Véro
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Véro
Cette série a été écrite initialement en anglais par wholepunch sous le titre Vero, à partir de l’histoire de ma femme et de moi-même. Qu’il en soit remercié. J’ai assuré, à sa demande, la traduction pour que les francophones en profitent également, puisque d’abord une histoire française.
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À cette hauteur, le ciel était d’un azur parfait, les nuages blancs gonflés semblaient être loin en dessous et la terre incroyablement plus loin encore. Il n’y avait pas grand-chose à voir par le hublot, mais Véro savait que même s’ils avaient été beaucoup plus bas, ce continent sans fin et brûlé à 10 000 mètres sous l’avion n’aurait offert qu’une vue sans relief.
Elle quittait une vie et allait vers une autre. Sa vie en France était terminée, du moins pour l’instant. Cela avait été amusant, lucratif et, à divers égards, satisfaisant, mais il était temps, grand temps pour autre chose. Jacques, son mari depuis moins de 2 mois, était à côté d’elle, somnolant paisiblement. Sans Jacques, elle n’aurait probablement jamais quitté la France, ni sa vie là-bas - du moins, pas si vite.
Jacques n’avait pas forcé Véro à aller au Cameroun, il ne l’avait même pas persuadée - elle en avait assez du travail, de la pression constante d’être le visage avenant de l’hôtesse au bar pour des hommes, des hommes sans fin – et en même temps Jacques s’était vu offrir un travail en Afrique.
Vero avait appris très tôt que son joli visage, son corps dur, lisse, léger, ses petits seins aux mamelons sensibles et réactifs, et sa nature taquine enjouée lui donnaient du pouvoir sur les hommes. Pas seulement sur quelques hommes mais sur la plupart d’entre eux. Les jeunes, les vieux, de tous physiques, races et caractères.
Véro elle-même ne comprenait pas du tout cela. Son corps n’était pas comme ceux qu’elle voyait dans les magazines de mode, sur les panneaux publicitaires ou à la télévision - pas même comme ceux de beaucoup de filles qu’elle connaissait. Si elle devait imaginer à quoi ressemblait la femme fantasmée idéale, attirante et sexuellement inaccessible selon les médias, elle s’en sentait très éloignée.
Il était clair, cependant, qu’elle émettait effectivement une puissante attraction pour les hommes, et certaines femmes, qu’elle sache pourquoi ou non et sans jamais essayer consciemment d’attirer.
Malgré cette prise de conscience, Vero avait été réticente à exercer son pouvoir. Elle avait toujours été timide - l’enfant légèrement éthérée, maladroite et rêveuse à l’arrière des photos de groupe. Elle avait toujours eu des amis et était populaire auprès de ses pairs, mais elle restait un peu éloignée, voire distraite.
Vero ne portait presque jamais de maquillage alors que son cercle d’amies en est devenu obsédé, de même que leur bavardage constant sur les garçons et qui baisait qui ne faisait que l’embarrasser. À une époque où la liberté sexuelle et la libération de la femme étaient la norme, Véro n’avait pas embrassé un garçon avant l’âge de 14 ans et n’avait perdu sa virginité qu’à l’âge de 17 (ce qu’elle avait immédiatement regretté).
L’exutoire habituel de Vero était le vibromasseur de sa mère, d’abord, qu’elle avait découvert en fouillant dans son placard à la recherche de vêtements à emprunter. Stupéfaite et ravie, elle avait abandonné ses recherches et ramené l’appareil de 25 centimètres dans sa chambre. Il y avait des piles neuves, ce qui l’étonnait alors qu’elle essayait de ne pas penser à sa mère allongée et s’en servant quand son père était dehors (ou l’utilisaient-ils ensemble?). Véro avait verrouillé sa porte et s’était allongée sur son lit, tirant sa robe d’été jusqu’au haut des cuisses et sa culotte jusqu’aux genoux, l’étirant alors qu’elle écartait les jambes.
Déjà un peu mouillée par sa découverte et avec l’adrénaline qui montait dans ses veines, elle poussa lentement le plastique dur à l’intérieur de sa chatte, se permettant des interruptions pour interrompre les spasmes de ses muscles, avant de le pousser jusqu’au bout, la faisant haleter de plaisir. Elle s’était baisée tout le reste de l’après-midi jusqu’à ce que sa mère rentre du travail, venant encore et encore, utilisant sa deuxième main sur ses mamelons durs comme le roc alors qu’elle poussait le vibromasseur dedans et dehors, entrant et sortant, le laissant complètement à l’intérieur d’elle chaque fois qu’elle jouissait.
Entendant la voiture de sa mère dans l’allée, elle avait sauté et rapidement replacé l’appareil dans le placard de ses parents, espérant que c’était exactement là où elle l’avait pris. Elle avait immédiatement pensé à deux choses qui la faisait paniquer - premièrement, le vibromasseur dégoulinait et deuxièmement, les piles étaient maintenant presque à plat, l’appareil ralentissant progressivement depuis une heure.
