Véro devient une pro
Récit érotique écrit par jacques r [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Véro devient une pro
Cette série a été écrite initialement en anglais par whole punch sous le titre Vero, à partir de l’histoire de ma femme et de moi-même. Qu’il en soit remercié. J’ai assuré, à sa demande, la traduction pour que les francophones en profitent également, puisque d’abord une histoire française.
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Véro, son client à son bras, traverse le bar. En arrivant à l’entrée, Véro s’arrête, réalisant qu’elle n’a pas parlé à Jacqueline. Laissant l’homme un peu impatient devant la porte, elle se précipite dans le bureau situé derrière le bar et trouve Jacqueline au téléphone.
Une cigarette accrochée à ses lèvres, Jacqueline, qui sent l’impatience de Véro, met la main sur le combiné et hausse les sourcils de curiosité.
- Un homme – un client - veut que j’aille à son hôtel. Est-ce que ça va? Je veux dire...
Jacqueline réfléchit un instant, regardant attentivement Véro.
- Demande au moins 500 et assure-toi que Marc sait où vous allez. 150 pour moi, c’est la taxe pour que tu puisses sortir durant les heures de travail.
Marc était un ex-policier costaud qui se tient à la porte du bar, à la fois videur et physionomiste.
Véro attrape son manteau et, l’esprit toujours un peu perturbé par ce qu’elle s’apprête à faire , rejoint l’homme à la porte. Ce dernier met sa main dans le bas du dos ( sentiment de possession) et la pousse doucement mais fermement vers la porte puis dans la rue. Véro échange quelques mots avec Marc et ce dernier demande à l’homme dans quel hôtel il emmène Véro. L’homme lui donne le nom d’un endroit assez haut de gamme à quelques pas de là.
- Clé ? demande Marc.
- Quoi?
- Montrez-moi votre clé !
Un peu ronchon, l’homme sort de sa poche la clé numérique de sa chambre, dans une pochette en carton portant le nom de l’hôtel et son numéro de chambre, et la tend à Marc, qui note les détails sur son calepin, ainsi que l’heure, avant de lui rendre, tout en fixant l’homme avec un air suffisamment menaçant pour le mettre mal à l’aise. Le message était clair.
Prenant la main de Véro, l’homme marche rapidement dans la rue encore animée jusqu’à l’hôtel, attirant un regard noir du concierge alors qu’ils se précipitent du hall de réception à l’ascenseur. Dès que les portes se referment, il poussa Véro contre le mur et commence à l’embrasser - forçant sa langue dans sa bouche alors qu’il passe sa main sur ses petits seins. Ses mamelons sont dressés - ils le sont souvent depuis quelques jours - et elle ne porte presque jamais de soutien-gorge - de sorte qu’ils sont maintenant très visibles, poussant la soie de son chemisier ajusté.
Véro gémit un peu, malgré des sentiments contradictoires sur ce qu’elle était en train de vivre.
D’une manière étrange, pour les prostituées, baiser est beaucoup moins personnel qu’embrasser - beaucoup de filles refusent et disent qu’elles n’embrassent que leur partenaire, cela ressemblerait beaucoup à de l’infidélité en quelque sorte. Chez les hôtesses, c’est plutôt l’inverse. Embrasser est le plus sûr moyen, et le plus courant, d’inciter un client à consommer davantage, et rien n’oblige l’hôtesse à baiser avec son client. Véro éprouve alors une drôle d’impression. Les baisers et la main sur ses mamelons sensibles conduisent Véro mouillée à nouveau - elle sent qu’elle a besoin de contrôler la situation un peu mieux, en vraie professionnelle, alors elle repousse l’homme, reprenant son sang-froid.
Haletant légèrement, il lui demande:
- Combien?
- Euh, …., 700 ?
- Quoi? Pas question. Il n’y a aucune chance que je paie une pute autant. Tu peux en avoir 300.
Véro, un peu abasourdie d’être qualifiée de pute avec autant de désinvolture, lui répond:
- Eh bien, c’est votre choix bien sûr, je vais donc partir.
Comme s’il essayait de savoir si elle bluffe, il la regarde fixement dans les yeux pendant quelques secondes, puis il baisse ses yeux et fixe avec une envie évidente les mamelons dressés de Véro et, se souvient de la douce et chaude humidité de sa chatte, quelques dizaines de minutes auparavant
- Va te faire foutre. OK. Mais je paie quand nous aurons fini. D’ accord?
