Visitation

- Par l'auteur HDS Jpj -
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Visitation Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2017 dans la catégorie Pour la première fois
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(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Visitation
« Je suis venu vous visiter car j’ai un service à demander »

Moi, j’étais peinard à lire une BD de Charlier, Buck Danny, une histoire d’aviateurs américains à Mach 2 ou 3, assis dans le canapé du salon devant un bon feu de cheminée. Septembre n’était pas si chaud. À la chaleur du feu de bois j’avais ôté mes chaussures et mes chaussettes et faisais rissoler mes plantes de pied posées haut sur la table basse face à l’âtre. J’avais posé également mon pull et me régalais de bien-être en chemisette dans la chaude lumière rouge sombre.

Tant et si bien que je m’étais assoupi.

Soudain le feu s’est mis à crépiter, j’ai ouvert les yeux et j’ai vu devant moi un être étrange, très lumineux, longiligne avec chevelure blonde courte bouclée, et sourire d’ange.
Il a dit, je suis venu vous visiter car j’ai un service à demander.

J’étais interloqué et matais ce gars avec ses grandes ailes blanches qui lui descendaient aux chevilles cette stature gracile et ce bon sourire de quelqu’un de bienveillant qui vient demander un petit service et ne doute pas que l’on saura le lui rendre, en toute simplicité.

Il a dit, d’habitude quand l’un de nous descend chez vous, c’est pour annoncer un truc, comme qui dirait, faire le messager, le go between entre Dieu et l’Humanité.
Mais moi, non. Moi je viens juste vous proposer un deal.
En échange du service sollicité, je me propose d’être, pour toujours, votre Ange Gardien.

Moi, je ne comprenais rien à ses discourades. Moi, je matais le gars avec ses ailes de plume blanche et son bon sourire juvénile.

Je me demandais, un Ange, c’est un garçon ou c’est une fille ?Manifestement celui-là avec ses grandes ailes qui descendaient quasiment au sol était un gars. Encore que cette sorte de nuisette qui lui servait de vêture me paraissait un peu louche, plutôt féminine. Une chasuble façon camisole qui lui couvrait le thorax et descendait jusque bas sur son abdomen, cachant ses fesses et son devant. Le tissu blanc était épais et ne laissait rien apercevoir en transparence non plus surtout qu’en proéminence. Dans le dos la chemise remontait en V jusque sous l’attache des ailes et, devant, elle couvrait largement son poitrail tant et si bien que l’on ne pouvait deviner si elle était fille ou garçon.

Deux fines bretelles suspendaient la chemise aux épaules en légère sustentation.

Le gars n’a rien dit de plus et est venu s’assoir près de moi sur le canapé, lissant d’un mouvement élégant ses deux ailes derrière lui contre le dossier afin de ne pas les froisser.
Et il m’a pris par la taille, en toute amitié.

Il a dit, vous ne perdrez pas au change. Avoir un Ange Gardien, ici-bas, c’est top. En sus, le service demandé est plutôt sympa à rendre. Vous verrez, il vous plaira.

Cet être très lumineux qui s’était assis auprès de moi me troublait fortement d’autant plus qu’il avait les mains extrêmement baladeuses. Moi je pensais, faudrait, avant d’accepter ces privautés, tout d’abord savoir s’il est garçon ou fille. Moi je suis pragmatique, non ? Après, on verra bien où nous mèneront nos pas...

C’est pas que je sois bégueule, non, mais me faire tripoter par une sorte de fantôme au genre pas trop bien défini me gênait un peu. J’ai donc décidé d’explorer la situation. J’ai envoyé ma main sur son thorax, par dessus la camisole blanche. Je pensais, simplement, si cet être a des tétés, c’est qu’il est fille, si non, il est garçon. Non ?

