Vengeance de la St Valentin
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vengeance de la St Valentin
/!\ Cette histoire fait suite à « St Valentin ratée »
Eric, le père de Julien, avait entrepris de se venger de sa femme et de son fils qu’il avait surpris en train de baiser le soir de la St Valentin. Il avait opté pour la loi du Talion. Il était bien décidé à séduire Margaux, la copine de son fils. L’occasion se présenta longtemps après, un dimanche après-midi de juillet. Tout vient à point à qui sait attendre !
Stéphanie, sa femme, était partie pour un week-end entre copines. Julien était absent quelques jours qu’il passait chez son oncle et sa tante et devait rentrer ce dimanche midi en train. Margaux avait été invitée à passer déjeuner à la maison pour y retrouver Julien et son père et y passer l’après-midi afin de profiter de la piscine rafraîchissante en cette période de forte chaleur. Il était convenu qu’Eric aille chercher son fils à la gare à 11h45.
Margaux sonna à la porte vers 11h. La jeune fille était très séduisante. Le père de Julien n’avait jamais fantasmé sur elle, sauf depuis qu’il avait imaginé son plan de vengeance. Elle était blonde, les chevaux mi-long, de beaux yeux d’un bleu intense. Tous les traits de son visage étaient douceur, jusqu’à sa voix un peu envoûtante. Et sa peau semblait d’une douceur infinie. Elle portait ce jour un petit short en jean et un top noir sous le quel pointaient deux envoûtant tétons. Elle avait avec elle un petit sac contenant une serviette et son maillot de bain.
- Bonjour Margaux, entre, je t’en prie.
- Bonjour Eric, répondit-elle alors que l’hôte lui faisait la bise.
La jeune femme aimait bien le père de Julien. Il était amusant, toujours de bonne compagnie. Alors qu’ils discutaient à l’ombre de la pergola, le téléphone d’Eric sonna. Il retourna dans la maison pour décrocher.
- Papa, c’est moi. J’ai un souci. J’ai un problème de train. Nous sommes arrêtés en plein voie. Le contrôleur nous indique que nous allons rester bloqués au moins 2h.
Un silence s’installa puis le regard d’Eric se posa sur le corps élancé de Margaux, restée dehors. L’occasion tant attendue se présentait.
- Désolé pour toi, menti Eric. Ne t’inquiète pas pour Margaux. Elle vient d’arriver, je suis sûr qu’elle va bien profiter de la journée en attendant que tu rentres, ajouta le père du jeune homme, un peu honteux de faire ça à son fils
- OK, merci, conclu Julien, un peu résigné. Ne m’attendez pas. J’ai essayé d’appeler Margaux pour la prévenir mais je tombe sur sa messagerie. Tu pourras lui dire ?
- Oui, bien sûr, ne t’inquiète pas pour elle ! Rappelle-moi un peu avant d’arriver pour que je vienne te chercher.
Eric raccrocha, se sentant un peu diabolique, et retourna sur la terrasse rejoindre la jeune femme.
- Margaux, Julien vient de m’appeler, il est bloqué dans le train. Il risque d’avoir au moins 2 ou 3 heures de retard. Il a essayé de t’appeler mais n’a pas réussi à te joindre. Il nous demande de ne pas l’attendre.
- Ha mince, s’exclama la jeune femme, déçue. Pas moyen d’allumer mon portable ce matin. Je crois qu’il est mort ! ajouta-t-elle.
- Tu veux piquer une tête avant de déjeuner ?
- Oui pourquoi pas, ça fera du bien de se rafraîchir un peu.
Margaux prit son sac et rentra dans la maison. Elle se dirigea vers la chambre de Julien pour se changer. Eric fît de même. Alors qu’il se dirigeait vers sa propre chambre, il passa devant celle de son fils, sur sa droite. Margaux avait laissé la porte très légèrement entrouverte, ce qui permettait à Eric de observer avec perversion son reflet dans un miroir.
Margaux sortit de son sac un maillot 2 pièces turquoise. Elle fît glisser son short sur ses jambes et enleva son top. Elle ne portait pas de soutient gorge et Eric pût admirer ses jolis petits seins. Ils n’étaient pas gros mais avait une forme tout en rondeur, semblant d’une douceur exquise, avec une aréole foncée à peine plus grande que le téton. Il avait hâte de les caresser. Elle retira ensuite son string en coton blanc, paré d’une fine dentelle sur les contours. Devant le corps nu magnifique de Margaux, Eric sentit son sexe se gonfler. La jeune femme se pencha pour attraper son maillot ce qui permit au père de Julien d’apercevoir le sexe tout lisse de la jeune femme. Elle enfila alors son maillot, ajusta le bas qui était assez échancré et dévoilait une bonne parti des fesses et fit de même avec le haut.
