Vive l'Europe
Récit érotique écrit par Philoufree [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Vive l'Europe
Je croisais Maria Dolores quotidiennement dans les bureaux. C'était une stagiaire venue de Madrid. Elle avait 26 ans et devait passer 6 mois en France pour se former.
Nous nous croisions mais nous ne nous parlions pas. Ou si peu. Un petit bonjour, un grand sourire mais jamais plus. Nous nous retrouvions plusieurs fois par jour à la machine à café.
-"Encore un café, fais attention c'est un excitant", me disait-elle souvent en riant.
Entre collègues masculins, les premières impressions étaient unanimes. Elle était ravissante et les réflexions sur son physique étaient toujours élogieux même si les termes étaient souvent vulgaires.
"Je lui mettrais bien un petit coup, et plutôt deux fois qu'une"
"Elle a un de ses culs"
"T'as vu ses nichons ?"
"Et sa bouche à pipe, je suis sûre que c'est une chaude du cul."
"Je lui défonce le cul à la première occasion"
Bref, elle était devenue LE sujet de conversation.
Au bout de trois mois, je n'avais pas encore réussi à engager la conversation. Voulant éviter les "Tu n'es pas trop seule à Paris", "Comment se passe ton intégration" etc., au final le temps passait et je n'arrivais à rien.
Un matin, toujours à la machine à café, elle changea la situation. Ce fut elle qui me parla. Elle me demanda si j'étais libre pour déjeuner. Elle en avait assez de se faire draguer par mes collègues, me dit-elle. Ils finissaient toujours par lui proposer de sortir avec elle le soir et ne pouvaient s'empêcher de lui proposer de lui faire découvir "Paris by night".
"C'est plutôt leur lit qu'ils veulent me faire découvrir", blagua-t-elle lors de notre déjeuner.
Je n'osais lui avouer que j'avais évidemment les mêmes idées.
On sympathisa et bientôt nous déjeunions régulièrement ensemble.
Un vendredi, je lui proposai d'aller prendre un café en terrasse après le travail. On discuta longuement. Je lui racontais que j'avais une copine mais que ce n'était plus cela. Defil en aiguille elle m'invita à boire un thé chez elle. "C'est tout petit", s'excusa-t-elle.
Je lui répondis que ce n'était pas grave, que ce n'était pas la taille qui comptaait. Elle rit.
En montant les escaliers pour aller chez elle, j'avais une énorme érection en pensant à la suite.
Je dissimulais mal mon érection assis sur son canapé lit dans son studio. Quand le thé fut prêt,elle me l'apporta, je me levai, je lui pris sa tasse des mains, la posa par terre et je l'embrassais. Elle se laissa faire. Je me collais contre elle pour lui faire sentir mon sexe au garde à vous. Je lui caressais la nuque, les cheveux, puis les fesses que je pétrissais.
Puis, doucement, je passai ma main sous son chemisier pour lui carsser son dos, une peau fine et douce, elle frémit.Je l'embrassais dans la nuque et m'apprêtai à mediriger vers ses seins quand elle me repoussa.
Elle riait, un peu genée. Nous nous asseyames. Elle m'expliqua qu'elle voulait se préserver. Elle était trs croyante et son premier - et seul amour - l'avait convaincu de lui offrir sa virginté en lui promettant qu'ils se marieraient. Quelques mois plus tard, elle le découvrit au lit avec une amie. c'était une des raisons pour lesquelles elle avait décidé de partir à l'étranger pour son stage de fin d'études.
Je lui dis que je comprenais mais qu'il me fallait maintenant un seau de glaçons pour refroidir mon sexe.