Ma main a balayé sa poitrine. Mais je n’étais guère plus avancé. De tétés il n’y avait qu’ombre, à peine ourlée. Mais de tétons, oui, petits mais fort érectiles et bien pointus. Avec petite fraise.
Je pensais, si ce gars est une fille, alors elle doit être toute jeunette et pas encore formée. Mais moi, ça ne me gêne pas de tripoter une gamine à peine pubère. Moi je suis un voyou.

Quand même je me disais, faut voir et pas commettre un impair. Mets lui donc la main au panier histoire de t’assurer du genre exact de la donzelle.

A-t-on le droit d’avoir une telle attitude avec un Ange ? Je me disais, c’est pas très correct d’agir ainsi. Avec une fille normale, tu resterais en retenue et n’irais pas lui mettre un doigt mouillé comme ça sans crier gare, sans t’être assuré préalablement de sa consentance.

Mais l’ange ne se gênait pas lui-même de ses paluches sur mon jean en s’énervant des boutons laiton de ma braguette. On voyait bien que dans son pays à lui, les jeans étaient munis de zips et que ce système archaïque de fermeture d’ici-bas le troublait. Il était malhabile et impatient.

Moi je bichait des effleurements de cette gamine incompétente sur ma braguette, de ses doigts gourds qui glissaient sur mon gland dressé sous le denim, de son appétence impatiente à me libérer et dans le même temps de son incapacité à le faire. Il lui manquait manifestement les neurones adéquats, ceux qui font sauter les boutons de braguette comme des pétards de feu d’artifice au moment du bouquet.

Alors j’ai compris plein de trucs.

D’abord que j’avais à faire à un ou une novice. Et ce n’était pas pour me déplaire. La fille qui se pointe chez moi, façon annonciation aque je suis un ange, et qui te triture la bite avec les mains l’air de pas y toucher ou presque, moi j’en bandais dur comme roc en matin triomphant.
Je rêvais qu’elle n’arrive jamais à défaire les boutons de laiton et poursuive en éternité ses tripotages de ma tige dressée.

Ensuite, et c’est bien normal, j’ai compris que garçon ou fille, l’ange que j’avais présentement dans les bras allait vivre dans ceux-ci un bel interlude, tendre et sensuel. Et je ne doutais pas qu’elle rapporterait au paradis les satisfactions ressenties en un verset ou un chant qui serait publié sur papier bible à l’usage des paroissiennes du pays tout entier. Pendant des siècles et des siècles.

Alors, toujours obnubilé par ma curiosité quant à son genre j’ai envoyé deux doigts en estafette sous ses jupes. J’attendais barbichette caprine étouffant une fleur enfantine, en rapport avec sa frimousse de petite fille et les bouclettes épaisses de sa chevelure.
Raté. Les charnus de mon index de mon majeur glissaient sur un abricot parfaitement glabre et découvraient l’abime des mille vilosités gluantes trempées visqueuses de ses intérieurs.
La dite gamine se révélait avoir une anatomie de jeune mariée en nuit de noce.

Moi j’étais rassuré, ou presque.

Car sous mes doigts inquisiteurs j’avais découvert une boulette une languette un clito décapuchoné surprenant presque géant.
Nous, les gars, on sait que le petit bouton des filles tant si sensible est très minuscule et qu’on a bien du mal à le repérer pour lui faire son affaire, au dit bouton, d’index mouillé ou de langue aimante.
Cet Ange là avait un clito gros comme le doigt, le petit doigt, celui que l’on nomme l’auriculaire vu qu’il nous sert à nous surtout à extirper de nos trompes d’Eustache quelques crottes de cérumen. Cire humaine vous diront certaines. Petite alitération sympa.

Moi, j’étais ailleurs. Moi, je voyais les sorcières sur leur moyen de locomotion, balai à tête de bruyère raide propulsive comme turboréacteur, leur vulve malmenée martyrisée par le manche rugueux du dit balai. Je pensais, mon Ange à moi vole de ses ailes, abricot libre de toutes contraintes ouvert à tous les vents.

