présente un sexe parfaitement lisse devant la bouche de la jeune femme.
- Tu m’as bien excitée, salope et comme ta langue est divine, et j’espère qu’elle le sera maintenant, si c’est le cas tu auras le droit à un peu de repos, sinon tu passeras quelques heures à regretter de ne pas m’avoir octroyé de plaisir, aller lèche-moi et soit à la hauteur de la marque MDE que tu portes... Ne me déçoit pas, petite chienne…
Keira MDE sort sa langue et entreprend de donner du plaisir à cette femme à qui elle doit obéissance selon la Volonté du Maître. Vanessa s’applique, faisant tourner sa langue autour du clitoris de la cuisinière, la poussant parfois à l’entrée de son vagin, se concentrant sur ses soupirs pour caler ses actions sur les ressentis de Marie. La cuisinière retient visiblement son orgasme pour faire durer le plaisir, mais elle ne peut le nier, cette soumise est douée de sa langue, elle la laisse faire encore de longues minutes, plaquant la tête de la chienne MDE contre son sexe trempée jusqu’à ce que sentant son plaisir monter d’un cran, elle maintient encore plus fortement sa main sur le crâne de la jeune femme pour la forcer à boire le jus de sa jouissance qui se veut puissante, explosive... Une fois remise, Marie la repousse devant elle, la voyant se prosterner à ses pieds, attendant d’avoir la parole.
- Je t’écoute, lui autorise Marie se demandant ce qu’elle souhaite.
- Madame, je vous remercie de l’honneur que vous m’avez fait aujourd’hui.
- Quel honneur ?
- Celui de m’avoir permis de servir dans votre cuisine ce soir, celui de m’avoir octroyé la chance de vous appartenir, celui de m’avoir permis de boire votre plaisir, mais par-dessus tout celui de m’avoir permis d’honorer la marque du Maître, répond Keira MDE une voix pleine d’humilité.
Marie est sceptique, après tout ce qu’elle vient de lui faire subir, après les marques laissées sur son corps dont elle doit certainement encore ressentir les brûlures, cette soumise MDE la remercie d’un ton sincère. Alors la cuisinière pose ses doigts sous le menton de la jeune femme, relevant sa tête pour plonger son regard dans le sien, cherchant l’hypocrisie qu’elle devine, mais elle n’y lit que de la sincérité.
- Tu as aimé ?, s’étonne la cuisinière.
- J’aime et je dois obéir aux volontés du Maître, et Sa Volonté ce soir était de vous satisfaire, j’ai donc aimé me plier à Sa Volonté et je vous remercie d’avoir pris de votre temps pour me permettre de le faire.
La cuisinière relâche son menton, l’observant plonger de nouveau immédiatement ses yeux au sol. Marie l’observe un long moment. Elle n’est pas intriguée par cette soumise MDE, ni de sa détermination ou son obéissance car elle connait la dévotion totale des soumises et esclaves du Maître, mais elle est intrigué par le fait qu’elle Vanessa a aimé les traitements qu’elle lui a fait subir, en effet alors qu’elle n’a eu de cesse de la malmener, cette jeune femme la remercie sincèrement, sans aucune animosité. Elle commence à comprendre pourquoi même son ami Walter apprécie particulièrement cette soumise MDE et pourquoi Le Marquis d’Evans en a fait une de Ses favorites. Marie décèle donc le côté masochiste de la soumise MDE ayant conscience que celui-ci est aussi le fruit qui résulte de la pleine dévotion au Maître. C’est donc un masochisme particulier et non naturel car entièrement et seulement ressenti et exprimé par pure dévotion .
