Vendre sa virginité
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Vendre sa virginité
La première pensée de Patrick a été : « Tiens, une nouvelle fille ! Voyons voir ce qu’elle nous offre, cette petite salope ? »
Le site web n'était pas tout à fait légal, essentiellement un bordel en ligne, domicilié à l’étranger, là où la prostitution est admise, même si elle est sévèrement encadrée. Patrick fréquentait ce site depuis son divorce. Les enfants étaient majeurs, à l’université, et ils avaient pris leur indépendance. Patrick ne souhaitait pas fonder un nouveau foyer. Trop de travail pour une récompense aléatoire.
Ce site web lui permettait de choisir exactement ce qu'il voulait pour passer une agréable soirée avec de très jeunes femmes, et d’avoir l’assurance qu’elles étaient saines. Il avait la chance de vivre tout près de la frontière, mais la plupart de ces filles étaient françaises, ce qui lui permettait de les rencontrer dans un hôtel près de chez lui.
Lorsqu’il avait sa soirée de libre, ce qui était rare vu qu’il travaillait beaucoup, il consultait le site pour voir ce qui lui ferait plaisir. Et ce soir, il y avait une nouvelle fille. Qui désirait vendre sa virginité au plus offrant. Le site promettait que la fille était "légale", c’est à dire tout juste majeure … Déflorer une gamine de l’âge de sa fille, un plaisir rare, mais cher. D’abord, se connecter à son compte bancaire, vérifier l’état de ses comptes. Il s’en doutait, mais il voulait être sûr d’avoir du répondant.
Ensuite, vérifier la marchandise. Patrick l'a reconnue immédiatement bien sûr, comment pouvait-il en être autrement ? Il la connaissait depuis la sixième. Une copine de sa fille. Cynthia avait fêté son 18° anniversaire le mois dernier. Une petite blonde pétillante, l’œil vif, le nez retroussé, la bouche rieuse.
Vendre sa virginité sur internet. Quelle connerie ! Qu’est-ce qu’elles ont dans la tête, ces gamines ? Mais, dans son déshabillé transparent, elle était sacrément bandante, la minette ! Les enchères étaient ouvertes jusqu'à minuit. Attendre le dernier moment pour surenchérir, afin de surprendre les concurrents. S'il avait été un autre genre d'homme, il aurait peut-être fait une offre pour la sauver d'elle-même. L’empêcher de se nuire.
Mais, Patrick était un prédateur. Il se fichait des autres, de leurs décisions stupides. Il pensait même qu’il pouvait être une meilleure option pour la fille que la plupart des salopards qui traînaient sur ce site. Il ne voulait pas lui faire de mal, bien au contraire. Il voulait l’éveiller au plaisir sexuel. Il était était en bonne forme physique, pour son âge, malgré sa calvitie naissante et son abdomen légèrement proéminent.
Patrick savait qu'il plaisait aux femmes, même certaines copines de sa fille le trouvaient attirant. Deux heures plus tard, contre une somme d'argent insensée, il était l'heureux propriétaire de la virginité de Cynthia. Il a rempli le formulaire, quand et où, la rencontre était programmée le week-end prochain. Hôtel Beauraing, chambre 415.
*****
Cynthia était anxieuse. Elle se regardait dans le miroir de l’ascenseur qui l’emmenait au quatrième étage de l’hôtel. Elle s’humecta les lèvres. Elle avait la gorge sèche et les mains moites. Une boule d’angoisse dans l’estomac. Allait-elle vraiment faire ça ? Oui, pas question de reculer. Trop longtemps qu’elle attend cela. Même pas à cause de l’argent. Même si cette somme ridiculement élevée était un joli bonus. C'était quelque chose qu'elle planifiait depuis longtemps, depuis qu'elle avait entendu parler de ce site web sur lequel elle avait vendu sa virginité aux enchères.
Il y a presque deux ans, sa sœur aînée en parlait avec ses copines. Des filles utilisaient ce site comme un service de rencontres. Elles pouvaient se faire un peu d’argent discrètement, sans risque, mais elles disaient que le bonus allait aux vierges. Certaines touchaient le pactole. Sur ce site, les hommes avaient du fric. Des types âgés. Matures. Certains étaient même presque inoffensifs.
Cynthia avait un faible pour les hommes mûrs, avec des rides et les tempes grisonnantes. Elle les trouvait craquants, et elle fondait pour ses professeurs, à l’université. Les garçons de son âge l’importunaient. Ils étaient trop pressés, trop futiles, trop chiens fous. Elle était peut-être la dernière fille vierge à 18 ans, mais elle s’était préservée pour ce grand soir. Et les garçons de son âge ne l'intéressaient pas.
Donner sa virginité à un homme âgé ? Un inconnu ? Sans comprendre pourquoi, cette idée lui plaisait. Peut-être que la réalité ne sera pas à la hauteur du fantasme, mais au moins elle sera payée pour la perte de son hymen. Peu de filles restaient en couple avec le gars qui leur avait fait craquer la rondelle, et elles n'avaient rien obtenu en échange de ce précieux cadeau.
En prenant une profonde inspiration, elle glissa la carte magnétique de l'hôtel dans la fente de la porte. Sa robe virevoltait autour de ses cuisses lorsqu'elle franchit la porte. La chambre d'hôtel était plongée dans la pénombre, mais de l'autre côté de la pièce, il y avait un homme assis sur une chaise devant la baie vitrée. Dans le contre-jour, elle ne pouvait pas voir ses traits, juste sa silhouette lorsqu'il se leva pour l’accueillir. Il était grand et costaud, mais c'était tout ce qu'elle pouvait savoir.
L'excitation, le désir, l'anticipation stimulaient son jeune corps tandis qu'un sourire commercial illuminait son visage. Elle s'avança, claquant la porte derrière elle. Était-ce juste son imagination, ou pouvait-elle réellement sentir les yeux de l’homme caresser son jeune corps, s'attardant sur son décolleté et sur ses cuisses bronzées ?
« Bonsoir » dit-elle d’une voix rauque, troublée par le silence de l’inconnu. « Je suis Cynthia, tu dois être Patrick » Elle actionna l'interrupteur et sursauta. « Oh mon dieu... M. Sellier !? »
Le visage familier du père de Manon était la dernière figure qu'elle s'attendait à voir. Un visage plutôt ridé aux mâchoires carrées, encadré par des cheveux poivre et sel, et un front dégarni. Le type d’homme qui pouvait l’émouvoir. Une chose qu’elle n’aurait jamais osé avouer à sa copine Manon, la fille de Patrick, lorsqu’elle regardait discrètement son père en maillot de bain, au bord de la piscine familiale. En plus, c’était un copain de son propre père. Et souvent son fantasme de jeune fille sage.
Mais là, maintenant, elle n’avait certainement pas envie de se masturber devant lui. Ridicule, embarrassée, déconfite, pas un instant elle n’avait imaginé subir pareille humiliation. Le fantasme d'être dépucelée par un homme mature, riche et stupide, lui a soudain semblé vil et puéril. Elle regardait cet homme qu'elle connaissait depuis des années, et qui savait qu'elle avait vendu sa virginité sur internet. Elle se sentait impure. Honteuse. Incroyablement stupide.
Peut-être allait-il se contenter de la sermonner, sans aller raconter à ses parents la déchéance où elle était tombée. Elle allait devoir rendre l'argent, bien sûr. Comment allait-elle couvrir le pourcentage astronomique du site web ? Ses joues avaient viré au rouge vif, avant de pâlir par paliers successifs. Il se tenait là, debout, devant elle, à la dévisager sans un mot. L’évaluer, la jauger, essayer de prendre l’ascendant sur elle. Des larmes d'humiliation jaillirent de ses yeux. Elle baissa son regard, morte de honte et de trouille.
« Je ne parviens pas à imaginer ce que vous devez penser de moi. Veuillez me pardonner, s’il vous plaît » marmonna-t-elle. Elle n’osait pas soutenir son regard, de peur d’y voir le dégoût et la désapprobation.
« Je pense que ce soir tu es plus belle que jamais » dit-il doucement de sa voix grave et profonde. « J'ai attendu ce moment avec tant d’impatience, depuis que je sais que j’ai gagné le gros lot »
L’émotion l'envahit, et elle redressa la tête en l'entendant s’approcher d’elle. L’ardeur de son regard sombre l’hypnotisait, la bouleversait jusqu’au plus profond de son ventre. Ses jambes flageolaient en comprenant que l’homme la voulait. Un sorte d’instinct primitif lui dictait sa conduite. Elle savait qu’elle ne pourrait pas lui résister, qu’elle allait lui céder, lui appartenir.
« Êtes-vous... sommes-nous ? » Elle ne pouvait pas formuler sa pensée.
« Qu'y a-t-il, Cynthia ? » demanda-t-il. Sa voix grave résonnait dans ses tripes, les poils de ses bras se dressaient. Il cessa de s’approcher, se tenait debout au pied du lit, et elle ne pouvait s'empêcher de regarder ce grand lit sur lequel elle allait perdre sa virginité. « Aurais-tu des doutes sur ta virginité ? »
Oui et non. Sauf qu’elle se demandait maintenant ce qu’il voulait dire par là. Non, elle n’avait pas de doute sur sa virginité, elle se savait pure. Mais non, elle aurait préféré un parfait inconnu. Pouvait-elle raisonnablement s’offrir au père d’une amie ? À un ami de la famille ? À cet homme qui lui plaisait autant qu’il l’intimidait ?
Elle se demandait s'il essayait juste de lui faire peur. Tordant ses mains devant elle, elle essayait de deviner ses intentions. Elle aurait voulu trouver quelque chose de pertinent à dire, mais elle avait juste le sentiment de foncer droit dans un mur, sans pouvoir rien faire pour l’éviter. Elle aurait voulu crier. Le pire, c’était qu’il lui plaisait. Physiquement, intellectuellement, il la troublait. L’émoustillait. C’était un homme, un vrai. Pas un gamin de son âge, un de ces puceaux débiles.
