Vendue aux enchères

- Par l'auteur HDS Tarbenero -
Récit érotique écrit par Tarbenero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Vendue aux enchères Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Vendue aux enchères
Norbert et Albert s'entendaient très bien pour continuer notre éducation. Ainsi ils avaient décidé de nous échanger pendant quelque temps. Chacun ayant sur sa compagne provisoire autorité complète. Albert m'emmena un soir dîner dans un restaurant qui appartenait à un de ses cousins.
Le restaurant était situé à Belleville en plein quartier nord-africain. Le cousin d'Albert nous installa au fond de la salle. Il n'y avait que des hommes parmi les consommateurs, tous des nords africains. Quand je traversais la salle, tous les regards étaient fixés sur moi. J'étais vêtue d'un chemisier transparent qui ne cachait rien de ma poitrine. Ma jupe comme d'habitude m'arrivais à ras des fesses, de hauts talons accentuaient la longueur de mes jambes et le balancement de mon cul. J'allais m'asseoir quand Albert me retint. Il appela son cousin. Celui ci arriva avec une petite valise. Albert l'ouvrit. Dans la valise, une dizaine de god de toutes tailles étaient alignés. Albert en choisi un double, aussi gros que sa queue. Le god était muni à sa base d'une ventouse. Il le fixa sur la banquette.
- Vas-y, tu peux t'asseoir maintenant.
J’essayais de protester, mais Albert ne m'en laissa pas le loisir.
- Tu n'es qu'une pute. Ton mari m'a donné tout pouvoir sur toi. Tu vas être très obéissante sinon il sera mis au courant de ta conduite.
Malgré ma honte, je relevais ma jupe et me laissais descendre sur le god, Albert présentait les deux parties devant mes deux orifices. Je sentis les deux pines pénétrer mon cul et mon con. Les clients ne me quittaient pas des yeux. Ils pouvaient voir ma chatte rasée s'ouvrir sous la poussée de l'énorme mandrin, mon clito que l'excitation faisait bander. Quand je fus assise j'avais trente centimètre de bonne grosse bite en moi. Albert défit mon corsage. Mes tétons étaient devenus durs et long comme un petit doigt. Il bloqua ma jupette dans ma ceinture. J'étais exposée nue, avec mes deux trous comblés par deux braquemard. J'avais honte de moi, mais cette honte déclenchait ma jouissance, la banquette était trempée. Albert me traitait comme une chienne et j'aimais cela. J'aimais être soumise, avili, ma honte décuplait ma jouissance. Tous ces regards braqués sur mes nichons, ma chatte, luisant de désir me chauffaient le ventre.
- Eh Albert ! C’est qui cette pute, tu l'as ramassé où.
- C'est ma patronne.
- Merde tu ne dois pas t'emmerder avec cette salope.
- Non et en plus c'est un bon coup. Vous verrez tout à l'heure. Elle m'a dit qu'elle voulait se faire baiser, elle va avoir de la queue.
Je voulu protester, mais Albert me gifla.
- Ta gueule salope.
Je cessais mes protestations. Après tout c'est vrai que je voulais de la bite, et puis me sentir désirée par tous ces mâles m'excitait fortement.
Le repas se déroulait lentement. Comme nous étions de la famille, le cousin d'Albert ne se pressait pas pour nous servir. Albert en profitait pour me peloter entre deux plats. Sans se soucier des autres convives, il me caressait les seins, me pinçait les tétons, les léchait, les mordillait. Les godemichés étaient munis d'un moteur. Albert le mit en marche. Les deux pines furent animées de vibrations qui ne tardèrent pas à déclencher un orgasme. Un nouveau cran sur le mécanisme du moteur et les bites furent animée d'un mouvement de va et vient, en même temps elles gonflaient, dilatant mes chairs intimes. Ma chatte coulait sans arrêt, mon clitounet bandait à m'en faire mal, il avait atteint une longueur incroyable. Albert s'agenouilla devant moi et le happant entre ses lèvres se mit à lui administrer une véritable fellation. J’hurlais de jouissance. David, le cousin d'Albert s'écria- Regardez cette salope, elle prend son pied. Faite-la taire elle va ameuter tout le quartier.
