Vengeance extrême de femme
Récit érotique écrit par GDSA74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Vengeance extrême de femme
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Quelle belle époque, j'étais avec Suzanne, cette belle brune d' 1,65 m, pour 52 kg, yeux verts et cette peau très blanche, si rare chez une femme brune, de jolis seins, bien dessinés en forme de pomme, des mamelons bien marqués et très sensibles, un joli petit ventre dévoilant un sexe lisse, des fesses et des cuisses de sportive, pour des chevilles fines et des pieds magnifiques. Nous nous étions rencontrés lors d'une soirée et avions beaucoup discuté puis de contact téléphonique en rencontre avions fini amants. J'avais donc décidé de quitter mon ex, Clarisse, super belle, grande, élancée, des petits seins, yeux bleus gris, blonde aux longs cheveux, des petites fesses, de longues cuisses, question sexe au top, mais devenue exigeante et chiante dans la vie de tous les jours. Lorsque je la quittais, elle me menaça des pires mots pour de pires maux futures. Nous harcelant, nous suivant, je dus la mettre face à la réalité de sa jalousie maladive et d'une exigence de tous les jours exacerbée par sa haine et l'avertissais que je l'emmènerai devant le juge si elle continuait. Du jour au lendemain et ce pendant plusieurs semaines, nous n'eûmes plus de nouvelles.
Suzanne aimait faire l'amour, plus classique que Clarisse, mais adorait découvrir les plaisirs du sexe. Sur ces quelques semaines, elle prit confiance en elle et pratiqua de mieux en mieux la fellation même si elle se refusait à avaler ma semence, découvrit la sodomie en se détendant et y prenant du plaisir jusqu'à jouir intensément en recevant mon sperme en son intérieur. Elle aimait aussi être attachée sans violence et les yeux bandés, être prise jusqu'à ce que jouissance s'en suive. Elle adorait chevaucher mon corps pour s'empaler sur cette hampe et y prendre un exquis plaisir. J'adorais voir ses seins bouger de haut en bas, si sensibles au toucher que son sexe mouillait rapidement. Un jour, elle était ainsi sur moi et d'elle même décida d'arrêter sa chevauchée et se retourna pour m'offrir sa vulve trempée, pleine de sa liqueur pour que je lape son plaisir et que je la fasse jouir avec ma langue et mes doigts. Elle prit mon sexe en bouche et le suça longuement de haut en bas puis par petits coups de langue, elle m'amenait près de ma jouissance et s'arrêtait pour recommencer. Cela dura longtemps jusqu'à ce que je la vois se contracter au niveau de son bas ventre et gémir, mon sexe en elle, un liquide nacré s'écoulant de ses grandes lèvres pour finit sur mon visage et elle ne fit pas attention en me faisant jouir sans retenue au fond de sa bouche, elle en avala sans pouvoir faire autrement dans sa jouissance tellement elle était embrumée. Elle se mit à côté et me regarda en souriant et se colla à moi.
Un jour, je ne fis pas attention, l'esprit libéré de Clarisse quand je fus assommé, un soir lors de mon retour du travail dans un coin de rue, sombre, soirée d'automne grise et froide. Je vis plusieurs formes féminines, leurs voix aussi et surtout celle de Clarisse. Je sombrais dans un coma sans force quand je fus emmené manu-militari dans une camionnette. La route fut longue. À mon réveil, les yeux encore embrumés, j'aperçus Clarisse et trois de ses amies Alice, Olivia et Giulia dans une salle sombre. J'étais attaché et nu. Clarisse me nargua et me dit : " enfin ma vengeance..
- arrête Clarisse, voulus-je protester mais Giulia me gifla et me bâillonnant, sourit. Regarde bien maintenant.
Et Clarisse appela Suzanne lui disant de venir tout de suite sans avertir la police car elle me ferait du mal sinon.
