VITE FAIT 07
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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VITE FAIT 07
VITE FAIT 07
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Il n'avait pas que des copines mon Pétard. Je dis ''mon'' c'est affectueux. Non il avait aussi des copains, mais c'est vrai qu'il était actif. Il y avait le grand Benjamin, un gars sympa, il était de belle taille et plutôt mince. Plus d'une tête de plus que moi, j'étais un peu intimidé le jour ou on nous a présenté.
Pétard nous avait présenté, on était chez lui, puis un peu plus tard il nous laissait, il avait reçu un coup de téléphone. En partant il lançait à Benjamin '' Je te le prête, amuse-toi bien je ne reviens pas avant au moins trois heures ! ''. Il avait dit ' je te le prête en parlant de moi ' !
– Il voulait dire quoi là ? Me demandait Benjamin.
– Tu n'en a aucune idée ?
– Bein non !
– Laisse moi faire.
Je me penchais sur lui, et lui ouvrait la braguette. Sans attendre davantage, j'en sortais sa queue, il ne bandait pas, elle était de taille tout à fait normale. J'étais un peu déçu sur le coup, je m'attendais à ce que tout soit proportionné.
Il ne réagissait, enfin un peu, il me posait une main sur les cheveux et me caressait la tête. Je prenais sa queue dans la bouche. Je la prenais en entier sans difficultés, elle était toute molle, mais ça ne devait pas durer. Rapidement je la sentais gonfler dans ma bouche et finalement elle n'était pas ridicule. Taille moyenne, belle largeur. Finalement elle m'allait bien. Elle me remplissait bien la bouche, jusqu'à la gorge mais sans déborder.
Je parvenais à me la prendre dans la bouche en entier sans difficultés. C'était agréable, pour une fois. Ma langue glissait sur le dessous de sa bite, et quand je relevais la tête c'est sur son gland que je m'attardais. J'insistais longuement sur son gland, je tentais de glisser le bout de ma langue dans la petite fente qu'il y a au bout.
Il gémissait de plaisir et le sentais frémir. Il soulevait une fesse, puis une autre et s'installait mieux, il était très doux et ne m'appuyait pas sur la tête, il me laissait faire. Je relevais entièrement la tête, je le regardais, lui souriais. Il me rendait mon sourire. Je le masturbais, sa queue très lubrifiée par ma salive puis je replongeais. De nouveau j'avalais sa queue. Elle me rentrais jusque dans la gorge, juste à l'entrée de la gorge, j'ai vu pire et j'y parvenais sans effort, j'y prenais beaucoup de plaisir.
Un coup de bassin lui échappait. J'encaissais et j'avais envie qu'il recommence. La queue, finalement avait la taille idéale, pas trop grosse mais conséquente et consistante. Elle était ferme et bien droite.
C'est goulûment que je la prenais dans la bouche, que je la masturbais quand je relevais la tête. Je gardais son gland dans ma bouche et caressait avec la main le reste de sa queue.
Il gémissait de plus en plus fort. Je l'avalais de nouveau. Mes mouvements devenaient plus rapides, plus fermes et plus doux tout de même. Avec la gland, c'est sensible et il faut bien doser …
Il poussait de petit cris de plaisir entre ses gémissement. Il soulevait plus souvent son bassin et par moment d'une manière violente sans prévenir. J'ai adoré sentir cette queue me défoncer la bouche. Je la prenais bien dans la bouche, je la recevais bien, et à chaque coup de bassin je répondais en appuyant mon visage contre son ventre avec des mouvements de succion de la langue, de mes lèvres, de toute ma bouche.
Là il poussait des cris de plaisir. Il appuyait maintenant sa main sur ma tête avec force mais je sentais la pression disparaître si je tentais de me retirer. En fait il ne me retenait pas.
Sauf à ce moment ou là, il appuyait de toutes ses forces, il ne voulait plus me lâcher, il me balançait son bassin dans la figure et jutait généreusement dans ma bouche.
Il respirait fort, il ne bougeait plus, ne me relâchait plus, je suçais et j'avalais. Je suçais et je sentais sa queue se ratatiner, je relevais la tête, il me souriait.
– Ah c'est de ça qu'il parlait !
Il reprenait son souffle. Et me demandait ...
– Tu crois qu'il reste de la bière ?
