Veronique, nouveau départ
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Veronique, nouveau départ
Véro venait de divorcer, à trente cinq ans elle venait brusquement de prendre la décision de "vivre pleinement"; l'occasion lui était donnée de changer de cadre professionnel, alors que depuis des années elle travaillait dans les services administratifs de la faculté de lettres, le départ à la retraite de la secrétaire d'un petit institut universitaire lui permettait d'accéder à un nouveau cadre professionnel où personne ne la connaissait.
Son premier contact avec l'Institut du travail lui fit une impression très favorable; un petit parking fermé accessible seulement aux membres de l'institut, un concierge très avenant (qualité rarement attribuée aux membres de cette profession) qui habitait sur place dans un petit logement de fonction (avec sa femme qui assurait le ménage de l'ensemble de l'Institut) et seulement une équipe d'enseignants limitée à quatre maitres de conférences (ce qui l'éloignait de "l'usine" que constituait la faculté de lettres.
Elle avait pris soin de son aspect (elle prenait toujours soin de sa présentation), mais en plus elle désirait s'éloigner de l'image qu'elle avait toujours donnée: femme BCBG toujours sérieuse et posée (peut être un poil "chiante"), elle portait donc un tailleur - jupe très classique (elle n'avait que des vêtements classiques dans sa garde robe) mais avait songé à mettre sous sa veste un chemisier un tant soi peu décolleté sur un soutien-gorge pigeonnant et sous sa jupe elle avait mis des bas auto-fixant, non pas que cela pouvait avoir une influence sur l'accès au poste (nous étions dans la fonction publique, et son ancienneté lui permettait d'espérer obtenir cette affectation sans grande difficulté, mais ces vêtements, c'était surtout pour elle qu'elle les portait, pour briser en elle-même, l'image qu'elle croyait la sienne et qui avait conduit au départ de son mari pour une "salope" qui baisait avec tous ceux qui passaient.
Son entretien avec le directeur (qui était maitre de conférence) avait été très cordiale, d'ailleurs dans l'institut la fonction de directeur était occupée à tour de rôle par les enseignants de l'institut et le poste changeait d'occupant tous les trois ans. Cela lui sembla bizarre cette fonction ne soit pas hiérarchisée, tout comme le fait que l'institut soit rattaché à la faculté de médecine, alors que les facs de lettres et de droit étaient géographiquement plus proche, et surtout que l'institut n'avait rien à voir avec le domaine de la santé puisqu'il formait des représentants des organisations syndicales reconnues représentatives au plan national sur des subsides du ministère du travail... encore un mystère de l'organisation administrative de la France.
Le directeur la présenta d'ailleurs aux trois autres maitres de conférence comme la nouvelle secrétaire de l'institut.
Le fonctionnement de l'institut était également particulier, il pouvait n'y avoir aucun "stagiaire" (c'est ainsi que les "étudiants" étaient nommés) pendant des jours, voire des semaines, puis débarquaient une vingtaine d'individus (tous membres d'une organisation syndicale qui avait négocié la formation avec l'équipe des enseignants), pratiquement tous des hommes, et dont une dizaine étaient hébergés dans l'internat de l'institut pour éviter des aller retour fastidieux avec leur domiciles; ces stages duraient entre trois et cinq jours, et d'un coup le travail de la secrétaire était de "boucler" dans ce délai les dossiers administratifs de chaque individu de façon à ce que la comptable (l'autre personne affectée à l'administratif) puisse justifier des financements auprès de la direction régionale du travail)...
En réalité ce type de fonctionnement faisait que Véro allait voir "débarquer" régulièrement une quinzaine de mecs dont une bonne dizaine allaient être logés sur place pour deux à quatre nuits (mais ça elle n'allait le réaliser que plus tard).
Pour l'instant elle avait face à elle, quatre hommes entre trente et soixante ans, tous très avenants, elle succédait à une secrétaire qui venait de partir à la retraite, et ils ne se privèrent pas de lui faire remarquer "qu'elle était un rayon de lumière qui venait ensoleiller leur quotidien", et bien sûr l'enseignant en droit, qui était le seul célibataire de l'équipe, entreprit de la séduire sous le regard amusé des autres enseignants, et désapprobateur de la comptable.