Eric se défit de son envoûtement pour se précipiter vers sa chambre et ne pas se faire voir de la jeune femme. Il se dévêtit et du attendre quelques minutes avant de pouvoir enfiler son short, tellement son sexe avait du mal à se détendre. De sa chambre, il aperçu Margaux rentrer dans la piscine et commencer à nager. Une fois calmé, il ressorti pour la rejoindre.
Alors qu’elle faisait des longueurs, il s’approcha d’un transat et décida d’enlever son maillot de bain. Margaux le regarda bouche-bée.
- J’aime bien me baigner nu, je trouve ça très agréable. Je me suis dit que cela ne te dérangerait pas.
- Non… heu… OK, bredouilla Margaux qui était en fait très gênée mais n’osait pas le dire.
Elle était très troublée par la vue de ce sexe d’une taille qu’elle n’avait jamais vue, ou alors seulement dans des films porno. Son beau-père était en effet doté d’un membre largement au dessus de la moyenne. Même au repos, il était déjà presque aussi gros que celui de Julien en érection. Il était relativement long, mais surtout très large. Margaux trouvait son beau-père plutôt séduisant en fait. Il approchait de la cinquantaine mais avant conservé un corps assez athlétique, musclé. Ses cheveux commençaient à grisonner mais lui donnait du charme.
La jeune femme ne parvenait pas à lâcher son regard de cette queue. Eric rentra dans l’eau et se mit à faire des longueurs. Il en fit beaucoup sur le dos, laissant son membre flotter sur l’eau et se balader à chaque mouvement de bras. La jeune femme finit par sortir de la piscine et alla s’allonger sur un transat pour sécher. Elle ne pût alors s’empêcher de continuer à regarder Eric, du coin de l’œil, cachée derrière ses lunettes de soleil. Elle se demanda ce que cela faisait de faire l’amour avec un homme ainsi équipé. Ses pensées osées se multiplièrent et elle finit par ressentir des picotement dans son ventre et au bout de ses seins.
« Mais pourquoi je pense à ça ! C’est mon beau-père ! » se dit-elle, gênée par les pensées qui lui venaient. Jamais auparavant elle ne l’avait envisagé de façon sexuelle. « Tu dérailles ou quoi ! Tu fantasme sur le père de ton copain ! ».
Eric ressortit de l’eau à son tour et vint se mettre devant le transat voisin de Margaux. Il se frictionna avec une serviette, toujours le sexe libre ballottant devant les yeux de la jeune femme.
- Tu aimerais la goûter ? demanda-t-il assez sûr de lui. Il savait que son sexe pouvait créer beaucoup d’émoi et de curiosité sur ses compagnes.
- Non ! S’indigna la jeune femme. Que dites-vous là !
- Parce que j’ai l’impression que tu la regardes avec envie.
- Pas du tout ! s’empressa de répondre Margaux, gênée de s’être faite prendre.
Elle devait cependant admettre que cela folle envie grandissait en elle à chaque minute. En tout cas son corps en avait très clairement envie. Seul son esprit essayait de résister un peu devant cette situation pas très morale.
- Julien n’est pas là, il n’en saura rien. Cela restera notre petit secret. Et comme ça tu sauras ce que ça fait…
Margaux voyait la queue d’Eric grossir à présent à vue d’œil.
- Ce n’est pas tromper, il n’y a pas d’amour, juste du sexe, ajouta le père de Julien.
Les barrières morales de la jeune femme étaient en train de tomber.
- La vie est courte, il faut en profiter !
Abandonnant toute résistance, elle s’assit et prit alors le chibre entre ses mains et commença à le branler. Rapidement, elle ne parvint plus à en faire le tour avec sa main. Elle dirigea alors le gland énorme vers sa bouche. Elle eut aussi du mal à l’introduire. Elle enfonça le plus possible le sexe au fond de sa bouche mais ne peut en avaler qu’à peine la moitié.
Elle soupesa les couilles et constata qu’elles étaient aussi d’une taille équivalente au reste. Elle les massa et en mit une dans sa bouche pour la sucer.
Eric savourait les douces caresses de sa partenaire aussi douée qu’appliquée. Margaux sentait la chaleur monter dans son venter. Ce sexe, le désir ardant de l’avoir en elle et l’interdit de ce qu’elle faisait étaient pour elle une source puissante d’excitation.