Elle rit et me regarda quelques secondes fixement dans les yeux et me dit qu'elle pouvait arranger cela. Elle m'embrassa et avec une dextérité et une rapidité qui m'étonnèrent elle déboutonna mon pantalon et introduisit sa main dans mon caleçon. Je gémis. Elle me caressait longuement. Je baissais ma culotte. Elle continua ensuite vigoureusement en regardant ma bite. Rapidement, j'explosai. J'envoyais des giclées de sperme dans toutes les directions, une atteignit son visage mais elle ne s'arreta pas. Je regardais le foutre coulait sur sa joue. Quand j'eus fini d'éjaculer, elle s'arrêta et dit d'un ton amusé : "Je ne pensais pas que cela pouvait partir si loin. Je reviens". Elle partit dans la salle de bain. je me demandais ce que je devais faire quand elle revint avec un gant de toilette mouillé. Elle s'essuyas le visage et me lava délicatement mon sexe encore dur. Elle me nettoyas en affirmant qu'il fallait en prendre soin. Elle l'observait avec attention et finit par déclarer en rougissant que celui de Fernando était nettement plus petit. Je la remerciai et je remis mon caleçon et mon pantalon. Je lui demandais si elle voulait que je parte. Elle me dit de rester. "Maintenant, que nous avons mis de côté ton problème, on peut rediscuter, non ? Tu restes diner ?".
Pendant le diner, je tentais de la convaincre qu'on pouvait très bien faire l'amour et croyant, même sans se marier. Elle me répondait qu'elle n'était pas prête. Je changeai alors mon fusil d'épaule en lui disant qu'il n'y avait pas que la pénétration dans la vie, qu'on pouvait aussi se caresser, se lécher.
Elle acquiesa mais dit : "Jai peur de me laisser aller, et après de la regretter..."
"Je suis français et gentleman, je te promets de ne pas essayer de te faire l'amour si tu me laisses découvrir son corps" dis-je hypocritement.
Elle rit : "On verra".
Après le diner, je la pris dans mes bras. Doucement, je la déshabillais, je lui déboutonnais son chemisier puis dégraffai son soutien gorge. Je lui lechais ensuite les tétons, elle ronronnait et enfonçait sa poitrine contre mon visage. J'avais enfin atteint mon premier objectif. AVec du retard, certes, mais j'y étais, et j'en profitais. Ensuite, je descendis plus bas. Je m'arrêtais. Je la fixai dans les yeux et lui demanda de se mettre complètement nue. Elle hésita puis commença à enlever ses chausures. Moi, de mon côté, il me fallut moins de 10 secondes pour me déshabiller complètement et j'eus le temps de la voir enlever son pantalon. Par puduer, elle se retourna pour enlver son slip, une petite culotte blanche. Ce faisant, je pus observer ces fesses rebondies. inutile de préciser que j'avais une érection de cheval. Je la léchais et l'embrassais sur ses cuisses et enfin, victoire finale, je lui écartais les jambes pour me diriger vers sa petite chatte. Je l'embraissais longuement, Je lui titillais ensuite son clitoris avec ma langue. Elle se raidit, se cambra et jouit quelques secondes plus tard. "Arrete, arrête, s'il te plait". Je lui obéis. Je soulevai ma tête et en même temps, tout en la regardant dans les yeux, j'introduisis un dogt dans son sexe mouillé de ma salive et ses sécrétions. Elle poussa un petit cri, se raidit de nouveau, puis se relaxa. Mon doigt entrait et sortait de sa fente. Elle gémissait. J'accélérais. Sans m'arrêter, je cherchai de nouveau son clitoris avec ma langue. Au premier contact, elle vibra et quelques secondes plus tard, elle jouit de nouveau.
De nouveau assis, tous les deux, nus, sur le canapé. Elle était apaisée mais mon sexe lui était toujours aussi dur.
"Je peux prendre une douche ?".
Elle m'accompagna à la salle de bain et me tendit une serviette.
Quand je sortis, Maria Dolores m'avait déplié le canapé et s'était installée au lit.
"Tu restes dormir avec moi ?".
"Je n'ai qu'une parole, si je me couche à côté de toi, je ne sais pas ce que je pourrais te faire".
"Je sais comment défendre", dit elle en riant. Chaque fois qu'elle riait, monn coeur se mettait à battre plus fort.
Je m'installais à côté d'elle. Sur le dos.
Elle se blottit contre moi et me caressa sur le torse, bientôt elle avait de nouveau aggripé mon sexe.
"Si tu continues, tu vas le regretter".
Elle ne m'écouta pas et disparu sous les draps. Sa langue se promenait sur mon corps et atteignit ma verge. Elle lecha mon gland et ensuite prit mon sexe dans sa bouche. Avec sa main elle me branlait en même temps. A cette allure, je n'allais pas durer très longtemps. Je lui dis d'arrêter en lui prenant sa main.
