Virginie
Récit érotique écrit par TITI ET GROS MINET [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Virginie
Virginie
Je suis arrivé vers quatorze heures, elles en étaient au dessert, après m’avoir fait entrer, Marie Christine m’a présenté Virginie et je me suis installé pour partager un bout de gâteau et le café. Tout en mangeant nous avons discuté de choses et d’autre. Je me suis rendu compte que Virginie était un peu pompette. Les bébés se sont mis à pleurer, ils avaient faim, l’heure de la tété. Marie Christine a ouvertement devant moi donné sa tété aux sien d’abord a gauche puis a droite et encore a gauche. Ça les a calmés un peu, le temps de préparer des biberons. Pendant qu’ils buvaient j’ai demandé à Virginie
- vous aussi vous lui donnez la tété.
- Oui, bien sur, ça me soulage, si je ne lui donnais pas, ma poitrine serait trop douloureuse.
- Tu en as qu’un toi ?
- Oui, un seul et c’est un accident.
- Il y en a qui ont de la chance, le tien, il a deux mamelles pour lui tout seul alors que ceux de Marie Christine doivent se les partager.
- Oui, peut être mais elle, elle a du plaisir plus longtemps.
- Du plaisir ?
- Oui, c’est très agréable d’allaiter, je pense que c’est le plus grand plaisir que j’ai pu avoir.
- Tu me parlais d’accident, tout a l’heure, tu ne le désirais pas ?
- Oh non, c’est à cause de lui que je suis marié.
- Tu n’aime pas ton mari ?
- C’est pas que je ne l’aime pas, c’est le seul homme que j’ai connu, il est gentil et prévenant.
- Tu t’es marié avec lui parce qu’il était gentil ?
- Non parce-que j’étais enceinte de lui.
- Et tu n’a rien pu faire d’autre ?
- Oh non, ce n’est pas dans les habitudes de ma famille.
- Comment ça s’est passé ?
- Je le connaissais depuis longtemps, il était dans mon école, on est sorti ensemble pendant trois ans sans coucher bien sur puis l’or d’une fête, j’ai cédé, et il m’a fait l’amour dans la voiture sur la banquette arrière, j’ai eut très mal mai lui m’a semblé ravi. Après ce jour, de temps en temps, il s’arrangeait pour qu’on se retrouve seul et il recommençait. Je n’avais plus très mal comme la première foi mais ce n’étais pas agréable. Je le faisais par-ce-que ça lui faisait très plaisir. Pendant deux ans, nous avons continué comme ça puis un jour, sa capote a craquée et je me suis retrouvé enceinte, rapidement, on nous a marié et voila, maintenant, j’ai mon bébé et c’est tout.
- A ce que tu me dis, tu n’a jamais eut de plaisir en faisant l’amour ?
- Non, le seul plaisir que j’ai c’est quand bébé tète ma poitrine.
- C’est vraiment tout, bien ça alors, j’aurais jamais cru que ça existais.
- Pourquoi ? tu crois qu’une femme peut avoir du plaisir avec un homme ?
- Bien sur, c’est la base même de l’amour. C’est a cause de ça que les hommes et les femmes font des enfants, ce n’est pas par accident comme toi. Demande a Marie Christine si elle n’a pas eut de plaisir.
- Oui, je sais, elle me l’a déjà dit, c’est a cause de ce plaisir qu’elle a ses triplets.
- Tu veux essayer ?
- Avec toi ?
- Pourquoi pas, j’ai une certaine réputation dans ce domaine.
- Tu es sur que je ne risque rien ?
- Tu ne risque absolument rien si ce n’est découvrir le monde du plaisir.
Tout en lui parlant, je me suis approché d’elle et j’ai commencé a la caresser doucement. Marie Christine était entrain de donner le biberon, j’ai demandé a téter. Elle a ouvert le devant de son bonnet de soutien gorge et m’a laissé faire. J’ai léché, j’ai senti le teuton durcir et je me suis mis à pomper tout en dégrafant l’autre coté. Au bout d’un petit moment, elle m’a demandé d’arrêter en me disant qu’il fallait en laisser pour son petit. Je l’ai embrassé et mes mains se sont mise a lui parcourir tout le corps. J’ai dégrafé sa robe et elle s’est retrouvée presque nue devant moi. Marie Christine nous a arrêté et nous a demandé de monter dans la chambre a cause des voisins qui risquaient de nous voir au travers des baies vitrées. Dans la chambre, je me suis mis a lui caresser le sexe et je l’ai faite crier de plaisir.
- tu voies bien, on peu avoir du plaisir sans faire l’amour par contre de le faire ça multiplie ce plaisir par dix ou même cent.
