Visite de chantier
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2024 dans la catégorie Plus on est
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Visite de chantier
Laureen venait de débuter ses vacances d’été en ce début juillet. Elle serait rejointe par son mari à la fin de la semaine pour partir 15 jours en Provence et profiter du soleil et de la mer.
Tout en s’occupant des préparatifs du séjour elle se rendait de temps en temps sur le chantier de leur maison. En effet, depuis quelques mois avait débuté la construction de leur logement dans une petite ville, proche de la principale agglomération. La maison était à présent hors d’eau et hors d’air et les ouvriers travaillaient maintenant sur les aménagements intérieurs.
Faisant assez chaud en ce début de juillet, elle souhaitait apporter un pack de bières fraîches au cas où des ouvriers seraient présents en cette fin de matinée pour qu’ils puissent faire une pause rafraîchissante.
Lorsqu’elle arriva sur site, elle constata la présence de la camionnette de l’électricien et du plombier.
Elle entra dans la maison et rencontra l’électricien dans ce qui serait le salon. Il était accompagné de son apprenti, qui semblait avoir à peine 18 ans. Il y avait du matériel un peu partout dans la pièce, des gaines qui serpentaient au sol et un établi de fortune assemblé avec une épaisse planche de bois et des tréteaux.
- Bonjour Messieurs ! Je suis Mme Marchand, la future propriétaire. Je vous ai apporté quelques rafraîchissements.
- Bonjour. Merci Madame, c’est très aimable de votre part.
L’électricien, un plutôt bel homme d’une trentaine d’années, la remercia, montrant qu’il appréciait le geste. Lui et son apprenti décapsulèrent une bouteille et commencèrent à se désaltérer. Alors qu’ils discutaient avec la propriétaire, un homme sortit de la future la salle de bain. Le plombier devait avoir aux alentours de quarante ans, plutôt quelconque. Il vint se joindre au groupe et prit une bouteille en remerciant Laureen.
La jeune femme fixa l’étage et l’escalier de chantier très raide qui y menait puis dit :
- J’aimerai bien voir l’étage mais l’escalier me fait un peu peur.
- Je peux me mettre derrière vous pour vous sécuriser, proposa l’électricien.
- Ce serait gentil, merci.
Laureen se dirigea vers l’escalier et commença à monter prudemment quelques marches. L’électricien la suivit peu après. C’est alors, quand levant un peu les yeux, il remarqua qu’il avait une vue imprenable sur l’entrejambe de la jeune femme. Elle portait une petite jupe grise légère d’été et le fait d’être un peu en contrebas était suffisant à l’homme pour profiter du spectacle. Il parcourus du regard les belles jambes bronzées puis se perdit sur le string jaune qui enveloppait magnifiquement une jolie vulve et dont le tissus se perdait entre de belles fesses bien rondes.
Une fois le tour de l’étage effectué ils redescendirent. Elle laissa l’homme passer en premier. Il commença à descendre l’escalier. Laureen se tourna alors, posa un genou au sol, se pencha et chercha de sa jambe libre une marche. Ainsi penchée, l’ouvrier ne ratait à nouveau rien du spectacle. Il sentait sa verge se dresser fortement dans son pantalon. Il redescendirent doucement, l’ouvrier ne détournant pas le regard de sous la jupe, sauf pour faire un geste de la tête à ses collègues pour montrer qu’il était plutôt chanceux.
Arrivés en bas de l’escalier ils reprirent leur place dans le groupe et alors qu’ils échangeaient quelques mots, Laureen aperçu la grosse bosse dans le pantalon de l’électricien. Elle constata que les deux autres avaient l’air un peu excités aussi. Elle compris alors la raison.
- Je suis désolée, je n’ai pas réalisé que la position dans l’escalier pourrait être aussi provocante, expliqua-t-elle sincèrement
- Ce n’est rien, répondit l’ouvrier, un peu honteux, en essayant de retrouver son calme.
Un silence s’installa. Laureen savait qu’elle était une femme plutôt jolie et que les hommes la désiraient. Elle était athlétique, assez grande. Ses cheveux bruns encadraient un visage aux traits fins et ses yeux verts lui conféraient un regard troublant. Sa peau hâlée semblait douce comme un délicieux fruit d’été. Enfin, elle était assez fière de sa poitrine généreuse lui permettant d’arborer de jolies décolletés dans lesquels se perdaient le regard des hommes.