« Tu sais ce que je pense ? » Sa voix était comme une caresse qui l’enveloppait. Il s’approchait d’elle à nouveau. Lentement. Comme un chat qui s’avance vers sa proie. Aucun geste brusque, le regard fixe. Elle se sentait tétanisée. Elle aurait aimé courir, s’enfuir, mais ses jambes refusaient de bouger. Les frissons dans son ventre devenaient importants.
« Je pense que tu voulais faire quelque chose d'un peu polisson. Perdre ta virginité dans les bras d’un homme expérimenté, qui peut te faire découvrir le plaisir charnel »
Il était tout près d’elle maintenant, et il leva sa main pour la caresser. Son doigt suivait le contour de sa mâchoire, glissait le long de son cou, longeait sa clavicule jusqu'à l’ourlet de son décolleté. Ses mamelons durcissaient comme des pierres. Elle sentait son souffle s’accélérer lorsque le doigt perfide s’insinua dans le décolleté de sa robe d'été. Les yeux de M. Sellier ne quittaient jamais les siens.
« Un homme qui saura apprécier l’immense cadeau que tu lui fais »
Quand la paume chaude s’empara de son jeune sein, Cynthia ressentit une faiblesse dans les genoux. Sa bouche close s’entrouvrit pour laisser échapper un doux gémissement. C’était si doux, si bon, si chaud. Elle pouvait mesurer la différence avec les gamins qui lui avaient déjà tripoté les nichons. Vierge ne veut pas dire totalement étrangère aux premiers émois. Elle avait eu des petits copains. Qui voulaient tous la même chose. Lui faire craquer sa rondelle. Et qui la laissaient tomber en comprenant qu’elle ne céderait pas.
Elle a faillit s'effondrer de bonheur. C'était comme s’il était le premier homme. La douceur de M. Sellier, la chaleur de sa caresse, c’était une expérience totalement différente. La fermeté de sa poigne sur son sein, la bienveillance dans ses yeux, son assurance communicative tranchaient avec les garçons haletants et avides qui la tripotaient à l'arrière des voitures. Ils tremblaient d'excitation en malaxant ses seins, ils la pelotaient sans tendresse, et elle ne s'était jamais sentie aussi excitée qu'en ce moment.
Les yeux dans les yeux, comme s’il voulait l’hypnotiser, M. Sellier leva son autre main pour presser délicatement ses deux seins cachés par le tissu léger de sa robe d’été. Une robe très décolletée, avec le dos nu, qui ne permettait pas de porter un soutien-gorge, et dont sa jeune poitrine n’avait nul besoin. Aucune expression n’était visible sur son visage de marbre, même si elle pouvait jurer que ses yeux avaient l'air de plus en plus brillants.
Puis, soudain, il fit demi-tour et s'éloigna d’elle. Une panique soudaine l’envahit. Qu'avait-elle fait de mal ? M. Sellier s'est assis sur le lit, face à elle.
« Enlève cette robe Cynthia, je veux voir ce que j'ai payé si cher »
Une bouffée de chaleur envahit tout son corps, accompagnée d'une saine colère. Il lui parlait comme si elle était une ... Ses joues sont devenues blêmes. Comme si elle était sa poule, pire, comme si elle était sa pute. Elle avait vendu sa virginité au plus offrant. Elle ne voulait pas en faire commerce. Quoique ...
Il attendait patiemment, les yeux dans le vide pendant qu'elle faisait glisser sa robe le long de son corps juvénile. Il suivait des yeux les chairs qui se dénudaient. Les seins ronds, la taille étroite, les hanches courbées, les jambes fines et nerveuses. Cynthia avait la bouche sèche, et elle tremblait d’émotion. Parce qu'elle espérait qu'il la trouve séduisante. Étrangement, elle doutait soudain d'elle-même, de son pouvoir de séduction. Il l'avait déstabilisée en lui parlant si brutalement. Alors, elle restait les bras ballants, le souffle court, attendant le verdict de l’homme qui avait payé sa virginité, et qu’elle admirait tant.
« Ta culotte » grogna-t-il, et elle se surprit à vouloir l'insulter. Elle avait espéré une autre réaction de sa part. Et pourtant, ses mamelons continuaient de frémir, sa chatte bruissait de désir, comme si elle aimait être traitée comme une salope. Cynthia, avec un regard de défi, balança ses hanches pour faire glisser sa culotte, qu’elle enjamba comme sa robe, révélant son corps entièrement nu. Elle a mis ses mains devant sa motte soigneusement taillée. Il n'y avait qu'une petite bande de poils pubiens blonds qui la recouvrait, car elle avait complètement rasé les bords de sa chatte en dessous.
Incapable de soutenir le regard de M. Sellier dans sa position, nue et vulnérable, Cynthia baissa les yeux et réalisa brusquement qu'elle distinguait nettement une érection très importante dans son pantalon. Pas gêné du tout, M. Sellier a ri en voyant ses yeux s’écarquiller.
« Ne t'inquiète pas ma chérie, je serai doux » Cela faisait cliché. Cela paraissait idiot. Malgré tout, elle frissonnait d'anticipation. Elle le désirait. Vraiment.
« Approche, petite »
Fermant les yeux un instant, Cynthia inspira un grand coup, comme pour rassembler son courage. Quand elle les rouvrit, M. Sellier était toujours assis sur le bord du lit, et il la regardait intensément, un petit sourire ironique fleurissant sur ses lèvres. Ses jambes tremblantes lui permirent de faire un pas en avant. Le sourire de M. Sellier s'élargit, et elle sentit sa respiration s’accélérer. Elle marchait comme on va au supplice, mais elle continua à avancer jusqu'à ce qu'elle se tienne juste devant M. Sellier. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles.
Elle suffoqua lorsqu'il glissa sa main entre ses cuisses. Son regard brûlant ne quittait pas ses yeux tandis qu'il caressait du bout des doigts les lèvres virginales de sa chatte. Incapable de supporter l'expression de triomphe sur son visage lorsqu'il la trouva trempée, Cynthia ferma les yeux sur sa déchéance. Elle frissonna lorsque les doigts audacieux trouvèrent l'entrée de sa vulve.
« S'il vous plaît... »
« S'il vous plaît, quoi ? » demanda-t-il en enfonçant profondément son long doigt pour la faire panteler. Elle couvrit son visage avec ses mains, incapable de retenir un faible gémissement.
« S'il vous plaît... c'est tellement embarrassant... vous ne pouvez pas juste le faire ? »
Le rire de M. Sellier, si mâle et si profond qu'il la fit frissonner, lorsqu'elle le regardait entre ses doigts. Elle ne se rendait même pas compte que sa réticence, sa pudeur, l'innocence même de sa demande l'excitaient encore plus. Elle ne s'était pas préparée à ce que se soit le père de sa copine qui l'attendrait dans cette chambre pour la déflorer. Elle avait imaginé tout un tas d’intrigues plus ou moins romantiques, mais que le père de sa copine vienne mettre sa main entre ses cuisses, et la pénètre avec son long doigt, pour la préparer à une défloration moins douloureuse, ça dépassait son entendement.
« Détends-toi, ma chérie. Je ne vais pas te faire n'importe quoi. Tu voulais un homme expérimenté pour ton premier cri de joie, pas un gamin excité qui se serait jeté sur toi, au risque de te blesser. Je vais être doux, je te l’ai promis. Laisse-moi faire, ça va te plaire »
Malgré ses paroles apaisantes, il était dangereusement proche de perdre son propre contrôle. Il voulait lui faire du bien, mais son désir le poussait à l'allonger sur le lit, écarter ses cuisses d'un blanc crémeux, et plonger sa bite dans l'orifice trempé que son doigt préparait. Il n'y avait vraiment aucune autre solution, et il souriait d'anticipation. Retirant son doigt de son antre fiévreux avec un bruit humide, il le mit dans sa bouche pour le sucer, en regardant la rougeur envahir les joues de la fille. Cynthia n'avait jamais rien vu d'aussi indécent, ni d’aussi obscène. Son doigt brillant de cyprine, il le suçait comme si c’était une friandise. Puis, sortant son doigt de sa bouche, il se pencha pour dégrafer son pantalon. Elle déglutit convulsivement, en réalisant la taille du pénis qui allait lui ravir sa virginité.
« Oh, putain ! » Elle ne put retenir l'exclamation lorsque la bite, longue et épaisse, sorti du pantalon, déjà dressée, avec le gland violacé qui suintait de pré-sperme. Et ce monstre était censé venir à l'intérieur d'elle ? Peut-être à cause des circonstances, mais elle était sûre de n’avoir jamais vu pareil colosse.
« A genoux, Cynthia » Elle aurait voulu protester, se rebeller, lui dire que cela ne faisait pas partie du contrat, mais devant son regard intimidant, elle s’agenouilla devant lui. Même avec ses jambes flageolantes, c'était facile.
« Je ne vais pas te faire de mal, petite, mais cela nous fera du bien à tous les deux » Il enfouit ses doigts dans ses cheveux pour approcher la bouche réticente de sa queue.
« J'ai besoin que tu prennes un peu de bon temps, et moi aussi, sinon je risque de te pénétrer trop vite et trop fort » La jeune adolescente gémit en entendant ces mots, et il profita de ses lèvres entrouvertes pour glisser le bout de sa bite dans sa bouche goulue. Cynthia leva ses grands yeux bleus vers lui, anxieuse mais émoustillée, le gland presque entièrement dans sa bouche. Instinctivement, elle le lécha, goûtant le pré-sperme acre et salé, suçant la peau douce et veloutée comme s'il s'agissait d'une boule de crème glacée.
Il avait un goût fort de mâle en rut, et elle n'eut qu'un bref instant pour s’acclimater avant que la main impérieuse ne la tire inexorablement plus profond, glissant une petite partie de sa longue tige dans sa bouche. Ce n'était pas la première bite qu'elle suçait, mais c'était la première fois qu'elle était hors de contrôle en le faisant. Normalement, pratiquer le sexe oral la faisait se sentir à la fois féminine et puissante. En ce moment, elle se sentait féminine mais extrêmement vulnérable, d'une manière qu'elle n'avait jamais ressentie auparavant.
