Vegetables, sex and son...
Récit érotique écrit par Trixie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vegetables, sex and son...
Alfred avait chargé Victor de faire les courses. Souvent, je l'accompagnais dans les magasins et sur les marchés. Il fallait refaire la provision de légumes. Cela faisait longtemps que je n'avais pas revu mon vieux maraîcher. Je décidais, bien que maintenant sa ferme fut un peu éloignée, d'y conduire Victor pour faire nos emplettes.
Je lui racontais mes aventures érotiques avec le vieux paysan. Il fut tout émoustillé et accepta avec enthousiasme ce petit voyage.
« Crois-tu qu'il voudra essayer de te baiser à nouveau... Même si je suis là ?
- Tu sais Victor, comme punition, il m'a donné en « pâture » à quatre de ses ouvriers agricoles... Alors !!! Mais toi, tu ne seras un peu jaloux s'il me saute ?
- Non, si je participe... et d'après ce que tu me dis... tu auras deux énormes bites, petite salope !
- Oui, son sexe est aussi gros et long que le tien... Je vais l'appeler pour lui demander si mardi prochain qui est son jour de fermeture, on peut venir, il ne devrait pas me refuser. »
Effectivement, il accepta sans aucune difficulté. Tout au long du voyage, Victor me demanda de lui raconter à nouveau avec force de détails les épisodes luxurieux que le fermier m'avait fait subir.
Je conduisais, il avait sorti son énorme rouleau et se caressait doucement en savourant mes histoires. Nous traversions une agglomération, la circulation assez dense m'obligeait à rouler très doucement.
« Au fait, comment t'es-tu habillée ? Fait voir ! »
Sa main déboutonna un bouton de la jupe qui découvrait déjà les attaches de mon porte-jarretelles, remonta doucement le long de ma cuisse relevant le tissu et découvrant la chair nue. Me prêtant au jeu, je soulevais les fesses pour faciliter le glissement de l'étoffe. Il arriva à ses fins, mon string s'offrit à ses regards, son majeur écarta le voile arachnéen et s'insinua dans la fente de ma chatte.
« Petite Salope, tu mouilles...c'est de penser à ce qui va t'arriver... qui te met dans cet état ?
- Oui... mais enlève ton doigt, ce n'est pas prudent. .. Tu auras tout le temps tout à l'heure... !
- Tu as mis un soutien-gorge ?
- Oui, le transparent... Celui ou mes tétons affleurent les bords.
- Je peux voir ? Regarde, tu me fais bander »
Effectivement, sa bite s'étirait bien raide, hors de sa braguette. Sans attendre la réponse, sa main droite se jouant de ma ceinture de sécurité, déboutonna un bouton de mon chemisier, puis un autre.
« Non Victor, non... »
Je ne pus rien faire, il dégrafa le troisième. Je roulais dans une rue étroite à sens unique et à une seule voie. De plus, j'étais obligée de concentrer mon attention sur les deux-roues qui circulaient autour de nous, ma vitre était à moitié descendue. Un feu rouge m'obligea à stopper, ce diable de Victor, devant la dizaine d'hommes qui sur le trottoir de mon côté attendaient que le petit bonhomme passe au vert pour traverser, déboucla ma ceinture, écarta les pans du corsage et sans que j'ai pu esquisser le moindre geste fit jaillir mon téton droit hors du bonnet. Le manège ne passa pas inaperçu par la moitié des piétons, qui oublièrent de traverser. Le feu rouge s'éternisait... Ma jupe était toujours remontée au maximum et découvrait mes cuisses ou courraient les lanières du porte-jarretelles. Je sentais que la dentelle humide de mon string, rentrait dans la fente de ma chatte et la position de mes pieds sur les pédales laissait mes cuisses largement ouvertes...
« Tu as vu leurs têtes, ils ont l'air d'apprécier le spectacle !! Allez, laisse moi leur montrer l'autre - Noooonnn vic.... »
Il joignit le geste à la parole, tira sur le bonnet et mon second mamelon se retrouva à l'air... Mes deux tétons se retrouvant libérés de leur écrin s'étaient érigés en deux pointes brunes.
« Victor, tu es incorrigible...
- Oui, mais toi, tu adores faire bander les mecs !! Laisse les mater... Dis tu pourras rester ainsi pour le reste du parcours... j'espère qu'il y aura beaucoup d'autres feux rouges...
- Ok, à condition que tu ne me touches pas, sinon on risque un accident... »
Le feu passa au vert, mais je ne pus pas avancer un homme s'était planté devant la voiture et trois autres s'étaient approchés de ma portière, alléchés par le spectacle. Ils se tripotaient à travers leurs pantalons, leurs bouches m'envoyaient des baisers...
« Salope, petite pute de blonde... Tu te laisses tripoter par un fossile, tu mériterais qu'on te saute... pétasse... »
Je jetais un coup d??il à Victor, il n'était pas très rassuré, ma main partit à la rencontre de sa queue qui pointait toujours hors de son pantalon et avec un regard plein de défi envers les trois gars, je masturbais la vieille mais colossale bite de mon passager, Victor jouant le jeu posa sa vieille main ridée sur la peau nue haut dessus de mes bas et la passa sous la jarretelle.
Ils s?approchèrent tout près de ma fenêtre ouverte.
« Salope, tu n'as pas honte te faire baiser par un vieux croûton, il pourrait être ton grand-père, il est tout fripé l'ancêtre... Tu es une vraie débauchée... une vraie petite pute...
- Il est vieux d'accord, mais vous avez vu sa bite, elle trois fois plus grosse que les vôtres... et je peux vous dire qu'elle me fait jouir comme une folle... Allez salut les petits morveux !! »
La voie était libre, le feu vert, je démarrais en trombe, les laissant ébahis par ce qu'ils venaient de voir.
Après pas mal de kilomètres et plusieurs tentatives d'attouchements de la part de Victor, sévèrement réprimées, qui m'obligèrent à m'arrêter et à me rhabiller correctement, on arriva à destination. Je me garais à ma place habituelle et jetais un coup d??il à la fenêtre, il y avait bien une silhouette, mais je ne la reconnus pas.
