Vice-Versa - histoire érotique

Vice-Versa
Elle

- Je disais donc Mme Legendre que votre fils doit vraiment faire des efforts. Il a des
capacités, mais il ne travaille pas beaucoup à la maison.

J’écoute le prof de français de mon fils d’une oreille plus que distraite. En cette
fin d’automne, il fait encore doux à Paris. Si j’aie mis une robe légèrement
transparente sans soutien-gorge ni culotte, ce petit prof laisse entrevoir une
poitrine glabre et musclée au travers de sa chemise cintrée et savamment déboutonnée.
Je me demande ce qu’il met comme sous-vêtement. S’il en met, me dis-je en souriant !

- Je ne crois pas qu’il y ait de quoi sourire Mme Legendre.
- Excusez-moi M. Simon, j’avoue que je ne vous écoutais pas, mais voulais vous
demander si vous portiez des sous-vêtements sous votre jean.
- Pardon ?
- Je pense que vous avez bien entendu.
- J’ai effectivement bien entendu, mais en quoi cela concerne-t-il la scolarité de
votre fils ?
- En rien ! Vous avez raison. Mais cela me concerne directement car j’ai une folle
envie de vous.

Je ne lui laisse pas le temps de me répondre. Je me lève et plaque mes lèvres contre
les siennes, insinuant ma langue dans sa bouche. Surpris, mais pas farouche, il répond
à mon baiser en entrouvrant ses lèvres et en faisant tourner sa langue autour de la
mienne.

- Je ne porte jamais de sous-vêtements, susurra-t-il en se levant pour aller donner un
tour de clé à la porte.

En revenant il fait glisser la braguette de son jean pour sortir son engin.

- Vous voyez, rien pour retenir vos envies...

Je ne lui laisse une fois de plus pas le temps de finir sa phrase et plaque mes lèvres
contre les siennes, tout en prenant sa queue de ma main droite. Je joue avec, tout en
faisant tourner ma langue contre la sienne et en mélangeant nos salives. Ce petit
salaud sait embrasser, ça me change de mon mollasson de mari. Tout en continuant à
l’embrasser comme on embrasse à l’adolescence, avec fougue, je sens sa bite durcir
doucement sous mes ongles parfaitement manucurés.

Il faut dire que je me suis préparée à la rencontre. Chatte épilée, robe transparente,
mules à talon, ongles faits, pieds et mains, et un scrub corps complet. Je suis une
cougar en chasse et je connais ma proie. Je ne m’attendais cependant pas à ce qu’elle
succombe aussi vite. Il va falloir qu’elle assure sérieusement. Mais ça commence bien.

- Je m’en vais sucer ta jolie queue, elle me fait bien envie. Dis-je en descendant
vers ce vit qui se dressait fièrement.

Je donne des petits coups de langue sur le gland décalotté. Il a une queue épaisse
comme je les aime. Pas forcément très longue, mais massive, qui remplit bien ! Il
s’appuie maintenant d’une main sur le bureau pendant que sa main libre, il défait
ceinture et pantalon. Ma bouche enserre alors sa queue et je l’avale millimètre par
millimètre. Elle se dresse complètement maintenant et je n’ai aucun mal à la prendre
en entier. Elle vient se cogner contre ma gorge, ce qui me provoque un haut le cœur et
me fait saliver plus que de normal.

Je me mets alors à la sucer en alternant succion et va-et-vient. Je prends du plaisir
à sucer cette belle queue qui ne s’attendait pas à être traitée de la sorte en pleine
réunion parent-prof. Je passe une main sous ma robe. Ma chatte dégouline.

- À toi de me sucer, lui dis-je en me relevant et en m’asseyant sur le bord du bureau.

J’enlève ma robe et dévoile devant ses yeux qui semblent ébahis mon corps nu.

- Tu es très belle et je fais faire honneur à cette petite chatte qui me semble bien
appétissante.

Se débarrassant de son pantalon, mais gardant sa chemise dont il défait tous les
boutons, il s’agenouille et commence à me lécher les contours de la vulve. Il n’est
pas vieux, mais il sait déjà y faire. Sa langue fait le tour du mont de vénus,
s’attarde une ou deux secondes sur mon clitoris, puis descend gouter à la cyprine qui
coule de ma chatte. Il a fermé les yeux et semble se délecter de ce nectar que je lui
offre.

Je sens sa langue et ses lèvres sur mon sexe, puis sa langue se frayer un passage à
l’intérieur de ma chatte. C’est bon. D’une de ses mains libres, il caresse mes fesses
et m’invite à basculer mon bassin. Il va me butiner mon trou mignon que j’ai si
sensible. Il retire brièvement sa langue de ma chatte et descend vers mon cul. Mon
anus frétille et se détend sous cette langue qui l’humidifie tendrement. Il y rentre
le bout de sa langue et m’arrache un râle de bonheur. Un frisson parcourt mon corps.
Il va comprendre que je suis une sodomaniaque.