Les doigts enroulés dans sa tignasse, M. Sellier tenait fermement sa tête et poussait ses hanches vers elle chaque fois qu'il forçait sa bouche sur sa bite. Elle a enroulé son poing autour de la base de sa bite pour s'empêcher de bâillonner pendant qu'il lui baisait la bouche. Parce que c'était exactement ce qu'il faisait, il lui baisait la bouche. C'était rustre, c'était tyrannique, c'était une humiliation permanente. Mais cela la rendait plus chaude et plus humide qu'une forêt tropicale.
Son corps frémissait de désir, sa bouche lui faisait mal, elle souhaitait qu'il arrête de lui tirer les cheveux. Mais sa chatte lui semblait désespérément vide sans ce gros doigt à l'intérieur, son entrejambe s’humidifiait de son jus tandis qu'elle frottait ses cuisses ensemble pour soulager sa compulsion nécessiteuse. Pendant que sa bouche glissait sur la bite tendue, ses seins s’agitaient en tous sens, les tétons durcis voulaient se frotter contre quelque chose. Elle avait désespérément besoin de se toucher, mais elle ne pouvait même pas imaginer à quel point cela serait dégradant pour sa fierté.
Le jaillissement de sperme crémeux dans sa bouche l’a prise au dépourvu tandis qu'il forçait sa bouche à descendre si loin que ses lèvres rencontrèrent ses doigts. La bite palpitait au fond de sa gorge. Elle couina et se tortilla, essayant d’échapper au liquide chaud et gluant qui se déversait dans sa bouche. Elle avalait désespérément. Elle n'avait jamais fait cela auparavant, mais c'était avaler ou s'étouffer. La bite était trop profondément enfoncée dans sa bouche pour qu'elle puisse cracher, elle aspergeait le fond de sa gorge et cela glissait jusque dans son ventre. Quand il relâcha finalement sa tête, elle se redressa en crachotant, furieuse.
« Cela ne faisait pas partie de notre accord ! J'ai fini avec vous ici ! »
Patrick a juste éclaté de rire : « Pas si tu veux ton argent, petite. Et il n’y a pas que ça, qui te manque » Il mit son doigt sous le menton de Cynthia pour relever sa tête et la dévisager, les yeux dans les yeux. Son regard magnétique la fit frissonner. « Si tu voulais réellement partir, tu ne resterais pas à genoux devant moi. Tu aimes ça. Tu aimes être dominée et utilisée. Tu pouvais quitter cette chambre à n’importe quel moment, mais tu es restée. En fait, ton besoin d'argent, c’est juste une excuse pour ne pas regarder la réalité en face. Tu restes là, à genoux devant moi, avec du sperme plein le menton et sur ta poitrine. Ta chatte est trempée de désir et elle mendie pour sa première bite. N'est-ce pas, minette ? »
Ses joues rougissaient et pâlissaient alternativement, à cause de sa honte et de sa colère mêlées. Elle aurait voulu nier ses paroles, lui crier qu’il n’avait pas à la traiter ainsi. Mais elle savait sa chatte brûlante de désir. Le sperme qui lui remplissait la bouche la dégouttait et l’excitait en même temps. Elle savait qu’elle voulait plus, qu’elle ne repartirait pas avec son pucelage. Elle voulait juste qu’il arrête de jouer avec elle. Elle voulait qu’il la baise, et qu’on en parle plus.
Patrick étudiait sa physionomie pour suivre l’évolution de ses pensées : « Tu peux partir si tu veux, Cynthia. Personne ne t'oblige à rester. Tu peux rentrer chez toi avec ton pucelage intact, ou tu peux t’allonger sur le lit, et me laisser faire de toi une femme heureuse »
Le bon sens lui dictait de quitter cette chambre d'hôtel dès qu’elle avait reconnu M. Sellier. Elle pensait que c’était un connard misogyne, un sale pervers, qu'elle aurait dû le gifler et partir d’ici. Mais son corps, ses pulsions, l'ont conduite à ramper sur le lit et à s'allonger de côté, les jambes jointes, le regardant à travers ses paupières mi-closes pendant qu'il se déshabillait. Elle venait de le sucer, mais sa queue n’était même pas molle, elle se redressait déjà. Cynthia ne parvenait pas à détourner son regard de cet organe qui la fascinait.
M. Sellier avait un corps épais, bien musclé, des épaules larges, le torse et l’abdomen recouverts de poils poivre et sel, comme sa chevelure. Elle s''imaginait déjà, clouée sur le lit, son corps lourd recouvrant le sien, son cuir velu frottant sur sa peau douce. Il ne ressemblait en rien aux gamins de son âge. C’était un homme, un type solide et imposant. Patrick s'approchait d’elle, et son destin lui échappait. Ses yeux croisèrent son regard, elle y lu un désir fou, et elle comprit qu’elle ne pourrait plus l’arrêter. Voir ce jeune corps abandonné à sa convoitise, savoir qu’elle avait choisi de rester et de lui offrir son innocence, le mettait en transes.
« Sur le dos » grogna-t-il, le regard dur, ce qui la fit frissonner. Il ne souriait pas, il était plein d’arrogance, autoritaire. Il ne demandait pas, il ne doutait pas, il ordonnait, et elle obéissait.
« Écarte tes jambes » Allongée sur le dos, les jambes ouvertes, elle se sentait vulnérable et fébrile. Elle le voulait, et elle en avait peur. Ces deux impressions ne la quittaient pas depuis qu’elle était entrée dans cette chambre. La passion qui brûlait dans les yeux de cet homme l’inquiétait et l’aimantait.
« Magnifique » commenta-t-il en la regardant allongée devant lui, et elle rougit de plaisir. Elle se sentait belle et sexy quand il la regardait de cette façon. Désirable et puissante. Et effrayée lorsqu'il rampa sur le lit pour planer au-dessus d'elle. Il s’agenouilla entre ses cuisses ouvertes. Elle ne pouvait plus refermer ses cuisses, même si elle le voulait. Elle était à sa merci, disponible et utilisable selon son bon vouloir.
Bien sûr, comme il ne s’appuyait pas sur ses mains, il était libre de la toucher. Cynthia frémit lorsqu'il posa ses mains sur sa cage thoracique, juste sous ses seins. Elle ferma les yeux lorsqu'il s’empara de ses seins. Sa respiration devenait plus bruyante pendant qu'il pressait ses mamelons. En se cambrant, elle étouffa un gémissement, ne voulant pas qu'il sache à quel point c'était incroyablement bon. Elle redoutait qu’il ait plus de pouvoir sur elle, alors qu'elle était déjà totalement conquise.
Puis sa bouche humide et chaude goba l'un de ses mamelons si sensibles. Son menton mal rasé griffait la chair tendre de son sein, et ses mains descendirent plus bas pour la maintenir en place. Il pinçait, tirait, léchait et suçait tendrement le téton dressé. Sous lui, le corps nerveux de Cynthia remuait, se tortillait, incapable de rester immobile en ressentant le besoin sexuel entre ses jambes grandir à chaque succion ensorcelante sur son mamelon.
Quand il éloigna sa bouche, elle bredouilla sa déception, jusqu'à ce que ses lèvres se referment autour de son autre mamelon. Le sein délaissé ressentait la froidure de la chambre d'hôtel, un contraste troublant avec la moiteur précédente. Cynthia caressait la nuque, les épaules, et les bras de l’homme penché sur elle. Partout où elle pouvait l'atteindre. Elle n'avait jamais ressenti cette exigence compulsive de caresser un homme ainsi. Normalement, elle restait beaucoup plus réservée.
Patrick jouait avec ses sensations comme un virtuose joue d'un instrument, avec toute la finesse d'un musicien expérimenté. Elle était complètement sous influence, esclave des émotions qu'il éveillait en elle. Même lorsqu'elle se masturbait, elle n'avait jamais ressenti ce désordre des sens, ce besoin douloureux d'être prise. Elle ne connaissait pas cette indigence palpitante, qui lui coupait le souffle, ni les spasmes de sa chatte qui se gorgeait de sang. La façon dont Patrick manipulait ses seins relevait d’une forme d’art.
« Aaaah, s’il vous plaît... » Cynthia soupira lorsqu'il mordilla son téton en tirant dessus.
« Oui, ma chérie ? » Il ne parlait pas, il ronronnait. Il pressait fort ses seins, la regardant se cambrer et se tordre.
« Aaaah, touchez-moi » supplia-t-elle.
« Mais je te touche ? »
« Plus, s'il vous plaît, plus... » Elle écartait ses jambes aussi largement qu’elle le pouvait, détestait son rire et, en même temps, ne se souciait que de cette humidité douloureuse qui devenait le centre du monde.
« Demande-moi, chérie. Dis-moi ce que tu veux que je touche »
« Oh, s’il vous plaît, touchez ma chatte, s’il vous plaît »
Son intérêt s'est déplacé vers le bas, ses mains ont quitté ses seins pour presser l'intérieur de ses cuisses. Les pouces écartaient largement les grandes lèvres pour qu'il puisse contempler les chairs roses et luisantes de sa chatte. Les joues de Cynthia virèrent au rouge vif. Elle voulait qu'il la caresse, qu’il la pénètre, pas qu'il l’examine. L’attention clinique qu’il portait sur les parties les plus intimes de son corps rendait la situation plus pénible, lui donnant à réfléchir sur ce qu’il regardait avec autant d’attention. Quelque chose d’anormal avait-il attiré son attention ? Avait-elle un problème à cet endroit-là ? Et s’il renonçait à son droit de cuissage, parce qu’il avait constaté un défaut ? Et s’il la plantait là, excitée et impatiente ?
Le temps de rassembler ses pensées, et sur le point de protester contre cette attente insupportable, Patrick se pencha un peu plus en avant, et l’homme qu’elle convoitait posa sa bouche sur sa chatte écumante. Un cri bouleversé, mélange de joie et d’énervement, s’échappa des lèvres entrouvertes lorsque la langue de M. Sellier lécha sa fente. Pressant sa bouche sur sa chatte, sa langue explorait chaque pli, chaque recoin, avec une attention chirurgicale, en déployant toutes ses compétences. Un avant-goût de paradis lui fit fermer ses jolis yeux pour se concentrer sur les émotions qu’elle ressentait. De jeunes gars lui avaient déjà fait cela, mais pas avec cette virtuosité, et elle s’apercevait qu’elle avait fait le bon choix.