« Bon Victor, on va attiser un peu sa jalousie.. Il nous espionne de sa fenêtre »
Je savais que de la baie, on avait une vue imprenable sur l'habitacle de la voiture. Débouclant ma ceinture de sécurité, je me penchais sur le vieux Victor, ma bouche se posa sur la sienne, ma langue écarta ses lèvres et je lui octroyais un baiser passionné. Ma main gauche se positionna sur son entre-jambe, et descendit la fermeture éclair de son pantalon. Il ne portait jamais de slip. J'extirpais avec dévotion l'immense rouleau de chair encore flasque, je l'étalais le long de sa cuisse pour que le vieux paysan qui nous épiait de la fenêtre puisse avoir une idée de la longueur et de la grosseur de la bite de Victor, qui n'avait rien à envier à la sienne bien au contraire.
Doucement, je calottais et décalottais le prépuce plusieurs fois. Je masturbais doucement la hampe qui commençait à prendre une certaine rigidité. Je me penchais sur l?énorme pénis et engloutissais le gland entre mes lèvres, ma langue se mit à le lécher à petits coups. J'avalais doucement la verge maintenant turgescente et dure comme du bois, je fis plusieurs succions et jugeant qu'elle avait atteint le maximum de son apogée, j 'enserrais la base et l'agitais doucement pour montrer au vieux paysan qu'il n'était pas le seul à posséder un sexe monstrueux.
« Rentre ta queue, sortons de la voiture, tu vas me quitter mon string... Il faut l'exciter... mais tu es un expert en ce domaine... »
On se rejoignit devant la voiture, je m'appuyais sur le capot.
« On doit être en avance, la porte est fermée, on dirait qu'il n' y a personne pour l'instant !
- Dis, Trixie on n'a pas eu beaucoup de distraction pendant le voyage, et puisque c'est désert ici, si on prenait un peu de bon temps ! »
Victor se mit sur mon côté droit pour ne pas gêner la vue du voyeur et commença lentement à retrousser ma jupe. Il la remonta jusque sur mes hanches et s'assura qu'elle ne retomberait pas. Ses vieilles mains fripées caressèrent doucement l?intérieur de mes cuisses, me faisant frissonner. Avec des petits coups d??il en direction de la fenêtre, il descendit lentement le petit bout de tissus qui voilait ma chatte. Je sentis qu'il écartait mes grandes lèvres, et assez nerveusement deux doigts glissèrent en moi. Il les remua avec une lenteur désespérante, mes hanches s'activèrent, mes reins se creusèrent comme pour l'inviter à les enfoncer plus profondément et a accélérer ses mouvements de pénétrations. Mon ventre se soulevait pour aller à leur rencontre. On entendit la fenêtre s'ouvrir...
« Ouuuuiiiii criais-je, mets les quatre... enfonce les bien...
- Tu sais, j'ai hâte de te manger la chatte, de promener ma bouche et ma langue dans ta crevasse qui ruisselle petite Salope... »
Victor se mit à genoux, il pressa son visage contre mon ventre, humant l'odeur de mon foutre qui s'échappait de mon vagin, sa langue était un vrai dard qui me titillait et me tirait des cris d'extase.
Mes hanches étaient prises de mouvements convulsifs au fur et à mesure que sa langue s'activait en moi et que ses lèvres aspiraient mon clitoris.
« Encore, encore, ouiiiii, ne t'arrête pas... ouiiiiii....
- Hemmmm, hemmmmmm.... pardon de vous déranger.... mais êtes-vous Trixie... la dame qui a téléphoné pour venir chercher des légumes ?
- Ou...., oui... c'est....c'est bien moi... »
Je rabaissais ma jupe, comme si j'étais surprise de le voir arriver. J'étais, en effet, surprise, car ce n'était pas le vieux paysan. Mais un homme d'environ quarante cinq ans. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Il devait travailler ici, car ses vêtements étaient assez poussiéreux, et il sentait la transpiration.
« Oui, Bonjour... voilà, mon père s'est cassé la jambe et il m'a chargé de vous recevoir... Euh.... comment dire... Il m'a mit au courant de vos petites affaires... Il m'a dit de vous laisser prendre tout ce que vous voulez.... mais que... pour payer.... enfin quoi... vous ne refusez rien... vous payez en nature... enfin c'est ce qu'il ma dit... Et puis il m'a dit... aussi que... il valait mieux que... enfin que je me fasse payer avant... si vous voulez bien... Il m'a d'ailleurs toujours conseillé qu' un bon tien vaut mieux que deux tu l'auras...
- Je ne m'attendais pas du tout à ça ! Mais nous avons fait un chemin assez long, nous n'allons pas repartir les mains vides ! Alors si Victor est d'accord pourquoi pas...
- Et en quoi consiste le paiement ? Demanda Victor avec une mauvaise foi certaine...
- Euh... Monsieur, mon père m'a dit que mademoiselle Trixie était très belle, c'est effectivement le cas... et que heu... elle faisait divinement l'amour... alors... Voilà, je pensais que...
- Pas de problème pas vrai Trixie- Aucun Victor ! Tu pourras même aider le Monsieur !!
- C'est... c'est vrai... Alors allons-y... Surtout que mon père m'avait dit que vous viendriez avec un ami à vous... »
Il nous entraîna à l?intérieur du hangar.
« Ce que je viens de voir lors de votre arrivée, m'a terriblement excité, je veux pour commencer vous voir baisée par le vieux monsieur, mon père m'a dit que vous adoriez les vieilles bites bien longues et bien grosses comme la sienne, j'ai vu que ce monsieur Victor n'était pas mal monté lui aussi, alors un bon spectacle porno... ne serait pas pour me déplaire.... mais suivant mes règles pour attiser ma libido, vous êtes d'accord, mademoiselle ?
- Oui...
- Bien, alors Victor prenez cette corde passez la à cette poulie en haut et veuillez attacher Trixie... »
Pour ne rien rater du spectacle, il avait allumé de gros projecteurs qui dispensaient une lumière crue.
« Tirez sur la corde, que ses bras soient au-dessus de sa tête.
- Tu aimes, petite Garce, tes mamelons sont en érection me dit Victor en s'affairant.
- Ouuuiii, dégrafe l'attache de ma jupe... merci... »
Le gros paysan ne me quittait pas du regard, ma jupe remontait dévoilant les attaches du porte-jarretelles et une bande de peau nue entre le chemisier et ma jupe.