- Hum, je le dis rarement, mais bien dominer c’est également reconnaître les efforts, et donc je dis clairement que tu mérites la marque de Monsieur Le Marquis. J’espère que tu n’auras de cesse de la respecter comme tu viens de le faire… Allons, vas te reposer, termine-t-elle désignant la couverture au pied de son lit.
soumise Keira MDE s’incline et rejoint à quatre pattes la couverture sur laquelle elle se love avant de fermer les yeux. Marie se lève, la voyant greloter, elle la recouvre d’une autre couverture, chose qu’elle ne comptait pas lui octroyer, mais la cuisinière a beau être sadique, elle est également juste et donc elle estime qu’elle le mérite. Puis Marie la laisse s’endormir alors qu’elle va se changer dans la salle de bain attenante.
Le lendemain la cuisinière qui a l’habitude de se lever tôt est réveillée avant Keira MDE, elle se lève et la réveille du bout du pied sur sa croupe.
- Allons debout, vite et suis-moi.
Vanessa se redresse dans un sursaut à quatre pattes en silence et suit Marie qui quitte déjà la pièce. Arrivée à la cuisine, elle s’agenouille en parfaite position d’attente, prête à exécuter le moindre ordre. La cuisinière donne les directives à deux esclaves qui sont déjà en place, puis revient vers la jeune femme.
- Bien, tu vas apporter le plateau du déjeuner au Maître, tu lui remettras également cette lettre, dit-elle en glissant l’enveloppe sous le bol de café. Hâte-toi et ne renverse rien ! Pour cela, tu es autorisée à te déplacer en bipédie…
soumise Keira MDE s’incline, puis se relève et se saisit du plateau avant de quitter la pièce, elle presse le pas, le cœur joyeux de retrouver le Maître. Arrivée devant la porte de sa chambre, elle frappe mais n’obtient aucune réponse, elle patiente un instant et recommence en vain. Vanessa regarde par une fenêtre, le jour pointe à peine dehors, doucement, elle ouvre la porte, glisse un regard dans la chambre découvrant Le Maître encore dans les bras de Morphée. Elle hésite ne sachant trop quelle attitude adoptée, puis décide d’entrer, dépose le plateau sur une table proche du lit, et cherche désespérément l’attitude à adopter. Vanessa réfléchit à toute allure et, espérant qu’Il ne le lui reprochera pas, elle ose se glisser sous ses draps pour le réveiller de sa langue. Le Noble ne tarde pas à ouvrir les yeux, appréciant le plaisir de sentir son sexe dans la bouche de Sa soumise, Il la laisse faire un moment avant de lui caresser doucement la tête pour l’encourager à continuer. Vanessa s’active donc jusqu’à obtenir la semence du Maître qu’elle garde en bouche, alors elle redescend du lit, s’agenouille devant Lui et ouvre la bouche présentant le sperme chaud qu’elle vient de recueillir.
- Avale, ordonne-t-il d’un ton sec avant de continuer. Qui t’a permis de monter dans mon lit ?
- Maître, je suis désolée, je ne savais qu’elle attitude adopter, j’espérais avoir choisi la bonne. Je Vous prie de bien vouloir me sanctionner si j’ai fauté en le faisant, répond-t-elle d’une voix emplie de soumission.
Le Noble la regarde un instant, tremblante, mais déterminée à assumer ses actes quoi qu’il lui exige.
- Apporte le plateau et viens me rejoindre, répond-t-Il d’une voix adoucie.
La jeune femme obtempère rapidement, dépose le plateau sur le lit et s’agenouille sur le matelas aux côtés du Maître. Il l’observe un long moment, remarque rapidement les marques laissées par Marie et ouvre la lettre glissée sous son bol. Il la lit, prenant connaissance de la satisfaction de la cuisinière concernant Sa soumise, puis la dépose avant de regarder de nouveau la jeune femme.
- Regarde-moi dans les yeux, ordonne-t-Il d’un ton dominant qui fait frissonner la jeune femme.
Vanessa lève avec difficulté les yeux, mais maintenir le regard du Maître est toujours un effort difficile pour elle, surtout que le bleu azur et profond des yeux du Maître ne laisse personne indifférent. Il a un regard naturel qui amplifie Sa Dominance autant que Son charisme tout aussi naturel.