Rapidement, Véro l’essuya avec sa robe, faisant une tache sur le tissu léger. Elle ne pouvait rien faire à propos des piles et rougit en espérant que sa mère ne devinerait pas la raison de leur épuisement alors qu’elle retournait silencieusement dans sa chambre, en lui criant « bonsoir ».
Bientôt, cependant, Vero est devenue progressivement, à petites touches, de plus en plus active sexuellement jusqu’à ce qu’elle sorte habituellement avec quelqu’un, même par intermittence, et toujours à l’exclusion des autres hommes.
Vero ne s’était jamais souciée de l’apparence d’un homme, habillé ou nu - elle cherchait une connexion, des moments significatifs à la fois au lit et en dehors. Le sexe ne suffisait pas pour elle et elle n’hésitait pas à s’éloigner quand il était clair que la relation n’aboutirait pas à ce qu’elle espérait.
Elle se demandait souvent si une partie de sa libido ne fonctionnait pas comme celle des autres femmes. Véro baisait très peu d’hommes quand ses amies profitaient pleinement des lieux et de l’époque où elles avaient la chance de vivre - changeant et échangeant des partenaires chaque semaine, apparemment dans une quête sans fin de plaisir sans contrainte, sans se soucier des conséquences dans ce monde d’avant le SIDA, juste libéré par une petite pilule quotidienne.
Quand elle emmenait un homme dans un lit, cependant, elle n’était pas une sainte-nitouche. Véro était aussi libre au lit qu’elle était réservée en temps ordinaire - elle laissait au vestiaire ses inhibitions et baissait complètement sa garde, se donnant sans retenue à son partenaire, venant fort et souvent, rapide à exciter et lente à être rassasié.
Finalement, ayant besoin d’être autonome et à la recherche d’aventures et d’une vie plus active, Vero avait quitté le foyer familial et déménagé en ville, partageant initialement un appartement en colocation avec deux autres femmes qu’elle ne connaissait pas au départ.
Ayant besoin de travail et désespérée de voir ses économies fondre, elle avait fini, sur la recommandation d’une amie de la gérante, par travailler au Bien Aimé, un bar plus cher que la plupart des bars dits « américains », avec une clientèle supérieure à la moyenne et une patronne exigeante en la personne de Jacqueline.
Le travail était simple et commun à des milliers de bars à hôtesses à travers le monde - faire boire les clients et encore les faire boire, par tous les moyens nécessaires. Tous les services un peu particuliers étaient, bien sûr, entre l’hôtesse et le client, mais si cela signifiait qu’il restait et achetait plus de champagne, tant mieux, et la prime au bouchon chaque soir plus élevée.
Véro, cependant, et au grand amusement des autres filles, avait accepté le travail en pensant que c’était un rôle de simple serveuse – n’ayant aucun doute même quand on lui a dit qu’elle devait s’habiller sexy en tout temps, y compris la lingerie. Elle n’avait aucune idée de la raison pour laquelle sa lingerie était un facteur important du job, mais c’est ce qu’on lui avait demandait de faire, alors c’est ce qu’elle faisait.
Après avoir passé quelques semaines là-bas, à servir des tables, à nettoyer les verres sales et à éviter assidûment les tapes, les caresses, les tâtonnements et les insinuations salaces des clients souvent d’âge moyen, blancs, riches et en surpoids, elle s’est retrouvée observée un soir par Jacqueline, les bras croisés, appuyée contre un mur dans l’ombre. Elle lui fit un signe et Véro se précipita :
- Vero, qu’est-ce que tu fais ?
- Je sers ces messieurs, ai-je fait quelque chose de mal ?
- Tu n’as pas fait quelque chose de mal, tu n’as rien fait du tout.
Vero avait l’air confuse.
Jacqueline soupira et se dégagea du mur pour être plus proche de l’oreille de Vero et pouvoir parler doucement, malgré la musique de fond et le brouhaha ambiant.
- Tu ne comprends pas ? d’accord. Permets-moi d’être claire. Ceci est un bar à hôtesses. Les clients ne paient pas nos prix élevés pour des boissons passables parce qu’ils le veulent. Ils paient parce qu’ils reçoivent une attention supplémentaire des filles. Les filles ne s’éloignent pas quand elles sentent une main sur leur cul, ou des yeux sur leur décolleté. Des filles qui peuvent, bien que cela dépende entièrement d’elles, les faire bander et plus encore.... en se montrant accommodantes. Tu vois?
Vero avait l’air stupéfaite, cherchant sur le visage de sa patronne un indice prouvant qu’elle avait mal compris. Il n’y en avait pas, juste Jacqueline qui la regardait, les sourcils levés, avec curiosité.
