Vanessa au Château
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vanessa au Château
Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°445) -
La nuit se termine, l’aube pointe à l’horizon, et le commandant à demi éveillé entend le chant du coq de la maison voisine. Il ouvre les yeux et trouve Vanessa blottie contre lui dormant paisiblement, il n’a pas l’habitude de se réveiller auprès d’une femme, les soumises qu’il reçoit dorment sur une couverture à même le sol, et il apprécie d’autant plus ce moment que c’est auprès d’elle. Il repense à la soirée d’hier, à sa surprise de la découvrir soumise, elle qui est capable de commander sans difficulté des équipes d’hommes, qu’il pensait si dominante. Il réalise qu’elle obéit aussi bien aux ordres qu’elle sait les donner, mais elle n’obéit qu’à ceux qu’elle juge compétents dans leur fonction de chef, et finalement plus il y pense, plus sa soumission lui parait naturelle, il lui fallait simplement trouver un Maître digne de ce nom, et sans nul doute elle l’a trouvé en la personne de Monsieur le Marquis d’Evans. Le commandant prend son Smartphone et met en route le système de vidéosurveillance de sa maison. Il sélectionne le partage et envoi un SMS à son ami : « Cher Edouard, l’éducation de votre soumise va bientôt commencer, vous avez accès à la vidéo. Mes amitiés et respect ». Il caresse tendrement la joue gauche de Vanessa pour la réveiller, elle ouvre les yeux et lui sourit.
- Tu as bien dormi ? lui demande-t-il d’une voix amicale.
- Oui, très bien, merci.
- Bien, alors tu es en forme pour la suite de la journée, affirme-t-il.
Vanessa ne répond pas et baisse les yeux, elle a bien conscience que l’ami va faire place à l’éducateur, et elle espère ne pas le décevoir et être à la hauteur des espérances de son Maître. Sans un mot il lui tend son collier, Vanessa se redresse, s’agenouille sur le lit à côté de lui, prend son collier et le passe doucement à son cou.
- Bien, tu sais ce que tu es aujourd’hui ? interroge le commandant.
- Oui Monsieur.
- Quoi donc ?
- Une soumise en formation, Monsieur.
- Non, un trou, simplement un trou, une bouche complètement inutile que je dois entraîner à servir à quelque chose. Et vu l’ampleur de la tâche ce n’est pas une mince affaire. En attendant que cette bouche soit réellement efficace, tu n’as pas le droit au nom de soumise, c’est réservé à celles qui savent satisfaire leur Maître par tous leurs orifices. Tu as bien compris ? dit-il sèchement.
Le commandant a changé de ton, Vanessa ressent une profonde autorité qu’elle confond avec du mépris dans sa voix, ce qui la fait ‘’fumer’ intérieurement, elle accepte difficilement d’être rabaissée de la sorte, elle a envie de se rebeller, sa mâchoire se sert et il s’en aperçoit. Il a l’avantage de la connaitre, il connait son orgueil, il sait que s’il veut aller chercher en elle le meilleur de la soumise il va devoir lui faire renoncer à cette fierté mal placée.
- Tu as bien compris ? Je veux t’entendre dire que tu n’es qu’un trou inutile, lui ordonne-t-il comme pour couper court à la rébellion qui monte en elle.
Vanessa prend une grande inspiration, desserre sa mâchoire et ouvre la bouche.
- Je … Je suis un trou inutile, répète-t-elle quasiment machinalement en ravalant son orgueil.
- Bien, bien, maintenant que c’est acté, nous allons pouvoir travailler tout ça, va lécher, lui ordonne-t-il en retirant la couette qui le couvrait.
Vanessa se met à quatre pattes et approche sa bouche du sexe de son éducateur du jour. Mais avant même qu’elle ne puisse y poser ses lèvres, elle sent la morsure d’une cravache s’abattre avec force sur son fessier. Elle ne peut retenir un cri de surprise et se redresse instantanément.
- Mon sexe est réservé aux bouches expérimentées, tu ne penses pas en être digne j’espère ? interroge-t-il dédaigneux.