De son côté Véronique trouva que la situation convenait parfaitement à sa décision d'entreprendre une "nouvelle vie", et décida qu'elle devait se mettre en position de "séductrice", pour l'équipe des enseignants d'une part, mais aussi des stagiaires qui seraient pour elle, un vivier constamment renouvelé.
Dés le week-end suivant elle se mit à faire des achats de vêtements correspondants à sa nouvelle vie. Le premier type d'achats auquel elle se livra fut l'achat de jupes, bien sur elle disposait déjà d'un certain nombre de jupes de ses ensembles tailleurs, mais elle entrepris l'acquisition de jupes moulantes, certaines en tissu souple et extensible tellement collant que le port de tout porte jarretières devenait inconvenant, elle fut particulièrement attentive à la longueur de ces jupes, à la présence de zip, de fentes, de boutonnages ... pour ce qui était des chemisiers elle veilla à la profondeur des décolletés, à l'éventuelle transparence des tissus, et à ce que leur coupe mette en valeur sa poitrine (qui était généreuse). L'achat de ce genre de chemisiers la contraignit à repenser à ses soutiens gorges (qui étaient trop BCBG) et elle se dit que ce type de lingerie était fait pour être (à minima) entrevu, plus ou moins furtivement, ou carrément aperçus par "accident", dans cette recherche elle découvrit, outre les soutiens gorges balconnets, les pigeonnants, les demi-seins (qui laissaient apparaitre les aréoles et les tétons) les bandeaux (qui lui permettraient des épaules dénudées), bien sûr elle dû coordonner ce type de lingerie avec des culottes, des strings, tous les plus excessifs les uns que les autres, certains ouverts sur la vulve, tous dégageant totalement les fesses (qu'elle avait avantageuses), elle compléta tout cela par des bas auto-fixant qui lui firent penser "je suis en train de m'habiller comme une pute!", mais tout ceci l'avait surtout excitée et dès le samedi soir elle décida d'aller "en boite" pour tester l'image qu'elle pouvait donner.
Elle ne pouvait pas aller décemment dans une "boite de jeunes", et elle devait admettre qu'à son âge (qu'elle estimait "avancé") elle ne pouvait se risquer n'importe où; internet lui livra l'existence d'un club libertin qui faisait restaurant et dancing, elle se dit que dans le pire des cas elle se contenterai de la fonction "restaurant" et que si tout se passait bien elle aurait une réponse "sur le terrain" de l'image qu'elle pouvait donner.
Elle se prépara avec soin, des bas coutures auto-fixant, un string ficelle plus que discret sur une vulve qu'elle avait pris soin de raser intégralement, un soutien gorge "axami" demi-seins qui lui remontait la poitrine tout en lui laissant les tétons à l'air libre, elle hésita longuement sur le chemisier à mettre par-dessus cette lingerie, elle opta finalement pour un chemisier transparent qui serait rendu "acceptable" par le port d'une petite veste qui resterait ouverte. Pour la jupe ce fut une jupe-crayon "Catanzaro" relativement longue (elle arrivait au-dessus du genoux) mais dont le tissu , souple et extensible lui moulait les fesses à la perfection et dont un zip intégral à l'avant, avec ouverture par le bas, permettrait de gérer la générosité.
Arrivée à la "Lanterne", elle put se garer sans problème sur le parking; il faut dire que, stressée, elle était arrivée à l'heure de l'ouverture alors que les habitués étaient plus laxistes avec les horaires. La première surprise fut d'apprendre que l'entrée était gratuite pour les dames seules, la seconde fut qu'on lui remit un bracelet portant le numéro de son vestiaire (elle n'envisageait pas de laisser son sac à main au vestiaire, on lui fit comprendre que c'était pour éviter les photos volées avec des téléphones portables, alors elle tendit son mini sac et fut surprise lorsque l'employée tendit la main pour prendre sa veste en arguant qu'il allait faire chaud!
Elle se trouva dans une tenue "limite" compte tenu de la transparence de son chemisier et de l'absence de veste, mais très vite avec l'arrivée de quelques couples elle put constater qu'elle était loin d'avoir la tenue la plus provocante.
