vengeance de femme 2 - histoire érotique

Merci à tous pour vos retours suite au premier volet de "vengeance de Femmes"

La suite c'est fait un peu attendre, j'en suis désolée

J'ai eu un accident qui m'a brisé la hanche, et la douleur m'empêchait d'avoir la tête à écrire

J'ai retranscrit les dernières phrase de la première série, afin de vous remettre dans le contexte.

Bonne suite à toutes et tous.

— Réponds ou je t'arrache les tétines et je te tranche les mamelles et ton clito, tu n'auras plus que ta chatte et ton cul pour attirer les mâles, et espérer prendre un peu de plaisir !

Vu qu'elle m'avait déjà mis le feu à la chatte, je compris qu'elle en serait capable (je ne vais pas vous dire que j'en aurai mis ma main au feu, mais bon)

— COMBIEN!!!!

-7

— Pas beaucoup pour une catin, on va arranger cela, donc 7 hommes, plus nos 3 maris

— Non, 7 avec vos maris, dis-je

— Ben voilà, tu avoues, mais à 38 ans, je suis sûre que c'est 7,plus nos maris, donc 10 hommes, les filles, on va devoir appeler du renfort pour la suite de la leçon.

Je commençais vraiment à paniquer (la suite me dira que j'aillais vraiment niquer, enfin me faire niquer)

Elles échangèrent de place, et Vanessa vint se placer entre mes cuisses, face à ma chatte

- Punissons là par où elle a pêché, attaquons-nous à sa fente de putain

Je sentis ses mains se poser sur l'arrière de mes cuisses, et se dirigeait vers mon entrecuisse, elle plongea deux doigts de chaque main dans ma chatte, qu'allait-elle me faire, ces femmes n'avaient plus de limite envers celle qui avait permis à leur mari de plonger dans sa moule pour y vider leurs couilles, elle commença à séparer ses mains en laissant ses doigts à l'intérieur de mon vagin.

— Je vais rendre ton trou de pute inutilisable pour ton plaisir, je vais faire craquer ta chatte, te déchirer la moule, tu devras te faire monter par des blacks fortement membré ou les poneys de la ferme voisine pour toi ressentir quelque chose !

Je sentais ma chatte s'étirer au-delà du possible, je ne voyais pas, mais je suis sûre que la tête d'un bébé y passerait sans problème.

C'est là, que Vanessa se mit à rire comme une folle en disant :" mais regarder donc qui pointe le bout de son nez!!! ton clitoris vient sortir de son capuchon pour nous faire coucou, et participer à la fête ! et lâcha ma chatte distendue, elle remonta sur mon corps, avec un regard haineux, la douleur suivante me laissa sans voix, elle venait de me donner un énorme coup de genoux dans la chatte, écrasant mon clitoris au passage, qui lui sortait de plus belle de son capuchon.

Elle me donna 20 coups de genou en suivant, je crus mourir à cet instant, elles me forcèrent ensuite à regarder entre mes cuisses

— Regarde ta chatte grosse pute, regarde comme elle est enflée, regarde comme elle est rouge d'envie, et le pire, c'est que tu mouilles autant que si tu pissais, tu es une grosse dégueulasse de truie!!!

Nancy et Isabelle prirent sa place, et j'ai reçu des gifles partout, sur la figure, sur les seins, et bien sûr, sur la chatte

Pendant que les deux autre passer des coups de téléphone, n'étant plus soutenu par les femmes, vous pensez surement que j'aurai pu m'enfouir. Cependant, en réalité, j'étais épuisée, et j'avais des douleurs qui m'empêchaient le moindre geste.

Vanessa et Denise sont revenues vers moi, en me demandant si je voulais que tout s'arrête, évidemment j'ai dit oui, cela était mon souhait le plus cher à l'instant présent.

Elles me dirent alors ce que je devais faire

— Répond à nos questions de la manière la plus salace, la plus crue pour nous convaincre que tu es une salope, et parlant à haute voix et très clairement, en t'humiliant bien face aux caméras de nos téléphones, cela nous fera un souvenir de cette nuit magique

elle me positionnait assise sur la chaise dans la pièce, malgré la douleur, je maintiens mes cuisses serre, et mes mains sur mon pubis

— Alors Charlotte, que fais-tu dans cette chambre d'hôtel reconnu pour être un hôtel de passes ?

— Je suis venu, car j'avais un rendez-vous

— Un rendez-vous particulier ? un rendez-vous galant ?

J'ai senti le piège, et surtout que je ne devais pas donner le nom de son mari, et j'ai vu Vanessa, qui allât ouvrit la porte de la chambre toute grande, donnant sur le parking immense

Denise reprit son questionnaire

— Mais pourquoi t'es à poil ? et pourquoi la porte est grande ouverte sur le parking ?

— Comme cela, si quelqu un passe devant la chambre, il se dira qu'il a peut-être une chance...

— C'est étrange, tu aimes montrer ta grosse poitrine et ton sexe aux inconnus ?

Je compris aussi que c'est à cet instant que je devais employer les mots crus qu'elles désiraient

— Oui, j'aime que l'on mate mes gros nichons de salope, et j'espère toujours que quand un homme voit ma chatte, il m'attrape, me force à ouvrir les cuisses, et y plonge sa bite pour se faire du bien, pour décharger son stress, pour décharger ses couilles, et me remplir comme une putain.

— C'est ce que tu fais ? tu te prostitues ?

— Non, effectivement, j'ouvre les cuisses aux hommes qui le veulent, mais je ne les fais pas payer, c'est pour leurs besoins naturels, et pour moi, c'est très plaisant de savoir que j'ai égayé leur journée, ça me remplit de joie et me fait mouiller.

Là-dessus, elle me fit signe d'attraper mes chevilles, et d'écarter les cuisses le plus possible, elle fit un zoom sur ma chatte béante et distendue, et honteux pour moi, brillante de cyprine jusqu'à mes cuisses

Vanessa reprit la parole depuis la porte

— Eh bien, tu vas être servis, je vois une quarantaine d'hommes arriver,mais attend, je les ai vues aux infos, c'est la section que ton mari à fermer, et se sont retrouvé au chômage, Charlotte, je suis sûre qu'ils veulent décharger leur haine sur tes orifices, après tout, se taper la femme de celui qui vous a mis au chômage.......

À suivre, n'oubliez pas dans votre lecture, l'état de santé dans lequel je me trouve en écrivant ses lignes, et, demande votre clémence pour l'orthographe, je suis actuellement sous anti-douleur puissant, et, j'ai quand même tenu à vous livrer une partie supplémentaire du récit

à bientôt,

Charlotte