Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°542)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°542)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°542)
Le reste de la semaine se passe au fil de la formation qu’encadre la jeune femme, elle n’oublie toutefois pas de conserver le rosebud en elle, comme le lui a ordonné son Maître. Et bizarrement, cette présence la conforte dans sa position de soumise, comme si elle pouvait sentir son Maître à ses côtés, car cette présence lui rappelle aussi et à chaque instant ce qu’elle est et pour qui elle est soumise comme si elle était constamment à Ses pieds… Le samedi soir, Vanessa se sépare de ses stagiaires après leur avoir donné les résultats, certains partent heureux d’être arrivés au bout de cette formation, d’autres déçus d’avoir échoué. Elle finalise le rangement et rentre chez elle se reposer avant sa garde du lundi matin. Avant de se coucher, elle voit un mail de son Maître :
« Bonjour soumise, je te laisse ton dimanche libre pour que tu puisses récupérer en te reposant de ta semaine, mais mardi je te veux, à midi, à Mes pieds, organise-toi pour me satisfaire. »
Vanessa est heureuse de pouvoir enfin retourner au Château, retrouver sa place aux pieds de son Maître, et se surprend même d’avoir hâte d’être au mardi. Elle passe son dimanche seule à entretenir sa maison, son jardin et à récupérer de sa semaine. Le lundi matin, elle retire le rosebud avant d’aller prendre sa garde, et elle se sent soudain nue sans ce bijou aux marques de son Maître auquel elle s’était habituée. Elle prend sa garde dès 8h, mais à peine dix minutes plus tard elle est envoyé sur un feu de forêt proche de vignes de renom, sur les contrefort du Beaujolais où le vent fort permet à l’incendie de se propager rapidement, déjà vingt hectares ont brûlés et les moyens s’organisent rapidement pour mettre en œuvre le plan d’attaque. Vanessa arrive avec son équipe sur les lieux, ils vont chercher les ordres au poste de commandement avancé, elle y voit Laurent qui s’affaire à organiser les moyens à sa disposition et à faire la liste des moyens supplémentaires qui vont être nécessaires.
- Vaness, ne prend pas de risques, le vent est tournant, reste attentive, lui conseille son ami.
- Comme toujours, ne t’inquiète pas, je serai encore là demain, sourit-elle.
Laurent désespère de la voir aussi confiante, mais il sait à quel point elle a conscience des risques et à quel point elle est entraînée, s’il doit s’inquiéter pour ses hommes, ce n’est pas pour elle en priorité. La journée se passe au fil de leur course effrénée contre les flammes, tentant de protéger ce qui n’est pas encore atteint, s’assurant de limiter au maximum la propagation et de sauver aussi les vignes d’un des meilleurs Beaujolais. Elle prend peu de pauses, simplement pour se restaurer et s’hydrater, la nuit arrive et les moyens ne sont pas suffisant pour permettre une relève, aussi elle reste en poste, les lampes ne sont pas nécessaires, les flammes éclairent suffisamment le site. Le petit jour pointe à l’horizon et la relève s’organise, il est 7h lorsque d’autres moyens arrivent. Son commandant vient la voir avant qu’elle ne parte, il veut s’assurer qu’elle aille bien, et il lui trouve une mine très fatiguée, il la prend à part et lui dit :
- Profite de ta journée pour te reposer, je passerai te voir ce soir chez toi.
- Ce n’est pas possible, je serai au Château, je dois y être à midi.
- Dans cet état ? Comment comptes-tu servir ton Maître convenablement ? accuse-t-il d’un ton plus Dominant.
- Je prendrai sur moi, ne t’inquiète pas, je ne Le décevrai pas.
- C’est ridicule, tu as besoin de repos, préviens-Le, Il comprendra, répond le commandant d’un ton inquiet.
- Non, je ne peux pas, je me dois de respecter Sa volonté.
- Sa Volonté est avant tout de respecter l’intégrité physique de Ses soumises, Il ne peut pas exercer Sa Domination si tu lui caches ton état. Veux-tu que je l’appelle pour lui expliquer ?