« Victor, mettez la musique... et montrez moi ce que vous savez faire... tous les deux ! »
La musique était lancinante, prise au jeu, je creusais les reins pour faire saillir mes seins, cela m'excitait de me sentir ainsi attachée sous le regard lubrique des deux hommes. Les oscillations de mes hanches imprimaient à ma jupe des mouvements de balancement, le regard du gros négociant se porta au-dessus de mes bas noirs, sur le haut de mes cuisses striées par les jarretelles blanches. Il devait parfois apercevoir la fente de ma chatte dont j'avais bien épilé les lèvres, ne laissant qu'un petit triangle de poils sur mon mont de Vénus.
C'est à ce moment qu'il sortit sa bite, j'écarquillais les yeux, elle était loin d'être aussi longue que celle de son père ou celle de Victor, mais elle devait être aussi large que le poignet d'un homme normalement constitué. L'excitation me fit redoubler mes déhanchements, ma jupe glissait doucement, mon nombril se dévoila avec une lenteur mesurée, puis la ceinture de mon porte-jarretelles blanc. Je sentais son regard brûlant fixer mes hanches et mon ventre. Je frottais doucement mes cuisses l'une contre l'autre, une onde brûlante commençait à envahir mon bas-ventre, ma jupe glissait lentement vers le bas, un mouvement plus accentué et elle tomba sur le sol. Ma croupe se tendit, la musique, la lumière vive des projecteurs exacerbaient mes sens, j'offrais lentement sans pudeur ma chatte humide aux regards des deux hommes. Victor nu, était derrière moi et me pétrissait les seins à travers le chemisier. Il frottait son énorme sexe tendu dans la raie de mes fesses, je crus qu'il allait me sodomiser.
« Non, lui chuchotais-je... je vais te sucer... donne du mou à la corde... »
Il passa devant moi, se mit sur le côté pour ne pas gêner la vision de ce qui allait suivre. Je me penchais en avant, son formidable phallus oscillait, il l'immobilisa devant ma bouche. J'entrouvris mes lèvres humides et commençais à engloutir ma bite préférée. Son Priape entrait et sortait de plus en plus rapidement, je déglutissais pour aspirer de plus en plus sa monstrueuse bite au fond de ma gorge, je commençais à être passablement excitée. Il me semblait que ma chatte coulait sans discontinuer. Mon corps tressautait, mes seins frémissaient et voulaient à tout prix sortir des bonnets transparents que les mamelons semblaient vouloir transpercer tellement ils étaient longs et durs.
Le fils du fermier, s'approcha, Victor se retira.
Le gros paysan tira sur la corde pour me relever. A partir de cet instant, je lus dans ses yeux que je devenais sa propriété. Il me regardait d'un air narquois et commença à se déshabiller, je pus ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s'étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité. Mais c'est son pénis qui me fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis il s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d'un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des ?ufs de poule. Il suivit mon regard.
« Eh oui, elle est étonnante ma bite hein ! Attends qu'elle entre dans ta chatte, tu devrais l'apprécier... toujours d'après mon vieux père !! »
Il n'était vraiment pas ragoutant et dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme, me faisaient penser à un primate. Mais, malgré une légère répulsion, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque me chauffait le bas-ventre. Je cédais à ce désir malsain.
Je me penchais en arrière, lui offrant ma chatte frémissante et trempée. Je cambrais mon ventre et ondulais des hanches avec lascivité, comme pour l'inviter à me pénétrer.
Il passa derrière moi, je sentis sa colossale bite se plaquer contre mes fesses, il se frotta au rythme de la musique, en tirant sur la corde pour me redresser.
Ses doigts boudinés déboutonnèrent mon chemisier, ses mains glissèrent à l?intérieur des bonnets et il extirpa délicatement mes deux seins. Un couteau sorti de je ne sais où, coupa les bretelles de mon soutien-gorge et ses mains velues le dégrafèrent dans mon dos.
« Quel dommage de les cacher, il sont magnifiques »
Il fit rouler les pointes entre pouces et index, y tirant dessus comme pour les allonger encore, provoquant des gémissements de plaisir à chaque caresse. Passant devant, il fit courir sa bouche sur la courbe de mes globes laiteux, sa langue léchant les aréoles durcies, sa bouche les aspirant entièrement et ses dents mordillant les bouts comprimant mes canaux galactophores.
« Ouuiiii, ouiiii vas-y mords bien les tétons, plus fort ça m'excite, oui, c'est bon... juste le bout... ouuiiii... »
Ma chatte dégoulinait de plus en plus, elle palpitait, se contractait attendant une pénétration. Il posa ses lèvres sur mon ventre, ses mains caressaient mes fesses, les écartant ses doigts frôlaient mon anus, puis ils s'insinuaient entre mes jambes. Il écarta les lèvres.
« Ooooohhhh splendide ton clitoris ressemble à un petit bouton rose, ta chatte rasée et magnifique, elle palpite toute seule, tu sens mes doigts là tu en veux encore un ? »
Trois de ses gros doigts boudinés entrèrent en action... Les poils de ses phalanges poissaient de mon foutre, il les léchait à petits coups de langue, et recommençait ses va-et-vient.
« Oui, oui, plus vite, plus vite, plus profond, encore, prends-moi... »
Il se releva pour m'embrasser, j'aspirais sa langue et tout en frottant la pointe durcie de mes seins contre sa poitrine velue, j'essayais de projeter ma chatte vers son énorme sexe pour l'inviter à me pénétrer, mais c'est sa bouche qui vint se plaquer sur ma fente béante, il suça, aspira le nectar qui en coulait.
« Bien, bien... excellent... c'est un délice... Mais Victor montrez moi comment elle aime être baisée... prenez ma place... J'adore voir les magnifiques blondes aux yeux verts prendre leur pied en se faisant baiser par un vieux décrépi... surtout s'il a un sexe énorme comme le votre, allez baisez la et surtout faite la jouir... »
Il relâcha la corde. Je poussais un gémissement de contentement, quelqu'un allait me pénétrer ! Ma chair n'en pouvait plus de désirs inassouvis, mes seins me faisaient mal tellement ils étaient durs. Je regardais Victor, il bandait comme un taureau, sa jalousie avait du être exacerbée. Il me pénétra comme un sauvage, je criais, rejetais la tête en arrière, me mordis les lèvres de bonheur, ma respiration devint désordonnée. Je sentais Victor déchaîné. Il poussait des petits cris, ou se côtoyaient insultes, ou il était question de petite pute qui aime se faire baiser par n'importe qui et des gémissements de plaisir qui se mêlaient à mes cris d'extase. La volupté me rendait folle, sous les pénétrations de l'énorme phallus du vieillard mon ventre se cabrait, mes bras agitaient les cordes.
