Vers la fin
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vers la fin
Nous sommes vers la fin. Quoi attendre à 90 ans : Nous égrainons nos souvenirs, surtout moi qui était vierge :
Je venais d’avoir 18 ans, quand je l’ai vu pour la première fois. Il avait quelques petits boutons sur le visage. Au bal des conscrits, il m’invitait à danser. Ma mère surveillait ce que nous pouvions faire. Malgré cette présence habituelle pour les filles de mon âge je suis sorti un petit moment avec Luc. Il me plaisait énormément. Je rêvais de faire des sottises avec lui, pas avec d’autre, seulement lui. Je savais parfaitement ce que je voulais : passer un long moment dans ses bras, couchée, me laissant aller vers ce qu’il voulait.
Et puis il est parti de longs mois, là bas en Afrique, pays d'animaux sauvages, pleins de lions et éléphants Bien sur je dansais avec d’autre, je ne rêvais pas avec eux. Il est revenu, me détrompant sur les lions et autre animaux sauvages. La Tunisie est presque comme le France. Il m’assurait qu’il n’avait pas fait comme des copains à chercher l’amour dans des bordels : seule sa main et ma pensée lui servait. Comme pour moi en somme.
J’avais besoin de son sexe dans le mien. Je le voulais lui pas un autre. Quand je l’ai présenté à mes parents, ils avaient l’air satisfait. Nous pouvions sortir souvent à deux, seuls sans chaperon. Un soir assis sur le mur en bas du village, il m’a serré tellement fort que j’ai cru étouffer. J’attendais cet instant depuis toujours. J’ai quand même sursauté de sentir sa main sur ma culotte. Je me suis laissé faire quand il a passé des doigts dessous.
Il caressait doucement, il me faisait du bien, je me laissais faire. J’ai eu l’idée de toucher sa queue. Elle était dure sous le pantalon. Je la lui ai sortie avec difficulté. Je touchais ma première bite. Ce devait être ma seule de ma vie. Elle me semblait trop grosse, trop longue, trop épaisse. C’est pourtant avec elle que j’ai souvent jouit par la suite.
Je me suis donné à lui pour plusieurs raisons : d’abord il me plaisait, j’avais envie de lui et pas d‘un autre, je voulais savoir ce que ça faisait.
Oh m’a fait mal en entrant, bien mal. Je supportais assez bien. Chaque fois qu’il le pouvait il me baisait. Un soir, comme ça, c’est venu, je m’étais décoincée, je jouissais. Je ne dis pas que je jouissais à chaque fois, mais très souvent. Je prenais goût au sexe.
Le soir de la nuit de noce, il a voulu innover. Je lui ai donné mes fesses. Il me léchait l’anus plusieurs fois, me donnant des ravissements inconnus. Il insistait pour me la mettre dans le cul. J’aurais pu refuser. Je sentais le bout de sa queue sur mon petit trou. Je ne sais même pas comment j’ai fait : mon anus s’est ouvert seul : il entrait en moi. J’avais à peine mal. Mais, je sentais un plaisir différent. Quand il me donnait son jus dans le ventre, je jouissais aussi. Nous avons recommencé souvent. Des fois c’est moi qui le lui demandais.
Il allait parfois au bistro pour boire un apéritif avec des copains. Il en revenait des fois avec des idées baroques. Comme une fois celle où il voulait que je me mette un légume dans le con.
Pour lui faire plaisir, un midi quand elle était attablée, j’ouvrais la réserve à légume, je sortais une courgette de la taille de son machin. Je me mettais juste à coté de lui, la robe relevée, la culotte au pied. Je me frottais le berlingot. Je le voyais bander, sans que je le touche. Je me suis baisée avec le légume devant lui : ce fut un des plus violents orgasmes de ma vie. Je sentais bien mes lèvres se serrer contre ce que j’avais dans le vagin. J’aurais admis autre chose par derrière à la fois. Il a du le comprendre quand il m’a doigté le cul. Il sortait sa queue : il se branlait devant moi. Son jet allait bien haut et loin, presque sur moi.
Il ne se doutait pas que j’aimerais ces façons. Je le fais souvent, surtout quand il n’est pas là. Je vais sur la véranda, je m’assois sur le banc, j’ouvre les jambes. Je me caresse un peu pour m’échauffer. Quand je mouille convenablement j’enfile la courgette et même une fois une aubergine. Je me souviens que j’étais défoncée par l’aubergine. J’avais ouvert les jambes en grand Y Je forçais comme une dingue pour me baiser.
Quand elle est entrée j’ai eu un sursaut de plaisir : elle entrait d’un seul coup fond. Tout mon con état plein de ce légume qui me donnait plusieurs orgasmes consécutifs.
Le jour où je me suis branlée devant lui avec l’aubergine, il a voulu m’enculer aussi. Je ne voulais pas, il insistait. Il a gagné. J’avais mal quand il me sodomisai ainsi pour la première fois. Et puis j’ai ressentit un plaisir inconnu, une plaisir immonde. Enfin je jouissais par come d’habitude.
Il comprenait que dorénavant je ne me ferais remplir qu’ainsi. C’est rare quand il me baise normalement. Les derniers temps, il m’enculait avec le légume : mon cul aimait. J’aimais le sucer, il me doigtait le con. Je devenais pourrie. Nous pensons que si nous allions dans une partouze je serais la première à participer aux débats avec plaisir...