- Non, je te l’interdit, enfin…je veux dire…s’il te plait ne fait pas ça, laisse-moi gérer, je t’assure que mon état est compatible avec ma soumission.
- Soit ! Mais tu vas au devant de difficultés, mais tu dois apprendre de tes erreurs… conclue le commandant en s’éloignant.
Il est 9h lorsqu’elle rentre chez elle très fatiguée, elle se repose une heure, puis se prépare afin d’être apprêtée comme le désir son Maître. Vanessa se douche, se rase de prêt, et effectue un lavement avant de remettre le rosebud en place. Elle prend sa voiture et conduit jusqu’au Château, elle passe la grille du lourd portail de fer forgé et s’engage dans l’allée principale impeccablement entretenue et va jusqu’à l’arrière du Château, endroit où elle gare sa voiture habituellement. Vanessa se déshabille, passe son collier de cuir et laissant ses vêtements dans sa voiture, ainsi que ses clés, elle rejoint en marchant la porte d’entrée à l’arrière du Château. Elle entre, le couloir est vide, il n’est que 11h30, elle préfère être en avance, aussi elle s’agenouille et patiente qu’on vienne la chercher… Monsieur Le Marquis la voit sur les écrans de contrôle de son bureau, il est surpris de voir ses yeux se fermer, somnolant à moitié. Au même moment son téléphone sonne, il décroche :
- Bonjour Edouard, je tenais à vous faire part de l’état physique de votre soumise.
- Ah ? Je vous écoute Laurent.
- Elle vient de passer plus de 24h non-stop dans la forêt à lutter contre l’incendie, elle n’est pas en état de vous servir, mais elle a refusé de vous en parler, et m’a également interdit de vous mettre au courant.
- Je vois, merci mon ami de m’avoir prévenu, il est temps qu’elle comprenne que Je dois être informé de son état à tout moment. Je vais lui organiser une leçon à la hauteur de son entêtement, et n’ayez crainte, je vous la rendrais entière, fatiguée certes, mais entière, termine Le Noble en souriant.
- Je vous fais confiance, merci Edouard.
Le Marquis d’Evans raccroche puis appuie sur le bouton de son interphone pour faire venir son Majordome. En l’attendant, il griffonne quelques consignes sur une feuille de papier. Le Majordome frappe à la porte et entre avec l’autorisation du Maître des lieux.
- Ah, Walter, j’ai besoin de tes services pour organiser rapidement la soirée de ma soumise Vanessa, lui dit-il en lui tendant la feuille de papier.
- Bien Monsieur.
- Mais avant, je veux que tu ailles la chercher, elle patiente dans l’entrée de l’arrière du Château, je la veux à Mes pieds pour le repas, mais je ne déjeune que dans une heure, aussi je souhaite te l’offrir pour le temps restant.
- Merci Monsieur, répond Walter avec un sourire carnassier au coin des lèvres.
- C’est tout naturel mon ami, tu le mérites, profites-en sans limite, elle est à toi durant 1 heure.
Walter se retire, glisse la feuille de papier dans sa poche et file récupérer Vanessa. Il la trouve à genoux, les yeux fermés, comme somnolente, il s’approche claque des doigts, mais elle ne réagit pas. Il prend la cravache accrochée à sa ceinture et lui assène deux coups secs sur la poitrine. Elle sursaute et réajuste immédiatement sa position, les yeux rivés sur le sol.
- Bonjour chienne.
- Bonjour Monsieur Walter, répond Vanessa qui a reconnu sa voix.
- Bien, j’ai reçu des instructions te concernant, ton Maître a prévu une journée intense pour toi, mais si tu dors avant même d’avoir commencé, je peux te certifier que tu vas peiner à respecter sa volonté. As-tu une excuse pour ce comportement, accuse le Majordome.
- Non Monsieur, je suis désolée, je Vous prie de bien vouloir sanctionner ma faute.
- Soit, c’est parfait et sache que nous avons un peu de temps, rien que nous deux….
