Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 572)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 572)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent 572) -
Il salue Walter d’un amical signe de la main …
- Bonjour Walter, vous allez bien.
- Mieux que mademoiselle, s’amuse le Majordome en ouvrant la portière passager.
- Elle s’est évanouie ? s’inquiète le commandant voyant Vanessa allongée.
- Non, juste endormie, mais très profondément à points fermés !
- Bien, je vais la porter dans la chambre.
- Non laissez, je m’en occupe, ouvrez-moi simplement les portes, si vous le voulez bien, propose le Majordome.
- Merci Walter.
Le Majordome prend délicatement la jeune femme qui ne se réveille pas et suit le commandant jusqu’à sa propre chambre. Il la couche dans le lit et le commandant remonte la couette sur sa compagne paisiblement endormie. Les deux hommes rejoignent le salon où le commandant propose un café au Majordome.
- Merci encore Walter d’avoir pris le temps de me la ramener.
- Aucun problème Monsieur, c’est mon travail.
- Elle a passé une nuit difficile ? s’inquiète le commandant.
- Elle a été la récompense de dix esclaves mâles de Monsieur Le Marquis.
- Et elle a tenu ? s’étonne le commandant.
- Oui, difficilement mais oui, et avec un comportement parfait, vous pouvez en être fier, répond le Majordome.
- Merci Walter.
- Bien, je vais vous laisser, d’autres tâches m’attendent, termine Walter en reposant sa tasse vide.
- Entendu, je vous raccompagne.
Les deux hommes se dirigent vers le derrière de la maison, où est garée la voiture, l’esclave mâle MDE attend patiemment à côté, nu, à genoux dans les cailloux de l’allée. Walter ouvre le coffre et claque des doigts, lui faisant comprendre qu’il doit s’empresser d’y monter. Le commandant salut le Majordome et la voiture repart au Château. Laurent, un peu inquiet retourne voir Vanessa, il la trouve toujours endormie, il vérifie sa respiration puis rassuré de voir qu’elle dort simplement profondément, il la laisse et retourne vaquer à ses occupations… La journée se passe, mais la jeune femme ne se réveille pas, il est maintenant 19h et voilà 10h qu’elle n’a pas ouvert les yeux. Il décide de la réveiller pour qu’elle puisse dormir la nuit venue. Il s’assoit à côté d’elle et caresse doucement ses cheveux avant de secouer délicatement son épaule.
- Vaness, tu m’entends ?
La jeune femme émerge, elle ouvre les yeux et découvre son amant, son visage s’illumine, heureuse de le voir ici. Mais soudain Vanessa s’aperçoit qu’elle n’est plus au Château et se demande combien de temps elle a dormi.
- Que…que s’est-il passé ? Pourquoi je suis ici ? demande-t-elle perdue.
- Tu ne te rappelles de rien, s’inquiète le commandant.
- Si, si j’étais dans le bureau de mon Maître, il m’a autorisé à me reposer sur le tapis et puis plus rien, j’ai du m’endormir ainsi ...
- Oui, et Walter t’a ramené ici tout simplement.
Vanessa comprend qu’elle a beaucoup dormi, elle se colle contre son amant, profitant du plaisir réconfortant d’être dans ses bras.
- Je suis désolée, j’aurai dû t’écouter, dit-elle doucement.
- Effectivement, mais cela t’aura servi de leçon, tout du moins je l’espère.
- J’ai déçu mon Maître, je t’ai déçu.
- Eh oui, la faiblesse du débutant, tu apprendras, lui répond-t-il en lui donnant un baiser sur le front.
- Oui.
- Bien, tu vas aller prendre une douche, ça va te faire du bien pour finir de te réveiller, il est l’heure de dîner, donc je te propose un repas télé, rien que tous les deux. Ça te convient ?
- Oui.