Elle fut conduite à une table qu'elle allait partager avec deux "couples", le premier "couple" à s'installer après elle fut un trio de deux hommes et une femme qui se présentèrent poliment, les deux hommes étaient des quinquagénaires en costumes cravates très classique, mais leur femme commune (une quadragénaire très maquillée) portait une robe en voile dont le décolleté qui descendait au niveau du sternum prouvait l'absence totale de soutien gorge et dont la "longueur" de la jupe confirmait la présence de bas. L'arrivée du deuxième couple, un homme relativement jeune (certainement moins de trente ans) et une quadragénaire dont la robe laissa Véro pantoise, il s'agissait d'une robe "filet", dont totalement transparente sous laquelle la dame était entièrement nue, on pouvait voir la pointe des seins s'immiscer entre les mailles, et le sexe entièrement épilé était surmonté, juste au-dessus du pubis d'un tatouage représentant un aigle aux ailes déployées. Du coup Véro se senti habillée de façon très "sage", alors discrètement elle dézipa largement la fermeture éclair de sa robe, de façon à ce que l'on puisse voir qu'elle portait des bas. Bien que discret son geste n'avait pas échappé à son voisin de droite qui lui posa la main sur la cuisse, au-dessus de la limite du bas, à même la peau, en lui demandant "vous, c'est la première fois que vous venez? si vous étiez déjà venue je vous aurai remarquée!" et se faisant il se pencha pour l'embrasser, surprise elle n'eut aucune réaction, si ce n'est celle (pour ne pas paraitre "ringarde") d'entrouvrir sa bouche pour permettre l'introduction de la langue de cet homme qu'elle ne connaissait que depuis quelques minutes, la main de l'individu en profita pour remonter jusqu'au string et caresser les grandes lèvres. Cet incident terminé son voisin de gauche s'exclama "moi non plus je ne vous ai jamais vu!" et il se pencha pour l'embrasser, cette fois ci, moins surprise, elle répondit goulûment à ce baiser en introduisant elle aussi sa langue dans la bouche de son partenaire; celui-ci s'empara d'un de ses seins en le caressant par dessus le chemisier, il termina son baiser en lui disant "vous avez une poitrine magnifique!"Le repas se poursuivit normalement, les conversations étaient agréable; elle se mit à penser "je viens d'embrasser deux hommes que je ne connaissais pas il y a dix minutes, alors qu'en dix ans je n'avais embrassé que mon mari..."La femme du trio avait le haut de sa robe qui était tombé sur ses hanches et ses deux compagnons de temps en temps lui suçaient un sein ou lui pinçait la pointe du téton (lesquels étaient très érigés).Le compagnon de la femme à la robe en filet lui avait fait remonter la robe à la taille, elle était donc assise cul-nu sur sa chaise, cuisses écartées et il la masturbait allègrement. A un moment elle se mit à jouir bruyamment, Véronique voulait jouir elle aussi, peu importe comment, elle était trop excitée, elle se prit à penser "le string est de trop, je n'aurais pas dû le mettre"La fin du repas approchait, ils allaient passer dans la partie "dancing", profitant de cet instant elle se rendit aux toilettes où elle quitta ce string, elle en profita pour se caresser le clitoris et constata que sa vulve était très humide.
De retour du côté dancing elle était de nouveau seule, elle en profita pour visiter les lieux, il y avait quelques salles aux murs et au sol moquettés où des couples, des trios, (et même plus) se livraient à des orgies, elle aurait bien voulu se joindre à un de ces ensembles, mais elle n'osait pas; elle avait noté la présence de bols contenant des préservatifs, ce qui la rassurait, elle se promenait donc, la jupe dézippée au maximum, la vulve à l'air... un individu se retrouva devant elle, lui saisit la tête à deux mains et l'embrassa à pleine bouche, elle lui rendit son baiser avec avidité, l'homme descendit une main jusqu'au sexe de Véro et entreprit de la branler avec un, puis deux doigts; elle s'adossa à une cloison, poursuivant son baiser avec ardeur, elle fut surprise par l'orgasme qui la fit crier à l'intérieur de la bouche de son partenaire, celui-ci se recula un peu, elle se rendit compte qu'il s'équipait d'un préservatif, en même temps elle constata qu'il avait un sexe énorme "il va me déchirer" se dit elle, passant ses mains sous sa jupe il lui saisit les fesses et la souleva, elle noua ses jambes autour du bassin de l'homme qui la pénétra contre la cloison, elle