Vive les familles recomposées ! (2)Vive les familles recomposées ! (2)
Récit érotique écrit par ALLUMAGE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Vive les familles recomposées ! (2)Vive les familles recomposées ! (2)
Du bruit dans l’entrée au rez-de-chaussée. Les parents déjà. Je ramasse vite le slip de Karim, un petit coup pour remettre la couette du lit en ordre et on file dans nos chambres respectives. Ouf, c’était moins une et on se faisait gauler.
Comme à son habitude Hélène est radieuse dès qu’elle franchit le seuil de la « maison du plaisir », comme elle l’appelle secrètement. Une bâtisse de 2 étages construits sur un vide sanitaire, comprenant les pièces à vivre au premier niveau, 3 chambres, la salle de bains et des WC séparés à l’étage. Anne-Sophie esquisse une moue en pénétrant dans sa grande chambre, suivie de près par Hélène, les mains en coupe sur les fesses de sa compagne.
« Ça sent drôle, dit-elle, prête à ouvrir la fenêtre, tu ne trouves pas que ça sent le cul ? »Hélène la stoppe net en faisant tomber à terre, d’un geste sûr, sa jupe légère. Anne-So, à moitié nue, dans son string de dentelle noire ne peut s’empêcher de rire aux facéties de son amie. Pas question que les voisins se rincent l’œil, déjà qu’ils jasent sur notre couple lesbien.
« Tu te fais des idées, ce que tu sens ce sont les effluves de ta propre excitation. Penche-toi un peu en prenant appui sur le lit, ma belle, je vais te grignoter le minou ».
« Mais les enfants vont nous entendre ? » « Mais non ils vivent avec un casque rivé aux oreilles, de plus nous n’avons rien à apprendre à ta fille. Quant à Karim, il reste très jeune, il ne semble pas dégourdi pour la chose, tu devrais aller lui parler un jour. »Anne-So n’a pas le temps de réfléchir à une réponse car déjà la langue experte de son amie, faisant fi du minuscule rempart de dentelles, s’active par en dessous sur ses points les plus sensibles, lui faisant perdre ses repères.
« Ah nooon pas là pas là si enfonce humm ouh ouh salope c’est bon n’arrête plus, là oui plus vite viiiiiite » Marquant une pause sadique, Hélène défait son amie du string noir détrempé qui l’entrave, une jambe après l’autre, lentement elle reprend son travail de succion de bas en haut en maintenant les cuisses d’Anne-So bien écartées, les fesses plus haut que le dos.
« Quel cul magnifique, putain, je ne m’en laisserai jamais ! » dit-elle.
Maintenant elle masse son périnée, s’introduit dans son antre, masse les parois internes et pianote sur son point G. La musique opère. Les tissus intimes se resserrent par saccades sur les doigts qu’ils emprisonnent. De sa main libre, Hélène flatte l’anus de sa compagne qu’elle pénètre aussitôt sans ménagement.
« Chérie, fais-le vite, je ne tiens plus ! ».
Sans se faire prier, Hélène retire ses doigts agiles pour les remplacer par une succession de boules de verre translucides. Une, deux et trois, puis quatre.
« Oh ! Quel pied ! »Anne So aimerait se toucher pour se finir mais elle sait que sa compagne aime garder le contrôle. Elle manque de s’évanouir de plaisir, la bite de verre qui fait des allées et venues dans son cul la chauffe tellement. Par une sorte de transmission de pensée, Hélène glisse sa main libre plus loin entre les cuisses de son amante et fait tourner ses doigts à vive allure sur son clito.
« Plus fort mon amour ah je jouiiiis je jouiiiiis… ouiiiis ouiiis… Hélène… je t’aime».
Couchée à demi-nue à plat ventre sur le grand lit froissé, un mat de verre dans le tréfonds, Anne-So reprend à peine son souffle. L’oxygène irrigue à nouveau son cerveau. Que disait-elle ? Ah oui une odeur de cul, c’est certain à présent ! Mais tout à l’heure, elle a surement été la proie d’une hallucination olfactive. Parler à Karim, oui elle y pensera. Avec deux mères et une demi-sœur, il lui manque un modèle masculin pour lui dire ce qu’il peut faire avec sa belle queue. Est-ce qu’au moins il se branle ? Il faudrait demander à l’aide-ménagère de vérifier ses draps. Ce qu’Anne-Sophie ignore c’est que son beau-fils n’est plus puceau, qu’elle n’a pas rêvé tantôt pour l’odeur de cul dans sa chambre. Et que là précisément au moment où elle s’inquiète, Karim vient de jouir dans le slip que lui a enfin rendu sa demi-sœur. Il a joui très fort en imaginant ses deux mères faire l’amour.