Je me relevais et allais chercher deux bière, il refermait son pantalon.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Il n'avait pas que des copines mon Pétard. Je dis ''mon'' c'est affectueux. Non il avait aussi des copains, mais c'est vrai qu'il était actif. Il y avait le grand Benjamin, un gars sympa, il était de belle taille et plutôt mince. Plus d'une tête de plus que moi, j'étais un peu intimidé le jour ou on nous a présenté.
Pétard nous avait présenté, on était chez lui, puis un peu plus tard il nous laissait, il avait reçu un coup de téléphone. En partant il lançait à Benjamin '' Je te le prête, amuse-toi bien je ne reviens pas avant au moins trois heures ! ''. Il avait dit ' je te le prête en parlant de moi ' !
– Il voulait dire quoi là ? Me demandait Benjamin.
– Tu n'en a aucune idée ?
– Bein non !
– Laisse moi faire.
Je me penchais sur lui, et lui ouvrait la braguette. Sans attendre davantage, j'en sortais sa queue, il ne bandait pas, elle était de taille tout à fait normale. J'étais un peu déçu sur le coup, je m'attendais à ce que tout soit proportionné.
Il ne réagissait, enfin un peu, il me posait une main sur les cheveux et me caressait la tête. Je prenais sa queue dans la bouche. Je la prenais en entier sans difficultés, elle était toute molle, mais ça ne devait pas durer. Rapidement je la sentais gonfler dans ma bouche et finalement elle n'était pas ridicule. Taille moyenne, belle largeur. Finalement elle m'allait bien. Elle me remplissait bien la bouche, jusqu'à la gorge mais sans déborder.
Je parvenais à me la prendre dans la bouche en entier sans difficultés. C'était agréable, pour une fois. Ma langue glissait sur le dessous de sa bite, et quand je relevais la tête c'est sur son gland que je m'attardais. J'insistais longuement sur son gland, je tentais de glisser le bout de ma langue dans la petite fente qu'il y a au bout.
Il gémissait de plaisir et le sentais frémir. Il soulevait une fesse, puis une autre et s'installait mieux, il était très doux et ne m'appuyait pas sur la tête, il me laissait faire. Je relevais entièrement la tête, je le regardais, lui souriais. Il me rendait mon sourire. Je le masturbais, sa queue très lubrifiée par ma salive puis je replongeais. De nouveau j'avalais sa queue. Elle me rentrais jusque dans la gorge, juste à l'entrée de la gorge, j'ai vu pire et j'y parvenais sans effort, j'y prenais beaucoup de plaisir.
Un coup de bassin lui échappait. J'encaissais et j'avais envie qu'il recommence. La queue, finalement avait la taille idéale, pas trop grosse mais conséquente et consistante. Elle était ferme et bien droite.
C'est goulûment que je la prenais dans la bouche, que je la masturbais quand je relevais la tête. Je gardais son gland dans ma bouche et caressait avec la main le reste de sa queue.
Il gémissait de plus en plus fort. Je l'avalais de nouveau. Mes mouvements devenaient plus rapides, plus fermes et plus doux tout de même. Avec la gland, c'est sensible et il faut bien doser …
Il poussait de petit cris de plaisir entre ses gémissement. Il soulevait plus souvent son bassin et par moment d'une manière violente sans prévenir. J'ai adoré sentir cette queue me défoncer la bouche. Je la prenais bien dans la bouche, je la recevais bien, et à chaque coup de bassin je répondais en appuyant mon visage contre son ventre avec des mouvements de succion de la langue, de mes lèvres, de toute ma bouche.
Là il poussait des cris de plaisir. Il appuyait maintenant sa main sur ma tête avec force mais je sentais la pression disparaître si je tentais de me retirer. En fait il ne me retenait pas.
Sauf à ce moment ou là, il appuyait de toutes ses forces, il ne voulait plus me lâcher, il me balançait son bassin dans la figure et jutait généreusement dans ma bouche.
Il respirait fort, il ne bougeait plus, ne me relâchait plus, je suçais et j'avalais. Je suçais et je sentais sa queue se ratatiner, je relevais la tête, il me souriait.
– Ah c'est de ça qu'il parlait !
Il reprenait son souffle. Et me demandait ...
– Tu crois qu'il reste de la bière ?
Je me relevais et allais chercher deux bière, il refermait son pantalon.
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