Veillée funèbre. 2 : Ma première nuit de deuil.

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Récit libertin : Veillée funèbre. 2 : Ma première nuit de deuil. Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Veillée funèbre. 2 : Ma première nuit de deuil.
Ma première nuit de deuil. 2


Il prend son temps me caressant l’intérieur des cuisses jusqu’à ma fourche, j’ai les jambes qui flageolent. Il marque un temps d‘hésitation qui me rend folle, il tourne sa main droite, la paume en l’air et prend à pleine main ma chatte par dessus ma culotte.
Je suis si surprise que je réagis enfin :
-Mais ! Anselme…que faites-vous ?

Suite :Anselme redescend lui aussi de son petit nuage comprenant sa témérité folle, la vulgarité de son geste de simple employé de maison sur sa patronne.
Penaud, il veut retirer sa main mais je plaque la mienne sur la sienne, l’obligeant à rester agrippée à ma chatte dans un mouvement instinctif. Ce n’est pas mon cerveau mais mon corps qui a pris le pouvoir. D’ailleurs, pour prouver à Anselme ma pleine approbation, ma chatte sèche comme de l’amadou, délaissée depuis si longtemps se met à ruisseler sous la caresse un peu brutale, inondant ma culotte de mouille et coulant sur mes cuisses. Je ferme les yeux en le priant :
-Non ! Ca me fait trop de bien…..Continuez Anselme ! Je vous en conjure !

J’écarte légèrement mes jambes pour bien lui faire comprendre que je m’abandonne à lui. Mon désir l’encourage à prendre à pleine main ma vulve qu’il caresse entre mes cuisses, mais se sent-il assez courageux malgré ma réceptivité à pousser plus loin ? Oh que oui car je sens Anselme s’enhardir en repoussant ma culotte du bout de ses doigts l’un d’eux cherche ma vulve, la trouve en la dégageant de ma toison de brune en friche depuis belle lurette.
De la dernière phalange, il commence à caresser ma fente puis il l’insinue à peine jusqu’à mes petites lèvres qui cachent mon temple fendu du vagin à mon clitoris.
Je suis surprise de la délicatesse du doigt qui me fouille m’attendant à plus de rudesse de cet homme des bois, et de ma soumission car j’avance mon pubis au devant de son doigt.
Je m’offre à lui, j’offre mon sexe de plus en plus humide de mon miel pour lui faire connaître le plaisir qu’il me donne.
Il prend de l’assurance face à ma réaction positive et je m’étonne de son savoir, ne soupçonnant pas qu’il ait beaucoup d’expérience dans ces choses là. Son doigt ne se contente plus de l’entrée de ma grotte et disparait en moi, réveillant une chatte si longtemps endormie.
Son doigt est gros, dur, calleux, je pousse un petit cri comme une vierge qui vient de perdre son hymen mais malgré sa rugosité, mon conduit s’ajuste à cet intrus qui se met à me branler.

Anselme s’applique comme si son emploi en dépendait. Mon vagin inondé apprécie maintenant ce doigt qui coulisse, entrant et sortant comme si un petit pénis me baisait. Il se déplace et m’emprisonne une cuisse entre ses jambes. Il presse son bas-ventre sur ma cuisse pour me faire sentir son sexe.
Je ne sais pas s’il bande mais ce qui est sûr, c’est qu’il y a de la matière.
Il reste muet et à chaque fois que son doigt me pénètre, je serre tout ce que je peux pour retenir en moi ce « membre » quand il se retire pour que la peau si douce de ma cramouille profite de la rugosité de ce doigt qui enflamme mes entrailles.

Je rajeunis de quelques années, je vais jouir ! Le doigt d’Anselme se plie et excite une zone hyper-sensible de mon vagin que mon défunt mari n’a jamais recherché, ne s’intéressant qu’à son propre plaisir. Ma mouille devient de plus en plus abondante. Je ne savais pas qu’une femme pouvait autant mouiller. Mais quand deux autres doigts viennent prêter « main forte » au premier, j’apprécie d’être si bien « huilée ». De temps en temps, sa main frotte sur mon clitoris qui est sorti de son capuchon, tout raidi.

Je sens monter un orgasme puissant et dévastateur, je vais jouir debout…. le corps raidi par le plaisir qui m’inonde d’un coup pendant que j’inonde la main d’Anselme. J’hurlequand la vague déferle.