Enfouissant ses doigts dans ses mèches grises, elle caressait la nuque de l’homme qui la comblait de ses douceurs. Après avoir comblé les petites lèvres intérieures extrêmement sensibles, il remontait jusqu'à son clitoris gonflé de désir. La langue râpeuse était comme un archet sur un violon, il déclenchait des myriades d’arcs électriques à travers tout son corps, l’envoyant dans une chute en spirale vers l’orgasme tant désiré. À sa grande consternation, il se redressa, léchant le brillant de son jus sur ses lèvres. L'expression sur son visage était juste de la pure suffisance masculine.
« S'il vous plaît, je suis si proche » suppliait-elle, posant ses propres mains sur sa chatte bombée. Elle a murmuré une plainte déchirante lorsqu’il a saisi brutalement ses poignets pour les maintenir fermement au-dessus de sa tête. Son cœur s'emballa lorsqu'elle réalisa que sa queue venait se frotter contre sa chatte virginale. Ses pupilles se dilatèrent d'excitation.
« Oh non, pas encore. Ce sera quand je le déciderai » murmura-t-il, en l’embrassant sur les lèvres pour qu'elle puisse savourer le goût de sa chatte. Encore un geste qu'elle n'aurait jamais permis à un autre. Ces mots crus et cette attitude dominante l’irritaient et l’excitaient en même temps. Tout son jeune corps aspirait à l'achèvement du contrat, maintenant. Tous ces préliminaires retardaient ce pourquoi ils étaient là. Elle voulait le sentir l’ouvrir en deux, le sentir besogner en elle. Cynthia ne s'était jamais masturbée avec un gode qui pénétrerait son corps, parce qu'elle avait toujours voulu se préserver pour ce moment unique, ce moment où son hymen cédera devant la poussée virile d’une bite d'homme. Et ce moment tant attendu arrivait enfin.
M. Sellier se recula, les yeux attentifs aux réactions de son visage, en déplaçant ses hanches pour qu'elle puisse le sentir à l'entrée de sa chatte. Les yeux verts de la jeune femme s'écarquillèrent lorsqu'il se pressa contre elle. Ses yeux sombres étudiaient chaque lueur de son regard lorsqu'il commença à forcer le frêle rempart de sa virginité. La barrière n'était pas épaisse, mais il pouvait sentir la résistance, puis la déchirure, et sa grimace tandis qu'il craquait le passage vers le paradis.
Il ne se souvenait pas avoir déjà ressenti un tel plaisir. Pas seulement le sentiment de triomphe d’être le premier, mais aussi la façon dont elle cédait sous sa poussée. Son regard mêlé de douleur et de joie, la légère plainte qui s’échappait de ses lèvres entrouvertes, la crispation de tout ce jeune corps, et l’exquise douceur de ce canal intact. Elle cédait, charmante dans son ingénuité, accompagnant la pénétration d’un frisson de plaisir. Il était le premier, son premier. Le premier à lui faire connaître cette sensation unique.
Cynthia se cambrait sous lui, ses jambes s'écartaient pour essayer de trouver la meilleure position, tandis que son corps inexpérimenté essayait de découvrir la meilleure façon de gérer la situation.
« M. Sellier, vous êtes trop grand ! Je ne peux pas vous accueillir ! »
Il l’aurait parié. Ce n’était pas la première qui s’interrogeait sur la taille de son sexe. Et elle était si délicieusement serrée, quel plaisir de se sentir à l’étroit dans ce douillet fourreau.
« Patience, ma chérie, tu vas commencer à connaître le plaisir » Il caressait son jeune corps en maintenant la pression qui lui permettait d’installer lentement sa bite dans l'étreinte de sa fournaise. C'était le gant de velours le plus doux et le plus chaud qu’il ait pénétré, et il lui fallait toute sa volonté pour résister à l’envie de s’enfoncer sauvagement en elle. Bien sûr, il aurait pu s’effondrer sur elle, la briser, et la faire crier. Il avait payé pour ça. Elle lui appartenait.
Pourquoi se soucier du plaisir de la jeune femme ? Elle était vénale. Elle s’offrait pour de l’argent. Il aurait pu la baiser sans se préoccuper d’elle, de son plaisir, de sa féminité. Mais c’était aussi son plaisir de prendre soin de cette jeune fleur qui s’ouvrait à la vie. Elle avait choisi de s’offrir à un homme, un mâle expérimenté, plutôt qu’à un jeune imbécile, incapable d’apprécier sa chance, et qui aurait pris son plaisir sans tenir compte de celui de la jeune femme. Et ce sentiment de puissance, de pouvoir, faisait gonfler sa bite encore plus.
Et donc il se pressait doucement, progressant millimètre après millimètre, en la caressant passionnément, tandis que le désir de la jeune fille la poussait à soulever son bassin pour aller à la rencontre de ce sexe tendu qui ouvrait sa vulve. Il se pencha sur elle pour l’embrasser amoureusement, et elle enroula ses bras autour de ses épaules pour le caresser langoureusement. Il pouvait sentir le doux fourreau se resserrer tandis que sa gaine innocente s'adaptait lentement à lui, aux dimensions de sa virilité.
Quand elle commença à soulever ses hanches à sa rencontre, ses bras l’attirant contre elle, alors il sut qu'elle était prête. Il commença par se retirer un peu, avec précaution et douceur, avant de replonger lentement en elle. Il recommença ce mouvement en la pénétrant un peu plus profondément à chaque poussée. Cynthia était soumise à beaucoup de sensations contradictoires. Humiliée par la mendicité de son corps, déconcertée par la douleur initiale, stupéfiée par la capacité de sa vulve à accueillir un sexe de cette dimension, et l’homme sur elle commençait à la reconstruire peu à peu.
Elle ne pouvait pas croire à quel point c'était incroyable cette richesse de sensations que lui procurait ce sexe masculin qui glissait en elle. Et il entrait si profondément en elle. Elle ignorait qu’elle pouvait accueillir un tel engin. Ses gémissements de plaisir furent étouffés par les lèvres de M. Sellier. Sa langue envahissait sa bouche, et elle suçait cette langue agile avec délectation. Elle découvrait qu’elle savait naturellement faire l’amour.
C'était facile, instinctif, son corps répondait avidement aux poussées de l’homme sur elle, ses hanches oscillaient en cadence, réclamant une poussée plus forte, plus rapide, plus virile. Elle le voulait encore plus profondément en elle, épinglée sur le matelas comme un insecte sur une planchette, clouée par la mâle virilité. Elle comprenait maintenant ces films pornos où les femmes mendiaient pour être prises ainsi. Son désir devenait douloureux, un besoin omniprésent, tenace, et elle enroulait ses jambes autour de la taille de son partenaire pour l’attirer plus profondément en elle, même si ce sexe poussait une douleur au fond de son ventre.
Se frottant contre lui, purement par instinct, l’enserrant de ses bras et de ses jambes, Cynthia pouvait sentir qu'il commençait à perdre un peu de cette maîtrise de soi qu'il affichait devant elle. Il grognait dans sa bouche, et la cadence ses hanches, répondant aux désirs de Cynthia, accélérait son rythme. C’était presque douloureux pour la jeune femme, cette énorme sexe qui la forait, l’ouvrait si profondément, en glissant si brutalement, en heurtant le fond de sa vulve. Et pourtant, même cette douleur participait à l’épanouissement de son plaisir, un plaisir bestial bestial qui prenait naissance au creux de ses reins.
Il glissa ses bras sous les jambes de Cynthia, la courbant en deux en l’ouvrant encore plus, et à chaque poussée, le pubis de l’homme claquait contre contre son clitoris dressé. Maintenant, chaque poussée était si profonde, qu'elle pouvait ressentir le choc jusque dans sa gorge. L’orgasme la surprit, elle se révulsa, hurlant son bonheur, accrochée à l’homme qui faisait d’elle une femme. Des myriades d’éclairs éblouissants, de frissons dévorants, le corps traversé par des convulsions incontrôlables, des poussées d’extase ravageuse qui semblaient sans fin.
L’orgasme tonitruant de la jeune femme déclencha sa propre jouissance, et de puissants jets de sperme heurtèrent le fond de son ventre, prolongeant le ravissement de Cynthia. Elle pouvait le sentir palpiter à l’intérieur de sa vulve, et son fourreau serré commença naturellement à traire le pénis logé au fond de sa chatte. Elle ne s’était jamais sentie aussi vivante, aussi féminine, aussi forte et naturellement, elle berçait doucement l’homme effondré sur elle. M. Sellier, comme tous les hommes, avait perdu de sa superbe lorsque le coït s’est achevé. Il doutait de tout, de lui, de sa prestation. Il regrettait que cela s’achève si tôt. Il aurait aimé que l’acte se prolonge indéfiniment. Il était si bien dans cette douceur humide.
Cynthia aimait se sentir la plus forte, câlinait l’homme qui l’avait rendue heureuse, blottissait son visage dans son cou pour l’embrasser tendrement, tandis que son vagin se contractait autour de son sexe dans de petits frissons tremblants de bonheur post-orgasmique.
« C'était merveilleux. Vous avez été formidable. Merci, merci beaucoup » dit-elle, rassurante.
Elle était pleinement satisfaite d'avoir pris cette décision. Non seulement elle avait obtenu un substantiel gain d’argent en échange de sa virginité, mais M. Sellier avait rendu bien agréable cette première fois. Bien sûr, il l’avait rudoyée, il avait même été cruel avec certains de ses mots, mais cela avait contribué à son excitation. Et l’acte lui-même avait été … époustouflant !
Mais il se retirait déjà d'elle, quittant ses bras avant qu'elle ne puisse protester.
« Je suis content que ça te plaise » dit-il, en regardant la jeune beauté alanguie, à la chatte baveuse.