« Oui, oui vas y plus vite, enfonce ta vieille bite encore plus profond, oui, comme ça, putain qu'elle est grosse, oui, oui, bouge, bouge, bouge encore... je sens que je vais jouir... Mets la bien au fond...Oooooouuuui.... je... je... jouuuuuiiiiiii ! »
Il explosa dans mes entrailles, déversant son sperme avec de grands spasmes, je contractais mesparois vaginales pour bien comprimer le vieux sexe qui me donnait tant de plaisir et le retenir encore un peu en moi.
« Bien, vous avez joui tous les deux, à mon tour ! Mais d'abord, tu vas laver ta chatte... le sperme de vieillard, ce n'est pas trop mon truc. Tiens il y a une cuvette de l'eau et du savon ! Fais ça devant moi, je sens que ça va m'exciter ! »
Il me libéra de la corde, et quitta mon chemisier, vêtue de mes bas et mon porte-jarretelles, perchée sur mes talons hauts, je m'accroupis sur la cuvette. Je m'exécutais devant lui, j'écartais au maximum les cuisses, j'ouvris ma chatte en grand et le regardant dans les yeux fit mes ablutions, tout d'abord, j?enfonçais mes doigts dans ma vulve pour les ressortir pleins du sperme de Victor, et je les léchais voluptueusement. Puis les mains enduites de savon, je me masturbais consciencieusement. Il s'était assis sur le sol sa graisse s'étalait autour de lui, il ressemblait de plus en plus à un gorille ! Je sais bien que le sexe des gorilles est tout petit, mais on ne peut rien contre sa libido et ses fantasmes... !!
En le regardant se caresser, je pensais que les mecs étaient tous des salauds, ça l'excitait... mais moi aussi... je me traitais encore une fois de nymphomane, ma pudeur s'était envolée, il fallait que ce sexe disproportionné me pénètre à tout prix .
« Tourne-toi ! Montre-moi ton cul petite salope, écarte ta chatte, masturbe-toi encore... oui, met tous tes doigts, rajoute le pouce, enfonce... tu sais ma queue est très très large... Prépare bien ta chatte... plus profond tes doigts...
- Si... si... je continue, je vais jouir à nouveau- Viens là, dépêche toi... Assieds-toi... sur moi »
Il était exigeant et prenait tout son temps, sa respiration haletante et sa moiteur étaient répugnantes, mais elles me procuraient une exaltation que je cherchais plus à retenir. J'enjambais ses énormes cuisses velues.
« Je suis une salope, une petite pute... Il est affreux... Pensais-je, mais ça m'excite...
- Voila descend....mmmfouiiii... comm ? ouvre plus... mmmfff... haannnn.... que ma bite entre bien ... putain c'est super, j'y suis...presque...»
Il attrapa mes hanches au-dessus de mon porte-jarretelles et fermement appuya vers le bas. Mes parois vaginales bien écartées par le doigter qu'il m'avait imposé et lubrifiées par le savon s'étirèrent, d'abord son gland pointu glissa entre mes lèvres et son colossal phallus pénétra sans trop de mal dans mon vagin, qui s'humidifia à nouveau avec mon foutre. Il me besogna longtemps, me tirant des râles et des hoquets de plaisir, comme je l'avais pensé le frottement de sa couronne et de son prépuce à l'intérieur de ma chatte écartelée était délicieux, j'aurais presque aimé que sa bite soit aussi longue que celle de son père.
Il me fit légèrement basculer vers l'avant, sa main se posa sur ma fesse, il serra d'une poigne de fer et son pouce s'introduisit dans mon anus, mon ampoule rectale se retourna et je me cambrais de plaisir. Il commença à tourner son doigt velu dans mon trou intime. Victor s'était planté devant nous et regardais notre accouplement avec une moue dédaigneuse.
« Oh putain Victor ! C'est bon, c'est bon !... Sa bite... sa bite est... est... »
Brutalement, sa queue s'échappa de ma vulve trempée et s'enfonça dans mon orifice anal brûlant, j'en eu la respiration coupée... j'écartais les cuisses au maximum pour permettre au membre trapu de s'enfoncer, le gland glissa lentement entre mes parois anales.
« Oui, défonce-moi, déchire-moi, oui... enfonce... .aie ?.aie... ouuiii ... ça y est... Plus vite, plus vite lui intimais-je »
Et de moi-même, j'accélérais la cadence jusqu'à ce que mes fesses touchent ses poils pubiens et que la courte mais monstrueuse bite soit entièrement avalée. Je devenais malgré moi le jouet de cette masse difforme et gluante, cela me procurait un léger dégoût qui accroissait ma jouissance.
Je devenais folle de plaisir, mon ventre se cabrait, mes hanches retombaient lourdement sur le sexe massif dur comme de la pierre. Il attrapa mes seins, et les malaxa avec force, il serra mes mamelons tellement fort que j?émis un couinement de douleur.
« Oui, c'est bien... Continue... Petite salope, tu aimes ma grosse queue... là tu sens bien mes doigts dans ta chatte ? Et là, j'ai l'impression que tu adores lorsque je te titille le clito, putain, mais tu apprécies vachement on dirait? mes doigts sont tout poisseux de ton foutre... allez tends toi... oui... ouvre tes fesses... serre. Putain ton cul est super... c'est mon père qui avait raison en me disant que je n'en croirai pas ma bite, si je pouvais baiser la superbe blonde en porte-jarretelles... ouiiiii, contracte-toi ! C'est bien... je crois que je vais jooouuuiiiiiirrrrr.... !!! AAAAAHHHHH !! Tiens prend ça et puis ça... et encore ça, putain que c'est booonnnn ! »
Son sperme gicla au fond de mes entrailles, il me tenait aux hanches, bien enfoncée sur son large mandrin... Il me sembla qu'il vidait en moi pendant une éternité une lave brûlante, puis un flash éclata dans mon cerveau, je criais ma jouissance sans retenue, je me tendis en arc de cercle et un nouvel orgasme déferla dans mon ventre, me faisant trembler de la tête aux pieds.