ne pourrait pas dire si l'introduction avait été douloureuse tant le plaisir qui la submergeait était important, elle criait "ho oui, vas y, bien au fond, baises moi bien au fond..." un nouvel orgasme la faisait crier son plaisir, elle qui croyait qu'on ne pouvait jouir qu'une fois par jour! Il eut un ultime mouvement du bassin en avant et se crispa, il jouissait, elle trouva dommage ce préservatif qui l'empêchait de sentir l'explosion du sperme dans son vagin, il l'embrassa de nouveau, elle buvait sa bouche avec avidité, elle avait envie de lui dire "je t'aime" tout en sachant que c'était incongru, elle se contenta de dire "j'aime ce que tu me fais", elle dénoua ses jambes, l'homme sorti son sexe, chercha un rouleau de sopalin à proximité, entreprit de quitter son préservatif et d'essuyer sa bite. Puis il s'éloigna vers le comptoir; elle se mit à penser "je lui aurait bien sucé la queue"Elle reprit sa "promenade" dans cette partie où tout le monde baisait. Elle regardait un couple qui copulait quand une paire de mains lui saisirent les deux seins et une langue s'insinua dans une oreille, elle venait de découvrir qu'elle adorait qu'on lui mette une langue dans l'oreille, l'homme lui malaxait les deux seins, elle ouvrit complètement son chemisier et sortit ses deux seins du soutien gorge, l'homme lui malaxait les seins et parfois lui pinçait la pointe des tétons, c'était hyper agréable; l'homme lui murmura "mets toi à quatre pattes", elle le fit sans hésiter, il lui rabattit la jupe sur le dos, elle eut le temps de penser "et le préservatif?" elle sentit l'intromission dans son vagin, elle glissa une main jusqu'à son sexe et constata que c'était bien un sexe protégé qui la pénétrait; devant elle un homme allongé sur le dos avait une femme en face-sitting sur le visage; son partenaire du moment la pénétrait avec lenteur, elle aurait désiré plus de vigueur; elle sentit un doigt qui venait lui titiller l'anus, elle pensa à dire "personne n'est passé par là" puis elle se dit "c'est le moment ou jamais!" Le phallus allait et venait dans son vagin, une, puis deux, puis trois phalanges de l'index s'était introduits dans son anus, le doigt coulissait à la même vitesse que le phallus, la pulpe de l'index cherchait un point précis, elle sentait monter le plaisir, elle aurait voulu prendre le sexe de l'homme devant elle dans sa bouche, mais il était trop loin, alors qu'elle aurait cru pouvoir sentir monter le plaisir elle se mit à crier "putain que c'est bon!" et elle eut encore un orgasme dévastateur, l'homme continua à la baiser et à la sodomiser un long moment avant d'éjaculer à son tour, il se retira la laissant pantelante agitée de soubresauts; elle mit un moment à réaliser que devant elle il y avait un homme nu qui suçait une femme installée en face sitting sur sa tête, à quattre pattes elle s'approcha de ce sexe et le prit en bouche, elle entreprit une fellation alors que c'était une pratique qu'elle ne maitrisait guère, avec satisfaction elle senti le membre prendre du volume dans sa bouche, toute occupée à cette fellation elle mit un petit moment pour se rendre compte qu'une tête s'était glissée entre ses cuisses et qu'une langue avait attaqué un cunnilingus sur son clitoris; au bout d'un moment elle réalisa qu'elles étaient deux femmes en face-sitting sur des langues actives; brusquement la femme se mit à jouir, à cet instant la personne qui faisait le cunni à Véro lui introduisit deux doigts dans l'anus; Véro se mit à crier et à cet instant le sexe qu'elle avait en bouche éjacula, elle recrachait ce sperme qu'elle ne voulait pas avaler en se disant "moi aussi je fais jouir les autres", la satisfaction de ce constat l'empêcha de savoir si ce nouvel orgasme qu'elle éprouvait était d'origine clitoridien ou anal (et peut être un peu des deux)Elle chercha les toilettes, se rinça la bouche, elle était incapable de dire combien d'orgasmes elle avait vécu; elle regagna l'accueil où elle tendit son bracelet-vestiaire, la préposée lui dit "vous partez déjà ?", elle eut un petit sourire, récupéra son sac et sa veste... l'air de l'extérieur lui fit reziper sa jupe, fermer son chemisier, elle se serait volontiers endormie dans sa voiture, elle regagna sa maison où elle prit un bain, dans sa baignoire elle murmura une nouvelle fois "putain que c'est bon", avant de se rincer et d'aller se coucher, et au moment de s'endormir elle se dit "elle est pas belle la vie ?"
