Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°547)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°547)
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°547) -
Vanessa craint de ne pas tenir physiquement, elle sait de quoi le Majordome est capable et elle sait qu’il ne va pas lui laisser un moment de répit. Sans dire un mot de plus, il la fait descendre et l’agenouille devant lui. Il ouvre son pantalon et en sort un sexe déjà tendu d’excitation qu’il enfourne dans la bouche ouverte de la jeune femme. Il ne lui laisse pas le temps de mettre en pratique ses compétences, il baise littéralement sa bouche, allant profondément en elle, butant contre sa gorge. Elle se laisse faire, sachant pertinemment que la meilleure façon de passer ce moment le moins désagréablement possible est de s’offrir entièrement, sans aucune résistance. Sa salive s’écoule de la commissure de ses lèvres, Vanessa entend le bruit de déglutition de sa bouche à chaque va-et-vient, elle n’est plus qu’un objet, qu’un trou qu’il baise à volonté. Walter prend même plaisir avec perversité de laisser plantée sa verge tendue jusqu’au fond de sa gorge en coït buccal, ce qui procure à la soumise des manques d’air surtout qu’il pousse la perversion à lui boucher le nez avec ses larges doigts.
Elle faillit s’étouffer quand soudain il se retire, ne lâchant pas la queue de cheval qu’il a dans sa main droite et sans un mot tire dessus pour la contraindre à se relever et à le suivre dans un coin de la pièce. Là il la laisse debout, fouille dans le tiroir d’une commode pour en sortir des menottes de cuir qu’il passe à ses poignets, à leur forme Vanessa comprend immédiatement que ce sont des menottes de suspension. Et en effet, à peine quelques secondes après il fait descendre des chaînes du plafond en actionnant le mécanisme motorisé. Par réflexe Vanessa lève ses bras pour permettre au Majordome de l’accrocher, cette facilité avec laquelle elle accepte sa condition fait sourire Walter. Il prend ses poignets, les attaches aux chaînes et remonte le mécanisme jusqu’à ce qu’elle soit en équilibre sur la pointe des pieds…
Walter prend une barre d’écartement et l’attache aux chevilles de Vanessa par le biais de chevillères de cuir, puis il fait descendre d’autres chaines qu’il attache à la barre, le mécanisme remonte les pieds de la jeune femme jusqu’à ce que son postérieur soit à hauteur de la taille du Majordome. Il s’éloigne pour revenir avec un bol rempli de glaçons qu’il pose sur un meuble à proximité. Il prend un glaçon et le fait tourner autour des tétons de la jeune femme qui durcissent d’avantage. Le deuxième glaçon vient fondre doucement autour de son clitoris, étrangement elle se surprend à prendre du plaisir ainsi exhibée dans la situation, d’être aussi offerte, de sentir le froid sur la chaleur de son envie montante. Elle ne pensait pas qu’un simple morceau de glace puisse exacerber à ce point ses sens, elle ressent une certaine honte d’apprécier le traitement que lui réserve le bras droit de son Maître. Walter voit le sexe de la jeune femme s’humidifier de plus en plus, il sourit, décidemment, malgré ses airs un peu farouches, elle était vraiment faite pour ça. Il retire le rosebud, lui enfonce le reste des glaçons dans l’anus, et le remet en place. Vanessa sent la glace se transformer instantanément en eau au creux de ses reins, et ce froid accentue la chaleur qui irradie son bas ventre.
Le Majordome la prend par les hanches et l’approche contre lui pour présenter sa volumineuse verge raide comme un bâton devant ses lèvres intimes trempées. Il s’amuse à frotter son gros gland contre elles de bas en haut et vice versa durant quelques longues secondes avant de la pénétrer profondément d’un énorme coup de reins puissant. Vanessa est tellement excitée et si trempée que la verge n’a aucun mal à besogner le vagin de la belle et ainsi il la fait et aller venir en jouant sur le balancement des chaînes, ses testicules butent à chaque coup viril contre le fessier de la jeune femme, il met plus de force, plus de vitesse, plus de bestialité dans l’accouplement tel un mâle en rut. Walter s’active puissamment en elle avec une rapide cadence emplie de ‘han’. Vanessa sent sa jouissance monter, elle sait qu’elle ne doit pas la libérer, mais elle a tellement envie qu’elle ose une requête.