Il la fit se mettre à quatre pattes sur le transat et admira ses fesses bien rondes à moitié recouvertes par le maillot turquoise dont le tissus humide épousait la plus petite forme de son corps, dévoilant la moindre ligne des lèvres gonflées de sa vulve. Il se délecta un moment de cette vue. Il s’empara du bord du maillot et entreprit de le faire glisser jusqu’au genoux. Il le fit descendre tout doucement, profitant de chaque parcelle de ce jeune corps qui était offert à ses yeux, un peu comme un cadeau qu’on déballe avec fébrilité. Le début de sa raie apparut, puis son petit trou. Il arriva ensuite sur l’entrée de son vagin puis dévoila toute sa vulve, lisse, gonflée, appétissante. Il emmena le maillot jusqu’aux bas des cuisses et se mit à lécher la chatte de la jeune femme. Elle se cambra sous les premiers coups de langue, savourant chaque contact avec sa peau sensible. Il se délecta de son jus, lécha chaque centimètre de son sexe. Il introduisit un doigt dans son vagin et dégusta la douceur de son intimité. Après quelques mouvements, il ressortit son doigt humide et vint jouer avec son clitoris. Il appuyait doucement dessus sans bouger le doigt et sentait la jeune femme frémir de plaisir. Il fit ensuite quelques gestes circulaires. Margaux sentit la pointe de la langue toucher son bouton puis remonter le long des ses lèvres jusqu’à son petit trou, qu’il lécha avec avidité.
La jeune femme fût surprise, on ne lui avait jamais fait d’annulingus. Elle ondula instinctivement du bassin, emportée par des vagues de doux frémissements. Eric introduisit ensuite un doigt dans son anus. Devant le mouvement d’hésitation de la jeune femme il lui murmura en se penchant sur elle
- Ne t’inquiète pas, je n’y mettrai pas autre chose qu’un doigt. On verra une autre fois pour en mettre plus, ajouta-t-il avec malice.
Margaux ressentit quand même un soulagement. Elle n’avait jamais été sodomisée et s’inquiétait de la douleur qu’elle pourrait ressentir en accueillant un sexe de cette taille dans son cul.
Son beau-père vint se positionner derrière elle et présenta sa queue devant sa chatte. Il introduisit doucement son gland dans son vagin, puis avança plus profondément tout en douceur. La jeune femme frissonna en sentant ce sexe d’une taille inhabituelle la pénétrer. Elle se sentait remplie, comblée et s’étonnait de pouvoir accueillir ce chibre sans plus de difficulté. Elle sentit alors le gland atteindre le fond de son vagin ce qui lui arracha un soupir de plaisir. Eric commença de lents aller-retour. En la besognant ainsi, le père de Julien introduisit un doigt dans son cul et fît également des va-et-vient au même rythme que sa queue. La jeune femme ronronnait de plaisir, se laissant emporter par la chaleur qui irradiait depuis son ventre.
Le plaisir ne cessant de s’insinuer dans chaque cellule de son corps elle finit par avoir un orgasme, une douce chaleur envahissant son ventre, des tressaillements émanant de son vagin jusqu’à la pointe de ses seins. Margaux poussa des gémissement de plaisir pendant de longs instants. C’en était trop ! A l’entendre ainsi exprimer son extase, Eric sentit qu’il allait exploser. Il ressortit précipitamment sa queue de sa partenaire et se masturba quelques secondes au dessus de ses fesses avant d’expulser de puissants jets de sperme. Les fesses de Margaux furent recouvertes du foutre blanchâtre de son beau-père.
- On ne va pas s’arrêter en si bon chemin, dit Eric en mettant son sexe un peu débandé devant le visage de la copine de son fils.
Elle s’assit, les jambes flageolantes, et repris en main la queue avec pour objectif de lui redonner sa vigueur. Elle trouva très excitant de faire une fellation à cette verge à moitié molle et de la sentir durcir à chaque coup de langue, sensation décuplée par les restes de sperme qui s’écoulaient dans sa bouche.
Avec toute sa fermeté retrouvée, Eric s’allongea au sol, à l’ombre de la pergola et invita la jeune femme à venir le chevaucher. Margaux l’enjamba et resta un peu debout pour le laisser admirer, de sa position allongée, sa chatte luisante et ouverte de désir. Elle frissonna de s’offrir ainsi à lui.
Elle se mit à genoux et guida la grosse queue vers son intimité. Elle s’introduit sans problème dans sa chatte dégoulinante de mouille. Elle guida le rythme, montant et descend sur cette verge qui la remplissait avec bonheur. Eric avait les mains posées sur les hanches de la jeune femme et fixait son visage, gardant les yeux clos, qui savourait chaque mouvement de ce membre en elle.