"Pourquoi ? Tu n'aimes pas ? Je ne fais pas cela bien ? C'est comme cela que Fernando voulait que je fasse".
"Arrete avec ton Fernando", m'entendis-je répondre.
Je pris mon sexe dans une main et lui poussai la nuque avec l'autre. Elle reprit le sexe dans sa bouche.
"Doucement pour commencer", lui dis en imprimant sur sa tête le rythme qu'il me convenait.
Je lui caressais les cheveux pendant qu'elle me pipait. j'étais aux anges. Tous mes collègues du bureau auraient aimé être à ma place.
Je lui saisis les cheveux et j'accélérais le rythme tout en faisant des mouvements de bassin. Je faisais l'amour avec sa bouche, la forçant à aller de plus en plus loin. Elle se laissait faire.
Je jouis sans lui annoncer. Elle eut un mouvement de recul mais se reprit et je vidai mes couilles dans sa bouche. Elle voulut ensuite se retirer mais je maintins une pression pour lui faire comprendre que voulais qu'elle reste. Elle comprit immédiatement et resta sans bouger la tête en jouant avec sa langue. Quelques minutes plus tard, je m'endormis.
Quand je me reveillai le lendemain matin, elle était déjà debout.
"bonjour", me dit elle en grimaçant "Tu as bien dormi ? Tu aurais pu me dire quelque chose avant de dormir. Moi, je suis restée toute seule ensuite".
"Désolé, mais tu étais dans mes rêves".
Je regardai l'heure. 11h.
"Ma copine va me demander où j'ai passé la nuit, je dois y aller".
"J'aurais du me douter", dit-elle.
"Mais non, mais il faut aussi savoir rompre. Je ne peux pas la laisser comme cela". Je te rappelle dès que je peux si tu me laisses ton numéro".
Je partis dix minutes plus tard. A ma copine, je racontais que j'avais fait la fête toute la nuit et que j'avais dormi chez un copain du rugby.
Le lundi matin au bureau, je croise Maria Dolores dans les couloirs. Avant qu'elle ait le temps de me parler, je l'invite à déjeuner.
Nous nous croisions mais nous ne nous parlions pas. Ou si peu. Un petit bonjour, un grand sourire mais jamais plus. Nous nous retrouvions plusieurs fois par jour à la machine à café.
-"Encore un café, fais attention c'est un excitant", me disait-elle souvent en riant.
Entre collègues masculins, les premières impressions étaient unanimes. Elle était ravissante et les réflexions sur son physique étaient toujours élogieux même si les termes étaient souvent vulgaires.
"Je lui mettrais bien un petit coup, et plutôt deux fois qu'une"
"Elle a un de ses culs"
"T'as vu ses nichons ?"
"Et sa bouche à pipe, je suis sûre que c'est une chaude du cul."
"Je lui défonce le cul à la première occasion"
Bref, elle était devenue LE sujet de conversation.
Au bout de trois mois, je n'avais pas encore réussi à engager la conversation. Voulant éviter les "Tu n'es pas trop seule à Paris", "Comment se passe ton intégration" etc., au final le temps passait et je n'arrivais à rien.
Un matin, toujours à la machine à café, elle changea la situation. Ce fut elle qui me parla. Elle me demanda si j'étais libre pour déjeuner. Elle en avait assez de se faire draguer par mes collègues, me dit-elle. Ils finissaient toujours par lui proposer de sortir avec elle le soir et ne pouvaient s'empêcher de lui proposer de lui faire découvir "Paris by night".
"C'est plutôt leur lit qu'ils veulent me faire découvrir", blagua-t-elle lors de notre déjeuner.
Je n'osais lui avouer que j'avais évidemment les mêmes idées.
On sympathisa et bientôt nous déjeunions régulièrement ensemble.
Un vendredi, je lui proposai d'aller prendre un café en terrasse après le travail. On discuta longuement. Je lui racontais que j'avais une copine mais que ce n'était plus cela. Defil en aiguille elle m'invita à boire un thé chez elle. "C'est tout petit", s'excusa-t-elle.
