Vanessa au Château
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château
Vanessa au Château – (suite de l'épisode précédent N°402) –
Le Noble Châtelain se lève pour accueillir son ami et d’une voix enjouée :
- Ah très cher, soyez le bienvenu, je ne Vous attendais plus !
- Merci Edouard, oui je suis désolé de vous avoir fait attendre, le travail m’a retenu, mais merci de m’avoir envoyé votre chauffeur, répond l’homme.
Vanessa reconnait immédiatement la voix de son Commandant et son cœur se met à battre très fort d’appréhension et de surprise à savoir la présence de son chef de corps aux côtés de son Maître. Elle comprend soudain pourquoi son Maître a souhaité lui laisser le choix de se dévoiler ou non. Elle commence à appréhender la soirée, l’idée qu’il puisse enfin découvrir sa véritable nature la stresse, et l’espace d’un instant elle envisage la possibilité que lui offre son Maître de reprendre sa liberté. Mais Il lui en a trop fait découvert, Il lui a mît l’eau à la bouche, et elle a soif d’en découvrir d’avantage, elle ne peut quitter sa condition. Elle savait qu’ils étaient amis, son Maître ne l’ayant jamais caché à ses yeux, elle savait donc que son commandant devrait la découvrir ainsi, cela devait arriver un jour, et finalement plus vite ce sera fait, plus vite elle cessera de craindre sa réaction.
- Voyons c’est tout naturel, mais vous semblez contrarié, rien de grave j’espère.
- Je ne pense pas, je n’arrive simplement pas à joindre une personne de mon équipe et c’est quelqu’un qui reste toujours joignable donc je m’inquiète un peu.
- Ah, même en repos vos hommes doivent être joignables ? interroge le Noble, tout en lui désignant le fauteuil face au sien.
- Ce n’est pas une obligation, mais parfois j’ai besoin de certaines personnes qui ont des qualifications particulières, répond-t-il tout en s’asseyant.
- Et cet homme possède quelle qualification ?
- Cette femme reprend le commandant, celle d’enquêteur post-incendie.
- Je comprends mieux votre inquiétude, dit le Marquis d’un sourire entendu.
- Non, non, c’est simplement une amie, se défend le commandant, et une excellente professionnelle en tant que soldat du feu - Voyons Laurent, vous pouvez faire illusion au sein de votre équipe, mais pas avec moi, on se connait trop pour cela. Et pourquoi aviez-vous besoin d’elle ?
- Un incendie avec une cause qui nous semble suspecte, la police nous a demandé d’enquêter.
- Et vous n’avez pas d’autres enquêteurs ?
- Cette qualification est assez récente en France, on est formés directement par les canadiens. Nous sommes donc peu à l’avoir. Je l’ai également cette qualification et donc voilà la cause de mon retard, j’ai dû faire les premières constatations et les premiers prélèvements afin qu’elle puisse continuer le travail dès son retour.
- Eh bien, ce travail semble bien long vu votre retard.
- J’ai pris le temps de passer chez elle pour m’assurer qu’elle n’avait pas un problème, avoue le commandant en rougissant tel un adolescent surpris à embrasser son premier amour.
- Et ? questionne amusé le Marquis d’Evans.
- Son voisin m’a dit qu’elle était partie en weekend.
- Vous voilà donc rassuré.
- Qu’en partie, elle n’a pas emmené son chien, et elle ne part jamais sans lui, donc j’espère qu’elle répondra à mes messages - Je suis certain que vous aurez de ses nouvelles avant la fin de la soirée et même certainement plus tôt que vous ne le pensez, s’exclame d’un air malicieux le Châtelain.
- Je l’espère, je l’espère répond le commandant n’ayant pas saisi l’allusion de son ami.
