Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°509)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°509)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°509) -
Sans un mot de plus, il attrape Vanessa par sa queue de cheval et la traine jusqu’à la table basse où il la positionne à genoux devant le tas de feuilles sans aucune délicatesse… la punition va tomber…
- Je ne veux aucune fautes, ni ratures, avec ta plus belle écriture. Si tu fais une seule faute, tu recommences la feuille en entier, si en revenant je découvre une erreur que tu aurais laissée passer tu recommenceras la punition en entier. Est-ce bien compris ?
- Oui Monsieur.
- Bien alors prends le crayon et écris : « Je dois le respect à tous les hommes à qui mon Maître me confie, le tutoiement est proscrit, dorénavant je serais plus respectueuse pour ne plus déshonorer l’éducation de mon Maître. » Tu l’écris 500 fois, une fois que tu as terminé, tu patientes en position d’attente que je daigne revenir m’occuper de ton cas.
Vanessa ne répond rien, mais elle vit mal cette sanction, elle se sent frustrée, rabaissée à l’image d’une jeune fille incapable d’intégrer des règles simples à l’école, elle écrit la phrase dictée puis commence à la recopier alors qu’il quitte la pièce… Après plus d’une heure Vanessa recompte le nombre de phrases, seulement 150, son poignet commence à lui faire mal, elle aimerait changer de main, mais bien qu’ambidextre, elle sait que son écriture serait moins jolie et elle craint que ça ne convienne pas à son commandant. Elle continue donc péniblement de sa main droite, se concentrant sur les mots sans compter les phrases pour ne pas se décourager sur ce qui reste à accomplir. Il a choisis les mots avec précision, chacun d’eux touche la jeune femme dans son égo profond…. Deux heures sont passées, le commandant surveille la jeune femme sur la vidéosurveillance, elle est toujours à son travail, concentrée, à genoux, penchée sur la table basse. Il pensait qu’elle aurait terminé plus tôt, il se rend compte que sa phrase est longue et qu’il aurait peut-être dû lui demander seulement 300 lignes. Il hésite à retourner la voir pour mettre fin à son supplice, mais prend conscience qu’il n’aurait jamais eu cette réflexion face à une autre soumise et qu’il ne doit faiblir malgré les sentiments qu’il éprouve pour elle. Il décide de préparer le dîner sa tablette branchée sur la caméra du salon pour surveiller la jeune femme de sa cuisine.
C’est après quatre longues heures que la jeune femme achève la dernière ligne. Elle vérifie chaque mot, recompte chaque ligne, s’assure avoir respecté les instructions, puis soulage son poignet droit en le massant rapidement avant de mettre les mains derrière son dos et de patienter le retour de son commandant… De son côté le commandant voit que la jeune femme a terminé, il prend le temps d’achever le dîner, puis décide d’aller la rejoindre. Il arrive sans un mot dans le salon et vérifie les pages laissées sur la table basse tout en ignorant Vanessa qui se tient devant. Elle a respecté à la lettre ce qu’il lui avait demandé, seulement deux pages qu’elle a recommencées sont à l’écart, il repose les pages et fait le tour de la table pour se placer derrière elle.
- Excuses acceptées, dit-il en retirant son collier, collier retiré et donc tu redeviens pour un temps la femme libre et donc le tutoiement est normal dans ce cadre là
Il lui passe son peignoir, puis l’aide à se relever pour l’asseoir dans le canapé à ses côtés. Sans un mot il prend sa main droite et masse avec délicatesse son poignet endolori.
- J’avais quelle note avant ? questionne-t-elle.
- De quoi parles-tu ?
- Si j’ai 6 maintenant, c’était combien au départ ? s’inquiète-t-elle.
- Hum, tu ne lâches jamais toi, sourit-il.
- J’ai besoin de savoir, répond-t-elle une pointe d’anxiété dans la voix.
- Entre 1 et 2.
Elle enregistre l’information d’un signe de tête sans rien répondre, elle est un peu frustrée de s’être montrée si mauvaise et ressent une certaine honte.
- Stop, j’ai envie de la femme, arrête de songer à tout ça.