Son premier contact avec l'Institut du travail lui fit une impression très favorable; un petit parking fermé accessible seulement aux membres de l'institut, un concierge très avenant (qualité rarement attribuée aux membres de cette profession) qui habitait sur place dans un petit logement de fonction (avec sa femme qui assurait le ménage de l'ensemble de l'Institut) et seulement une équipe d'enseignants limitée à quatre maitres de conférences (ce qui l'éloignait de "l'usine" que constituait la faculté de lettres.
Elle avait pris soin de son aspect (elle prenait toujours soin de sa présentation), mais en plus elle désirait s'éloigner de l'image qu'elle avait toujours donnée: femme BCBG toujours sérieuse et posée (peut être un poil "chiante"), elle portait donc un tailleur - jupe très classique (elle n'avait que des vêtements classiques dans sa garde robe) mais avait songé à mettre sous sa veste un chemisier un tant soi peu décolleté sur un soutien-gorge pigeonnant et sous sa jupe elle avait mis des bas auto-fixant, non pas que cela pouvait avoir une influence sur l'accès au poste (nous étions dans la fonction publique, et son ancienneté lui permettait d'espérer obtenir cette affectation sans grande difficulté, mais ces vêtements, c'était surtout pour elle qu'elle les portait, pour briser en elle-même, l'image qu'elle croyait la sienne et qui avait conduit au départ de son mari pour une "salope" qui baisait avec tous ceux qui passaient.
Son entretien avec le directeur (qui était maitre de conférence) avait été très cordiale, d'ailleurs dans l'institut la fonction de directeur était occupée à tour de rôle par les enseignants de l'institut et le poste changeait d'occupant tous les trois ans. Cela lui sembla bizarre cette fonction ne soit pas hiérarchisée, tout comme le fait que l'institut soit rattaché à la faculté de médecine, alors que les facs de lettres et de droit étaient géographiquement plus proche, et surtout que l'institut n'avait rien à voir avec le domaine de la santé puisqu'il formait des représentants des organisations syndicales reconnues représentatives au plan national sur des subsides du ministère du travail... encore un mystère de l'organisation administrative de la France.
Le directeur la présenta d'ailleurs aux trois autres maitres de conférence comme la nouvelle secrétaire de l'institut.
Le fonctionnement de l'institut était également particulier, il pouvait n'y avoir aucun "stagiaire" (c'est ainsi que les "étudiants" étaient nommés) pendant des jours, voire des semaines, puis débarquaient une vingtaine d'individus (tous membres d'une organisation syndicale qui avait négocié la formation avec l'équipe des enseignants), pratiquement tous des hommes, et dont une dizaine étaient hébergés dans l'internat de l'institut pour éviter des aller retour fastidieux avec leur domiciles; ces stages duraient entre trois et cinq jours, et d'un coup le travail de la secrétaire était de "boucler" dans ce délai les dossiers administratifs de chaque individu de façon à ce que la comptable (l'autre personne affectée à l'administratif) puisse justifier des financements auprès de la direction régionale du travail)...
En réalité ce type de fonctionnement faisait que Véro allait voir "débarquer" régulièrement une quinzaine de mecs dont une bonne dizaine allaient être logés sur place pour deux à quatre nuits (mais ça elle n'allait le réaliser que plus tard).
Pour l'instant elle avait face à elle, quatre hommes entre trente et soixante ans, tous très avenants, elle succédait à une secrétaire qui venait de partir à la retraite, et ils ne se privèrent pas de lui faire remarquer "qu'elle était un rayon de lumière qui venait ensoleiller leur quotidien", et bien sûr l'enseignant en droit, qui était le seul célibataire de l'équipe, entreprit de la séduire sous le regard amusé des autres enseignants, et désapprobateur de la comptable.
De son côté Véronique trouva que la situation convenait parfaitement à sa décision d'entreprendre une "nouvelle vie", et décida qu'elle devait se mettre en position de "séductrice", pour l'équipe des enseignants d'une part, mais aussi des stagiaires qui seraient pour elle, un vivier constamment renouvelé.