- D’accord.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et ils se dirigent vers sa chambre - une belle suite avec des baies vitrées donnant sur la ville. Au moment où la porte se referme derrière eux, l’homme s’appuie contre la baie et baisse son pantalon, sortant une bite dure comme de l’acier et la tenant dans une main. Tendant l’autre main, il attrape Véro par la nuque et la pousse à genoux devant lui.
- Suce ma putain de bite.
Véro, les yeux levés pour le regarder, le prend dans sa bouche – sentant ainsi qu’il est déjà clairement venu dans son pantalon plus tôt dans la soirée, quand il la doigtait au bar. Cela l’excite et elle sent l’humidité recommencer à se répandre entre ses jambes alors qu’elle travaille cette bite. Elle tient ses couilles d’une main, les serrent au tempo du mouvement de ses lèvres de haut en bas de la verge, son autre main emprisonnant la bite, le caressant et rencontrant ses lèvres chaque fois qu’elle le prend complètement en bouche.
Il pousse ses hanches en rythme, utilisant son dos contre la fenêtre comme appui et tenant sa tête contre lui à deux mains pendant qu’il baise sa bouche.
Bientôt, elle le sent venir, de premiers petits jets frappant sa gorge. Ses couilles montent et descendent alors qu’elle les serre plus fort, tenant et relâchant, comme l’une des filles lui avait appris.
Se préparant à avaler la charge, elle le sent commencer à venir complètement, la première giclée salée lourde et chaude sur la langue.
L’homme déplace ses mains sur les joues de Véro et la repousse loin de lui, la tenant immobile et inclinant son visage vers le haut alors qu’il lance de longs jets blanchâtres en l’air, atterrissant sur ses joues, son front, son nez et ses cheveux. Véro ferme instinctivement les yeux et sent le sperme glisser chaudement sur ses paupières.
La laissant partir, il s’éloigne d’elle, permettant à Véro de tomber sur les fesses, s’essuyant le visage avec le dos de sa main, effleurant son ventre sur le tapis.
Sa respiration revenant à la normale, l’homme dit:
- Je vais commander du champagne, vas te nettoyer.
Véro, dans la salle de bain, se lave le visage et fait ce qu’elle peut pour arranger ses cheveux avant que foutre sèche. Elle entend frapper à la porte puis un bref échange alors que le champagne est livré et que l’homme donne un pourboire au garçon d’étage. Cela sonne comme un rappel pour Véro - l’argent! Elle retourne dans la chambre et exige son dû. L’homme semble un peu réticent, presque comme s’il pensait essayer de revenir sur l’accord, mais Véro n’a qu’à mentionner avec désinvolture que Marc aurait probablement une autre vision de tout cela, et l’argent devient disponible.
Il fait sauter le bouchon et remplit deux flûtes. Alors qu’il donne un verre pétillant à Véro, il dit:
- C’est tout pour toi cependant, je ne dépense pas plus que ce que je dois pour te baiser.
Véro ressent un mélange de honte, d’embarras, de maladresse et, oui, d’excitation, à l’idée qu’on lui parle ainsi.
Se souvenant de la raison pour laquelle elle est dans cette chambre et mettant sa fierté de côté, elle commence à se déshabiller. Elle laisse tomber son chemisier sur le sol, révèle ses beaux petits seins et ses mamelons douloureusement dressés, puis, dézippant son pantalon, le fait glisser sur ses hanches. L’homme la regarde attentivement, son verre bloqué à mi-chemin de ses lèvres.
Véro commence à retirer sa culotte brésilienne bleue en dentelle.
- Non , dit rapidement l’homme, garde-la.
Véro fait ce qu’on lui dit, et se relevant, elle pose une main sur une hanche, l’autre dérivant lentement et doucement vers son ventre plat.
Elle se regarde dans le miroir d’en face - elle est surprise de voir à quel point elle a l’air confiante, à quel point elle est salope. Elle est surprise par la façon dont sa culotte est déjà trempée - son entrejambe est presque noir par rapport au reste du tissu.
Elle a même commencé à sentir couler une petite quantité de cyprine le long de sa cuisse, elle peut sentir un léger filet commencer à se frayer un chemin jusqu’à son genou.
- Penche-toi, dit-il, d’une voix enrouée.
Véro se retourne et pose ses mains sur le lit, poussant son cul vers le haut.
- Ouvre tes jambes.
Véro obtempéra aussitôt.