Le commandant quitte la chambre, il se dirige vers la cuisine pour préparer le dîner et laisse Vanessa rejoindre la salle de bain. Après quelques minutes, elle le rejoint en cuisine, elle l’aide à terminer le repas et tous deux s’installent dans le canapé en amoureux pour une soirée film avec un DVD qui n’est autre que le fameux film Histoire d’O ! Le film se termine, il est 22h, Vanessa est paisiblement appuyée sur le corps de son amant, il profite un dernier instant de ce moment avant de prendre un ton Dominateur.
- Bon il est temps, ton Maître t’a promis une sanction, qu’il n’appliquerait pas lui-même, tu t’en rappelles ?
- Oui, répond-t-elle comprenant qu’il est chargé de la lui appliquer.
- Alors agenouille-toi devant moi, dit-il en la repoussant doucement.
Vanessa descend du canapé et s’agenouille devant son amant, elle fait glisser la sortie de bain qu’elle porte et c’est nue, les mains dans le dos qu’elle attend la suite des évènements. Laurent lui passe son collier de cuir et la regarde un instant avant de prendre un ton solennel.
- Ton Maître a décidé que ce serait à moi de choisir la sanction et de l’appliquer. Tu as décidé de refuser mes conseils, je suis ton éducateur, donc tu as bafoué ce que cela représente.
Vanessa écoute attentivement, comprenant qu’elle n’a pas que caché la vérité sur son état à son Maître, mais qu’elle a blessé son amant dans son rôle d’éducateur.
- Si tu ne me fais pas confiance, il va falloir que je demande à ton Maître de trouver une autre personne pour ce rôle. Je ne peux orienter une soumise sur le chemin de notre monde D/s si elle manque de confiance en moi. J’ai passé la journée à réfléchir à ta sanction, et j’en ai conclus que tu ne prenais pas assez au sérieux mon rôle concernant ta soumission, car tu ne sais pas encore faire la différence entre l’homme amant et le Maître éducateur. Et c’est en partie ma faute, je t’ai trop souvent autorisé un traitement de faveur, donc cette nuit, tu vas la passer en étant soumise.
Vanessa ne comprend pas tout ce que cela implique, mais elle comprend qu’il est terriblement vexé et qu’elle va devoir accepter sans un mot ce qu’il a décidé pour elle. Le commandant se lève claquant des doigts lui faisant comprendre qu’elle doit le suivre. Sans se relever, elle le suit à quatre pattes jusqu’à la chambre. Là, il lui passe des bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets, il attache les deux bracelets des poignets ensemble à l’aide d’un mousqueton, puis il jette une couverture au sol au pied du lit. Le commandant la tire par les cheveux pour la mener dessus, puis il attache une chaîne au pied du lit qu’il relit à la cheville droite de la jeune femme.
- Tu vas dormir ici, c’est ici que dorment toutes les chiennes que je reçois, il est temps que tu connaisses cette place, dit-il d’un ton volontairement dédaigneux, blessant la jeune femme.
Vanessa est profondément déçue, déçue de ne pas profiter de son amant en dormant à ses côtés, déçue d’entendre la déception dans sa voix, déçue de ne pas être la soumise et la compagne parfaite. Sans dire un mot, elle s’allonge sur la couverture, résignée, puis le commandant la recouvre d’une autre couverture et quitte la pièce. De le sentir si froid, si distant, Vanessa prend conscience qu’elle est en train de le perdre, et qu’il doit certainement regretter de l’avoir prise pour compagne. Ses pensées se mélangent, elle a peur de ne pas être celle qu’il désire, elle a peur d’avoir atteint le point de non-retour par son stupide orgueil. Ses yeux s’emplissent de larmes et un mal-être s’installe en elle. Une heure plus tard Le commandant revient dans la chambre, elle espère qu’il lui adresse la parole, mais il ne dit rien, ne la touche même pas, et se contente de se coucher dans son lit sans la regarder. C’est avec l’esprit empli de pensées sombres qu’elle s’endort au pied du lit de son amant…
(A suivre …)
Il salue Walter d’un amical signe de la main …
- Bonjour Walter, vous allez bien.
