Visite médicale particulière
Récit érotique écrit par Derrick [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Visite médicale particulière
Il y avait longtemps que Laure, ma fidèle épouse depuis bientôt quinze années, se plaignait de maux
de ventre, particulièrement avant ses règles. Mais ces désagréments passaient naturellement et elle
oubliait jusqu’à ce que cela revienne ! C’est un peu comme la crainte du dentiste ! On attend
d’avoir très mal avant de consulter et c’était son cas. Je n’y prêtais que peu d’attention car mon
activité professionnelle me prenait beaucoup de mon temps et de mon énergie.
Mais voilà, je fus désigné sans préavis comme chef de projet pour implanter des ateliers sur le
continent africain ! Eh oui, la mondialisation touchait tout le monde. En quinze jours, sans les
enfants, en internat, nous avions rejoint mon nouveau lieu de travail.
Laure n’était pas particulièrement heureuse de ce départ, mais l’expérience africaine, la qualité de
vie et le climat équatorial avaient eu raison de ses réticences.
Dès notre arrivée, nous fûmes accueillis par Pierre, un homme de 40 ans, très sympathique et
implanté depuis des années en Afrique. Il nous aida dans nos longues et laborieuses démarches
administratives et nous donna de précieuses informations sur la vie pratique.
Lors de ce premier entretien, Laure évoqua son besoin impératif d’avoir l’adresse d’un médecin et
d’un gynécologue. Pierre s’empressa de lui dire que c’était là la principale difficulté. Il fallait
faire près de 250 kilomètres pour rejoindre la capitale et trouver ces services médicaux, mais
qu’ici, il y avait un docteur qui avait un excellent diagnostic et de très bons résultats.
Seulement, il souligna que ses méthodes étaient pour le moins très particulières et pouvaient
surprendre.
Voyant nos regards interrogateurs, il crut bon de préciser que les consultations se réalisaient dans
une salle commune car il n’y avait pas de salle d’attente, et que, quelquefois, ses méthodes se
rapprochaient plus du rebouteux ou du « sorcier » que de la bonne médecine française.
Voulant nous aider au-delà de nos interrogations, il demanda à Laure si elle suivait un traitement
spécial. Elle lui répondit par la négative mais évoqua ses fréquents maux de ventre.
— D’ailleurs, dit-elle, je sens que la période approche et le stress d’arriver dans une zone
inconnue n’est pas fait pour arranger les choses.
Pierre hésita un instant, puis nous proposa, puisqu’il était près de midi, de déjeuner puis de nous
rendre chez ce médecin pour prendre rendez vous, car il n’avait pas le téléphone.
Notre premier repas fût particulièrement révélateur de ce qui nous attendait ! Une chaleur humide à
tel point que la petite robe de Laure était trempée. Le tissu imprégné de sa transpiration collait à
sa peau et dessinait parfaitement le galbe de ses cuisses ainsi que la courbe de sa poitrine. Sans
le soutien-gorge, je pense qu’on aurait pu distinguer parfaitement la couleur et le contour de ses
tétons.
Nous quittâmes le « restaurant » qui ressemblait plus à une guinguette ou un routier, sous les
regards très intéressés des clients – tous noirs. Je compris leur intérêt lorsque je constatai en
sortant de l’établissement, que sous l’effet de la transpiration, la robe de Laure était restée
collée et dévoilait le haut de ses cuisses. Regardant de plus près, la transparence liée à
l’humidité ne cachait que peu de chose de sa culotte, donc de ses fesses !
D’un geste rapide, je remédiai au « problème ». Le regard de Pierre n’avait rien d’équivoque ! Il
avait également bien profité de la situation !
Après une demi-heure de route qui s’apparentait plus à de la piste, nous arrivâmes dans un village.
Un bâtiment « en dur » trônait sur la place centrale avec une inscription « dispensaire » qui devait
dater de l’époque des colonies !
Nous entrâmes tous les trois. Effectivement, quelques chaises occupées sur notre droite, un bureau
et une table d’auscultation au fond, un lavabo étaient le seul mobilier de cette pièce d’environ
quarante mètres carré. Un ventilateur tentait de brasser l’atmosphère suffocante de ce lieu.