- C’est de ma faute, je ne vais pas vous laisser comme ça, proposa-t-elle avec un sourire provocateur.
Elle s’approcha de l’électricien, s’agenouilla, ouvrit sa braguette. Comme il ne disait rien, elle poursuivit. Elle fouilla le caleçon et en sortit une queue assez dure.
Elle la mit en bouche et entama une fellation.
Elle fit signe aux deux autres d’approcher. Ils obéirent, trop heureux de la tournure que prenait les choses, et se placèrent de part et d’autre de leur collègue en sortant leur verge tendue. Laureen prit une queue dans chaque main pour les branler et suçait l’électricien avec sa seule bouche. Elle changeait de temps en temps de position pour prendre toutes les bites en bouche.
Elle avait beaucoup de plaisir à sucer ces trois queues. Elle était une femme assez libre sexuellement et fréquentait avec son mari les clubs libertins. Elle ne perdait jamais une occasion de prendre du plaisir. Baiser et faire l’amour étaient deux choses différentes pour elle. Elle dissociait le plaisir charnel pur de celui où l’aspect émotionnel s’ajoutait.
Alors qu’elle était en pleine action, la porte de la maison s’ouvrit pour laisser entrer deux hommes. Laureen reconnu le responsable de la société de construction et son maître d’œuvre. Ils restèrent tous les deux sans voix devant la scène. Alors qu’ils ne bougeaient pas, la jeune femme dit :
- Venez messieurs. Plus on est de fous…
Les deux nouveaux finirent par se joindre au groupe. Les cinq hommes formaient un arc de cercle et Laureen se déplaçait de l’un à l’autre pour contenter tout le monde, usant avec adresse de sa bouche et ses mains. Elle prenait beaucoup de plaisir à faire une fellation à tous ces hommes. Jamais elle n’avait eu autant de mâles à sa disposition et cette situation humidifiait fortement son entrejambe.
Au bout d’une dizaine de minutes, elle se releva, recula un peu et commença à retirer ses vêtements tout doucement, avec des gestes sensuels. Elle débuta le strip-tease en enlevant son top noir. Elle se tourna pour avoir les hommes dans son dos et fît glisser doucement la jupe grise le long de ses jambes. Elle les gardait bien droites et se penchait pour accompagner sa jupe jusqu’à ses chevilles. Ils purent admirer le petit string jaune sur lequel une auréole d’humidité apparaissait. Elle refit face aux hommes et se délecta de l’effet qu’elle produisait sur eux. Ils étaient tous en train de se masturber en savourant le spectacle. Elle était belle, à moitié nue dans ses sous-vêtements dont le tulle et la fine dentelle laissaient apercevoir de beaux seins et un fin duvet sur le pubis.
Elle dégrafa son soutien-gorge corbeille jaune et le fît descendre tout doucement sur ses seins volumineux. La douce peau plus claire et veloutée se dévoila peu à peu. Deux belles larges aréoles apparurent alors puis des tétons dressés. La vêtement finit au sol. Les seins étaient beaux et chacun des hommes présents dans la pièce voulait les caresser. Elle se retourna à nouveau et recommença la même chose qu’avec la jupe pour enlever le string. Elle avait des fesses aussi belles que ses seins, bien rondes que sa cambrure naturelle et ses activités sportives faisaient magnifiquement ressortir. Le string les mettait merveilleusement bien en valeur. Elle entendait dans son dos fuser des compliments comme « Ho putain, quel cul ». Laureen fût flattée de plaire, elle aimait se sentir désirée. Elle attrapa son string jaune par les côtés puis commença à le faire glisser. Plus le tissus descendait, plus les hommes bandaient. Penchée en avant, le string libérait tout doucement la vulve humide de la jeune femme. Arrivée à ses chevilles, jambes tendues, elle savait que son public ne ratait rien du spectacle alors que toute son intimité était exposée à leur vue. Elle frissonna d’excitation.
- Déshabillez-vous messieurs ! ordonna la jeune femme.
En moins de 30 secondes tous les habits tombèrent au sol. Laureen profita de la scène de ces cinq hommes entièrement nus, la verge bien droite.
Elle ramassa plusieurs t-shirt par terre et vint les poser à plat sur la partie dégagée de l’établi de fortune. Elle s’allongea dessus et écarta en grand les jambes. Elle passa la main sur son clitoris, introduisit un doigt dans sa chatte trempée puis se caressa un peu pour bien humidifier tout son sexe. Les hommes avaient pour la première fois une vue imprenable sur le sexe gonflé d’excitation de la jeune femme, luisant de sa mouille.