Mes pensées m’amenaient à des escadrilles d’anges et de sorcières comme hirondelles aux premiers jours d’automne.

Moi, deux doigts plongés entre les cuisses de l’Ange, je matais son regard de deux yeux bleus couleur d’huitre de Bouzigues et profonds de bon accueil, deux yeux qui disaient sa contentitude d’être ainsi doigtée. Et que venait confirmer sa contracture vaginale qui prenait et ne voulait rien lacher.

Elle me disait des choses de son pays. Elle me disait, chez nous, les anges, on est rien que des filles, y'a pas du tout de mecs. Pour vivre, ça va bien, entre filles on se contente réciproquement. Mais pour les bébés, on est obligées de descendre sur terre, chez vous. Pour se faire mettre par les mâles. Nous on n’en n’a pas, de mâles. Alors faut les chercher ailleurs. Chez vous.

Elle était habile de ses doigts et avait débragueté mon futal. Mon boxer était tendu d’un bitos solide de bon aloi.

Pour le cul, ça va. Entre filles on se régale à se pourlécher. Ça va bien. En plus c’est tendre entre filles et ça nous convient. Ça convient bien à notre statut d’Anges, à l’idée qu’on s’en fait, que tout un chacun s’en fait.

Enfin, voilà, t’as tout compris. Je suis là avec Toi pour me faire mettre, si tu veux bien, et me féconder. Après, je me casse et tu n’entendras plus parler de moi.
Et puis, en contre-partie, je serai ton Ange Gardien.
À toujours.

Moi, cette affaire d’ange gardien, j’en avais rien à cirer. En revanche, la tirer me semblait bon plan et j’étais prêt à obtempérer, en toute amitié.

Elle était arrivée à ses fins et avait dégagé, des boutons de laiton de la braguette de mon jean, mon bitos bien bandé. Bandaison superbe, sans me vanter. Pensez, digne d’un Ange...

Je ne m’y attendais pas. À peine a-t-elle vu mon gland dresser son nez hors du prépuce qu’elle a fondu dessus comme pie sur sa proie. Repoussant les peaux protectrices bas en dessous de la couronne et épousant des lèvres le sillon coronal.

Pensez mon bonheur, d’autant que cet être fêlant était en sus lumineux et que ses cheveux blonds bouclés étaient comme éclairés de l’intérieur. Tête bouclée affairée entre mes cuisses.

Moi je pensais, les Anges sont des êtres sympas pour nous humains. Et tout à mes pensées, sans y penser, je bandais. Celle-là est venue me visiter et moi je sens que je ne vais pas tarder à gicler tout au fond de son gosier, l’air de pas y toucher.

Elle s’est relevée et, tout en me matant de son bon regard énamouré, elle m’a dit, moi je m’appelle Élise. Nous les Anges on a toujours le son EL dans notre nom. Gabriel, Raphaël, Daniel, Michel, Nathanaël...

Et nous on est toutes des filles. L’histoire de Gabriel qui, soit disant, serait venu sur terre sauter Marie, c’est rien que baliverne et sornette. Gabriel n’était pas un garçon mais une fille. D’ailleurs le prophète Johnny nous l’a révélé, deux millénaires après.
Gabrielle, tu brûles mon esprit, ton amour étrangle ma vie
Et l'enfer devient comme un espoir
Car dans tes mains je meurs chaque soir.
Je veux partager autre chose que l'amour dans ton lit…

Et le signe des deux mains enchaînées dessus la tête du Johnny repris par les 80 000 spectateurs du stade de France est bien la preuve de ce que je te dis.

On était, cet Ange et moi, assis dans le canapé devant un bon feu de cheminée de septembre qui crépitait de bonheur à nous regarder.
Je me suis levé pour déposer dans l’âtre une grosse bûche complémentaire, histoire de nous donner, à l’Ange et à moi, un peu de temps...