- Bien, cette lettre est le récit de ta soirée passée aux pieds de Madame Marie, je lis que tu as su la satisfaire, tu m’en vois ravi car je sais combien il est difficile de lui donner une entière satisfaction. Concernant l’attitude à avoir pour me porter mon petit déjeuner lorsque je dors encore, la règle est la suivante : L’esclave doit venir se positionner à genoux, sur le côté du lit, les bras tendus, présentant le plateau, et tenir ainsi la position jusqu’à que je me réveille. Toutefois, j’ai bien conscience que tu n’en avais pas été informée, je ne te tiendrais donc pas rigueur de cette erreur. D’autre part, j’ai fortement apprécié ton initiative, au point que je vais certainement t’inclure parmi celles, et elles sont peu nombreuses, qui ont l’autorisation de déroger à cette règle en faisant exactement ce que tu viens de faire, c’est-à-dire venir Me réveiller en ayant la chance de prendre Ma noble verge en bouche et de Me faire jouir. Elles ne sont pas nombreuses, comme je disais, à être autorisées à être autorisée à avoir l’attitude que tu as adoptée aujourd’hui, je peux les compter sur les doigts de la main…
La jeune femme sourit, heureuse d’avoir contenté Le Maître. Elle baisse la tête en signe de remerciement. Le Noble entreprend de déjeuner, lui octroyant de temps en temps quelques caresses, puis allant se doucher, Il claque des doigts pour qu’elle Le suive.
Le Châtelain lui retire son collier, lui désigne la large cabine de douche, Vanessa y entre s’y agenouille et sent rapidement un filet d’eau froide couler sur son corps. Mais à sa grande surprise, l’eau se réchauffe très vite et le Noble qui s’est déshabillé, la rejoint. Il la relève, la place face à Lui, Vanessa ferme les yeux pour ne pas observer son corps, Monsieur le Marquis sourit et relève sa tête pour plonger son regard dans le sien, Il l’embrasse et prenant une éponge entreprend de la savonner, passant doucement sur les marques violacées laissées par la badine de Marie.
- Elle ne t’a pas épargnée, ce n’est pas trop douloureux ?
- Si, mais j’ai connu pire douleur, Maître.
- Oui, mais les autres étaient méritées.
- Celle-ci également, Maître.
- Pourquoi ? Qu’as-tu fait ?
- Madame Marie ne me pensait pas digne de Votre marque, Maître, cette épreuve était nécessaire pour qu’elle puisse changer d’avis. Je suis heureuse d’avoir honoré Votre éducation… De plus, mais cela n’était pas méritée pour ce que je suis, elle m’a dit clairement telle une personne sadique, qu’elle prenait un véritable plaisir à me maltraiter … - Oui Marie est clairement perverse et sadique et elle le revendique haut et fort, sans aucun complexe et d’ailleurs je cautionne cette réalité sans problème en lui laissant exprimer son sadisme mais avec un garde-fou clair et incontournable : Ne jamais faire saigner un soumis ou une soumise, ne jamais lui laisser des séquelles indélébiles. Mais toi, soit franche, as-tu aimé ses traitements ?
- J’avoue avoir ressenti mon intimité s’humidifier à chacun de ses traitements qu’elle m’a fait subir. Mais ce que je suis certaine, c’est que je pensais qu’à une seule chose durant ceux-ci, c’est que c’est de Votre Volonté qu’elle puisse agir ainsi et donc Vous satisfaire m’excitait grandement à humidifier mon sexe plus que la douleur ressentie…- Une forme de ‘masochisme de dévotion’ en quelque sorte …- Oui Maître, pour Vous, je suis prête à tout supporter les yeux fermés car je sais que Vous ne me ferez jamais mal à me laisser des séquelles indélébiles, comme Vous le dites si justement.
