Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°541) -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°541) -
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°541) -
Alors que Le Préfet parle de sa femme, il interpelle la jeune femme….
- Et vous Vanessa, vous avez un homme dans votre vie ?
- Euh…oui…oui, enfin depuis peu, répond gênée la jeune femme faisant attention à ne pas regarder son amant.
- Vous vivez ensemble ?
- Pour le moment non, mais j’espère bientôt.
- Vous l’aimez ?
- Oui, il est l’homme avec qui je veux construire ma vie.
Le Préfet qui pensait qu’elle parlait de son Maître, comprend soudain qu’Il lui a permis une relation vanille, il s’étonne que Monsieur Le Marquis laisse ce genre de liberté à une de Ses soumises. Il change donc de sujet de conversation. Le repas se passe agréablement et Vanessa en oublierait presque sa soumission, si ce n’est le tissu de la chaise directement en contact avec sa peau, et le rosebud portant les initiales de son Maître occupant profondément son anus. Les assiettes sont retirées par le serveur et les convives attendent le café.
- Edouard, en attendant le café, me permettez-vous, demande soudain de façon intrigante Le Préfet.
- Bien entendu, faites très cher.
L’homme se lève et se tourne vers sa droite, regardant Vanessa, assise qui ne comprend pas ce qu’il fait.
- Vanessa, levez-vous, ordonne-t-il d’un ton très doux.
La jeune femme hésite, elle réalise soudain que sa première impression lors de la soirée au Château était la bonne, cet homme est un Maître. Elle regarde son Maître qui hoche la tête pour lui ordonner d’obéir, aussi elle se lève, mets les mains dans le dos et baisse les yeux. Il écarte avec délicatesse son décolleté mettant à jour la magnifique poitrine de Vanessa. Ses seins blancs se tiennent parfaitement, presque arrogants dans le silence du petit salon de ce restaurant, ses tétons sont dressés. La Préfet laisse son doigt effleurer le galbe parfait du sein gauche de la jeune femme, puis se saisit de ses tétons et les pinces doucement. Vanessa reste impassible, son corps droit, offert, se respiration lente, abandonnée à cet homme à qui son Maître a voulu l’offrir.
Le Préfet la regarde si paisible, Vanessa semble presque dans un autre univers, il pince plus durement les bouts de chairs qu’il tient entre ses doigts, mais aucune réaction, elle ne revient pas. Il est fasciné par cette sérénité, elle dégage une soumission si forte, qu’il se surprend à être admiratif de la jeune femme. Le Préfet se ressaisit, et appuie délicatement sur ses épaules pour la contraindre à s’agenouiller. Le corps droit, dans un mouvement parfaitement contrôlé, les mains toujours derrière le dos, la jeune femme pose simultanément les deux genoux au sol, elle patiente la bouche ouverte, sachant bien ce qu’on attend d’elle. Le Préfet ouvre son pantalon, en sort son sexe à moitié tendu et le pousse entre les lèvres de la jeune femme qui l’accueille avec tout le savoir-faire que son Maître et son éducateur lui ont enseigné. Il fait des allers et retours doucement tout en lui caressant les cheveux et par moment il s’arrête en coït buccal bien planté en gorge profonde et se retire afin de donner de l’air aux poumons de la belle. Le Préfet accélère le mouvement dans un rythme cadencé et tel un métronome ses coups de reins restent mesurés et d’une parfaite harmonie. Elle s’applique si bien que l’homme à la verge déjà bien dure, se laisserait presque aller dans sa bouche s’il ne désirait pas à tout prix tout simplement la saillir, la prendre, là, tout de suite comme une chienne en chaleur. Aussi il se retire, lui tend une main pour l’aider à se relever et une fois la jeune femme debout, se recule pour lui laisser la place de manœuvrer.
- Retournez-vous ! lui ordonne-t-il d’un ton posé.