- Je n’avais jamais ressenti ça avec mon mari.
- C’est qu’il ne sait pas y faire, attend :
Je lui ai retiré la culotte et je suis passé entre ses jambes pour laper le jus qui sortait d’elle. Ses gémissements se sont amplifiés puis j’ai enfoncé mes doigts dans son vagin en lui suçant le clito et je l’ai faite complètement décoller. Un petit moment après, quand elle a repris son souffle
- ça y est, nous avons fait l’amour ?
- non, pas encore.
- Pourtant, j’ai eut mile foies plus de plaisir que tout a l’heure.
- Tu va voir maintenant, je vais te faire l’amour et ça va être encore plus fort.
J’ai replongé sur son sexe dégoulinant, j’ai léché, caressé puis quand elle a recommencé a onduler du bassin pour arriver a l’orgasme, je l’ai pénétré. Ça a été un des rodéos les plus mouvementés de ma vie, cette femme qui n’avait soit disant jamais jouis était une véritable bombe qui n’attendais qu’une petite flamme pour exploser. Elle a eut quartes ou cinq orgasmes foudroyants sur mon chibre dressé puis je me suis retiré et je lui ais arrosé le ventre de mon plaisir. Marie Christine qui avait recouché ses enfants était entrée pendant le début du rodéo, s’étais déshabillé et se caressait a coté de nous. Des que je me suis allongé sur le coté elle s’est jetée sur Virginie pour lécher le sperme qui maculait son ventre. Dans un semi coma Virginie n’arrêtait pas de répéter :
- C’n’est pas possible, ce n’est pas possible que je ne puisse pas avoir autant de plaisir avec mon mari.
Marie Christine semblait en pleine forme, en quelques minutes elle a totalement nettoyé le ventre de Virginie et s’est décalé pour me pomper le jonc quand il a regonflé sous ses caresses, elle m’a chevauché, introduit en elle et s’est agité pour avoir son plaisir. Au bout d’un moment, après qu’elle ai jouis au moins deux foies, je l’ai arrêté pour l’obliger a me faire sortir d’elle en lui disant :
- si tu continue comme ça, je vais t’en remettre trois ou quatre dans la bonbonnière.
Ça l’a tétanisé et elle s’est poussée sur le coté. Virginie a profité de ça pour prendre sa place. J’ai essayé de l’arrêté en lui disant que pour ne pas avoir de risques, il fallait faire tomber un peu la pression, elle m’a répondu
- ce n’est pas grave, tu peux jouir en moi, mon mari le fait bien et il m’a dit que tant que j’allaitais, je ne risquais rien.
Puis elle a commencé à s’agiter, d’abord doucement puis au fur et a mesure que son plaisir montait, elle accélérait le rythme. Ce fut une apothéose, nous avons crié tous les deux ensembles et je me suis vidé en elle.
Après cet intermède houleux nous nous sommes rhabillé. Pendant que Marie Christine remettait un peu d’ordre, j’ai expliqué
- pour avoir du plaisir avec ton mari, il te faut être forte et lui imposer des préliminaires.
- Je n’y arriverais jamais.
- Mais oui, il t’aime donc il fera ce que tu lui demande.
- Je ne croie pas, il est assez bourru.
- Peut être mais si tu te refuse quand il veut te prendre comme avant, tu y arriveras.
- Ce a quoi j’arriverais c’est prendre des claques et me faire violer.
- Mai non, il faut le prendre par la bande, un coup, tu est malade, la foie suivante tu as tes règles, quand tu juge le moment propice tu l’allume et tu l’oblige a te sucer le minou ou autre chose. Je suis sur que tu va y arriver.
- J’espère, ce serais tellement agréable d’avoir régulièrement du plaisir comme tout a l’heure.
- Je suis sur que si tu te débrouille bien, tu auras du plaisir quand tu veux et ou tu veux.
- Tu croies vraiment ça ?
- Oui, bien sur, vous les femmes vous pouvez faire faire ce que vous voulez aux hommes, il suffit d’un peu d’expérience. Demande a Marie Christine si tu veux, elle pourra t’expliquer comment elle mène son mari par le bout du nez, enfin, façon de parler.
- Tu as raison, je lui demanderais de me donner des cours. Au revoir et j’espère a bientôt.
- Au revoir et si tu le désire vraiment, bien sur, a bientôt, je serais ravi de te montrer d’autres trucs.
Je suis reparti pour terminer les clients de ma journée.
Le soir j’ai appelle Marie Christine pour voir si tout allait bien, elle m’a appris que Virginie était resté très tard pour se faire expliquer les techniques pour refuser en douceur le câlin...