Sur les chaises étaient assis trois hommes, une femme. Au
bureau, le médecin en blouse blanche immaculée nous vit entrer et nous invita immédiatement à nous
approcher, les blancs étant toujours prioritaires, nous précisa Pierre.
Deux chaises face au bureau nous permirent de nous asseoir Laure et moi, Pierre préférant rester
debout. Aussitôt le médecin nous demanda l’objet de notre visite et nous lui demandâmes simplement
un rendez vous pour Laure en lui expliquant l’objet de nos inquiétudes.
Sans que nous n’ayons pu dire quoi que ce soit, il se leva en annonçant :
— Eh bien, allongez-vous, madame, nous allons voir ce qui ne va pas !
Ma femme nous interrogea du regard, Pierre et moi ! Pierre, sentant son hésitation, la rassura en
lui disant :
— N’ayez pas peur, c’est comme cela ici, il va voir ce qu’il peut faire et vous reviendrez si besoin
!
Quelque peu rassurée, mon épouse suivit le médecin jusqu’à la table d’auscultation. Sa robe était
encore collée à mi-cuisses et les hommes assis avaient leur regard rivé sur le spectacle (Pierre
aussi d’ailleurs).
— Allongez-vous, madame, et dites-moi si je vous fais mal !
Laure était allongée sur la table de consultation, sans aucun paravent, à la vue de tous, les jambes
orientées vers la porte d’entrée, donc face aux patients !
Le médecin commença à palper le cou de Laure, puis descendit sur son abdomen. Là, Laure fit une
grimace. Les mains insistèrent et descendirent encore plus bas. Laure poussa un petit cri lorsque
les doigts du praticien explorèrent son aine.
— Bon, dit-il, je vais vous prendre votre tension !
Sans hésitation, il fit sauter les quatre boutons de sa robe et ouvrit largement le frêle vêtement,
découvrant ainsi la poitrine de Laure toujours blottie dans les frêles bonnets de son soutien-gorge
en dentelle transparente. De ma place, je voyais le contour de ses mamelons brun foncés.
Il saisit le stéthoscope et commença à ausculter mon épouse. Sa main se promena du cou au ventre en
évitant la poitrine dans un premier temps. Il lui demanda de tousser, d’arrêter de respirer. À un
moment, il s’arrêta un instant, puis glissa son appareil sous le bonnet gauche de Laure. Il était
très serré et le praticien avait du mal, aussi, sans aucune hésitation, il tira le sein gauche de sa
cache, mais le soutien-gorge voulait remonter, alors il le glissa entièrement dévoilant les deux
seins de mon épouse aux témoins qui n’en rataient pas une miette, Pierre également. Je remarquai une
bosse révélatrice du plaisir qu’il prenait à découvrir les mamelles de ma femme !
Ses seins pointaient fièrement et Laure paraissait très embarrassée d’être exposée comme cela.
L’auscultation se poursuivit, et le stéthoscope fut vite remplacé par les mains qui entamèrent une
palpation en règle de cette poitrine offerte. Cela dura longtemps, très longtemps, et toujours dans
un silence absolu.
Enfin, il lui demanda de se mettre sur le ventre, ce qu’elle fit. De suite, l’attache du soutien-
gorge sauta et les seins furent complètement libres. Le stéthoscope fit de nouveau son office :
— Toussez, arrêtez, retenez votre respiration, toussez… levez vous !
Laure semblait rassurée, l’examen devait être terminé. Elle se leva et se retrouva debout face au
médecin et reprit son soutien-gorge afin de le remettre, mais de suite, le médecin lui fit signe de
s’arrêter. L’ouverture du haut de la robe était telle que cette dernière avait une fâcheuse tendance
à glisser et Laure avait du mal à la garder sur elle. Cela serait vite être réglé car l’ordre
suivant allait de suite répondre au problème :
— Retirez votre robe, s’il vous plaît !
Là, je vis le visage de Laure se transformer ! La panique se lisait sur son visage. Déjà les seins à
l’air, il fallait aussi qu’elle exhibât son ventre, ses cuisses !
— Allez, dépêchez vous, d’autres malades attendent !
Cet ordre était sans appel et Laure s’exécuta. La robe glissa doucement pour rejoindre le sol.