Il attache une laisse au collier de Vanessa et la traine jusque dans une salle qu’elle ne connait pas encore. Là, il la mène jusqu’à un genre de cheval d’arçon et la penche dessus, tout son corps allongé sur ce meuble de cuir, ses fesses offertes sur le côté du meuble. Il la caresse avec une douceur qu’elle ne lui connait pas, de sa nuque jusqu’à ses fesses, puis sa cravache remplace sa main, il trace doucement le chemin de sa colonne vertébrale du bout de la palette. C’est une scène très sensuelle et même érotique quand soudain :
- Bien, que penses-tu mériter ?
- La juste sanction pour m’être assoupie Monsieur.
- Et quelle est-elle ?
- Celle que vous déciderez Monsieur.
- J’attends ta proposition accuse-t-il.
- La cravache Monsieur, ose-t-elle.
- Combien ?
- Vingt coups, Monsieur, hésite-t-elle, espérant que sa proposition sera acceptée.
- Hum…c’est d’accord.
Le Majordome frappe sans s’arrêter, il souhaite expédier la sanction pour pouvoir profiter de la jeune femme. Vanessa supporte mal la sanction, sa fatigue l’empêche de gérer sa douleur comme à son habitude, et des larmes perlent sur ses joues. Au bout d’une minute la sanction est terminée, Walter pose sa cravache et observe la jeune femme, elle a une respiration saccadée, il est surpris, il l’a déjà frappée beaucoup plus fort sans qu’elle ne réagisse si rapidement.
- Tu vas bien ? s’inquiète-t-il, ne souhaitant pas blesser ni la personne, ni la soumise de son Maître.
- Oui Monsieur, merci pour cette sanction, répond Vanessa en respirant profondément.
- Sais-tu pourquoi tu es ici ?
- Pour être sanctionnée, Monsieur.
- Certes, mais pas seulement. Ton Maître t’a offerte à moi pour une heure, et je compte bien profiter de ce cadeau… Oui sache que je ne vais pas me priver de ton corps … ajoute-t-il avec une perversité évidente par son regard et le ton de sa voix…
(A suivre …)
Le reste de la semaine se passe au fil de la formation qu’encadre la jeune femme, elle n’oublie toutefois pas de conserver le rosebud en elle, comme le lui a ordonné son Maître. Et bizarrement, cette présence la conforte dans sa position de soumise, comme si elle pouvait sentir son Maître à ses côtés, car cette présence lui rappelle aussi et à chaque instant ce qu’elle est et pour qui elle est soumise comme si elle était constamment à Ses pieds… Le samedi soir, Vanessa se sépare de ses stagiaires après leur avoir donné les résultats, certains partent heureux d’être arrivés au bout de cette formation, d’autres déçus d’avoir échoué. Elle finalise le rangement et rentre chez elle se reposer avant sa garde du lundi matin. Avant de se coucher, elle voit un mail de son Maître :
« Bonjour soumise, je te laisse ton dimanche libre pour que tu puisses récupérer en te reposant de ta semaine, mais mardi je te veux, à midi, à Mes pieds, organise-toi pour me satisfaire. »
Vanessa est heureuse de pouvoir enfin retourner au Château, retrouver sa place aux pieds de son Maître, et se surprend même d’avoir hâte d’être au mardi. Elle passe son dimanche seule à entretenir sa maison, son jardin et à récupérer de sa semaine. Le lundi matin, elle retire le rosebud avant d’aller prendre sa garde, et elle se sent soudain nue sans ce bijou aux marques de son Maître auquel elle s’était habituée. Elle prend sa garde dès 8h, mais à peine dix minutes plus tard elle est envoyé sur un feu de forêt proche de vignes de renom, sur les contrefort du Beaujolais où le vent fort permet à l’incendie de se propager rapidement, déjà vingt hectares ont brûlés et les moyens s’organisent rapidement pour mettre en œuvre le plan d’attaque. Vanessa arrive avec son équipe sur les lieux, ils vont chercher les ordres au poste de commandement avancé, elle y voit Laurent qui s’affaire à organiser les moyens à sa disposition et à faire la liste des moyens supplémentaires qui vont être nécessaires.