Elle l’entend se déplacer rapidement derrière elle, tâtonnant bruyamment avec sa ceinture, puis sa main pousse la fine barrière de sa culotte sur un côté et son gland cherche une ouverture. Véro tend la main entre ses jambes, prend la bite et la guide à l’intérieur, gémissant, alors qu’il la pousse complètement en elle.
- Wouah, mais quelle chatte ! Tu es serrée, petite pute – Un con si serré et mouillé ...
Il maintient ce dialogue tout le temps qu’il la pilonne - tenant ses hanches et la tirant sans relâche vers le haut et vers lui, soulevant pratiquement son corps léger du lit à chaque coup de queue. Véro ne pouvait pas prétendre que ses paroles ne l’excitaient pas - personne ne lui avait jamais dit de telles choses, ou parlé d’une manière aussi grossière - elle ne l’aurait jamais permis, mais maintenant, ça l’excitait tellement.
- Je parie que tu as baisé des centaines de mecs, petite salope, tu t’es laissée pénétrer par eux, tu as avalé leur foutre comme une bonne putain de putain - putain de salope, marchant dans les rues en vendant ton petit cul serré .
Véro tend les muscles de ses cuisses et de ses mollets contre lui, le forçant à arrêter de pousser pendant quelques secondes pendant qu’elle vient fort sur sa bite, ce qui l’incite à la baiser de plus en plus fort et à dire plus de saletés. Bientôt, il jouit. Cette fois il tient sa bite profondément en elle, venant pendant 10 ou 15 secondes, pompant fort au début puis diminuant progressivement en intensité au fur et à mesure qu’il se vide.
Il s’allonge sur le lit et Véro retourne dans la salle de bain, utilisant une serviette pour essuyer son ventre, ses jambes et ses cuisses, avant de passer quelques secondes sous la douche.
Elle récupère ses vêtements et s’habille. L’homme ronfle paisiblement sur le lit.
Véro, indécise, resta un peu dans la chambre puis se lève et éteint la lumière, fermant doucement la porte derrière elle. C’est l’argent le plus facile qu’elle n’ait jamais gagné, et le plus rapide - elle avait été absente du bar pendant à peine plus d’une heure. Et elle avait joui, fort.
Ceci n’est pas une si mauvaise façon de vivre, pense-t-elle, en saluant le concierge toujours derrière son comptoir.
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Véro, son client à son bras, traverse le bar. En arrivant à l’entrée, Véro s’arrête, réalisant qu’elle n’a pas parlé à Jacqueline. Laissant l’homme un peu impatient devant la porte, elle se précipite dans le bureau situé derrière le bar et trouve Jacqueline au téléphone.
Une cigarette accrochée à ses lèvres, Jacqueline, qui sent l’impatience de Véro, met la main sur le combiné et hausse les sourcils de curiosité.
- Un homme – un client - veut que j’aille à son hôtel. Est-ce que ça va? Je veux dire...
Jacqueline réfléchit un instant, regardant attentivement Véro.
- Demande au moins 500 et assure-toi que Marc sait où vous allez. 150 pour moi, c’est la taxe pour que tu puisses sortir durant les heures de travail.
Marc était un ex-policier costaud qui se tient à la porte du bar, à la fois videur et physionomiste.
Véro attrape son manteau et, l’esprit toujours un peu perturbé par ce qu’elle s’apprête à faire , rejoint l’homme à la porte. Ce dernier met sa main dans le bas du dos ( sentiment de possession) et la pousse doucement mais fermement vers la porte puis dans la rue. Véro échange quelques mots avec Marc et ce dernier demande à l’homme dans quel hôtel il emmène Véro. L’homme lui donne le nom d’un endroit assez haut de gamme à quelques pas de là.
- Clé ? demande Marc.
- Quoi?
- Montrez-moi votre clé !
Un peu ronchon, l’homme sort de sa poche la clé numérique de sa chambre, dans une pochette en carton portant le nom de l’hôtel et son numéro de chambre, et la tend à Marc, qui note les détails sur son calepin, ainsi que l’heure, avant de lui rendre, tout en fixant l’homme avec un air suffisamment menaçant pour le mettre mal à l’aise. Le message était clair.