Il posa ses mains sur les petits seins et les caressas, se languissant de ne pouvoir les lécher. Il invita la jeune femme à se pencher sur lui et pu alors attraper les petits tétons qui pointaient de plaisir. Enfin ! il pouvait délecter de lécher ses seins et de mordiller ses tétons tout durs. Ses seins couverts de salive et la douce sensation de ses tétons qui roulaient entre la langue experte d’Eric était une puissante source d’excitation pour la jeune femme.
Les deux partenaires savourait chaque mouvement, chaque émotion intense qui les parcourait. Margaux pivota pour se retrouver toujours sur son beau-père, mais en lui tournant le dos. Il voyait maintenant les fesses de la jeune femme monter et descendre sur sa queue qui disparaissait en partie dans son vagin. Cette vision le captivait énormément. Il en profita pour introduire un doigt dans l’anus de Margaux qui trouva la sensation excquise. Elle continuait ses mouvements de bassin et savourait chaque caresse de cette queue qui s’enfonçait au plus profond d’elle.
Ils se relevèrent et Eric souleva Margaux avec facilité, passa ses mains entre ses jambes pour la porter puis la plaqua contre le poteau de la pergola. Il guida alors la jeune femme jusqu’à sa verge tendue et quand il eut trouvé l’entrée de son vagin, il la fit descendre légèrement pour la pénétrer. Il étaient collés l’un à l’autre. Pour la première fois, il s’embrassèrent fougueusement, leur lèvres humides de désirs ne se lâchant plus.
Margaux passait la main dans ses cheveux tandis qu’Eric faisait d’amples mouvements de bassins pour faire des aller-retour dans le sexe trempé de sa partenaire.
Quand il commença à fatiguer, Eric allongea la jeune femme sur la table du salon de jardin. Elle remonta ses jambes serrées sur sa poitrine. Il la pénétrait, puis ressortait complètement sa queue puis la pénétrait à nouveau avec fougue. Il fit cela à plusieurs reprises. Chaque pénétration provoquait un puissante frémissement qui parcourait tout le corps de la jeune femme. Elle sentit finalement la verge dure la pilonner à nouveau en rythme. Elle était haletante, le souffle court, emportée par le plaisir. Un nouvel orgasme s’approchait. Elle écarta les jambes et se mit à caresser son clitoris d’une main et pincer un téton de l’autre. Elle exprima son plaisir en poussant de longs gémissements, son corps enveloppé par une douce chaleur et secoué par des spasmes se répandant par vague de son ventre à ses cuisses et en allant jusqu’à à la pointe de ses seins.
- T’aimes que je te laboure la chatte on dirait ? dit Eric à Margaux quand elle eut retrouvé ses esprits.
- Oui, votre queue... c’est un délisse. J’adore la sentir coulisser en moi. Vous avez mis le feu à ma chatte.
- Tu veux goûter à mon jus ?
- Oui s’il vous plaît, donnez-moi tout votre foutre, se surprit-elle à répondre. Julien le lui aurait demandé elle aurait refusé. Elle était tellement emportée par l’excitation qu’elle n’était plus elle-même. Même cette façon de lui parler juste avant, ce n’était pas elle. Il pouvait à cet instant faire ce qu’il voulait d’elle, elle dirait oui à tout. Elle aurait d’ailleurs aimé se faire enculer avec bestialité à cet instant.
Ces paroles crues amenèrent Eric au bord de l’orgasme. Il vint se placer devant le visage de Margaux qui tourna la tête vers l’énorme verge.
Pendant que le père de Julien se masturbait pour libérer son sperme, il doigtait la chatte humide qui ne demandait que ça. Dans un râle animal il déversa une grande quantité de sperme dans la bouche de la jeune femme. Elle savoura le jus, plus pour l’acte de recevoir le plaisir de son partenaire que par goût du liquide.
- Tu m’as complètement vidé les couilles, s’extasia Eric.
Margaux hocha de la tête alors qu’elle avalait le sperme qui avait inondé sa bouche.
Ils restèrent un moment nus à se regarder. Eric était satisfait. Il avait pris un énorme plaisir à accomplir sa vengeance. Quant à Margaux, elle était partagée entre l’immense extase qui l’avait parcouru durant toute la dernière heure et la honte de ce qu’elle avait fait avec son beau-père. Ce dernier se dirigea vers elle et lui dit :
- C’était très agréable Margaux. Cela restera notre petit secret. Je serai ravi de te donner du plaisir à nouveau.
La jeune femme ne dit rien et regarda Eric s’éloignait pour rentrer dans la maison, en pensant qu’elle adorerait aussi recommencer !
