Véro (chapitre 5) : l’histoire continue en Afrique

- Par l'auteur HDS jacques r -
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Récit libertin : Véro (chapitre 5) : l’histoire continue en Afrique Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Véro (chapitre 5) : l’histoire continue en Afrique
Cette série a été écrite initialement en anglais par whole punch sous le titre Véro, à partir de l’histoire de ma femme et de moi-même. Qu’il en soit remercié. J’ai assuré, à sa demande, la traduction pour que les francophones en profitent également, puisque d’abord une histoire française.
Si les chapitres, romancés, concernant Véro hôtesse dans un bar américain s’appuyaient sur des éléments réels et vécus, la saga africaine relève de la pure fiction, même si notre couple s’y est installé peu de temps après notre mariage et que l’on y retrouve quelques anecdotes que j’ai pu raconter à whole punch.

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Moins de 6 mois plus tard après cette première rencontre, Véro sort de sa rêverie pour se retrouver en approche finale de l’aéroport international de Douala, au Cameroun. Elle est assise à côté de celui qui est son mari depuis 3 mois, Jacques, qu’elle avait rencontré alors qu’elle travaillait comme hôtesse de bar très recherchée par une clientèle d’amateurs éclairés. Jacques sait tout de l’histoire de Véro - le tout premier soir où ils s’étaient rencontrés, il avait regardé deux hommes ivres l’emmener hors du bar, Véro revenant plus tard clairement épuisée mais si exaltée qu’il pouvait le sentir sur sa peau.

La détermination de Jacques d’en faire son épouse coïncidait avec la volonté de Véro de passer à autre chose, de sortir de ce mode de vie avant qu’elle n’ait plus le choix - elle avait trop vu les filles sombrer dans la prostitution la plus dure et l’alcoolisme, Et elle ne voulait pas ça pour elle-même. Après des débuts difficiles et beaucoup d’inflexion de son code moral, sans parler des restes de ses croyances religieuses, elle avait apprécié cette courte carrière et avait mis de côté un petit pactole - ce qui était, elle l’oubliait parfois, l’unique raison pour laquelle elle s’était lancé dans cette voie.

Elle savait, peut-être avec une pointe de regret, que le sexe lui manquerait. Être hôtesse signifiait variété - une alternance permanente d’habitués et de nouveaux clients chaque semaine - et à une ou deux exceptions près, tous avaient réussi à l’amener à l’orgasme à un moment, état qui semblait arriver plus facilement vers la fin de cette période que lorsqu’elle avait commencé. Si elle ne jouissait pas toujours aussi fort qu’avant, la fréquence compensait.

Le sexe avec Jacques était très bon - ils étaient en phase et son mari était un amant prévenant. Il la faisait jouir à chaque fois, et il était aussi doué avec sa langue et ses doigts. Mais Véro pouvait déjà sentir les débuts d’un léger ennui dû à ce manque de variété. Elle faisait pourtant l’effort de sortir cette idée de sa tête.

Jacques avait décroché un bon emploi au Cameroun - une véritable aventure pour tous les deux, mais surtout pour une fille qui n’avait jamais beaucoup voyagé, même dans son propre pays, et, qui, quelques mois auparavant n’aurait pu imaginer visiter l’Afrique. Encore moins être payé pour aller y vivre. Véro aimait la nouveauté et était enthousiasmée par ce nouveau chapitre de sa vie, espérant qu’elle pourrait se faire de nouveaux amis qui n’auraient pas à payer pour être en sa compagnie.

Ils sont accueillis à l’extérieur de l’aéroport par Patrice, le nouveau patron de Jacques et l’homme avec qui il échangeait par téléphone et par lettre depuis quelques semaines. C’est leur première rencontre réelle et tous les trois se sentent immédiatement à l’aise et rient bientôt alors que Patrice les conduit vers leur nouvelle maison, soulignant un endroit après l’autre avec une histoire compliquée, alambiquée et amusante attachée à chacun de ces quartiers. Patrice est grand, un peu plus de 1m85. Véro devine les épaules larges et les bras musclés qui tendent le tissu de sa chemise à manches courtes, avec un léger embonpoint suggérant une vie confortable. Véro, habituée à remarquer de telles choses, soupçonne aussi Patrice d’être béni avec ce qui pend entre ses jambes - la coupe de son pantalon ne fait pas grand-chose pour cacher ce détail à son œil exercé.

Après un long et pittoresque trajet, ils découvrent la maison. C’était tout ce que Jacques avait espéré - grande et aérée, blanche contre le soleil, d’un style fièrement colonial dans un environnement verdoyant. La maison se trouve au milieu de plusieurs concessions similaires, formant une communauté fermée où la sécurité est assurée par l’entreprise. C’est une précaution que Jacques et Véro trouvent légèrement embarrassante mais sur laquelle la société insiste, Patrice leur assurant que les vigiles sont très discrets et qu’il est peu probable qu’ils soient visibles à moins d’être appelés.