- Non, Monsieur, répond Vanessa qui ne comprend pas ce qu’il attend d’elle.
- Ta bouche va servir toute la journée, elle va sucer et lécher des tas de choses, mais certainement pas mon chibre. Va lécher mes pieds, termine-t-il simplement.
Vanessa a un moment d’hésitation, elle est choquée par sa demande, elle sent en elle la rébellion revenir, la même qu’elle avait libérée lorsque Walter, le fidèle Majordome de son Maître, lui avait demandé d’uriner au pied du vieux chêne. Soudain, le souvenir de cette rébellion revient à elle, le souvenir de la déception de son Maître, et de la sévère sanction qui a suivi. Elle prend conscience qu’elle est loin de se soumettre naturellement, et qu’elle doit apprendre à obéir sans réfléchir. Alors, prenant sur elle, elle se dirige vers les pieds de son chef, pour commencer à lécher doucement les orteils. Elle passe d’un orteil à l’autre sans vraiment de conviction, elle se sent complètement ridicule et ne sait pas comment s’y prendre.
- Suffit ! ordonne-t-il d’un ton fâché. Lève-toi et va ouvrir le placard devant toi, continue-t-il en lui tendant une lourde clé.
Vanessa se saisit de l’objet, elle se lève, s’avance vers le placard et l’ouvre à l’aide de la clé, pour y découvrir une multitude d’objets à connotation D/s.
- Sur la deuxième étagère, le martinet avec le manche rouge, ramène le moi.
La jeune femme se saisit de l’objet par le manche de bois rouge, il est muni de longues lanières de cuir noir qui la font frémir. Arrivée devant son commandant, elle lui tend l’objet qu’il saisit de la main droite.
- Allez reprend ta place et recommence mieux que ça, si je ne sens pas ta motivation, ces lanières vont se charger de te réveiller.
Vanessa se place de nouveau à quatre pattes sur le lit, à ses pieds, puis doucement vient de sa langue effleurer ses pieds.
- Mieux que ça, prends les en bouche, suce les, montre-moi ton envie.
A chacun de ses ordres elle tente de s’appliquer au mieux, elle suce chacun de ses orteils, passe sa langue entre chaque, y met plus d’entrain. Satisfait, le commandant la laisse continuer en prenant un livre sur sa table de chevet, et commence sa lecture. Après plus d’une heure de ce traitement, alors que sa mâchoire commence à devenir douloureuse et voyant qu’elle ne parvient pas à capter son attention, l’entrain de Vanessa commence à baisser. Et soudain, pour lui rappeler son rôle, sans un mot, le commandant abat sur son dos et ses fesses les lanières cinglantes du martinet, sans quitter son livre des yeux. Elle n’attend pas le deuxième coup et reprend immédiatement un meilleur rythme, allant et venant d’un pied à l’autre, léchant entre les orteils, les suçant, les entourant délicatement de sa langue. Malgré l’ennui de la tâche qui lui est affectée, elle se concentre pour rester active. Satisfait de cette première approche, sans dire un mot il se lève, la laissant seule à genoux sur le lit.
- Tu vas me suivre toute la journée, tu te lèveras pour me suivre, et à chaque pause, tu te mettras à genoux en position d’attente, à moins que je ne te donne une tâche spécifique à effectuer.
Sans dire un mot la jeune femme se lève et s’agenouille à ses côtés, tête baissée, mains dans le dos. Le commandant a envie de la caresser tendrement, mais il sait qu’il est loin d’avoir cassé la fierté qui est en elle. Il se dirige vers la salle de bain, suivit de Vanessa, là il sort d’un placard un large gode, un superbe sexe en latex muni d’une ventouse qu’il colle au carrelage du mur devant la jeune femme.
- Je vais prendre ma douche, toi tu as un nouvel objet pour occuper ta bouche, tâche de bien le lustrer. A chaque fois que je noterai un manque d’entrain je comptabiliserai un coup de martinet que tu recevras à la sortie de ma douche.