Le Noble sourit, Il termine de la savonner, puis lui tend l’éponge qu’elle saisit sans trop savoir quoi faire.
- Allons, à toi de me savonner !
- Mer…Merci, Maître de cet honneur, dit-elle la voix tremblante tout en passant délicatement l’éponge sur le corps du Noble.
Une fois la tâche terminée, elle s’agenouille, tendant l’éponge à Monsieur le Marquis. Il la range, coupe l’eau, sort de la douche, et ordonne à Vanessa de le sécher, ce qu’elle fait avec précaution et consciente de ce privilège. Puis il lui tend une serviette pour qu’elle fasse de même sur son propre corps. Elle s’exécute promptement, puis patiente à genoux, les mains dans le dos. Le Noble prend sa main, la relève, puis lui tend son collier, elle commence à le passer mais Il l’arrête.
- Une prochaine fois car il est temps pour Vanessa de rentrer chez elle. J’espère que ce court séjour aura permis de répondre aux questions que tu te posais.
- Oui Maître, merci infiniment.
- Je n’offre jamais rien…, commence-t-Il laissant un blanc.
- …qui ne soit mérité, termine la jeune femme souriante.
Vanessa s’incline puis quitte la pièce, son collier à la main, allant rejoindre sa voiture. Là elle s’habille et reprend la route. Arrivée chez elle, Laurent n’est pas encore parti au travail, il l’accueille en l’embrassant amoureusement, mais passant ses mains sous la jupe de la jeune femme il remarque les traces laissées par la badine de Marie. D’un geste il relève la jupe pour découvrir le fessier violacé de sa compagne. Il prend un air sérieux, presque déçu, et lui demande.
- Est-ce l’œuvre d’Edouard ? Qu’as-tu fait pour mériter un tel traitement ?, accuse-t-il.
- Non, de Madame Marie.
- Tu as cassé de la vaisselle durant le service ?
- Non, Monsieur Le Marquis m’a offerte à elle pour la nuit. Elle a voulu tester ma détermination et laisser exprimer son sadisme.
- Hum, c’est fortement appuyé, mon ami a approuvé ça ?
- Mon chéri, tu t’inquiètes trop, lui répond-t-elle en l’embrassant. Ne me dis pas que tu n’as jamais marqué de la sorte le fessier d’une soumise.
- Jamais sans raison, non.
- Je vais bien, le rassure-t-elle et puis tu ne dois pas ignorer le sadisme de Marie la cuisinière qui peut faire mal, surtout sans raison…- Oui, c’est vrai et je connais aussi la Règle d’Or du Château, qu’aucun Dominant ou Domina ne doit laisser des séquelles indélébiles… Je sais que la peau de tes fesses retrouvera sa couleur naturelle…
Il sourit, la prend dans ses bras un instant, puis la quitte pour aller travailler…
(A suivre …)
Vanessa se surprend depuis déjà un long moment de constater que son bas-ventre réagit par une évidente humidité aux traitements de Marie … mais sans trop de force, cette frappe sur sa poitrine ne retire aucune pince qui ne cède à ce premier coup. Alors avec un sourire pervers la cuisinière frappe plus fort, plusieurs coups de suite, alternant entre les deux seins de la jeune femme, jusqu’à ce qu’après une vingtaine de coups, la dernière pince tombe. Marie se recule, observe avec satisfaction la poitrine zébrée de Vanessa avant de s’attaquer de la même manière au sexe de la soumise MDE. La première pince à tomber est celle fixé au clitoris, son décrochement arrache une grimace à Keira MDE qui inspire fortement pour soutenir ce traitement, mais réussit à ne lâcher aucun son, même pas un gémissement. Les autres pinces tombent rapidement, mais Marie continue de frapper le sexe de la jeune femme, ne le trouvant pas suffisamment marqué à son goût. Lorsqu’elle termine, Vanessa souffle de soulagement. Marie détache la jeune femme qui s’agenouille immédiatement tout en baisant la main qu’elle lui tend, puis retourne dans son fauteuil, la laissant parmi les pinces qui jonchent le sol.