Vanessa lui tourne le dos, sans crainte, désireuse de faire honneur à l’éducation de son Maître et de son Commandant, parfaitement consciente que son Maître ne laissera rien arriver qu’Il n’ait pas désiré. Le Préfet prend la jeune femme par les épaules et la dirige vers la table d’une poigne de fer mais sans violence, il la fait s’appuyer sur le plateau de bois massif et relève les pans de sa robe pour découvrir son cul ferme orné du rosebud aux marques du Marquis.
- Quel joli bijou, vous lui avez fait un sacré honneur, Edouard, dit-il tout en caressant les fesses de la jeune femme.
- Je n’offre rien qui ne soit pas mérité, répond Le Noble comme pour encourager la jeune femme à rester exemplaire.
- Je n’en doute pas, répond le Préfet tout en prenant la jeune femme par les hanches.
Et c’est sans plus de préparation qu’il s’enfonce dans son sexe humide de sa verge tendue. Au même moment le serveur entre apporter les cafés, Vanessa panique soudain et lance un regard désespéré vers son amant qui fronce les sourcils pour lui faire comprendre qu’elle ne doit pas réagir. Elle se calme instantanément, laissant le Préfet terminer sa besogne pendant que le serveur dispose les tasses non sans profiter du spectacle particulier qui s’offre à lui. Après quelques minutes de longs et puissants coups de reins ponctués de nombreux ‘’han’’ émit par le Préfet, qui la baise sauvagement, virilement, à la hussarde, faisant claquer ses couilles contre le fessier de la belle, lui fessant parfois le cul aux rythme des coups de boutoirs, l’homme éjacule en elle, sans se retirer, dans un soupir de contentement mélangé à des râles de plaisirs jouissifs. Il reste aussi un long moment sans bouger en coït profond, le temps de reprendre son souffle. Puis sans donner plus d’attention à la jeune femme, il se retire, referme son pantalon et s’assoit à sa place.
- C’est une très bonne recrue, une chatte divinement accueillante, je vous félicite Edouard, vous savez comme toujours soumettre les meilleurs partis.
- Merci Jacques, mais le mérite en revient également au Commandant qui participe activement à son éducation.
- J’aurais du m’en douter, la voilà bien encadrée.
Vanessa écoute un long moment les trois hommes échanger sur sa docilité, sa servitude, son corps, tout en restant appuyée contre la table le cul toujours à l’air, la semence du Préfet s’échappant de son sexe trempé, la position est humiliante, mais elle supporte en silence, sachant que c’est la Volonté de son Maître… Soudain Monsieur le Marquis sort de la poche intérieur de son veston une lingette qu’il tend à la jeune femme.
- Nettoies-toi et rassies-toi, c’est indécent, ordonne-t-il le sourire aux lèvres.
Sans dire un mot Vanessa s’exécute et reste assise les yeux rivés sur sa tasse de chocolat, sans oser réagir à la conversation qu’entament les trois hommes.
- Eh bien Vanessa, la conversation ne t’intéresse pas ? Tu ne souhaites pas y participer ? interroge Le Marquis.
- Si, si Maître, c'est-à-dire que… - Maître ? Ah non c’est Monsieur Le Marquis maintenant, redeviens la femme.
- Bien Monsieur Le Marquis, répond-t-elle en levant les yeux.
Vanessa a toutes les peines du monde à se montrer en femme devant ces trois hommes Dominants qui la savent soumise et qui l’ont tous trois dominée, possédée. Mais elle fait un effort pour répondre aux attentes de son Maître, et après quelques minutes, elle retrouve son franc parlé. La soirée touche à sa fin, les convives quittent le restaurant et montent dans la voiture garée devant dans laquelle Walter attendait patiemment. La route se passe au fil des discussions, sans jamais faire allusions au cercle ferme de la D/s, ils arrivent devant la grande maison de chez Le Préfet qui les salut avant de les quitter. La voiture repart à peine que Vanessa voit le visage de son Maître changer.