Elle lui sourit et comme seule réponse et l’embrasse longuement. Il répond à son baiser, tout en caressant son corps à travers le peignoir, puis rapidement, il le lui retire pour laisser aller ses mains sur ce corps nu et magnifique, sur cette peau tendre encore marquée de la correction infligée par son Maître quelques heures plus tôt. Tendrement, il l’allonge sur le canapé, embrasse son cou, sa nuque, le haut de sa poitrine. Il s’attarde sur ses tétons qui se dressent, les lèche, les vrille en les faisant rouler entre ses doigts, puis les caresse de nouveau avant de repasser sa langue longuement. Puis il se met à lui mordiller les tétons, ce qui fait encore plus réagir Vanessa qui mouille de plus en plus. Elle se sent si bien en ce moment-là. Et doucement il laisse sa langue descendre le long de son ventre jusqu’à son sexe trempé d’envie. Il passe sa langue longuement autour du sexe épilé de Vanessa puis lui suce son clitoris gonflé d’excitation et fais tourner sa langue autour avec un savoir-faire qui fait frémir la jeune femme. Sa langue est divine et Vanessa sent la jouissance monter en elle, sa respiration se fait plus rapide, elle gémit de plus en plus fort, elle est proche de l’orgasme, elle s’apprête à le libérer quand il se retire brutalement. Elle reste haletante, le regarde droit dans les yeux suppliante.
- Oh non, s’il te plait continue, implore-t-elle la voix tremblante.
- Je t’assure que j’aimerais le faire, mais je ne veux pas être la source d’une nouvelle déception que tu pourrais infliger à ton Maître. Je pense qu’Il ne t’a pas autorisé à jouir sans son consentement, n’est-ce pas ?
- Tu as raison, merci, répond la jeune femme tentant de calmer sa frustration. Je pense que je vais aller prendre une douche pour me calmer.
- Interdiction de te toucher sous la douche, accuse le commandant.
- Ne t’inquiètes pas, je connais les règles, même si je ne suis pas douée pour les respecter.
- Prends ton temps, tes affaires sont dans la chambre, habilles-toi comme tu veux, on dîne ici ce soir, retrouve-moi dans la salle à manger. Je m’occupe de nourrir ton chien.
- Entendu, dit-elle en se retirant.
La douche fait du bien à la jeune femme mais ne calme pas son envie, elle se savonne tout en caressant sa poitrine, mais se retient d’aller plus loin. Elle lève la tête vers la grille de la VMC, et fait un clin d’œil à la caméra qui est cachée derrière le détecteur de mouvement, bien consciente que Laurent la surveille, comme pour lui dire « tu vois je me retiens »… Le Marquis d’Evans, voit le clin d’œil de la jeune femme sur la fenêtre qu’il a laissé ouverte dans le coin de Son écran, Il sourit de voir qu’elle a découvert seule le système bien caché de vidéosurveillance de Son ami. Elle a un bon sens de l’observation, même Lui n’avait pas vu les caméras avant que Son ami ne les Lui montre. Laurent, le commandant, de son côté se demande s’il a bien vu, ce n’est pas possible qu’elle ait pu découvrir la caméra, elle est presque invisible, il coupe le fonctionnement de la vidéo et range sa tablette, attendant Vanessa dans la salle à manger tout en caressant son chien qu’il a fait entrer. Elle arrive quelques minutes plus tard maquillée, dans une robe noire qui épouse parfaitement ses formes, montée sur des talons hauts. Elle est surprise de découvrir un repas préparé sur la table de la salle à manger avec des chandeliers surmontés de bougies dont les flammes éclairent de manière chaleureuse la pièce. A son arrivée Laurent se lève, il lui prend la main et la mène jusqu’à sa chaise où il l’a fait asseoir comme un parfait gentleman, avant de s’asseoir en face d’elle.
- Eh bien, si c’est tous les jours comme ça avec toi, je suis étonnée que tu sois célibataire, sourit la jeune femme.
- Non c’est seulement le premier jour, après la femme fait le ménage, la lessive, la cuisine, comme une parfaite soumise, ironise le commandant.
- Et tu supervise tout de ton ordinateur avec tes nombreuses caméras, répond la jeune femme.
- Tu…tu les as vus ?
- Evidemment, je suis blonde mais tout de même.
- Je suis désolé, je voulais t’en parler après-demain.
- Je ne suis pas vexée, aucun souci.
- Quand les as-tu remarquées ?