Je lui répondis que ce n'était pas grave, que ce n'était pas la taille qui comptaait. Elle rit.
En montant les escaliers pour aller chez elle, j'avais une énorme érection en pensant à la suite.
Je dissimulais mal mon érection assis sur son canapé lit dans son studio. Quand le thé fut prêt,elle me l'apporta, je me levai, je lui pris sa tasse des mains, la posa par terre et je l'embrassais. Elle se laissa faire. Je me collais contre elle pour lui faire sentir mon sexe au garde à vous. Je lui caressais la nuque, les cheveux, puis les fesses que je pétrissais.
Puis, doucement, je passai ma main sous son chemisier pour lui carsser son dos, une peau fine et douce, elle frémit.Je l'embrassais dans la nuque et m'apprêtai à mediriger vers ses seins quand elle me repoussa.
Elle riait, un peu genée. Nous nous asseyames. Elle m'expliqua qu'elle voulait se préserver. Elle était trs croyante et son premier - et seul amour - l'avait convaincu de lui offrir sa virginté en lui promettant qu'ils se marieraient. Quelques mois plus tard, elle le découvrit au lit avec une amie. c'était une des raisons pour lesquelles elle avait décidé de partir à l'étranger pour son stage de fin d'études.
Je lui dis que je comprenais mais qu'il me fallait maintenant un seau de glaçons pour refroidir mon sexe.
Elle rit et me regarda quelques secondes fixement dans les yeux et me dit qu'elle pouvait arranger cela. Elle m'embrassa et avec une dextérité et une rapidité qui m'étonnèrent elle déboutonna mon pantalon et introduisit sa main dans mon caleçon. Je gémis. Elle me caressait longuement. Je baissais ma culotte. Elle continua ensuite vigoureusement en regardant ma bite. Rapidement, j'explosai. J'envoyais des giclées de sperme dans toutes les directions, une atteignit son visage mais elle ne s'arreta pas. Je regardais le foutre coulait sur sa joue. Quand j'eus fini d'éjaculer, elle s'arrêta et dit d'un ton amusé : "Je ne pensais pas que cela pouvait partir si loin. Je reviens". Elle partit dans la salle de bain. je me demandais ce que je devais faire quand elle revint avec un gant de toilette mouillé. Elle s'essuyas le visage et me lava délicatement mon sexe encore dur. Elle me nettoyas en affirmant qu'il fallait en prendre soin. Elle l'observait avec attention et finit par déclarer en rougissant que celui de Fernando était nettement plus petit. Je la remerciai et je remis mon caleçon et mon pantalon. Je lui demandais si elle voulait que je parte. Elle me dit de rester. "Maintenant, que nous avons mis de côté ton problème, on peut rediscuter, non ? Tu restes diner ?".
Pendant le diner, je tentais de la convaincre qu'on pouvait très bien faire l'amour et croyant, même sans se marier. Elle me répondait qu'elle n'était pas prête. Je changeai alors mon fusil d'épaule en lui disant qu'il n'y avait pas que la pénétration dans la vie, qu'on pouvait aussi se caresser, se lécher.
Elle acquiesa mais dit : "Jai peur de me laisser aller, et après de la regretter..."
"Je suis français et gentleman, je te promets de ne pas essayer de te faire l'amour si tu me laisses découvrir son corps" dis-je hypocritement.
Elle rit : "On verra".