Dés le week-end suivant elle se mit à faire des achats de vêtements correspondants à sa nouvelle vie. Le premier type d'achats auquel elle se livra fut l'achat de jupes, bien sur elle disposait déjà d'un certain nombre de jupes de ses ensembles tailleurs, mais elle entrepris l'acquisition de jupes moulantes, certaines en tissu souple et extensible tellement collant que le port de tout porte jarretières devenait inconvenant, elle fut particulièrement attentive à la longueur de ces jupes, à la présence de zip, de fentes, de boutonnages ... pour ce qui était des chemisiers elle veilla à la profondeur des décolletés, à l'éventuelle transparence des tissus, et à ce que leur coupe mette en valeur sa poitrine (qui était généreuse). L'achat de ce genre de chemisiers la contraignit à repenser à ses soutiens gorges (qui étaient trop BCBG) et elle se dit que ce type de lingerie était fait pour être (à minima) entrevu, plus ou moins furtivement, ou carrément aperçus par "accident", dans cette recherche elle découvrit, outre les soutiens gorges balconnets, les pigeonnants, les demi-seins (qui laissaient apparaitre les aréoles et les tétons) les bandeaux (qui lui permettraient des épaules dénudées), bien sûr elle dû coordonner ce type de lingerie avec des culottes, des strings, tous les plus excessifs les uns que les autres, certains ouverts sur la vulve, tous dégageant totalement les fesses (qu'elle avait avantageuses), elle compléta tout cela par des bas auto-fixant qui lui firent penser "je suis en train de m'habiller comme une pute!", mais tout ceci l'avait surtout excitée et dès le samedi soir elle décida d'aller "en boite" pour tester l'image qu'elle pouvait donner.
Elle ne pouvait pas aller décemment dans une "boite de jeunes", et elle devait admettre qu'à son âge (qu'elle estimait "avancé") elle ne pouvait se risquer n'importe où; internet lui livra l'existence d'un club libertin qui faisait restaurant et dancing, elle se dit que dans le pire des cas elle se contenterai de la fonction "restaurant" et que si tout se passait bien elle aurait une réponse "sur le terrain" de l'image qu'elle pouvait donner.
Elle se prépara avec soin, des bas coutures auto-fixant, un string ficelle plus que discret sur une vulve qu'elle avait pris soin de raser intégralement, un soutien gorge "axami" demi-seins qui lui remontait la poitrine tout en lui laissant les tétons à l'air libre, elle hésita longuement sur le chemisier à mettre par-dessus cette lingerie, elle opta finalement pour un chemisier transparent qui serait rendu "acceptable" par le port d'une petite veste qui resterait ouverte. Pour la jupe ce fut une jupe-crayon "Catanzaro" relativement longue (elle arrivait au-dessus du genoux) mais dont le tissu , souple et extensible lui moulait les fesses à la perfection et dont un zip intégral à l'avant, avec ouverture par le bas, permettrait de gérer la générosité.
Arrivée à la "Lanterne", elle put se garer sans problème sur le parking; il faut dire que, stressée, elle était arrivée à l'heure de l'ouverture alors que les habitués étaient plus laxistes avec les horaires. La première surprise fut d'apprendre que l'entrée était gratuite pour les dames seules, la seconde fut qu'on lui remit un bracelet portant le numéro de son vestiaire (elle n'envisageait pas de laisser son sac à main au vestiaire, on lui fit comprendre que c'était pour éviter les photos volées avec des téléphones portables, alors elle tendit son mini sac et fut surprise lorsque l'employée tendit la main pour prendre sa veste en arguant qu'il allait faire chaud!
Elle se trouva dans une tenue "limite" compte tenu de la transparence de son chemisier et de l'absence de veste, mais très vite avec l'arrivée de quelques couples elle put constater qu'elle était loin d'avoir la tenue la plus provocante.