Une courte promenade sur la plus belle plage que Véro n’ait jamais vue - avec une mer qui semble encore plus bleue vue d’ici que lorsque l’avion commençait son approche. Elle s’assoit sur le sable chaud en écoutant les vagues se briser doucement sous elle alors que la marée se retire et décide qu’elle est, à cet instant, au paradis.

S’approchant de la maison alors que leurs valises sont déchargés par le chauffeur (Véro se revoit traîner son gros sac à roulettes sous la pluie parisienne alors qu’ils se dirigeaient vers l’aéroport d’Orly), elle explore les pièces de cette belle vieille maison pendant que Patrice et son mari discutent du programme de son premier jour de travail, dès demain. Véro entend aussi qu’il est prévu un déplacement de quelques jours dans la capitale, Yaoundé, à 250 kilomètres de là, dès la semaine suivante.

Elle se dirige vers la chambre à coucher et choisit un bikini et une longue jupe de plage, fendue jusqu’en haut des cuisses, examinant d’un œil critique sa peau encore bien blanche dans le grand miroir qui orne un mur, alors qu’elle se change.

Se déplaçant vers le grand balcon, donnant sur le jardin puis la plage, Véro s’appuie sur la balustrade en pierre et soupire de contentement. Jacques l’appelle, et elle s’éloigne et descend les escaliers, jouant de l’érotisme latent de ses mouvements, tels qu’on lui avait enseigné et qu’elle faisait maintenant sans même s’en rendre compte. À mi-chemin de l’escalier, elle s’aperçoit que les hommes ont cessé de parler et qu’ils la regardent tous les deux, bouche bée. Patrice, en particulier, a un regard si affamé sur son visage d’un noir profond qu’elle commence à être un peu excitée, ou, du moins, à penser de cette façon. Véro aime en fait être admirée.

En les rejoignant, ils semblent tous les deux revenir au présent en même temps, se raclant la gorge et essayant de reprendre là où ils s’étaient arrêtés, très maladroitement. Véro trouve cela très divertissant et rit alors qu’elle les quitte pour aller s’allonger sur une chaise longue devant la la maison, se baignant dans le soleil chaud et protégeant ses yeux pour regarder le beau ciel, avec quelques petits nuages blanc pur dérivant lentement dans son champ de vision.

Patrice laisse Jacques devant à la porte et, se dirigeant vers sa voiture, s’arrête pour marcher sur la pelouse, projetant une ombre alors qu’il se tient au-dessus de Véro. N’essayant pas de rabattre les pans de sa jupe fendue, étalés autour d’elle, ou de fermer ses jambes écartées, elle lève les yeux effrontément vers Patrice, un sourire espiègle sur son visage.

- Au revoir, Véro, je suis sûr que nous nous reverrons. En fait, j’ai dit à Jacques de descendre au bar de la plage ce soir. Il y a un rassemblement d’expatriés là-bas presque tous les soirs dès que la chaleur est un peu tombée. Je pourrai ainsi vous présenter à tout le monde. J’ai l’impression que vous allez être très populaire. Vous deux, je veux dire….

Véro sourit alors qu’il ajoute tardivement son mari à son propos.
- Ça a l’air charmant, je vous verrai là-bas. Que devrions-nous porter?
- Jacques devrait porter, eh bien, ce qu’il veut en fait, et vous - vous devriez porter exactement ce que vous avez. À moins que vous n’ayez quelque chose...
- De plus petit ? dit Véro en riant, appréciant le malaise évident de Patrice.
- J’allais dire plus couvert, mais, oui, en fait, plus petit serait très bien.

Patrice fait un clin d’œil, pose ses lunettes de soleil sur le nez, grimpe dans son Land Cruiser et fait rugir le moteur.

Véro constate qu’elle aimera beaucoup avoir du personnel à sa disposition, car leur cuisinier apporte un délicieux poisson poché frais sous la véranda, ainsi qu’une bouteille de champagne glacé, envoyé par Patrice comme cadeau de bienvenue.

Après le dîner, Véro et Jacques se rendent main dans la main au bar de la plage et sont immédiatement très bien accueillis par un groupe de dix ou douze expatriés blancs venus du monde entier, la plupart célibataires mais avec un ou deux couples, et six autres Noirs autochtones, principalement des hommes ayant des affaires liées avec les entreprises de ces expatriés, tous de grands amis de Patrice.

Ce dernier règne sur sa « cour », règle les boissons et se révèle l’âme de la soirée. Patrice s’assure que tout le monde est présenté à Jacques et Véro, mais il est particulièrement diligent, remarque Véro, lorsqu’il la présente, elle, à ses amis.