Suzanne paniquée, enfila vite un string noir, un jean et un chemisier blanc par dessus un soutien gorge en dentelle noir. Elle mit vite ses petits talons et se précipita dehors pour nous rejoindre avec sa voiture. Arrivée devant la bâtisse, elle eût peur car c'était noir puis elle vit trois éclairs de lampe torche. Elle se dirigea vers ce lieu et rentra dans la pièce noire avant d'être saisie violemment, agressée et giflée. Elle tomba à genoux, la lèvre en sang. Elle fut relevée et attachée par les poignets et soulevée par une poulie. Elle fut éclairée, insultée, giflée. Puis Clarisse arriva devant Suzanne, lui enleva le chemisier et le soutien gorge. Qu'a-t-elle de plus que moi? Et elle continua à la déshabiller, dégrafa le Jean et le baissa d'un coup. Suzanne criait mais Alice la bâillonna. Suzanne, nue, pleurait, sans force, humiliée. Je ne pouvais rien faire et je vis Clarisse s'effeuiller devant elle, plus grande, nue sur des talons aiguilles, une badine dans la main, caressant le corps de Suzanne avant de lui porter un coup sur les fesses. Ma chérie gémissait, Alice lui torturant les seins avec des pinces, des cordes et profitant pour lui lécher, lui sucer les tétons, la mordiller. Giulia se collait derrière Suzanne et lui caressait les fesses, le sexe, la doigtant, la forçant à écarter les cuisses. Clarisse stoppa le jeu et me regarda, mes yeux hagards, les lèvres sèches et me donna à boire. Elle fit de même à Suzanne avec une autre bouteille. Elle proposa un deal, je devais satisfaire Clarisse et ses trois amies sexuellement, sans limites devant Suzanne pour que Suzanne soit libérée. Je n'avais aucun choix sinon elle serait à son tour baisée sans limite par des hommes à la chaîne. Mon esprit était bloqué mais mon corps réagissait bizarrement, mon sexe se dressant, mon envie de sexe élevée d'un coup et voyant Suzanne bouger, se frotter les cuisses, je compris. On était drogué. Clarisse rigolait et appela au téléphone. Des hommes rentraient, nus dans la pièce, entourant Suzanne, les yeux brillants... Ils se branlaient devant elle. Clarisse riait et me poussa au sol pour m'enjamber et s'empaler sur mon sexe. Suzanne était à son tour pénétrée par devant, jambes autour des hanches du mec puis un deuxième arriva par derrière pour la sodomiser, cela dura longuement et je la vis gémir et jouir. Clarisse me regarda et me dit, oui joli progrès en sodomie. Elle n'avale pas ton sperme ? Tu vas voir tout ce qu'elle va prendre, dans son sexe, son cul et sa bouche... Du sperme bien chaud...allez je veux la voir hoqueter et avaler de la semence bien chaude. Les deux gars jouirent en elle en même temps avant de se retirer, je voyais leur semence couler de son cul et de sa chatte. Ils approchèrent Suzanne excitée, ouverte, la respiration rapide et saccadée avant de devoir prendre un sexe en bouche, le lécher et le sucer de plus en plus profond. Le gars garda la tête de Suzanne bien contre lui, sa queue au fond de sa gorge. Il jouit violemment par à coup et fit suffoquer ma chérie, obligée à avaler l'éjaculation importante de ce mec. Clarisse était aux anges et dit à Suzanne de me regarder faire l'amour à Clarisse. Elle ondulait sur ma hampe offerte par de grands coups alors que Giulia, nue, se mit à califourchon sur mon visage pour que je lèche sa chatte humide et chaude. Puis Alice saisit les cheveux de Suzanne pour l'approcher au plus près de ce contact physique sexuel pour constater sa déchéance.
Lèche, lui dit-elle. Lèche le sexe de ton mec alors qu'il baise une autre que toi... Dépêche toi petite chienne Suzanne.
Suzanne voulut résister mais la drogue dans son corps agissait comme un aimant. Elle mit sa langue et lécha chaque coup de boutoir puis aussi le clitoris de Clarisse, gonflé de désir. Cela fit comme effet de la faire jouir d'un coup et contractant son bas ventre, hurla don plaisir, alors que j'éjaculais en elle sans retenue en grognant mon plaisir de mâle en rut sans vergogne. Suzanne nettoya la vulve de Clarisse, son cul relevé, au dessus de moi. Clarisse claqua des doigts et un mec vint enfourcher Suzanne au dessus de moi pour la prendre violemment en la fessant, je l'entendais gémir et dire ho oui, encore... Puis le gars l'arrosa de son liquide épais à l'intérieur et écartant ses grandes lèvres, il me montrait sa semence s'écouler doucement. Il s'en alla. Suzanne fut emmenée au centre de la salle et installée à genoux sur un coussin. Clarisse me saisit et me mit à ses pieds, elle assise sur un fauteuil, entourée de ses amies.
