Vendeuse
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Vendeuse
Au travail, mesdemoiselles, pressons un peu. J'entends ça à longueur de journée. Je n'en fais pas plus pour cette remarque quotidienne. A vrai dire j'ai ma tête ailleurs et en plus mon job est du genre répétitif. Je crois savoir que la production de la boite va être établissement, c'est-à-dire délocalisé vers je ne sais quel pays. Je me demande ce que je vais bien pouvoir faire: mon bilan compétence est assez maigre: conductrice d'une machine, au paravent caissière dans une grand surface. La seule chose que je sache faire et que j'aime c'est l'amour. Je ne peux pas me présenter avec en tête de mon CV: aime baiser.
Pourtant sans que j'intervienne je reçois une réponse à une demande d'emploi déjà vielle. Une boutique du centre ville, spécialisée dans la vente de vêtements et d'objets coquin me demande de venir. Dès l'entrée je sens que je vais accepter: la patronne, une brune sympathique, bien habillée, très BCBG me reçoit avec un grand sourire. Elle me montre sa boutique: elle ne vent, entre autre que des dessous féminins au de gamme: tout est y transparent, sexy et cher. Au sous sol est installé le fin du fin du plaisir féminin: des godemichés de toutes natures, des boules de geisha, d'autre chose dont je sais à quoi ça sert: je n'en connais pas l'usage. Pour ma nouvelle patronne ce n'est pas grave: elle me montrera le fonctionnement un peu plus tard. Elle remonte, me laisse seule un instant: je détaille tous ces objets de plaisir. J'en suis excitée: je m'imagine couchée, nue, les jambes bien ouvertes me branlant avec n'importe lequel des jouets.
Elle savait fort bien ce qu'elle faisait en me laissant seule: si j'avais eu un attitude tant soit peu blasée, elle ne ma gardait pas. Alors que là, j'avoue sue j'avais mon string totalement mouillé. Elle redescendait pour m'annoncer qu'elle me prenait comme vendeuse, payée royalement pour moi 2.000 €. Satisfaite de la tournure des événements je me sentais légère. Mais, parce qu'il y avait un mais, il fallais que je revienne les soir même juste avant l'heure de fermeture pour qu'elle décrive plus précisément les emplois des godemiché. J'allais dressement à mon ancien atelier pour donner ma démission qui fut acceptée aussitôt. Je rentre chez moi, avec deux envie: la première de bien faire on nouveau job, la seconde revenir le soir pour apprendre.
J'arrive au magasin un quart d'heure avant la fermeture: un cliente essaye une des parures dignes d'une série X. Elle était dans une cabine, le rideau ouvert. Je pouvais lui voir, par transparence plus de la moitié de son corps. Elle sortait pour demander à ma patronne ce qu'elle en pensait. En bonne commerçante elle disait qu'elle était sexy, ce qui était réel. Si j'avais été son homme je l'aurais violée sur le champs.
A son départ, la patronne ferme la porte et baisse le rideau:- A nous eus maintenant.
- Bien sur, je suis là pour apprendre.
- OK, d"abord un renseignement, aimez vous baiser?
Cette question me déstabilise. Je réponds en rougissant- Bien sur j'aime bien faire l'amour.
- Avec les femmes aussi ?
- A dire vrai j'en ai eu le fantasme, je ne l'ai jamais réalisé.
- Pas grave, on peut le faire de suite.
C'est ben la première fois qu'une femme me demande de baise avec elle. Après tout qu'est-ce je risque. Elle détaille les objets exposés: d'abord les godes les plus simples, ceux vibrants, les œufs vibrants télécommandés les doubles godes Elle m'en décrit les sensations obtenues.
- D'ailleurs, me dit-elle, le mieux c'est encore de passer à la pratique.
- Je veux bien, mais où essayer ces objets ?
- Ici, voyons, toutes les deux. On pourra même faire un concours à celle qui arrive à jouir le plus vite.
- D'accord.
- Il faut que nous soyons nues.
Elle commence à se déshabiller. Je l'imite lentement: un reste de pudeur. Elle m'apparaît comme une femme de 35 ans, bien faite. Le pubis à peine épilé et des seins qui tiennent bien droits tous seuls. Elle passe une main sur sa poitrine, pose l'autre à l'entrée de ses lèvres intimes. Elle me regarde me mettre nue. Ma pudeur s'envole, même si c'est la première femme nue que je vois.
Elle viens vers moi, m'embrasse sur la bouche. Ce baiser est plus doux, plus excitant que celui donné par un homme. Je mouille de plus en plus. Elle me caresse partout à la recherche de mes endroits sensibles. Ses main s sur mes fesses font que je me trouve collée complètement je sens ses seins contre les miens, son bas ventre contre mon pubis. Elle m'excite à fond. Elle s'en rend compte, ne fait rien pour me calmer: j'aimerai tant qu'elle me branle pour que je jouisse.
