Vengeance
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vengeance
Vendredi 15.05.1998
Caline vient passer une soirée chez moi, Il était prévu que nous dinerons ensemble à l'appart. et qu'elle reste pour coucher.
Après avoir manger, nous avons maté un film, en buvant quelques verres. Comme toujours, tout aussi bien que moi, après quelques verres, elle ressent une certaine chaleur sexuelle qu'ils nous faut éteindre, et elle ne fait pas mystère de son intention de prendre du plaisir avec moi. Mais je ne précipite rien, laissant notre désir mutuel s’exacerber.
C’est après avoir éteint la télé que je lui propose que nous jouions une partie de cartes. Le perdant devra se soumettre à l’autre, et faire ce qu’on lui ordonne. Comme nous sommes l’un et l’autre, somme assez imaginatifs, (très) pervers et bien excités, il y a de quoi flipper !
J’ai perdu...
Caline a exigé que je me déshabille entièrement, et que je descende nu relever le courrier dans sa boîte aux lettres (j'habite au 3ème et dernier étage d’un immeuble, sans ascenseur).
J’ai donc enlevé mon tee-shirt, mon futal, je ne porte de caleçon que quand je sais que je vais me dévêtir dans un lieu public (chez le toubib ou dans une salle de sport...). Je suis nu comme un ver. Elle m’autorise quand même de mettre mes chaussures. Puis sortant ses boules de geisha que je lui ai offert, me retourne et me les loge dans le cul.
Je suis suffisamment excité, elle prend ma bite entre ses doigts, pour me braler un peu.
Elle ouvert en grand la porte de son appartement, et elle me pousse sur le palier. Je suis mort de honte et de trouille. Il reste une petite seconde ainsi en espérant que, compte tenu de l’heure tardive que personne n’aura la mauvaise idée de sortir. Pour finir de me faire peur, Caline me dit qu’elle referme la porte à clé, et qu’elle ne la rouvrira que dans 15mn.
Et me voilà, descendant l’escalier, à poil. Je tends l'oreille en arrivant à chaque palier, craignant d’entendre le bruit d’une porte s’ouvrant.
Enfin, je suis arrivée dans le hall d’entrée. Il était éclairé. On pouvait me voir de la rue, et je n’osais pas regarder dehors à travers les vitres
J’ai ouvert ma boîte aux lettres, j’ai récupéré les pubs qui sont à l’intérieur. Les collisions que font les boules, qui occupent mon cul, entre elles ne facilitent pas le repos de mon zob.
La première partie de mon gage était donc réalisée, sans encombre. Maintenant, il me faut remonter mais pas trop vite... Il faut que 15mn passent.
Je monte vers le premier étage, quand j’entends du bruit. Mon cœur se met à battre fort de chez fort. Je ne peux pas reculer, ni me cacher.
C’est en arrivant au deuxième étage que je croisé un jeune couple, heureusementque je ne connais pas, qui devait sortir de chez un de mes voisins de l'immeuble. Je baisse la tête mais jamais je n'oublierai le choqué qu'on peut lire sur leurs têtes quand ils m'ont vu passer les mains cachant mon sexe tout raide.
Je suis enfin devant la porte (toujours close) de mon appartement, un peu essoufflé, car j'ai quand même pressé le pas pour monter le dernier étage. J’ai sonné, et ce n'est qu'après que quelques secondes, qui m’ont paru durer une année, qu'elle m’ouvre.
Elle me prend dans ses bras, riant en voyant mon visage.
Elle est là toute nue aussi, avec un superbe gode planté dans sa chatte. Elle retire doucement les boules de mon cul et m’entraîne dans ma chambre. Je lui raconte ce qui s’était passé dans l’escalier, pendant qu’elle sautait sur ma queue.
C'est une nuit des plus excitante que j'ai vécu. Mais je me suis juré de me venger !
À suivre...
...
Caline vient passer une soirée chez moi, Il était prévu que nous dinerons ensemble à l'appart. et qu'elle reste pour coucher.
Après avoir manger, nous avons maté un film, en buvant quelques verres. Comme toujours, tout aussi bien que moi, après quelques verres, elle ressent une certaine chaleur sexuelle qu'ils nous faut éteindre, et elle ne fait pas mystère de son intention de prendre du plaisir avec moi. Mais je ne précipite rien, laissant notre désir mutuel s’exacerber.
C’est après avoir éteint la télé que je lui propose que nous jouions une partie de cartes. Le perdant devra se soumettre à l’autre, et faire ce qu’on lui ordonne. Comme nous sommes l’un et l’autre, somme assez imaginatifs, (très) pervers et bien excités, il y a de quoi flipper !
J’ai perdu...
Caline a exigé que je me déshabille entièrement, et que je descende nu relever le courrier dans sa boîte aux lettres (j'habite au 3ème et dernier étage d’un immeuble, sans ascenseur).
J’ai donc enlevé mon tee-shirt, mon futal, je ne porte de caleçon que quand je sais que je vais me dévêtir dans un lieu public (chez le toubib ou dans une salle de sport...). Je suis nu comme un ver. Elle m’autorise quand même de mettre mes chaussures. Puis sortant ses boules de geisha que je lui ai offert, me retourne et me les loge dans le cul.
Je suis suffisamment excité, elle prend ma bite entre ses doigts, pour me braler un peu.
Elle ouvert en grand la porte de son appartement, et elle me pousse sur le palier. Je suis mort de honte et de trouille. Il reste une petite seconde ainsi en espérant que, compte tenu de l’heure tardive que personne n’aura la mauvaise idée de sortir. Pour finir de me faire peur, Caline me dit qu’elle referme la porte à clé, et qu’elle ne la rouvrira que dans 15mn.
Et me voilà, descendant l’escalier, à poil. Je tends l'oreille en arrivant à chaque palier, craignant d’entendre le bruit d’une porte s’ouvrant.
Enfin, je suis arrivée dans le hall d’entrée. Il était éclairé. On pouvait me voir de la rue, et je n’osais pas regarder dehors à travers les vitres
J’ai ouvert ma boîte aux lettres, j’ai récupéré les pubs qui sont à l’intérieur. Les collisions que font les boules, qui occupent mon cul, entre elles ne facilitent pas le repos de mon zob.
La première partie de mon gage était donc réalisée, sans encombre. Maintenant, il me faut remonter mais pas trop vite... Il faut que 15mn passent.
Je monte vers le premier étage, quand j’entends du bruit. Mon cœur se met à battre fort de chez fort. Je ne peux pas reculer, ni me cacher.
C’est en arrivant au deuxième étage que je croisé un jeune couple, heureusementque je ne connais pas, qui devait sortir de chez un de mes voisins de l'immeuble. Je baisse la tête mais jamais je n'oublierai le choqué qu'on peut lire sur leurs têtes quand ils m'ont vu passer les mains cachant mon sexe tout raide.
Je suis enfin devant la porte (toujours close) de mon appartement, un peu essoufflé, car j'ai quand même pressé le pas pour monter le dernier étage. J’ai sonné, et ce n'est qu'après que quelques secondes, qui m’ont paru durer une année, qu'elle m’ouvre.
Elle me prend dans ses bras, riant en voyant mon visage.
Elle est là toute nue aussi, avec un superbe gode planté dans sa chatte. Elle retire doucement les boules de mon cul et m’entraîne dans ma chambre. Je lui raconte ce qui s’était passé dans l’escalier, pendant qu’elle sautait sur ma queue.
C'est une nuit des plus excitante que j'ai vécu. Mais je me suis juré de me venger !
À suivre...
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