Et maintenant, le final.
Suzanne, mains attachées dans le dos, entourée de mec en rut, prêts à jouir, arrivaient autour d'elle et se branlant giclaient leurs semences sur son corps, son visage après quelques fellations forcées. Elle en avait de partout. Puis un gars avec un chibre monstre arriva et la poussa, visage au sol, seins sur le sol, croupe offerte, lui écarta les fesses et la sodomisant d'un coup longuement. Elle cria de douleur puis il resta ainsi quelques secondes avant de la pilonner alors qu'elle hurlait. Au fur et à mesure, ses cris devenaient désirs puis plaisirs quand il se vida au plus profond d'elle. Il se retira, partit, la laissant ainsi, croupe offerte, remplie, le trou béant.
Clarisse cria son plaisir et nous dit: "Voilà, vous nous appartenez totalement et vous avez été filmés dans vos exploits alors si vous voulez porter plainte, nous mettrons tout sur YouPorn à visage découvert.
Vous allez signer de votre main ce contrat et vous allez travailler pour moi, elle à mon bureau comme petite secrétaire sous mes ordres et ceux de mes trois amies présentes et toi chez moi où était ta place mais cette fois ci, tu y resteras continuellement comme homme à la maison. C'est moi qui décide de tout et j'autoriserai Suzanne à vivre chez moi. On ne sait jamais si je te permet de lui faire l'amour mais je ne pense pas. Maintenant qu'elle est très salope, prête à tout pour du sexe hard. N'est ce pas ?
- Oui ! Murmura Suzanne.
- Plus fort!!!
- Oui Clarisse réussit à dire Suzanne.
- Très bien ma soumise. Tu peux m'appeler maîtresse Clarisse.
- Bien Maîtresse Clarisse.
- Et mes meilleures amies, c'est aussi Maîtresses avec leur prénoms.
- Oui maîtresse Clarisse.
- Allez, retournons chez nous et emmenez les. "Giulia me redressa et m'amena dans la camionette, puis Alice saisit Suzanne pour vouloir la laver mais Clarisse cria un non catégorique qui fut peur aussi à ses trois amies.
"Je la veux souillée le plus longtemps possible. Qu'il ne puisse pas la toucher. Elle n'est plus à lui mais à moi."Suzanne fut traînée jusqu'à la camionnette et emballée dans une vieille couverture car elle tremblait la drogue ne faisant plus effet.
Nous pûmes seulement nous laver, Suzanne, sans force et encore pleine de semences séchées et de liquide s'écoulant de ses orifices fut lavée par Olivia et Alice. J'étais dans la chambre de Clarisse, sous la douche avec elle, à genoux devant elle. Je ne devais me laver que comme ça dorénavant et tous mes déplacements seraient contrôlés par elle seule et ses amies. Nous venions de devenir un couple esclave à une femme dominatrice dangereuse et qui n'hésiterai pas à nous exécuter.
Le lendemain, je pus voir Suzanne qui était prostrée, j'essayais de la stimuler pour lutter, elle me sourit à peine. Clarisse eut vent de cette tentative de conciliation mais fut furax. Quand elle rentra, elle convoqua ses amies et je passais en jugement devant elles. Je tentais de protester pour Suzanne et son état psychologique mais cela satisfaisait Clarisse qu'elle soit ainsi. Elle la fit venir et c'est vrai qu'elle obéit totalement. Elle se mit à genoux devant elle, vaincue, brisée. Clarisse la gifla et lui demanda qui était la reine de toute.
C'est vous maîtresse Clarisse, répéta Suzanne. Et, elle se proterna à ses pieds pour lui embrasser.
Tu vois me dit-elle. Vous êtes à moi. Déshabille toi, Suzanne, et met toi à genoux, fesses sur les talons, mains sur la tête, buste dressé. Tu vas m'appartenir totalement.
Ce que fit Suzanne.
Giulia était tatoueuse de métier et ramena son matériel. Elle inscrivit sur la fesse droite de Suzanne, propriété de M. Clarisse. Et Clarisse mit un collier à Suzanne avec une médaille, chienne Suzy, et le numéro de téléphone de Clarisse.