- Je ... Je... Je ne m’en rendais pas compte - je pensais que ces autres filles, je pensais qu’elles étaient......
- Non, ce sont tes collègues et tu devras passer à autre chose ou partir. En outre, tu pourras ainsi au moins tripler la misère que je te paie sur les seuls pourboires si tu commençais à être plus... amicale.
Vero faisait le calcul dans sa tête - c’était beaucoup d’argent. L’argent dont elle avait désespérément besoin. Elle avait reçu son dernier avertissement pour le loyer et elle avait atteint le plafond de sa carte de crédit - c’était tellement cher de vivre en ville. Elle secoua la tête, silencieusement, il n’y avait aucun moyen. C’était immoral, elle ne l’était pas, eh bien, elle n’était pas ce genre de fille.
En lisant ses pensées, Jacqueline la releva de sa rêverie.
- Pas ce genre de fille, j’imagine ce que tu penses. Laisse-moi te dire qu’aucune de ces filles ne l’est. Ce sont des gens qui ont des bouches à nourrir, un loyer et des factures à payer, dans une ville qui est l’une des plus chères du pays et qui ne s’attarde pas sur ceux qui tombent au bord du chemin. C’est juste un travail, chérie – un travail mécanique. Juste un travail.
Vero n’avait toujours pas parlé.
Jacqueline soupira.
- Regarde. Tu es une gentille fille. Je ne vais pas te mettre dehors ce mois-ci, mais, et c’est la condition, tu passeras une semaine à suivre Valérie, à l’observer, à comprendre comment elle gagne son argent, comment elle garde le client heureux et lui fait acheter notre champagne médiocre. Ensuite, mets-le en pratique. Tu n’es nullement obligée d’aller aussi loin qu’elle - c’est une vraie salope - mais tu devras être quelque part au milieu de ce que tu es maintenant et de ce qu’elle est. D’accord?
Réticente, mais piégée, du moins jusqu’à ce qu’elle trouve un autre emploi, Vero acquiesça.
Le lendemain, Vero suivit discrètement Valérie, comme on lui avait dit. Elle restait aussi près que possible, à portée de voix. Elle découvrit rapidement qu’elle n’aurait pas besoin du carnet qu’elle avait emporté. Vero était de plus en plus stupéfaite par ce qu’elle voyait.
Ce soir, Valérie était assise avec deux hommes d’affaires - riches – Rolex au poignet pour afficher de façon ostentatoire leur réussite professionnelle. Ils étaient arrivés, comme d’autres buveurs, directement de leurs bureaux, et maintenant, 3 heures plus tard, ils étaient sur le point d’être ivres, à la moitié de leur deuxième bouteille de champagne.
Ils étaient assis dans une luxueuse cabine en demi-cercle, des mètres carrés de cuir vintage souple couvraient les sièges à haut dossier et une table ronde en chêne massif était assise devant eux, et trois flûtes de champagne pleines reposant sur l’épais tissu de lin blanc.
Valérie était assise entre les deux hommes, qui parlaient avec animation entre eux d’une blague liée aux affaires. Valérie riait poliment, ses doigts délicats reposant sur un bras, puis sur l’autre, alors qu’elle se tournait vers chacun d’eux pour écouter leurs profondes absurdités comme si c’était le sujet le plus excitant du monde.
Le ton changea rapidement lorsque l’homme à sa gauche passa sa grosse main moite le long de la jambe de Valérie, jusqu’à sa cuisse, à la limite de l’ourlet de sa courte robe noire légèrement transparente. Ses doigts suivaient maintenant soigneusement le tracé de l’ourlet pendant que l’homme parlait, se penchant en murmurant, obligeant son compagnon et Valérie à faire de même.
- Et alors, ma jolie, combien cela coûterait-il de descendre sur moi avec cette charmante petite bouche qui est la tienne? Un autre verre?
Son ami se mit à rire, puis, voyant le regard de l’autre homme, il a eu les yeux écarquillés d’excitation et d’intérêt. Ils regardèrent tous les deux Valérie, la main bougeant toujours lentement sur sa cuisse. Elle n’avait pas rejeté l’idée, ce qu’il savait qu’elle ne ferait pas.
- Un magnum plutôt.
- Sois-raisonnable : une bouteille ?
- D’accord (ceci dit sans hésitation).
- Voudrais-tu ?..voudrais-tu ?...voudrais-tu ?
- Je ne recrache jamais.
L’homme, s’était cru mener la négociation, mais il était maintenant nerveux et en sueur par anticipation de ce qui allait se passer. Valérie glissa sous la table, tombant à genoux d’un mouvement fluide. Remontant sa robe pour permettre à ses jambes de rentrer sous elle, la cachant complètement de la vue et exposant sa lingerie noire, elle tira la fermeture éclair de l’homme vers le bas.