Elle fut conduite à une table qu'elle allait partager avec deux "couples", le premier "couple" à s'installer après elle fut un trio de deux hommes et une femme qui se présentèrent poliment, les deux hommes étaient des quinquagénaires en costumes cravates très classique, mais leur femme commune (une quadragénaire très maquillée) portait une robe en voile dont le décolleté qui descendait au niveau du sternum prouvait l'absence totale de soutien gorge et dont la "longueur" de la jupe confirmait la présence de bas. L'arrivée du deuxième couple, un homme relativement jeune (certainement moins de trente ans) et une quadragénaire dont la robe laissa Véro pantoise, il s'agissait d'une robe "filet", dont totalement transparente sous laquelle la dame était entièrement nue, on pouvait voir la pointe des seins s'immiscer entre les mailles, et le sexe entièrement épilé était surmonté, juste au-dessus du pubis d'un tatouage représentant un aigle aux ailes déployées. Du coup Véro se senti habillée de façon très "sage", alors discrètement elle dézipa largement la fermeture éclair de sa robe, de façon à ce que l'on puisse voir qu'elle portait des bas. Bien que discret son geste n'avait pas échappé à son voisin de droite qui lui posa la main sur la cuisse, au-dessus de la limite du bas, à même la peau, en lui demandant "vous, c'est la première fois que vous venez? si vous étiez déjà venue je vous aurai remarquée!" et se faisant il se pencha pour l'embrasser, surprise elle n'eut aucune réaction, si ce n'est celle (pour ne pas paraitre "ringarde") d'entrouvrir sa bouche pour permettre l'introduction de la langue de cet homme qu'elle ne connaissait que depuis quelques minutes, la main de l'individu en profita pour remonter jusqu'au string et caresser les grandes lèvres. Cet incident terminé son voisin de gauche s'exclama "moi non plus je ne vous ai jamais vu!" et il se pencha pour l'embrasser, cette fois ci, moins surprise, elle répondit goulûment à ce baiser en introduisant elle aussi sa langue dans la bouche de son partenaire; celui-ci s'empara d'un de ses seins en le caressant par dessus le chemisier, il termina son baiser en lui disant "vous avez une poitrine magnifique!"Le repas se poursuivit normalement, les conversations étaient agréable; elle se mit à penser "je viens d'embrasser deux hommes que je ne connaissais pas il y a dix minutes, alors qu'en dix ans je n'avais embrassé que mon mari..."La femme du trio avait le haut de sa robe qui était tombé sur ses hanches et ses deux compagnons de temps en temps lui suçaient un sein ou lui pinçait la pointe du téton (lesquels étaient très érigés).Le compagnon de la femme à la robe en filet lui avait fait remonter la robe à la taille, elle était donc assise cul-nu sur sa chaise, cuisses écartées et il la masturbait allègrement. A un moment elle se mit à jouir bruyamment, Véronique voulait jouir elle aussi, peu importe comment, elle était trop excitée, elle se prit à penser "le string est de trop, je n'aurais pas dû le mettre"La fin du repas approchait, ils allaient passer dans la partie "dancing", profitant de cet instant elle se rendit aux toilettes où elle quitta ce string, elle en profita pour se caresser le clitoris et constata que sa vulve était très humide.
De retour du côté dancing elle était de nouveau seule, elle en profita pour visiter les lieux, il y avait quelques salles aux murs et au sol moquettés où des couples, des trios, (et même plus) se livraient à des orgies, elle aurait bien voulu se joindre à un de ces ensembles, mais elle n'osait pas; elle avait noté la présence de bols contenant des préservatifs, ce qui la rassurait, elle se promenait donc, la jupe dézippée au maximum, la vulve à l'air... un individu se retrouva devant elle, lui saisit la tête à deux mains et l'embrassa à pleine bouche, elle lui rendit son baiser avec avidité, l'homme descendit une main jusqu'au sexe de Véro et entreprit de la branler avec un, puis deux doigts; elle s'adossa à une cloison, poursuivant son baiser avec ardeur, elle fut surprise par l'orgasme qui la fit crier à l'intérieur de la bouche de son partenaire, celui-ci se recula un peu, elle se rendit compte qu'il s'équipait d'un préservatif, en même temps elle constata qu'il avait un sexe énorme "il va me déchirer" se dit elle, passant ses mains sous sa jupe il lui saisit les fesses et la souleva, elle noua ses jambes autour du bassin de l'homme qui la pénétra contre la cloison, elle ne pourrait pas dire