Véronique aime bien certains apéritifs ! - histoire érotique

Le retour de Véronique

Véronique m’a énormément et très agréablement surpris lors de sa visite. Ayant encore une petite finition à exécuter chez eux j’étais un peu hésitant à me rendre à son domicile. Mais son mari m’ayant appelé pour venir terminer mon installation je me rends chez eux à sa demande en fin d’après midi vers 18 h. Je suis accueilli par Véronique qui est négligemment habillée d’une jupe ample et d’un chemisier avec un décolleté qui laisse largement deviner ses beaux seins. Juste avant que son mari se pointe, elle m’embrasse goulûment et frotte ses rondeurs aguichantes contre moi. Son mari arrive et me donne deux indications pour une légère modification et je descends avec lui dans leur cave pour être d’accord avec le travail à finir. Pendant que j’ai droit aux explications de son homme Véronique descend nous rejoindre. Elle est derrière lui et elle me fait des effets de langues imitant une fellation. J’ai du mal à me concentrer sur ce que me dit mon client. Véronique visiblement en grande forme s’appuie contre un vieux placard relève une de ses jambes qu’elle pose sur une chaise et remonte sa jupe et elle se caresse. Je constate qu’elle ne porte pas de culotte. De plus en plus difficile de suivre ce que l’on me dit. Enfin il se décide à remonter. Véronique prestement s’arrange et avec l’air le plus innocent elle emboite le pas à son mari, sans, dans l’escalier relever sa jupe pour m’offrir la vision très excitante de ses fesses. Au bout de dix minutes j’entends des pas. Véronique arrive avec un verre dans une main et une bouteille de bière dans l’autre. Je suis sur un escabeau en train de fixer un câble. Elle pose le verre et relève sa jupe, elle glisse la bouteille ouverte dans son sexe et s’en serre de godemiché. A ce moment son mari descend les escaliers, très calmement elle sort la bouteille et me sert !
- Allé on boit une bière ensemble ! Véro tu ne veux rien ?
- non ! Une bière cela ne me dis rien !
- prend autre chose !
- oui ! J’y pense…
- Alors mon cher pas de problème ?
- Non non ! Tout va bien !
- Je remonte j’ai du travail au bureau. Je vous laisse avec Véro ! Surtout ne lui demandez rien elle est très maladroite !
- Merci chéri ! Je suis maladroite Mr ?
- Je ne sais pas !
- Bon je vous laisse je vais dans mon bureau !
Elle attend un instant et se rapproche de moi et doucement me dit :
- je suis maladroite ?
- pour le bricolage je ne sais pas !
- et pour la baise ?
- pas du tout !
Elle me regarde droit dans les yeux avec un air malicieux ! Ses mains se posent sur mon entre jambe et elle me frotte à travers le pantalon.
- alors maladroite ?
- non, mais tu cherches les ennuis !
- ça m’excite !
- je vois !
Elle trouve la fermeture à glacière de mon pantalon et la fait descendre, sa main droite fait sauter le bouton de ma ceinture et la gauche glisse par le passage et extirpe avec dextérité mon sexe bien raide, deux coups de poignet et elle se penche légèrement et m’absorbe goulûment. Sa bouche est douce et très vite profonde. Sa langue se mets à s’amuser avec mon gland. Elle la frotte contre mon frein avec une lenteur insupportable. Elle ouvre à nouveau en grand sa bouche et glisse entre ses lèvres mon gland turgescent. Son poignet droit entre en jeu et la bouche et sa main dans un ensemble très glissant s’agite d’avant en arrière. Elle pose un pied sur une marche de l’escabeau et relève sa jupe de la main gauche et se met à se masturber. Je bande à fond de voir cette belle femme plutôt BCBG se lâcher ainsi. Sa bouche est terriblement efficace, et sa main gauche doit l’être aussi car elle se pli légèrement et un grognement étouffé par ma queue essaye de s’échapper de sa gorge.
- Véronique !
- Oui ! Mon chéri !
- Laisse-le travailler !
- Je ne le dérange pas ! je regarde juste !
- C’est vrai elle ne vous embête pas !
- Absolument pas !
- Bon ! Vous en avez encore pour longtemps ?
- Non ! C’est presque fini !
Elle ne perd pas de temps, ses mains ne se sont pas arrêtées et sa bouche reprend vite sa position. Je ne résiste pas et je me vide dans sa gorge. Elle me branle bien à fond et prend tout. Sa main gauche c’est accélérée et elle a grogné encore une fois. Elle lâche sa gourmandise et la range avec un grand sourire de satisfaction. Elle arrange sa jupe et prend la direction de l’escalier. Elle se retourne et me tire la langue, chargé de sperme. Je fini mon travail et cinq minutes plus tard je remonte. Elle est assise dans un fauteuil. Il arrive et me demande :
- alors c’est bon ?
- oui !
- bien ! J’aurai un travail à vous faire faire à la boite. Je vous appellerai.
- Véronique ! Tu nous sers à boire ?
- …
Elle se lève et sans rien dire va chercher des verres. Elle me passe devant et sans se faire voir me tire encore la langue qui est encore chargée. Je l’entends déglutir et après dire à son mari !
- tu sais tu pourrais aussi t’occuper de nous servir à boire !