- Mieux que mademoiselle, s’amuse le Majordome en ouvrant la portière passager.
- Elle s’est évanouie ? s’inquiète le commandant voyant Vanessa allongée.
- Non, juste endormie, mais très profondément à points fermés !
- Bien, je vais la porter dans la chambre.
- Non laissez, je m’en occupe, ouvrez-moi simplement les portes, si vous le voulez bien, propose le Majordome.
- Merci Walter.
Le Majordome prend délicatement la jeune femme qui ne se réveille pas et suit le commandant jusqu’à sa propre chambre. Il la couche dans le lit et le commandant remonte la couette sur sa compagne paisiblement endormie. Les deux hommes rejoignent le salon où le commandant propose un café au Majordome.
- Merci encore Walter d’avoir pris le temps de me la ramener.
- Aucun problème Monsieur, c’est mon travail.
- Elle a passé une nuit difficile ? s’inquiète le commandant.
- Elle a été la récompense de dix esclaves mâles de Monsieur Le Marquis.
- Et elle a tenu ? s’étonne le commandant.
- Oui, difficilement mais oui, et avec un comportement parfait, vous pouvez en être fier, répond le Majordome.
- Merci Walter.
- Bien, je vais vous laisser, d’autres tâches m’attendent, termine Walter en reposant sa tasse vide.
- Entendu, je vous raccompagne.
Les deux hommes se dirigent vers le derrière de la maison, où est garée la voiture, l’esclave mâle MDE attend patiemment à côté, nu, à genoux dans les cailloux de l’allée. Walter ouvre le coffre et claque des doigts, lui faisant comprendre qu’il doit s’empresser d’y monter. Le commandant salut le Majordome et la voiture repart au Château. Laurent, un peu inquiet retourne voir Vanessa, il la trouve toujours endormie, il vérifie sa respiration puis rassuré de voir qu’elle dort simplement profondément, il la laisse et retourne vaquer à ses occupations… La journée se passe, mais la jeune femme ne se réveille pas, il est maintenant 19h et voilà 10h qu’elle n’a pas ouvert les yeux. Il décide de la réveiller pour qu’elle puisse dormir la nuit venue. Il s’assoit à côté d’elle et caresse doucement ses cheveux avant de secouer délicatement son épaule.
- Vaness, tu m’entends ?
La jeune femme émerge, elle ouvre les yeux et découvre son amant, son visage s’illumine, heureuse de le voir ici. Mais soudain Vanessa s’aperçoit qu’elle n’est plus au Château et se demande combien de temps elle a dormi.
- Que…que s’est-il passé ? Pourquoi je suis ici ? demande-t-elle perdue.
- Tu ne te rappelles de rien, s’inquiète le commandant.
- Si, si j’étais dans le bureau de mon Maître, il m’a autorisé à me reposer sur le tapis et puis plus rien, j’ai du m’endormir ainsi ...
- Oui, et Walter t’a ramené ici tout simplement.
Vanessa comprend qu’elle a beaucoup dormi, elle se colle contre son amant, profitant du plaisir réconfortant d’être dans ses bras.
- Je suis désolée, j’aurai dû t’écouter, dit-elle doucement.
- Effectivement, mais cela t’aura servi de leçon, tout du moins je l’espère.
- J’ai déçu mon Maître, je t’ai déçu.
- Eh oui, la faiblesse du débutant, tu apprendras, lui répond-t-il en lui donnant un baiser sur le front.
- Oui.
- Bien, tu vas aller prendre une douche, ça va te faire du bien pour finir de te réveiller, il est l’heure de dîner, donc je te propose un repas télé, rien que tous les deux. Ça te convient ?
- Oui.