Je venais d’avoir 18 ans, quand je l’ai vu pour la première fois. Il avait quelques petits boutons sur le visage. Au bal des conscrits, il m’invitait à danser. Ma mère surveillait ce que nous pouvions faire. Malgré cette présence habituelle pour les filles de mon âge je suis sorti un petit moment avec Luc. Il me plaisait énormément. Je rêvais de faire des sottises avec lui, pas avec d’autre, seulement lui. Je savais parfaitement ce que je voulais : passer un long moment dans ses bras, couchée, me laissant aller vers ce qu’il voulait.
Et puis il est parti de longs mois, là bas en Afrique, pays d'animaux sauvages, pleins de lions et éléphants Bien sur je dansais avec d’autre, je ne rêvais pas avec eux. Il est revenu, me détrompant sur les lions et autre animaux sauvages. La Tunisie est presque comme le France. Il m’assurait qu’il n’avait pas fait comme des copains à chercher l’amour dans des bordels : seule sa main et ma pensée lui servait. Comme pour moi en somme.
J’avais besoin de son sexe dans le mien. Je le voulais lui pas un autre. Quand je l’ai présenté à mes parents, ils avaient l’air satisfait. Nous pouvions sortir souvent à deux, seuls sans chaperon. Un soir assis sur le mur en bas du village, il m’a serré tellement fort que j’ai cru étouffer. J’attendais cet instant depuis toujours. J’ai quand même sursauté de sentir sa main sur ma culotte. Je me suis laissé faire quand il a passé des doigts dessous.
Il caressait doucement, il me faisait du bien, je me laissais faire. J’ai eu l’idée de toucher sa queue. Elle était dure sous le pantalon. Je la lui ai sortie avec difficulté. Je touchais ma première bite. Ce devait être ma seule de ma vie. Elle me semblait trop grosse, trop longue, trop épaisse. C’est pourtant avec elle que j’ai souvent jouit par la suite.
Je me suis donné à lui pour plusieurs raisons : d’abord il me plaisait, j’avais envie de lui et pas d‘un autre, je voulais savoir ce que ça faisait.
Oh m’a fait mal en entrant, bien mal. Je supportais assez bien. Chaque fois qu’il le pouvait il me baisait. Un soir, comme ça, c’est venu, je m’étais décoincée, je jouissais. Je ne dis pas que je jouissais à chaque fois, mais très souvent. Je prenais goût au sexe.
Le soir de la nuit de noce, il a voulu innover. Je lui ai donné mes fesses. Il me léchait l’anus plusieurs fois, me donnant des ravissements inconnus. Il insistait pour me la mettre dans le cul. J’aurais pu refuser. Je sentais le bout de sa queue sur mon petit trou. Je ne sais même pas comment j’ai fait : mon anus s’est ouvert seul : il entrait en moi. J’avais à peine mal. Mais, je sentais un plaisir différent. Quand il me donnait son jus dans le ventre, je jouissais aussi. Nous avons recommencé souvent. Des fois c’est moi qui le lui demandais.
Il allait parfois au bistro pour boire un apéritif avec des copains. Il en revenait des fois avec des idées baroques. Comme une fois celle où il voulait que je me mette un légume dans le con.
Pour lui faire plaisir, un midi quand elle était attablée, j’ouvrais la réserve à légume, je sortais une courgette de la taille de son machin. Je me mettais juste à coté de lui, la robe relevée, la culotte au pied. Je me frottais le berlingot. Je le voyais bander, sans que je le touche. Je me suis baisée avec le légume devant lui : ce fut un des plus violents orgasmes de ma vie. Je sentais bien mes lèvres se serrer contre ce que j’avais dans le vagin. J’aurais admis autre chose par derrière à la fois. Il a du le comprendre quand il m’a doigté le cul. Il sortait sa queue : il se branlait devant moi. Son jet allait bien haut et loin, presque sur moi.
Il ne se doutait pas que j’aimerais ces façons. Je le fais souvent, surtout quand il n’est pas là. Je vais sur la véranda, je m’assois sur le banc, j’ouvre les jambes. Je me caresse un peu pour m’échauffer. Quand je mouille convenablement j’enfile la courgette et même une fois une aubergine. Je me souviens que j’étais défoncée par l’aubergine. J’avais ouvert les jambes en grand Y Je forçais comme une dingue pour me baiser.
Quand elle est entrée j’ai eu un sursaut de plaisir : elle entrait d’un seul coup fond. Tout mon con état plein de ce légume qui me donnait plusieurs orgasmes consécutifs.
Le jour où je me suis branlée devant lui avec l’aubergine, il a voulu m’enculer aussi. Je ne voulais pas, il insistait. Il a gagné. J’avais mal quand il me sodomisai ainsi pour la première fois. Et puis j’ai ressentit un plaisir inconnu, une plaisir immonde. Enfin je jouissais par come d’habitude.
Il comprenait que dorénavant je ne me ferais remplir qu’ainsi. C’est rare quand il me baise normalement. Les derniers temps, il m’enculait avec le légume : mon cul aimait. J’aimais le sucer, il me doigtait le con. Je devenais pourrie. Nous pensons que si nous allions dans une partouze je serais la première à participer aux débats avec plaisir...
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Les avis des lecteurs
histoire vécue simplement, premiers pas indiquant le chemin vers la salopperie idéale. L