- Ramasse ces pinces, remets les dans leur boite et viens devant moi, lui ordonne-t-elle d’un ton sec. Mais vois-tu, j’ai déposé la boite, là par terre à mes pieds, et donc tu vas ramasser chaque pince avec tes dents et venir déposer chacune d’elle dans cette boite à quatre pattes, comme une petite chienne qui ramène le bâton. Aller au travail salope, ramène-moi chaque pince dans ta gueule de chienne…
soumise Keira MDE obéit promptement, rangeant les pinces dans le coffret qu’elle ramène entre ses dents une par une. Une fois terminée, elle vient rejoindre la cuisinière toujours à quatre pattes. Marie remonte sa jupe de cuir sur sa taille écarte largement les cuisses et présente un sexe parfaitement lisse devant la bouche de la jeune femme.
- Tu m’as bien excitée, salope et comme ta langue est divine, et j’espère qu’elle le sera maintenant, si c’est le cas tu auras le droit à un peu de repos, sinon tu passeras quelques heures à regretter de ne pas m’avoir octroyé de plaisir, aller lèche-moi et soit à la hauteur de la marque MDE que tu portes... Ne me déçoit pas, petite chienne…
Keira MDE sort sa langue et entreprend de donner du plaisir à cette femme à qui elle doit obéissance selon la Volonté du Maître. Vanessa s’applique, faisant tourner sa langue autour du clitoris de la cuisinière, la poussant parfois à l’entrée de son vagin, se concentrant sur ses soupirs pour caler ses actions sur les ressentis de Marie. La cuisinière retient visiblement son orgasme pour faire durer le plaisir, mais elle ne peut le nier, cette soumise est douée de sa langue, elle la laisse faire encore de longues minutes, plaquant la tête de la chienne MDE contre son sexe trempée jusqu’à ce que sentant son plaisir monter d’un cran, elle maintient encore plus fortement sa main sur le crâne de la jeune femme pour la forcer à boire le jus de sa jouissance qui se veut puissante, explosive... Une fois remise, Marie la repousse devant elle, la voyant se prosterner à ses pieds, attendant d’avoir la parole.
- Je t’écoute, lui autorise Marie se demandant ce qu’elle souhaite.
- Madame, je vous remercie de l’honneur que vous m’avez fait aujourd’hui.
- Quel honneur ?
- Celui de m’avoir permis de servir dans votre cuisine ce soir, celui de m’avoir octroyé la chance de vous appartenir, celui de m’avoir permis de boire votre plaisir, mais par-dessus tout celui de m’avoir permis d’honorer la marque du Maître, répond Keira MDE une voix pleine d’humilité.
Marie est sceptique, après tout ce qu’elle vient de lui faire subir, après les marques laissées sur son corps dont elle doit certainement encore ressentir les brûlures, cette soumise MDE la remercie d’un ton sincère. Alors la cuisinière pose ses doigts sous le menton de la jeune femme, relevant sa tête pour plonger son regard dans le sien, cherchant l’hypocrisie qu’elle devine, mais elle n’y lit que de la sincérité.
- Tu as aimé ?, s’étonne la cuisinière.
- J’aime et je dois obéir aux volontés du Maître, et Sa Volonté ce soir était de vous satisfaire, j’ai donc aimé me plier à Sa Volonté et je vous remercie d’avoir pris de votre temps pour me permettre de le faire.