Elle le surprend avec deux d’entre eux en train de la regarder, plongés dans une conversation silencieuse, pendant une pause dans la soirée. Le ciel s’assombrissait et ils ne réalisent pas qu’elle les a vus, elle continue à les observer du coin de l’œil pendant qu’ils discutent d’elle, leur regard admiratif ne la quittant jamais.

Véro a déjà bu beaucoup de champagne et cette attention commence à l’exciter. Elle ne s’était pas sentie comme ça depuis qu’elle avait quitté le bar à hôtesses, où elle était habituée à être désirée et à être déshabillée mentalement de manière régulière, et elle se rend compte que cela lui manquait un peu, à sa grande surprise.

Alors que Jacques est absorbé par une conversation avec un homme à une certaine distance du bar, Véro se dirige lentement vers Patrice et ses amis, qui se séparent galamment et lui offrent un tabouret au bar au milieu du groupe. Véro s’exclame « Pourquoi ? merci messieurs.. », et s’assoit, les jambes croisées, dos au bar, les coudes reposant sur la surface de bois épais afin qu’elle puisse parler au demi-cercle d’hommes qui se pressent autour d’elle.

- Vous profitiez de la vue messieurs ? demanda Véro. Patrice sourit :
- Je pense qu’il est prudent de dire que nous étions, oui, je pense que nous étions..

Les deux compagnons hochent la tête avec enthousiasme.

- Vous vous rendez compte, Patrice, que non seulement c’est très impoli de mater ainsi, mais que je suis aussi une femme récemment mariée et donc facilement offensée.

Patrice se met à rire:
- Veuillez accepter nos excuses, Véro, nous sommes incapables de cacher notre admiration lorsque nous voyons quelque chose de vraiment remarquable.
- C’est bon, je vous pardonne pour aujourd’hui. Une femme apprécie toujours d’être admirée.

Alors que Véro dit cela, elle décroise ses jambes et écarte lentement ses cuisses, ses jambes minces tendues alors que ses talons nus reposent sur la traverse du tabouret, poussant ses genoux vers le haut et donnant aux trois hommes une vue claire de son bas de bikini.

Les trois hommes sont stupéfaits, et avant qu’ils ne puissent bouger ou parler, Jacques appelle Véro pour qu’ils partent, devant commencer tôt le lendemain. Véro se lève lentement pour aller à sa rencontre. Debout près de Patrice, brièvement sur la pointe des pieds, elle effleure très discrètement son entrejambe avec deux doigts, sentant la dureté qu’elle avait pu constater clairement depuis quelques minutes, et lui murmure à l’oreille:
- De quoi rêver quand tu rentreras à la maison.

Puis, riante, elle s’éloigne d’un pas léger pour rejoindre son mari et lui prendre la main pour rentrer chez elle, tout en jetant un coup d’œil par-dessus son épaule à Patrice et son petit groupe.

L’orgasme que Véro ressent quand Jacques la baise cette nuit-là est très fort, et elle se demande si cela signifie qu’elle a toujours besoin de l’attention des autres pour alimenter son excitation. Si Jacques a été surpris de trouver sa chatte mouillée, il ne l’a pas dit, et n’a pas demandé pourquoi. En fait, cela semblait l’exciter aussi et il vient fort en elle, puis une deuxième fois après quelques minutes de récupération.

Jacques est, en effet, très excité. Il a vu Véro s’asseoir avec Patrice et ses amis au bar plus tôt et a manœuvré pour avoir une vision claire du groupe, en regardant par-dessus l’épaule de l’homme d’affaires très ennuyeux et de petite taille avec qui il avait été coincé durant une demi-heure. Bien qu’il n’ait pu entendre ce qui se disait, il a pu voir sur le visage de sa femme qu’elle appréciait cela et qu’elle taquinait les hommes autour d’elle. Le sexe de plus en plus dur, Jacques réalise, et ce n’est pas la première fois, qu’il aime regarder Véro avec d’autres hommes. C’était contradictoire aussi - il se sent alors honteux, coupable, en colère et jaloux, mais comme il se sent excité.

Il a alors décidé de laisser tomber ce gars ennuyeux et de ramener sa femme à la maison pour la baiser - il la voulait. Alors qu’il l’appelait et que les gars se tournaient pour regarder dans sa direction, la petite équipe s’écarta et son cœur se mit à bondir en voyant que Véro avait écarté ses jambes. Il avait instamment besoin d’elle nue, maintenant.

Jacques et Véro passent les deux jours suivants à organiser leur vie - Jacques va au bureau, à une courte distance en voiture, pour rencontrer tout le monde et commencer à planifier son emploi du temps. Véro aide le personnel à réaménager les meubles et les pièces à sa convenance et à accrocher des photos aux murs.
Dans l’après-midi, Véro prend un bain de soleil, d’abord seins nus, la brise occasionnelle encourageant ses mamelons sensibles à se dresser, puis entièrement nue derrière un paravent, alors qu’elle s’habitue à l’intimité totale derrière les murs de leur maison et de leur jardin.