- Le lendemain du jour où tu as appris ma véritable identité. Juste avant que je ne reparte, j’ai remarqué la caméra dans la pendule de la cuisine. Ensuite je me suis dit qu’il devait y en avoir dans toutes les pièces, et je me suis mise à les chercher.
- Donc le clin d’œil…- Oui il t’était destiné, coupe la jeune femme.
- Je me doute que ce n’était pas pour ton Maître qui était derrière Son écran.
- Quoi ? Il l’a vu ? Il peut nous voir ?
- Lorsque tu es soumise je partage ma surveillance avec Lui, mais je coupe lorsque j’enlève ton collier, sauf que là je ne l’avais pas encore coupé.
- Tu veux dire que j’ai fait un clin d’œil à mon Maître ? panique soudain la jeune femme.
- Ne t’inquiètes pas s’Il regardait l’écran à ce moment Il aura compris que ça ne Lui était pas destiné.
- Espérons-le, répond la jeune femme inquiète.
Les deux amants dînent tranquillement parlant de diverses choses en évitant volontairement le sujet de la soumission de Vanessa. Le repas est succulent et la jeune femme est surprise des talents culinaires de son ami. Ils discutent si bien qu’ils ne voient pas le temps passer, et après plus de deux heures ils arrivent enfin à la fin du dessert.
- Si tu le souhaites, je te propose qu’on se regarde un film au salon avant d’aller se coucher, lui annonce-t-il.
- Oui, je veux bien, mais avant puis-je emprunter ton ordinateur quelques minutes.
- Evidemment, c’est pour ?
- Ecrire à mon Maître.
- Je peux regarder, demande avec malice le commandant.
- Evidemment, je n’ai rien à te cacher.
- Mauvaise réponse, n’acceptes jamais ce genre de chose, c’est de l’ordre du privé, si ton Maître souhaite me faire lire vos conversations Il le fera, mais en aucun cas je n’ai le droit de te demander ça, tu as compris, lui annonce-t-il d’un ton sérieux.
- Entendu.
- L’ordinateur est allumé dans mon bureau, il n’y a pas de code vas-y.
La jeune femme se retire dans le bureau pendant que son ami prépare le salon, elle s’installe devant l’ordinateur et ouvre sa boite mail pour écrire à son Maître.
(A suivre …)
Sans un mot de plus, il attrape Vanessa par sa queue de cheval et la traine jusqu’à la table basse où il la positionne à genoux devant le tas de feuilles sans aucune délicatesse… la punition va tomber…
- Je ne veux aucune fautes, ni ratures, avec ta plus belle écriture. Si tu fais une seule faute, tu recommences la feuille en entier, si en revenant je découvre une erreur que tu aurais laissée passer tu recommenceras la punition en entier. Est-ce bien compris ?
- Oui Monsieur.
- Bien alors prends le crayon et écris : « Je dois le respect à tous les hommes à qui mon Maître me confie, le tutoiement est proscrit, dorénavant je serais plus respectueuse pour ne plus déshonorer l’éducation de mon Maître. » Tu l’écris 500 fois, une fois que tu as terminé, tu patientes en position d’attente que je daigne revenir m’occuper de ton cas.
Vanessa ne répond rien, mais elle vit mal cette sanction, elle se sent frustrée, rabaissée à l’image d’une jeune fille incapable d’intégrer des règles simples à l’école, elle écrit la phrase dictée puis commence à la recopier alors qu’il quitte la pièce… Après plus d’une heure Vanessa recompte le nombre de phrases, seulement 150, son poignet commence à lui faire mal, elle aimerait changer de main, mais bien qu’ambidextre, elle sait que son écriture serait moins jolie et elle craint que ça ne convienne pas à son commandant. Elle continue donc péniblement de sa main droite, se concentrant sur les mots sans compter les phrases pour ne pas se décourager sur ce qui reste à accomplir. Il a choisis les mots avec précision, chacun d’eux touche la jeune femme dans son égo profond…. Deux heures sont passées, le commandant surveille la jeune femme sur la vidéosurveillance, elle est toujours à son travail, concentrée, à genoux, penchée sur la table basse. Il pensait qu’elle aurait terminé plus tôt, il se rend compte que sa phrase est longue et qu’il aurait peut-être dû lui demander seulement 300 lignes. Il hésite à retourner la voir pour mettre fin à son supplice, mais prend conscience qu’il n’aurait jamais eu cette réflexion face à une autre soumise et qu’il ne doit faiblir malgré les sentiments qu’il éprouve pour elle. Il décide de préparer le dîner sa tablette branchée sur la caméra du salon pour surveiller la jeune femme de sa cuisine.