- Et si je prenais ton cul au lieu de prendre ta chatte ? Il me semble appeler une
queue, non ?
- Prends-moi l’orifice que tu veux, mais prends le tout de suite, je suis en mal de
pénétration.

Se relevant, il prend sa queue entre ses doigts et dirige son gland vers mon petit
trou. Je me cambre plus pour lui présenter mon cul. Je sens sa bite à l’entrée de la
grotte. Je pousse doucement pour l’aspirer. Je mouille tellement, que ma chatte inonde
mon orifice anal. Je le sens rentrer doucement en moi. C’est divin. Je ne me lasserai
jamais de cette sensation d’envahissement.

- Oh, oui, plus profond, enfonce-toi en moi !

Il me bourre le cul de toute la longueur de son chibre massif. Mon anus est
complètement détendu et lubrifiée par ma cyprine. D’une main, je frotte mon clitoris
et de l’autre rentre deux doigts dans la chatte. Je sens sa queue me labourer de
l’autre côté de la paroi vaginal. Je suis à deux doigts d’exploser. Je me mors les
lèvres pour ne pas crier et pourtant, dieu sait si je voudrais pouvoir crier. Je vais
éjaculer, il risque d’être surpris s’il n’a jamais eu à faire à une femme fontaine.

J’enlève mes deux mains et au même moment des flots de foutre lui éclaboussent le
ventre. Je le sens se contracter et le sperme m’envahir le cul. Il éjacule une fois,
puis deux, trois, quatre fois, cela ne semble pas vouloir s’arrêter. Cinq fois, six
foix ! Et ça continue.

- Oh, oui, remplie-moi de ta jute.

Sept fois, huis fois. La source est tarie. Il se retire. Mon cul est béant. J’y mets
deux doigts et récolte ce jus de mâle, pour m’en délecter. Je le sens couler le long
de ma raie et mes deux mains sont occupées à la récupérer, pour me lécher les doigts.

- Et bien pour un prof de français, vous vous débrouillez très bien. J’en parlerai à
mon fils. Pas de vos prouesses, mais du problème de ces notes. On se revoie dans un
mois pour en rediscuter ?

Je lui envoie un baiser tout en me dirigeant vers la porte. Il me regarde et rattrape
son pantalon tombé à ses pieds au moment où je déverrouille la porte. La franchissant,
je vois Mireille, la mère d’un des copains de mon fils, assise sur le banc, attendant
son tour.

- Je te laisse la place. Fais attention, il n’est pas facile, lui dis-je en lui
envoyant un clin d’œil.

Et je m’éloigne, sentant encore la queue de mon fougueux amant dans mes entrailles.


Lui

- Je disais donc Mme Legendre que votre fils doit vraiment faire des efforts. Il a des
capacités, mais il ne travaille pas beaucoup à la maison.

Elle ne m’écoutait visiblement pas. Je ne sais pas à quoi elle pense, mais en tout
cas, elle a le regard vissé sur mon torse. Il est vrai que trois boutons défait, c’est
peut-être un peu trop. Mais bon, avec sa robe qui laisse tout voir et surtout qu’elle
n’a pas de soutif, je n’ai rien à regretter. Je ne sais pas qu’elle âge elle peut
avoir. Quarante, quarante-deux peut-être. Un fils de quinze ans, elle a pu l’avoir à
vingt-cinq vingt-sept ans. Ouais, plausible. En tout cas, elle est bien gaulée. De là
à ce que soit une cougar, je vais passer un bon moment !

- Je ne crois pas qu’il y ait de quoi sourire Mme Legendre.
- Excusez-moi M. Simon, j’avoue que je ne vous écoutais pas, mais voulais vous
demander si vous portiez des sous-vêtements sous votre jean.
- Pardon ?
- Je pense que vous avez bien entendu.
- J’ai effectivement bien entendu, mais en quoi cela concerne-t-il la scolarité de
votre fils ?
- En rien ! Vous avez raison. Mais cela me concerne directement car j’ai une folle
envie de vous.

Oh la salope ! Je m’y attendais un peu mais pas aussi rapidement là. Mais qu’est-ce
qu’elle fait ? Non ! Elle va m’embrasser. Ne faisons pas le farouche. Des trucs comme
ça, ça n’arrive pas tous les jours et puis elle a l’air bonnasse. En plus, si je ne
rêve pas, elle n’a pas non plus de culotte. Elle a des lèvres sucrées, ça doit être
son rouge à lèvre. Allez vient ma belle, échangeons nos salives. Et puis comme tu n’a
pas de culotte et bien je vais t’avouer que moi non plus.

