Vestiaires - histoire érotique

Après un entraînement de boxe intense, je retourne me changer au vestiaire. Un autre mec, que je vois pour la première fois à l'entraînement, prend sa serviette et se dirige vers les douches. C'est un jeune, plutôt baraqué.
Sous la douche, je vois qu'il me mate avec insistance. Je devine son regard posé sur moi quand je lui tourne le dos. Et quand je me retourne, il détourné à peine le regard, et esquisse un sourire en coin. La situation est gênante.
Soudain, il me lance : "Marina avait raison, tu as un beau cul de salope !"
Je suis complètement décontenancé. Comment ose-t-il me parler comme cela ? Comment connait-il le prénom de ma femme ? Si je sais qu'elle adore mon petit cul, comment aurait-elle pu lui parler de cette chose si intime ?

Je sens la colère monter. Ça semble amuser le mec, qui enchaine :
"Reste calme ou les vidéos que m'a passé ta femme vont finir sur internet. Tu auras du succès habillé en pute !". Les bras m'en tombent. Comment ma femme a-t-elle pu montrer nos vidéos intimes ? Je sais bien ce qu'elles montrent. Je suis habillée en femme, en jupe, string, bas, parfois collier. On y voit ma femme me parler comme à une traînée, et pire encore, on me voit me branler, pendant qu'elle introduit un gode ou une carotte dans mes fesses.
La colère laisse place à la honte. J'arrive quand même à lui demander comment il connaît ma femme, en bredouillant.
Il me répond : "Cette cochonne ? Je l'ai rencontrée à la répétition de batucada. Qu'est ce qu'elle a faim ! Je lui ai fait quelques flatteries, je lui ai peloté les seins aux toilettes, et elle s'est jetée sur ma queue pour la sucer. Elle était bien obéissante. Quand je lui ai demandé si son mec la baisait suffisamment bien, elle m'a dit que c'était elle qui le baisait ! Alors je lui ai demandé de préciser, et elle m'a tout raconté dans les détails. Je lui ai ordonné de me montrer des photos et des vidéos et elle a obéi. Maintenant je les ai sur mon téléphone et je peux les envoyer à toutes vos connaissances dans la minute. Et oui, j'ai récupéré vos contacts également !


Décidément, c'est l'ascenseur émotionnel. Après la colère et la honte, je ressens maintenant un doute mêlé d'anxiété. Ma femme l'a-t-elle réellement sucé ? Elle est plutôt réservée, mais j'ai déjà vu dans ses yeux qu'elle était prête à tout dans certains états d'excitation. N'a-t-il pas piraté ces vidéos et invente-t-il toute cette histoire pour m’arnaquer ?
De toutes façons, je suis coincé. Même si je récupère son téléphone et que je le tabasse, il pourra diffuser les contenus pornographiques sur internet s'il les a sauvegardés ailleurs. Voyant qu'il a pris le dessus, le mec continue de me mater, cette fois avec un air vicelard. Il me dit : "ta femme m'a même proposé de me prêter "sa salope", comme elle dit. Tu vas devoir m'obéir si tu ne veux pas la décevoir. Elle n'est pas loin. Elle peut te voir d'où elle est".
Il m'ôte tous doutes en me sortant de sa serviette une petite culotte de ma femme que je connais bien, pour l'avoir portée moi-même... "enfile-la puisque tu aimes ça" ordonne-t-il.
Ses intentions deviennent plus claires : ça n'est pas une arnaque. Vu la façon dont il me mate depuis un moment, j'ai l'impression qu'il veut profiter de la situation sexuellement.
Je ne peux m'empêcher de penser à ma femme, qui m’a trompé en suçant ce mec. Je lui demande : "Elle nous regarde, en ce moment ?". Pour toute réponse, il me lance la culotte au visage. Cette culotte et l'idée que ma femme me prête, comme un objet, à son amant qui semble avoir un gros ascendant psychologique sur elle, commencent à m'exciter... Comme je suis soumis à ma femme, c'est un peu un Maître qui me dit de mettre cette culotte. Et l'idée qu'elle puisse me voir dans cette situation humiliante me plaît. Je commence à bander, mais j'essaie de cacher mon début d’érection à ce mec.