« Parce que, dès que nous nous serons nettoyés sous la douche, nous allons recommencer »
Le site web n'était pas tout à fait légal, essentiellement un bordel en ligne, domicilié à l’étranger, là où la prostitution est admise, même si elle est sévèrement encadrée. Patrick fréquentait ce site depuis son divorce. Les enfants étaient majeurs, à l’université, et ils avaient pris leur indépendance. Patrick ne souhaitait pas fonder un nouveau foyer. Trop de travail pour une récompense aléatoire.
Ce site web lui permettait de choisir exactement ce qu'il voulait pour passer une agréable soirée avec de très jeunes femmes, et d’avoir l’assurance qu’elles étaient saines. Il avait la chance de vivre tout près de la frontière, mais la plupart de ces filles étaient françaises, ce qui lui permettait de les rencontrer dans un hôtel près de chez lui.
Lorsqu’il avait sa soirée de libre, ce qui était rare vu qu’il travaillait beaucoup, il consultait le site pour voir ce qui lui ferait plaisir. Et ce soir, il y avait une nouvelle fille. Qui désirait vendre sa virginité au plus offrant. Le site promettait que la fille était "légale", c’est à dire tout juste majeure … Déflorer une gamine de l’âge de sa fille, un plaisir rare, mais cher. D’abord, se connecter à son compte bancaire, vérifier l’état de ses comptes. Il s’en doutait, mais il voulait être sûr d’avoir du répondant.
Ensuite, vérifier la marchandise. Patrick l'a reconnue immédiatement bien sûr, comment pouvait-il en être autrement ? Il la connaissait depuis la sixième. Une copine de sa fille. Cynthia avait fêté son 18° anniversaire le mois dernier. Une petite blonde pétillante, l’œil vif, le nez retroussé, la bouche rieuse.
Vendre sa virginité sur internet. Quelle connerie ! Qu’est-ce qu’elles ont dans la tête, ces gamines ? Mais, dans son déshabillé transparent, elle était sacrément bandante, la minette ! Les enchères étaient ouvertes jusqu'à minuit. Attendre le dernier moment pour surenchérir, afin de surprendre les concurrents. S'il avait été un autre genre d'homme, il aurait peut-être fait une offre pour la sauver d'elle-même. L’empêcher de se nuire.
Mais, Patrick était un prédateur. Il se fichait des autres, de leurs décisions stupides. Il pensait même qu’il pouvait être une meilleure option pour la fille que la plupart des salopards qui traînaient sur ce site. Il ne voulait pas lui faire de mal, bien au contraire. Il voulait l’éveiller au plaisir sexuel. Il était était en bonne forme physique, pour son âge, malgré sa calvitie naissante et son abdomen légèrement proéminent.
Patrick savait qu'il plaisait aux femmes, même certaines copines de sa fille le trouvaient attirant. Deux heures plus tard, contre une somme d'argent insensée, il était l'heureux propriétaire de la virginité de Cynthia. Il a rempli le formulaire, quand et où, la rencontre était programmée le week-end prochain. Hôtel Beauraing, chambre 415.
*****
Cynthia était anxieuse. Elle se regardait dans le miroir de l’ascenseur qui l’emmenait au quatrième étage de l’hôtel. Elle s’humecta les lèvres. Elle avait la gorge sèche et les mains moites. Une boule d’angoisse dans l’estomac. Allait-elle vraiment faire ça ? Oui, pas question de reculer. Trop longtemps qu’elle attend cela. Même pas à cause de l’argent. Même si cette somme ridiculement élevée était un joli bonus. C'était quelque chose qu'elle planifiait depuis longtemps, depuis qu'elle avait entendu parler de ce site web sur lequel elle avait vendu sa virginité aux enchères.
Il y a presque deux ans, sa sœur aînée en parlait avec ses copines. Des filles utilisaient ce site comme un service de rencontres. Elles pouvaient se faire un peu d’argent discrètement, sans risque, mais elles disaient que le bonus allait aux vierges. Certaines touchaient le pactole. Sur ce site, les hommes avaient du fric. Des types âgés. Matures. Certains étaient même presque inoffensifs.
Cynthia avait un faible pour les hommes mûrs, avec des rides et les tempes grisonnantes. Elle les trouvait craquants, et elle fondait pour ses professeurs, à l’université. Les garçons de son âge l’importunaient. Ils étaient trop pressés, trop futiles, trop chiens fous. Elle était peut-être la dernière fille vierge à 18 ans, mais elle s’était préservée pour ce grand soir. Et les garçons de son âge ne l'intéressaient pas.
Donner sa virginité à un homme âgé ? Un inconnu ? Sans comprendre pourquoi, cette idée lui plaisait. Peut-être que la réalité ne sera pas à la hauteur du fantasme, mais au moins elle sera payée pour la perte de son hymen. Peu de filles restaient en couple avec le gars qui leur avait fait craquer la rondelle, et elles n'avaient rien obtenu en échange de ce précieux cadeau.
En prenant une profonde inspiration, elle glissa la carte magnétique de l'hôtel dans la fente de la porte. Sa robe virevoltait autour de ses cuisses lorsqu'elle franchit la porte. La chambre d'hôtel était plongée dans la pénombre, mais de l'autre côté de la pièce, il y avait un homme assis sur une chaise devant la baie vitrée. Dans le contre-jour, elle ne pouvait pas voir ses traits, juste sa silhouette lorsqu'il se leva pour l’accueillir. Il était grand et costaud, mais c'était tout ce qu'elle pouvait savoir.
L'excitation, le désir, l'anticipation stimulaient son jeune corps tandis qu'un sourire commercial illuminait son visage. Elle s'avança, claquant la porte derrière elle. Était-ce juste son imagination, ou pouvait-elle réellement sentir les yeux de l’homme caresser son jeune corps, s'attardant sur son décolleté et sur ses cuisses bronzées ?
« Bonsoir » dit-elle d’une voix rauque, troublée par le silence de l’inconnu. « Je suis Cynthia, tu dois être Patrick » Elle actionna l'interrupteur et sursauta. « Oh mon dieu... M. Sellier !? »
Le visage familier du père de Manon était la dernière figure qu'elle s'attendait à voir. Un visage plutôt ridé aux mâchoires carrées, encadré par des cheveux poivre et sel, et un front dégarni. Le type d’homme qui pouvait l’émouvoir. Une chose qu’elle n’aurait jamais osé avouer à sa copine Manon, la fille de Patrick, lorsqu’elle regardait discrètement son père en maillot de bain, au bord de la piscine familiale. En plus, c’était un copain de son propre père. Et souvent son fantasme de jeune fille sage.
Mais là, maintenant, elle n’avait certainement pas envie de se masturber devant lui. Ridicule, embarrassée, déconfite, pas un instant elle n’avait imaginé subir pareille humiliation. Le fantasme d'être dépucelée par un homme mature, riche et stupide, lui a soudain semblé vil et puéril. Elle regardait cet homme qu'elle connaissait depuis des années, et qui savait qu'elle avait vendu sa virginité sur internet. Elle se sentait impure. Honteuse. Incroyablement stupide.
Peut-être allait-il se contenter de la sermonner, sans aller raconter à ses parents la déchéance où elle était tombée. Elle allait devoir rendre l'argent, bien sûr. Comment allait-elle couvrir le pourcentage astronomique du site web ? Ses joues avaient viré au rouge vif, avant de pâlir par paliers successifs. Il se tenait là, debout, devant elle, à la dévisager sans un mot. L’évaluer, la jauger, essayer de prendre l’ascendant sur elle. Des larmes d'humiliation jaillirent de ses yeux. Elle baissa son regard, morte de honte et de trouille.
« Je ne parviens pas à imaginer ce que vous devez penser de moi. Veuillez me pardonner, s’il vous plaît » marmonna-t-elle. Elle n’osait pas soutenir son regard, de peur d’y voir le dégoût et la désapprobation.
« Je pense que ce soir tu es plus belle que jamais » dit-il doucement de sa voix grave et profonde. « J'ai attendu ce moment avec tant d’impatience, depuis que je sais que j’ai gagné le gros lot »
L’émotion l'envahit, et elle redressa la tête en l'entendant s’approcher d’elle. L’ardeur de son regard sombre l’hypnotisait, la bouleversait jusqu’au plus profond de son ventre. Ses jambes flageolaient en comprenant que l’homme la voulait. Un sorte d’instinct primitif lui dictait sa conduite. Elle savait qu’elle ne pourrait pas lui résister, qu’elle allait lui céder, lui appartenir.
« Êtes-vous... sommes-nous ? » Elle ne pouvait pas formuler sa pensée.
« Qu'y a-t-il, Cynthia ? » demanda-t-il. Sa voix grave résonnait dans ses tripes, les poils de ses bras se dressaient. Il cessa de s’approcher, se tenait debout au pied du lit, et elle ne pouvait s'empêcher de regarder ce grand lit sur lequel elle allait perdre sa virginité. « Aurais-tu des doutes sur ta virginité ? »
Oui et non. Sauf qu’elle se demandait maintenant ce qu’il voulait dire par là. Non, elle n’avait pas de doute sur sa virginité, elle se savait pure. Mais non, elle aurait préféré un parfait inconnu. Pouvait-elle raisonnablement s’offrir au père d’une amie ? À un ami de la famille ? À cet homme qui lui plaisait autant qu’il l’intimidait ?
Elle se demandait s'il essayait juste de lui faire peur. Tordant ses mains devant elle, elle essayait de deviner ses intentions. Elle aurait voulu trouver quelque chose de pertinent à dire, mais elle avait juste le sentiment de foncer droit dans un mur, sans pouvoir rien faire pour l’éviter. Elle aurait voulu crier. Le pire, c’était qu’il lui plaisait. Physiquement, intellectuellement, il la troublait. L’émoustillait. C’était un homme, un vrai. Pas un gamin de son âge, un de ces puceaux débiles.
« Tu sais ce que je pense ? » Sa voix était comme une caresse qui l’enveloppait. Il s’approchait d’elle à nouveau. Lentement. Comme un chat qui s’avance vers sa proie. Aucun geste brusque, le regard fixe. Elle se sentait tétanisée. Elle aurait aimé courir, s’enfuir, mais ses jambes refusaient de bouger. Les frissons dans son ventre devenaient importants.