Vanessa est gênée d’entendre cette conversation à l’insu de son commandant, elle s’en veut également de ne pas avoir pensé qu’il pourrait avoir besoin d’elle et de ne pas l’avoir prévenu de son absence afin qu’il ne s’inquiète pas. Et malgré le fait qu’elle craigne sa réaction, elle se surprend à désirer voir la fin de la soirée arriver afin de le rassurer… Après quelques paroles anodines, on frappe à la porte, et sur ordre du Maître des lieux, une jeune femme portant un collier au cou mais entièrement nue entre un plateau à la main. Alors que les deux hommes continuent leur conversation sans prêter attention ni à Vanessa, ni à la jeune femme qui vient d’entrer, cette dernière s’agenouille devant la table basse pour déposer des amuse-gueules et deux verres ainsi qu’une bouteille d’un scotch ancien. Elle remplit les deux verres d’alcool en y mettant deux glaçons, les tend à chacun des deux amis qui les prennent sans un regard pour la jeune serveuse, puis elle se retire baissant la tête. Les deux hommes continuent leur causerie, parlant de divers sujets auxquels Vanessa ne prête pas attention. Elle attend espérant avec une certaine impatience le moment où ils daigneront enfin s’occuper d’elle. Mais le temps s’écoule et aucune parole, aucun geste, aucune allusion la concernant ne vient troubler la conversation amicale des deux hommes. C’est la pendule de la pièce sonnant 19h qui interrompt soudain la discussion.
- L’heure du repas arrive, si vous le voulez bien, je vous propose de rejoindre la salle à manger, dit le Noble en se levant.
- Volontiers, je vous suis, cher ami, répond le commandant qui se lève également.
Le Marquis claque des doigts et Vanessa se place sans attendre à ses côtés, prête à Le suivre sans laisse comme Il l’a exigé. Ils arpentent les couloirs du Château, continuant de discuter et continuant d’ignorer la jeune femme qui pourtant s’applique de son mieux à onduler du bassin telle une panthère, pour contenter son Maître. Cette ignorance la frustre au plus haut point, elle veut à tout prix, prouver à son Maître qu’elle est digne de Lui appartenir, mais comment faire s’Il ne la regarde pas. Ce que Vanessa ignore c’est que cela fait partie de son éducation, elle doit accepter de n’être rien, d’être insignifiante, et Le Marquis sait que sur ce point elle n’est pas encore prête. Il a décelé l’orgueil qui anime la jeune femme, cette volonté de toujours plaire, de se montrer toujours la meilleure, elle l’a certainement développée face aux hommes de sa caserne, mais il est temps qu’elle apprenne qu’en ces lieux l’orgueil n’a pas sa place, et Il compte bien sur cette soirée pour commencer à le lui inculquer. Ils arrivent dans la salle du Château où sont servis les repas, et prennent place à table, Le Marquis au bout et son ami à sa droite. Le repas se déroule lentement, au grès des conversations des deux hommes. Les plats sont servis par des soumises dénudées du Noble, et les deux hommes ne se gênent pas pour leur faire subir toutes sortes d’attouchements. Ainsi Vanessa entend des fessiers claquer sous les mains fermes des deux amis, des langues lécher des doigts qu’ils leurs présentent, des gémissements sous des introductions diverses et variées, mais aucun geste ne lui est dédié. Et elle commence à sentir la jalousie l’envahir, elle ne comprend pas que son Maître ait souhaité sa présence pour ce début de soirée si c’était pour l’ignorer tout du long. Elle sait que son corps désirable ne laisse pas les hommes indifférents, et elle ne comprend pas pourquoi le Commandant et Le Noble y résistent sans aucun effort. La fin du repas approche et le dessert est servi.
- Edouard, vous savez comme j’apprécie le plaisir de la chair avec le plaisir gustatif, et la vue de ce magnifique dessert me donne envie d’user de la bouche de votre chienne, ose demander le commandant, habitué à user des soumises de son ami, en désignant Vanessa.
- Hum…le plaisir que vous en retireriez serait minime, elle ne sait absolument pas se servir de cet orifice.
- Vous m’étonnez, ce n’est pas dans votre habitude de choisir des soumises incomplètes, pourquoi l’avoir prît sous votre joug ?