La cuisinière relâche son menton, l’observant plonger de nouveau immédiatement ses yeux au sol. Marie l’observe un long moment. Elle n’est pas intriguée par cette soumise MDE, ni de sa détermination ou son obéissance car elle connait la dévotion totale des soumises et esclaves du Maître, mais elle est intrigué par le fait qu’elle Vanessa a aimé les traitements qu’elle lui a fait subir, en effet alors qu’elle n’a eu de cesse de la malmener, cette jeune femme la remercie sincèrement, sans aucune animosité. Elle commence à comprendre pourquoi même son ami Walter apprécie particulièrement cette soumise MDE et pourquoi Le Marquis d’Evans en a fait une de Ses favorites. Marie décèle donc le côté masochiste de la soumise MDE ayant conscience que celui-ci est aussi le fruit qui résulte de la pleine dévotion au Maître. C’est donc un masochisme particulier et non naturel car entièrement et seulement ressenti et exprimé par pure dévotion .
- Hum, je le dis rarement, mais bien dominer c’est également reconnaître les efforts, et donc je dis clairement que tu mérites la marque de Monsieur Le Marquis. J’espère que tu n’auras de cesse de la respecter comme tu viens de le faire… Allons, vas te reposer, termine-t-elle désignant la couverture au pied de son lit.
soumise Keira MDE s’incline et rejoint à quatre pattes la couverture sur laquelle elle se love avant de fermer les yeux. Marie se lève, la voyant greloter, elle la recouvre d’une autre couverture, chose qu’elle ne comptait pas lui octroyer, mais la cuisinière a beau être sadique, elle est également juste et donc elle estime qu’elle le mérite. Puis Marie la laisse s’endormir alors qu’elle va se changer dans la salle de bain attenante.
Le lendemain la cuisinière qui a l’habitude de se lever tôt est réveillée avant Keira MDE, elle se lève et la réveille du bout du pied sur sa croupe.
- Allons debout, vite et suis-moi.
Vanessa se redresse dans un sursaut à quatre pattes en silence et suit Marie qui quitte déjà la pièce. Arrivée à la cuisine, elle s’agenouille en parfaite position d’attente, prête à exécuter le moindre ordre. La cuisinière donne les directives à deux esclaves qui sont déjà en place, puis revient vers la jeune femme.
- Bien, tu vas apporter le plateau du déjeuner au Maître, tu lui remettras également cette lettre, dit-elle en glissant l’enveloppe sous le bol de café. Hâte-toi et ne renverse rien ! Pour cela, tu es autorisée à te déplacer en bipédie…
soumise Keira MDE s’incline, puis se relève et se saisit du plateau avant de quitter la pièce, elle presse le pas, le cœur joyeux de retrouver le Maître. Arrivée devant la porte de sa chambre, elle frappe mais n’obtient aucune réponse, elle patiente un instant et recommence en vain. Vanessa regarde par une fenêtre, le jour pointe à peine dehors, doucement, elle ouvre la porte, glisse un regard dans la chambre découvrant Le Maître encore dans les bras de Morphée. Elle hésite ne sachant trop quelle attitude adoptée, puis décide d’entrer, dépose le plateau sur une table proche du lit, et cherche désespérément l’attitude à adopter. Vanessa réfléchit à toute allure et, espérant qu’Il ne le lui reprochera pas, elle ose se glisser sous ses draps pour le réveiller de sa langue. Le Noble ne tarde pas à ouvrir les yeux, appréciant le plaisir de sentir son sexe dans la bouche de Sa soumise, Il la laisse faire un moment avant de lui caresser doucement la tête pour l’encourager à continuer. Vanessa s’active donc jusqu’à obtenir la semence du Maître qu’elle garde en bouche, alors elle redescend du lit, s’agenouille devant Lui et ouvre la bouche présentant le sperme chaud qu’elle vient de recueillir.
- Avale, ordonne-t-il d’un ton sec avant de continuer. Qui t’a permis de monter dans mon lit ?
- Maître, je suis désolée, je ne savais qu’elle attitude adopter, j’espérais avoir choisi la bonne. Je Vous prie de bien vouloir me sanctionner si j’ai fauté en le faisant, répond-t-elle d’une voix emplie de soumission.