Eric, le père de Julien, avait entrepris de se venger de sa femme et de son fils qu’il avait surpris en train de baiser le soir de la St Valentin. Il avait opté pour la loi du Talion. Il était bien décidé à séduire Margaux, la copine de son fils. L’occasion se présenta longtemps après, un dimanche après-midi de juillet. Tout vient à point à qui sait attendre !
Stéphanie, sa femme, était partie pour un week-end entre copines. Julien était absent quelques jours qu’il passait chez son oncle et sa tante et devait rentrer ce dimanche midi en train. Margaux avait été invitée à passer déjeuner à la maison pour y retrouver Julien et son père et y passer l’après-midi afin de profiter de la piscine rafraîchissante en cette période de forte chaleur. Il était convenu qu’Eric aille chercher son fils à la gare à 11h45.
Margaux sonna à la porte vers 11h. La jeune fille était très séduisante. Le père de Julien n’avait jamais fantasmé sur elle, sauf depuis qu’il avait imaginé son plan de vengeance. Elle était blonde, les chevaux mi-long, de beaux yeux d’un bleu intense. Tous les traits de son visage étaient douceur, jusqu’à sa voix un peu envoûtante. Et sa peau semblait d’une douceur infinie. Elle portait ce jour un petit short en jean et un top noir sous le quel pointaient deux envoûtant tétons. Elle avait avec elle un petit sac contenant une serviette et son maillot de bain.
- Bonjour Margaux, entre, je t’en prie.
- Bonjour Eric, répondit-elle alors que l’hôte lui faisait la bise.
La jeune femme aimait bien le père de Julien. Il était amusant, toujours de bonne compagnie. Alors qu’ils discutaient à l’ombre de la pergola, le téléphone d’Eric sonna. Il retourna dans la maison pour décrocher.
- Papa, c’est moi. J’ai un souci. J’ai un problème de train. Nous sommes arrêtés en plein voie. Le contrôleur nous indique que nous allons rester bloqués au moins 2h.
Un silence s’installa puis le regard d’Eric se posa sur le corps élancé de Margaux, restée dehors. L’occasion tant attendue se présentait.
- Désolé pour toi, menti Eric. Ne t’inquiète pas pour Margaux. Elle vient d’arriver, je suis sûr qu’elle va bien profiter de la journée en attendant que tu rentres, ajouta le père du jeune homme, un peu honteux de faire ça à son fils
- OK, merci, conclu Julien, un peu résigné. Ne m’attendez pas. J’ai essayé d’appeler Margaux pour la prévenir mais je tombe sur sa messagerie. Tu pourras lui dire ?
- Oui, bien sûr, ne t’inquiète pas pour elle ! Rappelle-moi un peu avant d’arriver pour que je vienne te chercher.
Eric raccrocha, se sentant un peu diabolique, et retourna sur la terrasse rejoindre la jeune femme.
- Margaux, Julien vient de m’appeler, il est bloqué dans le train. Il risque d’avoir au moins 2 ou 3 heures de retard. Il a essayé de t’appeler mais n’a pas réussi à te joindre. Il nous demande de ne pas l’attendre.
- Ha mince, s’exclama la jeune femme, déçue. Pas moyen d’allumer mon portable ce matin. Je crois qu’il est mort ! ajouta-t-elle.
- Tu veux piquer une tête avant de déjeuner ?
- Oui pourquoi pas, ça fera du bien de se rafraîchir un peu.
Margaux prit son sac et rentra dans la maison. Elle se dirigea vers la chambre de Julien pour se changer. Eric fît de même. Alors qu’il se dirigeait vers sa propre chambre, il passa devant celle de son fils, sur sa droite. Margaux avait laissé la porte très légèrement entrouverte, ce qui permettait à Eric de observer avec perversion son reflet dans un miroir.
Margaux sortit de son sac un maillot 2 pièces turquoise. Elle fît glisser son short sur ses jambes et enleva son top. Elle ne portait pas de soutient gorge et Eric pût admirer ses jolis petits seins. Ils n’étaient pas gros mais avait une forme tout en rondeur, semblant d’une douceur exquise, avec une aréole foncée à peine plus grande que le téton. Il avait hâte de les caresser. Elle retira ensuite son string en coton blanc, paré d’une fine dentelle sur les contours. Devant le corps nu magnifique de Margaux, Eric sentit son sexe se gonfler. La jeune femme se pencha pour attraper son maillot ce qui permit au père de Julien d’apercevoir le sexe tout lisse de la jeune femme. Elle enfila alors son maillot, ajusta le bas qui était assez échancré et dévoilait une bonne parti des fesses et fit de même avec le haut.