Quelle belle époque, j'étais avec Suzanne, cette belle brune d' 1,65 m, pour 52 kg, yeux verts et cette peau très blanche, si rare chez une femme brune, de jolis seins, bien dessinés en forme de pomme, des mamelons bien marqués et très sensibles, un joli petit ventre dévoilant un sexe lisse, des fesses et des cuisses de sportive, pour des chevilles fines et des pieds magnifiques. Nous nous étions rencontrés lors d'une soirée et avions beaucoup discuté puis de contact téléphonique en rencontre avions fini amants. J'avais donc décidé de quitter mon ex, Clarisse, super belle, grande, élancée, des petits seins, yeux bleus gris, blonde aux longs cheveux, des petites fesses, de longues cuisses, question sexe au top, mais devenue exigeante et chiante dans la vie de tous les jours. Lorsque je la quittais, elle me menaça des pires mots pour de pires maux futures. Nous harcelant, nous suivant, je dus la mettre face à la réalité de sa jalousie maladive et d'une exigence de tous les jours exacerbée par sa haine et l'avertissais que je l'emmènerai devant le juge si elle continuait. Du jour au lendemain et ce pendant plusieurs semaines, nous n'eûmes plus de nouvelles.
Suzanne aimait faire l'amour, plus classique que Clarisse, mais adorait découvrir les plaisirs du sexe. Sur ces quelques semaines, elle prit confiance en elle et pratiqua de mieux en mieux la fellation même si elle se refusait à avaler ma semence, découvrit la sodomie en se détendant et y prenant du plaisir jusqu'à jouir intensément en recevant mon sperme en son intérieur. Elle aimait aussi être attachée sans violence et les yeux bandés, être prise jusqu'à ce que jouissance s'en suive. Elle adorait chevaucher mon corps pour s'empaler sur cette hampe et y prendre un exquis plaisir. J'adorais voir ses seins bouger de haut en bas, si sensibles au toucher que son sexe mouillait rapidement. Un jour, elle était ainsi sur moi et d'elle même décida d'arrêter sa chevauchée et se retourna pour m'offrir sa vulve trempée, pleine de sa liqueur pour que je lape son plaisir et que je la fasse jouir avec ma langue et mes doigts. Elle prit mon sexe en bouche et le suça longuement de haut en bas puis par petits coups de langue, elle m'amenait près de ma jouissance et s'arrêtait pour recommencer. Cela dura longtemps jusqu'à ce que je la vois se contracter au niveau de son bas ventre et gémir, mon sexe en elle, un liquide nacré s'écoulant de ses grandes lèvres pour finit sur mon visage et elle ne fit pas attention en me faisant jouir sans retenue au fond de sa bouche, elle en avala sans pouvoir faire autrement dans sa jouissance tellement elle était embrumée. Elle se mit à côté et me regarda en souriant et se colla à moi.
Un jour, je ne fis pas attention, l'esprit libéré de Clarisse quand je fus assommé, un soir lors de mon retour du travail dans un coin de rue, sombre, soirée d'automne grise et froide. Je vis plusieurs formes féminines, leurs voix aussi et surtout celle de Clarisse. Je sombrais dans un coma sans force quand je fus emmené manu-militari dans une camionnette. La route fut longue. À mon réveil, les yeux encore embrumés, j'aperçus Clarisse et trois de ses amies Alice, Olivia et Giulia dans une salle sombre. J'étais attaché et nu. Clarisse me nargua et me dit : " enfin ma vengeance..
- arrête Clarisse, voulus-je protester mais Giulia me gifla et me bâillonnant, sourit. Regarde bien maintenant.
Et Clarisse appela Suzanne lui disant de venir tout de suite sans avertir la police car elle me ferait du mal sinon.