- Haaaaaaaa ! hummmmmmm ! Monsieur, puis-je jouir ?
- Une véritable chienne en chaleur, sourit le Majordome ravi de voir qu’elle prend enfin du plaisir à lui obéir. Non, tu devras attendre le bon vouloir de ton Maître, je ne suis que le prolongement de sa main, ou son sexe.
Vanessa ne répond rien, elle bloque son plaisir, la frustration est une véritable torture qu’elle accepte avec une grande volonté. Puis après quelques minutes où il s’active encore plus en elle, le Majordome éjacule en de longs jets chauds sur ses fesses, son ventre, sa poitrine dans un déchainement de gémissements et râles jouissifs qu’il ne peut retenir. Il se retire, et sans un regard pour le corps offert de la jeune femme, Walter quitte la pièce… Quelques minutes plus tard, un jeune homme entièrement nu, portant un collier de cuir et une cage de chasteté vient la délivrer de ses chaines. Il enclenche le mécanisme, descend la jeune femme qui se retrouve debout, il la détache toujours sans dire aucun mot, il la prend par la main pour la mener dans une pièce voisine. Il la met debout dans un coin entièrement recouvert de carrelage blanc et prend un tuyau d’arrosage. Vanessa comprend et sans un mot elle place les mains derrière sa tête pour permettre au jeune homme de la nettoyer. Le jet est froid et sa fatigue ne l’aide pas à supporter ce traitement, il asperge sa poitrine, son ventre, son entrejambe, puis elle se tourne et il asperge son dos et ses fesses, il stoppe le jet et lui tend une serviette avec laquelle elle se sèche rapidement.
- Allons, suis-moi le Maître t’attend, dit-il simplement avant de quitter la pièce.
Vanessa lui emboite le pas, ils marchent rapidement dans les couloirs du Château, jusqu’à la salle à manger. Avant d’ouvrir la porte il lui fait signe de s’agenouiller, ce qu’elle fait, il frappe à la porte, la voix du Noble lui ordonne d’entrer, il ouvre la porte et s’agenouille à son tour. Il s’approche devant le Maître, suivit de la jeune femme venant à quatre pattes pour s’agenouiller aussi devant Lui, baissant la tête.
- Bien, pile à l’heure, c’est parfait, ce soir tu seras récompensé, file rejoindre Monsieur Walter, il t’attend, dit Monsieur Le Marquis en caressant la tête de son soumis.
Le jeune homme sourit, heureux d’avoir satisfait son Maître, il part rapidement et ferme la porte derrière lui.
- Comment vas-tu soumise, interroge Monsieur Le Marquis pour vérifier l’état de fatigue de la jeune femme.
- Bien Maître, merci de Vous en soucier, répond humblement Vanessa.
- Parfait, parfait, car ta journée ne fait que commencer, insiste Le Noble pour lui laisser une chance de lui avouer sa fatigue. Es-tu prête pour ce qui va suivre ?
- Oui Maître.
- Hummm, parfait, alors passe sous la table, ta langue va me donner du plaisir durant mon repas.