Pierre n’en perdait pas une miette ! La bosse de son pantalon en témoignait. J’avoue moi-même avoir
été assez excité !
Laure était debout, en culotte ! Mais la consigne suivante allait achever le reste de pudeur de ma
femme :
— Retirer aussi votre culotte, madame !
Comme une automate, ma femme roula sa culotte sur ses cuisses dévoilant sa toison brune bien
entretenue. Elle prenait soin de son apparence. Je souhaitais qu’elle conservât un pubis velu, mais
le sexe rasé de près.
Nue comme un ver, aux ordres du médecin, elle se rallongea sur la table d’auscultation. Là, le
praticien lui leva les jambes pour les positionner dans les étriers. Tout le monde avait maintenant
une vue imprenable sur l’intimité de mon épouse. Ses lèvres intimes, légèrement ouvertes par la
position des cuisses, étaient scrutées par tous les yeux de la salle. Le médecin alla droit au but !
Sans aucune protection car il n’a pas de gants, il ouvrit le vagin de Laure d’une main et glissa un
doigt dans la fente offerte. Il la doigta longtemps, très longtemps, un doigt, puis deux ! Je sentis
que ma femme vibrait légèrement, son ventre présentait des spasmes révélateurs. Le médecin s’en
aperçut et insista sur un va-et-vient lent et régulier. Son autre main avait pris possession d’un
sein qu’il malaxait doucement. Le bassin se cambra ! Toute pudeur était partie. Les doigts de
l’inquisiteur étaient poisseux de la mouille de ma chérie qui vibrait de plus en plus. Il me fit
signe d’approcher, je m’exécutai.
— Cher monsieur, la suite de mon traitement pourrait vous paraître très particulier – déjà le début
avait été particulièrement bizarre ! Je suis en train de tuer le mal de votre femme ! Mon magnétisme
détruit les polypes de ses ovaires. Je dois maintenant terminer en pénétrant votre femme avec mon
sexe. M’en donnez-vous la permission ?
Là, je suis complètement abasourdi ! Je suis dans le monde virtuel ! Non, c’est bien réel ! Et je
m’entends dire :
— Oui, bien sûr, docteur, poursuivez !
Il sortit de sa braguette un membre impressionnant ! Comme tout le monde, il présentait une
magnifique érection. Son sexe circoncis s’infiltra lentement dans le vagin de ma douce qui ne dit
plus rien ! Honte mélangée au plaisir peut-être. Je vis le membre maintenant englouti à moitié dans
l’intimité de ma chérie, puis les trois-quarts, puis jusqu’à la garde ! Enfin un va-et-vient
commença à s’opérer.
Elle criait, ne se retenait plus, râlait, se cambrait. Cette pénétration allait durer dix bonnes
minutes, puis le médecin se retira et éjacula sur le ventre de ma femme.
— Vous pouvez vous rhabiller, madame, c’est terminé, vous êtes guérie !
Laure se releva, le sperme coulait le long de son ventre ! On voyait encore distinctement son
clitoris érigé. Sans un mot, elle remit sa robe en oubliant son soutien-gorge. Le ramassa et le
déposa dans son sac. Puis, comme un zombie retourna s’asseoir face au bureau.
— C’est mille francs CFA !
La facture n’était pas si salée que cela ! Je payai et nous ressortîmes.
Dehors, les idées redevinrent plus claires et nous parlâmes.
Elle n’a effectivement plus mal au ventre, Pierre est devenu un ami « intime » et nous repensons
souvent à cet épisode de notre vie.
de ventre, particulièrement avant ses règles. Mais ces désagréments passaient naturellement et elle
oubliait jusqu’à ce que cela revienne ! C’est un peu comme la crainte du dentiste ! On attend
d’avoir très mal avant de consulter et c’était son cas. Je n’y prêtais que peu d’attention car mon
activité professionnelle me prenait beaucoup de mon temps et de mon énergie.
Mais voilà, je fus désigné sans préavis comme chef de projet pour implanter des ateliers sur le
continent africain ! Eh oui, la mondialisation touchait tout le monde. En quinze jours, sans les
enfants, en internat, nous avions rejoint mon nouveau lieu de travail.
Laure n’était pas particulièrement heureuse de ce départ, mais l’expérience africaine, la qualité de
vie et le climat équatorial avaient eu raison de ses réticences.
