Visite chez la doctoresse - histoire érotique

Charles, était un homme d’environ quarante cinq ans. En ce bel après-midi de mai, il patientait dans la salle d’attente de sa doctoresse, Jennifer Bayou. Il venait la consulter pour des troubles de l’érection qui le minaient depuis quelques temps déjà. Il avait longtemps hésité avant d’aller la solliciter, par gêne d’évoquer son problème. Parler de son trouble l’angoissait même un peu. Alors qu’il ressassait ses pensées, la porte du cabinet s’ouvrit. Le patient précédent s’en alla et la doctoresse l’appela.

Charles se leva et entra dans le cabinet de consultation.
Il vit alors une jeune femme assise près du bureau de la doctoresse. Elle était plutôt jolie, la peau mâte, une cascade de cheveux bruns ondulés tombant de part et d’autre de son visage souriant. Elle portait un chemisier noir et une jupe trapèze verte.
Alors que le regard de Charles croisa celui de la jeune femme, la doctoresse expliqua:
- J’ai en ce moment une étudiante de 6eme année. Cela vous dérange-t-il si elle assiste à l’entretien ?
- Non, finit par dire Charles après une hésitation à propos de la raison embarrassante de sa visite.
- Parfait. Je vous présente donc Candice Lenoir.

La jeune étudiante fit un joli sourire à Charles qui prenait place sur l’une des deux chaises à sa disposition.
- En quoi puis-je vous aider ? demanda Mme Bayou, une sourire affable aux lèvres.

Un peu confus, Charles expliqua de façon un peu désordonnée et hésitante la raison de sa visite, de ses symptômes, de l’impact que cela avait sur sa vie et son épouse.
La doctoresse écouta attentivement, lui posa un certain nombre de questions puis proposa :

- Je vais d’abord commencer par vous ausculter. Veuillez vous déshabiller s’il vous plaît.

Charles se leva et commença par retirer son polo, défit sa ceinture puis déboutonna son pantalon qu’il retira. Il se retrouva en chaussettes et boxer devant les deux femmes. Bien qu’il se sente un peu gêné, il sentit un frémissement dans son sous-vêtement lorsque son regard se porta sur les jambes de la jeune étudiante. Il s’empressa de penser à sa liste de course, au bon match qu’avait réalisé son équipe de foot préférée la veille ou encore à ses impôts qu’il devait déclarer avant la fin du mois.
« Ouf », pensa-t-il quand l’excitation qu’il éprouvait retomba. « C’est quand même malheureux ! quand je veux bander je n’y arrive pas et c’est maintenant qu’il se réveille !! ».

- Allongez-vous s’il vous plaît, invita la doctoresse en désignant le fauteuil.
Cette dernière prit un stéthoscope et parcourut le torse de son patient avec. Le contact du métal froid sur sa peau provoquaient des frissons à Charles. Mais surtout, penchée ainsi sur son patient, Mme Bayou offrait une vue plongeante sur son généreux décolleté. Le regard de l’homme se fixa sur la jolie rondeur des seins de la doctoresse. Il aperçu même un bout de dentelle noire de son soutien-gorge.

Le frémissement dans le boxer rouge de Charles refit son apparition tandis que la doctoresse invita sa stagiaire à effectuer la mesure de la tension. Charles sentit les doigts chauds de la jeune femme sur son bras lorsqu’elle fixa le brassard du tensiomètre. Un nouveau frisson traversa son corps. Et malgré ses tentatives de détourner son attention, il sentait son sexe gonfler dans son boxer. La perspective d’une majoration d’impôts s’il ne les déclaraient pas à temps n’y fit rien ! Son attention se reportait inévitablement sur les jambes de la jeune femme, sur les rondeurs sous son chemisier, sur son visage souriant.

Lorsque la tension fut prise, la stagiaire indiqua :
- 14/9
- C’est un peu élevé M. Martin. Votre rythme cardiaque est élevé. En tout cas, je vois que le réflexe érectile est là, ajouta-t-elle avec un sourire en regardant la bosse qui déformait le boxer rouge.
- Pardon, s’excusa Charles, honteux
- Ne vous excusez pas, c’est normal. Vous permettez que je regarde de plus près, ajouta-t-elle en désignant du regard le boxer.
- Oui, répondit l’homme après un instant d’hésitation.