Disant ceci, il passe la porte de la cabine de douche, laissant la jeune femme devant le gode à ventouse. Une nouvelle fois elle se sent ridicule de devoir mettre de l’entrain à lécher un objet. Mais Vanessa lui fait confiance et elle est persuadée que tout ce qu’il lui demande lui permettra de se rapprocher de la soumise que son Maître désire faire d’elle, aussi sans plus attendre, elle prend en bouche le sexe fictif comme s’il s’agissait d’un vrai. Elle se sent ridicule et gauche mais souhaite avant tout prouver qu’elle est digne d’être soumise à Monsieur le Marquis d’Evans, aussi elle lèche, suce, enfonce profondément le sexe fictif fixé au mur. Le commandant l’observe attentivement, Vanessa y met certes de l’entrain mais sa technique est véritablement déplorable, il prend conscience du travail colossale qui l’attend pour qu’elle maitrise l’art de la fellation. Il sort de la douche, se sèche et se place derrière Vanessa, puis d’une main appuyée sur le derrière de son crâne il la force à prendre plus profond le sexe de latex en bouche. Elle manque de s’étouffer mais se laisse faire offerte au bon vouloir de son chef.
- C’est comme ça que ta bouche doit être, toujours remplie. Bien, relève-toi et suis-moi dit-il en récupérant le gode fixé au mur.
Sans attendre la jeune femme suit docilement le commandant jusqu’au salon, là il s’installe dans son fauteuil et d’un claquement de doigt lui fait signe de venir entre ses jambes. Elle obtempère, mais au moment de s’agenouiller, il lui retient le bras pour qu’elle reste debout. Sans chercher à comprendre, elle se stoppe et attend les mains dans le dos.
- Hum, j’ai une très jolie vue, remarque-t-il tout en effleurant le sexe de Vanessa.
Le machisme de l’intonation de sa voix fait monter en elle sa colère, elle s’aperçoit qu’elle supporte mal de s’exhiber ainsi devant son ami et qu’il sera difficile pour elle d’obéir à d’autres que son Maître, Le Marquis d’Evans. Plongée dans ses réflexions, elle est soudain ramenée à la réalité par la morsure de pinces sur ses lèvres intimes. Puis sans dire un mot, il fixe un boitier relié à ces pinces par une bande velcro autour de sa jambe et pose le sexe fictif sur le fauteuil entre ses jambes.
- Agenouille-toi. Ton sexe est relié à un boitier électrique que je commande à l’aide d’une télécommande. Si tu t’appliques, il ne se déclenchera pas, par contre, si je suis déçu de ta prestation, tu recevras des impulsions électriques de plus en plus fortes. As-tu bien compris ?
A genoux entre les jambes de son commandant, sans dire un mot, Vanessa hoche la tête, résignée. Elle comprend par le claquement de doigts qui suit qu’elle doit prendre en bouche le sexe de latex qu’il a placé entre ses jambes. Elle s’exécute et s’applique à faire de son mieux, mais il réalise très vite qu’il va devoir la diriger pour qu’elle comprenne ce qu’un Dominant attend d’une bouche comme la sienne.
- Va plus profond, utilise ta langue, plus rapide, serre plus tes lèvres, salive plus…
Les consignes s’enchaînent et elle tente de réagir vite, bien consciente de ce qui est relié à son sexe et peu désireuse de découvrir si vite la douleur que peut procurer un tel instrument. Satisfait il la laisse continuer et prend sa tablette pour traiter ses courriers électroniques. La jeune femme s’applique, mais encore une fois elle perd de son entrain lorsque son chef ne s’occupe plus d’elle, la sanction ne se fait pas attendre, Vanessa ressent soudain un violent picotement s’emparer de ses lèvres intimes alors qu’il appuie sur sa nuque pour enfoncer le gode au plus profond de sa gorge, étouffant le cri de douleur qu’elle ne peut contrôler. Il la relâche et elle se ressaisit pour s’appliquer à la tâche qui lui a été confiée. Le commandant découvre un mail de son cher ami sur sa tablette.