Sans dire un mot la jeune femme s’exécute, elle s’agenouille entre les jambes de son Maître et place les mains derrière son dos. Le Noble sort son sexe de son pantalon et d’une main vient plaquer la tête de Vanessa contre son ventre, lui faisant comprendre qu’elle doit commencer. Elle ressent une profonde fierté d’être désignée pour donner du plaisir à son Maître durant son repas, et espère bien répondre à ses attentes. Elle lèche, suce, prend en bouche profondément, le sexe dressé du Noble, elle s’applique du mieux qu’elle peut, sans oublier les enseignements de son Commandant, pour satisfaire son Maître. Le repas avance, elle aperçoit par dessous la table les soumises MDE nues qui servent les plats qui s’enchaînent. Alors que Vanessa suce son Maître avec application, elle entend subitement un bruit d’un verre de cristal se renverser et se casser. La jeune femme entend Monsieur le Marquis d’Evans vociférer spontanément :
- Espèce de petite maladroite, tu ne sais donc pas servir le fromage sans rien renverser ?
Un claquement de doigts subite du Maître et de dessous la table, Vanessa voit aisément la soumise MDE s’agenouiller, tête baissée, mains derrière le dos et sans aucun mot, puisque la soumise MDE en question n’est pas autorisée à parler. (Vanessa observe ce qu’elle peut sans arrêter sa divine fellation). Suite à un deuxième claquement de doigts et toujours sans un mot, la fautive se met en levrette, le cul bien relevé dans une immobilité parfaite. Vanessa reconnait ensuite l’homme qui s’approche de la soumise MDE, qui n’est autre que le Majordome, il tient un fouet aux lanières courtes en cuir. Vanessa reconnait aussi la voix bien caractéristique de Walter :
- Tu connais le tarif pour un verre cassé, c’est cinquante coups de fouet sur tes fesses de chienne. Et si j’entends un seul bruit sortir de ta bouche, je recommence…
Vanessa assiste alors en direct à cette punition Les coups de fouet pleuvent sur les fesses de la soumise qui n’émet aucun son, elle subit admirablement sans broncher. Le Majordome ne la ménage pourtant pas, car les coups sont d’une forte intensité. Les marques sont plus que rouges et la peau en feu est entamée bien avant la fin de la sentence. Quand le cinquantième coup arrive, la soumise MDE grimaçante s’agenouille avec difficulté, à cause de la douleur sur ses fesses pour venir déposer un baiser sur la main du Noble en signe de remerciements, et toujours sans un mot, sans un bruit. Puis la soumise MDE se lève et quitte la pièce. Vanessa n’aura donc jamais entendu un seul mot de cette soumise MDE, même pas un seul son, ce qui lui fait penser que cette soumise est parfaitement dressée, impeccablement initiée, qu’elle est devenue une parfaite soumise qui sait accepter et subir une sanction avec les bons gestes à faire au moindre claquement de doigts et d’accepter aussi sa faute sans émettre aucune plainte et de marquer sa reconnaissance par le baiser sur la main du Maître et tout cela toujours sans broncher...
Le dessert arrive enfin. Vanessa fatigue sa mâchoire est douloureuse et son rythme commence à ralentir malgré son investissement. Le Noble sourit, Il attendait ce signe de faiblesse. Sans un mot, il la sort de la table en la tirant par les cheveux, et la place à genoux devant lui.
- Tu manques d’application, tu ne sais pas garder un rythme, tu vas aller passer quelques heures dans les cuisines de Madame Marie, elle va t’apprendre à conserver un rythme, dit-Il sévèrement comme si une sentence venait de tomber.
Vanessa ne dit rien, elle s’en veut profondément d’avoir déçu une fois de plus son Maître, et patiente les mains dans le dos. Quelques minutes plus tard Walter fait son apparition dans la pièce.
- Walter, veux-tu bien mener cette soumise auprès de Marie, qu’elle lui apprenne ce qu’est un rythme à tenir.
- Bien Monsieur le Marquis.