Le Noble la regarde un instant, tremblante, mais déterminée à assumer ses actes quoi qu’il lui exige.
- Apporte le plateau et viens me rejoindre, répond-t-Il d’une voix adoucie.
La jeune femme obtempère rapidement, dépose le plateau sur le lit et s’agenouille sur le matelas aux côtés du Maître. Il l’observe un long moment, remarque rapidement les marques laissées par Marie et ouvre la lettre glissée sous son bol. Il la lit, prenant connaissance de la satisfaction de la cuisinière concernant Sa soumise, puis la dépose avant de regarder de nouveau la jeune femme.
- Regarde-moi dans les yeux, ordonne-t-Il d’un ton dominant qui fait frissonner la jeune femme.
Vanessa lève avec difficulté les yeux, mais maintenir le regard du Maître est toujours un effort difficile pour elle, surtout que le bleu azur et profond des yeux du Maître ne laisse personne indifférent. Il a un regard naturel qui amplifie Sa Dominance autant que Son charisme tout aussi naturel.
- Bien, cette lettre est le récit de ta soirée passée aux pieds de Madame Marie, je lis que tu as su la satisfaire, tu m’en vois ravi car je sais combien il est difficile de lui donner une entière satisfaction. Concernant l’attitude à avoir pour me porter mon petit déjeuner lorsque je dors encore, la règle est la suivante : L’esclave doit venir se positionner à genoux, sur le côté du lit, les bras tendus, présentant le plateau, et tenir ainsi la position jusqu’à que je me réveille. Toutefois, j’ai bien conscience que tu n’en avais pas été informée, je ne te tiendrais donc pas rigueur de cette erreur. D’autre part, j’ai fortement apprécié ton initiative, au point que je vais certainement t’inclure parmi celles, et elles sont peu nombreuses, qui ont l’autorisation de déroger à cette règle en faisant exactement ce que tu viens de faire, c’est-à-dire venir Me réveiller en ayant la chance de prendre Ma noble verge en bouche et de Me faire jouir. Elles ne sont pas nombreuses, comme je disais, à être autorisées à être autorisée à avoir l’attitude que tu as adoptée aujourd’hui, je peux les compter sur les doigts de la main…
La jeune femme sourit, heureuse d’avoir contenté Le Maître. Elle baisse la tête en signe de remerciement. Le Noble entreprend de déjeuner, lui octroyant de temps en temps quelques caresses, puis allant se doucher, Il claque des doigts pour qu’elle Le suive.
Le Châtelain lui retire son collier, lui désigne la large cabine de douche, Vanessa y entre s’y agenouille et sent rapidement un filet d’eau froide couler sur son corps. Mais à sa grande surprise, l’eau se réchauffe très vite et le Noble qui s’est déshabillé, la rejoint. Il la relève, la place face à Lui, Vanessa ferme les yeux pour ne pas observer son corps, Monsieur le Marquis sourit et relève sa tête pour plonger son regard dans le sien, Il l’embrasse et prenant une éponge entreprend de la savonner, passant doucement sur les marques violacées laissées par la badine de Marie.
- Elle ne t’a pas épargnée, ce n’est pas trop douloureux ?
- Si, mais j’ai connu pire douleur, Maître.
- Oui, mais les autres étaient méritées.
- Celle-ci également, Maître.
- Pourquoi ? Qu’as-tu fait ?
- Madame Marie ne me pensait pas digne de Votre marque, Maître, cette épreuve était nécessaire pour qu’elle puisse changer d’avis. Je suis heureuse d’avoir honoré Votre éducation… De plus, mais cela n’était pas méritée pour ce que je suis, elle m’a dit clairement telle une personne sadique, qu’elle prenait un véritable plaisir à me maltraiter … - Oui Marie est clairement perverse et sadique et elle le revendique haut et fort, sans aucun complexe et d’ailleurs je cautionne cette réalité sans problème en lui laissant exprimer son sadisme mais avec un garde-fou clair et incontournable : Ne jamais faire saigner un soumis ou une soumise, ne jamais lui laisser des séquelles indélébiles. Mais toi, soit franche, as-tu aimé ses traitements ?