Dans un brouillard, il me sembla entendre Victor me traiter de petite pute qui prenait son pied avec un gros porc... Mais je m'en moquais complètement, je venais d'avoir deux orgasmes sensationnels...
A suivre...
Je lui racontais mes aventures érotiques avec le vieux paysan. Il fut tout émoustillé et accepta avec enthousiasme ce petit voyage.
« Crois-tu qu'il voudra essayer de te baiser à nouveau... Même si je suis là ?
- Tu sais Victor, comme punition, il m'a donné en « pâture » à quatre de ses ouvriers agricoles... Alors !!! Mais toi, tu ne seras un peu jaloux s'il me saute ?
- Non, si je participe... et d'après ce que tu me dis... tu auras deux énormes bites, petite salope !
- Oui, son sexe est aussi gros et long que le tien... Je vais l'appeler pour lui demander si mardi prochain qui est son jour de fermeture, on peut venir, il ne devrait pas me refuser. »
Effectivement, il accepta sans aucune difficulté. Tout au long du voyage, Victor me demanda de lui raconter à nouveau avec force de détails les épisodes luxurieux que le fermier m'avait fait subir.
Je conduisais, il avait sorti son énorme rouleau et se caressait doucement en savourant mes histoires. Nous traversions une agglomération, la circulation assez dense m'obligeait à rouler très doucement.
« Au fait, comment t'es-tu habillée ? Fait voir ! »
Sa main déboutonna un bouton de la jupe qui découvrait déjà les attaches de mon porte-jarretelles, remonta doucement le long de ma cuisse relevant le tissu et découvrant la chair nue. Me prêtant au jeu, je soulevais les fesses pour faciliter le glissement de l'étoffe. Il arriva à ses fins, mon string s'offrit à ses regards, son majeur écarta le voile arachnéen et s'insinua dans la fente de ma chatte.
« Petite Salope, tu mouilles...c'est de penser à ce qui va t'arriver... qui te met dans cet état ?
- Oui... mais enlève ton doigt, ce n'est pas prudent. .. Tu auras tout le temps tout à l'heure... !
- Tu as mis un soutien-gorge ?
- Oui, le transparent... Celui ou mes tétons affleurent les bords.
- Je peux voir ? Regarde, tu me fais bander »
Effectivement, sa bite s'étirait bien raide, hors de sa braguette. Sans attendre la réponse, sa main droite se jouant de ma ceinture de sécurité, déboutonna un bouton de mon chemisier, puis un autre.
« Non Victor, non... »
Je ne pus rien faire, il dégrafa le troisième. Je roulais dans une rue étroite à sens unique et à une seule voie. De plus, j'étais obligée de concentrer mon attention sur les deux-roues qui circulaient autour de nous, ma vitre était à moitié descendue. Un feu rouge m'obligea à stopper, ce diable de Victor, devant la dizaine d'hommes qui sur le trottoir de mon côté attendaient que le petit bonhomme passe au vert pour traverser, déboucla ma ceinture, écarta les pans du corsage et sans que j'ai pu esquisser le moindre geste fit jaillir mon téton droit hors du bonnet. Le manège ne passa pas inaperçu par la moitié des piétons, qui oublièrent de traverser. Le feu rouge s'éternisait... Ma jupe était toujours remontée au maximum et découvrait mes cuisses ou courraient les lanières du porte-jarretelles. Je sentais que la dentelle humide de mon string, rentrait dans la fente de ma chatte et la position de mes pieds sur les pédales laissait mes cuisses largement ouvertes...
« Tu as vu leurs têtes, ils ont l'air d'apprécier le spectacle !! Allez, laisse moi leur montrer l'autre - Noooonnn vic.... »
Il joignit le geste à la parole, tira sur le bonnet et mon second mamelon se retrouva à l'air... Mes deux tétons se retrouvant libérés de leur écrin s'étaient érigés en deux pointes brunes.
« Victor, tu es incorrigible...
- Oui, mais toi, tu adores faire bander les mecs !! Laisse les mater... Dis tu pourras rester ainsi pour le reste du parcours... j'espère qu'il y aura beaucoup d'autres feux rouges...
- Ok, à condition que tu ne me touches pas, sinon on risque un accident... »
Le feu passa au vert, mais je ne pus pas avancer un homme s'était planté devant la voiture et trois autres s'étaient approchés de ma portière, alléchés par le spectacle. Ils se tripotaient à travers leurs pantalons, leurs bouches m'envoyaient des baisers...
« Salope, petite pute de blonde... Tu te laisses tripoter par un fossile, tu mériterais qu'on te saute... pétasse... »
Je jetais un coup d??il à Victor, il n'était pas très rassuré, ma main partit à la rencontre de sa queue qui pointait toujours hors de son pantalon et avec un regard plein de défi envers les trois gars, je masturbais la vieille mais colossale bite de mon passager, Victor jouant le jeu posa sa vieille main ridée sur la peau nue haut dessus de mes bas et la passa sous la jarretelle.
Ils s?approchèrent tout près de ma fenêtre ouverte.
« Salope, tu n'as pas honte te faire baiser par un vieux croûton, il pourrait être ton grand-père, il est tout fripé l'ancêtre... Tu es une vraie débauchée... une vraie petite pute...
- Il est vieux d'accord, mais vous avez vu sa bite, elle trois fois plus grosse que les vôtres... et je peux vous dire qu'elle me fait jouir comme une folle... Allez salut les petits morveux !! »
La voie était libre, le feu vert, je démarrais en trombe, les laissant ébahis par ce qu'ils venaient de voir.
Après pas mal de kilomètres et plusieurs tentatives d'attouchements de la part de Victor, sévèrement réprimées, qui m'obligèrent à m'arrêter et à me rhabiller correctement, on arriva à destination. Je me garais à ma place habituelle et jetais un coup d??il à la fenêtre, il y avait bien une silhouette, mais je ne la reconnus pas.
« Bon Victor, on va attiser un peu sa jalousie.. Il nous espionne de sa fenêtre »
Je savais que de la baie, on avait une vue imprenable sur l'habitacle de la voiture. Débouclant ma ceinture de sécurité, je me penchais sur le vieux Victor, ma bouche se posa sur la sienne, ma langue écarta ses lèvres et je lui octroyais un baiser passionné. Ma main gauche se positionna sur son entre-jambe, et descendit la fermeture éclair de son pantalon. Il ne portait jamais de slip. J'extirpais avec dévotion l'immense rouleau de chair encore flasque, je l'étalais le long de sa cuisse pour que le vieux paysan qui nous épiait de la fenêtre puisse avoir une idée de la longueur et de la grosseur de la bite de Victor, qui n'avait rien à envier à la sienne bien au contraire.