La doctoresse fit descendre un peu le boxer et libéra le sexe à moitié tendu. Bien que surprise par la pratique de son aînée, Candice ne se priva pas d’admirer le membre qui s’offrait à ses grands yeux noirs. Il était d’une taille normal, mais bien proportionné plutôt beau selon ses critères.
- M. Martin, je vais stimuler un peu votre sexe si vous voulez bien, pour voir si l’irrigation sanguine se fait bien.

La doctoresse enroula ses doigts autour de la queue à moitié gonflée et commença un lent va-et-vient. Doucement, elle sentit le sexe grossir sous ses doigts. Et au bout d’une minute elle ajouta :
- Tu vois Candice, la verge est bien irriguée, dit-elle tout en tenu la queue dans sa main. Elle est ferme, le gland est également bien gonflé.

La stagiaire acquiesça en ne lâchant pas du regard la queue bien tendue qui s’exhibait sous ses yeux.
- La circulation sanguine se fait bien dans les corps caverneux. Pas de souci de ce côté là non plus. M. Martin, je vous propose de vous faire faire une prise de sang pour s’assurer que tout va bien d’un point de vu physique, mais je pense que vos soucis sont de l’ordre du psychologique. Vous avez rencontré des baisses normales de performances dues à l’âge et vous avez cogité un peu trop là-dessus.
- D’accord, approuva l’homme pour qui l’excitation l’emportait à présent sur l’embarrât.
- Vous pouvez vous rhabiller.

Après une hésitation, la stagiaire intervint :
- On ne peut pas le laisser comme ça le pauvre ! Il n’arrive plus à avoir d’érection depuis plusieurs semaines. Ce n’est pas très sympa de réussir à lui en provoquer une et de le laisser dans cet état, vous ne trouvez pas ?
- Que proposez-vous ? Demanda, un peu surprise, la doctoresse à sa stagiaire.
- Le libérer de sa tension, admit-elle un peu gênée.
- Vous voulez le faire éjaculer ?
- Oui, concéda la jeune femme, un peu honteuse en entendant une personne autre que sa conscience prononcer ces mots.
Jennifer regarda son patient, son sexe tendu puis enfin sa stagiaire et accepta :
- D’accord. Mais ce n’est pas très orthodoxe… A vous de vous en charger alors.

La jeune femme saisit timidement la queue du patient et commença à le masturber doucement. Charles n’en revenait pas, il était allongé là, nu devant deux femmes et à recevoir les caresses d’une jeune étudiante.
- Pouvez-vous aller plus vite, nous avons d’autres patients à voir, indiqua la doctoresse après quelques minutes et qui, sans le montrer, commençait à ressentir de l’excitation devant la scène.

Candice, pour essayer d’accélérer les choses, se pencha vers le sexe et le mit dans sa bouche. Au début, ses mouvements étaient dénués d’excitation mais plus la fellation avançait, plus Candice y prenait de plaisir. A présent, elle suçait cette queue avec un réel plaisir, non dissimulé. Elle sentait des frissons dans son ventre, une douce chaleur et une plaisante humidité s’emparer de son intimité tandis qu’elle caressait les volumineuses testicules rasées de près, comme l’ensemble du pubis de l’homme. Une irrésistible excitation s’emparait d’elle.

Après plusieurs minutes de fellation, la doctoresse s’impatienta à nouveau.
- Bon, on ne va pas y passer l’après-midi.
En disant cela, elle alla s’asseoir sur le bureau, y posa un pied puis releva sa longue jupe blanche bohème. Elle dévoila alors un shorty blanc en dentelle au travers de laquelle Charles distingua une large toison blonde.

Elle écarta son shorty et offrit la vue de son sexe. Charles n’en croyait pas ses yeux.
- Allez venez ! Une chatte humide devrait vous aider à jouir un peu plus vite je pense !