Elle nous entraîne vers une vitrine où sont certains des jouets. Elle prend un œuf vibrant me demande de me le mettre dans mon con (elle n'emploie pas ce mot) Quand je le met, j'ai enfin un début de soulagement. Je ne m'attendais pas à la suite. Elle a un objet, une télécommande, qui met en route les vibrations de l'œuf. Elle me donne tellement de plaisir que je serre involontairement les jambes, en mettant une main sur ma moule. Elle continue un tout petit moment, à peine le temps de dure ouf je suis presque pliée en deux: je n'ai jamais connu une telle jouissance. L'orgasme se prolonge longtemps. Elle demande si j'ai bien assimilé le fonctionnement. Je réponds que oui.
Alors elle me demande de lui rendre l'œuf, l'enfourne dans son vagin. A mon tour de la faire jouir. Je constate que je peux varier la vitesse des vibrations. Je mets la vitesse maximum. Elle aussi se plie en deux quand elle jouit. Elle me demande de recommencer. Je la branle encore avec le jouet. Elle jouit plus vite que la première fois. Nous allons choisir le nouveau jouet. Cette fois nous prenons un gode un peu spécial: il permet de se masturber dans la chatte, de se caresser et le clitoris et le cul. C'est encore elle qui ma le met. J'avoue que j'ai presque un plaisir complet. Que demander de mieux qu'une caresse à la fois interne et caressant mon anus et mon bouton. Je jouis encore. A on tour de la baiser: je dois bien me débrouille: elle jouit.
Notre autre jouet est destiné aux lesbiennes qui aiment se la mettre ensemble. Cette fois nous nous couchons, presque fesses contre fesses. Elle se met en place le gode dans la chatte, le ressort un peu pur me le mettre. C'est presque pareil qu'une vraie bite, sauf que c'est une femme qui me baise. Je me laisse aller complètement Je jouit, pardons nous jouissons plusieurs fois.
C'est terminé. Nous nous rhabillons nous nous embrassons. En remontant, elle me dit que s, au cours d'une vente une cliente me demande une démonstration je peux la faire sans problème. Il est même possible que certaines femmes ne viennent que pour ça. La plus part laisse un pourboire.
Depuis que je travaille ici, je n'ai plus de problème d'inutilité. J'aime mon job qui joint l'utile à l'agréable. Comme ma patronne amante me le disait j'ai de temps en temps des clientes qui ne viennent que pour que je les branle. Souvent elles me le rendent. Presque tous les jours nous baisons avec ma patronne, souvent sans jouets. Nous pratiquons assidûment le 69.
Pourtant sans que j'intervienne je reçois une réponse à une demande d'emploi déjà vielle. Une boutique du centre ville, spécialisée dans la vente de vêtements et d'objets coquin me demande de venir. Dès l'entrée je sens que je vais accepter: la patronne, une brune sympathique, bien habillée, très BCBG me reçoit avec un grand sourire. Elle me montre sa boutique: elle ne vent, entre autre que des dessous féminins au de gamme: tout est y transparent, sexy et cher. Au sous sol est installé le fin du fin du plaisir féminin: des godemichés de toutes natures, des boules de geisha, d'autre chose dont je sais à quoi ça sert: je n'en connais pas l'usage. Pour ma nouvelle patronne ce n'est pas grave: elle me montrera le fonctionnement un peu plus tard. Elle remonte, me laisse seule un instant: je détaille tous ces objets de plaisir. J'en suis excitée: je m'imagine couchée, nue, les jambes bien ouvertes me branlant avec n'importe lequel des jouets.
Elle savait fort bien ce qu'elle faisait en me laissant seule: si j'avais eu un attitude tant soit peu blasée, elle ne ma gardait pas. Alors que là, j'avoue sue j'avais mon string totalement mouillé. Elle redescendait pour m'annoncer qu'elle me prenait comme vendeuse, payée royalement pour moi 2.000 €. Satisfaite de la tournure des événements je me sentais légère. Mais, parce qu'il y avait un mais, il fallais que je revienne les soir même juste avant l'heure de fermeture pour qu'elle décrive plus précisément les emplois des godemiché. J'allais dressement à mon ancien atelier pour donner ma démission qui fut acceptée aussitôt. Je rentre chez moi, avec deux envie: la première de bien faire on nouveau job, la seconde revenir le soir pour apprendre.
J'arrive au magasin un quart d'heure avant la fermeture: un cliente essaye une des parures dignes d'une série X. Elle était dans une cabine, le rideau ouvert. Je pouvais lui voir, par transparence plus de la moitié de son corps. Elle sortait pour demander à ma patronne ce qu'elle en pensait. En bonne commerçante elle disait qu'elle était sexy, ce qui était réel. Si j'avais été son homme je l'aurais violée sur le champs.