Atteignant l’intérieur de son pantalon, elle sentit une petite bite durcir, tremblante en la touchant. Il était presque enterré sous des rouleaux de graisse et caché dans de grands sous-vêtements très peu sexy. Frustrée, Valérie ouvrit le bouton du pantalon et le baissa à mi-chemin sur ses cuisses, l’homme se tortillant et se levant un peu pour permettre le mouvement.
Sa bite était maintenant libre - elle ne mesurait qu’une dizaine de centimètres environ - Valérie posa ses mains sur ses cuisses et baissa ses lèvres, prenant facilement ses couilles en partie dans sa bouche alors qu’elle atteignait la base.
L’homme bougea les hanches, gémissant, tremblant. Il ne semblait pas savoir quoi faire de ses mains, alors Valérie les prit dans les siennes et les plaça à l’arrière de sa tête, l’encourageant à baiser sa bouche, ce qu’il commença à faire, la tirant vers lui pour répondre à chacune de ses poussées.
Valérie remarqua que son ami s’était penché, agrippé à la nappe et la regardant avec étonnement alors qu’elle travaillait sur la bite de l’homme, Elle rencontra son regard, espérant qu’il voudrait être le prochain, ce qui ferait un autre bouteille facilement gagnée. Elle réalisa que ce ne serait pas le cas car il attrapa soudainement son entrejambe à travers son pantalon et une tache humide apparut entre ses jambes. Elle doutait qu’il ait déjà regardé une fellation dans la vraie vie, et c’était tout simplement trop pour lui.
Déplaçant habilement sa langue sur le gland de son client tout en faisant glisser sa bouche sur la courte longueur de sa verge, faisant glisser ses couilles à mi-chemin vers le haut, utilisant ses dents doucement, mais pas trop doucement, elle le sentit commencer à avoir des spasmes et une petite poussée précoce de venir frapper son palais.
Allant plus vite maintenant, elle utilisait sa langue et ses lèvres pour l’encourager et le forcer à venir. Elle respirait fort par le nez et alors qu’il commençait à remplir sa bouche, elle enferma toute sa bite et serra fermement ses couilles, les sentant sauter dans sa main. Il jouit beaucoup, et cela dura un certain temps. La bouche de Valérie était pleine alors qu’elle s’éloignait de lui, repoussant soigneusement sa bite ramollie dans son pantalon.
Restant sous la table, Jess prit la main de l’homme et la plaça autour de sa propre gorge, l’obligeant à serrer fermement. Alors qu’il la saisissait, elle avala lentement son sperme, petit à petit, s’assurant qu’il pouvait sentir chaque goutte descendre dans sa gorge.
Quand elle eut terminé, elle se releva et s’assit entre eux une fois de plus, s’essuyant la main et les lèvres avec une serviette en lin, souriant béatement.
Trébuchant sur ses mots, son client la remercia et lui demanda, avec une curiosité sincère, si elle aimait sucer - certain que sa réponse serait soit un mensonge, soit non.
En réponse, Valérie tint son regard, tendit lentement la main sous la table et releva l’ourlet de sa robe. Écartant les jambes, elle prit sa main et la fit remonter le long de l’intérieur de sa cuisse jusqu’à ce que ses doigts potelés reposent sur sa culotte. Comme il semblait un peu déconcerté, elle écarta le tissu mince et, à l’aide de sa main, poussa deux des siens à l’intérieur de son ventre humide et dégoulinant. Il haleta sous le choc alors qu’elle poussait un petit gémissement.
Enlevant sa main, elle ferma les jambes et le regarda tenir sa main devant son visage, la regardant avec émerveillement alors qu’il écartait ses doigts et voyait l’humidité lisse de la chatte de Valérie former un pont collant entre eux avant de dégouliner sur son poignet puis sur sa manchette de chemise.
- Est-ce que cela répond à ta question?
Véro regarda tout cela sans cligner des yeux, apparemment. Elle se tenait toujours à quelques mètres dans la pénombre. Quelques minutes plus tard Valérie quitta la table, embrassant avec légèreté ses invités sur la joue, recevant une tape sur son cul en retour. Valérie passa devant Véro. En souriant, elle releva le menton de Véro avec son index, en lui disant:
- Ferme ta bouche, chérie.
Vero s’était finalement échappée et réfugiée dans le vestiaire du personnel. C’était la fin de son service, et alors qu’elle s’asseyait pour enlever ses chaussures à talons de ses pieds endoloris, croisant une cheville sur sa cuisse pour mettre des baskets, elle sentit un filet couler entre ses jambes et sur sa jupe. Rougissante, elle réalisa que le petit spectacle de Valérie l’avait excitée plus qu’elle ne voulait l’admettre.