Le patient se releva, s’approcha de Mme Bayou. Il poussa son gland gonflé à l’entrée de son vagin et il s’enfonça doucement en elle. Pendant qu’il s’appliquait dans son lent va-et-vient, il observa sa partenaire.
Mme Bayou était une belle femme d’une quarantaine d’années, blonde, les cheveux un peu en bataille, libres, sauvages. Ses fines lunettes cachaient un peu ses jolis yeux bleu. Elle semblait douce et bienveillante. Tout en la prenant, l’homme observait avec satisfaction le plaisir qui se lisait sur le visage de la doctoresse. Et si elle voulait en finir vite lorsque Candice avait entamé sa masturbation, elle semblait décidée à présent à profiter de la situation et avoir du plaisir. Quant à Charles, il voulait prolonger au maximum ce moment hors du temps.

Au bout d’un moment, celle qui avait instigué cette situation n’en tenait plus. Elle releva à son tour sa jupe et plongea sa main dans son string noir et violet. Charles observa la main de la jeune stagiaire qui s’agitait sous la dentelle de son sous-vêtement et son visage qui exprimait les agréables sensations qu’elle ressentait.

Candice finit par venir se placer à côté de la doctoresse. Elle se pencha en avant, posa une jambe en appui sur le bureau.
Charles n’eut pas besoin d’invitation. Il vint se placer derrière la stagiaire. Il écarta le délicat string et dévoila une jolie vulve toute lisse. Il la pénétra doucement et le petit gémissement de plaisir qu’elle laissa échapper le conforta. « Je peux encore bander, je peux encore donner du plaisir aux femmes ! ».

Pendant qu’il baisait Candice, Jennifer retira sa jupe et son shorty. Elle vint s’accroupir près du couple et de temps en temps sortait la queue luisante de mouille de Charles pour la sucer longuement. Elle la remettait alors dans la chatte de sa stagiaire et lui caresser les fesses et les cuisses en attendant de remettre dans la bouche cette queue qui l’excitait tant.

Elle finit par ordonner à son patient de s’asseoir dans son fauteuil. Elle vint se mettre entre ses jambes, lui tourna le dos, pencha ses fesses en arrière et descendit sur sa queue. Charles appuyait sur cette dernière pour l’orienter vers la chatte de la doctoresse. Les deux sexes se rencontrèrent et Jennifer s’enfonça sur la queue jusqu’à ce que ses fesses touchent le ventre de l’homme. Elle fit alors monter et descendre ses fesses pour que le membre coulisse dans son vagin. Elle poussait de faibles gémissements, pour ne pas se faire entendre des patients qui attendaient à côte, alors qu’elle savourait ce membre bien dure glisser en elle.
Charles observait avec un débordement d’excitation sa queue disparaître dans la chatte de la femme, joliment entourée par ses lèvres gonflées, sous ses belles fesses bien rondes.

Candice observait la scène, assise sur le fauteuil d’auscultation, un doigt tantôt dans la chatte, tantôt sur son clitoris. Charles l’aperçu de temps en temps porter ses doigts à ses lèvres.

Jennifer passa sa main entre se jambes serrées pour caresser son petit bouton gonflé. Après quelques minutes de cette queue coulissant dans son ventre et des caresses de ses doigts sur sa sensible intimité un orgasme la saisit. Elle se mordit les lèvres pour ne pas faire de bruit. Sous l’effet des spasmes déferlants, elle cessa de se caressa et agrippa ses deux mains sur les jambes de son partenaire pour ne pas perdre l’équilibre.
La jouissance passée, elle se releva et dit :
- C’est son idée, allez faire jouir ma stagiaire. Et après on s’occupera de vous libérer.

Charles s’approcha de la jeune femme qui s’allongea sur le fauteuil, s’offrant complètement à cet homme qui la fixa quelques instants, profitant de ce moment un peu fou. Il parcourut plusieurs fois toute sa fente humide avec son gland, s’attardant sur le clitoris excité.
Il s’accroupit entre les jambes de Candice, avide de lécher sa chatte humide. Il se régala de son abricot juteux, lapant la moindre goûte de mouille qui en coulait.