« Très cher, je vois que vous avez pris la liberté de vous endormir aux côtés de la femme, vous m’en voyez ravi. N’hésitez pas à garder la femme à vos côtés après cette journée, elle sera libre durant deux jours pour lui laisser le temps de se remettre de ses émotions. Je vous réitère mes remerciements pour prendre le temps d’éduquer cette bouche qui sera sans aucun doute divine une fois passée entre vos mains. Recevez toutes mes amitiés, votre vieil ami, Le Marquis d’Evans »
Il pose sa tablette, et réfléchit un instant regardant Vanessa s’appliquer sur le sexe de latex. Il connait ses capacités à apprendre rapidement et à s’adapter à des situations nouvelles, il veut faire en sorte de la transformer rapidement pour satisfaire son ami au plus vite et décide de ne pas la ménager pour le reste de la journée. Il se lève et se dirige vers la cuisine, sans un mot Vanessa le suit avant de s’agenouiller devant le plan de travail où il s’est arrêté. Sans s’occuper d’elle, il prépare son petit-déjeuner, il pose un bol au sol devant elle et va s’asseoir à la table avec son plateau.
- Prends donc des forces, tu vas en avoir besoin et c’est le seul repas que tu auras avant ce soir.
Vanessa se sent humiliée car obtenir un petit-déjeuner de cette façon de la cuisinière de son Maître ne l’avait pas choquée, mais de son ami et chef, la situation est difficile à accepter, mais elle comprend que cela fait partie de son initiation et que c’est un effort à faire si elle veut devenir une meilleure soumise. Elle se met donc à quatre pattes et commence à laper le bol de lait rempli de céréales. Le commandant la regarde satisfait, il voit tous les efforts qu’elle fait pour retenir sa rébellion et faire ce qui lui est ordonné et les doutes qu’il avait de pouvoir rendre sa bouche plus accueillante commence à s’estomper. Son repas terminé, il se lève, ramasse le bol que Vanessa a laissé vide au sol, puis tout en caressant sa croupe lui désigne la table.
- Vas te mettre à quatre pattes sur la table.
La jeune femme obéit sans trop savoir ce qui l’attend et se place à quatre pattes sur la table. Il s’approche avec plusieurs godes et plugs qu’il pose devant son visage. Au vu de la taille de certains d’entre eux, la jeune femme frémit.
- Bien, nous allons travailler cette bouche. Tous ces objets vont remplir tes trous, sans aucun gel, mais comme je suis bon, je vais t’autoriser à les lubrifier avant. Je te rappelle que si je ne suis pas satisfait je déclencherai de nouveau les décharges électriques.
Dans un silence pesant il prend un premier gode plutôt fin et lui enfonce dans la bouche. Sans attendre Vanessa suce, lèche, salive pour lubrifier au maximum l’objet. Puis après quelque seconde, il retire l’objet et va l’enfoncer sans ménagement dans le sexe de la jeune femme. L’objet glisse avec une facilité déconcertante, et le commandant s’aperçoit qu’elle est trempée d’excitation.
- Mais tu es trempée chienne, dit-il d’un ton méprisant. Tu prends donc du plaisir à n’être qu’un trou. Ton Maître ne s’est pas trompé, tu es faite pour obéir, mais voyons comment ton cul va supporter une intrusion sans lubrification.
Le commandant laisse le gode planté en elle et revient devant elle pour se saisir d’un plug d’une grande taille. Il le frotte sur son visage puis lui enfonce dans la gorge.
- Tu as le droit à 3 allers-retours, après il va remplir ton cul de chienne en chaleur.
La jeune femme tente de saliver au maximum, mais le temps lui manque, et c’est dans un cri déchirant qu’elle reçoit l’objet dans son fondement. La réponse ne se fait pas attendre, ses lèvres intimes sont réveillées par les picotements des impulsions électriques pour lui rappeler de faire silence. Vanessa serre les dents pour supporter la douleur de son anus pénétré à sec et de ses lèvres meurtries par la morsure de l’électricité.
- Ne bouge pas, ordonne-t-il avant de se retirer.