Dès notre arrivée, nous fûmes accueillis par Pierre, un homme de 40 ans, très sympathique et
implanté depuis des années en Afrique. Il nous aida dans nos longues et laborieuses démarches
administratives et nous donna de précieuses informations sur la vie pratique.
Lors de ce premier entretien, Laure évoqua son besoin impératif d’avoir l’adresse d’un médecin et
d’un gynécologue. Pierre s’empressa de lui dire que c’était là la principale difficulté. Il fallait
faire près de 250 kilomètres pour rejoindre la capitale et trouver ces services médicaux, mais
qu’ici, il y avait un docteur qui avait un excellent diagnostic et de très bons résultats.
Seulement, il souligna que ses méthodes étaient pour le moins très particulières et pouvaient
surprendre.
Voyant nos regards interrogateurs, il crut bon de préciser que les consultations se réalisaient dans
une salle commune car il n’y avait pas de salle d’attente, et que, quelquefois, ses méthodes se
rapprochaient plus du rebouteux ou du « sorcier » que de la bonne médecine française.
Voulant nous aider au-delà de nos interrogations, il demanda à Laure si elle suivait un traitement
spécial. Elle lui répondit par la négative mais évoqua ses fréquents maux de ventre.
— D’ailleurs, dit-elle, je sens que la période approche et le stress d’arriver dans une zone
inconnue n’est pas fait pour arranger les choses.
Pierre hésita un instant, puis nous proposa, puisqu’il était près de midi, de déjeuner puis de nous
rendre chez ce médecin pour prendre rendez vous, car il n’avait pas le téléphone.
Notre premier repas fût particulièrement révélateur de ce qui nous attendait ! Une chaleur humide à
tel point que la petite robe de Laure était trempée. Le tissu imprégné de sa transpiration collait à
sa peau et dessinait parfaitement le galbe de ses cuisses ainsi que la courbe de sa poitrine. Sans
le soutien-gorge, je pense qu’on aurait pu distinguer parfaitement la couleur et le contour de ses
tétons.
Nous quittâmes le « restaurant » qui ressemblait plus à une guinguette ou un routier, sous les
regards très intéressés des clients – tous noirs. Je compris leur intérêt lorsque je constatai en
sortant de l’établissement, que sous l’effet de la transpiration, la robe de Laure était restée
collée et dévoilait le haut de ses cuisses. Regardant de plus près, la transparence liée à
l’humidité ne cachait que peu de chose de sa culotte, donc de ses fesses !
D’un geste rapide, je remédiai au « problème ». Le regard de Pierre n’avait rien d’équivoque ! Il
avait également bien profité de la situation !
Après une demi-heure de route qui s’apparentait plus à de la piste, nous arrivâmes dans un village.
Un bâtiment « en dur » trônait sur la place centrale avec une inscription « dispensaire » qui devait
dater de l’époque des colonies !
Nous entrâmes tous les trois. Effectivement, quelques chaises occupées sur notre droite, un bureau
et une table d’auscultation au fond, un lavabo étaient le seul mobilier de cette pièce d’environ
quarante mètres carré. Un ventilateur tentait de brasser l’atmosphère suffocante de ce lieu.
Sur les chaises étaient assis trois hommes, une femme. Au
bureau, le médecin en blouse blanche immaculée nous vit entrer et nous invita immédiatement à nous
approcher, les blancs étant toujours prioritaires, nous précisa Pierre.
Deux chaises face au bureau nous permirent de nous asseoir Laure et moi, Pierre préférant rester
debout. Aussitôt le médecin nous demanda l’objet de notre visite et nous lui demandâmes simplement
un rendez vous pour Laure en lui expliquant l’objet de nos inquiétudes.
Sans que nous n’ayons pu dire quoi que ce soit, il se leva en annonçant :
— Eh bien, allongez-vous, madame, nous allons voir ce qui ne va pas !
Ma femme nous interrogea du regard, Pierre et moi ! Pierre, sentant son hésitation, la rassura en
lui disant :
— N’ayez pas peur, c’est comme cela ici, il va voir ce qu’il peut faire et vous reviendrez si besoin
!