- Eh bien, qu’attends-tu pour retrouver ta véritable place, accuse-t-Il.
Sans perdre un instant la jeune femme s’agenouille entre les deux hommes.
- Penses-tu que cette tenue sied à ta condition, accuse-t-Il de nouveau.
Prenant conscience de son erreur Vanessa retire immédiatement la tenue de soirée et la pose délicatement sur la banquette avant de reprendre sa position d’attente.
- Bien voilà qui est mieux, sache que ce n’est pas parce que tu sais faire illusion dans le milieu mondain que tu as le droit à un traitement de faveur, n’oublie jamais ta place. Est-ce bien compris ?
- Oui Maître, répond Vanessa.
- Bien, toutefois je tiens à te féliciter pour ton comportement exemplaire, je suis fier de toi et j’espère que tu sauras dorénavant te montrer digne de la confiance que je te porte.
Vanessa ne répond rien, Ses mots résonnent dans sa tête, elle est heureuse d’approcher de la soumise que son Maître désire. Sans lui porter aucune attention, les deux hommes reprennent une conversation banale, laissant la jeune femme perdue dans ses pensées, jusqu’à ce que la voiture s’arrête devant la caserne des pompiers.
- Soumise, il est temps pour toi de me quitter, rhabille-toi vite.
Sans un mot la Vanessa se saisit de son uniforme rangé dans le mini-bar et s’habille rapidement avant de se remettre à genoux.
- Allons, relève-toi et retourne au travail, n’oublie pas toutefois que tu M’appartiens. Tu es à Moi, tu es Ma propriété.
- Oui Maître, merci Maître.
La jeune femme les salut respectueusement et quitte la voiture qui redémarre immédiatement. Il est tard, son groupe de stagiaires est couché, elle vérifie que les lieux sont bien rangés, puis rejoint sa chambre pour s’y coucher, fatiguée des émotions vécues…
(A suivre …)
Alors que Le Préfet parle de sa femme, il interpelle la jeune femme….
- Et vous Vanessa, vous avez un homme dans votre vie ?
- Euh…oui…oui, enfin depuis peu, répond gênée la jeune femme faisant attention à ne pas regarder son amant.
- Vous vivez ensemble ?
- Pour le moment non, mais j’espère bientôt.
- Vous l’aimez ?
- Oui, il est l’homme avec qui je veux construire ma vie.
Le Préfet qui pensait qu’elle parlait de son Maître, comprend soudain qu’Il lui a permis une relation vanille, il s’étonne que Monsieur Le Marquis laisse ce genre de liberté à une de Ses soumises. Il change donc de sujet de conversation. Le repas se passe agréablement et Vanessa en oublierait presque sa soumission, si ce n’est le tissu de la chaise directement en contact avec sa peau, et le rosebud portant les initiales de son Maître occupant profondément son anus. Les assiettes sont retirées par le serveur et les convives attendent le café.
- Edouard, en attendant le café, me permettez-vous, demande soudain de façon intrigante Le Préfet.
- Bien entendu, faites très cher.
L’homme se lève et se tourne vers sa droite, regardant Vanessa, assise qui ne comprend pas ce qu’il fait.
- Vanessa, levez-vous, ordonne-t-il d’un ton très doux.
La jeune femme hésite, elle réalise soudain que sa première impression lors de la soirée au Château était la bonne, cet homme est un Maître. Elle regarde son Maître qui hoche la tête pour lui ordonner d’obéir, aussi elle se lève, mets les mains dans le dos et baisse les yeux. Il écarte avec délicatesse son décolleté mettant à jour la magnifique poitrine de Vanessa. Ses seins blancs se tiennent parfaitement, presque arrogants dans le silence du petit salon de ce restaurant, ses tétons sont dressés. La Préfet laisse son doigt effleurer le galbe parfait du sein gauche de la jeune femme, puis se saisit de ses tétons et les pinces doucement. Vanessa reste impassible, son corps droit, offert, se respiration lente, abandonnée à cet homme à qui son Maître a voulu l’offrir.