Vu qu’elle m’avait tout défait le futal, celui-ci a glissé à mes chevilles et j’ai du m’en défaire et le virer, le boxer itou, d’un habile mouvement de pieds.
Nous étions, elle abricot à l’air sous sa nuisette assise sagement devant le feu, moi bandant sous ma chemise revenant vers elle après avoir regarni la cheminée.

Je lui dit, mais alors qu’est-ce qu’un Archange ?

En fait, je m’en foutais complètement, juste je pensais à la mettre, juste à cela. Je pensais même, vu qu’elle a en tête de faire le bébé, alors j’ai même pas besoin d’aller quérir la capote au tiroir de la table de nuit de la chambre.

Elle a tout compris et n’a pas répondu à ma question concernant les archanges. À peine fus-je assis sur le canapé à côté d’elle qu’elle est venue s’enfourner sur moi, me serrant dans ses bras et m’embrassant de bouche bavante.

Elle a passé les talons à mes reins et m’a fait prisonnier de ses cuisses de ses bras, son ventre ayant englouti ma bite au sein de ses fluidités célestes.
La tête de celle-ci butait au fond d’elle, mon gland à touche des lèvres dures de son utérus.

La chaleur de son buste presque plat contre le mien et son sourire de jeune femme heureuse qui cherchait mes yeux ont suffit pour déclencher le bal des giclées de fécondation. Mon gland, abuté à son col, a déchargé sans retenue.

Pendant la longue période d’apaisement elle est restée sage et tranquille. Puis, j’ai senti qu’elle n’était plus réfractaire. Elle m’a glissé à l’oreille, encore.

Nous avons glissé de concert couchés sur le canapé et j’ai limé.
Longuement limé. Ayant donné, beaucoup donné, j’étais endurant et ce n’était pas pour lui déplaire.
Elle m’a dit, vois-tu, normalement je devrais filer car j’ai eu mon compte. Mais dans tes bras sous ton poids la vie m’est belle. Encore encore. Ton Ange Gardien prend son pied et mes chansons arquée contre Toi sont des tubes planétaires qui embraseront les cathédrales. Les vieilles paroissiennes les reprendront en chœur et chanteront la vie.

Je venais allais et revenais en elle. Ses cuisses étaient haut levées et cherchaient mes épaules pour s’y poser comme en repos en facilité. Elle mangeait le creux de mon épaule et sussurait à mon oreille, laisse-toi faire laisse-moi faire, ça m’excite de te faire suçon, ça me déclenche les contractures de fond de ventre qui nous font orgasmer de concert.

Et moi de repartir à hoqueter au fond d’elle pour badigeonner son col de mon sperme chaud et fluide.

On est restés, l’Ange et moi, recroquevillés en cuiller l’un contre l’autre, presqu’endormis. Mes mains étaient sur son thorax sous sa nuisette posées exactement sur ses seins de gamine aux tétons dressés. Ses fesses cambrées épousaient mon ventre et mon bitos un peu avachi un peu en repos.

Elle ne parlait pas. Je ne parlais pas non plus. Nous étions cois.

Une heure, deux heures, je ne sais combien de temps a duré cette latence. Je dormais, je rêvais à cet Ange venu me visiter. À cette pensée, atavisme d’humain ordinaire, ma bite s’est dressée. Elle est venue en contact, au creux de sa craque, de la porte étroite, de la rondelle de l’Ange.

Vu que je dormais, rien ne s’est passé. Quand on dort, on n’est pas trés actif.

Je sentais mon gland, dégagé de ses peaux de son prépuce, en contact appuyé de la rondelle close. Le corps chaud de l’Ange était dans mes bras. Et nous dormions et nous rêvions, l’un dans l’autre enlacés. Sa craque était trempée de nos ébats précédents et la tête de mon bitos ne valait guère mieux.

J’ai senti doucement son anneau s’ouvrir pour faire à mon gland bon accueil et l’aspirer au creux de son fondement. Je dormais, elle dormait et sans le chercher, je l’enculais.

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Texte coquin : Visitation
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