« Je pense que tu voulais faire quelque chose d'un peu polisson. Perdre ta virginité dans les bras d’un homme expérimenté, qui peut te faire découvrir le plaisir charnel »
Il était tout près d’elle maintenant, et il leva sa main pour la caresser. Son doigt suivait le contour de sa mâchoire, glissait le long de son cou, longeait sa clavicule jusqu'à l’ourlet de son décolleté. Ses mamelons durcissaient comme des pierres. Elle sentait son souffle s’accélérer lorsque le doigt perfide s’insinua dans le décolleté de sa robe d'été. Les yeux de M. Sellier ne quittaient jamais les siens.
« Un homme qui saura apprécier l’immense cadeau que tu lui fais »
Quand la paume chaude s’empara de son jeune sein, Cynthia ressentit une faiblesse dans les genoux. Sa bouche close s’entrouvrit pour laisser échapper un doux gémissement. C’était si doux, si bon, si chaud. Elle pouvait mesurer la différence avec les gamins qui lui avaient déjà tripoté les nichons. Vierge ne veut pas dire totalement étrangère aux premiers émois. Elle avait eu des petits copains. Qui voulaient tous la même chose. Lui faire craquer sa rondelle. Et qui la laissaient tomber en comprenant qu’elle ne céderait pas.
Elle a faillit s'effondrer de bonheur. C'était comme s’il était le premier homme. La douceur de M. Sellier, la chaleur de sa caresse, c’était une expérience totalement différente. La fermeté de sa poigne sur son sein, la bienveillance dans ses yeux, son assurance communicative tranchaient avec les garçons haletants et avides qui la tripotaient à l'arrière des voitures. Ils tremblaient d'excitation en malaxant ses seins, ils la pelotaient sans tendresse, et elle ne s'était jamais sentie aussi excitée qu'en ce moment.
Les yeux dans les yeux, comme s’il voulait l’hypnotiser, M. Sellier leva son autre main pour presser délicatement ses deux seins cachés par le tissu léger de sa robe d’été. Une robe très décolletée, avec le dos nu, qui ne permettait pas de porter un soutien-gorge, et dont sa jeune poitrine n’avait nul besoin. Aucune expression n’était visible sur son visage de marbre, même si elle pouvait jurer que ses yeux avaient l'air de plus en plus brillants.
Puis, soudain, il fit demi-tour et s'éloigna d’elle. Une panique soudaine l’envahit. Qu'avait-elle fait de mal ? M. Sellier s'est assis sur le lit, face à elle.
« Enlève cette robe Cynthia, je veux voir ce que j'ai payé si cher »
Une bouffée de chaleur envahit tout son corps, accompagnée d'une saine colère. Il lui parlait comme si elle était une ... Ses joues sont devenues blêmes. Comme si elle était sa poule, pire, comme si elle était sa pute. Elle avait vendu sa virginité au plus offrant. Elle ne voulait pas en faire commerce. Quoique ...
Il attendait patiemment, les yeux dans le vide pendant qu'elle faisait glisser sa robe le long de son corps juvénile. Il suivait des yeux les chairs qui se dénudaient. Les seins ronds, la taille étroite, les hanches courbées, les jambes fines et nerveuses. Cynthia avait la bouche sèche, et elle tremblait d’émotion. Parce qu'elle espérait qu'il la trouve séduisante. Étrangement, elle doutait soudain d'elle-même, de son pouvoir de séduction. Il l'avait déstabilisée en lui parlant si brutalement. Alors, elle restait les bras ballants, le souffle court, attendant le verdict de l’homme qui avait payé sa virginité, et qu’elle admirait tant.
« Ta culotte » grogna-t-il, et elle se surprit à vouloir l'insulter. Elle avait espéré une autre réaction de sa part. Et pourtant, ses mamelons continuaient de frémir, sa chatte bruissait de désir, comme si elle aimait être traitée comme une salope. Cynthia, avec un regard de défi, balança ses hanches pour faire glisser sa culotte, qu’elle enjamba comme sa robe, révélant son corps entièrement nu. Elle a mis ses mains devant sa motte soigneusement taillée. Il n'y avait qu'une petite bande de poils pubiens blonds qui la recouvrait, car elle avait complètement rasé les bords de sa chatte en dessous.
Incapable de soutenir le regard de M. Sellier dans sa position, nue et vulnérable, Cynthia baissa les yeux et réalisa brusquement qu'elle distinguait nettement une érection très importante dans son pantalon. Pas gêné du tout, M. Sellier a ri en voyant ses yeux s’écarquiller.
« Ne t'inquiète pas ma chérie, je serai doux » Cela faisait cliché. Cela paraissait idiot. Malgré tout, elle frissonnait d'anticipation. Elle le désirait. Vraiment.
« Approche, petite »
Fermant les yeux un instant, Cynthia inspira un grand coup, comme pour rassembler son courage. Quand elle les rouvrit, M. Sellier était toujours assis sur le bord du lit, et il la regardait intensément, un petit sourire ironique fleurissant sur ses lèvres. Ses jambes tremblantes lui permirent de faire un pas en avant. Le sourire de M. Sellier s'élargit, et elle sentit sa respiration s’accélérer. Elle marchait comme on va au supplice, mais elle continua à avancer jusqu'à ce qu'elle se tienne juste devant M. Sellier. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles.
Elle suffoqua lorsqu'il glissa sa main entre ses cuisses. Son regard brûlant ne quittait pas ses yeux tandis qu'il caressait du bout des doigts les lèvres virginales de sa chatte. Incapable de supporter l'expression de triomphe sur son visage lorsqu'il la trouva trempée, Cynthia ferma les yeux sur sa déchéance. Elle frissonna lorsque les doigts audacieux trouvèrent l'entrée de sa vulve.
« S'il vous plaît... »
« S'il vous plaît, quoi ? » demanda-t-il en enfonçant profondément son long doigt pour la faire panteler. Elle couvrit son visage avec ses mains, incapable de retenir un faible gémissement.
« S'il vous plaît... c'est tellement embarrassant... vous ne pouvez pas juste le faire ? »
Le rire de M. Sellier, si mâle et si profond qu'il la fit frissonner, lorsqu'elle le regardait entre ses doigts. Elle ne se rendait même pas compte que sa réticence, sa pudeur, l'innocence même de sa demande l'excitaient encore plus. Elle ne s'était pas préparée à ce que se soit le père de sa copine qui l'attendrait dans cette chambre pour la déflorer. Elle avait imaginé tout un tas d’intrigues plus ou moins romantiques, mais que le père de sa copine vienne mettre sa main entre ses cuisses, et la pénètre avec son long doigt, pour la préparer à une défloration moins douloureuse, ça dépassait son entendement.
« Détends-toi, ma chérie. Je ne vais pas te faire n'importe quoi. Tu voulais un homme expérimenté pour ton premier cri de joie, pas un gamin excité qui se serait jeté sur toi, au risque de te blesser. Je vais être doux, je te l’ai promis. Laisse-moi faire, ça va te plaire »
Malgré ses paroles apaisantes, il était dangereusement proche de perdre son propre contrôle. Il voulait lui faire du bien, mais son désir le poussait à l'allonger sur le lit, écarter ses cuisses d'un blanc crémeux, et plonger sa bite dans l'orifice trempé que son doigt préparait. Il n'y avait vraiment aucune autre solution, et il souriait d'anticipation. Retirant son doigt de son antre fiévreux avec un bruit humide, il le mit dans sa bouche pour le sucer, en regardant la rougeur envahir les joues de la fille. Cynthia n'avait jamais rien vu d'aussi indécent, ni d’aussi obscène. Son doigt brillant de cyprine, il le suçait comme si c’était une friandise. Puis, sortant son doigt de sa bouche, il se pencha pour dégrafer son pantalon. Elle déglutit convulsivement, en réalisant la taille du pénis qui allait lui ravir sa virginité.
« Oh, putain ! » Elle ne put retenir l'exclamation lorsque la bite, longue et épaisse, sorti du pantalon, déjà dressée, avec le gland violacé qui suintait de pré-sperme. Et ce monstre était censé venir à l'intérieur d'elle ? Peut-être à cause des circonstances, mais elle était sûre de n’avoir jamais vu pareil colosse.
« A genoux, Cynthia » Elle aurait voulu protester, se rebeller, lui dire que cela ne faisait pas partie du contrat, mais devant son regard intimidant, elle s’agenouilla devant lui. Même avec ses jambes flageolantes, c'était facile.
« Je ne vais pas te faire de mal, petite, mais cela nous fera du bien à tous les deux » Il enfouit ses doigts dans ses cheveux pour approcher la bouche réticente de sa queue.
« J'ai besoin que tu prennes un peu de bon temps, et moi aussi, sinon je risque de te pénétrer trop vite et trop fort » La jeune adolescente gémit en entendant ces mots, et il profita de ses lèvres entrouvertes pour glisser le bout de sa bite dans sa bouche goulue. Cynthia leva ses grands yeux bleus vers lui, anxieuse mais émoustillée, le gland presque entièrement dans sa bouche. Instinctivement, elle le lécha, goûtant le pré-sperme acre et salé, suçant la peau douce et veloutée comme s'il s'agissait d'une boule de crème glacée.
Il avait un goût fort de mâle en rut, et elle n'eut qu'un bref instant pour s’acclimater avant que la main impérieuse ne la tire inexorablement plus profond, glissant une petite partie de sa longue tige dans sa bouche. Ce n'était pas la première bite qu'elle suçait, mais c'était la première fois qu'elle était hors de contrôle en le faisant. Normalement, pratiquer le sexe oral la faisait se sentir à la fois féminine et puissante. En ce moment, elle se sentait féminine mais extrêmement vulnérable, d'une manière qu'elle n'avait jamais ressentie auparavant.
Les doigts enroulés dans sa tignasse, M. Sellier tenait fermement sa tête et poussait ses hanches vers elle chaque fois qu'il forçait sa bouche sur sa bite. Elle a enroulé son poing autour de la base de sa bite pour s'empêcher de bâillonner pendant qu'il lui baisait la bouche. Parce que c'était exactement ce qu'il faisait, il lui baisait la bouche. C'était rustre, c'était tyrannique, c'était une humiliation permanente. Mais cela la rendait plus chaude et plus humide qu'une forêt tropicale.