Suzanne paniquée, enfila vite un string noir, un jean et un chemisier blanc par dessus un soutien gorge en dentelle noir. Elle mit vite ses petits talons et se précipita dehors pour nous rejoindre avec sa voiture. Arrivée devant la bâtisse, elle eût peur car c'était noir puis elle vit trois éclairs de lampe torche. Elle se dirigea vers ce lieu et rentra dans la pièce noire avant d'être saisie violemment, agressée et giflée. Elle tomba à genoux, la lèvre en sang. Elle fut relevée et attachée par les poignets et soulevée par une poulie. Elle fut éclairée, insultée, giflée. Puis Clarisse arriva devant Suzanne, lui enleva le chemisier et le soutien gorge. Qu'a-t-elle de plus que moi? Et elle continua à la déshabiller, dégrafa le Jean et le baissa d'un coup. Suzanne criait mais Alice la bâillonna. Suzanne, nue, pleurait, sans force, humiliée. Je ne pouvais rien faire et je vis Clarisse s'effeuiller devant elle, plus grande, nue sur des talons aiguilles, une badine dans la main, caressant le corps de Suzanne avant de lui porter un coup sur les fesses. Ma chérie gémissait, Alice lui torturant les seins avec des pinces, des cordes et profitant pour lui lécher, lui sucer les tétons, la mordiller. Giulia se collait derrière Suzanne et lui caressait les fesses, le sexe, la doigtant, la forçant à écarter les cuisses. Clarisse stoppa le jeu et me regarda, mes yeux hagards, les lèvres sèches et me donna à boire. Elle fit de même à Suzanne avec une autre bouteille. Elle proposa un deal, je devais satisfaire Clarisse et ses trois amies sexuellement, sans limites devant Suzanne pour que Suzanne soit libérée. Je n'avais aucun choix sinon elle serait à son tour baisée sans limite par des hommes à la chaîne. Mon esprit était bloqué mais mon corps réagissait bizarrement, mon sexe se dressant, mon envie de sexe élevée d'un coup et voyant Suzanne bouger, se frotter les cuisses, je compris. On était drogué. Clarisse rigolait et appela au téléphone. Des hommes rentraient, nus dans la pièce, entourant Suzanne, les yeux brillants... Ils se branlaient devant elle. Clarisse riait et me poussa au sol pour m'enjamber et s'empaler sur mon sexe. Suzanne était à son tour pénétrée par devant, jambes autour des hanches du mec puis un deuxième arriva par derrière pour la sodomiser, cela dura longuement et je la vis gémir et jouir. Clarisse me regarda et me dit, oui joli progrès en sodomie. Elle n'avale pas ton sperme ? Tu vas voir tout ce qu'elle va prendre, dans son sexe, son cul et sa bouche... Du sperme bien chaud...allez je veux la voir hoqueter et avaler de la semence bien chaude. Les deux gars jouirent en elle en même temps avant de se retirer, je voyais leur semence couler de son cul et de sa chatte. Ils approchèrent Suzanne excitée, ouverte, la respiration rapide et saccadée avant de devoir prendre un sexe en bouche, le lécher et le sucer de plus en plus profond. Le gars garda la tête de Suzanne bien contre lui, sa queue au fond de sa gorge. Il jouit violemment par à coup et fit suffoquer ma chérie, obligée à avaler l'éjaculation importante de ce mec. Clarisse était aux anges et dit à Suzanne de me regarder faire l'amour à Clarisse. Elle ondulait sur ma hampe offerte par de grands coups alors que Giulia, nue, se mit à califourchon sur mon visage pour que je lèche sa chatte humide et chaude. Puis Alice saisit les cheveux de Suzanne pour l'approcher au plus près de ce contact physique sexuel pour constater sa déchéance.
Lèche, lui dit-elle. Lèche le sexe de ton mec alors qu'il baise une autre que toi... Dépêche toi petite chienne Suzanne.
Suzanne voulut résister mais la drogue dans son corps agissait comme un aimant. Elle mit sa langue et lécha chaque coup de boutoir puis aussi le clitoris de Clarisse, gonflé de désir. Cela fit comme effet de la faire jouir d'un coup et contractant son bas ventre, hurla don plaisir, alors que j'éjaculais en elle sans retenue en grognant mon plaisir de mâle en rut sans vergogne. Suzanne nettoya la vulve de Clarisse, son cul relevé, au dessus de moi. Clarisse claqua des doigts et un mec vint enfourcher Suzanne au dessus de moi pour la prendre violemment en la fessant, je l'entendais gémir et dire ho oui, encore... Puis le gars l'arrosa de son liquide épais à l'intérieur et écartant ses grandes lèvres, il me montrait sa semence s'écouler doucement. Il s'en alla. Suzanne fut emmenée au centre de la salle et installée à genoux sur un coussin. Clarisse me saisit et me mit à ses pieds, elle assise sur un fauteuil, entourée de ses amies.