La jeune femme reste en place telle une statue de marbre des temps anciens, peu certaine de ce qui l’attend, elle se sent humiliée, la femme en elle se réveille et laisse monter sa colère, mais elle souhaite avant tout se montrer la meilleure élève possible et enferme sa rage au fond d’elle-même …
(A suivre…)
La nuit se termine, l’aube pointe à l’horizon, et le commandant à demi éveillé entend le chant du coq de la maison voisine. Il ouvre les yeux et trouve Vanessa blottie contre lui dormant paisiblement, il n’a pas l’habitude de se réveiller auprès d’une femme, les soumises qu’il reçoit dorment sur une couverture à même le sol, et il apprécie d’autant plus ce moment que c’est auprès d’elle. Il repense à la soirée d’hier, à sa surprise de la découvrir soumise, elle qui est capable de commander sans difficulté des équipes d’hommes, qu’il pensait si dominante. Il réalise qu’elle obéit aussi bien aux ordres qu’elle sait les donner, mais elle n’obéit qu’à ceux qu’elle juge compétents dans leur fonction de chef, et finalement plus il y pense, plus sa soumission lui parait naturelle, il lui fallait simplement trouver un Maître digne de ce nom, et sans nul doute elle l’a trouvé en la personne de Monsieur le Marquis d’Evans. Le commandant prend son Smartphone et met en route le système de vidéosurveillance de sa maison. Il sélectionne le partage et envoi un SMS à son ami : « Cher Edouard, l’éducation de votre soumise va bientôt commencer, vous avez accès à la vidéo. Mes amitiés et respect ». Il caresse tendrement la joue gauche de Vanessa pour la réveiller, elle ouvre les yeux et lui sourit.
- Tu as bien dormi ? lui demande-t-il d’une voix amicale.
- Oui, très bien, merci.
- Bien, alors tu es en forme pour la suite de la journée, affirme-t-il.
Vanessa ne répond pas et baisse les yeux, elle a bien conscience que l’ami va faire place à l’éducateur, et elle espère ne pas le décevoir et être à la hauteur des espérances de son Maître. Sans un mot il lui tend son collier, Vanessa se redresse, s’agenouille sur le lit à côté de lui, prend son collier et le passe doucement à son cou.
- Bien, tu sais ce que tu es aujourd’hui ? interroge le commandant.
- Oui Monsieur.
- Quoi donc ?
- Une soumise en formation, Monsieur.
- Non, un trou, simplement un trou, une bouche complètement inutile que je dois entraîner à servir à quelque chose. Et vu l’ampleur de la tâche ce n’est pas une mince affaire. En attendant que cette bouche soit réellement efficace, tu n’as pas le droit au nom de soumise, c’est réservé à celles qui savent satisfaire leur Maître par tous leurs orifices. Tu as bien compris ? dit-il sèchement.
Le commandant a changé de ton, Vanessa ressent une profonde autorité qu’elle confond avec du mépris dans sa voix, ce qui la fait ‘’fumer’ intérieurement, elle accepte difficilement d’être rabaissée de la sorte, elle a envie de se rebeller, sa mâchoire se sert et il s’en aperçoit. Il a l’avantage de la connaitre, il connait son orgueil, il sait que s’il veut aller chercher en elle le meilleur de la soumise il va devoir lui faire renoncer à cette fierté mal placée.
- Tu as bien compris ? Je veux t’entendre dire que tu n’es qu’un trou inutile, lui ordonne-t-il comme pour couper court à la rébellion qui monte en elle.
Vanessa prend une grande inspiration, desserre sa mâchoire et ouvre la bouche.
- Je … Je suis un trou inutile, répète-t-elle quasiment machinalement en ravalant son orgueil.
- Bien, bien, maintenant que c’est acté, nous allons pouvoir travailler tout ça, va lécher, lui ordonne-t-il en retirant la couette qui le couvrait.
Vanessa se met à quatre pattes et approche sa bouche du sexe de son éducateur du jour. Mais avant même qu’elle ne puisse y poser ses lèvres, elle sent la morsure d’une cravache s’abattre avec force sur son fessier. Elle ne peut retenir un cri de surprise et se redresse instantanément.
- Mon sexe est réservé aux bouches expérimentées, tu ne penses pas en être digne j’espère ? interroge-t-il dédaigneux.
- Non, Monsieur, répond Vanessa qui ne comprend pas ce qu’il attend d’elle.