Elle avait besoin de dormir. Elle reprenait son service dans 12 heures.
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À cette hauteur, le ciel était d’un azur parfait, les nuages blancs gonflés semblaient être loin en dessous et la terre incroyablement plus loin encore. Il n’y avait pas grand-chose à voir par le hublot, mais Véro savait que même s’ils avaient été beaucoup plus bas, ce continent sans fin et brûlé à 10 000 mètres sous l’avion n’aurait offert qu’une vue sans relief.
Elle quittait une vie et allait vers une autre. Sa vie en France était terminée, du moins pour l’instant. Cela avait été amusant, lucratif et, à divers égards, satisfaisant, mais il était temps, grand temps pour autre chose. Jacques, son mari depuis moins de 2 mois, était à côté d’elle, somnolant paisiblement. Sans Jacques, elle n’aurait probablement jamais quitté la France, ni sa vie là-bas - du moins, pas si vite.
Jacques n’avait pas forcé Véro à aller au Cameroun, il ne l’avait même pas persuadée - elle en avait assez du travail, de la pression constante d’être le visage avenant de l’hôtesse au bar pour des hommes, des hommes sans fin – et en même temps Jacques s’était vu offrir un travail en Afrique.
Vero avait appris très tôt que son joli visage, son corps dur, lisse, léger, ses petits seins aux mamelons sensibles et réactifs, et sa nature taquine enjouée lui donnaient du pouvoir sur les hommes. Pas seulement sur quelques hommes mais sur la plupart d’entre eux. Les jeunes, les vieux, de tous physiques, races et caractères.
Véro elle-même ne comprenait pas du tout cela. Son corps n’était pas comme ceux qu’elle voyait dans les magazines de mode, sur les panneaux publicitaires ou à la télévision - pas même comme ceux de beaucoup de filles qu’elle connaissait. Si elle devait imaginer à quoi ressemblait la femme fantasmée idéale, attirante et sexuellement inaccessible selon les médias, elle s’en sentait très éloignée.
Il était clair, cependant, qu’elle émettait effectivement une puissante attraction pour les hommes, et certaines femmes, qu’elle sache pourquoi ou non et sans jamais essayer consciemment d’attirer.
Malgré cette prise de conscience, Vero avait été réticente à exercer son pouvoir. Elle avait toujours été timide - l’enfant légèrement éthérée, maladroite et rêveuse à l’arrière des photos de groupe. Elle avait toujours eu des amis et était populaire auprès de ses pairs, mais elle restait un peu éloignée, voire distraite.
Vero ne portait presque jamais de maquillage alors que son cercle d’amies en est devenu obsédé, de même que leur bavardage constant sur les garçons et qui baisait qui ne faisait que l’embarrasser. À une époque où la liberté sexuelle et la libération de la femme étaient la norme, Véro n’avait pas embrassé un garçon avant l’âge de 14 ans et n’avait perdu sa virginité qu’à l’âge de 17 (ce qu’elle avait immédiatement regretté).
L’exutoire habituel de Vero était le vibromasseur de sa mère, d’abord, qu’elle avait découvert en fouillant dans son placard à la recherche de vêtements à emprunter. Stupéfaite et ravie, elle avait abandonné ses recherches et ramené l’appareil de 25 centimètres dans sa chambre. Il y avait des piles neuves, ce qui l’étonnait alors qu’elle essayait de ne pas penser à sa mère allongée et s’en servant quand son père était dehors (ou l’utilisaient-ils ensemble?). Véro avait verrouillé sa porte et s’était allongée sur son lit, tirant sa robe d’été jusqu’au haut des cuisses et sa culotte jusqu’aux genoux, l’étirant alors qu’elle écartait les jambes.
Déjà un peu mouillée par sa découverte et avec l’adrénaline qui montait dans ses veines, elle poussa lentement le plastique dur à l’intérieur de sa chatte, se permettant des interruptions pour interrompre les spasmes de ses muscles, avant de le pousser jusqu’au bout, la faisant haleter de plaisir. Elle s’était baisée tout le reste de l’après-midi jusqu’à ce que sa mère rentre du travail, venant encore et encore, utilisant sa deuxième main sur ses mamelons durs comme le roc alors qu’elle poussait le vibromasseur dedans et dehors, entrant et sortant, le laissant complètement à l’intérieur d’elle chaque fois qu’elle jouissait.
Entendant la voiture de sa mère dans l’allée, elle avait sauté et rapidement replacé l’appareil dans le placard de ses parents, espérant que c’était exactement là où elle l’avait pris. Elle avait immédiatement pensé à deux choses qui la faisait paniquer - premièrement, le vibromasseur dégoulinait et deuxièmement, les piles étaient maintenant presque à plat, l’appareil ralentissant progressivement depuis une heure.