L’électricien fût le plus prompt à réagir. Il vint se positionner entre les jambes et inséra lentement sa queue dans la jeune femme qui poussa un gémissement de plaisir en sentant ce membre s’introduire en elle. Il en profita pour laisser traîner ses mains sur sa cuisse et son clitoris. Le plombier vint mettre sa queue devant le visage de Laureen qui la mit en bouche et il se mit caresser l’un de ses seins avec sa main droite alors qu’il passait sa gauche dans ses cheveux. Le directeur vint se placer de l’autre côté du visage de la propriétaire et fît rouler l’un de ses tétons sous ses doigts. Elle attrapa la verge avec sa main gauche et la masturba. L’apprenti et le maître d’œuvre s’approchèrent et tout en se masturbant caressaient le ventre de la jeune femme. La divine sensation de toutes ces mains chaudes qui exploraient son corps lui provoqua des frissons de son sexe jusqu’à la pointe de ses seins.
Laureen gémissait doucement à chaque coup de rein ou caresse. Les deux hommes qui se branlaient vinrent finalement se placer derrière l’électricien. Ils furent bientôt rejoint par le plombier et le directeur. L’homme qui la pénétrait laissa la place au maître d’œuvre et vint se mettre à la fin de la file.
Un tressaillement parcouru l’échine de Laureen en voyant ces mâles faire la queue pour la baiser. A présent, chacun son tour un homme la pénétrait, faisant des va-et-vient pendant quelques brèves minutes puis allait en fin de file pour laisser la place au suivant. Chaque homme défilait ainsi brièvement. Laureen était au bord de l’extase de sentir une queue la pénétrer, la baiser puis ressortir pour laisser la place à une autre, plus grande, plus petite, plus large, plus droite. L’un ajoutait une caresse sur son clitoris, l’autre malaxait ses seins, l’un pinçait ses tétons, l’autre massait ses cuisses.
- Interdit de jouir en elle, ordonna le plombier. Pensez aux collègues qui passent après.
Laureen fût déçue, mais comprenait la remarque, car elle adorait ressentir le sperme inonder son vagin. Bien souvent, quand proche de l’orgasme et que son mari déchargeait sa semence chaude elle explosait instantanément de plaisir.
Cette pensée et un nouveau coup de rein et elle fût prise par puissant un orgasme qui lui provoqua une forte éjaculation de liquide. Les hommes furent surpris de la voir « squirter », cela étant une première expérience pour la plupart. Cela lui arrivait en effet parfois d’expulser un liquide de son sexe lorsqu’elle était très excitée. Son mari était toujours fier quand cela se produisait. L’électricien qui était en elle à cet instant savoura d’être celui qui lui avait donné tant de plaisir.
Ce dernier voyant que la jeune femme commençait à fatiguer à maintenir ses jambes écartées, attrapa un rouleau de scotch de masquage, serra les jambes de Laureen puis les releva jusqu’à sa poitrine. Il lui pris les bras qu’il passa derrière ses genoux et attacha solidement ses poignets entre eux.
Ainsi la jeune femme était offerte aux désirs de ces hommes, ne pouvant s’y soustraire. Le directeur se mit à lui lécher la chatte avant d’y introduire un doigt. Le plombier vint pénétrer son anus avec son index humide. Aimant la sodomie, elle s’ouvrit facilement et rapidement et il pu insérer sa queue sur laquelle il avait craché et entama des aller-retour dans son cul. Enfin, l’apprenti vint présenter son chibre devant la bouche de la jeune femme. Ne pouvant pas bouger, c’est lui qui fît onduler son bassin.
Laureen n’était plus vraiment une femme mais un objet sexuel servant à assouvir les désirs des cinq hommes. Mais ainsi soumise, vulnérable, le plaisir de se faire baiser pour tous les orifices était accrus. Elle adorait la situation.
A force de va-et-vient dans la bouche de Laureen, l’apprenti se cambra et expulsa son sperme. La jeune femme savoura son foutre et l’avala. Le jeune homme laissa sa place au maître d’œuvre. Il déchargea également assez vite sur sa langue qui s’enroulait avec adresse autour de son gland. Presque au même instant, elle sentit le plombier ressortir sa queue de son cul et expulser des jets de sperme sur son anus. Tout le foutre coula sur le bas de son dos et tomba au sol par grosses goûtes. Il fût remplacé par le directeur qui l’encula avec fougue. Il n’eut pas le temps de la sodomiser longtemps car rapidement il éjacula sur le petit trou de la jeune femme, de la même façon que le plombier. L’électricien et le maître d’œuvre et la besognèrent encore plusieurs minutes, l’un dans le cul, l’autre dans la bouche. Ils finirent aussi par exploser de plaisir à leur tour.