C’est après quatre longues heures que la jeune femme achève la dernière ligne. Elle vérifie chaque mot, recompte chaque ligne, s’assure avoir respecté les instructions, puis soulage son poignet droit en le massant rapidement avant de mettre les mains derrière son dos et de patienter le retour de son commandant… De son côté le commandant voit que la jeune femme a terminé, il prend le temps d’achever le dîner, puis décide d’aller la rejoindre. Il arrive sans un mot dans le salon et vérifie les pages laissées sur la table basse tout en ignorant Vanessa qui se tient devant. Elle a respecté à la lettre ce qu’il lui avait demandé, seulement deux pages qu’elle a recommencées sont à l’écart, il repose les pages et fait le tour de la table pour se placer derrière elle.
- Excuses acceptées, dit-il en retirant son collier, collier retiré et donc tu redeviens pour un temps la femme libre et donc le tutoiement est normal dans ce cadre là
Il lui passe son peignoir, puis l’aide à se relever pour l’asseoir dans le canapé à ses côtés. Sans un mot il prend sa main droite et masse avec délicatesse son poignet endolori.
- J’avais quelle note avant ? questionne-t-elle.
- De quoi parles-tu ?
- Si j’ai 6 maintenant, c’était combien au départ ? s’inquiète-t-elle.
- Hum, tu ne lâches jamais toi, sourit-il.
- J’ai besoin de savoir, répond-t-elle une pointe d’anxiété dans la voix.
- Entre 1 et 2.
Elle enregistre l’information d’un signe de tête sans rien répondre, elle est un peu frustrée de s’être montrée si mauvaise et ressent une certaine honte.
- Stop, j’ai envie de la femme, arrête de songer à tout ça.
Elle lui sourit et comme seule réponse et l’embrasse longuement. Il répond à son baiser, tout en caressant son corps à travers le peignoir, puis rapidement, il le lui retire pour laisser aller ses mains sur ce corps nu et magnifique, sur cette peau tendre encore marquée de la correction infligée par son Maître quelques heures plus tôt. Tendrement, il l’allonge sur le canapé, embrasse son cou, sa nuque, le haut de sa poitrine. Il s’attarde sur ses tétons qui se dressent, les lèche, les vrille en les faisant rouler entre ses doigts, puis les caresse de nouveau avant de repasser sa langue longuement. Puis il se met à lui mordiller les tétons, ce qui fait encore plus réagir Vanessa qui mouille de plus en plus. Elle se sent si bien en ce moment-là. Et doucement il laisse sa langue descendre le long de son ventre jusqu’à son sexe trempé d’envie. Il passe sa langue longuement autour du sexe épilé de Vanessa puis lui suce son clitoris gonflé d’excitation et fais tourner sa langue autour avec un savoir-faire qui fait frémir la jeune femme. Sa langue est divine et Vanessa sent la jouissance monter en elle, sa respiration se fait plus rapide, elle gémit de plus en plus fort, elle est proche de l’orgasme, elle s’apprête à le libérer quand il se retire brutalement. Elle reste haletante, le regarde droit dans les yeux suppliante.
- Oh non, s’il te plait continue, implore-t-elle la voix tremblante.
- Je t’assure que j’aimerais le faire, mais je ne veux pas être la source d’une nouvelle déception que tu pourrais infliger à ton Maître. Je pense qu’Il ne t’a pas autorisé à jouir sans son consentement, n’est-ce pas ?
- Tu as raison, merci, répond la jeune femme tentant de calmer sa frustration. Je pense que je vais aller prendre une douche pour me calmer.
- Interdiction de te toucher sous la douche, accuse le commandant.
- Ne t’inquiètes pas, je connais les règles, même si je ne suis pas douée pour les respecter.
- Prends ton temps, tes affaires sont dans la chambre, habilles-toi comme tu veux, on dîne ici ce soir, retrouve-moi dans la salle à manger. Je m’occupe de nourrir ton chien.
- Entendu, dit-elle en se retirant.