Doucement, je calottais et décalottais le prépuce plusieurs fois. Je masturbais doucement la hampe qui commençait à prendre une certaine rigidité. Je me penchais sur l?énorme pénis et engloutissais le gland entre mes lèvres, ma langue se mit à le lécher à petits coups. J'avalais doucement la verge maintenant turgescente et dure comme du bois, je fis plusieurs succions et jugeant qu'elle avait atteint le maximum de son apogée, j 'enserrais la base et l'agitais doucement pour montrer au vieux paysan qu'il n'était pas le seul à posséder un sexe monstrueux.
« Rentre ta queue, sortons de la voiture, tu vas me quitter mon string... Il faut l'exciter... mais tu es un expert en ce domaine... »
On se rejoignit devant la voiture, je m'appuyais sur le capot.
« On doit être en avance, la porte est fermée, on dirait qu'il n' y a personne pour l'instant !
- Dis, Trixie on n'a pas eu beaucoup de distraction pendant le voyage, et puisque c'est désert ici, si on prenait un peu de bon temps ! »
Victor se mit sur mon côté droit pour ne pas gêner la vue du voyeur et commença lentement à retrousser ma jupe. Il la remonta jusque sur mes hanches et s'assura qu'elle ne retomberait pas. Ses vieilles mains fripées caressèrent doucement l?intérieur de mes cuisses, me faisant frissonner. Avec des petits coups d??il en direction de la fenêtre, il descendit lentement le petit bout de tissus qui voilait ma chatte. Je sentis qu'il écartait mes grandes lèvres, et assez nerveusement deux doigts glissèrent en moi. Il les remua avec une lenteur désespérante, mes hanches s'activèrent, mes reins se creusèrent comme pour l'inviter à les enfoncer plus profondément et a accélérer ses mouvements de pénétrations. Mon ventre se soulevait pour aller à leur rencontre. On entendit la fenêtre s'ouvrir...
« Ouuuuiiiii criais-je, mets les quatre... enfonce les bien...
- Tu sais, j'ai hâte de te manger la chatte, de promener ma bouche et ma langue dans ta crevasse qui ruisselle petite Salope... »
Victor se mit à genoux, il pressa son visage contre mon ventre, humant l'odeur de mon foutre qui s'échappait de mon vagin, sa langue était un vrai dard qui me titillait et me tirait des cris d'extase.
Mes hanches étaient prises de mouvements convulsifs au fur et à mesure que sa langue s'activait en moi et que ses lèvres aspiraient mon clitoris.
« Encore, encore, ouiiiii, ne t'arrête pas... ouiiiiii....
- Hemmmm, hemmmmmm.... pardon de vous déranger.... mais êtes-vous Trixie... la dame qui a téléphoné pour venir chercher des légumes ?
- Ou...., oui... c'est....c'est bien moi... »
Je rabaissais ma jupe, comme si j'étais surprise de le voir arriver. J'étais, en effet, surprise, car ce n'était pas le vieux paysan. Mais un homme d'environ quarante cinq ans. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Il devait travailler ici, car ses vêtements étaient assez poussiéreux, et il sentait la transpiration.
« Oui, Bonjour... voilà, mon père s'est cassé la jambe et il m'a chargé de vous recevoir... Euh.... comment dire... Il m'a mit au courant de vos petites affaires... Il m'a dit de vous laisser prendre tout ce que vous voulez.... mais que... pour payer.... enfin quoi... vous ne refusez rien... vous payez en nature... enfin c'est ce qu'il ma dit... Et puis il m'a dit... aussi que... il valait mieux que... enfin que je me fasse payer avant... si vous voulez bien... Il m'a d'ailleurs toujours conseillé qu' un bon tien vaut mieux que deux tu l'auras...
- Je ne m'attendais pas du tout à ça ! Mais nous avons fait un chemin assez long, nous n'allons pas repartir les mains vides ! Alors si Victor est d'accord pourquoi pas...
- Et en quoi consiste le paiement ? Demanda Victor avec une mauvaise foi certaine...
- Euh... Monsieur, mon père m'a dit que mademoiselle Trixie était très belle, c'est effectivement le cas... et que heu... elle faisait divinement l'amour... alors... Voilà, je pensais que...
- Pas de problème pas vrai Trixie- Aucun Victor ! Tu pourras même aider le Monsieur !!
- C'est... c'est vrai... Alors allons-y... Surtout que mon père m'avait dit que vous viendriez avec un ami à vous... »
Il nous entraîna à l?intérieur du hangar.
« Ce que je viens de voir lors de votre arrivée, m'a terriblement excité, je veux pour commencer vous voir baisée par le vieux monsieur, mon père m'a dit que vous adoriez les vieilles bites bien longues et bien grosses comme la sienne, j'ai vu que ce monsieur Victor n'était pas mal monté lui aussi, alors un bon spectacle porno... ne serait pas pour me déplaire.... mais suivant mes règles pour attiser ma libido, vous êtes d'accord, mademoiselle ?
- Oui...
- Bien, alors Victor prenez cette corde passez la à cette poulie en haut et veuillez attacher Trixie... »
Pour ne rien rater du spectacle, il avait allumé de gros projecteurs qui dispensaient une lumière crue.
« Tirez sur la corde, que ses bras soient au-dessus de sa tête.
- Tu aimes, petite Garce, tes mamelons sont en érection me dit Victor en s'affairant.
- Ouuuiii, dégrafe l'attache de ma jupe... merci... »
Le gros paysan ne me quittait pas du regard, ma jupe remontait dévoilant les attaches du porte-jarretelles et une bande de peau nue entre le chemisier et ma jupe.
« Victor, mettez la musique... et montrez moi ce que vous savez faire... tous les deux ! »
La musique était lancinante, prise au jeu, je creusais les reins pour faire saillir mes seins, cela m'excitait de me sentir ainsi attachée sous le regard lubrique des deux hommes. Les oscillations de mes hanches imprimaient à ma jupe des mouvements de balancement, le regard du gros négociant se porta au-dessus de mes bas noirs, sur le haut de mes cuisses striées par les jarretelles blanches. Il devait parfois apercevoir la fente de ma chatte dont j'avais bien épilé les lèvres, ne laissant qu'un petit triangle de poils sur mon mont de Vénus.