si l'introduction avait été douloureuse tant le plaisir qui la submergeait était important, elle criait "ho oui, vas y, bien au fond, baises moi bien au fond..." un nouvel orgasme la faisait crier son plaisir, elle qui croyait qu'on ne pouvait jouir qu'une fois par jour! Il eut un ultime mouvement du bassin en avant et se crispa, il jouissait, elle trouva dommage ce préservatif qui l'empêchait de sentir l'explosion du sperme dans son vagin, il l'embrassa de nouveau, elle buvait sa bouche avec avidité, elle avait envie de lui dire "je t'aime" tout en sachant que c'était incongru, elle se contenta de dire "j'aime ce que tu me fais", elle dénoua ses jambes, l'homme sorti son sexe, chercha un rouleau de sopalin à proximité, entreprit de quitter son préservatif et d'essuyer sa bite. Puis il s'éloigna vers le comptoir; elle se mit à penser "je lui aurait bien sucé la queue"Elle reprit sa "promenade" dans cette partie où tout le monde baisait. Elle regardait un couple qui copulait quand une paire de mains lui saisirent les deux seins et une langue s'insinua dans une oreille, elle venait de découvrir qu'elle adorait qu'on lui mette une langue dans l'oreille, l'homme lui malaxait les deux seins, elle ouvrit complètement son chemisier et sortit ses deux seins du soutien gorge, l'homme lui malaxait les seins et parfois lui pinçait la pointe des tétons, c'était hyper agréable; l'homme lui murmura "mets toi à quatre pattes", elle le fit sans hésiter, il lui rabattit la jupe sur le dos, elle eut le temps de penser "et le préservatif?" elle sentit l'intromission dans son vagin, elle glissa une main jusqu'à son sexe et constata que c'était bien un sexe protégé qui la pénétrait; devant elle un homme allongé sur le dos avait une femme en face-sitting sur le visage; son partenaire du moment la pénétrait avec lenteur, elle aurait désiré plus de vigueur; elle sentit un doigt qui venait lui titiller l'anus, elle pensa à dire "personne n'est passé par là" puis elle se dit "c'est le moment ou jamais!" Le phallus allait et venait dans son vagin, une, puis deux, puis trois phalanges de l'index s'était introduits dans son anus, le doigt coulissait à la même vitesse que le phallus, la pulpe de l'index cherchait un point précis, elle sentait monter le plaisir, elle aurait voulu prendre le sexe de l'homme devant elle dans sa bouche, mais il était trop loin, alors qu'elle aurait cru pouvoir sentir monter le plaisir elle se mit à crier "putain que c'est bon!" et elle eut encore un orgasme dévastateur, l'homme continua à la baiser et à la sodomiser un long moment avant d'éjaculer à son tour, il se retira la laissant pantelante agitée de soubresauts; elle mit un moment à réaliser que devant elle il y avait un homme nu qui suçait une femme installée en face sitting sur sa tête, à quattre pattes elle s'approcha de ce sexe et le prit en bouche, elle entreprit une fellation alors que c'était une pratique qu'elle ne maitrisait guère, avec satisfaction elle senti le membre prendre du volume dans sa bouche, toute occupée à cette fellation elle mit un petit moment pour se rendre compte qu'une tête s'était glissée entre ses cuisses et qu'une langue avait attaqué un cunnilingus sur son clitoris; au bout d'un moment elle réalisa qu'elles étaient deux femmes en face-sitting sur des langues actives; brusquement la femme se mit à jouir, à cet instant la personne qui faisait le cunni à Véro lui introduisit deux doigts dans l'anus; Véro se mit à crier et à cet instant le sexe qu'elle avait en bouche éjacula, elle recrachait ce sperme qu'elle ne voulait pas avaler en se disant "moi aussi je fais jouir les autres", la satisfaction de ce constat l'empêcha de savoir si ce nouvel orgasme qu'elle éprouvait était d'origine clitoridien ou anal (et peut être un peu des deux)Elle chercha les toilettes, se rinça la bouche, elle était incapable de dire combien d'orgasmes elle avait vécu; elle regagna l'accueil où elle tendit son bracelet-vestiaire, la préposée lui dit "vous partez déjà ?", elle eut un petit sourire, récupéra son sac et sa veste... l'air de l'extérieur lui fit reziper sa jupe, fermer son chemisier, elle se serait volontiers endormie dans sa voiture, elle regagna sa maison où elle prit un bain, dans sa baignoire elle murmura une nouvelle fois "putain que c'est bon", avant de se rincer et d'aller se coucher, et au moment de s'endormir elle se dit "elle est pas belle la vie ?"
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