- Disons qu’elle est encore à l’essai, elle n’est pas encore digne de faire partit de Mon cheptel. Mais je compte lui laisser un délai supplémentaire pour lui permettre de travailler ses lacunes. D’ailleurs je comptais sur vous pour ce dernier point.
A ces mots la jeune femme sent sa frustration s’accroitre, elle sait qu’elle ne connait rien de l’art de la fellation, mais entendre son Maître la juger indigne de lui appartenir, après ce qu’elle a prouvé aujourd’hui, elle a envie de lui crier de la tester d’avantage, de lui faire subir toutes les humiliations qu’Il désirera, afin qu’elle puisse lui montrer sa valeur.
- Vous comptez sur moi ? interroge étonné le commandant.
- Oui, rappelez-vous, vous aviez très bien su éduquer mon soumis à cet art.
- Oui en effet, mais c’était un mâle, avec les femelles c’est bien plus compliqué, elles comprennent beaucoup moins bien ce que peut attendre un Maître de leur bouche.
- Mais vous pourriez essayer ?
- Hum…puis-je la tester, pour juger le travail nécessaire ?
- Mais je vous en prie, j’allais justement vous le proposer.
- Parfait, alors debout, ordonne le commandant se tournant vers Vanessa.
Cet ordre l’a sort de ses pensées négatives, et sa frustration laisse place à une excitation montante. Sans attendre elle obéit, se tenant droite face à lui, les mains dans le dos, le regard fixé au sol. Il passe son index sur ses lèvres entrouvertes, puis lui ouvre la bouche qu’il inspecte comme on le ferait d’un cheval. La jeune femme sent de nouveau son orgueil s’étouffer, mais elle résiste à toutes réactions. Le Noble regarde la scène amusé, Il voit que la jeune femme lutte contre son caractère et cet instinct de se rebeller, Il sent toute la frustration qui l’habite, et Il est ravi de constater que malgré tout, elle résiste. Le commandant abandonne enfin son inspection pour enfoncer deux de ses doigts dans les chairs intimes de la jeune femme. Il découvre avec satisfaction son sexe accueillant et humide à souhait. Il la fouille un court instant, faisant monter le plaisir de la jeune femme.
- Mais elle est en chaleur, fait-il remarqué amusé à son ami en retirant ses doigts trempés.
- Effectivement, un appétit insatiable car elle a pourtant joui une bonne partie de l’après-midi.
- A genoux, ordonne le commandant à la jeune femme.
A peine Vanessa a-t-elle prit la pose qu’il lui enfonce ses doigts souillés dans la bouche.
- Lèche, nettoie ta mouille, et montre-moi ce que ta langue peut faire.
Vanessa sent l’humiliation l’envahir, le fait que son commandant, son ami, la traite ainsi comme une catin est un véritable supplice pour elle, et elle parvient difficilement à l’accepter. Mais elle prend sur elle pour ne pas décevoir son Maître et s’applique du mieux qu’elle peut pour lécher et sucer les doigts qu’il lui présente.
- Je comprends votre déception très cher, de si jolies lèvres aussi inutiles c’est frustrant pour tout Maître, annonce le commandant.
Disant ceci, il prend Vanessa par les cheveux pour la faire passer entre ses cuisses, puis sans lui adresser la parole il appuie sur sa tête pour enfoncer son sexe dans sa bouche. Puis la relâche pour la laisser seule se débrouiller. La jeune femme tente tant bien que mal de lui prodiguer une fellation agréable, mais son inexpérience lui fait cruellement défaut.
- Vous voyez le problème, alors pensez-vous pouvoir dresser cette bouche ?
- Je ne veux pas vous promettre l’impossible, mais je veux bien vous promettre d’essayer. Même s’il ne faut pas se le cacher, la tâche sera longue et compliquée.
- C’est parfait, je connais vos compétences dans ce domaine, je sais que vous saurez faire de cet orifice un écrin bien plus accueillant.