Il finit par se relever et enfoncer sa queue dans la chatte dégoulinante ce qui arracha un soupir de satisfaction à la jeune stagiaire. Candice prenait beaucoup de plaisir et se dit que jamais elle n’avait imaginer qu’elle coucherait un jour avec un homme de presque deux fois son âge. Quelle folie s’était-elle emparé d’elle tout à l’heure ? Elle reporta son attention sur l’instant présent, sur les caresses de Jennifer sur ses cuisses, son ventre, son clitoris, de ce membre qui glissait en elle et lui procurait beaucoup de plaisir. La spontanéité de cet instant, l’inattendu, l’excitait.

Un énième coup de rein et Candice jouit à son tour. Jennifer s’empressa de poser le bout de ses doigts sur le clitoris de la jeune femme pour augmenter et prolonger le plaisir de sa stagiaire. Après une minute d’intenses sensations, Candice reprit ses esprits.

La doctoresse s’adressa alors à sa stagiaire :
- Il est peut-être temps de libérer notre patient.
- Oui, avec plaisir, approuva la jeune femme.
- Mets-toi à genoux, proposa alors Jennifer à Candice.

La jeune femme obéit et vint se mettre devant le sexe de Charles. La doctoresse saisit la queue et la masturba avec vigueur.
Au bout d’un moment, voyant que l’homme ne parvenait pas à jouir, Jennifer essaya de le rassurer :
- Lâchez prise M. Martin. Videz vos couilles dans la bouche de ma stagiaire, cela vous fera du bien.
Puis elle ajouta à destination de Candice :
- Caresse-lui les couilles, ça va l’aider.
Cette dernière massa avec douceur les testicules de Charles qui sentait que son orgasme approchait.
- Ouvre la bouche, ordonna Jennifer à Candice.
La jeune femme tira la langue tandis que la doctoresse posa le gland dessus sans cesser de masturber le membre.

Soudain, Charles retint un grognement de plaisir, et éjacula sur la langue de Candice, dans une sensation extrêmement libératrice. Pendant qu’il expulsait d’épais jets de liquide, la doctoresse indiquait à sa stagiaire :
- Sais-tu, Candice, que le sperme contient en moyenne 15 millions de spermatozoïdes par ml mais que cela ne représente que 1% des 2 à 5 ml qu’expulse un homme ?
Elle fixa la langue couverte de liquide blanchâtre de sa stagiaire tandis que Charles éjaculait toujours. Elle ajouta alors avec un sourire :
- Mais je pense que notre patient en a lâché plutôt 10ml ! Et tu vas faire le plein de fructose, de protéines et de minéraux. C’est bon pour la santé ! s’amusa-t-elle à ajouter.

Lorsque plus rien ne sortit de la queue de Charles, Candice avala tout le liquide et la doctoresse mit le sexe dans sa bouche pour en récolter les dernières gouttes de liquide. Elle le suça jusqu’à ce que le membre ramollisse.

- M. Martin, j’ai l’impression que tout marche bien. Tu en pense quoi Candice ?
- Oui, je suis d’accord, le sexe de Monsieur est plutôt en bonne santé, confirma-t-elle en récupérant avec la langue une goutte de sperme à la commissure des lèvres.

Mme Bayou renfila son shorty et sa robe et pendant que Charles terminait de remettre ses vêtements elle rédigea une ordonnance pour une prise de sang. Alors que Candice réajustait sa jupe, la doctoresse tendit l’ordonnance à son patient.
- Faite une prise de sang afin d’éliminer tout problème physique et revenez nous voir. Mais comme ma stagiaire et moi-même avons pu vérifier, je pense que tout va bien. Par souci de professionnalisme, nous prendrons peut-être le temps la prochaine fois de vérifier à nouveau consciencieusement, ajouta-t-elle avec un sourire en direction de Candice.

- Merci, dit Charles, véritablement heureux et soulagé, le poids pesant sur ses épaules avant sa venue lui paraissant bien plus léger.

Mme Bayou raccompagna Charles à la porte. Après lui avoir dit au revoir, elle appela la patiente suivante :
- Mme Etienne ? Désolée du retard, nous avons dû avoir une attention toute particulière pour le patient précédent.