- Ouiiiiiiiii ! Ahhhhhh……oui…Anselme, je jouis….oui…ouiiii…ouiiiii…ouiiii….oui…ouiiiiii….oui !!!! Continuez !!!

Je jouis comme je ne pouvais l’imaginer il y a encore quelques jours. Son pouce cherche mon petit bouton, le trouve et vibre sur lui en le pressant tandis que son petit doigt, s’insère entre mes fesses et trouve mon anus, en fait le tour avant de le presser. Ah les grosses mains d’Anselme !
Comment est-il possible de faire une telle caresse qui va de mon clito à mon cul ?
Son majeur est maintenant seul et continue son œuvre dans mon vagin. Je n’ai jamais ressenti dans ma vie de femme une telle chose, je halète, je marmonne entre mes lèvres en bavant de plaisir, mes jambes ne me portent plus, heureusement que les jambes d’Anselme me soutiennent.
Jamais je n’aurais cru que cet homme si effacé me ferait jouir à ce point avec sa seule grosse paluche.
Mes yeux presque révulsés se fixent un instant sur le cercueil, le fait de voir mon mari allongé entre « quatre planches » décuple mon excitation. J’espère qu’il entend là où il est mes gémissements.
Je me venge du mépris qu’il avait de moi, de ma condition d’épouse qu’il ne contentait jamais, de lui faire regretter les plaisirs que j’aurais pu lui donner s’il avait voulu.

Anselme m’entraîne sur le lit qu’il a libéré du corps de mon mari. Aujourd’hui, c’est lui le Maître et moi sa servante, je le laisse faire. Il me renverse, retrousse ma robe, écarte mes cuisses.
Je suis complètement ouverte, offerte à Anselme qui déchire ma culotte. Il se penche sur moi, met mes cuisses sur ses épaules et son visage entre mes jambes, et il me suce la chatte. Le contraste avec ses doigts est fantastique, sa langue douce s’enlise en moi, déflore ma fente, ce que n’a jamais voulu faire mon mari.

C’est sa langue maintenant qui me fait jouir en baisant ma fente poilue, en me pénétrant, en s’insérant entre mes grandes lèvres, folâtrant dans tous les coins de ma grotte qui n’a jamais connu telle fête. La pointe de cette langue navigue du pli profond et secret de l’aine à celui de mes grandes lèvres en titillant mon clitoris au passage, le lapant pendant que ses doigts sont toujours là pour lui préparer le terrain, dégager mes poils pubiens, écarteler mes grandes lèvres, titiller mon clito.
Heureusement que la maison est isolée car mes hurlements me feraient passer pour une veuve folle de douleurs.

Je ne sais plus ou j’en suis tant cette caresse est délicate, je jouis en continu, je m’ouvre, m’offre davantage pour mieux en profiter mais je sens un doigt entre mes fesses qui explore la rosette de mon anus avant de remonter vers mon périnée pour se joindre à sa langue dans mon vagin et une fois bien lubrifié de mon plaisir revient à son but premier. Il glisse de nouveau sur mon anus, en fait le tour avant de se figer en plein centre. Mon esprit remonte à la surface un instant quand il le presse sur ma rosette fripée, la peur prend le pas sur ma jouissance.

- Non Anselme ! Non…nooonnn !
-Pourquoi ? Baragouine Anselme la tête entre mes cuisses. Vous ne savez pas encore comme c’est bon !

Je n’ai pas le temps de lui répondre car son doigt force le passage, écartèle mon anneau, entre doucement de toute sa longueur et s’agite dans mon fondement. Je n’ai pas ressentis la douleur que je redoutais, son majeur coulisse librement me sodomisant tandis que sa langue me baise toujours la chatte.

Tout mon ventre est irradié, mes seins sont hyper sensibles, mes pointes sont dures, dans un spasme, l’orgasme qui m’inonde me fait oublier que je me donne à un manant car pour la première fois de ma vie je ressens d un plaisir sans limite non simulé, jamais atteint avant lui.

Anselme me laisse redescendre doucement de mon nuage. Il s’est relevé et pour la première fois de sa vie me donne un ordre.

-Madame Amélie… Je veux que vous… que tu sortes mon sexe…

A suivre…

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