Le commandant quitte la chambre, il se dirige vers la cuisine pour préparer le dîner et laisse Vanessa rejoindre la salle de bain. Après quelques minutes, elle le rejoint en cuisine, elle l’aide à terminer le repas et tous deux s’installent dans le canapé en amoureux pour une soirée film avec un DVD qui n’est autre que le fameux film Histoire d’O ! Le film se termine, il est 22h, Vanessa est paisiblement appuyée sur le corps de son amant, il profite un dernier instant de ce moment avant de prendre un ton Dominateur.
- Bon il est temps, ton Maître t’a promis une sanction, qu’il n’appliquerait pas lui-même, tu t’en rappelles ?
- Oui, répond-t-elle comprenant qu’il est chargé de la lui appliquer.
- Alors agenouille-toi devant moi, dit-il en la repoussant doucement.
Vanessa descend du canapé et s’agenouille devant son amant, elle fait glisser la sortie de bain qu’elle porte et c’est nue, les mains dans le dos qu’elle attend la suite des évènements. Laurent lui passe son collier de cuir et la regarde un instant avant de prendre un ton solennel.
- Ton Maître a décidé que ce serait à moi de choisir la sanction et de l’appliquer. Tu as décidé de refuser mes conseils, je suis ton éducateur, donc tu as bafoué ce que cela représente.
Vanessa écoute attentivement, comprenant qu’elle n’a pas que caché la vérité sur son état à son Maître, mais qu’elle a blessé son amant dans son rôle d’éducateur.
- Si tu ne me fais pas confiance, il va falloir que je demande à ton Maître de trouver une autre personne pour ce rôle. Je ne peux orienter une soumise sur le chemin de notre monde D/s si elle manque de confiance en moi. J’ai passé la journée à réfléchir à ta sanction, et j’en ai conclus que tu ne prenais pas assez au sérieux mon rôle concernant ta soumission, car tu ne sais pas encore faire la différence entre l’homme amant et le Maître éducateur. Et c’est en partie ma faute, je t’ai trop souvent autorisé un traitement de faveur, donc cette nuit, tu vas la passer en étant soumise.
Vanessa ne comprend pas tout ce que cela implique, mais elle comprend qu’il est terriblement vexé et qu’elle va devoir accepter sans un mot ce qu’il a décidé pour elle. Le commandant se lève claquant des doigts lui faisant comprendre qu’elle doit le suivre. Sans se relever, elle le suit à quatre pattes jusqu’à la chambre. Là, il lui passe des bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets, il attache les deux bracelets des poignets ensemble à l’aide d’un mousqueton, puis il jette une couverture au sol au pied du lit. Le commandant la tire par les cheveux pour la mener dessus, puis il attache une chaîne au pied du lit qu’il relit à la cheville droite de la jeune femme.
- Tu vas dormir ici, c’est ici que dorment toutes les chiennes que je reçois, il est temps que tu connaisses cette place, dit-il d’un ton volontairement dédaigneux, blessant la jeune femme.
Vanessa est profondément déçue, déçue de ne pas profiter de son amant en dormant à ses côtés, déçue d’entendre la déception dans sa voix, déçue de ne pas être la soumise et la compagne parfaite. Sans dire un mot, elle s’allonge sur la couverture, résignée, puis le commandant la recouvre d’une autre couverture et quitte la pièce. De le sentir si froid, si distant, Vanessa prend conscience qu’elle est en train de le perdre, et qu’il doit certainement regretter de l’avoir prise pour compagne. Ses pensées se mélangent, elle a peur de ne pas être celle qu’il désire, elle a peur d’avoir atteint le point de non-retour par son stupide orgueil. Ses yeux s’emplissent de larmes et un mal-être s’installe en elle. Une heure plus tard Le commandant revient dans la chambre, elle espère qu’il lui adresse la parole, mais il ne dit rien, ne la touche même pas, et se contente de se coucher dans son lit sans la regarder. C’est avec l’esprit empli de pensées sombres qu’elle s’endort au pied du lit de son amant…
(A suivre …)
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