Eric se défit de son envoûtement pour se précipiter vers sa chambre et ne pas se faire voir de la jeune femme. Il se dévêtit et du attendre quelques minutes avant de pouvoir enfiler son short, tellement son sexe avait du mal à se détendre. De sa chambre, il aperçu Margaux rentrer dans la piscine et commencer à nager. Une fois calmé, il ressorti pour la rejoindre.
Alors qu’elle faisait des longueurs, il s’approcha d’un transat et décida d’enlever son maillot de bain. Margaux le regarda bouche-bée.
- J’aime bien me baigner nu, je trouve ça très agréable. Je me suis dit que cela ne te dérangerait pas.
- Non… heu… OK, bredouilla Margaux qui était en fait très gênée mais n’osait pas le dire.
Elle était très troublée par la vue de ce sexe d’une taille qu’elle n’avait jamais vue, ou alors seulement dans des films porno. Son beau-père était en effet doté d’un membre largement au dessus de la moyenne. Même au repos, il était déjà presque aussi gros que celui de Julien en érection. Il était relativement long, mais surtout très large. Margaux trouvait son beau-père plutôt séduisant en fait. Il approchait de la cinquantaine mais avant conservé un corps assez athlétique, musclé. Ses cheveux commençaient à grisonner mais lui donnait du charme.
La jeune femme ne parvenait pas à lâcher son regard de cette queue. Eric rentra dans l’eau et se mit à faire des longueurs. Il en fit beaucoup sur le dos, laissant son membre flotter sur l’eau et se balader à chaque mouvement de bras. La jeune femme finit par sortir de la piscine et alla s’allonger sur un transat pour sécher. Elle ne pût alors s’empêcher de continuer à regarder Eric, du coin de l’œil, cachée derrière ses lunettes de soleil. Elle se demanda ce que cela faisait de faire l’amour avec un homme ainsi équipé. Ses pensées osées se multiplièrent et elle finit par ressentir des picotement dans son ventre et au bout de ses seins.
« Mais pourquoi je pense à ça ! C’est mon beau-père ! » se dit-elle, gênée par les pensées qui lui venaient. Jamais auparavant elle ne l’avait envisagé de façon sexuelle. « Tu dérailles ou quoi ! Tu fantasme sur le père de ton copain ! ».
Eric ressortit de l’eau à son tour et vint se mettre devant le transat voisin de Margaux. Il se frictionna avec une serviette, toujours le sexe libre ballottant devant les yeux de la jeune femme.
- Tu aimerais la goûter ? demanda-t-il assez sûr de lui. Il savait que son sexe pouvait créer beaucoup d’émoi et de curiosité sur ses compagnes.
- Non ! S’indigna la jeune femme. Que dites-vous là !
- Parce que j’ai l’impression que tu la regardes avec envie.
- Pas du tout ! s’empressa de répondre Margaux, gênée de s’être faite prendre.
Elle devait cependant admettre que cela folle envie grandissait en elle à chaque minute. En tout cas son corps en avait très clairement envie. Seul son esprit essayait de résister un peu devant cette situation pas très morale.
- Julien n’est pas là, il n’en saura rien. Cela restera notre petit secret. Et comme ça tu sauras ce que ça fait…
Margaux voyait la queue d’Eric grossir à présent à vue d’œil.
- Ce n’est pas tromper, il n’y a pas d’amour, juste du sexe, ajouta le père de Julien.
Les barrières morales de la jeune femme étaient en train de tomber.
- La vie est courte, il faut en profiter !
Abandonnant toute résistance, elle s’assit et prit alors le chibre entre ses mains et commença à le branler. Rapidement, elle ne parvint plus à en faire le tour avec sa main. Elle dirigea alors le gland énorme vers sa bouche. Elle eut aussi du mal à l’introduire. Elle enfonça le plus possible le sexe au fond de sa bouche mais ne peut en avaler qu’à peine la moitié.
Elle soupesa les couilles et constata qu’elles étaient aussi d’une taille équivalente au reste. Elle les massa et en mit une dans sa bouche pour la sucer.
Eric savourait les douces caresses de sa partenaire aussi douée qu’appliquée. Margaux sentait la chaleur monter dans son venter. Ce sexe, le désir ardant de l’avoir en elle et l’interdit de ce qu’elle faisait étaient pour elle une source puissante d’excitation.