Quelque peu rassurée, mon épouse suivit le médecin jusqu’à la table d’auscultation. Sa robe était
encore collée à mi-cuisses et les hommes assis avaient leur regard rivé sur le spectacle (Pierre
aussi d’ailleurs).
— Allongez-vous, madame, et dites-moi si je vous fais mal !
Laure était allongée sur la table de consultation, sans aucun paravent, à la vue de tous, les jambes
orientées vers la porte d’entrée, donc face aux patients !
Le médecin commença à palper le cou de Laure, puis descendit sur son abdomen. Là, Laure fit une
grimace. Les mains insistèrent et descendirent encore plus bas. Laure poussa un petit cri lorsque
les doigts du praticien explorèrent son aine.
— Bon, dit-il, je vais vous prendre votre tension !
Sans hésitation, il fit sauter les quatre boutons de sa robe et ouvrit largement le frêle vêtement,
découvrant ainsi la poitrine de Laure toujours blottie dans les frêles bonnets de son soutien-gorge
en dentelle transparente. De ma place, je voyais le contour de ses mamelons brun foncés.
Il saisit le stéthoscope et commença à ausculter mon épouse. Sa main se promena du cou au ventre en
évitant la poitrine dans un premier temps. Il lui demanda de tousser, d’arrêter de respirer. À un
moment, il s’arrêta un instant, puis glissa son appareil sous le bonnet gauche de Laure. Il était
très serré et le praticien avait du mal, aussi, sans aucune hésitation, il tira le sein gauche de sa
cache, mais le soutien-gorge voulait remonter, alors il le glissa entièrement dévoilant les deux
seins de mon épouse aux témoins qui n’en rataient pas une miette, Pierre également. Je remarquai une
bosse révélatrice du plaisir qu’il prenait à découvrir les mamelles de ma femme !
Ses seins pointaient fièrement et Laure paraissait très embarrassée d’être exposée comme cela.
L’auscultation se poursuivit, et le stéthoscope fut vite remplacé par les mains qui entamèrent une
palpation en règle de cette poitrine offerte. Cela dura longtemps, très longtemps, et toujours dans
un silence absolu.
Enfin, il lui demanda de se mettre sur le ventre, ce qu’elle fit. De suite, l’attache du soutien-
gorge sauta et les seins furent complètement libres. Le stéthoscope fit de nouveau son office :
— Toussez, arrêtez, retenez votre respiration, toussez… levez vous !
Laure semblait rassurée, l’examen devait être terminé. Elle se leva et se retrouva debout face au
médecin et reprit son soutien-gorge afin de le remettre, mais de suite, le médecin lui fit signe de
s’arrêter. L’ouverture du haut de la robe était telle que cette dernière avait une fâcheuse tendance
à glisser et Laure avait du mal à la garder sur elle. Cela serait vite être réglé car l’ordre
suivant allait de suite répondre au problème :
— Retirez votre robe, s’il vous plaît !
Là, je vis le visage de Laure se transformer ! La panique se lisait sur son visage. Déjà les seins à
l’air, il fallait aussi qu’elle exhibât son ventre, ses cuisses !
— Allez, dépêchez vous, d’autres malades attendent !
Cet ordre était sans appel et Laure s’exécuta. La robe glissa doucement pour rejoindre le sol.
Pierre n’en perdait pas une miette ! La bosse de son pantalon en témoignait. J’avoue moi-même avoir
été assez excité !
Laure était debout, en culotte ! Mais la consigne suivante allait achever le reste de pudeur de ma
femme :
— Retirer aussi votre culotte, madame !
Comme une automate, ma femme roula sa culotte sur ses cuisses dévoilant sa toison brune bien
entretenue. Elle prenait soin de son apparence. Je souhaitais qu’elle conservât un pubis velu, mais
le sexe rasé de près.
Nue comme un ver, aux ordres du médecin, elle se rallongea sur la table d’auscultation. Là, le
praticien lui leva les jambes pour les positionner dans les étriers. Tout le monde avait maintenant
une vue imprenable sur l’intimité de mon épouse. Ses lèvres intimes, légèrement ouvertes par la
position des cuisses, étaient scrutées par tous les yeux de la salle. Le médecin alla droit au but !