Albert me retira les god et me coucha sur une table vide. Je restais écartelée sur la table, la chatte et le cul béant. Albert m'enleva ma jupe et se mit à me bouffer le minou. je relevais mes cuisses et m'écartais au maximum. Sa langue allait de ma chatte à ma rosette, pénétrant les deux tour à tour, il me happa le clito, l'aspirant entre ses lèvres comme une bite, ses deux mains me branlaient. l'une la chatte l'autre le cul. Les clients, la bite à la main faisaient cercle autour de nous. L'un deux approcha son zob de mes lèvres. Sans me faire prier, j'avançait la langue et lui léchait le gland, puis je l’avalais lentement faisant coulisser mes lèvres le long de la colonne. Il s'enfonça jusqu'aux couilles. Il se mit à donner de grand coup de reins, se servant de ma bouche comme d'un con. Cette manière de se servir de moi comme d'une poupée gonflable m'excitait au plus haut point. A ce régime, il ne tarda pas à cracher son foutre que j'avalais avec délice.
- La salope elle a tout avalé.
Albert s'allongea sur la banquette.
- Vient t'empaler sur moi poufiasse.
Je m'accroupis au-dessus de sa bite, la saisit dans la main et dirigeant le gland vers ma moule je me laissais tomber dessus, retrouvant cette sensation d'être remplie jusqu'à la gorge. Profitant de ma position, un autre client me présenta sa bite que je m'empressais d'avaler. Albert me limait la chatte, jamais je n'avais connu pareil bien être. Mais il me manquait quelque chose. J'avais une bite dans la chatte, une dans la bouche.
- Il y a encore une place les mecs, qui veut l’enculer ?
Je sentis deux mains s'emparer de mon cul, écarter ma rosette, un gland vint forcer mon sphincter et j'engloutis une troisième bite. J'étais enfin comblée. Mes trois baiseurs prirent la cadence. Baisée par tous les trous sous les regard d'une vingtaine de mecs je jouissais sans arrêt. Albert me limait lentement, sa bite me distendait le con, j'étais bien avec ce gros mandrin qui m'écartelait la chatte, me cognait la matrice à chaque fois qu'il s'enfonçait dans moi. Mon enculeur n’était pas mal non plus, il se retirait presque complètement, je sentais ma rondelle s'écarter autour de son gland, puis d'un coup il m'enfonçait sa bite jusqu'aux couilles, m'arrachant un gémissement de plaisir étouffé par la bite qui m'emplissait la bouche. J'étais de nouveau prise par trois mecs. Et à ma grande honte j'aimais cela. Mon cul, ma chatte, ma bouche réclamaient des queues, n'importe quelles queues. J'aimais être remplie de foutre par tous les orifices. Tout en me baisant, Albert me tordait les tétons, tiraient dessus, la jouissance ne me quittait plus, ma chatte coulait comme une source, mes orgasmes se succédaient. Je sentis soudain la bite que je suçais grossir démesurément, de grands jets de foutre giclèrent sur mon palais, sur ma langue, j'avalais tout avec délice. Mon enculeur jouis le deuxième, m'inondant les entrailles de son sperme épais. Albert jouis le dernier, sa bite gonfla encore, son sperme jaillit dans ma conasse, il m'en lâcha tellement que ça déborda de ma chatte. Les clients présents ne me laissaient pas un instant de répit. Dès qu'une bite se retirait, une autre la remplaçait. Enfin il ne resta plus personne. J'étais épuisée. J'avais reçu au moins vingt bites par tous les orifices, des litres de sperme avaient coulé dans ma conasse, mes intestins, ma gorge. Je restais allongée sur la table chatte ouverte, le sperme coulait de mes orifices, il se répandait sur la nappe. Albert m'essuya le con et le cul.
- Il est tard, rhabille-toi, on rentre.