Sans dire un mot, il sort une laisse de sa poche, l’attache au collier de Vanessa et la tire à sa suite. Ils quittent le salon, Vanessa a le goût amer de la défaite en elle, elle peste contre elle-même, persuadée qu’elle doit être capable en faisant plus d’effort de palier à sa fatigue physique. Ils arpentent les couloirs du Château, jusqu’à la porte des cuisines où la sadique Marie la cuisinière l’attend certainement avec des idées perverses en tête…
(A suivre …)
Vanessa craint de ne pas tenir physiquement, elle sait de quoi le Majordome est capable et elle sait qu’il ne va pas lui laisser un moment de répit. Sans dire un mot de plus, il la fait descendre et l’agenouille devant lui. Il ouvre son pantalon et en sort un sexe déjà tendu d’excitation qu’il enfourne dans la bouche ouverte de la jeune femme. Il ne lui laisse pas le temps de mettre en pratique ses compétences, il baise littéralement sa bouche, allant profondément en elle, butant contre sa gorge. Elle se laisse faire, sachant pertinemment que la meilleure façon de passer ce moment le moins désagréablement possible est de s’offrir entièrement, sans aucune résistance. Sa salive s’écoule de la commissure de ses lèvres, Vanessa entend le bruit de déglutition de sa bouche à chaque va-et-vient, elle n’est plus qu’un objet, qu’un trou qu’il baise à volonté. Walter prend même plaisir avec perversité de laisser plantée sa verge tendue jusqu’au fond de sa gorge en coït buccal, ce qui procure à la soumise des manques d’air surtout qu’il pousse la perversion à lui boucher le nez avec ses larges doigts.
Elle faillit s’étouffer quand soudain il se retire, ne lâchant pas la queue de cheval qu’il a dans sa main droite et sans un mot tire dessus pour la contraindre à se relever et à le suivre dans un coin de la pièce. Là il la laisse debout, fouille dans le tiroir d’une commode pour en sortir des menottes de cuir qu’il passe à ses poignets, à leur forme Vanessa comprend immédiatement que ce sont des menottes de suspension. Et en effet, à peine quelques secondes après il fait descendre des chaînes du plafond en actionnant le mécanisme motorisé. Par réflexe Vanessa lève ses bras pour permettre au Majordome de l’accrocher, cette facilité avec laquelle elle accepte sa condition fait sourire Walter. Il prend ses poignets, les attaches aux chaînes et remonte le mécanisme jusqu’à ce qu’elle soit en équilibre sur la pointe des pieds…
Walter prend une barre d’écartement et l’attache aux chevilles de Vanessa par le biais de chevillères de cuir, puis il fait descendre d’autres chaines qu’il attache à la barre, le mécanisme remonte les pieds de la jeune femme jusqu’à ce que son postérieur soit à hauteur de la taille du Majordome. Il s’éloigne pour revenir avec un bol rempli de glaçons qu’il pose sur un meuble à proximité. Il prend un glaçon et le fait tourner autour des tétons de la jeune femme qui durcissent d’avantage. Le deuxième glaçon vient fondre doucement autour de son clitoris, étrangement elle se surprend à prendre du plaisir ainsi exhibée dans la situation, d’être aussi offerte, de sentir le froid sur la chaleur de son envie montante. Elle ne pensait pas qu’un simple morceau de glace puisse exacerber à ce point ses sens, elle ressent une certaine honte d’apprécier le traitement que lui réserve le bras droit de son Maître. Walter voit le sexe de la jeune femme s’humidifier de plus en plus, il sourit, décidemment, malgré ses airs un peu farouches, elle était vraiment faite pour ça. Il retire le rosebud, lui enfonce le reste des glaçons dans l’anus, et le remet en place. Vanessa sent la glace se transformer instantanément en eau au creux de ses reins, et ce froid accentue la chaleur qui irradie son bas ventre.
Le Majordome la prend par les hanches et l’approche contre lui pour présenter sa volumineuse verge raide comme un bâton devant ses lèvres intimes trempées. Il s’amuse à frotter son gros gland contre elles de bas en haut et vice versa durant quelques longues secondes avant de la pénétrer profondément d’un énorme coup de reins puissant. Vanessa est tellement excitée et si trempée que la verge n’a aucun mal à besogner le vagin de la belle et ainsi il la fait et aller venir en jouant sur le balancement des chaînes, ses testicules butent à chaque coup viril contre le fessier de la jeune femme, il met plus de force, plus de vitesse, plus de bestialité dans l’accouplement tel un mâle en rut. Walter s’active puissamment en elle avec une rapide cadence emplie de ‘han’. Vanessa sent sa jouissance monter, elle sait qu’elle ne doit pas la libérer, mais elle a tellement envie qu’elle ose une requête.