Sans aucune protection car il n’a pas de gants, il ouvrit le vagin de Laure d’une main et glissa un
doigt dans la fente offerte. Il la doigta longtemps, très longtemps, un doigt, puis deux ! Je sentis
que ma femme vibrait légèrement, son ventre présentait des spasmes révélateurs. Le médecin s’en
aperçut et insista sur un va-et-vient lent et régulier. Son autre main avait pris possession d’un
sein qu’il malaxait doucement. Le bassin se cambra ! Toute pudeur était partie. Les doigts de
l’inquisiteur étaient poisseux de la mouille de ma chérie qui vibrait de plus en plus. Il me fit
signe d’approcher, je m’exécutai.
— Cher monsieur, la suite de mon traitement pourrait vous paraître très particulier – déjà le début
avait été particulièrement bizarre ! Je suis en train de tuer le mal de votre femme ! Mon magnétisme
détruit les polypes de ses ovaires. Je dois maintenant terminer en pénétrant votre femme avec mon
sexe. M’en donnez-vous la permission ?
Là, je suis complètement abasourdi ! Je suis dans le monde virtuel ! Non, c’est bien réel ! Et je
m’entends dire :
— Oui, bien sûr, docteur, poursuivez !
Il sortit de sa braguette un membre impressionnant ! Comme tout le monde, il présentait une
magnifique érection. Son sexe circoncis s’infiltra lentement dans le vagin de ma douce qui ne dit
plus rien ! Honte mélangée au plaisir peut-être. Je vis le membre maintenant englouti à moitié dans
l’intimité de ma chérie, puis les trois-quarts, puis jusqu’à la garde ! Enfin un va-et-vient
commença à s’opérer.
Elle criait, ne se retenait plus, râlait, se cambrait. Cette pénétration allait durer dix bonnes
minutes, puis le médecin se retira et éjacula sur le ventre de ma femme.
— Vous pouvez vous rhabiller, madame, c’est terminé, vous êtes guérie !
Laure se releva, le sperme coulait le long de son ventre ! On voyait encore distinctement son
clitoris érigé. Sans un mot, elle remit sa robe en oubliant son soutien-gorge. Le ramassa et le
déposa dans son sac. Puis, comme un zombie retourna s’asseoir face au bureau.
— C’est mille francs CFA !
La facture n’était pas si salée que cela ! Je payai et nous ressortîmes.
Dehors, les idées redevinrent plus claires et nous parlâmes.
Elle n’a effectivement plus mal au ventre, Pierre est devenu un ami « intime » et nous repensons
souvent à cet épisode de notre vie.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai adoré cette histoire et je rigole bien en lisant que cette histoire est impossible et pas réaliste...nous sommes sur un site d'histoires érotiques, pas sur un site de médecine. Le fait que cette femme soit "obligée" de se retrouver nue devant ceux qui attendent m'a fait jouir plusieurs fois. Merci à l'auteur et si vous avez d'autres histoires de ce genre, j'en suis friand. Merci à vous.
super j y emmainerai bien ma femme pour la voir se faire prendre,c'est un de mes fantasmes
CA M'A BEAUCOUP EXITE DROLE DE MEDECIN
Bonjour,
Histoire très excitante, dommange qu'elle soit un peu courte ou qu'il n'y ai pas de
suite.
Amicalement
Histoire très excitante, dommange qu'elle soit un peu courte ou qu'il n'y ai pas de
suite.
Amicalement
ce récit est un de mes fantasmes que j'aimerai réaliser avec mon Maître. A la fin de la
lecture j'avoue être très excitée et trempée.
Dommage que je sois seule. Si mon Maître était à mes côtés je lui demanderai de me
baiser comme une chienne. Merci pour ce magnifique récit.
lecture j'avoue être très excitée et trempée.
Dommage que je sois seule. Si mon Maître était à mes côtés je lui demanderai de me
baiser comme une chienne. Merci pour ce magnifique récit.
TOUTE UNE MEDECINE :)
euh pas très réaliste si cela guérissait les maux de ventres avant les règles ça ce saurait !!!!
EUh... mon œil mais très exitant
et as tu eu la chance de l'offrir a un autre male noir..
c'est tellement beau...
j'espere une suite...merci pour ce recit...mike..
c'est tellement beau...
j'espere une suite...merci pour ce recit...mike..