Le Marquis d’Evans choisit ses mots avec soin, Il sait que Vanessa n’a pas encore accepté toute sa condition et Il veut lui faire ressentir sa condition d’objet. Il vise juste, puisque la jeune femme se sent vexée de n’être jugée que pour sa bouche.
- Elle est vraiment inutile pour le moment, annonce le commandant en la retirant, la menant par les cheveux à reprendre sa place, à genoux à côté de son Maître.
- Oui, souhaitez-vous que je fasse venir une VE-RI-TA-BLE soumise, demande le Noble, insistant longuement sur le mot syllabe par syllabe, pour rabaisser Vanessa.
- Non, cela ira, merci Edouard.
Ils terminent tranquillement le repas, reprenant leurs conversations diverses, ignorant totalement la jeune femme qui bouillonne à côté de son Maître. Vanessa est frustrée, elle se promet de tout faire pour se perfectionner dans chaque domaine qui plaira à son Maître. Elle ne supporte pas l’échec et refuse qu’elle puisse ne pas exceller dans un domaine quelconque. Plongée dans ces pensées, elle ne voit pas le repas toucher à sa fin.
- Bien, nous prendrons le thé dans mon salon privé, cela vous convient-il ? interroge le Noble tout en se levant.
- C’est parfait cher Edouard, je vous suis, répond le commandant en faisant de même.
A ces mots, la jeune femme se rappelle les mots du Majordome :
« Monsieur le Marquis dévoilera ton visage dans son salon privé au moment du thé après le repas. Cependant, Il souhaite te laisser une dernière chance de renoncer à ta condition, si tu ne souhaites pas être dévoilée, il te suffira de ne pas Le suivre lorsqu’Il quittera la table ».
Elle réfléchit à toute vitesse, accepter l’humiliation de se dévoiler à son ami, ou renoncer à tout. Son Maître fait un premier pas, elle n’a pas le temps de réfléchir, sa décision doit être prise immédiatement, et elle sera irréversible. Elle respire un grand coup et comme si elle avait déconnecté son esprit, elle se met à suivre docilement son Maître, avec une énorme boule au ventre, craignant les évènements à venir…
(A suivre…)
Le Noble Châtelain se lève pour accueillir son ami et d’une voix enjouée :
- Ah très cher, soyez le bienvenu, je ne Vous attendais plus !
- Merci Edouard, oui je suis désolé de vous avoir fait attendre, le travail m’a retenu, mais merci de m’avoir envoyé votre chauffeur, répond l’homme.
Vanessa reconnait immédiatement la voix de son Commandant et son cœur se met à battre très fort d’appréhension et de surprise à savoir la présence de son chef de corps aux côtés de son Maître. Elle comprend soudain pourquoi son Maître a souhaité lui laisser le choix de se dévoiler ou non. Elle commence à appréhender la soirée, l’idée qu’il puisse enfin découvrir sa véritable nature la stresse, et l’espace d’un instant elle envisage la possibilité que lui offre son Maître de reprendre sa liberté. Mais Il lui en a trop fait découvert, Il lui a mît l’eau à la bouche, et elle a soif d’en découvrir d’avantage, elle ne peut quitter sa condition. Elle savait qu’ils étaient amis, son Maître ne l’ayant jamais caché à ses yeux, elle savait donc que son commandant devrait la découvrir ainsi, cela devait arriver un jour, et finalement plus vite ce sera fait, plus vite elle cessera de craindre sa réaction.
- Voyons c’est tout naturel, mais vous semblez contrarié, rien de grave j’espère.
- Je ne pense pas, je n’arrive simplement pas à joindre une personne de mon équipe et c’est quelqu’un qui reste toujours joignable donc je m’inquiète un peu.
- Ah, même en repos vos hommes doivent être joignables ? interroge le Noble, tout en lui désignant le fauteuil face au sien.
- Ce n’est pas une obligation, mais parfois j’ai besoin de certaines personnes qui ont des qualifications particulières, répond-t-il tout en s’asseyant.
- Et cet homme possède quelle qualification ?
- Cette femme reprend le commandant, celle d’enquêteur post-incendie.