Lorsque nous arrivâmes chez lui, Albert s'empressa de téléphoner à Norbert pour que je le mette au courant de notre soirée. Rouge de honte je dû tous lui raconter en détail. Albert m’avait fait mettre à quatre pattes sur le lit et il m'enculait pendant ma narration. De son côté Norbert se faisait tailler une pipe par Marie-France tout en m'écoutant. Le récit de mes exploits et la pine d'Albert qui me défonçait le cul déclenchèrent ma jouissance.

***Albert m'a emmené dans une boîte privée qui s'appelle "Le SEXY", tout un programme. Le lundi, la clientèle n'est composée que de coiffeurs et coiffeuses. Il y a là beaucoup de personne que je connais. Albert me pousse vers le bar. En traversant la salle je vois mon ancien patron, entouré de deux minettes très jeunes, sûrement ses apprenties. Il se lève et vient m'embrasser, un patin pas une bise sur la joue. Je laisse sa langue forcer mes lèvres et me violer la bouche, en même temps il me serre contre lui, appuyant sa bite sur mon pubis.
- Tu es toute seule, Norbert n'est pas là?
- Je suis accompagnée, mais pas par Norbert.
Je lui présente Albert. Mon ex patron nous regarde d'un drôle d'air. Pour le rassurer, Albert lui dit- Vous savez je n'ai pas l'exclusivité.
Mon ex patron a l'air surpris par cette phrase sibylline.
Nous continuons notre chemin jusqu'au bar. Albert me fait monter sur un tabouret, ce qui dévoile mes cuisses très haut, Il me fait remonter la jupe et me voilà chatte à l'air. Je veux croiser mes jambes, mais il me l'interdit, me demandant au contraire de les écarter. J'obéis en rougissant. Je connais au moins la moitié de la salle. Norbert aussi. Ceux qui ne le savaient pas encore découvrent que je suis une salope. Albert commande une bouteille de champagne, il me tend une coupe que j'avale avidement. Le gérant de la boite se dirige vers nous, encore un cousin d'Albert.
- J'ai un problème, une de mes filles est en retard, est-ce que ta copine peut la remplacer ?
Sans me demander mon avis Albert donne son accord. Sa manière de disposer de moi à sa guise me plaît. Je me sens objet, soumise et j'aime ça, plus on m'humilie plus je joui.
Le patron m'entraîne à sa suite vers le vestiaire. Deux filles et trois garçons sont déjà là. Quand je vois leur tenue j'ai un choc. Tous sont vêtus, je devrais dire dévêtus, d'un body fait de lanières de cuir. La particularité de ce body, c'est qu'au lieu de cacher les seins, il les met en valeur, les présentant comme sur un plateau. La chatte est encadrée par deux autres lanières qui font ressortir les lèvres, le cul également est nu. Chez les garçons même tableau, la bite est mise en valeur, le cul dégagé. Mon côté exhibitionniste s'enflamme à la vue de ce vêtement. Je me mets en tenue rapidement. Nous enfilons des cuissardes à talons aiguilles qui montent jusqu’à l'aine. Je ne sais toujours pas en quoi consiste ma prestation. Un rapide briefing du patron nous met au courant. Nous allons danser sur une piste surélevée. Toutes les demi-heures il y aura une mise aux enchères d'un ou d'une danseuse, mais le public ne saura pas qui est le lot. Celui ou celle qui emportera l'enchère devra consommer le lot quel qu’il soit et le lot devra se soumettre à tous ses caprices. Cette idée originale me remplit de joie. Me voilà transformé en objet destiné à la jouissance des clients présents. J'en mouille d'avance. Nous nous dirigeons vers la scène. Nous nous mettons à danser sur des musiques disco. Je suis déchaînée. Je tends ma chatte vers la salle au rythme de la musique, j'écarte les cuisses pour que tout le monde puisse admirer ma moule luisante de mouille. Première enchère. Les sommes annoncées sont importantes, les enchères montent très vite, en dix minutes c'est terminé. Mon ex patron l'a remporté. Albert, qui est le meneur de jeux, annonce le premier lot. C'est un des garçons. Mon ex patron fait triste figure. Il devait penser que c'était moi l'enjeu. Le garçon descend du podium et va le rejoindre. La musique reprend, nous nous remettons à danser. Les lots une fois gagnés ne participent plus aux enchères. Je jette un oeil vers la table de mon ex patron. Il a décidé de profiter de son lot. Celui-ci est en train de lui faire une pipe. Le jeu a continué longtemps. Albert m'a conservée pour la fin. Je n'en peut plus d'attendre, quand je vois mes partenaires déjà en main, en train de se faire tringler, ou de tringler, je sens ma chatte couler comme une fontaine.