Après le diner, je la pris dans mes bras. Doucement, je la déshabillais, je lui déboutonnais son chemisier puis dégraffai son soutien gorge. Je lui lechais ensuite les tétons, elle ronronnait et enfonçait sa poitrine contre mon visage. J'avais enfin atteint mon premier objectif. AVec du retard, certes, mais j'y étais, et j'en profitais. Ensuite, je descendis plus bas. Je m'arrêtais. Je la fixai dans les yeux et lui demanda de se mettre complètement nue. Elle hésita puis commença à enlever ses chausures. Moi, de mon côté, il me fallut moins de 10 secondes pour me déshabiller complètement et j'eus le temps de la voir enlever son pantalon. Par puduer, elle se retourna pour enlver son slip, une petite culotte blanche. Ce faisant, je pus observer ces fesses rebondies. inutile de préciser que j'avais une érection de cheval. Je la léchais et l'embrassais sur ses cuisses et enfin, victoire finale, je lui écartais les jambes pour me diriger vers sa petite chatte. Je l'embraissais longuement, Je lui titillais ensuite son clitoris avec ma langue. Elle se raidit, se cambra et jouit quelques secondes plus tard. "Arrete, arrête, s'il te plait". Je lui obéis. Je soulevai ma tête et en même temps, tout en la regardant dans les yeux, j'introduisis un dogt dans son sexe mouillé de ma salive et ses sécrétions. Elle poussa un petit cri, se raidit de nouveau, puis se relaxa. Mon doigt entrait et sortait de sa fente. Elle gémissait. J'accélérais. Sans m'arrêter, je cherchai de nouveau son clitoris avec ma langue. Au premier contact, elle vibra et quelques secondes plus tard, elle jouit de nouveau.
De nouveau assis, tous les deux, nus, sur le canapé. Elle était apaisée mais mon sexe lui était toujours aussi dur.
"Je peux prendre une douche ?".
Elle m'accompagna à la salle de bain et me tendit une serviette.
Quand je sortis, Maria Dolores m'avait déplié le canapé et s'était installée au lit.
"Tu restes dormir avec moi ?".
"Je n'ai qu'une parole, si je me couche à côté de toi, je ne sais pas ce que je pourrais te faire".
"Je sais comment défendre", dit elle en riant. Chaque fois qu'elle riait, monn coeur se mettait à battre plus fort.
Je m'installais à côté d'elle. Sur le dos.
Elle se blottit contre moi et me caressa sur le torse, bientôt elle avait de nouveau aggripé mon sexe.
"Si tu continues, tu vas le regretter".
Elle ne m'écouta pas et disparu sous les draps. Sa langue se promenait sur mon corps et atteignit ma verge. Elle lecha mon gland et ensuite prit mon sexe dans sa bouche. Avec sa main elle me branlait en même temps. A cette allure, je n'allais pas durer très longtemps. Je lui dis d'arrêter en lui prenant sa main.
"Pourquoi ? Tu n'aimes pas ? Je ne fais pas cela bien ? C'est comme cela que Fernando voulait que je fasse".
"Arrete avec ton Fernando", m'entendis-je répondre.
Je pris mon sexe dans une main et lui poussai la nuque avec l'autre. Elle reprit le sexe dans sa bouche.
"Doucement pour commencer", lui dis en imprimant sur sa tête le rythme qu'il me convenait.
Je lui caressais les cheveux pendant qu'elle me pipait. j'étais aux anges. Tous mes collègues du bureau auraient aimé être à ma place.
Je lui saisis les cheveux et j'accélérais le rythme tout en faisant des mouvements de bassin. Je faisais l'amour avec sa bouche, la forçant à aller de plus en plus loin. Elle se laissait faire.
Je jouis sans lui annoncer. Elle eut un mouvement de recul mais se reprit et je vidai mes couilles dans sa bouche. Elle voulut ensuite se retirer mais je maintins une pression pour lui faire comprendre que voulais qu'elle reste. Elle comprit immédiatement et resta sans bouger la tête en jouant avec sa langue. Quelques minutes plus tard, je m'endormis.
Quand je me reveillai le lendemain matin, elle était déjà debout.
"bonjour", me dit elle en grimaçant "Tu as bien dormi ? Tu aurais pu me dire quelque chose avant de dormir. Moi, je suis restée toute seule ensuite".
"Désolé, mais tu étais dans mes rêves".
Je regardai l'heure. 11h.
"Ma copine va me demander où j'ai passé la nuit, je dois y aller".
"J'aurais du me douter", dit-elle.
"Mais non, mais il faut aussi savoir rompre. Je ne peux pas la laisser comme cela". Je te rappelle dès que je peux si tu me laisses ton numéro".
Je partis dix minutes plus tard. A ma copine, je racontais que j'avais fait la fête toute la nuit et que j'avais dormi chez un copain du rugby.
Le lundi matin au bureau, je croise Maria Dolores dans les couloirs. Avant qu'elle ait le temps de me parler, je l'invite à déjeuner.
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