Variations sodomites sur le thème du fantasme
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 104 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 5.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.3
- • L'ensemble des récits érotiques de QKC ont reçu un total de 1 197 360 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 826 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Variations sodomites sur le thème du fantasme
D'après la rumeur, le parc de Montfleury, la nuit, est le théâtre des amours homosexuelles. Je suis allé m'y promener une nuit, pour me rendre compte par moi-même. J'ai été abordé, sifflé, dragué. Bref, j'ai décidé d'y retourner, préparé.
Pour ceux qui savent chercher, les marchés sont pleins de trouvailles insolites. Depuis mes 17 ans, je donne mon cul à d'autres hommes. Je sais comment les affoler, et dans ce but, je me suis constitué une garde-robe un peu particulière. Il faut dire que ça m'excite moi aussi. Je préfère les hommes doux et attentionnés.
De mon armoire, je sors un slip, une salopette en jean, à la mode dans les années 70. Un tricot de laine fine, couleur vert amande, des chaussettes courtes et des baskets rouges avec des héros de dessins animés.
Je me regarde dans la glace, impeccable. J'aime le sexe avec un autre homme, mais en plus, il me faut une mise en scène. Je passe un imper un peu long, et ainsi vêtu, je me rend sur le lieu de mon futur forfait.
Arrivé dans le parc, une aubaine. Qui n'a pas vu la pochette de l'album de Jethro Tull, Aqualung ? Le sosie du vieil homme passe devant moi. Je cherche un gros arbre et j'enlève mon imper. Je m'assois au pied du tronc et je fais semblant de pleurer à chaudes larmes. Le vieil homme apparaît. Il s'approche de moi et s'assoit lui aussi.
- Pourquoi tu pleures ? dit-il.
Je relève la tête et, me frottant les yeux, je réponds :
- Mes parents se sont battus, alors je me suis enfui de la maison...
La main crochue du vieux s'est posée sur ma cuisse nue. Il disait des paroles de consolation et sa main remontait jusqu'à se glisser sous la salopette. De l'autre bras, il me prit par les épaules et me serra contre lui. Sa main glissa sous mes fesses et m'attira sur ses genoux. Il défit les bretelles de la salopette et glissa sa main dedans. Ses doigts écartèrent le slip et se faufilèrent jusqu'à mes fesses. M'embrassant sur la tête, il défit les boutons sur le côté et tira la salopette vers le bas. Il ouvrit alors sa braguette et sortit sa bite. Il prit ma main et l'enroula autour. Un doigt se glissa dans ma raie et s'introduisit dans mon cul. Il me souleva et tira le slip jusqu'à mes pieds. Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit jaillir mon sexe. Il me pencha sur lui et je pris sa bite entre mes lèvres. Son doigt maintenant me branlait l'anus. Il passa ses mains sous mes aisselles et m'assit sur sa bite, appuyant sur mes épaules pour la rentrer dans mon cul. Quand mes fesses touchèrent ses cuisses, il se saisit de ma bite et commença à me branler. L'autre main passa sous mes fesses et il me fit monter et descendre le long de son membre. Après avoir éjaculé dans mon cul, il s'est levé et a déguerpi.
Je n'étais pas rassasié. J'ai remis mes habits et j'ai fais semblant d'être perdu. Un exhibitionniste m'a abordé et a ouvert son manteau. Je me suis mis à genoux et l'ai sucé. Il a protesté un court instant et puis s'est laissé faire. J'ai baissé ma salopette, les bretelles glissant sur les épaules. Il n'a pas eu le cran de m'enculer, mais il s'est branlé et a craché son sperme sur mes fesses.
Mon troisième coup du jour, m'a emmené chez lui. Il m'a dit de me déshabiller en entier.
- Tiens, mets ça !
Il me tendit une culotte blanche en nylon, des bas de la même couleur et une minijupe rouge. Après avoir passé ces vêtements, nous sommes retournés au parc. Il m'a tourné vers lui et m'a flanqué une gifle. Je me suis mis à pleurer. Il m'a pris par les épaules et m'a poussé contre un arbre. Soulevant la minijupe, il a arraché la culotte.
- Non ! criais-je.
- Ah ouais ! Tu donnes ton cul à mon père et moi j'y ai pas droit !