Rapidement, Véro l’essuya avec sa robe, faisant une tache sur le tissu léger. Elle ne pouvait rien faire à propos des piles et rougit en espérant que sa mère ne devinerait pas la raison de leur épuisement alors qu’elle retournait silencieusement dans sa chambre, en lui criant « bonsoir ».
Bientôt, cependant, Vero est devenue progressivement, à petites touches, de plus en plus active sexuellement jusqu’à ce qu’elle sorte habituellement avec quelqu’un, même par intermittence, et toujours à l’exclusion des autres hommes.
Vero ne s’était jamais souciée de l’apparence d’un homme, habillé ou nu - elle cherchait une connexion, des moments significatifs à la fois au lit et en dehors. Le sexe ne suffisait pas pour elle et elle n’hésitait pas à s’éloigner quand il était clair que la relation n’aboutirait pas à ce qu’elle espérait.
Elle se demandait souvent si une partie de sa libido ne fonctionnait pas comme celle des autres femmes. Véro baisait très peu d’hommes quand ses amies profitaient pleinement des lieux et de l’époque où elles avaient la chance de vivre - changeant et échangeant des partenaires chaque semaine, apparemment dans une quête sans fin de plaisir sans contrainte, sans se soucier des conséquences dans ce monde d’avant le SIDA, juste libéré par une petite pilule quotidienne.
Quand elle emmenait un homme dans un lit, cependant, elle n’était pas une sainte-nitouche. Véro était aussi libre au lit qu’elle était réservée en temps ordinaire - elle laissait au vestiaire ses inhibitions et baissait complètement sa garde, se donnant sans retenue à son partenaire, venant fort et souvent, rapide à exciter et lente à être rassasié.
Finalement, ayant besoin d’être autonome et à la recherche d’aventures et d’une vie plus active, Vero avait quitté le foyer familial et déménagé en ville, partageant initialement un appartement en colocation avec deux autres femmes qu’elle ne connaissait pas au départ.
Ayant besoin de travail et désespérée de voir ses économies fondre, elle avait fini, sur la recommandation d’une amie de la gérante, par travailler au Bien Aimé, un bar plus cher que la plupart des bars dits « américains », avec une clientèle supérieure à la moyenne et une patronne exigeante en la personne de Jacqueline.
Le travail était simple et commun à des milliers de bars à hôtesses à travers le monde - faire boire les clients et encore les faire boire, par tous les moyens nécessaires. Tous les services un peu particuliers étaient, bien sûr, entre l’hôtesse et le client, mais si cela signifiait qu’il restait et achetait plus de champagne, tant mieux, et la prime au bouchon chaque soir plus élevée.
Véro, cependant, et au grand amusement des autres filles, avait accepté le travail en pensant que c’était un rôle de simple serveuse – n’ayant aucun doute même quand on lui a dit qu’elle devait s’habiller sexy en tout temps, y compris la lingerie. Elle n’avait aucune idée de la raison pour laquelle sa lingerie était un facteur important du job, mais c’est ce qu’on lui avait demandait de faire, alors c’est ce qu’elle faisait.
Après avoir passé quelques semaines là-bas, à servir des tables, à nettoyer les verres sales et à éviter assidûment les tapes, les caresses, les tâtonnements et les insinuations salaces des clients souvent d’âge moyen, blancs, riches et en surpoids, elle s’est retrouvée observée un soir par Jacqueline, les bras croisés, appuyée contre un mur dans l’ombre. Elle lui fit un signe et Véro se précipita :
- Vero, qu’est-ce que tu fais ?
- Je sers ces messieurs, ai-je fait quelque chose de mal ?
- Tu n’as pas fait quelque chose de mal, tu n’as rien fait du tout.
Vero avait l’air confuse.
Jacqueline soupira et se dégagea du mur pour être plus proche de l’oreille de Vero et pouvoir parler doucement, malgré la musique de fond et le brouhaha ambiant.
- Tu ne comprends pas ? d’accord. Permets-moi d’être claire. Ceci est un bar à hôtesses. Les clients ne paient pas nos prix élevés pour des boissons passables parce qu’ils le veulent. Ils paient parce qu’ils reçoivent une attention supplémentaire des filles. Les filles ne s’éloignent pas quand elles sentent une main sur leur cul, ou des yeux sur leur décolleté. Des filles qui peuvent, bien que cela dépende entièrement d’elles, les faire bander et plus encore.... en se montrant accommodantes. Tu vois?
Vero avait l’air stupéfaite, cherchant sur le visage de sa patronne un indice prouvant qu’elle avait mal compris. Il n’y en avait pas, juste Jacqueline qui la regardait, les sourcils levés, avec curiosité.
- Je ... Je... Je ne m’en rendais pas compte - je pensais que ces autres filles, je pensais qu’elles étaient......