Son corps frémissait de désir, sa bouche lui faisait mal, elle souhaitait qu'il arrête de lui tirer les cheveux. Mais sa chatte lui semblait désespérément vide sans ce gros doigt à l'intérieur, son entrejambe s’humidifiait de son jus tandis qu'elle frottait ses cuisses ensemble pour soulager sa compulsion nécessiteuse. Pendant que sa bouche glissait sur la bite tendue, ses seins s’agitaient en tous sens, les tétons durcis voulaient se frotter contre quelque chose. Elle avait désespérément besoin de se toucher, mais elle ne pouvait même pas imaginer à quel point cela serait dégradant pour sa fierté.
Le jaillissement de sperme crémeux dans sa bouche l’a prise au dépourvu tandis qu'il forçait sa bouche à descendre si loin que ses lèvres rencontrèrent ses doigts. La bite palpitait au fond de sa gorge. Elle couina et se tortilla, essayant d’échapper au liquide chaud et gluant qui se déversait dans sa bouche. Elle avalait désespérément. Elle n'avait jamais fait cela auparavant, mais c'était avaler ou s'étouffer. La bite était trop profondément enfoncée dans sa bouche pour qu'elle puisse cracher, elle aspergeait le fond de sa gorge et cela glissait jusque dans son ventre. Quand il relâcha finalement sa tête, elle se redressa en crachotant, furieuse.
« Cela ne faisait pas partie de notre accord ! J'ai fini avec vous ici ! »
Patrick a juste éclaté de rire : « Pas si tu veux ton argent, petite. Et il n’y a pas que ça, qui te manque » Il mit son doigt sous le menton de Cynthia pour relever sa tête et la dévisager, les yeux dans les yeux. Son regard magnétique la fit frissonner. « Si tu voulais réellement partir, tu ne resterais pas à genoux devant moi. Tu aimes ça. Tu aimes être dominée et utilisée. Tu pouvais quitter cette chambre à n’importe quel moment, mais tu es restée. En fait, ton besoin d'argent, c’est juste une excuse pour ne pas regarder la réalité en face. Tu restes là, à genoux devant moi, avec du sperme plein le menton et sur ta poitrine. Ta chatte est trempée de désir et elle mendie pour sa première bite. N'est-ce pas, minette ? »
Ses joues rougissaient et pâlissaient alternativement, à cause de sa honte et de sa colère mêlées. Elle aurait voulu nier ses paroles, lui crier qu’il n’avait pas à la traiter ainsi. Mais elle savait sa chatte brûlante de désir. Le sperme qui lui remplissait la bouche la dégouttait et l’excitait en même temps. Elle savait qu’elle voulait plus, qu’elle ne repartirait pas avec son pucelage. Elle voulait juste qu’il arrête de jouer avec elle. Elle voulait qu’il la baise, et qu’on en parle plus.
Patrick étudiait sa physionomie pour suivre l’évolution de ses pensées : « Tu peux partir si tu veux, Cynthia. Personne ne t'oblige à rester. Tu peux rentrer chez toi avec ton pucelage intact, ou tu peux t’allonger sur le lit, et me laisser faire de toi une femme heureuse »
Le bon sens lui dictait de quitter cette chambre d'hôtel dès qu’elle avait reconnu M. Sellier. Elle pensait que c’était un connard misogyne, un sale pervers, qu'elle aurait dû le gifler et partir d’ici. Mais son corps, ses pulsions, l'ont conduite à ramper sur le lit et à s'allonger de côté, les jambes jointes, le regardant à travers ses paupières mi-closes pendant qu'il se déshabillait. Elle venait de le sucer, mais sa queue n’était même pas molle, elle se redressait déjà. Cynthia ne parvenait pas à détourner son regard de cet organe qui la fascinait.
M. Sellier avait un corps épais, bien musclé, des épaules larges, le torse et l’abdomen recouverts de poils poivre et sel, comme sa chevelure. Elle s''imaginait déjà, clouée sur le lit, son corps lourd recouvrant le sien, son cuir velu frottant sur sa peau douce. Il ne ressemblait en rien aux gamins de son âge. C’était un homme, un type solide et imposant. Patrick s'approchait d’elle, et son destin lui échappait. Ses yeux croisèrent son regard, elle y lu un désir fou, et elle comprit qu’elle ne pourrait plus l’arrêter. Voir ce jeune corps abandonné à sa convoitise, savoir qu’elle avait choisi de rester et de lui offrir son innocence, le mettait en transes.
« Sur le dos » grogna-t-il, le regard dur, ce qui la fit frissonner. Il ne souriait pas, il était plein d’arrogance, autoritaire. Il ne demandait pas, il ne doutait pas, il ordonnait, et elle obéissait.
« Écarte tes jambes » Allongée sur le dos, les jambes ouvertes, elle se sentait vulnérable et fébrile. Elle le voulait, et elle en avait peur. Ces deux impressions ne la quittaient pas depuis qu’elle était entrée dans cette chambre. La passion qui brûlait dans les yeux de cet homme l’inquiétait et l’aimantait.
« Magnifique » commenta-t-il en la regardant allongée devant lui, et elle rougit de plaisir. Elle se sentait belle et sexy quand il la regardait de cette façon. Désirable et puissante. Et effrayée lorsqu'il rampa sur le lit pour planer au-dessus d'elle. Il s’agenouilla entre ses cuisses ouvertes. Elle ne pouvait plus refermer ses cuisses, même si elle le voulait. Elle était à sa merci, disponible et utilisable selon son bon vouloir.
Bien sûr, comme il ne s’appuyait pas sur ses mains, il était libre de la toucher. Cynthia frémit lorsqu'il posa ses mains sur sa cage thoracique, juste sous ses seins. Elle ferma les yeux lorsqu'il s’empara de ses seins. Sa respiration devenait plus bruyante pendant qu'il pressait ses mamelons. En se cambrant, elle étouffa un gémissement, ne voulant pas qu'il sache à quel point c'était incroyablement bon. Elle redoutait qu’il ait plus de pouvoir sur elle, alors qu'elle était déjà totalement conquise.
Puis sa bouche humide et chaude goba l'un de ses mamelons si sensibles. Son menton mal rasé griffait la chair tendre de son sein, et ses mains descendirent plus bas pour la maintenir en place. Il pinçait, tirait, léchait et suçait tendrement le téton dressé. Sous lui, le corps nerveux de Cynthia remuait, se tortillait, incapable de rester immobile en ressentant le besoin sexuel entre ses jambes grandir à chaque succion ensorcelante sur son mamelon.
Quand il éloigna sa bouche, elle bredouilla sa déception, jusqu'à ce que ses lèvres se referment autour de son autre mamelon. Le sein délaissé ressentait la froidure de la chambre d'hôtel, un contraste troublant avec la moiteur précédente. Cynthia caressait la nuque, les épaules, et les bras de l’homme penché sur elle. Partout où elle pouvait l'atteindre. Elle n'avait jamais ressenti cette exigence compulsive de caresser un homme ainsi. Normalement, elle restait beaucoup plus réservée.
Patrick jouait avec ses sensations comme un virtuose joue d'un instrument, avec toute la finesse d'un musicien expérimenté. Elle était complètement sous influence, esclave des émotions qu'il éveillait en elle. Même lorsqu'elle se masturbait, elle n'avait jamais ressenti ce désordre des sens, ce besoin douloureux d'être prise. Elle ne connaissait pas cette indigence palpitante, qui lui coupait le souffle, ni les spasmes de sa chatte qui se gorgeait de sang. La façon dont Patrick manipulait ses seins relevait d’une forme d’art.
« Aaaah, s’il vous plaît... » Cynthia soupira lorsqu'il mordilla son téton en tirant dessus.
« Oui, ma chérie ? » Il ne parlait pas, il ronronnait. Il pressait fort ses seins, la regardant se cambrer et se tordre.
« Aaaah, touchez-moi » supplia-t-elle.
« Mais je te touche ? »
« Plus, s'il vous plaît, plus... » Elle écartait ses jambes aussi largement qu’elle le pouvait, détestait son rire et, en même temps, ne se souciait que de cette humidité douloureuse qui devenait le centre du monde.
« Demande-moi, chérie. Dis-moi ce que tu veux que je touche »
« Oh, s’il vous plaît, touchez ma chatte, s’il vous plaît »
Son intérêt s'est déplacé vers le bas, ses mains ont quitté ses seins pour presser l'intérieur de ses cuisses. Les pouces écartaient largement les grandes lèvres pour qu'il puisse contempler les chairs roses et luisantes de sa chatte. Les joues de Cynthia virèrent au rouge vif. Elle voulait qu'il la caresse, qu’il la pénètre, pas qu'il l’examine. L’attention clinique qu’il portait sur les parties les plus intimes de son corps rendait la situation plus pénible, lui donnant à réfléchir sur ce qu’il regardait avec autant d’attention. Quelque chose d’anormal avait-il attiré son attention ? Avait-elle un problème à cet endroit-là ? Et s’il renonçait à son droit de cuissage, parce qu’il avait constaté un défaut ? Et s’il la plantait là, excitée et impatiente ?
Le temps de rassembler ses pensées, et sur le point de protester contre cette attente insupportable, Patrick se pencha un peu plus en avant, et l’homme qu’elle convoitait posa sa bouche sur sa chatte écumante. Un cri bouleversé, mélange de joie et d’énervement, s’échappa des lèvres entrouvertes lorsque la langue de M. Sellier lécha sa fente. Pressant sa bouche sur sa chatte, sa langue explorait chaque pli, chaque recoin, avec une attention chirurgicale, en déployant toutes ses compétences. Un avant-goût de paradis lui fit fermer ses jolis yeux pour se concentrer sur les émotions qu’elle ressentait. De jeunes gars lui avaient déjà fait cela, mais pas avec cette virtuosité, et elle s’apercevait qu’elle avait fait le bon choix.