C'est à ce moment qu'il sortit sa bite, j'écarquillais les yeux, elle était loin d'être aussi longue que celle de son père ou celle de Victor, mais elle devait être aussi large que le poignet d'un homme normalement constitué. L'excitation me fit redoubler mes déhanchements, ma jupe glissait doucement, mon nombril se dévoila avec une lenteur mesurée, puis la ceinture de mon porte-jarretelles blanc. Je sentais son regard brûlant fixer mes hanches et mon ventre. Je frottais doucement mes cuisses l'une contre l'autre, une onde brûlante commençait à envahir mon bas-ventre, ma jupe glissait lentement vers le bas, un mouvement plus accentué et elle tomba sur le sol. Ma croupe se tendit, la musique, la lumière vive des projecteurs exacerbaient mes sens, j'offrais lentement sans pudeur ma chatte humide aux regards des deux hommes. Victor nu, était derrière moi et me pétrissait les seins à travers le chemisier. Il frottait son énorme sexe tendu dans la raie de mes fesses, je crus qu'il allait me sodomiser.
« Non, lui chuchotais-je... je vais te sucer... donne du mou à la corde... »
Il passa devant moi, se mit sur le côté pour ne pas gêner la vision de ce qui allait suivre. Je me penchais en avant, son formidable phallus oscillait, il l'immobilisa devant ma bouche. J'entrouvris mes lèvres humides et commençais à engloutir ma bite préférée. Son Priape entrait et sortait de plus en plus rapidement, je déglutissais pour aspirer de plus en plus sa monstrueuse bite au fond de ma gorge, je commençais à être passablement excitée. Il me semblait que ma chatte coulait sans discontinuer. Mon corps tressautait, mes seins frémissaient et voulaient à tout prix sortir des bonnets transparents que les mamelons semblaient vouloir transpercer tellement ils étaient longs et durs.
Le fils du fermier, s'approcha, Victor se retira.
Le gros paysan tira sur la corde pour me relever. A partir de cet instant, je lus dans ses yeux que je devenais sa propriété. Il me regardait d'un air narquois et commença à se déshabiller, je pus ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s'étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité. Mais c'est son pénis qui me fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis il s'évasait en une large corolle d'au moins cinq centimètres de long jusqu'à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït. Son prépuce étiré était d'un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d'un homme normal. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des ?ufs de poule. Il suivit mon regard.
« Eh oui, elle est étonnante ma bite hein ! Attends qu'elle entre dans ta chatte, tu devrais l'apprécier... toujours d'après mon vieux père !! »
Il n'était vraiment pas ragoutant et dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme, me faisaient penser à un primate. Mais, malgré une légère répulsion, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque me chauffait le bas-ventre. Je cédais à ce désir malsain.
Je me penchais en arrière, lui offrant ma chatte frémissante et trempée. Je cambrais mon ventre et ondulais des hanches avec lascivité, comme pour l'inviter à me pénétrer.
Il passa derrière moi, je sentis sa colossale bite se plaquer contre mes fesses, il se frotta au rythme de la musique, en tirant sur la corde pour me redresser.
Ses doigts boudinés déboutonnèrent mon chemisier, ses mains glissèrent à l?intérieur des bonnets et il extirpa délicatement mes deux seins. Un couteau sorti de je ne sais où, coupa les bretelles de mon soutien-gorge et ses mains velues le dégrafèrent dans mon dos.
« Quel dommage de les cacher, il sont magnifiques »
Il fit rouler les pointes entre pouces et index, y tirant dessus comme pour les allonger encore, provoquant des gémissements de plaisir à chaque caresse. Passant devant, il fit courir sa bouche sur la courbe de mes globes laiteux, sa langue léchant les aréoles durcies, sa bouche les aspirant entièrement et ses dents mordillant les bouts comprimant mes canaux galactophores.
« Ouuiiii, ouiiii vas-y mords bien les tétons, plus fort ça m'excite, oui, c'est bon... juste le bout... ouuiiii... »
Ma chatte dégoulinait de plus en plus, elle palpitait, se contractait attendant une pénétration. Il posa ses lèvres sur mon ventre, ses mains caressaient mes fesses, les écartant ses doigts frôlaient mon anus, puis ils s'insinuaient entre mes jambes. Il écarta les lèvres.
« Ooooohhhh splendide ton clitoris ressemble à un petit bouton rose, ta chatte rasée et magnifique, elle palpite toute seule, tu sens mes doigts là tu en veux encore un ? »
Trois de ses gros doigts boudinés entrèrent en action... Les poils de ses phalanges poissaient de mon foutre, il les léchait à petits coups de langue, et recommençait ses va-et-vient.
« Oui, oui, plus vite, plus vite, plus profond, encore, prends-moi... »
Il se releva pour m'embrasser, j'aspirais sa langue et tout en frottant la pointe durcie de mes seins contre sa poitrine velue, j'essayais de projeter ma chatte vers son énorme sexe pour l'inviter à me pénétrer, mais c'est sa bouche qui vint se plaquer sur ma fente béante, il suça, aspira le nectar qui en coulait.
« Bien, bien... excellent... c'est un délice... Mais Victor montrez moi comment elle aime être baisée... prenez ma place... J'adore voir les magnifiques blondes aux yeux verts prendre leur pied en se faisant baiser par un vieux décrépi... surtout s'il a un sexe énorme comme le votre, allez baisez la et surtout faite la jouir... »
Il relâcha la corde. Je poussais un gémissement de contentement, quelqu'un allait me pénétrer ! Ma chair n'en pouvait plus de désirs inassouvis, mes seins me faisaient mal tellement ils étaient durs. Je regardais Victor, il bandait comme un taureau, sa jalousie avait du être exacerbée. Il me pénétra comme un sauvage, je criais, rejetais la tête en arrière, me mordis les lèvres de bonheur, ma respiration devint désordonnée. Je sentais Victor déchaîné. Il poussait des petits cris, ou se côtoyaient insultes, ou il était question de petite pute qui aime se faire baiser par n'importe qui et des gémissements de plaisir qui se mêlaient à mes cris d'extase. La volupté me rendait folle, sous les pénétrations de l'énorme phallus du vieillard mon ventre se cabrait, mes bras agitaient les cordes.