Elle est nue, allongée sur le ventre dans un transat, quand elle sent une ombre tomber sur elle. Elle sait, intuitivement, que c’est Patrice. Un éclair d’excitation court de son entrejambe à ses mamelons comme une décharge électrique, et elle sent déjà son entrejambe s’humidifier. Faisant semblant de dormir, elle reste immobile, son visage reposant sur ses bras pendant de longues minutes alors que l’ombre ne bouge pas.

Elle peut entendre la respiration, lourde, régulière, puis ce qui ressemble au bruissement du tissu, puis juste à nouveau une respiration. Après quelques minutes, sa curiosité a finalement raison d’elle et elle se retourne, levant les yeux pour voir un visage familier se profiler au-dessus d’elle, cachant le soleil.

Patrice essaie frénétiquement de repousser sa bite dans son pantalon déboutonné, faisant des bruits d’excuse et commençant à s’éloigner.

Stupéfaite, mais incroyablement et instantanément excitée, Véro réalise qu’il s’était penché sur elle, fixant son corps nu. Elle réussit à dire: « Arrête! C’est bon.. » et lui fit signe de revenir vers elle, alors qu’il a toujours la bite dans sa main.

Véro s’allonge sur l’herbe, fixant Patrice qui jette à nouveau son ombre sur elle, rendant ses traits encore plus clairs. elle dit:

- Continue. Montre-moi.

Patrice commence à caresser sa bite, lentement au début puis de plus en plus vite. Elle est longue au repos, et comme elle durcit dans sa main, elle s’allonge davantage devant les yeux de Véro jusqu’à ce que, complètement érigé et pointant vers le ciel, elle atteigne au moins vingt-cinq centimètres. Une queue longue et épaisse, avec d’énormes veines qui la sillonne d’une nuance de brun légèrement plus foncée.

Véro est mouillée - très mouillée. Elle le regarde caresser sa bite, déplaçant sa main droite de la base à la pointe même en un mouvement fluide, encore et encore, de plus en plus vite, sa respiration très audible maintenant qu’il n’essaie plus d’être discret.

- Tu aimes ce que tu vois ? demande Véro, lentement, délibérément, écartant ses cuisses et passant sa main sur son ventre, puis venant se poser sur sa fourche où elle commence à frotter sa chatte.

Patrice grogne et se branle plus fort en la regardant commencer à se masturber

- Ta bite ... est magnifique, Patrice..

Patrice grogne, ignorant les paroles de Véro, et se concentre entièrement sur son corps, en particulier avec ses doigts entrant et sortant rapidement de son sexe, ses genoux pliés alors qu’elle écarte ses jambes.

Avec un grognement plus fort que les autres et un frisson, Patrice cesse de bouger sa main. Rien ne se passe pendant quelques secondes, il reste complètement immobile. D’abord une, puis deux, puis trois énormes jets de semence volent de sa bite, à trois ou quatre secondes d’intervalle. Puis quatre, cinq, six nouveaux jets. Patrice se tient comme une statue durant son éjaculation, fixant Véro. Son sperme part dans les airs, le premier jet atterrissant sur l’herbe à côté de Véro, qui se déplace rapidement pour s’assurer que le reste atterrisse sur sa poitrine, coulant entre ses seins et sur son ventre plat pour remplir son nombril.

Alors que la troisième charge la frappe, elle murmure « Oh, Putain.. », et elle jouit à son tour fort sous ses doigts - plus fort qu’elle ne l’avait jamais connu dans son ancienne vie, assez pour troubler sa vision qui s’assombrit pendant quelques secondes.

Ils restent silencieux pendant une minute entière, Véro toujours avec sa main mouillée entre ses jambes, deux doigts dans sa chatte, Patrice tenant sa bite ramollie, qui vient de dégouliner sur le corps de Véro.

De l’intérieur de la maison, Jacques appelle - il rentre du travail. Aucun d’eux ne bouge comme s’ils voulaient être surpris ainsi, il est presque à la porte du jardin, à cinq mètres de là, quand le téléphone sonne et, jurant, fait demi-tour et rentre dans la maison. Véro, les yeux rivés sur ceux de Patrice, glisse lentement sa main entre ses jambes, la passe sur son ventre puis ses seins avant de la porter à sa bouche, où elle, suce avidement chacun de ses doigts.

Patrice remet lentement sa bite maintenant molle, mais toujours très grosse, à l’intérieur son pantalon, la regardant durant tout ce temps. Il lui dit :
- Jacques est absent pour deux jours la semaine prochaine. Je pense que cela pourrait être plus long, comme une semaine.

Véro frissonne un peu par anticipation.
- Je pense qu’une semaine, ce serait mieux.

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