Je suis arrivé vers quatorze heures, elles en étaient au dessert, après m’avoir fait entrer, Marie Christine m’a présenté Virginie et je me suis installé pour partager un bout de gâteau et le café. Tout en mangeant nous avons discuté de choses et d’autre. Je me suis rendu compte que Virginie était un peu pompette. Les bébés se sont mis à pleurer, ils avaient faim, l’heure de la tété. Marie Christine a ouvertement devant moi donné sa tété aux sien d’abord a gauche puis a droite et encore a gauche. Ça les a calmés un peu, le temps de préparer des biberons. Pendant qu’ils buvaient j’ai demandé à Virginie
- vous aussi vous lui donnez la tété.
- Oui, bien sur, ça me soulage, si je ne lui donnais pas, ma poitrine serait trop douloureuse.
- Tu en as qu’un toi ?
- Oui, un seul et c’est un accident.
- Il y en a qui ont de la chance, le tien, il a deux mamelles pour lui tout seul alors que ceux de Marie Christine doivent se les partager.
- Oui, peut être mais elle, elle a du plaisir plus longtemps.
- Du plaisir ?
- Oui, c’est très agréable d’allaiter, je pense que c’est le plus grand plaisir que j’ai pu avoir.
- Tu me parlais d’accident, tout a l’heure, tu ne le désirais pas ?
- Oh non, c’est à cause de lui que je suis marié.
- Tu n’aime pas ton mari ?
- C’est pas que je ne l’aime pas, c’est le seul homme que j’ai connu, il est gentil et prévenant.
- Tu t’es marié avec lui parce qu’il était gentil ?
- Non parce-que j’étais enceinte de lui.
- Et tu n’a rien pu faire d’autre ?
- Oh non, ce n’est pas dans les habitudes de ma famille.
- Comment ça s’est passé ?
- Je le connaissais depuis longtemps, il était dans mon école, on est sorti ensemble pendant trois ans sans coucher bien sur puis l’or d’une fête, j’ai cédé, et il m’a fait l’amour dans la voiture sur la banquette arrière, j’ai eut très mal mai lui m’a semblé ravi. Après ce jour, de temps en temps, il s’arrangeait pour qu’on se retrouve seul et il recommençait. Je n’avais plus très mal comme la première foi mais ce n’étais pas agréable. Je le faisais par-ce-que ça lui faisait très plaisir. Pendant deux ans, nous avons continué comme ça puis un jour, sa capote a craquée et je me suis retrouvé enceinte, rapidement, on nous a marié et voila, maintenant, j’ai mon bébé et c’est tout.
- A ce que tu me dis, tu n’a jamais eut de plaisir en faisant l’amour ?
- Non, le seul plaisir que j’ai c’est quand bébé tète ma poitrine.
- C’est vraiment tout, bien ça alors, j’aurais jamais cru que ça existais.
- Pourquoi ? tu crois qu’une femme peut avoir du plaisir avec un homme ?
- Bien sur, c’est la base même de l’amour. C’est a cause de ça que les hommes et les femmes font des enfants, ce n’est pas par accident comme toi. Demande a Marie Christine si elle n’a pas eut de plaisir.
- Oui, je sais, elle me l’a déjà dit, c’est a cause de ce plaisir qu’elle a ses triplets.
- Tu veux essayer ?
- Avec toi ?
- Pourquoi pas, j’ai une certaine réputation dans ce domaine.
- Tu es sur que je ne risque rien ?
- Tu ne risque absolument rien si ce n’est découvrir le monde du plaisir.
Tout en lui parlant, je me suis approché d’elle et j’ai commencé a la caresser doucement. Marie Christine était entrain de donner le biberon, j’ai demandé a téter. Elle a ouvert le devant de son bonnet de soutien gorge et m’a laissé faire. J’ai léché, j’ai senti le teuton durcir et je me suis mis à pomper tout en dégrafant l’autre coté. Au bout d’un petit moment, elle m’a demandé d’arrêter en me disant qu’il fallait en laisser pour son petit. Je l’ai embrassé et mes mains se sont mise a lui parcourir tout le corps. J’ai dégrafé sa robe et elle s’est retrouvée presque nue devant moi. Marie Christine nous a arrêté et nous a demandé de monter dans la chambre a cause des voisins qui risquaient de nous voir au travers des baies vitrées. Dans la chambre, je me suis mis a lui caresser le sexe et je l’ai faite crier de plaisir.
- tu voies bien, on peu avoir du plaisir sans faire l’amour par contre de le faire ça multiplie ce plaisir par dix ou même cent.