- Je comprends mieux votre inquiétude, dit le Marquis d’un sourire entendu.
- Non, non, c’est simplement une amie, se défend le commandant, et une excellente professionnelle en tant que soldat du feu - Voyons Laurent, vous pouvez faire illusion au sein de votre équipe, mais pas avec moi, on se connait trop pour cela. Et pourquoi aviez-vous besoin d’elle ?
- Un incendie avec une cause qui nous semble suspecte, la police nous a demandé d’enquêter.
- Et vous n’avez pas d’autres enquêteurs ?
- Cette qualification est assez récente en France, on est formés directement par les canadiens. Nous sommes donc peu à l’avoir. Je l’ai également cette qualification et donc voilà la cause de mon retard, j’ai dû faire les premières constatations et les premiers prélèvements afin qu’elle puisse continuer le travail dès son retour.
- Eh bien, ce travail semble bien long vu votre retard.
- J’ai pris le temps de passer chez elle pour m’assurer qu’elle n’avait pas un problème, avoue le commandant en rougissant tel un adolescent surpris à embrasser son premier amour.
- Et ? questionne amusé le Marquis d’Evans.
- Son voisin m’a dit qu’elle était partie en weekend.
- Vous voilà donc rassuré.
- Qu’en partie, elle n’a pas emmené son chien, et elle ne part jamais sans lui, donc j’espère qu’elle répondra à mes messages - Je suis certain que vous aurez de ses nouvelles avant la fin de la soirée et même certainement plus tôt que vous ne le pensez, s’exclame d’un air malicieux le Châtelain.
- Je l’espère, je l’espère répond le commandant n’ayant pas saisi l’allusion de son ami.
Vanessa est gênée d’entendre cette conversation à l’insu de son commandant, elle s’en veut également de ne pas avoir pensé qu’il pourrait avoir besoin d’elle et de ne pas l’avoir prévenu de son absence afin qu’il ne s’inquiète pas. Et malgré le fait qu’elle craigne sa réaction, elle se surprend à désirer voir la fin de la soirée arriver afin de le rassurer… Après quelques paroles anodines, on frappe à la porte, et sur ordre du Maître des lieux, une jeune femme portant un collier au cou mais entièrement nue entre un plateau à la main. Alors que les deux hommes continuent leur conversation sans prêter attention ni à Vanessa, ni à la jeune femme qui vient d’entrer, cette dernière s’agenouille devant la table basse pour déposer des amuse-gueules et deux verres ainsi qu’une bouteille d’un scotch ancien. Elle remplit les deux verres d’alcool en y mettant deux glaçons, les tend à chacun des deux amis qui les prennent sans un regard pour la jeune serveuse, puis elle se retire baissant la tête. Les deux hommes continuent leur causerie, parlant de divers sujets auxquels Vanessa ne prête pas attention. Elle attend espérant avec une certaine impatience le moment où ils daigneront enfin s’occuper d’elle. Mais le temps s’écoule et aucune parole, aucun geste, aucune allusion la concernant ne vient troubler la conversation amicale des deux hommes. C’est la pendule de la pièce sonnant 19h qui interrompt soudain la discussion.
- L’heure du repas arrive, si vous le voulez bien, je vous propose de rejoindre la salle à manger, dit le Noble en se levant.
- Volontiers, je vous suis, cher ami, répond le commandant qui se lève également.