Encore mouillé par ma douche, je passe une première jambe, puis la seconde dans la culotte en regardant vers l'entrée des douches si quelqu'un peut me voir. Mais tous les camarades d'entraînement sont déjà partis, sans se doucher comme d'habitude. J'espère croiser le regard de ma femme qui aurait pu s'introduire dans le vestiaire désert, mais je ne la vois pas. Quand je finis d'ajuster la culotte sur mes fesses, je me rends compte que je bande à moitié, ce qui déforme complètement la culotte. La voix du mec me tombe dessus : "elle m'avait dit que ça te ferait bander de t'habiller ainsi. Elle te connaît bien. Vous faites un beau couple de salopes toutes les deux". Ses mots m'électrisent. Je sens ma queue gonfler encore et sortir de la culotte tant je bande.
"Maintenant, viens me sucer. On va voir si tu tailles des pipes aussi bien que ta femme".


Je ne suis plus dans mon état normal, je ne pense plus qu'à ce sexe encore à moitié mou, que le mec me présente. Je m'agenouille à même le carrelage de la douche. Il me fourre sa queue dans la bouche avant que je ne puisse réfléchir à ce qu'il se passe. Heureusement, sa queue est propre. Je la sens, petite et un peu molle, prendre du volume et se durcir. Je me surprends à être flatté de le faire bander aussi vite. Il m'encourage par des mots crus : « Tu as une bouche de velours ma cochonne. Aspire bien mon grand, oui comme ça. C'est ta Maîtresse qui doit être fière de toi".
Tout appliqué à lui sucer la queue, j'avais presque oublié que m'a femme était peut-être présente, juste à côté où devant un écran, à m'observer sucer une bite. J'ai une montée d'excitation et redouble d'ardeur, avalant presque sa queue entièrement. Maintenant qu'il bande à fond, je me rends compte qu'il a une queue, assez fine, et assez longue. J'imagine que Marina a dû apprécier, elle qui fantasme sur des bites de petits jeunes. Le traitement que je lui prodigue semble faire son effet : le mec gémit et m'agrippe les cheveux pour enfoncer sa bite au fond de ma gorge à plusieurs reprises, comme s'il baisait une chatte.

Je me demande s'il va jouir au fond de ma bouche, mais il se retire et m'envoie trois giclées sur le visage, avant de s'enfoncer à nouveau dans ma bouche restée ouverte. Son sperme épais me remplit la bouche. Il décharge une quantité impressionnante, qui finit par ressortir du coin de mes lèvres.

J'avais déjà léché mon sperme sous les ordres de Marina, après avoir jouis, mais avec un certain dégoût, surtout pour qu'elle soit fière de moi. Mais là je suis encore au comble de l'excitation, la queue gonflée à bloc, dépassant de ma petite culotte, et j'avale de grosses gorgées, sans retenue. Je vais jusqu'à rattraper avec la langue ce qui coulait sur mon menton.

Le mec, satisfait, va chercher son téléphone caché dans ses vêtements à l'entrée des douches. Il se met à parler comme si quelqu'un avait assisté à la scène : "Quelle traînée ! Tu avais raison. Encore plus cochonne que toi !". Il revient avec son téléphone qu'il oriente dans ma direction. Je vois Marina, les seins à l'air et je comprends à ses yeux goguenards qu'elle a tout vu, et qu'elle en profitait probablement pour se caresser. La honte me reprend, surtout quand elle me dit devant ce mec : "Alors, elle t'a plu, sa queue ? J'ai adoré le sucer, moi aussi. Tu l'as bien nettoyé. Rentre à la maison maintenant, ma lopette."
Le mec tourne les talons, enfile son pantalon, un tee-shirt, met ses chaussures et s'en va. Je reste à genoux, souillé par le sperme. J'entends un SMS sur mon téléphone. Je découvre le message de Marina : "Rentre immédiatement, sans te laver. J'ai envie de voir ta petite gueule de pute couverte de sperme."