L’un des ouvriers libéra Laureen qui se releva, les jambes tremblantes. Le maître d’œuvre qui avait retrouvé de la vigueur s’allongea au sol et invita la jeune femme à s’asseoir sur sa queue. Elle obtempéra et vint se mettre à califourchon sur l’homme. Le membre s’inséra dans sa chatte dégoulinante de mouille. Elle se mit à onduler du bassin, à monter et descendre sur cette hampe de chair bien dure.
Le plombier vint se placer dans son dos et poussa son gland sur l’anus de la jeune femme. Le membre s’inséra facilement puis il se mit à la baiser en rythme. Laureen sentait les deux queues bouger en elle avec délectation. Le plombier la pénétrait en profondeur, ses couilles venant taper sur ses fesses à chaque mouvement.
Alors qu’elle était prise par ces deux hommes, l’électricien vint enjamber son collègue au sol pour présenter sa queue à la jeune femme qui le prit en bouche avec délectation.
Le plombier laissa sa place au directeur alors que l’électricien pris celle du maître d’œuvre. Laureen resta ainsi, prise de la même façon mais par deux autres hommes. Le jeune apprenti réclama à son tour une fellation que lui accorda avec bonheur la jeune femme.
Ceux qui ne participaient pas regardait la scène en se masturbant.
Alors qu’elle se faisait besogner la chatte et le cul elle entendait les hommes s’exclamer :
- Putain, ce qu’elle est bonne cette salope !
- Oui, elle aime se faire baiser.
- Tu aimes te faire labourer par tous les trous ?
- Oui, messieurs, j’adore ! répondit Laureen, entre deux souffles saccadés.
Qu’aurait-elle pu répondre d’autre ? Elle le pensait effectivement. La jeune femme éprouvait beaucoup de plaisir à participer à cette baise sauvage, sans limite, voir tous ces hommes bander pour elle et se sentir combler par tous ses orifices, éprouver du plaisir à avoir ces membres coulisser en elle.
Laureen sentait l’orgasme se rapprocher à chaque pénétration dans son vagin et son anus. Son souffle devenait haletant. A cet instant, l’électricien qui ne put se retenir éjacula dans sa chatte en poussa des râles de plaisir. La jeune femme ressentit avec délectation le sperme l’inonder.
Des spasmes s’emparèrent alors de son ventre, déferlant de son anus à la pointe de se seins. Elle se mit à gémir des « haaaaaa » de plaisir. Les deux hommes sentirent les contractions de son vagin et son sphincter sur leur queue respective et savourèrent la sensation en amplifiant de plus belle leur mouvement de bassin. Le directeur se lâcha à son tour et déchargea son foutre dans le cul de la femme. Cette dernière reprit ses gémissements de plus belle en sentant la chaude semence couler en elle.
Ils se retirèrent et invitèrent Laureen à se mettre à genoux. Les trois autres qui se masturbaient encore vinrent se placer en face de Laureen. Cette dernière ajouta ses caresses sur les verges ou les couilles des hommes pour les aider à atteindre l’orgasme.
Le maître d’œuvre fût le premier à jouir et lâcha plusieurs gros jets de sperme sur la langue et le visage de la jeune femme. Le plombier explosa à son tour et déchargea sur les seins de Laureen. Enfin l’apprenti approcha aussi sa queue de Laureen et vida ses couilles sur sa langue desquelles sortit une abondante quantité de sperme.
La jeune femme n’avait jamais eu autant de sperme dans la bouche. Elle en fût un peu écœurée mais était satisfaite d’avoir recueilli la semence de ces hommes qu’elle avait pris plaisir à faire jouir. Elle rentra sa langue couverte d’un épais liquide blanchâtre puis avala.
Laureen se releva et attrapa un chiffon qui traînait pour essuyer le sperme sur son visage et sa poitrine.
Lorsqu’elle fût rhabillée, elle s’adressa aux hommes :
- Je referai une visite jeudi pour voir si le chantier avance bien, dit-elle avec un regard aguicheur.
Tous les hommes se jetèrent un regard complice.