- Je n’avais jamais ressenti ça avec mon mari.
- C’est qu’il ne sait pas y faire, attend :
Je lui ai retiré la culotte et je suis passé entre ses jambes pour laper le jus qui sortait d’elle. Ses gémissements se sont amplifiés puis j’ai enfoncé mes doigts dans son vagin en lui suçant le clito et je l’ai faite complètement décoller. Un petit moment après, quand elle a repris son souffle
- ça y est, nous avons fait l’amour ?
- non, pas encore.
- Pourtant, j’ai eut mile foies plus de plaisir que tout a l’heure.
- Tu va voir maintenant, je vais te faire l’amour et ça va être encore plus fort.
J’ai replongé sur son sexe dégoulinant, j’ai léché, caressé puis quand elle a recommencé a onduler du bassin pour arriver a l’orgasme, je l’ai pénétré. Ça a été un des rodéos les plus mouvementés de ma vie, cette femme qui n’avait soit disant jamais jouis était une véritable bombe qui n’attendais qu’une petite flamme pour exploser. Elle a eut quartes ou cinq orgasmes foudroyants sur mon chibre dressé puis je me suis retiré et je lui ais arrosé le ventre de mon plaisir. Marie Christine qui avait recouché ses enfants était entrée pendant le début du rodéo, s’étais déshabillé et se caressait a coté de nous. Des que je me suis allongé sur le coté elle s’est jetée sur Virginie pour lécher le sperme qui maculait son ventre. Dans un semi coma Virginie n’arrêtait pas de répéter :
- C’n’est pas possible, ce n’est pas possible que je ne puisse pas avoir autant de plaisir avec mon mari.
Marie Christine semblait en pleine forme, en quelques minutes elle a totalement nettoyé le ventre de Virginie et s’est décalé pour me pomper le jonc quand il a regonflé sous ses caresses, elle m’a chevauché, introduit en elle et s’est agité pour avoir son plaisir. Au bout d’un moment, après qu’elle ai jouis au moins deux foies, je l’ai arrêté pour l’obliger a me faire sortir d’elle en lui disant :
- si tu continue comme ça, je vais t’en remettre trois ou quatre dans la bonbonnière.
Ça l’a tétanisé et elle s’est poussée sur le coté. Virginie a profité de ça pour prendre sa place. J’ai essayé de l’arrêté en lui disant que pour ne pas avoir de risques, il fallait faire tomber un peu la pression, elle m’a répondu
- ce n’est pas grave, tu peux jouir en moi, mon mari le fait bien et il m’a dit que tant que j’allaitais, je ne risquais rien.
Puis elle a commencé à s’agiter, d’abord doucement puis au fur et a mesure que son plaisir montait, elle accélérait le rythme. Ce fut une apothéose, nous avons crié tous les deux ensembles et je me suis vidé en elle.
Après cet intermède houleux nous nous sommes rhabillé. Pendant que Marie Christine remettait un peu d’ordre, j’ai expliqué
- pour avoir du plaisir avec ton mari, il te faut être forte et lui imposer des préliminaires.
- Je n’y arriverais jamais.
- Mais oui, il t’aime donc il fera ce que tu lui demande.
- Je ne croie pas, il est assez bourru.
- Peut être mais si tu te refuse quand il veut te prendre comme avant, tu y arriveras.
- Ce a quoi j’arriverais c’est prendre des claques et me faire violer.
- Mai non, il faut le prendre par la bande, un coup, tu est malade, la foie suivante tu as tes règles, quand tu juge le moment propice tu l’allume et tu l’oblige a te sucer le minou ou autre chose. Je suis sur que tu va y arriver.
- J’espère, ce serais tellement agréable d’avoir régulièrement du plaisir comme tout a l’heure.
- Je suis sur que si tu te débrouille bien, tu auras du plaisir quand tu veux et ou tu veux.
- Tu croies vraiment ça ?
- Oui, bien sur, vous les femmes vous pouvez faire faire ce que vous voulez aux hommes, il suffit d’un peu d’expérience. Demande a Marie Christine si tu veux, elle pourra t’expliquer comment elle mène son mari par le bout du nez, enfin, façon de parler.
- Tu as raison, je lui demanderais de me donner des cours. Au revoir et j’espère a bientôt.
- Au revoir et si tu le désire vraiment, bien sur, a bientôt, je serais ravi de te montrer d’autres trucs.
Je suis reparti pour terminer les clients de ma journée.
Le soir j’ai appelle Marie Christine pour voir si tout allait bien, elle m’a appris que Virginie était resté très tard pour se faire expliquer les techniques pour refuser en douceur le câlin...
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