- Vaness, ne prend pas de risques, le vent est tournant, reste attentive, lui conseille son ami.
- Comme toujours, ne t’inquiète pas, je serai encore là demain, sourit-elle.
Laurent désespère de la voir aussi confiante, mais il sait à quel point elle a conscience des risques et à quel point elle est entraînée, s’il doit s’inquiéter pour ses hommes, ce n’est pas pour elle en priorité. La journée se passe au fil de leur course effrénée contre les flammes, tentant de protéger ce qui n’est pas encore atteint, s’assurant de limiter au maximum la propagation et de sauver aussi les vignes d’un des meilleurs Beaujolais. Elle prend peu de pauses, simplement pour se restaurer et s’hydrater, la nuit arrive et les moyens ne sont pas suffisant pour permettre une relève, aussi elle reste en poste, les lampes ne sont pas nécessaires, les flammes éclairent suffisamment le site. Le petit jour pointe à l’horizon et la relève s’organise, il est 7h lorsque d’autres moyens arrivent. Son commandant vient la voir avant qu’elle ne parte, il veut s’assurer qu’elle aille bien, et il lui trouve une mine très fatiguée, il la prend à part et lui dit :
- Profite de ta journée pour te reposer, je passerai te voir ce soir chez toi.
- Ce n’est pas possible, je serai au Château, je dois y être à midi.
- Dans cet état ? Comment comptes-tu servir ton Maître convenablement ? accuse-t-il d’un ton plus Dominant.
- Je prendrai sur moi, ne t’inquiète pas, je ne Le décevrai pas.
- C’est ridicule, tu as besoin de repos, préviens-Le, Il comprendra, répond le commandant d’un ton inquiet.
- Non, je ne peux pas, je me dois de respecter Sa volonté.
- Sa Volonté est avant tout de respecter l’intégrité physique de Ses soumises, Il ne peut pas exercer Sa Domination si tu lui caches ton état. Veux-tu que je l’appelle pour lui expliquer ?
- Non, je te l’interdit, enfin…je veux dire…s’il te plait ne fait pas ça, laisse-moi gérer, je t’assure que mon état est compatible avec ma soumission.
- Soit ! Mais tu vas au devant de difficultés, mais tu dois apprendre de tes erreurs… conclue le commandant en s’éloignant.
Il est 9h lorsqu’elle rentre chez elle très fatiguée, elle se repose une heure, puis se prépare afin d’être apprêtée comme le désir son Maître. Vanessa se douche, se rase de prêt, et effectue un lavement avant de remettre le rosebud en place. Elle prend sa voiture et conduit jusqu’au Château, elle passe la grille du lourd portail de fer forgé et s’engage dans l’allée principale impeccablement entretenue et va jusqu’à l’arrière du Château, endroit où elle gare sa voiture habituellement. Vanessa se déshabille, passe son collier de cuir et laissant ses vêtements dans sa voiture, ainsi que ses clés, elle rejoint en marchant la porte d’entrée à l’arrière du Château. Elle entre, le couloir est vide, il n’est que 11h30, elle préfère être en avance, aussi elle s’agenouille et patiente qu’on vienne la chercher… Monsieur Le Marquis la voit sur les écrans de contrôle de son bureau, il est surpris de voir ses yeux se fermer, somnolant à moitié. Au même moment son téléphone sonne, il décroche :
- Bonjour Edouard, je tenais à vous faire part de l’état physique de votre soumise.
- Ah ? Je vous écoute Laurent.
- Elle vient de passer plus de 24h non-stop dans la forêt à lutter contre l’incendie, elle n’est pas en état de vous servir, mais elle a refusé de vous en parler, et m’a également interdit de vous mettre au courant.
- Je vois, merci mon ami de m’avoir prévenu, il est temps qu’elle comprenne que Je dois être informé de son état à tout moment. Je vais lui organiser une leçon à la hauteur de son entêtement, et n’ayez crainte, je vous la rendrais entière, fatiguée certes, mais entière, termine Le Noble en souriant.