Tout en s’occupant des préparatifs du séjour elle se rendait de temps en temps sur le chantier de leur maison. En effet, depuis quelques mois avait débuté la construction de leur logement dans une petite ville, proche de la principale agglomération. La maison était à présent hors d’eau et hors d’air et les ouvriers travaillaient maintenant sur les aménagements intérieurs.
Faisant assez chaud en ce début de juillet, elle souhaitait apporter un pack de bières fraîches au cas où des ouvriers seraient présents en cette fin de matinée pour qu’ils puissent faire une pause rafraîchissante.
Lorsqu’elle arriva sur site, elle constata la présence de la camionnette de l’électricien et du plombier.
Elle entra dans la maison et rencontra l’électricien dans ce qui serait le salon. Il était accompagné de son apprenti, qui semblait avoir à peine 18 ans. Il y avait du matériel un peu partout dans la pièce, des gaines qui serpentaient au sol et un établi de fortune assemblé avec une épaisse planche de bois et des tréteaux.
- Bonjour Messieurs ! Je suis Mme Marchand, la future propriétaire. Je vous ai apporté quelques rafraîchissements.
- Bonjour. Merci Madame, c’est très aimable de votre part.
L’électricien, un plutôt bel homme d’une trentaine d’années, la remercia, montrant qu’il appréciait le geste. Lui et son apprenti décapsulèrent une bouteille et commencèrent à se désaltérer. Alors qu’ils discutaient avec la propriétaire, un homme sortit de la future la salle de bain. Le plombier devait avoir aux alentours de quarante ans, plutôt quelconque. Il vint se joindre au groupe et prit une bouteille en remerciant Laureen.
La jeune femme fixa l’étage et l’escalier de chantier très raide qui y menait puis dit :
- J’aimerai bien voir l’étage mais l’escalier me fait un peu peur.
- Je peux me mettre derrière vous pour vous sécuriser, proposa l’électricien.
- Ce serait gentil, merci.
Laureen se dirigea vers l’escalier et commença à monter prudemment quelques marches. L’électricien la suivit peu après. C’est alors, quand levant un peu les yeux, il remarqua qu’il avait une vue imprenable sur l’entrejambe de la jeune femme. Elle portait une petite jupe grise légère d’été et le fait d’être un peu en contrebas était suffisant à l’homme pour profiter du spectacle. Il parcourus du regard les belles jambes bronzées puis se perdit sur le string jaune qui enveloppait magnifiquement une jolie vulve et dont le tissus se perdait entre de belles fesses bien rondes.
Une fois le tour de l’étage effectué ils redescendirent. Elle laissa l’homme passer en premier. Il commença à descendre l’escalier. Laureen se tourna alors, posa un genou au sol, se pencha et chercha de sa jambe libre une marche. Ainsi penchée, l’ouvrier ne ratait à nouveau rien du spectacle. Il sentait sa verge se dresser fortement dans son pantalon. Il redescendirent doucement, l’ouvrier ne détournant pas le regard de sous la jupe, sauf pour faire un geste de la tête à ses collègues pour montrer qu’il était plutôt chanceux.
Arrivés en bas de l’escalier ils reprirent leur place dans le groupe et alors qu’ils échangeaient quelques mots, Laureen aperçu la grosse bosse dans le pantalon de l’électricien. Elle constata que les deux autres avaient l’air un peu excités aussi. Elle compris alors la raison.
- Je suis désolée, je n’ai pas réalisé que la position dans l’escalier pourrait être aussi provocante, expliqua-t-elle sincèrement
- Ce n’est rien, répondit l’ouvrier, un peu honteux, en essayant de retrouver son calme.
Un silence s’installa. Laureen savait qu’elle était une femme plutôt jolie et que les hommes la désiraient. Elle était athlétique, assez grande. Ses cheveux bruns encadraient un visage aux traits fins et ses yeux verts lui conféraient un regard troublant. Sa peau hâlée semblait douce comme un délicieux fruit d’été. Enfin, elle était assez fière de sa poitrine généreuse lui permettant d’arborer de jolies décolletés dans lesquels se perdaient le regard des hommes.
- C’est de ma faute, je ne vais pas vous laisser comme ça, proposa-t-elle avec un sourire provocateur.
Elle s’approcha de l’électricien, s’agenouilla, ouvrit sa braguette. Comme il ne disait rien, elle poursuivit. Elle fouilla le caleçon et en sortit une queue assez dure.