Prenant la main de Véro, l’homme marche rapidement dans la rue encore animée jusqu’à l’hôtel, attirant un regard noir du concierge alors qu’ils se précipitent du hall de réception à l’ascenseur. Dès que les portes se referment, il poussa Véro contre le mur et commence à l’embrasser - forçant sa langue dans sa bouche alors qu’il passe sa main sur ses petits seins. Ses mamelons sont dressés - ils le sont souvent depuis quelques jours - et elle ne porte presque jamais de soutien-gorge - de sorte qu’ils sont maintenant très visibles, poussant la soie de son chemisier ajusté.
Véro gémit un peu, malgré des sentiments contradictoires sur ce qu’elle était en train de vivre.
D’une manière étrange, pour les prostituées, baiser est beaucoup moins personnel qu’embrasser - beaucoup de filles refusent et disent qu’elles n’embrassent que leur partenaire, cela ressemblerait beaucoup à de l’infidélité en quelque sorte. Chez les hôtesses, c’est plutôt l’inverse. Embrasser est le plus sûr moyen, et le plus courant, d’inciter un client à consommer davantage, et rien n’oblige l’hôtesse à baiser avec son client. Véro éprouve alors une drôle d’impression. Les baisers et la main sur ses mamelons sensibles conduisent Véro mouillée à nouveau - elle sent qu’elle a besoin de contrôler la situation un peu mieux, en vraie professionnelle, alors elle repousse l’homme, reprenant son sang-froid.
Haletant légèrement, il lui demande:
- Combien?
- Euh, …., 700 ?
- Quoi? Pas question. Il n’y a aucune chance que je paie une pute autant. Tu peux en avoir 300.
Véro, un peu abasourdie d’être qualifiée de pute avec autant de désinvolture, lui répond:
- Eh bien, c’est votre choix bien sûr, je vais donc partir.
Comme s’il essayait de savoir si elle bluffe, il la regarde fixement dans les yeux pendant quelques secondes, puis il baisse ses yeux et fixe avec une envie évidente les mamelons dressés de Véro et, se souvient de la douce et chaude humidité de sa chatte, quelques dizaines de minutes auparavant
- Va te faire foutre. OK. Mais je paie quand nous aurons fini. D’ accord?
- D’accord.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et ils se dirigent vers sa chambre - une belle suite avec des baies vitrées donnant sur la ville. Au moment où la porte se referme derrière eux, l’homme s’appuie contre la baie et baisse son pantalon, sortant une bite dure comme de l’acier et la tenant dans une main. Tendant l’autre main, il attrape Véro par la nuque et la pousse à genoux devant lui.
- Suce ma putain de bite.
Véro, les yeux levés pour le regarder, le prend dans sa bouche – sentant ainsi qu’il est déjà clairement venu dans son pantalon plus tôt dans la soirée, quand il la doigtait au bar. Cela l’excite et elle sent l’humidité recommencer à se répandre entre ses jambes alors qu’elle travaille cette bite. Elle tient ses couilles d’une main, les serrent au tempo du mouvement de ses lèvres de haut en bas de la verge, son autre main emprisonnant la bite, le caressant et rencontrant ses lèvres chaque fois qu’elle le prend complètement en bouche.
Il pousse ses hanches en rythme, utilisant son dos contre la fenêtre comme appui et tenant sa tête contre lui à deux mains pendant qu’il baise sa bouche.
Bientôt, elle le sent venir, de premiers petits jets frappant sa gorge. Ses couilles montent et descendent alors qu’elle les serre plus fort, tenant et relâchant, comme l’une des filles lui avait appris.
Se préparant à avaler la charge, elle le sent commencer à venir complètement, la première giclée salée lourde et chaude sur la langue.
L’homme déplace ses mains sur les joues de Véro et la repousse loin de lui, la tenant immobile et inclinant son visage vers le haut alors qu’il lance de longs jets blanchâtres en l’air, atterrissant sur ses joues, son front, son nez et ses cheveux. Véro ferme instinctivement les yeux et sent le sperme glisser chaudement sur ses paupières.
La laissant partir, il s’éloigne d’elle, permettant à Véro de tomber sur les fesses, s’essuyant le visage avec le dos de sa main, effleurant son ventre sur le tapis.
Sa respiration revenant à la normale, l’homme dit:
- Je vais commander du champagne, vas te nettoyer.
Véro, dans la salle de bain, se lave le visage et fait ce qu’elle peut pour arranger ses cheveux avant que foutre sèche. Elle entend frapper à la porte puis un bref échange alors que le champagne est livré et que l’homme donne un pourboire au garçon d’étage. Cela sonne comme un rappel pour Véro - l’argent! Elle retourne dans la chambre et exige son dû. L’homme semble un peu réticent, presque comme s’il pensait essayer de revenir sur l’accord, mais Véro n’a qu’à mentionner avec désinvolture que Marc aurait probablement une autre vision de tout cela, et l’argent devient disponible.