- Je vous fais confiance, merci Edouard.
Le Marquis d’Evans raccroche puis appuie sur le bouton de son interphone pour faire venir son Majordome. En l’attendant, il griffonne quelques consignes sur une feuille de papier. Le Majordome frappe à la porte et entre avec l’autorisation du Maître des lieux.
- Ah, Walter, j’ai besoin de tes services pour organiser rapidement la soirée de ma soumise Vanessa, lui dit-il en lui tendant la feuille de papier.
- Bien Monsieur.
- Mais avant, je veux que tu ailles la chercher, elle patiente dans l’entrée de l’arrière du Château, je la veux à Mes pieds pour le repas, mais je ne déjeune que dans une heure, aussi je souhaite te l’offrir pour le temps restant.
- Merci Monsieur, répond Walter avec un sourire carnassier au coin des lèvres.
- C’est tout naturel mon ami, tu le mérites, profites-en sans limite, elle est à toi durant 1 heure.
Walter se retire, glisse la feuille de papier dans sa poche et file récupérer Vanessa. Il la trouve à genoux, les yeux fermés, comme somnolente, il s’approche claque des doigts, mais elle ne réagit pas. Il prend la cravache accrochée à sa ceinture et lui assène deux coups secs sur la poitrine. Elle sursaute et réajuste immédiatement sa position, les yeux rivés sur le sol.
- Bonjour chienne.
- Bonjour Monsieur Walter, répond Vanessa qui a reconnu sa voix.
- Bien, j’ai reçu des instructions te concernant, ton Maître a prévu une journée intense pour toi, mais si tu dors avant même d’avoir commencé, je peux te certifier que tu vas peiner à respecter sa volonté. As-tu une excuse pour ce comportement, accuse le Majordome.
- Non Monsieur, je suis désolée, je Vous prie de bien vouloir sanctionner ma faute.
- Soit, c’est parfait et sache que nous avons un peu de temps, rien que nous deux….
Il attache une laisse au collier de Vanessa et la traine jusque dans une salle qu’elle ne connait pas encore. Là, il la mène jusqu’à un genre de cheval d’arçon et la penche dessus, tout son corps allongé sur ce meuble de cuir, ses fesses offertes sur le côté du meuble. Il la caresse avec une douceur qu’elle ne lui connait pas, de sa nuque jusqu’à ses fesses, puis sa cravache remplace sa main, il trace doucement le chemin de sa colonne vertébrale du bout de la palette. C’est une scène très sensuelle et même érotique quand soudain :
- Bien, que penses-tu mériter ?
- La juste sanction pour m’être assoupie Monsieur.
- Et quelle est-elle ?
- Celle que vous déciderez Monsieur.
- J’attends ta proposition accuse-t-il.
- La cravache Monsieur, ose-t-elle.
- Combien ?
- Vingt coups, Monsieur, hésite-t-elle, espérant que sa proposition sera acceptée.
- Hum…c’est d’accord.
Le Majordome frappe sans s’arrêter, il souhaite expédier la sanction pour pouvoir profiter de la jeune femme. Vanessa supporte mal la sanction, sa fatigue l’empêche de gérer sa douleur comme à son habitude, et des larmes perlent sur ses joues. Au bout d’une minute la sanction est terminée, Walter pose sa cravache et observe la jeune femme, elle a une respiration saccadée, il est surpris, il l’a déjà frappée beaucoup plus fort sans qu’elle ne réagisse si rapidement.
- Tu vas bien ? s’inquiète-t-il, ne souhaitant pas blesser ni la personne, ni la soumise de son Maître.
- Oui Monsieur, merci pour cette sanction, répond Vanessa en respirant profondément.
- Sais-tu pourquoi tu es ici ?
- Pour être sanctionnée, Monsieur.
- Certes, mais pas seulement. Ton Maître t’a offerte à moi pour une heure, et je compte bien profiter de ce cadeau… Oui sache que je ne vais pas me priver de ton corps … ajoute-t-il avec une perversité évidente par son regard et le ton de sa voix…
(A suivre …)
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