Elle la mit en bouche et entama une fellation.
Elle fit signe aux deux autres d’approcher. Ils obéirent, trop heureux de la tournure que prenait les choses, et se placèrent de part et d’autre de leur collègue en sortant leur verge tendue. Laureen prit une queue dans chaque main pour les branler et suçait l’électricien avec sa seule bouche. Elle changeait de temps en temps de position pour prendre toutes les bites en bouche.
Elle avait beaucoup de plaisir à sucer ces trois queues. Elle était une femme assez libre sexuellement et fréquentait avec son mari les clubs libertins. Elle ne perdait jamais une occasion de prendre du plaisir. Baiser et faire l’amour étaient deux choses différentes pour elle. Elle dissociait le plaisir charnel pur de celui où l’aspect émotionnel s’ajoutait.
Alors qu’elle était en pleine action, la porte de la maison s’ouvrit pour laisser entrer deux hommes. Laureen reconnu le responsable de la société de construction et son maître d’œuvre. Ils restèrent tous les deux sans voix devant la scène. Alors qu’ils ne bougeaient pas, la jeune femme dit :
- Venez messieurs. Plus on est de fous…
Les deux nouveaux finirent par se joindre au groupe. Les cinq hommes formaient un arc de cercle et Laureen se déplaçait de l’un à l’autre pour contenter tout le monde, usant avec adresse de sa bouche et ses mains. Elle prenait beaucoup de plaisir à faire une fellation à tous ces hommes. Jamais elle n’avait eu autant de mâles à sa disposition et cette situation humidifiait fortement son entrejambe.
Au bout d’une dizaine de minutes, elle se releva, recula un peu et commença à retirer ses vêtements tout doucement, avec des gestes sensuels. Elle débuta le strip-tease en enlevant son top noir. Elle se tourna pour avoir les hommes dans son dos et fît glisser doucement la jupe grise le long de ses jambes. Elle les gardait bien droites et se penchait pour accompagner sa jupe jusqu’à ses chevilles. Ils purent admirer le petit string jaune sur lequel une auréole d’humidité apparaissait. Elle refit face aux hommes et se délecta de l’effet qu’elle produisait sur eux. Ils étaient tous en train de se masturber en savourant le spectacle. Elle était belle, à moitié nue dans ses sous-vêtements dont le tulle et la fine dentelle laissaient apercevoir de beaux seins et un fin duvet sur le pubis.
Elle dégrafa son soutien-gorge corbeille jaune et le fît descendre tout doucement sur ses seins volumineux. La douce peau plus claire et veloutée se dévoila peu à peu. Deux belles larges aréoles apparurent alors puis des tétons dressés. La vêtement finit au sol. Les seins étaient beaux et chacun des hommes présents dans la pièce voulait les caresser. Elle se retourna à nouveau et recommença la même chose qu’avec la jupe pour enlever le string. Elle avait des fesses aussi belles que ses seins, bien rondes que sa cambrure naturelle et ses activités sportives faisaient magnifiquement ressortir. Le string les mettait merveilleusement bien en valeur. Elle entendait dans son dos fuser des compliments comme « Ho putain, quel cul ». Laureen fût flattée de plaire, elle aimait se sentir désirée. Elle attrapa son string jaune par les côtés puis commença à le faire glisser. Plus le tissus descendait, plus les hommes bandaient. Penchée en avant, le string libérait tout doucement la vulve humide de la jeune femme. Arrivée à ses chevilles, jambes tendues, elle savait que son public ne ratait rien du spectacle alors que toute son intimité était exposée à leur vue. Elle frissonna d’excitation.
- Déshabillez-vous messieurs ! ordonna la jeune femme.
En moins de 30 secondes tous les habits tombèrent au sol. Laureen profita de la scène de ces cinq hommes entièrement nus, la verge bien droite.
Elle ramassa plusieurs t-shirt par terre et vint les poser à plat sur la partie dégagée de l’établi de fortune. Elle s’allongea dessus et écarta en grand les jambes. Elle passa la main sur son clitoris, introduisit un doigt dans sa chatte trempée puis se caressa un peu pour bien humidifier tout son sexe. Les hommes avaient pour la première fois une vue imprenable sur le sexe gonflé d’excitation de la jeune femme, luisant de sa mouille.