Le Préfet la regarde si paisible, Vanessa semble presque dans un autre univers, il pince plus durement les bouts de chairs qu’il tient entre ses doigts, mais aucune réaction, elle ne revient pas. Il est fasciné par cette sérénité, elle dégage une soumission si forte, qu’il se surprend à être admiratif de la jeune femme. Le Préfet se ressaisit, et appuie délicatement sur ses épaules pour la contraindre à s’agenouiller. Le corps droit, dans un mouvement parfaitement contrôlé, les mains toujours derrière le dos, la jeune femme pose simultanément les deux genoux au sol, elle patiente la bouche ouverte, sachant bien ce qu’on attend d’elle. Le Préfet ouvre son pantalon, en sort son sexe à moitié tendu et le pousse entre les lèvres de la jeune femme qui l’accueille avec tout le savoir-faire que son Maître et son éducateur lui ont enseigné. Il fait des allers et retours doucement tout en lui caressant les cheveux et par moment il s’arrête en coït buccal bien planté en gorge profonde et se retire afin de donner de l’air aux poumons de la belle. Le Préfet accélère le mouvement dans un rythme cadencé et tel un métronome ses coups de reins restent mesurés et d’une parfaite harmonie. Elle s’applique si bien que l’homme à la verge déjà bien dure, se laisserait presque aller dans sa bouche s’il ne désirait pas à tout prix tout simplement la saillir, la prendre, là, tout de suite comme une chienne en chaleur. Aussi il se retire, lui tend une main pour l’aider à se relever et une fois la jeune femme debout, se recule pour lui laisser la place de manœuvrer.
- Retournez-vous ! lui ordonne-t-il d’un ton posé.
Vanessa lui tourne le dos, sans crainte, désireuse de faire honneur à l’éducation de son Maître et de son Commandant, parfaitement consciente que son Maître ne laissera rien arriver qu’Il n’ait pas désiré. Le Préfet prend la jeune femme par les épaules et la dirige vers la table d’une poigne de fer mais sans violence, il la fait s’appuyer sur le plateau de bois massif et relève les pans de sa robe pour découvrir son cul ferme orné du rosebud aux marques du Marquis.
- Quel joli bijou, vous lui avez fait un sacré honneur, Edouard, dit-il tout en caressant les fesses de la jeune femme.
- Je n’offre rien qui ne soit pas mérité, répond Le Noble comme pour encourager la jeune femme à rester exemplaire.
- Je n’en doute pas, répond le Préfet tout en prenant la jeune femme par les hanches.
Et c’est sans plus de préparation qu’il s’enfonce dans son sexe humide de sa verge tendue. Au même moment le serveur entre apporter les cafés, Vanessa panique soudain et lance un regard désespéré vers son amant qui fronce les sourcils pour lui faire comprendre qu’elle ne doit pas réagir. Elle se calme instantanément, laissant le Préfet terminer sa besogne pendant que le serveur dispose les tasses non sans profiter du spectacle particulier qui s’offre à lui. Après quelques minutes de longs et puissants coups de reins ponctués de nombreux ‘’han’’ émit par le Préfet, qui la baise sauvagement, virilement, à la hussarde, faisant claquer ses couilles contre le fessier de la belle, lui fessant parfois le cul aux rythme des coups de boutoirs, l’homme éjacule en elle, sans se retirer, dans un soupir de contentement mélangé à des râles de plaisirs jouissifs. Il reste aussi un long moment sans bouger en coït profond, le temps de reprendre son souffle. Puis sans donner plus d’attention à la jeune femme, il se retire, referme son pantalon et s’assoit à sa place.