- Ta bouche va servir toute la journée, elle va sucer et lécher des tas de choses, mais certainement pas mon chibre. Va lécher mes pieds, termine-t-il simplement.
Vanessa a un moment d’hésitation, elle est choquée par sa demande, elle sent en elle la rébellion revenir, la même qu’elle avait libérée lorsque Walter, le fidèle Majordome de son Maître, lui avait demandé d’uriner au pied du vieux chêne. Soudain, le souvenir de cette rébellion revient à elle, le souvenir de la déception de son Maître, et de la sévère sanction qui a suivi. Elle prend conscience qu’elle est loin de se soumettre naturellement, et qu’elle doit apprendre à obéir sans réfléchir. Alors, prenant sur elle, elle se dirige vers les pieds de son chef, pour commencer à lécher doucement les orteils. Elle passe d’un orteil à l’autre sans vraiment de conviction, elle se sent complètement ridicule et ne sait pas comment s’y prendre.
- Suffit ! ordonne-t-il d’un ton fâché. Lève-toi et va ouvrir le placard devant toi, continue-t-il en lui tendant une lourde clé.
Vanessa se saisit de l’objet, elle se lève, s’avance vers le placard et l’ouvre à l’aide de la clé, pour y découvrir une multitude d’objets à connotation D/s.
- Sur la deuxième étagère, le martinet avec le manche rouge, ramène le moi.
La jeune femme se saisit de l’objet par le manche de bois rouge, il est muni de longues lanières de cuir noir qui la font frémir. Arrivée devant son commandant, elle lui tend l’objet qu’il saisit de la main droite.
- Allez reprend ta place et recommence mieux que ça, si je ne sens pas ta motivation, ces lanières vont se charger de te réveiller.
Vanessa se place de nouveau à quatre pattes sur le lit, à ses pieds, puis doucement vient de sa langue effleurer ses pieds.
- Mieux que ça, prends les en bouche, suce les, montre-moi ton envie.
A chacun de ses ordres elle tente de s’appliquer au mieux, elle suce chacun de ses orteils, passe sa langue entre chaque, y met plus d’entrain. Satisfait, le commandant la laisse continuer en prenant un livre sur sa table de chevet, et commence sa lecture. Après plus d’une heure de ce traitement, alors que sa mâchoire commence à devenir douloureuse et voyant qu’elle ne parvient pas à capter son attention, l’entrain de Vanessa commence à baisser. Et soudain, pour lui rappeler son rôle, sans un mot, le commandant abat sur son dos et ses fesses les lanières cinglantes du martinet, sans quitter son livre des yeux. Elle n’attend pas le deuxième coup et reprend immédiatement un meilleur rythme, allant et venant d’un pied à l’autre, léchant entre les orteils, les suçant, les entourant délicatement de sa langue. Malgré l’ennui de la tâche qui lui est affectée, elle se concentre pour rester active. Satisfait de cette première approche, sans dire un mot il se lève, la laissant seule à genoux sur le lit.
- Tu vas me suivre toute la journée, tu te lèveras pour me suivre, et à chaque pause, tu te mettras à genoux en position d’attente, à moins que je ne te donne une tâche spécifique à effectuer.
Sans dire un mot la jeune femme se lève et s’agenouille à ses côtés, tête baissée, mains dans le dos. Le commandant a envie de la caresser tendrement, mais il sait qu’il est loin d’avoir cassé la fierté qui est en elle. Il se dirige vers la salle de bain, suivit de Vanessa, là il sort d’un placard un large gode, un superbe sexe en latex muni d’une ventouse qu’il colle au carrelage du mur devant la jeune femme.
- Je vais prendre ma douche, toi tu as un nouvel objet pour occuper ta bouche, tâche de bien le lustrer. A chaque fois que je noterai un manque d’entrain je comptabiliserai un coup de martinet que tu recevras à la sortie de ma douche.