- Non, ce sont tes collègues et tu devras passer à autre chose ou partir. En outre, tu pourras ainsi au moins tripler la misère que je te paie sur les seuls pourboires si tu commençais à être plus... amicale.
Vero faisait le calcul dans sa tête - c’était beaucoup d’argent. L’argent dont elle avait désespérément besoin. Elle avait reçu son dernier avertissement pour le loyer et elle avait atteint le plafond de sa carte de crédit - c’était tellement cher de vivre en ville. Elle secoua la tête, silencieusement, il n’y avait aucun moyen. C’était immoral, elle ne l’était pas, eh bien, elle n’était pas ce genre de fille.
En lisant ses pensées, Jacqueline la releva de sa rêverie.
- Pas ce genre de fille, j’imagine ce que tu penses. Laisse-moi te dire qu’aucune de ces filles ne l’est. Ce sont des gens qui ont des bouches à nourrir, un loyer et des factures à payer, dans une ville qui est l’une des plus chères du pays et qui ne s’attarde pas sur ceux qui tombent au bord du chemin. C’est juste un travail, chérie – un travail mécanique. Juste un travail.
Vero n’avait toujours pas parlé.
Jacqueline soupira.
- Regarde. Tu es une gentille fille. Je ne vais pas te mettre dehors ce mois-ci, mais, et c’est la condition, tu passeras une semaine à suivre Valérie, à l’observer, à comprendre comment elle gagne son argent, comment elle garde le client heureux et lui fait acheter notre champagne médiocre. Ensuite, mets-le en pratique. Tu n’es nullement obligée d’aller aussi loin qu’elle - c’est une vraie salope - mais tu devras être quelque part au milieu de ce que tu es maintenant et de ce qu’elle est. D’accord?
Réticente, mais piégée, du moins jusqu’à ce qu’elle trouve un autre emploi, Vero acquiesça.
Le lendemain, Vero suivit discrètement Valérie, comme on lui avait dit. Elle restait aussi près que possible, à portée de voix. Elle découvrit rapidement qu’elle n’aurait pas besoin du carnet qu’elle avait emporté. Vero était de plus en plus stupéfaite par ce qu’elle voyait.
Ce soir, Valérie était assise avec deux hommes d’affaires - riches – Rolex au poignet pour afficher de façon ostentatoire leur réussite professionnelle. Ils étaient arrivés, comme d’autres buveurs, directement de leurs bureaux, et maintenant, 3 heures plus tard, ils étaient sur le point d’être ivres, à la moitié de leur deuxième bouteille de champagne.
Ils étaient assis dans une luxueuse cabine en demi-cercle, des mètres carrés de cuir vintage souple couvraient les sièges à haut dossier et une table ronde en chêne massif était assise devant eux, et trois flûtes de champagne pleines reposant sur l’épais tissu de lin blanc.
Valérie était assise entre les deux hommes, qui parlaient avec animation entre eux d’une blague liée aux affaires. Valérie riait poliment, ses doigts délicats reposant sur un bras, puis sur l’autre, alors qu’elle se tournait vers chacun d’eux pour écouter leurs profondes absurdités comme si c’était le sujet le plus excitant du monde.
Le ton changea rapidement lorsque l’homme à sa gauche passa sa grosse main moite le long de la jambe de Valérie, jusqu’à sa cuisse, à la limite de l’ourlet de sa courte robe noire légèrement transparente. Ses doigts suivaient maintenant soigneusement le tracé de l’ourlet pendant que l’homme parlait, se penchant en murmurant, obligeant son compagnon et Valérie à faire de même.
- Et alors, ma jolie, combien cela coûterait-il de descendre sur moi avec cette charmante petite bouche qui est la tienne? Un autre verre?
Son ami se mit à rire, puis, voyant le regard de l’autre homme, il a eu les yeux écarquillés d’excitation et d’intérêt. Ils regardèrent tous les deux Valérie, la main bougeant toujours lentement sur sa cuisse. Elle n’avait pas rejeté l’idée, ce qu’il savait qu’elle ne ferait pas.
- Un magnum plutôt.
- Sois-raisonnable : une bouteille ?
- D’accord (ceci dit sans hésitation).
- Voudrais-tu ?..voudrais-tu ?...voudrais-tu ?
- Je ne recrache jamais.
L’homme, s’était cru mener la négociation, mais il était maintenant nerveux et en sueur par anticipation de ce qui allait se passer. Valérie glissa sous la table, tombant à genoux d’un mouvement fluide. Remontant sa robe pour permettre à ses jambes de rentrer sous elle, la cachant complètement de la vue et exposant sa lingerie noire, elle tira la fermeture éclair de l’homme vers le bas.