Dernière enchère, c'est mon tour. Albert s'approche de moi, il a décidé de m'humilier encore, je le vois à son sourire sadique.
- Mesdames et messieurs, voici le dernier lot. Si je l'ai gardé pour la fin, c'est parce que c'est vraiment une affaire. Elle n'a que 19 ans, elle est mariée depuis six mois. C’est la reine des salopes. Regardez cette petite moule rasée, elle est déjà toute mouillée à l'idée de se faire enfiler. Rien ne la rebute. Son cul est aussi accueillant que sa moule, en plus c'est la reine des pipeuses. Alors mesdames et messieurs nous commençons les enchères à dix mille francs.
Des mains se lèvent dans la salle, très vite, les enchères atteignent des sommes astronomiques, puis stagnent un peu. Mais Albert n'a pas dit son dernier mot.
- Alors, pas plus que cela pour ce joli petit lot ? Vous voulez une démonstration de ces talents ?
La salle hurla "oui oui"Albert fit signe à son cousin, celui-ci le rejoignit, il avait un god dans chaque main. Des god énormes, au moins 40 cm de long et 10 cm de diamètre avec des glands mafflus, la vue de ces engins m'effraya et m'excita à la fois, un jet de mouille jaillit de ma chatte, mes tétons durcirent brusquement, mon clito s'allongea.
- Regardez dans quel état ça la met.
Il me donna un des god- Fais nous voir ce que tu sais faire.
Me saisissant du mandrin, je léchais le gland. J'ouvris grand la bouche et avalais cette bite factice. La salle poussa un cri de stupeur quand la moitié de la bite disparue dans ma gorge. Je ressorti la bite, la posais sur la scène, et m'accroupissant, je la pointais sur ma vulve, je me laissais descendre doucement. Le gland énorme se glissa entre mes petites lèvres, les écartant, puis ce fut autour de mon vagin. La bite forçait ma chatte déclenchant une jouissance sans pareille. Mon jus coulait le long du mandrin, facilitant la pénétration. Les cuisses écartées au maximum, je continuais à m'empaler sur ce rêve de toutes les salopes, se faire fourrer par la plus énorme des bites. Albert m'arrêta. Il me fit mettre à quatre pattes le cul vers la salle et présenta le deuxième god à l'entrée de mon cul. Il força sur la rosette, je la sentis céder sous la pression, j'étais défoncée, quel bonheur. Il m'enfonça la bite sur toute la longueur.
- Vous voyez elle est très accueillante. Qui la veut ?
Les enchères montèrent de plus belle. Mais tout ayant une fin, je fus adjugée deux cent mille francs à deux noirs gigantesques accompagnés d'une magnifique blonde aussi grande qu'eux, style viking, vêtue d'une combinaison de cuir qui la moulait comme une seconde peau. Ses seins, tel deux obus, tendaient sa combinaison comme s’ils voulaient la percer. On voyait pointer ses tétons qui étaient très longs. Les moindres détails de sa chatte étaient moulés par le cuir très fin. Elle avait une cravache à la main.
- Vient poufiasse on va bien s'amuser tous les quatre.
Nous restâmes sur la scène. Elle se déshabilla. Sa chatte comme la mienne était épilée, ses grandes lèvres étaient très gonflées. Elle s'allongea sur le dos, écarta les cuisses.
- Vient me sucer petite salope, fais-moi bien jouir sinon tu auras droit à la cravache.