Disant ceci, il passe la porte de la cabine de douche, laissant la jeune femme devant le gode à ventouse. Une nouvelle fois elle se sent ridicule de devoir mettre de l’entrain à lécher un objet. Mais Vanessa lui fait confiance et elle est persuadée que tout ce qu’il lui demande lui permettra de se rapprocher de la soumise que son Maître désire faire d’elle, aussi sans plus attendre, elle prend en bouche le sexe fictif comme s’il s’agissait d’un vrai. Elle se sent ridicule et gauche mais souhaite avant tout prouver qu’elle est digne d’être soumise à Monsieur le Marquis d’Evans, aussi elle lèche, suce, enfonce profondément le sexe fictif fixé au mur. Le commandant l’observe attentivement, Vanessa y met certes de l’entrain mais sa technique est véritablement déplorable, il prend conscience du travail colossale qui l’attend pour qu’elle maitrise l’art de la fellation. Il sort de la douche, se sèche et se place derrière Vanessa, puis d’une main appuyée sur le derrière de son crâne il la force à prendre plus profond le sexe de latex en bouche. Elle manque de s’étouffer mais se laisse faire offerte au bon vouloir de son chef.
- C’est comme ça que ta bouche doit être, toujours remplie. Bien, relève-toi et suis-moi dit-il en récupérant le gode fixé au mur.
Sans attendre la jeune femme suit docilement le commandant jusqu’au salon, là il s’installe dans son fauteuil et d’un claquement de doigt lui fait signe de venir entre ses jambes. Elle obtempère, mais au moment de s’agenouiller, il lui retient le bras pour qu’elle reste debout. Sans chercher à comprendre, elle se stoppe et attend les mains dans le dos.
- Hum, j’ai une très jolie vue, remarque-t-il tout en effleurant le sexe de Vanessa.
Le machisme de l’intonation de sa voix fait monter en elle sa colère, elle s’aperçoit qu’elle supporte mal de s’exhiber ainsi devant son ami et qu’il sera difficile pour elle d’obéir à d’autres que son Maître, Le Marquis d’Evans. Plongée dans ses réflexions, elle est soudain ramenée à la réalité par la morsure de pinces sur ses lèvres intimes. Puis sans dire un mot, il fixe un boitier relié à ces pinces par une bande velcro autour de sa jambe et pose le sexe fictif sur le fauteuil entre ses jambes.
- Agenouille-toi. Ton sexe est relié à un boitier électrique que je commande à l’aide d’une télécommande. Si tu t’appliques, il ne se déclenchera pas, par contre, si je suis déçu de ta prestation, tu recevras des impulsions électriques de plus en plus fortes. As-tu bien compris ?
A genoux entre les jambes de son commandant, sans dire un mot, Vanessa hoche la tête, résignée. Elle comprend par le claquement de doigts qui suit qu’elle doit prendre en bouche le sexe de latex qu’il a placé entre ses jambes. Elle s’exécute et s’applique à faire de son mieux, mais il réalise très vite qu’il va devoir la diriger pour qu’elle comprenne ce qu’un Dominant attend d’une bouche comme la sienne.
- Va plus profond, utilise ta langue, plus rapide, serre plus tes lèvres, salive plus…
Les consignes s’enchaînent et elle tente de réagir vite, bien consciente de ce qui est relié à son sexe et peu désireuse de découvrir si vite la douleur que peut procurer un tel instrument. Satisfait il la laisse continuer et prend sa tablette pour traiter ses courriers électroniques. La jeune femme s’applique, mais encore une fois elle perd de son entrain lorsque son chef ne s’occupe plus d’elle, la sanction ne se fait pas attendre, Vanessa ressent soudain un violent picotement s’emparer de ses lèvres intimes alors qu’il appuie sur sa nuque pour enfoncer le gode au plus profond de sa gorge, étouffant le cri de douleur qu’elle ne peut contrôler. Il la relâche et elle se ressaisit pour s’appliquer à la tâche qui lui a été confiée. Le commandant découvre un mail de son cher ami sur sa tablette.