- Haaaaaaaa ! hummmmmmm ! Monsieur, puis-je jouir ?
- Une véritable chienne en chaleur, sourit le Majordome ravi de voir qu’elle prend enfin du plaisir à lui obéir. Non, tu devras attendre le bon vouloir de ton Maître, je ne suis que le prolongement de sa main, ou son sexe.
Vanessa ne répond rien, elle bloque son plaisir, la frustration est une véritable torture qu’elle accepte avec une grande volonté. Puis après quelques minutes où il s’active encore plus en elle, le Majordome éjacule en de longs jets chauds sur ses fesses, son ventre, sa poitrine dans un déchainement de gémissements et râles jouissifs qu’il ne peut retenir. Il se retire, et sans un regard pour le corps offert de la jeune femme, Walter quitte la pièce… Quelques minutes plus tard, un jeune homme entièrement nu, portant un collier de cuir et une cage de chasteté vient la délivrer de ses chaines. Il enclenche le mécanisme, descend la jeune femme qui se retrouve debout, il la détache toujours sans dire aucun mot, il la prend par la main pour la mener dans une pièce voisine. Il la met debout dans un coin entièrement recouvert de carrelage blanc et prend un tuyau d’arrosage. Vanessa comprend et sans un mot elle place les mains derrière sa tête pour permettre au jeune homme de la nettoyer. Le jet est froid et sa fatigue ne l’aide pas à supporter ce traitement, il asperge sa poitrine, son ventre, son entrejambe, puis elle se tourne et il asperge son dos et ses fesses, il stoppe le jet et lui tend une serviette avec laquelle elle se sèche rapidement.
- Allons, suis-moi le Maître t’attend, dit-il simplement avant de quitter la pièce.
Vanessa lui emboite le pas, ils marchent rapidement dans les couloirs du Château, jusqu’à la salle à manger. Avant d’ouvrir la porte il lui fait signe de s’agenouiller, ce qu’elle fait, il frappe à la porte, la voix du Noble lui ordonne d’entrer, il ouvre la porte et s’agenouille à son tour. Il s’approche devant le Maître, suivit de la jeune femme venant à quatre pattes pour s’agenouiller aussi devant Lui, baissant la tête.
- Bien, pile à l’heure, c’est parfait, ce soir tu seras récompensé, file rejoindre Monsieur Walter, il t’attend, dit Monsieur Le Marquis en caressant la tête de son soumis.
Le jeune homme sourit, heureux d’avoir satisfait son Maître, il part rapidement et ferme la porte derrière lui.
- Comment vas-tu soumise, interroge Monsieur Le Marquis pour vérifier l’état de fatigue de la jeune femme.
- Bien Maître, merci de Vous en soucier, répond humblement Vanessa.
- Parfait, parfait, car ta journée ne fait que commencer, insiste Le Noble pour lui laisser une chance de lui avouer sa fatigue. Es-tu prête pour ce qui va suivre ?
- Oui Maître.
- Hummm, parfait, alors passe sous la table, ta langue va me donner du plaisir durant mon repas.
Sans dire un mot la jeune femme s’exécute, elle s’agenouille entre les jambes de son Maître et place les mains derrière son dos. Le Noble sort son sexe de son pantalon et d’une main vient plaquer la tête de Vanessa contre son ventre, lui faisant comprendre qu’elle doit commencer. Elle ressent une profonde fierté d’être désignée pour donner du plaisir à son Maître durant son repas, et espère bien répondre à ses attentes. Elle lèche, suce, prend en bouche profondément, le sexe dressé du Noble, elle s’applique du mieux qu’elle peut, sans oublier les enseignements de son Commandant, pour satisfaire son Maître. Le repas avance, elle aperçoit par dessous la table les soumises MDE nues qui servent les plats qui s’enchaînent. Alors que Vanessa suce son Maître avec application, elle entend subitement un bruit d’un verre de cristal se renverser et se casser. La jeune femme entend Monsieur le Marquis d’Evans vociférer spontanément :
- Espèce de petite maladroite, tu ne sais donc pas servir le fromage sans rien renverser ?