Comme à son habitude Hélène est radieuse dès qu’elle franchit le seuil de la « maison du plaisir », comme elle l’appelle secrètement. Une bâtisse de 2 étages construits sur un vide sanitaire, comprenant les pièces à vivre au premier niveau, 3 chambres, la salle de bains et des WC séparés à l’étage. Anne-Sophie esquisse une moue en pénétrant dans sa grande chambre, suivie de près par Hélène, les mains en coupe sur les fesses de sa compagne.
« Ça sent drôle, dit-elle, prête à ouvrir la fenêtre, tu ne trouves pas que ça sent le cul ? »Hélène la stoppe net en faisant tomber à terre, d’un geste sûr, sa jupe légère. Anne-So, à moitié nue, dans son string de dentelle noire ne peut s’empêcher de rire aux facéties de son amie. Pas question que les voisins se rincent l’œil, déjà qu’ils jasent sur notre couple lesbien.
« Tu te fais des idées, ce que tu sens ce sont les effluves de ta propre excitation. Penche-toi un peu en prenant appui sur le lit, ma belle, je vais te grignoter le minou ».
« Mais les enfants vont nous entendre ? » « Mais non ils vivent avec un casque rivé aux oreilles, de plus nous n’avons rien à apprendre à ta fille. Quant à Karim, il reste très jeune, il ne semble pas dégourdi pour la chose, tu devrais aller lui parler un jour. »Anne-So n’a pas le temps de réfléchir à une réponse car déjà la langue experte de son amie, faisant fi du minuscule rempart de dentelles, s’active par en dessous sur ses points les plus sensibles, lui faisant perdre ses repères.
« Ah nooon pas là pas là si enfonce humm ouh ouh salope c’est bon n’arrête plus, là oui plus vite viiiiiite » Marquant une pause sadique, Hélène défait son amie du string noir détrempé qui l’entrave, une jambe après l’autre, lentement elle reprend son travail de succion de bas en haut en maintenant les cuisses d’Anne-So bien écartées, les fesses plus haut que le dos.
« Quel cul magnifique, putain, je ne m’en laisserai jamais ! » dit-elle.
Maintenant elle masse son périnée, s’introduit dans son antre, masse les parois internes et pianote sur son point G. La musique opère. Les tissus intimes se resserrent par saccades sur les doigts qu’ils emprisonnent. De sa main libre, Hélène flatte l’anus de sa compagne qu’elle pénètre aussitôt sans ménagement.
« Chérie, fais-le vite, je ne tiens plus ! ».
Sans se faire prier, Hélène retire ses doigts agiles pour les remplacer par une succession de boules de verre translucides. Une, deux et trois, puis quatre.
« Oh ! Quel pied ! »Anne So aimerait se toucher pour se finir mais elle sait que sa compagne aime garder le contrôle. Elle manque de s’évanouir de plaisir, la bite de verre qui fait des allées et venues dans son cul la chauffe tellement. Par une sorte de transmission de pensée, Hélène glisse sa main libre plus loin entre les cuisses de son amante et fait tourner ses doigts à vive allure sur son clito.
« Plus fort mon amour ah je jouiiiis je jouiiiiis… ouiiiis ouiiis… Hélène… je t’aime».
Couchée à demi-nue à plat ventre sur le grand lit froissé, un mat de verre dans le tréfonds, Anne-So reprend à peine son souffle. L’oxygène irrigue à nouveau son cerveau. Que disait-elle ? Ah oui une odeur de cul, c’est certain à présent ! Mais tout à l’heure, elle a surement été la proie d’une hallucination olfactive. Parler à Karim, oui elle y pensera. Avec deux mères et une demi-sœur, il lui manque un modèle masculin pour lui dire ce qu’il peut faire avec sa belle queue. Est-ce qu’au moins il se branle ? Il faudrait demander à l’aide-ménagère de vérifier ses draps. Ce qu’Anne-Sophie ignore c’est que son beau-fils n’est plus puceau, qu’elle n’a pas rêvé tantôt pour l’odeur de cul dans sa chambre. Et que là précisément au moment où elle s’inquiète, Karim vient de jouir dans le slip que lui a enfin rendu sa demi-sœur. Il a joui très fort en imaginant ses deux mères faire l’amour.
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