A son départ, la patronne ferme la porte et baisse le rideau:- A nous eus maintenant.
- Bien sur, je suis là pour apprendre.
- OK, d"abord un renseignement, aimez vous baiser?
Cette question me déstabilise. Je réponds en rougissant- Bien sur j'aime bien faire l'amour.
- Avec les femmes aussi ?
- A dire vrai j'en ai eu le fantasme, je ne l'ai jamais réalisé.
- Pas grave, on peut le faire de suite.
C'est ben la première fois qu'une femme me demande de baise avec elle. Après tout qu'est-ce je risque. Elle détaille les objets exposés: d'abord les godes les plus simples, ceux vibrants, les œufs vibrants télécommandés les doubles godes Elle m'en décrit les sensations obtenues.
- D'ailleurs, me dit-elle, le mieux c'est encore de passer à la pratique.
- Je veux bien, mais où essayer ces objets ?
- Ici, voyons, toutes les deux. On pourra même faire un concours à celle qui arrive à jouir le plus vite.
- D'accord.
- Il faut que nous soyons nues.
Elle commence à se déshabiller. Je l'imite lentement: un reste de pudeur. Elle m'apparaît comme une femme de 35 ans, bien faite. Le pubis à peine épilé et des seins qui tiennent bien droits tous seuls. Elle passe une main sur sa poitrine, pose l'autre à l'entrée de ses lèvres intimes. Elle me regarde me mettre nue. Ma pudeur s'envole, même si c'est la première femme nue que je vois.
Elle viens vers moi, m'embrasse sur la bouche. Ce baiser est plus doux, plus excitant que celui donné par un homme. Je mouille de plus en plus. Elle me caresse partout à la recherche de mes endroits sensibles. Ses main s sur mes fesses font que je me trouve collée complètement je sens ses seins contre les miens, son bas ventre contre mon pubis. Elle m'excite à fond. Elle s'en rend compte, ne fait rien pour me calmer: j'aimerai tant qu'elle me branle pour que je jouisse.
Elle nous entraîne vers une vitrine où sont certains des jouets. Elle prend un œuf vibrant me demande de me le mettre dans mon con (elle n'emploie pas ce mot) Quand je le met, j'ai enfin un début de soulagement. Je ne m'attendais pas à la suite. Elle a un objet, une télécommande, qui met en route les vibrations de l'œuf. Elle me donne tellement de plaisir que je serre involontairement les jambes, en mettant une main sur ma moule. Elle continue un tout petit moment, à peine le temps de dure ouf je suis presque pliée en deux: je n'ai jamais connu une telle jouissance. L'orgasme se prolonge longtemps. Elle demande si j'ai bien assimilé le fonctionnement. Je réponds que oui.
Alors elle me demande de lui rendre l'œuf, l'enfourne dans son vagin. A mon tour de la faire jouir. Je constate que je peux varier la vitesse des vibrations. Je mets la vitesse maximum. Elle aussi se plie en deux quand elle jouit. Elle me demande de recommencer. Je la branle encore avec le jouet. Elle jouit plus vite que la première fois. Nous allons choisir le nouveau jouet. Cette fois nous prenons un gode un peu spécial: il permet de se masturber dans la chatte, de se caresser et le clitoris et le cul. C'est encore elle qui ma le met. J'avoue que j'ai presque un plaisir complet. Que demander de mieux qu'une caresse à la fois interne et caressant mon anus et mon bouton. Je jouis encore. A on tour de la baiser: je dois bien me débrouille: elle jouit.
Notre autre jouet est destiné aux lesbiennes qui aiment se la mettre ensemble. Cette fois nous nous couchons, presque fesses contre fesses. Elle se met en place le gode dans la chatte, le ressort un peu pur me le mettre. C'est presque pareil qu'une vraie bite, sauf que c'est une femme qui me baise. Je me laisse aller complètement Je jouit, pardons nous jouissons plusieurs fois.
C'est terminé. Nous nous rhabillons nous nous embrassons. En remontant, elle me dit que s, au cours d'une vente une cliente me demande une démonstration je peux la faire sans problème. Il est même possible que certaines femmes ne viennent que pour ça. La plus part laisse un pourboire.
Depuis que je travaille ici, je n'ai plus de problème d'inutilité. J'aime mon job qui joint l'utile à l'agréable. Comme ma patronne amante me le disait j'ai de temps en temps des clientes qui ne viennent que pour que je les branle. Souvent elles me le rendent. Presque tous les jours nous baisons avec ma patronne, souvent sans jouets. Nous pratiquons assidûment le 69.
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