Atteignant l’intérieur de son pantalon, elle sentit une petite bite durcir, tremblante en la touchant. Il était presque enterré sous des rouleaux de graisse et caché dans de grands sous-vêtements très peu sexy. Frustrée, Valérie ouvrit le bouton du pantalon et le baissa à mi-chemin sur ses cuisses, l’homme se tortillant et se levant un peu pour permettre le mouvement.
Sa bite était maintenant libre - elle ne mesurait qu’une dizaine de centimètres environ - Valérie posa ses mains sur ses cuisses et baissa ses lèvres, prenant facilement ses couilles en partie dans sa bouche alors qu’elle atteignait la base.
L’homme bougea les hanches, gémissant, tremblant. Il ne semblait pas savoir quoi faire de ses mains, alors Valérie les prit dans les siennes et les plaça à l’arrière de sa tête, l’encourageant à baiser sa bouche, ce qu’il commença à faire, la tirant vers lui pour répondre à chacune de ses poussées.
Valérie remarqua que son ami s’était penché, agrippé à la nappe et la regardant avec étonnement alors qu’elle travaillait sur la bite de l’homme, Elle rencontra son regard, espérant qu’il voudrait être le prochain, ce qui ferait un autre bouteille facilement gagnée. Elle réalisa que ce ne serait pas le cas car il attrapa soudainement son entrejambe à travers son pantalon et une tache humide apparut entre ses jambes. Elle doutait qu’il ait déjà regardé une fellation dans la vraie vie, et c’était tout simplement trop pour lui.
Déplaçant habilement sa langue sur le gland de son client tout en faisant glisser sa bouche sur la courte longueur de sa verge, faisant glisser ses couilles à mi-chemin vers le haut, utilisant ses dents doucement, mais pas trop doucement, elle le sentit commencer à avoir des spasmes et une petite poussée précoce de venir frapper son palais.
Allant plus vite maintenant, elle utilisait sa langue et ses lèvres pour l’encourager et le forcer à venir. Elle respirait fort par le nez et alors qu’il commençait à remplir sa bouche, elle enferma toute sa bite et serra fermement ses couilles, les sentant sauter dans sa main. Il jouit beaucoup, et cela dura un certain temps. La bouche de Valérie était pleine alors qu’elle s’éloignait de lui, repoussant soigneusement sa bite ramollie dans son pantalon.
Restant sous la table, Jess prit la main de l’homme et la plaça autour de sa propre gorge, l’obligeant à serrer fermement. Alors qu’il la saisissait, elle avala lentement son sperme, petit à petit, s’assurant qu’il pouvait sentir chaque goutte descendre dans sa gorge.
Quand elle eut terminé, elle se releva et s’assit entre eux une fois de plus, s’essuyant la main et les lèvres avec une serviette en lin, souriant béatement.
Trébuchant sur ses mots, son client la remercia et lui demanda, avec une curiosité sincère, si elle aimait sucer - certain que sa réponse serait soit un mensonge, soit non.
En réponse, Valérie tint son regard, tendit lentement la main sous la table et releva l’ourlet de sa robe. Écartant les jambes, elle prit sa main et la fit remonter le long de l’intérieur de sa cuisse jusqu’à ce que ses doigts potelés reposent sur sa culotte. Comme il semblait un peu déconcerté, elle écarta le tissu mince et, à l’aide de sa main, poussa deux des siens à l’intérieur de son ventre humide et dégoulinant. Il haleta sous le choc alors qu’elle poussait un petit gémissement.
Enlevant sa main, elle ferma les jambes et le regarda tenir sa main devant son visage, la regardant avec émerveillement alors qu’il écartait ses doigts et voyait l’humidité lisse de la chatte de Valérie former un pont collant entre eux avant de dégouliner sur son poignet puis sur sa manchette de chemise.
- Est-ce que cela répond à ta question?
Véro regarda tout cela sans cligner des yeux, apparemment. Elle se tenait toujours à quelques mètres dans la pénombre. Quelques minutes plus tard Valérie quitta la table, embrassant avec légèreté ses invités sur la joue, recevant une tape sur son cul en retour. Valérie passa devant Véro. En souriant, elle releva le menton de Véro avec son index, en lui disant:
- Ferme ta bouche, chérie.
Vero s’était finalement échappée et réfugiée dans le vestiaire du personnel. C’était la fin de son service, et alors qu’elle s’asseyait pour enlever ses chaussures à talons de ses pieds endoloris, croisant une cheville sur sa cuisse pour mettre des baskets, elle sentit un filet couler entre ses jambes et sur sa jupe. Rougissante, elle réalisa que le petit spectacle de Valérie l’avait excitée plus qu’elle ne voulait l’admettre.
Elle avait besoin de dormir. Elle reprenait son service dans 12 heures.
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Les avis des lecteurs
Excellente histoire, bien décrite et racontée ! Le fond d’authenticités est toujours très excitant. Hâte de lire la suite.
Mer i
Mer i