Je n'étais pas une experte en amours féminines, aussi je tremblais un peu en approchant ma bouche de sa chatte. J'écartais ses lèvres et glissais ma langue à l'intérieure de son minou, la léchant sur toute sa longueur. Ma langue se promenait dans ses replis, s'enfonçant dans son vagin, je lui happais le clitoris, il était long et gros, je m'appliquais à le sucer, le léchant, agaçant le bout avec ma langue. Le faisant aller entre ma langue et mon palais. Je la sentis se tendre, sa mouille coula sur mon menton. Je plaquais ma bouche sur sa vulve pour boire son jus. Pendant ce temps les deux noirs s'étaient déshabillés. Quand je vis leurs bites, mes yeux s'agrandirent de stupeur. Elles avaient la taille des god qu'Albert m'avait fait enfourner tout à l'heure. Ma moule en jutait de bonheur. Je m'approchais du premier, lui saisit la pine, ma bouche s'approcha du gland. Je le léchais partout d'une langue gourmande, lui taquinant le méat. Ouvrant la bouche, j'aspirais ce gland énorme, faisant coulisser cette bite monstrueuse dans ma gorge, je la léchais sur toute sa longueur, mes ongles agaçaient les couilles qui avaient la taille d'un melon. Recrachant la bite je la léchais sur toute la longueur, j'étais surexcitée. Jamais je n'avais connu un tel bonheur. Mon clito me faisait mal à force de bander, ma mouille coulait en permanence, je sentis une langue me fouiller la chatte, j'écartais les cuisses au maximum pour me laisser bouffer le minou. Omar (c'est celui que je suçais) s'allongea sur le dos.
- Vient t'empaler sur mon gros mandrin.
Je l'enjambais et écartant ma chatte je me laissais descendre sur sa bite. Le gland força mes lèvres écartant mon vagin, il envahissait ma moule, j'avais l'impression d'être ouverte en deux. Bien qu'habituée aux grosses queues, j'éprouvais à chaque fois la même sensation de remplissage total. Quand il fut au fond de mon vagin, je m'allongeais sur son torse, ne bougeant plus pour jouir pleinement de ce gros braquemard que je sentais si bien me prendre. Je me sentais écartelée, et toute petite, moi si blanche et blonde, avec mon mètre soixante et mes quarante-cinq kilos, empalée sur cette bite de quarante centimètres appartenant à un noir de deux mètres et pesant plus de cent kilos. Bongo, son compère, s'approcha derrière moi, il pointa sa bite sur ma rosette, je voulu protester, un coup de cravache cingla mes fesses. Bongo se retira en riant.
- Tu as raison Marlène, assouplie la un peu.
Marlène se mit à me cingler le cul. Omar me tenait dans ses bras, je ne pouvais pas bouger. Mais en avais-je envie? Les coups qui pleuvaient sur mon fessier multipliaient ma jouissance. Je tendais le cul au devant de la cravache.
- Tu aimes ça ma salope me dit Omar.
- Oh oui ! J’aime ta bite qui me défonce la chatte, j'aime la cravache, je veux la bite de Bongo dans le cul, Je veux qu'il me défonce.
Bongo ne se le fit pas dire deux fois, il pointa son gland sur ma rosette et se mit à forcer. Sous la poussée je me sentis m'ouvrir, j'avalais le gland qui distendit mes chairs, le sphincter céda d'un coup, le mandrin suivit, m'écartant le rectum. Mes deux baiseurs se mirent à me limer, déclenchant des orgasmes à répétition. Les clients s'étaient approchés pour me voir. Je hurlais ma joie d'être défoncée. Je hurlais que j'étais une pute, que je voulais toutes les queues de la terre. Soudain Omar et Bongo lâchèrent leur foutre, je fus emplie de litres de sperme. Cela déclencha un dernier orgasme qui me laissa inerte. Les clients vinrent se branler au-dessus de moi et m'arrosèrent de leur foutre. J'en avais partout. Albert vint me chercher.
- Allez chérie, il est 3 heures du matin, ton mari va s'inquiéter. Il doit attendre avec impatience le récit de tes exploits.
Mon dieu c'est vrai, je n'ai pas vu le temps passé tout à la joie de me faire baiser. Je voulu aller me laver.
- Pas question me dit Albert. Tu rentres comme cela, et à poil en plus.
Il m'enfila une veste qui recouvrait à peine mes fesses et nous rentrâmes chez lui.

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