- C’est une très bonne recrue, une chatte divinement accueillante, je vous félicite Edouard, vous savez comme toujours soumettre les meilleurs partis.
- Merci Jacques, mais le mérite en revient également au Commandant qui participe activement à son éducation.
- J’aurais du m’en douter, la voilà bien encadrée.
Vanessa écoute un long moment les trois hommes échanger sur sa docilité, sa servitude, son corps, tout en restant appuyée contre la table le cul toujours à l’air, la semence du Préfet s’échappant de son sexe trempé, la position est humiliante, mais elle supporte en silence, sachant que c’est la Volonté de son Maître… Soudain Monsieur le Marquis sort de la poche intérieur de son veston une lingette qu’il tend à la jeune femme.
- Nettoies-toi et rassies-toi, c’est indécent, ordonne-t-il le sourire aux lèvres.
Sans dire un mot Vanessa s’exécute et reste assise les yeux rivés sur sa tasse de chocolat, sans oser réagir à la conversation qu’entament les trois hommes.
- Eh bien Vanessa, la conversation ne t’intéresse pas ? Tu ne souhaites pas y participer ? interroge Le Marquis.
- Si, si Maître, c'est-à-dire que… - Maître ? Ah non c’est Monsieur Le Marquis maintenant, redeviens la femme.
- Bien Monsieur Le Marquis, répond-t-elle en levant les yeux.
Vanessa a toutes les peines du monde à se montrer en femme devant ces trois hommes Dominants qui la savent soumise et qui l’ont tous trois dominée, possédée. Mais elle fait un effort pour répondre aux attentes de son Maître, et après quelques minutes, elle retrouve son franc parlé. La soirée touche à sa fin, les convives quittent le restaurant et montent dans la voiture garée devant dans laquelle Walter attendait patiemment. La route se passe au fil des discussions, sans jamais faire allusions au cercle ferme de la D/s, ils arrivent devant la grande maison de chez Le Préfet qui les salut avant de les quitter. La voiture repart à peine que Vanessa voit le visage de son Maître changer.
- Eh bien, qu’attends-tu pour retrouver ta véritable place, accuse-t-Il.
Sans perdre un instant la jeune femme s’agenouille entre les deux hommes.
- Penses-tu que cette tenue sied à ta condition, accuse-t-Il de nouveau.
Prenant conscience de son erreur Vanessa retire immédiatement la tenue de soirée et la pose délicatement sur la banquette avant de reprendre sa position d’attente.
- Bien voilà qui est mieux, sache que ce n’est pas parce que tu sais faire illusion dans le milieu mondain que tu as le droit à un traitement de faveur, n’oublie jamais ta place. Est-ce bien compris ?
- Oui Maître, répond Vanessa.
- Bien, toutefois je tiens à te féliciter pour ton comportement exemplaire, je suis fier de toi et j’espère que tu sauras dorénavant te montrer digne de la confiance que je te porte.
Vanessa ne répond rien, Ses mots résonnent dans sa tête, elle est heureuse d’approcher de la soumise que son Maître désire. Sans lui porter aucune attention, les deux hommes reprennent une conversation banale, laissant la jeune femme perdue dans ses pensées, jusqu’à ce que la voiture s’arrête devant la caserne des pompiers.
- Soumise, il est temps pour toi de me quitter, rhabille-toi vite.
Sans un mot la Vanessa se saisit de son uniforme rangé dans le mini-bar et s’habille rapidement avant de se remettre à genoux.
- Allons, relève-toi et retourne au travail, n’oublie pas toutefois que tu M’appartiens. Tu es à Moi, tu es Ma propriété.
- Oui Maître, merci Maître.
La jeune femme les salut respectueusement et quitte la voiture qui redémarre immédiatement. Il est tard, son groupe de stagiaires est couché, elle vérifie que les lieux sont bien rangés, puis rejoint sa chambre pour s’y coucher, fatiguée des émotions vécues…
(A suivre …)
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