Vif plaisir - histoire érotique

J'ai pris un vif plaisir a lire ton message, cela a ete comme un chanson

a mes oreilles.

C'est l'odeur de ton sexe qui m'a reveillé.

Tu gemissais en essayant de ne pas me reveiller, car tu voulais me cacher

que toutes les nuits tu écartais les cuisses pour caresser ton sexe que toi

seule voyait dans le pénombre.

Peine perdue, je t'ai surpris en flagrant délit.

Tu étais la tellement belle dans ta jouissance, tes haletements ont reveillé

ma tige qui dormait quelques secondes plus tôt.

Je sais que tu as envie qu'elle te rende hommage.

Tu as regardé ma queue, fascinée. Elle est volumineuse, longue et bien ferme.

Ta main s'est porté sur elle, sans un mot, tu as commencé à la branler en te

tenant toujours les cuisses ecartées.

De ta main restée libre, tu en as profité pour glisser un doigt dans la brèche

de ton sexe. Ensuite tu me l'as tendu comme un bâton d'orge bien huilé.

Je l'aspire, je le suce, je le leche, je le savoure, il est plein de toi,

de ta liqueur et de ta salive.

Tu as le souffle court, tes yeux sont dilatés.

Tu deplis les jambes et te poses par terre, une main qui te cale derrière.

Tu écartes les jambes au maximum pour mieux me faire voir ton doigt qui

va et vient dans ta grotte innondée de desir.

Je vois ton doigt plonger dans ta chatte.

Tu me demandes de m'allonger sur le dos. Tu te relèves un peu et

soulèves les fesses pour approcher ta fente mouille et dilatée de mon visage.

Tu me dis :regarde moi , sens mon excitation, bois moi toute entière .

J'avance ma bouche vers ta chatte et en même temps prends ma queue

dans la main , je me caresse.

Dis moi qu'elle est grosse, dis moi que tu as envie de la prendre

dans ta bouche. Elle est gonflee et grosse, tes yeux sont

grand ouverts de convoitise.

Tu as envie que je te la donne.Tu as envie de la sucer.

Tu tournes le plat de la langue autour d'elle, elle fremit de

ta caresse, tu l'aspires alors très fort car tu sais le desir que tu engendres.

Tu lapes quelques gouttes qui perlent au sommet de mon glaive.

Tu te rappelles que tu m'as dis un jour, elle est dressée,

fiere comme un glaive qui part à la bataille.

Tu arrondis les levres autour de mon gland et tu en tetes la couronne.

Tu me pompes et je m'enfonce dans ta bouche, dans cette bouche

si douce , si chaude, si accueillante.

Ma main s'est posée sur ta tete pour maintenir tes aspirations,

tu attires toute la longueur de ma hampe dans le goulet de ta gorge.

Tu l'enserres entre les joues, tu l'astiques.Tu palpes en même

temps mes couilles. Tu n'as plus peur de ces mots crus , oses,

car nous sommes en communion.

Tu fais rouler mes couilles tout doucement dans tes mains, tu

sens les sursauts de ma queue dans ta bouche et bientôt les

giclées de foutre dans ta gorge.

Tu me tetes doucement, tu t'essuies la bouche du revers de la main.

Je ne suis pas egoiste et je veux te rendre ton plaisir.

Je me lève et te retourne. Ton cul est magnifique et ma vue se

trouble devant cette création parfaite. Tes globes sont superbes et remontés.

Je sens ma vigueur revenir devant ce ci charmant spectacle.

Je suis de la main la naissance de tes cuisses, ta chambre noire

entre les jambes.

Je suis le contour de tes fesses de ma langue. Tu te cambres un

peu plus, impudique, offerte.

Tu écartes davantage les cuisses.

Je prends ta motte entre les lèvres, elle a un goût poivré,

tu as du toi aussi jouir, elle est innondée et je bois à cette mare.

Je ne me rassasie pas , j'emprisonne ton clitoris entre mes

lèvres, je le suce, il bande, je l'agace, je l'aspire, tu gemis.

Tu t'arc-boutes mais je ne veux pas que tu jouisses aussi vite.

Je veux voir ton visage crispé par la jouissance. Tu me dis

que toi non plus, tu ne veux jouir sans voir ma queue tendue.

Tu te montres insolente en me disant de te montrer que je

bande pour toi.

J'emerge de ta chatte et en remontant je passe la langue

sur tes fesses.

Je prends ma verge dans les mains et tu me regardes me

branler, tu te caresses plus vite.

Tu pantes tes yeux dans les miens. J'agrippe tes hanches,

ta croupe est tendue, je rentre en toi.

Je m'enfonce dans ton abime et je te fouille avec fureur.