- Je ne porte jamais de sous-vêtements.

Il faut que j’aille fermer la porte. Dès fois que ma prochaine mère vérifie si je suis
là, elle risque d’être surprise. Tiens et puis accélérons les ébats, je vais sortir ma
queue.

- Vous voyez, rien pour retenir vos envies.

Je ne suis pas certain que j’ai vraiment l’ascendant, là. Mais plus de doute, c’est
une cougar ! Je vais me régaler. Appuyons ce baiser et soyons fou. Joue avec ma queue
ma belle, elle n’est que pour toi cette après-midi. Avant que je suce ta chatte et te
prenne comme je suis certain que tu en as envie.

- Je m’en vais sucer ta jolie queue, elle me fait bien envie.

Mais fait, fait. Je reste silencieux et la regarde qui descend ses lèvres et sa langue
vers ma queue dressée pour la circonstance. Ces petits coups de langue sont divins.
Oh, mais comment elle fait ça pour avancer aussi doucement. C’est tout simplement
fabuleux ! Quel pied. Je vais me dessaper pour pouvoir la baiser.

Hmm, je suis au fond de sa gorge là. Elle déglutit, c’est une vraie folle de bite pour
faire ça. Elle suce vraiment bien. Oh oui, vas-y, suce, suce ma belle ! Tu dois
commencer à mouiller ta petite chatte de cougar.

- À toi de me sucer, me dit-elle en se relevant et en s’asseyant sur le bord du
bureau.

Elle enlève sa robe et dévoile devant mes yeux ébahis son corps nu de quarantenaire.
Elle doit faire de la gym pour avoir un corps comme celui-là. Et sa chatte. Épilée !

- Tu es très belle et je fais faire honneur à cette petite chatte qui me semble bien
appétissante.

Je me déboutonne en vitesse et je m’en vais lui brouter le minou. Quelle chatte, elle
a ! Hmmm, elle sent bon en plus, une vraie bonne chienne. Regardez-moi ce clito, tout
dressé. Tiens, un petit coup de langue. Allons boire à cette fontaine de cette mouille
dégoulinante. Divin. Que c’est bon, une bonne chatte trempée comme ça. « Un joli con
qui fendait une belle motte rebondie » comme l’a écrit Apollinaire. Elle va
s’humidifier la pastille aussi.

Allons préparer l’arrière-train. Elle va être prête pour être enculée. Tiens, voilà,
elle bascule son bassin. Regarde-moi ce trou accueillant. Allons lui faire une feuille
de rose. Oh ! Elle se détend quand je lui lèche le cul. Elle aime ça en plus. Il n’y a
plus à hésiter.

- Et si je prenais ton cul au lieu de prendre ta chatte ? Il me semble appeler une
queue, non ?
- Prends-moi l’orifice que tu veux, mais prends le tout de suite, je suis en mal de
pénétration.

Et bien voilà, c’est dit ! Allez bonne queue, paye-toi ce cul dégoulinant de la
cyprine de sa maitresse. En plus elle m’aspire. Ce n’est que du bonheur ce cul !

- Oh, oui, plus profond, enfonce-toi en moi !

Ah, ahhhh ! Que je suis bien dans ce cul. Et elle se branle en plus. Allez bourreau,
fais ton office. Laboure-lui l’orifice de grande façon. Fais-la jouir du cul, comme
elle va te faire jouir du vit ! Mais c’est qu’elle se travaille le con. Elle ne va pas
éjaculer quand même ! Une femme fontaine, ça doit être une femme fontaine ! C’est mon
jour !

Ouah ! Quel jet, je suis trempé ! Ahhhhh ! Je jouis, encore, encore, encore, encore…
c’est dément, ça ne s’arrête pas !

- Oh, oui, remplie-moi de ta jute.

Tiens prends ça et encore ça. Quel bonheur d’éjaculer dans une femme comme ça ! Quel
pied ! Non, elle ne va quand même pas. Et si, elle se lèche les doigts du sperme que
je lui ai envoyé dans le cul. Une véritable folle du cul !

- Et bien pour un prof de français, vous vous débrouillez très bien. J’en parlerai à
mon fils. Pas de vos prouesses, mais du problème de ces notes. On se revoie dans un
mois pour en rediscuter ?

En plus, elle en reveut. Et bien moi aussi. Je vais lui faire des cours particuliers à
son fils… Quelle femme. Je ne sais pas si la prochaine sera pareille. Il faut que je
me rhabille moi, vite !

- Je te laisse la place. Fais attention, il n’est pas facile, lui dis-je en lui
envoyant un clin d’œil.
- Bonjour Mme Roux, annoncé-je alors que la mère suivante entre et que je reboutonne
le dernier bouton de ma chemise.