L’électricien fût le plus prompt à réagir. Il vint se positionner entre les jambes et inséra lentement sa queue dans la jeune femme qui poussa un gémissement de plaisir en sentant ce membre s’introduire en elle. Il en profita pour laisser traîner ses mains sur sa cuisse et son clitoris. Le plombier vint mettre sa queue devant le visage de Laureen qui la mit en bouche et il se mit caresser l’un de ses seins avec sa main droite alors qu’il passait sa gauche dans ses cheveux. Le directeur vint se placer de l’autre côté du visage de la propriétaire et fît rouler l’un de ses tétons sous ses doigts. Elle attrapa la verge avec sa main gauche et la masturba. L’apprenti et le maître d’œuvre s’approchèrent et tout en se masturbant caressaient le ventre de la jeune femme. La divine sensation de toutes ces mains chaudes qui exploraient son corps lui provoqua des frissons de son sexe jusqu’à la pointe de ses seins.
Laureen gémissait doucement à chaque coup de rein ou caresse. Les deux hommes qui se branlaient vinrent finalement se placer derrière l’électricien. Ils furent bientôt rejoint par le plombier et le directeur. L’homme qui la pénétrait laissa la place au maître d’œuvre et vint se mettre à la fin de la file.
Un tressaillement parcouru l’échine de Laureen en voyant ces mâles faire la queue pour la baiser. A présent, chacun son tour un homme la pénétrait, faisant des va-et-vient pendant quelques brèves minutes puis allait en fin de file pour laisser la place au suivant. Chaque homme défilait ainsi brièvement. Laureen était au bord de l’extase de sentir une queue la pénétrer, la baiser puis ressortir pour laisser la place à une autre, plus grande, plus petite, plus large, plus droite. L’un ajoutait une caresse sur son clitoris, l’autre malaxait ses seins, l’un pinçait ses tétons, l’autre massait ses cuisses.
- Interdit de jouir en elle, ordonna le plombier. Pensez aux collègues qui passent après.
Laureen fût déçue, mais comprenait la remarque, car elle adorait ressentir le sperme inonder son vagin. Bien souvent, quand proche de l’orgasme et que son mari déchargeait sa semence chaude elle explosait instantanément de plaisir.
Cette pensée et un nouveau coup de rein et elle fût prise par puissant un orgasme qui lui provoqua une forte éjaculation de liquide. Les hommes furent surpris de la voir « squirter », cela étant une première expérience pour la plupart. Cela lui arrivait en effet parfois d’expulser un liquide de son sexe lorsqu’elle était très excitée. Son mari était toujours fier quand cela se produisait. L’électricien qui était en elle à cet instant savoura d’être celui qui lui avait donné tant de plaisir.
Ce dernier voyant que la jeune femme commençait à fatiguer à maintenir ses jambes écartées, attrapa un rouleau de scotch de masquage, serra les jambes de Laureen puis les releva jusqu’à sa poitrine. Il lui pris les bras qu’il passa derrière ses genoux et attacha solidement ses poignets entre eux.
Ainsi la jeune femme était offerte aux désirs de ces hommes, ne pouvant s’y soustraire. Le directeur se mit à lui lécher la chatte avant d’y introduire un doigt. Le plombier vint pénétrer son anus avec son index humide. Aimant la sodomie, elle s’ouvrit facilement et rapidement et il pu insérer sa queue sur laquelle il avait craché et entama des aller-retour dans son cul. Enfin, l’apprenti vint présenter son chibre devant la bouche de la jeune femme. Ne pouvant pas bouger, c’est lui qui fît onduler son bassin.
Laureen n’était plus vraiment une femme mais un objet sexuel servant à assouvir les désirs des cinq hommes. Mais ainsi soumise, vulnérable, le plaisir de se faire baiser pour tous les orifices était accrus. Elle adorait la situation.
A force de va-et-vient dans la bouche de Laureen, l’apprenti se cambra et expulsa son sperme. La jeune femme savoura son foutre et l’avala. Le jeune homme laissa sa place au maître d’œuvre. Il déchargea également assez vite sur sa langue qui s’enroulait avec adresse autour de son gland. Presque au même instant, elle sentit le plombier ressortir sa queue de son cul et expulser des jets de sperme sur son anus. Tout le foutre coula sur le bas de son dos et tomba au sol par grosses goûtes. Il fût remplacé par le directeur qui l’encula avec fougue. Il n’eut pas le temps de la sodomiser longtemps car rapidement il éjacula sur le petit trou de la jeune femme, de la même façon que le plombier. L’électricien et le maître d’œuvre et la besognèrent encore plusieurs minutes, l’un dans le cul, l’autre dans la bouche. Ils finirent aussi par exploser de plaisir à leur tour.