Le Marquis claque des doigts et Vanessa se place sans attendre à ses côtés, prête à Le suivre sans laisse comme Il l’a exigé. Ils arpentent les couloirs du Château, continuant de discuter et continuant d’ignorer la jeune femme qui pourtant s’applique de son mieux à onduler du bassin telle une panthère, pour contenter son Maître. Cette ignorance la frustre au plus haut point, elle veut à tout prix, prouver à son Maître qu’elle est digne de Lui appartenir, mais comment faire s’Il ne la regarde pas. Ce que Vanessa ignore c’est que cela fait partie de son éducation, elle doit accepter de n’être rien, d’être insignifiante, et Le Marquis sait que sur ce point elle n’est pas encore prête. Il a décelé l’orgueil qui anime la jeune femme, cette volonté de toujours plaire, de se montrer toujours la meilleure, elle l’a certainement développée face aux hommes de sa caserne, mais il est temps qu’elle apprenne qu’en ces lieux l’orgueil n’a pas sa place, et Il compte bien sur cette soirée pour commencer à le lui inculquer. Ils arrivent dans la salle du Château où sont servis les repas, et prennent place à table, Le Marquis au bout et son ami à sa droite. Le repas se déroule lentement, au grès des conversations des deux hommes. Les plats sont servis par des soumises dénudées du Noble, et les deux hommes ne se gênent pas pour leur faire subir toutes sortes d’attouchements. Ainsi Vanessa entend des fessiers claquer sous les mains fermes des deux amis, des langues lécher des doigts qu’ils leurs présentent, des gémissements sous des introductions diverses et variées, mais aucun geste ne lui est dédié. Et elle commence à sentir la jalousie l’envahir, elle ne comprend pas que son Maître ait souhaité sa présence pour ce début de soirée si c’était pour l’ignorer tout du long. Elle sait que son corps désirable ne laisse pas les hommes indifférents, et elle ne comprend pas pourquoi le Commandant et Le Noble y résistent sans aucun effort. La fin du repas approche et le dessert est servi.
- Edouard, vous savez comme j’apprécie le plaisir de la chair avec le plaisir gustatif, et la vue de ce magnifique dessert me donne envie d’user de la bouche de votre chienne, ose demander le commandant, habitué à user des soumises de son ami, en désignant Vanessa.
- Hum…le plaisir que vous en retireriez serait minime, elle ne sait absolument pas se servir de cet orifice.
- Vous m’étonnez, ce n’est pas dans votre habitude de choisir des soumises incomplètes, pourquoi l’avoir prît sous votre joug ?
- Disons qu’elle est encore à l’essai, elle n’est pas encore digne de faire partit de Mon cheptel. Mais je compte lui laisser un délai supplémentaire pour lui permettre de travailler ses lacunes. D’ailleurs je comptais sur vous pour ce dernier point.
A ces mots la jeune femme sent sa frustration s’accroitre, elle sait qu’elle ne connait rien de l’art de la fellation, mais entendre son Maître la juger indigne de lui appartenir, après ce qu’elle a prouvé aujourd’hui, elle a envie de lui crier de la tester d’avantage, de lui faire subir toutes les humiliations qu’Il désirera, afin qu’elle puisse lui montrer sa valeur.
- Vous comptez sur moi ? interroge étonné le commandant.
- Oui, rappelez-vous, vous aviez très bien su éduquer mon soumis à cet art.
- Oui en effet, mais c’était un mâle, avec les femelles c’est bien plus compliqué, elles comprennent beaucoup moins bien ce que peut attendre un Maître de leur bouche.
- Mais vous pourriez essayer ?
- Hum…puis-je la tester, pour juger le travail nécessaire ?
- Mais je vous en prie, j’allais justement vous le proposer.
- Parfait, alors debout, ordonne le commandant se tournant vers Vanessa.
Cet ordre l’a sort de ses pensées négatives, et sa frustration laisse place à une excitation montante. Sans attendre elle obéit, se tenant droite face à lui, les mains dans le dos, le regard fixé au sol. Il passe son index sur ses lèvres entrouvertes, puis lui ouvre la bouche qu’il inspecte comme on le ferait d’un cheval. La jeune femme sent de nouveau son orgueil s’étouffer, mais elle résiste à toutes réactions. Le Noble regarde la scène amusé, Il voit que la jeune femme lutte contre son caractère et cet instinct de se rebeller, Il sent toute la frustration qui l’habite, et Il est ravi de constater que malgré tout, elle résiste. Le commandant abandonne enfin son inspection pour enfoncer deux de ses doigts dans les chairs intimes de la jeune femme. Il découvre avec satisfaction son sexe accueillant et humide à souhait. Il la fouille un court instant, faisant monter le plaisir de la jeune femme.