Il la fit se mettre à quatre pattes sur le transat et admira ses fesses bien rondes à moitié recouvertes par le maillot turquoise dont le tissus humide épousait la plus petite forme de son corps, dévoilant la moindre ligne des lèvres gonflées de sa vulve. Il se délecta un moment de cette vue. Il s’empara du bord du maillot et entreprit de le faire glisser jusqu’au genoux. Il le fit descendre tout doucement, profitant de chaque parcelle de ce jeune corps qui était offert à ses yeux, un peu comme un cadeau qu’on déballe avec fébrilité. Le début de sa raie apparut, puis son petit trou. Il arriva ensuite sur l’entrée de son vagin puis dévoila toute sa vulve, lisse, gonflée, appétissante. Il emmena le maillot jusqu’aux bas des cuisses et se mit à lécher la chatte de la jeune femme. Elle se cambra sous les premiers coups de langue, savourant chaque contact avec sa peau sensible. Il se délecta de son jus, lécha chaque centimètre de son sexe. Il introduisit un doigt dans son vagin et dégusta la douceur de son intimité. Après quelques mouvements, il ressortit son doigt humide et vint jouer avec son clitoris. Il appuyait doucement dessus sans bouger le doigt et sentait la jeune femme frémir de plaisir. Il fit ensuite quelques gestes circulaires. Margaux sentit la pointe de la langue toucher son bouton puis remonter le long des ses lèvres jusqu’à son petit trou, qu’il lécha avec avidité.
La jeune femme fût surprise, on ne lui avait jamais fait d’annulingus. Elle ondula instinctivement du bassin, emportée par des vagues de doux frémissements. Eric introduisit ensuite un doigt dans son anus. Devant le mouvement d’hésitation de la jeune femme il lui murmura en se penchant sur elle
- Ne t’inquiète pas, je n’y mettrai pas autre chose qu’un doigt. On verra une autre fois pour en mettre plus, ajouta-t-il avec malice.
Margaux ressentit quand même un soulagement. Elle n’avait jamais été sodomisée et s’inquiétait de la douleur qu’elle pourrait ressentir en accueillant un sexe de cette taille dans son cul.
Son beau-père vint se positionner derrière elle et présenta sa queue devant sa chatte. Il introduisit doucement son gland dans son vagin, puis avança plus profondément tout en douceur. La jeune femme frissonna en sentant ce sexe d’une taille inhabituelle la pénétrer. Elle se sentait remplie, comblée et s’étonnait de pouvoir accueillir ce chibre sans plus de difficulté. Elle sentit alors le gland atteindre le fond de son vagin ce qui lui arracha un soupir de plaisir. Eric commença de lents aller-retour. En la besognant ainsi, le père de Julien introduisit un doigt dans son cul et fît également des va-et-vient au même rythme que sa queue. La jeune femme ronronnait de plaisir, se laissant emporter par la chaleur qui irradiait depuis son ventre.
Le plaisir ne cessant de s’insinuer dans chaque cellule de son corps elle finit par avoir un orgasme, une douce chaleur envahissant son ventre, des tressaillements émanant de son vagin jusqu’à la pointe de ses seins. Margaux poussa des gémissement de plaisir pendant de longs instants. C’en était trop ! A l’entendre ainsi exprimer son extase, Eric sentit qu’il allait exploser. Il ressortit précipitamment sa queue de sa partenaire et se masturba quelques secondes au dessus de ses fesses avant d’expulser de puissants jets de sperme. Les fesses de Margaux furent recouvertes du foutre blanchâtre de son beau-père.
- On ne va pas s’arrêter en si bon chemin, dit Eric en mettant son sexe un peu débandé devant le visage de la copine de son fils.
Elle s’assit, les jambes flageolantes, et repris en main la queue avec pour objectif de lui redonner sa vigueur. Elle trouva très excitant de faire une fellation à cette verge à moitié molle et de la sentir durcir à chaque coup de langue, sensation décuplée par les restes de sperme qui s’écoulaient dans sa bouche.
Avec toute sa fermeté retrouvée, Eric s’allongea au sol, à l’ombre de la pergola et invita la jeune femme à venir le chevaucher. Margaux l’enjamba et resta un peu debout pour le laisser admirer, de sa position allongée, sa chatte luisante et ouverte de désir. Elle frissonna de s’offrir ainsi à lui.
Elle se mit à genoux et guida la grosse queue vers son intimité. Elle s’introduit sans problème dans sa chatte dégoulinante de mouille. Elle guida le rythme, montant et descend sur cette verge qui la remplissait avec bonheur. Eric avait les mains posées sur les hanches de la jeune femme et fixait son visage, gardant les yeux clos, qui savourait chaque mouvement de ce membre en elle.