Et maintenant, le final.
Suzanne, mains attachées dans le dos, entourée de mec en rut, prêts à jouir, arrivaient autour d'elle et se branlant giclaient leurs semences sur son corps, son visage après quelques fellations forcées. Elle en avait de partout. Puis un gars avec un chibre monstre arriva et la poussa, visage au sol, seins sur le sol, croupe offerte, lui écarta les fesses et la sodomisant d'un coup longuement. Elle cria de douleur puis il resta ainsi quelques secondes avant de la pilonner alors qu'elle hurlait. Au fur et à mesure, ses cris devenaient désirs puis plaisirs quand il se vida au plus profond d'elle. Il se retira, partit, la laissant ainsi, croupe offerte, remplie, le trou béant.
Clarisse cria son plaisir et nous dit: "Voilà, vous nous appartenez totalement et vous avez été filmés dans vos exploits alors si vous voulez porter plainte, nous mettrons tout sur YouPorn à visage découvert.
Vous allez signer de votre main ce contrat et vous allez travailler pour moi, elle à mon bureau comme petite secrétaire sous mes ordres et ceux de mes trois amies présentes et toi chez moi où était ta place mais cette fois ci, tu y resteras continuellement comme homme à la maison. C'est moi qui décide de tout et j'autoriserai Suzanne à vivre chez moi. On ne sait jamais si je te permet de lui faire l'amour mais je ne pense pas. Maintenant qu'elle est très salope, prête à tout pour du sexe hard. N'est ce pas ?
- Oui ! Murmura Suzanne.
- Plus fort!!!
- Oui Clarisse réussit à dire Suzanne.
- Très bien ma soumise. Tu peux m'appeler maîtresse Clarisse.
- Bien Maîtresse Clarisse.
- Et mes meilleures amies, c'est aussi Maîtresses avec leur prénoms.
- Oui maîtresse Clarisse.
- Allez, retournons chez nous et emmenez les. "Giulia me redressa et m'amena dans la camionette, puis Alice saisit Suzanne pour vouloir la laver mais Clarisse cria un non catégorique qui fut peur aussi à ses trois amies.
"Je la veux souillée le plus longtemps possible. Qu'il ne puisse pas la toucher. Elle n'est plus à lui mais à moi."Suzanne fut traînée jusqu'à la camionnette et emballée dans une vieille couverture car elle tremblait la drogue ne faisant plus effet.
Nous pûmes seulement nous laver, Suzanne, sans force et encore pleine de semences séchées et de liquide s'écoulant de ses orifices fut lavée par Olivia et Alice. J'étais dans la chambre de Clarisse, sous la douche avec elle, à genoux devant elle. Je ne devais me laver que comme ça dorénavant et tous mes déplacements seraient contrôlés par elle seule et ses amies. Nous venions de devenir un couple esclave à une femme dominatrice dangereuse et qui n'hésiterai pas à nous exécuter.
Le lendemain, je pus voir Suzanne qui était prostrée, j'essayais de la stimuler pour lutter, elle me sourit à peine. Clarisse eut vent de cette tentative de conciliation mais fut furax. Quand elle rentra, elle convoqua ses amies et je passais en jugement devant elles. Je tentais de protester pour Suzanne et son état psychologique mais cela satisfaisait Clarisse qu'elle soit ainsi. Elle la fit venir et c'est vrai qu'elle obéit totalement. Elle se mit à genoux devant elle, vaincue, brisée. Clarisse la gifla et lui demanda qui était la reine de toute.
C'est vous maîtresse Clarisse, répéta Suzanne. Et, elle se proterna à ses pieds pour lui embrasser.
Tu vois me dit-elle. Vous êtes à moi. Déshabille toi, Suzanne, et met toi à genoux, fesses sur les talons, mains sur la tête, buste dressé. Tu vas m'appartenir totalement.
Ce que fit Suzanne.
Giulia était tatoueuse de métier et ramena son matériel. Elle inscrivit sur la fesse droite de Suzanne, propriété de M. Clarisse. Et Clarisse mit un collier à Suzanne avec une médaille, chienne Suzy, et le numéro de téléphone de Clarisse.
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