« Très cher, je vois que vous avez pris la liberté de vous endormir aux côtés de la femme, vous m’en voyez ravi. N’hésitez pas à garder la femme à vos côtés après cette journée, elle sera libre durant deux jours pour lui laisser le temps de se remettre de ses émotions. Je vous réitère mes remerciements pour prendre le temps d’éduquer cette bouche qui sera sans aucun doute divine une fois passée entre vos mains. Recevez toutes mes amitiés, votre vieil ami, Le Marquis d’Evans »
Il pose sa tablette, et réfléchit un instant regardant Vanessa s’appliquer sur le sexe de latex. Il connait ses capacités à apprendre rapidement et à s’adapter à des situations nouvelles, il veut faire en sorte de la transformer rapidement pour satisfaire son ami au plus vite et décide de ne pas la ménager pour le reste de la journée. Il se lève et se dirige vers la cuisine, sans un mot Vanessa le suit avant de s’agenouiller devant le plan de travail où il s’est arrêté. Sans s’occuper d’elle, il prépare son petit-déjeuner, il pose un bol au sol devant elle et va s’asseoir à la table avec son plateau.
- Prends donc des forces, tu vas en avoir besoin et c’est le seul repas que tu auras avant ce soir.
Vanessa se sent humiliée car obtenir un petit-déjeuner de cette façon de la cuisinière de son Maître ne l’avait pas choquée, mais de son ami et chef, la situation est difficile à accepter, mais elle comprend que cela fait partie de son initiation et que c’est un effort à faire si elle veut devenir une meilleure soumise. Elle se met donc à quatre pattes et commence à laper le bol de lait rempli de céréales. Le commandant la regarde satisfait, il voit tous les efforts qu’elle fait pour retenir sa rébellion et faire ce qui lui est ordonné et les doutes qu’il avait de pouvoir rendre sa bouche plus accueillante commence à s’estomper. Son repas terminé, il se lève, ramasse le bol que Vanessa a laissé vide au sol, puis tout en caressant sa croupe lui désigne la table.
- Vas te mettre à quatre pattes sur la table.
La jeune femme obéit sans trop savoir ce qui l’attend et se place à quatre pattes sur la table. Il s’approche avec plusieurs godes et plugs qu’il pose devant son visage. Au vu de la taille de certains d’entre eux, la jeune femme frémit.
- Bien, nous allons travailler cette bouche. Tous ces objets vont remplir tes trous, sans aucun gel, mais comme je suis bon, je vais t’autoriser à les lubrifier avant. Je te rappelle que si je ne suis pas satisfait je déclencherai de nouveau les décharges électriques.
Dans un silence pesant il prend un premier gode plutôt fin et lui enfonce dans la bouche. Sans attendre Vanessa suce, lèche, salive pour lubrifier au maximum l’objet. Puis après quelque seconde, il retire l’objet et va l’enfoncer sans ménagement dans le sexe de la jeune femme. L’objet glisse avec une facilité déconcertante, et le commandant s’aperçoit qu’elle est trempée d’excitation.
- Mais tu es trempée chienne, dit-il d’un ton méprisant. Tu prends donc du plaisir à n’être qu’un trou. Ton Maître ne s’est pas trompé, tu es faite pour obéir, mais voyons comment ton cul va supporter une intrusion sans lubrification.
Le commandant laisse le gode planté en elle et revient devant elle pour se saisir d’un plug d’une grande taille. Il le frotte sur son visage puis lui enfonce dans la gorge.
- Tu as le droit à 3 allers-retours, après il va remplir ton cul de chienne en chaleur.
La jeune femme tente de saliver au maximum, mais le temps lui manque, et c’est dans un cri déchirant qu’elle reçoit l’objet dans son fondement. La réponse ne se fait pas attendre, ses lèvres intimes sont réveillées par les picotements des impulsions électriques pour lui rappeler de faire silence. Vanessa serre les dents pour supporter la douleur de son anus pénétré à sec et de ses lèvres meurtries par la morsure de l’électricité.
- Ne bouge pas, ordonne-t-il avant de se retirer.
La jeune femme reste en place telle une statue de marbre des temps anciens, peu certaine de ce qui l’attend, elle se sent humiliée, la femme en elle se réveille et laisse monter sa colère, mais elle souhaite avant tout se montrer la meilleure élève possible et enferme sa rage au fond d’elle-même …
(A suivre…)
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