Il retire la ceinture de son pantalon et m'en cingle plusieurs fois les fesses. Je crie.
Il ouvre sa braguette et sors sa queue. Il met ses mains sur mes hanches et m'encule.
Il va de soi que nous avions mis cette scène au point avant de partir.
Pour ceux qui savent chercher, les marchés sont pleins de trouvailles insolites. Depuis mes 17 ans, je donne mon cul à d'autres hommes. Je sais comment les affoler, et dans ce but, je me suis constitué une garde-robe un peu particulière. Il faut dire que ça m'excite moi aussi. Je préfère les hommes doux et attentionnés.
De mon armoire, je sors un slip, une salopette en jean, à la mode dans les années 70. Un tricot de laine fine, couleur vert amande, des chaussettes courtes et des baskets rouges avec des héros de dessins animés.
Je me regarde dans la glace, impeccable. J'aime le sexe avec un autre homme, mais en plus, il me faut une mise en scène. Je passe un imper un peu long, et ainsi vêtu, je me rend sur le lieu de mon futur forfait.
Arrivé dans le parc, une aubaine. Qui n'a pas vu la pochette de l'album de Jethro Tull, Aqualung ? Le sosie du vieil homme passe devant moi. Je cherche un gros arbre et j'enlève mon imper. Je m'assois au pied du tronc et je fais semblant de pleurer à chaudes larmes. Le vieil homme apparaît. Il s'approche de moi et s'assoit lui aussi.
- Pourquoi tu pleures ? dit-il.
Je relève la tête et, me frottant les yeux, je réponds :
- Mes parents se sont battus, alors je me suis enfui de la maison...
La main crochue du vieux s'est posée sur ma cuisse nue. Il disait des paroles de consolation et sa main remontait jusqu'à se glisser sous la salopette. De l'autre bras, il me prit par les épaules et me serra contre lui. Sa main glissa sous mes fesses et m'attira sur ses genoux. Il défit les bretelles de la salopette et glissa sa main dedans. Ses doigts écartèrent le slip et se faufilèrent jusqu'à mes fesses. M'embrassant sur la tête, il défit les boutons sur le côté et tira la salopette vers le bas. Il ouvrit alors sa braguette et sortit sa bite. Il prit ma main et l'enroula autour. Un doigt se glissa dans ma raie et s'introduisit dans mon cul. Il me souleva et tira le slip jusqu'à mes pieds. Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit jaillir mon sexe. Il me pencha sur lui et je pris sa bite entre mes lèvres. Son doigt maintenant me branlait l'anus. Il passa ses mains sous mes aisselles et m'assit sur sa bite, appuyant sur mes épaules pour la rentrer dans mon cul. Quand mes fesses touchèrent ses cuisses, il se saisit de ma bite et commença à me branler. L'autre main passa sous mes fesses et il me fit monter et descendre le long de son membre. Après avoir éjaculé dans mon cul, il s'est levé et a déguerpi.
Je n'étais pas rassasié. J'ai remis mes habits et j'ai fais semblant d'être perdu. Un exhibitionniste m'a abordé et a ouvert son manteau. Je me suis mis à genoux et l'ai sucé. Il a protesté un court instant et puis s'est laissé faire. J'ai baissé ma salopette, les bretelles glissant sur les épaules. Il n'a pas eu le cran de m'enculer, mais il s'est branlé et a craché son sperme sur mes fesses.
Mon troisième coup du jour, m'a emmené chez lui. Il m'a dit de me déshabiller en entier.
- Tiens, mets ça !
Il me tendit une culotte blanche en nylon, des bas de la même couleur et une minijupe rouge. Après avoir passé ces vêtements, nous sommes retournés au parc. Il m'a tourné vers lui et m'a flanqué une gifle. Je me suis mis à pleurer. Il m'a pris par les épaules et m'a poussé contre un arbre. Soulevant la minijupe, il a arraché la culotte.
- Non ! criais-je.
- Ah ouais ! Tu donnes ton cul à mon père et moi j'y ai pas droit !
Il retire la ceinture de son pantalon et m'en cingle plusieurs fois les fesses. Je crie.
Il ouvre sa braguette et sors sa queue. Il met ses mains sur mes hanches et m'encule.
Il va de soi que nous avions mis cette scène au point avant de partir.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par QKC
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
nul, meme pas excitant
nul