« Oui, oui vas y plus vite, enfonce ta vieille bite encore plus profond, oui, comme ça, putain qu'elle est grosse, oui, oui, bouge, bouge, bouge encore... je sens que je vais jouir... Mets la bien au fond...Oooooouuuui.... je... je... jouuuuuiiiiiii ! »
Il explosa dans mes entrailles, déversant son sperme avec de grands spasmes, je contractais mesparois vaginales pour bien comprimer le vieux sexe qui me donnait tant de plaisir et le retenir encore un peu en moi.
« Bien, vous avez joui tous les deux, à mon tour ! Mais d'abord, tu vas laver ta chatte... le sperme de vieillard, ce n'est pas trop mon truc. Tiens il y a une cuvette de l'eau et du savon ! Fais ça devant moi, je sens que ça va m'exciter ! »
Il me libéra de la corde, et quitta mon chemisier, vêtue de mes bas et mon porte-jarretelles, perchée sur mes talons hauts, je m'accroupis sur la cuvette. Je m'exécutais devant lui, j'écartais au maximum les cuisses, j'ouvris ma chatte en grand et le regardant dans les yeux fit mes ablutions, tout d'abord, j?enfonçais mes doigts dans ma vulve pour les ressortir pleins du sperme de Victor, et je les léchais voluptueusement. Puis les mains enduites de savon, je me masturbais consciencieusement. Il s'était assis sur le sol sa graisse s'étalait autour de lui, il ressemblait de plus en plus à un gorille ! Je sais bien que le sexe des gorilles est tout petit, mais on ne peut rien contre sa libido et ses fantasmes... !!
En le regardant se caresser, je pensais que les mecs étaient tous des salauds, ça l'excitait... mais moi aussi... je me traitais encore une fois de nymphomane, ma pudeur s'était envolée, il fallait que ce sexe disproportionné me pénètre à tout prix .
« Tourne-toi ! Montre-moi ton cul petite salope, écarte ta chatte, masturbe-toi encore... oui, met tous tes doigts, rajoute le pouce, enfonce... tu sais ma queue est très très large... Prépare bien ta chatte... plus profond tes doigts...
- Si... si... je continue, je vais jouir à nouveau- Viens là, dépêche toi... Assieds-toi... sur moi »
Il était exigeant et prenait tout son temps, sa respiration haletante et sa moiteur étaient répugnantes, mais elles me procuraient une exaltation que je cherchais plus à retenir. J'enjambais ses énormes cuisses velues.
« Je suis une salope, une petite pute... Il est affreux... Pensais-je, mais ça m'excite...
- Voila descend....mmmfouiiii... comm ? ouvre plus... mmmfff... haannnn.... que ma bite entre bien ... putain c'est super, j'y suis...presque...»
Il attrapa mes hanches au-dessus de mon porte-jarretelles et fermement appuya vers le bas. Mes parois vaginales bien écartées par le doigter qu'il m'avait imposé et lubrifiées par le savon s'étirèrent, d'abord son gland pointu glissa entre mes lèvres et son colossal phallus pénétra sans trop de mal dans mon vagin, qui s'humidifia à nouveau avec mon foutre. Il me besogna longtemps, me tirant des râles et des hoquets de plaisir, comme je l'avais pensé le frottement de sa couronne et de son prépuce à l'intérieur de ma chatte écartelée était délicieux, j'aurais presque aimé que sa bite soit aussi longue que celle de son père.
Il me fit légèrement basculer vers l'avant, sa main se posa sur ma fesse, il serra d'une poigne de fer et son pouce s'introduisit dans mon anus, mon ampoule rectale se retourna et je me cambrais de plaisir. Il commença à tourner son doigt velu dans mon trou intime. Victor s'était planté devant nous et regardais notre accouplement avec une moue dédaigneuse.
« Oh putain Victor ! C'est bon, c'est bon !... Sa bite... sa bite est... est... »
Brutalement, sa queue s'échappa de ma vulve trempée et s'enfonça dans mon orifice anal brûlant, j'en eu la respiration coupée... j'écartais les cuisses au maximum pour permettre au membre trapu de s'enfoncer, le gland glissa lentement entre mes parois anales.
« Oui, défonce-moi, déchire-moi, oui... enfonce... .aie ?.aie... ouuiii ... ça y est... Plus vite, plus vite lui intimais-je »
Et de moi-même, j'accélérais la cadence jusqu'à ce que mes fesses touchent ses poils pubiens et que la courte mais monstrueuse bite soit entièrement avalée. Je devenais malgré moi le jouet de cette masse difforme et gluante, cela me procurait un léger dégoût qui accroissait ma jouissance.
Je devenais folle de plaisir, mon ventre se cabrait, mes hanches retombaient lourdement sur le sexe massif dur comme de la pierre. Il attrapa mes seins, et les malaxa avec force, il serra mes mamelons tellement fort que j?émis un couinement de douleur.
« Oui, c'est bien... Continue... Petite salope, tu aimes ma grosse queue... là tu sens bien mes doigts dans ta chatte ? Et là, j'ai l'impression que tu adores lorsque je te titille le clito, putain, mais tu apprécies vachement on dirait? mes doigts sont tout poisseux de ton foutre... allez tends toi... oui... ouvre tes fesses... serre. Putain ton cul est super... c'est mon père qui avait raison en me disant que je n'en croirai pas ma bite, si je pouvais baiser la superbe blonde en porte-jarretelles... ouiiiii, contracte-toi ! C'est bien... je crois que je vais jooouuuiiiiiirrrrr.... !!! AAAAAHHHHH !! Tiens prend ça et puis ça... et encore ça, putain que c'est booonnnn ! »
Son sperme gicla au fond de mes entrailles, il me tenait aux hanches, bien enfoncée sur son large mandrin... Il me sembla qu'il vidait en moi pendant une éternité une lave brûlante, puis un flash éclata dans mon cerveau, je criais ma jouissance sans retenue, je me tendis en arc de cercle et un nouvel orgasme déferla dans mon ventre, me faisant trembler de la tête aux pieds.
Dans un brouillard, il me sembla entendre Victor me traiter de petite pute qui prenait son pied avec un gros porc... Mais je m'en moquais complètement, je venais d'avoir deux orgasmes sensationnels...
A suivre...
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