Un claquement de doigts subite du Maître et de dessous la table, Vanessa voit aisément la soumise MDE s’agenouiller, tête baissée, mains derrière le dos et sans aucun mot, puisque la soumise MDE en question n’est pas autorisée à parler. (Vanessa observe ce qu’elle peut sans arrêter sa divine fellation). Suite à un deuxième claquement de doigts et toujours sans un mot, la fautive se met en levrette, le cul bien relevé dans une immobilité parfaite. Vanessa reconnait ensuite l’homme qui s’approche de la soumise MDE, qui n’est autre que le Majordome, il tient un fouet aux lanières courtes en cuir. Vanessa reconnait aussi la voix bien caractéristique de Walter :
- Tu connais le tarif pour un verre cassé, c’est cinquante coups de fouet sur tes fesses de chienne. Et si j’entends un seul bruit sortir de ta bouche, je recommence…
Vanessa assiste alors en direct à cette punition Les coups de fouet pleuvent sur les fesses de la soumise qui n’émet aucun son, elle subit admirablement sans broncher. Le Majordome ne la ménage pourtant pas, car les coups sont d’une forte intensité. Les marques sont plus que rouges et la peau en feu est entamée bien avant la fin de la sentence. Quand le cinquantième coup arrive, la soumise MDE grimaçante s’agenouille avec difficulté, à cause de la douleur sur ses fesses pour venir déposer un baiser sur la main du Noble en signe de remerciements, et toujours sans un mot, sans un bruit. Puis la soumise MDE se lève et quitte la pièce. Vanessa n’aura donc jamais entendu un seul mot de cette soumise MDE, même pas un seul son, ce qui lui fait penser que cette soumise est parfaitement dressée, impeccablement initiée, qu’elle est devenue une parfaite soumise qui sait accepter et subir une sanction avec les bons gestes à faire au moindre claquement de doigts et d’accepter aussi sa faute sans émettre aucune plainte et de marquer sa reconnaissance par le baiser sur la main du Maître et tout cela toujours sans broncher...
Le dessert arrive enfin. Vanessa fatigue sa mâchoire est douloureuse et son rythme commence à ralentir malgré son investissement. Le Noble sourit, Il attendait ce signe de faiblesse. Sans un mot, il la sort de la table en la tirant par les cheveux, et la place à genoux devant lui.
- Tu manques d’application, tu ne sais pas garder un rythme, tu vas aller passer quelques heures dans les cuisines de Madame Marie, elle va t’apprendre à conserver un rythme, dit-Il sévèrement comme si une sentence venait de tomber.
Vanessa ne dit rien, elle s’en veut profondément d’avoir déçu une fois de plus son Maître, et patiente les mains dans le dos. Quelques minutes plus tard Walter fait son apparition dans la pièce.
- Walter, veux-tu bien mener cette soumise auprès de Marie, qu’elle lui apprenne ce qu’est un rythme à tenir.
- Bien Monsieur le Marquis.
Sans dire un mot, il sort une laisse de sa poche, l’attache au collier de Vanessa et la tire à sa suite. Ils quittent le salon, Vanessa a le goût amer de la défaite en elle, elle peste contre elle-même, persuadée qu’elle doit être capable en faisant plus d’effort de palier à sa fatigue physique. Ils arpentent les couloirs du Château, jusqu’à la porte des cuisines où la sadique Marie la cuisinière l’attend certainement avec des idées perverses en tête…
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