La douche fait du bien à la jeune femme mais ne calme pas son envie, elle se savonne tout en caressant sa poitrine, mais se retient d’aller plus loin. Elle lève la tête vers la grille de la VMC, et fait un clin d’œil à la caméra qui est cachée derrière le détecteur de mouvement, bien consciente que Laurent la surveille, comme pour lui dire « tu vois je me retiens »… Le Marquis d’Evans, voit le clin d’œil de la jeune femme sur la fenêtre qu’il a laissé ouverte dans le coin de Son écran, Il sourit de voir qu’elle a découvert seule le système bien caché de vidéosurveillance de Son ami. Elle a un bon sens de l’observation, même Lui n’avait pas vu les caméras avant que Son ami ne les Lui montre. Laurent, le commandant, de son côté se demande s’il a bien vu, ce n’est pas possible qu’elle ait pu découvrir la caméra, elle est presque invisible, il coupe le fonctionnement de la vidéo et range sa tablette, attendant Vanessa dans la salle à manger tout en caressant son chien qu’il a fait entrer. Elle arrive quelques minutes plus tard maquillée, dans une robe noire qui épouse parfaitement ses formes, montée sur des talons hauts. Elle est surprise de découvrir un repas préparé sur la table de la salle à manger avec des chandeliers surmontés de bougies dont les flammes éclairent de manière chaleureuse la pièce. A son arrivée Laurent se lève, il lui prend la main et la mène jusqu’à sa chaise où il l’a fait asseoir comme un parfait gentleman, avant de s’asseoir en face d’elle.
- Eh bien, si c’est tous les jours comme ça avec toi, je suis étonnée que tu sois célibataire, sourit la jeune femme.
- Non c’est seulement le premier jour, après la femme fait le ménage, la lessive, la cuisine, comme une parfaite soumise, ironise le commandant.
- Et tu supervise tout de ton ordinateur avec tes nombreuses caméras, répond la jeune femme.
- Tu…tu les as vus ?
- Evidemment, je suis blonde mais tout de même.
- Je suis désolé, je voulais t’en parler après-demain.
- Je ne suis pas vexée, aucun souci.
- Quand les as-tu remarquées ?
- Le lendemain du jour où tu as appris ma véritable identité. Juste avant que je ne reparte, j’ai remarqué la caméra dans la pendule de la cuisine. Ensuite je me suis dit qu’il devait y en avoir dans toutes les pièces, et je me suis mise à les chercher.
- Donc le clin d’œil…- Oui il t’était destiné, coupe la jeune femme.
- Je me doute que ce n’était pas pour ton Maître qui était derrière Son écran.
- Quoi ? Il l’a vu ? Il peut nous voir ?
- Lorsque tu es soumise je partage ma surveillance avec Lui, mais je coupe lorsque j’enlève ton collier, sauf que là je ne l’avais pas encore coupé.
- Tu veux dire que j’ai fait un clin d’œil à mon Maître ? panique soudain la jeune femme.
- Ne t’inquiètes pas s’Il regardait l’écran à ce moment Il aura compris que ça ne Lui était pas destiné.
- Espérons-le, répond la jeune femme inquiète.
Les deux amants dînent tranquillement parlant de diverses choses en évitant volontairement le sujet de la soumission de Vanessa. Le repas est succulent et la jeune femme est surprise des talents culinaires de son ami. Ils discutent si bien qu’ils ne voient pas le temps passer, et après plus de deux heures ils arrivent enfin à la fin du dessert.
- Si tu le souhaites, je te propose qu’on se regarde un film au salon avant d’aller se coucher, lui annonce-t-il.
- Oui, je veux bien, mais avant puis-je emprunter ton ordinateur quelques minutes.
- Evidemment, c’est pour ?
- Ecrire à mon Maître.
- Je peux regarder, demande avec malice le commandant.
- Evidemment, je n’ai rien à te cacher.
- Mauvaise réponse, n’acceptes jamais ce genre de chose, c’est de l’ordre du privé, si ton Maître souhaite me faire lire vos conversations Il le fera, mais en aucun cas je n’ai le droit de te demander ça, tu as compris, lui annonce-t-il d’un ton sérieux.
- Entendu.
- L’ordinateur est allumé dans mon bureau, il n’y a pas de code vas-y.
La jeune femme se retire dans le bureau pendant que son ami prépare le salon, elle s’installe devant l’ordinateur et ouvre sa boite mail pour écrire à son Maître.
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