- Mais elle est en chaleur, fait-il remarqué amusé à son ami en retirant ses doigts trempés.
- Effectivement, un appétit insatiable car elle a pourtant joui une bonne partie de l’après-midi.
- A genoux, ordonne le commandant à la jeune femme.
A peine Vanessa a-t-elle prit la pose qu’il lui enfonce ses doigts souillés dans la bouche.
- Lèche, nettoie ta mouille, et montre-moi ce que ta langue peut faire.
Vanessa sent l’humiliation l’envahir, le fait que son commandant, son ami, la traite ainsi comme une catin est un véritable supplice pour elle, et elle parvient difficilement à l’accepter. Mais elle prend sur elle pour ne pas décevoir son Maître et s’applique du mieux qu’elle peut pour lécher et sucer les doigts qu’il lui présente.
- Je comprends votre déception très cher, de si jolies lèvres aussi inutiles c’est frustrant pour tout Maître, annonce le commandant.
Disant ceci, il prend Vanessa par les cheveux pour la faire passer entre ses cuisses, puis sans lui adresser la parole il appuie sur sa tête pour enfoncer son sexe dans sa bouche. Puis la relâche pour la laisser seule se débrouiller. La jeune femme tente tant bien que mal de lui prodiguer une fellation agréable, mais son inexpérience lui fait cruellement défaut.
- Vous voyez le problème, alors pensez-vous pouvoir dresser cette bouche ?
- Je ne veux pas vous promettre l’impossible, mais je veux bien vous promettre d’essayer. Même s’il ne faut pas se le cacher, la tâche sera longue et compliquée.
- C’est parfait, je connais vos compétences dans ce domaine, je sais que vous saurez faire de cet orifice un écrin bien plus accueillant.
Le Marquis d’Evans choisit ses mots avec soin, Il sait que Vanessa n’a pas encore accepté toute sa condition et Il veut lui faire ressentir sa condition d’objet. Il vise juste, puisque la jeune femme se sent vexée de n’être jugée que pour sa bouche.
- Elle est vraiment inutile pour le moment, annonce le commandant en la retirant, la menant par les cheveux à reprendre sa place, à genoux à côté de son Maître.
- Oui, souhaitez-vous que je fasse venir une VE-RI-TA-BLE soumise, demande le Noble, insistant longuement sur le mot syllabe par syllabe, pour rabaisser Vanessa.
- Non, cela ira, merci Edouard.
Ils terminent tranquillement le repas, reprenant leurs conversations diverses, ignorant totalement la jeune femme qui bouillonne à côté de son Maître. Vanessa est frustrée, elle se promet de tout faire pour se perfectionner dans chaque domaine qui plaira à son Maître. Elle ne supporte pas l’échec et refuse qu’elle puisse ne pas exceller dans un domaine quelconque. Plongée dans ces pensées, elle ne voit pas le repas toucher à sa fin.
- Bien, nous prendrons le thé dans mon salon privé, cela vous convient-il ? interroge le Noble tout en se levant.
- C’est parfait cher Edouard, je vous suis, répond le commandant en faisant de même.
A ces mots, la jeune femme se rappelle les mots du Majordome :
« Monsieur le Marquis dévoilera ton visage dans son salon privé au moment du thé après le repas. Cependant, Il souhaite te laisser une dernière chance de renoncer à ta condition, si tu ne souhaites pas être dévoilée, il te suffira de ne pas Le suivre lorsqu’Il quittera la table ».
Elle réfléchit à toute vitesse, accepter l’humiliation de se dévoiler à son ami, ou renoncer à tout. Son Maître fait un premier pas, elle n’a pas le temps de réfléchir, sa décision doit être prise immédiatement, et elle sera irréversible. Elle respire un grand coup et comme si elle avait déconnecté son esprit, elle se met à suivre docilement son Maître, avec une énorme boule au ventre, craignant les évènements à venir…
(A suivre…)
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