Enfouissant ses doigts dans ses mèches grises, elle caressait la nuque de l’homme qui la comblait de ses douceurs. Après avoir comblé les petites lèvres intérieures extrêmement sensibles, il remontait jusqu'à son clitoris gonflé de désir. La langue râpeuse était comme un archet sur un violon, il déclenchait des myriades d’arcs électriques à travers tout son corps, l’envoyant dans une chute en spirale vers l’orgasme tant désiré. À sa grande consternation, il se redressa, léchant le brillant de son jus sur ses lèvres. L'expression sur son visage était juste de la pure suffisance masculine.
« S'il vous plaît, je suis si proche » suppliait-elle, posant ses propres mains sur sa chatte bombée. Elle a murmuré une plainte déchirante lorsqu’il a saisi brutalement ses poignets pour les maintenir fermement au-dessus de sa tête. Son cœur s'emballa lorsqu'elle réalisa que sa queue venait se frotter contre sa chatte virginale. Ses pupilles se dilatèrent d'excitation.
« Oh non, pas encore. Ce sera quand je le déciderai » murmura-t-il, en l’embrassant sur les lèvres pour qu'elle puisse savourer le goût de sa chatte. Encore un geste qu'elle n'aurait jamais permis à un autre. Ces mots crus et cette attitude dominante l’irritaient et l’excitaient en même temps. Tout son jeune corps aspirait à l'achèvement du contrat, maintenant. Tous ces préliminaires retardaient ce pourquoi ils étaient là. Elle voulait le sentir l’ouvrir en deux, le sentir besogner en elle. Cynthia ne s'était jamais masturbée avec un gode qui pénétrerait son corps, parce qu'elle avait toujours voulu se préserver pour ce moment unique, ce moment où son hymen cédera devant la poussée virile d’une bite d'homme. Et ce moment tant attendu arrivait enfin.
M. Sellier se recula, les yeux attentifs aux réactions de son visage, en déplaçant ses hanches pour qu'elle puisse le sentir à l'entrée de sa chatte. Les yeux verts de la jeune femme s'écarquillèrent lorsqu'il se pressa contre elle. Ses yeux sombres étudiaient chaque lueur de son regard lorsqu'il commença à forcer le frêle rempart de sa virginité. La barrière n'était pas épaisse, mais il pouvait sentir la résistance, puis la déchirure, et sa grimace tandis qu'il craquait le passage vers le paradis.
Il ne se souvenait pas avoir déjà ressenti un tel plaisir. Pas seulement le sentiment de triomphe d’être le premier, mais aussi la façon dont elle cédait sous sa poussée. Son regard mêlé de douleur et de joie, la légère plainte qui s’échappait de ses lèvres entrouvertes, la crispation de tout ce jeune corps, et l’exquise douceur de ce canal intact. Elle cédait, charmante dans son ingénuité, accompagnant la pénétration d’un frisson de plaisir. Il était le premier, son premier. Le premier à lui faire connaître cette sensation unique.
Cynthia se cambrait sous lui, ses jambes s'écartaient pour essayer de trouver la meilleure position, tandis que son corps inexpérimenté essayait de découvrir la meilleure façon de gérer la situation.
« M. Sellier, vous êtes trop grand ! Je ne peux pas vous accueillir ! »
Il l’aurait parié. Ce n’était pas la première qui s’interrogeait sur la taille de son sexe. Et elle était si délicieusement serrée, quel plaisir de se sentir à l’étroit dans ce douillet fourreau.
« Patience, ma chérie, tu vas commencer à connaître le plaisir » Il caressait son jeune corps en maintenant la pression qui lui permettait d’installer lentement sa bite dans l'étreinte de sa fournaise. C'était le gant de velours le plus doux et le plus chaud qu’il ait pénétré, et il lui fallait toute sa volonté pour résister à l’envie de s’enfoncer sauvagement en elle. Bien sûr, il aurait pu s’effondrer sur elle, la briser, et la faire crier. Il avait payé pour ça. Elle lui appartenait.
Pourquoi se soucier du plaisir de la jeune femme ? Elle était vénale. Elle s’offrait pour de l’argent. Il aurait pu la baiser sans se préoccuper d’elle, de son plaisir, de sa féminité. Mais c’était aussi son plaisir de prendre soin de cette jeune fleur qui s’ouvrait à la vie. Elle avait choisi de s’offrir à un homme, un mâle expérimenté, plutôt qu’à un jeune imbécile, incapable d’apprécier sa chance, et qui aurait pris son plaisir sans tenir compte de celui de la jeune femme. Et ce sentiment de puissance, de pouvoir, faisait gonfler sa bite encore plus.
Et donc il se pressait doucement, progressant millimètre après millimètre, en la caressant passionnément, tandis que le désir de la jeune fille la poussait à soulever son bassin pour aller à la rencontre de ce sexe tendu qui ouvrait sa vulve. Il se pencha sur elle pour l’embrasser amoureusement, et elle enroula ses bras autour de ses épaules pour le caresser langoureusement. Il pouvait sentir le doux fourreau se resserrer tandis que sa gaine innocente s'adaptait lentement à lui, aux dimensions de sa virilité.
Quand elle commença à soulever ses hanches à sa rencontre, ses bras l’attirant contre elle, alors il sut qu'elle était prête. Il commença par se retirer un peu, avec précaution et douceur, avant de replonger lentement en elle. Il recommença ce mouvement en la pénétrant un peu plus profondément à chaque poussée. Cynthia était soumise à beaucoup de sensations contradictoires. Humiliée par la mendicité de son corps, déconcertée par la douleur initiale, stupéfiée par la capacité de sa vulve à accueillir un sexe de cette dimension, et l’homme sur elle commençait à la reconstruire peu à peu.
Elle ne pouvait pas croire à quel point c'était incroyable cette richesse de sensations que lui procurait ce sexe masculin qui glissait en elle. Et il entrait si profondément en elle. Elle ignorait qu’elle pouvait accueillir un tel engin. Ses gémissements de plaisir furent étouffés par les lèvres de M. Sellier. Sa langue envahissait sa bouche, et elle suçait cette langue agile avec délectation. Elle découvrait qu’elle savait naturellement faire l’amour.
C'était facile, instinctif, son corps répondait avidement aux poussées de l’homme sur elle, ses hanches oscillaient en cadence, réclamant une poussée plus forte, plus rapide, plus virile. Elle le voulait encore plus profondément en elle, épinglée sur le matelas comme un insecte sur une planchette, clouée par la mâle virilité. Elle comprenait maintenant ces films pornos où les femmes mendiaient pour être prises ainsi. Son désir devenait douloureux, un besoin omniprésent, tenace, et elle enroulait ses jambes autour de la taille de son partenaire pour l’attirer plus profondément en elle, même si ce sexe poussait une douleur au fond de son ventre.
Se frottant contre lui, purement par instinct, l’enserrant de ses bras et de ses jambes, Cynthia pouvait sentir qu'il commençait à perdre un peu de cette maîtrise de soi qu'il affichait devant elle. Il grognait dans sa bouche, et la cadence ses hanches, répondant aux désirs de Cynthia, accélérait son rythme. C’était presque douloureux pour la jeune femme, cette énorme sexe qui la forait, l’ouvrait si profondément, en glissant si brutalement, en heurtant le fond de sa vulve. Et pourtant, même cette douleur participait à l’épanouissement de son plaisir, un plaisir bestial bestial qui prenait naissance au creux de ses reins.
Il glissa ses bras sous les jambes de Cynthia, la courbant en deux en l’ouvrant encore plus, et à chaque poussée, le pubis de l’homme claquait contre contre son clitoris dressé. Maintenant, chaque poussée était si profonde, qu'elle pouvait ressentir le choc jusque dans sa gorge. L’orgasme la surprit, elle se révulsa, hurlant son bonheur, accrochée à l’homme qui faisait d’elle une femme. Des myriades d’éclairs éblouissants, de frissons dévorants, le corps traversé par des convulsions incontrôlables, des poussées d’extase ravageuse qui semblaient sans fin.
L’orgasme tonitruant de la jeune femme déclencha sa propre jouissance, et de puissants jets de sperme heurtèrent le fond de son ventre, prolongeant le ravissement de Cynthia. Elle pouvait le sentir palpiter à l’intérieur de sa vulve, et son fourreau serré commença naturellement à traire le pénis logé au fond de sa chatte. Elle ne s’était jamais sentie aussi vivante, aussi féminine, aussi forte et naturellement, elle berçait doucement l’homme effondré sur elle. M. Sellier, comme tous les hommes, avait perdu de sa superbe lorsque le coït s’est achevé. Il doutait de tout, de lui, de sa prestation. Il regrettait que cela s’achève si tôt. Il aurait aimé que l’acte se prolonge indéfiniment. Il était si bien dans cette douceur humide.
Cynthia aimait se sentir la plus forte, câlinait l’homme qui l’avait rendue heureuse, blottissait son visage dans son cou pour l’embrasser tendrement, tandis que son vagin se contractait autour de son sexe dans de petits frissons tremblants de bonheur post-orgasmique.
« C'était merveilleux. Vous avez été formidable. Merci, merci beaucoup » dit-elle, rassurante.
Elle était pleinement satisfaite d'avoir pris cette décision. Non seulement elle avait obtenu un substantiel gain d’argent en échange de sa virginité, mais M. Sellier avait rendu bien agréable cette première fois. Bien sûr, il l’avait rudoyée, il avait même été cruel avec certains de ses mots, mais cela avait contribué à son excitation. Et l’acte lui-même avait été … époustouflant !
Mais il se retirait déjà d'elle, quittant ses bras avant qu'elle ne puisse protester.
« Je suis content que ça te plaise » dit-il, en regardant la jeune beauté alanguie, à la chatte baveuse.
« Parce que, dès que nous nous serons nettoyés sous la douche, nous allons recommencer »
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien bonne explication
Bien
Bien
Tres belle demonstration de defloraison ce Mr sellier a fait cela avec talant et Mlle sinthia a passer son examen facillement et merveillesement grace a l experiance mature de Mr sellier ,je pense qu une suite pourais ns transporter un peut plus loin car apres avoir fait l amour avec le pere de son amie elle peut egallement s amouracher de lui etand celibataire ,vivement une suite pour mieux pimenter l histoire et aller vers une union