J'ai une furieuse envie de te prendre brutalement.

Je sens les muscles de ta chatte comprimer ma queue.

Tu sens mon sexe tendu qui se deploie dans ton antre.

Tu passes les doigts sur ton clito, tu te caresses en même

temps que je te penetre.

Tu cries que c'est bon qu'elle est grosse , qu'elle te remplit.

Tu est toute excitée, trempée, tu t'empales sur mon dard en

faisant cogner tes fesses contre mon bas ventre.

Tu m'aspires dans ton sexe deformé par le plaisir

Tu me caresse les couilles en passant une main entre les fesses.

Tu es là en levrette, tous tes charmes exposés à ma vue.

Quel superbe fourreau tu as.

Je sens que je ne vais pas me retenir longtemps et bientôt

j'ejacule dans ton petit nid de longs jets brulants.

Tu pousses toi aussi une plainte, tu gemis quand je sens ta

mouille m'entourer.

Je reste encore dans ton ventre pour savourer ton elasticité,

je baigne dans nos jus.

Je te relève enfin et t'embrasse passionnement sur la bouche pour

y meler à nouveau nos deux jus.

Nous passons à la salle de bains et là sous les jets d'eau chaude,

je te savonne tout le corps.

J'insiste sur les fesses.

Je remonte la main sur tes seins, encore gonflés de plaisir.

Je passe une main entre les fesses pour atteindre ton sexe.

Ta main ne reste pas inactive, tu me branles comme si tu voulais

me l'arracher.

Je te tapote le cul, je veux qu'il soit cuisant et petit à petit

il devient tout rouge.

Tu as l'air d'avoir été punie et fessée.

Je te délaisse quelques instants pour prendre l'appareil photo.Tu

cambres ta croupe, remonte haut tes fesses pendant que je numerise ces instants.

Tu sais te faire salope.

Tu plaques tes mains sur le mur et commence à remuer le cul. Il est

fantastique.Tu tournes ta tête vers l'objectif et passes ta langue

sur les lèvres. Ton corps est tout ruisselant.

Tu prends lascivement tes fesses avec tes 2 mains et tu les écartes

pour me montrer ton petit trou que j'avais oublié.

J'ai continue à te photographier , à t'immortaliser comme une

chienne en rut.

Tu es tellement belle ainsi, provocante, allumeuse .

Ton index a suivi le sillon de tes fesses pour s'arreter sur ton œillet.

Tu es redescendu plus bas pour recueillir un peu de cyprine,

tu en as enduis ton anus.

Tu me dis : " tu le veux , mon petit trou ?, regarde comme il

aspire mon doigt. Ta queue aimerait être à sa place dans mon petit cul béant ? "

Tu fais aller et venir ton doigt en poussant de petits gemissements .

J'ai posé l'appareil pour te rejoindre.

Tu veux que je te lèche la raie, que je te fasse une feuille

de rose.

Tu écartes tes fesses à deux mains pour me montrer à quel point

tu es serieuse et que tu as envie que ma langue s'occupe de ton anus plissé.

Mon visage est descendu vers ta croupe, vision sublime.

J'ai passé la langue autour de ton œillet. Tu as frissonné et

murmure " encule moi avec ta langue "

J'ai donné de petits coups pour t'ouvrir et la point de ma

langue a commencé à entrer dans ton anus.

Ton corps a été parcouru d'un spasme et tu as redemandé " met

la moi dans le cul ".

Je ne me suis pas fait prié, j'ai appuyé la base de mon gland et

j'ai poussé doucement pour me frayer un chemin.

Tu etais trempée a cet endroit et tu n'as eu aucun mal a m'avaler

tout entier. Ton splendide cul me comprimait délicieusement. Je

suis resté un moment immobile pour savourer ce spectacle. Ma queue

tout entière dans ton petit reduit.

J'ai commencé à remuer doucement, ton sphincter se dilatait sous

les poussées.

Tu n'en pouvais plus de te contenir, tu t'es laissée emporter :

" ramone moi, écarte moi ".

Et je t'ai ramoné, mes couilles cognaient contre tes fesses à

chaque coup de boutoir.

Pour combler ta jouissance tu as enfilé 2 doigts dans ta chatte

béante .

Tu te prenais en sandwich, je sentais tes doigts aller et venir

contre ta paroi.

J'etais au bord de l'explosion, je me suis retiré à temps pour

t'asperger les fesses de mon foutre épais.

Je t'ai ensuite badigeonnée les fesses et le petit trou dilaté.

Tu etais aux anges et moi vide.

Il etait temps d'aller se remettre au lit car demain je voulais

être frais et dispo pour te montrer d'autres facons de jouir.

Mais nous sommes deja demain………………………….