Vive les jeux video - histoire érotique

Il est 10 heure, je me réveille dans les bras de ma douce et nous nous donnons notre petite étreinte matinale.
Nous nous levâmes pour vaquer chacun à nos occupations.
Après déjeuner, ma femme décida d'aller s'allonger. Mon raisonnement été clair, il fallait que je profite de cette situation pour tenter une approche. J'entrai dans la chambre et à ma grande stupeur ma femme jouait avec sa console portable. Ma déception été grande car je n'avait pas imaginé les choses sous cet angle.

Là je me dis qu'une attaque frontale mènerait tout droit à l' échec, donc je décidais de faire une approche plus furtive.

Afin de ne pas éveiller ses soupçons je lui prétexta que son pantalon la serrée un peut et qu'elle se porterai mieux en l'ôtant. J'appuyais mes dires en affirmant que sa digestion n' en serait que meilleur.

Elle me donna raison et m'autorisa à lui enlever. Bien sûr je profitais de ce moment pour lui enlever sa culotte car par "mégarde" je n'avais pas fais attention que je l' avais dégrippée avec le pantalon.

Une fois ces remparts brisés, j'aperçus la petite toison que j 'avais moi même rasé la veille. On distingué juste un petit trait de poil que j'avais laissé pour ne pas la mettre à nu.
Ma femme décida de plier ses jambes pour avoir un meilleur confort de jeux.
Une aubaine s'offrit à moi, ses chevilles remontées vers ses cuisses qui elle même été légèrement écartées, me permettais d' entrevoir ses grandes lèvres.
Pour moi, il m'en fallait pas plus pour que mon excitation pointe.

Je voulait arriver à mes fins donc je commençais avec délicatesse à lui caresser les cuisses, puis je descendis dans son entre cuisse et elle obnubilée par son jeu elle écarte instinctivement celle ci à l'approche de mes mains. Je passais deux doigts sur ces lèvres, du bas du vagin au clitoris en me méfiant de na pas toucher celui ci, car ma femme est très sensible à cette caresse et je voulais pas aller trop vite. Je répétais cette opération plusieurs fois et je sentis sous mes doigts et sous ses lèvres son clitoris qui devenais de plus en plus dur. A ce moment là, je pris mon index et j'ouvris ces petites lèvres pour allez récupérer sa mouille et lui caresser le clitoris. Elle eu un sursaut et un soupir de plaisir quand mon doigt se nichait sur la pointe de sa fleur de jouissance.
Là elle me lance :
- " tu vas me donner envie de toi ! "
- "fait comme ci je n'existais pas "lui répondis je en savant très qu'elle ne tiendrait pas longtemps.

Je voyais qu' elle commençait à avoir du mal à se concentrer sur son jeu.

Je décidais de l'achever en descendant délicatement entre ses jambes et sans qu'elle ne s'en aperçoive, ma bouche était à fleur de son minou. IL était luisant de mouille et ses petites lèvres entrebâillées me laissaient voir l'entrée du vagin que j' allait bientôt explorer.

Je décidais de planter d'un coup ma langue dans son vagin et sa réaction fut immédiate, un râle de surprise et de bonheur sortit de sa bouche.

"- Continue à jouer" lui dis je...
"- je ne tiens plus, tu m'excites de trop ! "

Effectivement, quand j 'ai abordé la succion de son clitoris, elle posa sa console à coté d' elle et écartait les jambes au maximum pour que je lui dévore son bouton qui ressemblait vraiment à une pivoine tellement il était rouge et gonflé. Sa respiration se refait haletante, elle mouillait de plus en plus et elle commençait à agiter son bassins dans tous les sens. Elle poussait des petits cris sourds, elle se déchaînait en bougeant elle même pour que ma langue lui secoue son clitoris. Du coup elle poussa un énorme cris de soulagement s'en suit une décharge de liquide orgasmique dans ma bouche que j' avalais goulûment, et la, elle prit ma tête pour me retirer et sans crier gare, elle se mit en levrette au bord du lit et me dit :
-" prend moi, enfonce moi ta queue j' en peu plus"

J'étais pas habitué à ces écarts de langage de sa part mais je compris que ma mise en scène y était pour quelque chose et mon sexe me faisait souffrir tellement j 'étais excité.
Je me mis derrière elle et je la pénétrais d'une seule poussée au fond de son vagin. Elle était tellement excitée que l'on serait rentré à deux ou trois sans problème. J' enchaînais avec des coups de butoirs que j'avais rarement donnés, je la rendais folle elle hurlait : "continue, c'est bon, prend moi à fond ... défonce moi ...
Je sentais mon plaisir monter et j' entrepris de lui donner quelque dernier coups les plus virulents possible en me retirant entièrement et en replongeant de plus belle. Elle atteignit l'orgasme dans un cri retentissant et je suivis juste après et la remplis du flots de ma jouissance qui était aussi démesurée que la sienne. Nous nous allongeâmes je suis lança :

- " Vive les jeux vidéos ..."