L’un des ouvriers libéra Laureen qui se releva, les jambes tremblantes. Le maître d’œuvre qui avait retrouvé de la vigueur s’allongea au sol et invita la jeune femme à s’asseoir sur sa queue. Elle obtempéra et vint se mettre à califourchon sur l’homme. Le membre s’inséra dans sa chatte dégoulinante de mouille. Elle se mit à onduler du bassin, à monter et descendre sur cette hampe de chair bien dure.
Le plombier vint se placer dans son dos et poussa son gland sur l’anus de la jeune femme. Le membre s’inséra facilement puis il se mit à la baiser en rythme. Laureen sentait les deux queues bouger en elle avec délectation. Le plombier la pénétrait en profondeur, ses couilles venant taper sur ses fesses à chaque mouvement.
Alors qu’elle était prise par ces deux hommes, l’électricien vint enjamber son collègue au sol pour présenter sa queue à la jeune femme qui le prit en bouche avec délectation.
Le plombier laissa sa place au directeur alors que l’électricien pris celle du maître d’œuvre. Laureen resta ainsi, prise de la même façon mais par deux autres hommes. Le jeune apprenti réclama à son tour une fellation que lui accorda avec bonheur la jeune femme.
Ceux qui ne participaient pas regardait la scène en se masturbant.
Alors qu’elle se faisait besogner la chatte et le cul elle entendait les hommes s’exclamer :
- Putain, ce qu’elle est bonne cette salope !
- Oui, elle aime se faire baiser.
- Tu aimes te faire labourer par tous les trous ?
- Oui, messieurs, j’adore ! répondit Laureen, entre deux souffles saccadés.
Qu’aurait-elle pu répondre d’autre ? Elle le pensait effectivement. La jeune femme éprouvait beaucoup de plaisir à participer à cette baise sauvage, sans limite, voir tous ces hommes bander pour elle et se sentir combler par tous ses orifices, éprouver du plaisir à avoir ces membres coulisser en elle.
Laureen sentait l’orgasme se rapprocher à chaque pénétration dans son vagin et son anus. Son souffle devenait haletant. A cet instant, l’électricien qui ne put se retenir éjacula dans sa chatte en poussa des râles de plaisir. La jeune femme ressentit avec délectation le sperme l’inonder.
Des spasmes s’emparèrent alors de son ventre, déferlant de son anus à la pointe de se seins. Elle se mit à gémir des « haaaaaa » de plaisir. Les deux hommes sentirent les contractions de son vagin et son sphincter sur leur queue respective et savourèrent la sensation en amplifiant de plus belle leur mouvement de bassin. Le directeur se lâcha à son tour et déchargea son foutre dans le cul de la femme. Cette dernière reprit ses gémissements de plus belle en sentant la chaude semence couler en elle.
Ils se retirèrent et invitèrent Laureen à se mettre à genoux. Les trois autres qui se masturbaient encore vinrent se placer en face de Laureen. Cette dernière ajouta ses caresses sur les verges ou les couilles des hommes pour les aider à atteindre l’orgasme.
Le maître d’œuvre fût le premier à jouir et lâcha plusieurs gros jets de sperme sur la langue et le visage de la jeune femme. Le plombier explosa à son tour et déchargea sur les seins de Laureen. Enfin l’apprenti approcha aussi sa queue de Laureen et vida ses couilles sur sa langue desquelles sortit une abondante quantité de sperme.
La jeune femme n’avait jamais eu autant de sperme dans la bouche. Elle en fût un peu écœurée mais était satisfaite d’avoir recueilli la semence de ces hommes qu’elle avait pris plaisir à faire jouir. Elle rentra sa langue couverte d’un épais liquide blanchâtre puis avala.
Laureen se releva et attrapa un chiffon qui traînait pour essuyer le sperme sur son visage et sa poitrine.
Lorsqu’elle fût rhabillée, elle s’adressa aux hommes :
- Je referai une visite jeudi pour voir si le chantier avance bien, dit-elle avec un regard aguicheur.
Tous les hommes se jetèrent un regard complice.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle gourmande !!! Cinq hommes pour s'occuper d'elle !!! Bravo !
Super histoire et chaudes et détails en plus.vet génial
Elle m'a bien fait bander ta salope !!!
Quelle coquine !!!
hummm
et bien je vais faire plombier