Il posa ses mains sur les petits seins et les caressas, se languissant de ne pouvoir les lécher. Il invita la jeune femme à se pencher sur lui et pu alors attraper les petits tétons qui pointaient de plaisir. Enfin ! il pouvait délecter de lécher ses seins et de mordiller ses tétons tout durs. Ses seins couverts de salive et la douce sensation de ses tétons qui roulaient entre la langue experte d’Eric était une puissante source d’excitation pour la jeune femme.
Les deux partenaires savourait chaque mouvement, chaque émotion intense qui les parcourait. Margaux pivota pour se retrouver toujours sur son beau-père, mais en lui tournant le dos. Il voyait maintenant les fesses de la jeune femme monter et descendre sur sa queue qui disparaissait en partie dans son vagin. Cette vision le captivait énormément. Il en profita pour introduire un doigt dans l’anus de Margaux qui trouva la sensation excquise. Elle continuait ses mouvements de bassin et savourait chaque caresse de cette queue qui s’enfonçait au plus profond d’elle.
Ils se relevèrent et Eric souleva Margaux avec facilité, passa ses mains entre ses jambes pour la porter puis la plaqua contre le poteau de la pergola. Il guida alors la jeune femme jusqu’à sa verge tendue et quand il eut trouvé l’entrée de son vagin, il la fit descendre légèrement pour la pénétrer. Il étaient collés l’un à l’autre. Pour la première fois, il s’embrassèrent fougueusement, leur lèvres humides de désirs ne se lâchant plus.
Margaux passait la main dans ses cheveux tandis qu’Eric faisait d’amples mouvements de bassins pour faire des aller-retour dans le sexe trempé de sa partenaire.
Quand il commença à fatiguer, Eric allongea la jeune femme sur la table du salon de jardin. Elle remonta ses jambes serrées sur sa poitrine. Il la pénétrait, puis ressortait complètement sa queue puis la pénétrait à nouveau avec fougue. Il fit cela à plusieurs reprises. Chaque pénétration provoquait un puissante frémissement qui parcourait tout le corps de la jeune femme. Elle sentit finalement la verge dure la pilonner à nouveau en rythme. Elle était haletante, le souffle court, emportée par le plaisir. Un nouvel orgasme s’approchait. Elle écarta les jambes et se mit à caresser son clitoris d’une main et pincer un téton de l’autre. Elle exprima son plaisir en poussant de longs gémissements, son corps enveloppé par une douce chaleur et secoué par des spasmes se répandant par vague de son ventre à ses cuisses et en allant jusqu’à à la pointe de ses seins.
- T’aimes que je te laboure la chatte on dirait ? dit Eric à Margaux quand elle eut retrouvé ses esprits.
- Oui, votre queue... c’est un délisse. J’adore la sentir coulisser en moi. Vous avez mis le feu à ma chatte.
- Tu veux goûter à mon jus ?
- Oui s’il vous plaît, donnez-moi tout votre foutre, se surprit-elle à répondre. Julien le lui aurait demandé elle aurait refusé. Elle était tellement emportée par l’excitation qu’elle n’était plus elle-même. Même cette façon de lui parler juste avant, ce n’était pas elle. Il pouvait à cet instant faire ce qu’il voulait d’elle, elle dirait oui à tout. Elle aurait d’ailleurs aimé se faire enculer avec bestialité à cet instant.
Ces paroles crues amenèrent Eric au bord de l’orgasme. Il vint se placer devant le visage de Margaux qui tourna la tête vers l’énorme verge.
Pendant que le père de Julien se masturbait pour libérer son sperme, il doigtait la chatte humide qui ne demandait que ça. Dans un râle animal il déversa une grande quantité de sperme dans la bouche de la jeune femme. Elle savoura le jus, plus pour l’acte de recevoir le plaisir de son partenaire que par goût du liquide.
- Tu m’as complètement vidé les couilles, s’extasia Eric.
Margaux hocha de la tête alors qu’elle avalait le sperme qui avait inondé sa bouche.
Ils restèrent un moment nus à se regarder. Eric était satisfait. Il avait pris un énorme plaisir à accomplir sa vengeance. Quant à Margaux, elle était partagée entre l’immense extase qui l’avait parcouru durant toute la dernière heure et la honte de ce qu’elle avait fait avec son beau-père. Ce dernier se dirigea vers elle et lui dit :
- C’était très agréable Margaux. Cela restera notre petit secret. Je serai ravi de te donner du plaisir à nouveau.
La jeune femme ne dit rien et regarda Eric s’éloignait pour rentrer dans la maison, en pensant qu’elle adorerait aussi recommencer !
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire très excitante, vivement la suite pour découvrir comment elle va se faire sodomiser et devenir la vide-couilles de son beau-père...
La vengeance oui mais faire prendre des risques non.
Vivement la suute