Il fait sauter le bouchon et remplit deux flûtes. Alors qu’il donne un verre pétillant à Véro, il dit:
- C’est tout pour toi cependant, je ne dépense pas plus que ce que je dois pour te baiser.
Véro ressent un mélange de honte, d’embarras, de maladresse et, oui, d’excitation, à l’idée qu’on lui parle ainsi.
Se souvenant de la raison pour laquelle elle est dans cette chambre et mettant sa fierté de côté, elle commence à se déshabiller. Elle laisse tomber son chemisier sur le sol, révèle ses beaux petits seins et ses mamelons douloureusement dressés, puis, dézippant son pantalon, le fait glisser sur ses hanches. L’homme la regarde attentivement, son verre bloqué à mi-chemin de ses lèvres.
Véro commence à retirer sa culotte brésilienne bleue en dentelle.
- Non , dit rapidement l’homme, garde-la.
Véro fait ce qu’on lui dit, et se relevant, elle pose une main sur une hanche, l’autre dérivant lentement et doucement vers son ventre plat.
Elle se regarde dans le miroir d’en face - elle est surprise de voir à quel point elle a l’air confiante, à quel point elle est salope. Elle est surprise par la façon dont sa culotte est déjà trempée - son entrejambe est presque noir par rapport au reste du tissu.
Elle a même commencé à sentir couler une petite quantité de cyprine le long de sa cuisse, elle peut sentir un léger filet commencer à se frayer un chemin jusqu’à son genou.
- Penche-toi, dit-il, d’une voix enrouée.
Véro se retourne et pose ses mains sur le lit, poussant son cul vers le haut.
- Ouvre tes jambes.
Véro obtempéra aussitôt.
Elle l’entend se déplacer rapidement derrière elle, tâtonnant bruyamment avec sa ceinture, puis sa main pousse la fine barrière de sa culotte sur un côté et son gland cherche une ouverture. Véro tend la main entre ses jambes, prend la bite et la guide à l’intérieur, gémissant, alors qu’il la pousse complètement en elle.
- Wouah, mais quelle chatte ! Tu es serrée, petite pute – Un con si serré et mouillé ...
Il maintient ce dialogue tout le temps qu’il la pilonne - tenant ses hanches et la tirant sans relâche vers le haut et vers lui, soulevant pratiquement son corps léger du lit à chaque coup de queue. Véro ne pouvait pas prétendre que ses paroles ne l’excitaient pas - personne ne lui avait jamais dit de telles choses, ou parlé d’une manière aussi grossière - elle ne l’aurait jamais permis, mais maintenant, ça l’excitait tellement.
- Je parie que tu as baisé des centaines de mecs, petite salope, tu t’es laissée pénétrer par eux, tu as avalé leur foutre comme une bonne putain de putain - putain de salope, marchant dans les rues en vendant ton petit cul serré .
Véro tend les muscles de ses cuisses et de ses mollets contre lui, le forçant à arrêter de pousser pendant quelques secondes pendant qu’elle vient fort sur sa bite, ce qui l’incite à la baiser de plus en plus fort et à dire plus de saletés. Bientôt, il jouit. Cette fois il tient sa bite profondément en elle, venant pendant 10 ou 15 secondes, pompant fort au début puis diminuant progressivement en intensité au fur et à mesure qu’il se vide.
Il s’allonge sur le lit et Véro retourne dans la salle de bain, utilisant une serviette pour essuyer son ventre, ses jambes et ses cuisses, avant de passer quelques secondes sous la douche.
Elle récupère ses vêtements et s’habille. L’homme ronfle paisiblement sur le lit.
Véro, indécise, resta un peu dans la chambre puis se lève et éteint la lumière, fermant doucement la porte derrière elle. C’est l’argent le plus facile qu’elle n’ait jamais gagné, et le plus rapide - elle avait été absente du bar pendant à peine plus d’une heure. Et elle avait joui, fort.
Ceci n’est pas une si mauvaise façon de vivre, pense-t-elle, en saluant le concierge toujours derrière son comptoir.
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cela me rappelle l'époque de mes études j'ai souvent arrondis mes fin de moi de cette façon . océane