- J’avoue avoir ressenti mon intimité s’humidifier à chacun de ses traitements qu’elle m’a fait subir. Mais ce que je suis certaine, c’est que je pensais qu’à une seule chose durant ceux-ci, c’est que c’est de Votre Volonté qu’elle puisse agir ainsi et donc Vous satisfaire m’excitait grandement à humidifier mon sexe plus que la douleur ressentie…- Une forme de ‘masochisme de dévotion’ en quelque sorte …- Oui Maître, pour Vous, je suis prête à tout supporter les yeux fermés car je sais que Vous ne me ferez jamais mal à me laisser des séquelles indélébiles, comme Vous le dites si justement.
Le Noble sourit, Il termine de la savonner, puis lui tend l’éponge qu’elle saisit sans trop savoir quoi faire.
- Allons, à toi de me savonner !
- Mer…Merci, Maître de cet honneur, dit-elle la voix tremblante tout en passant délicatement l’éponge sur le corps du Noble.
Une fois la tâche terminée, elle s’agenouille, tendant l’éponge à Monsieur le Marquis. Il la range, coupe l’eau, sort de la douche, et ordonne à Vanessa de le sécher, ce qu’elle fait avec précaution et consciente de ce privilège. Puis il lui tend une serviette pour qu’elle fasse de même sur son propre corps. Elle s’exécute promptement, puis patiente à genoux, les mains dans le dos. Le Noble prend sa main, la relève, puis lui tend son collier, elle commence à le passer mais Il l’arrête.
- Une prochaine fois car il est temps pour Vanessa de rentrer chez elle. J’espère que ce court séjour aura permis de répondre aux questions que tu te posais.
- Oui Maître, merci infiniment.
- Je n’offre jamais rien…, commence-t-Il laissant un blanc.
- …qui ne soit mérité, termine la jeune femme souriante.
Vanessa s’incline puis quitte la pièce, son collier à la main, allant rejoindre sa voiture. Là elle s’habille et reprend la route. Arrivée chez elle, Laurent n’est pas encore parti au travail, il l’accueille en l’embrassant amoureusement, mais passant ses mains sous la jupe de la jeune femme il remarque les traces laissées par la badine de Marie. D’un geste il relève la jupe pour découvrir le fessier violacé de sa compagne. Il prend un air sérieux, presque déçu, et lui demande.
- Est-ce l’œuvre d’Edouard ? Qu’as-tu fait pour mériter un tel traitement ?, accuse-t-il.
- Non, de Madame Marie.
- Tu as cassé de la vaisselle durant le service ?
- Non, Monsieur Le Marquis m’a offerte à elle pour la nuit. Elle a voulu tester ma détermination et laisser exprimer son sadisme.
- Hum, c’est fortement appuyé, mon ami a approuvé ça ?
- Mon chéri, tu t’inquiètes trop, lui répond-t-elle en l’embrassant. Ne me dis pas que tu n’as jamais marqué de la sorte le fessier d’une soumise.
- Jamais sans raison, non.
- Je vais bien, le rassure-t-elle et puis tu ne dois pas ignorer le sadisme de Marie la cuisinière qui peut faire mal, surtout sans raison…- Oui, c’est vrai et je connais aussi la Règle d’Or du Château, qu’aucun Dominant ou Domina ne doit laisser des séquelles indélébiles… Je sais que la peau de tes fesses retrouvera sa couleur naturelle…
Il sourit, la prend dans ses bras un instant, puis la quitte pour aller travailler…
(A suivre …)
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