Vive les vacances 4 et fin
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Vive les vacances 4 et fin
VIVE LES VACANCES SUITE 4 ET FIN
Comme je l'ai écrit. Je contemplais le ciel, l'air était doux, l'odeur de la végétation du rivage, mélange de pin et d'herbes des collines, parvenait à moi. Je me sentais pleinement ravie et euphorique. Avoir pu jouer avec les jumeaux me remplissait de joie.
A ce moment, me caressant doucement, j'ai entendu le moteur du canot annonçant le retour de l'ami de mon père et des deux filles.
J'étais sur le pont arrière, ils allèrent s'installer sur celui de l'avant.
Décidant d'aller prendre un bain de minuit, B. et I. descendirent dans la cabine ôter leur robe; le maître des lieux se contentant de jeter pantalon et chemise à coté de lui.
Personne ne m'avait remarqué à mon poste d'observation.
Brigitte. et Isabelle apparurent nues sur le pont et dirent : Un bain de minuit, nues c'est sublime!!!
G., l'ami de mon père, dit qu'il les surveillait depuis le pont. Elles plongèrent ensemble tandis que lui enlevait son maillot. La lune éclairait son sexe que je voyais déjà très raide me donnait envie de le sucer. Un sexe d'homme doit être un bien meilleur régal que celui des garçons que j'avais pris en bouche jusqu'à lors, sans doute un fantasme, mais j'aurais aimé faire la comparaison. Je savais que cela était impossible et qu'il m'aurait, vertement, renvoyé à mes jouets de la toute jeune fille que j'étais à ses yeux.
Brigitte et Isabelle lui avaient-elles raconté nos conversations et leur incitation à ce que je déniaise les jumeaux?
Toujours est-il que la vision de cet homme, penché sur le bastingage, la bite bien raide me faisait couler comme une fontaine et que mon clitoris, exigeant, réclamait que je le caresse. Je le fis, tout doucement, l'effleurant et passant le doigt dans mes lèvres afin de ne pas me déclencher un orgasme trop bruyant qui aurait trahi ma présence.
Les deux filles s'ébattaient dans l'eau, trop proches l'une de l'autre, pour que sous la surface, leurs mains ne se livrent à des activités, que certains diraient, peu avouables.
A la fin de ces joutes nautiques elles remontèrent à bord et dirent en cœur à G. qu'il semblait en grande forme, malgré le champagne bu pendant le dîner.
- J'ai besoin du repos du guerrier !
- Les vestales sont là pour satisfaire ses désirs !
Il était allongé sur un matelas et contemplait les deux naïades qui, debout devant lui, admiraient une érection du plus bon aloi.
Brigitte lui dit : Mon chéri ma fente est toute mouillée et pas uniquement par l'eau de mer, j'espère que tu vas savoir en profiter!!!
Isabelle était assise sur le roof à coté du matelas tandis que Brigitte s'agenouillait sur les cuisses de G.; prenant en main le membre raide et commençait un va et viens, destiné à augmenter sa vigueur. Cette vision, des plus prometteuse, excitait Isabelle qui caressait doucement ses seins d'une main et sa fente de l'autre.
Brigitte s'était redressée afin, telle une cavalière, de pouvoir s'empaler sur ce membre tendu dont le seul souhait était de s'enfoncer au plus profond de sa fente déjà ouverte.
Elle dit à Isabelle : Fais comme moi, mais viens sur sa bouche, je vois que tu coules il va aimer et même adorer te sucer !
Elle ne se fît pas prier et glissant du roof elle est venue appliquer les lèvres de sa fente sur la bouche de G.
Je sentais que je n'allais pas tenir longtemps devant un tel spectacle !!!
Mais j'avais ma petite idée.
Brgitte allait et descendait sur la tige, raide, qui s'enfonçait au plus profond d'elle-même.
G. prenait dans sa bouche toute la cyprine qu'Isabelle déversait d'abondance.
Brigitte "éjectât" brutalement le sexe de G. de sa fente et dit à Isabelle :
- Il va jouir, viens le boire mais je vais sucer ton clito en même temps.
Cette vision de deux filles, l'une penchée sur G. pour le sucer, en position de "levrette" l'autre en train de sucer la fente coulante de l'autre était trop pour moi. Mon sexe n'était que douleur malgré les caresses que je lui prodiguais .
J'ai décidé de descendre dans ma cabine pour me satisfaire moi-même étant persuadée que les jumeaux dormaient.
Pou Jérôme ce n'étais pas le cas et il me dit : As-tu entendu la partouze sur le pont ?
- Mon petit Jérôme je suis d'accord pour continuer avec toi, si tu veux me sucer, je suis toute humide, mais saches que tu ne rentras pas ton sexe dans le mien.
-En revanche, je vois que ta sœur n'est pas endormie, pourrait-elle se joindre à nous?
Mari avaient un œil ouvert et n'en perdait pas une miette.
Immédiatement elle est sortie de sa couchette, entièrement nue, elle est venue vers moi en me disant : "Suces moi comme tu l'a déjà fait"!
J'ai accédé à sa demande à la condition que son frère vienne sucer ma fente.
L'un et l'autre furent d'accord. J'ai passé une nuit d'un érotisme extrême imaginant que G. Brigitte et Isabelle me faisaient jouir et que je les prenais l'un après les autres dans ma bouche….
Le lendemain matin mes draps étaient trempés. Brigitte est entrée dans la cabine pour changer la literie.
- Tu es une franche salope, me dit-elle, tu vas bien t'amuser en Angleterre!!!!
Les vacances étaient presque finies, j'allais, sans déplaisir, rejoindre Londres.
- Effectivement Brigitte mais tu ne m'as pas raconté ta 1ère fois, c'est une lacune pour moi.
- C'est exact mais je vais y remédier.
"J'étais en Allemagne pendant des grandes vacances, j'avais 17 ans et l'habitude de sortir dans la même boite tous les soirs. Il y avait une partie bar isolée du bruit de la musique, j'avais l'habitude de m'y installer pour prendre l'ambiance de la soirée. Un homme plus âgé, il avait 25 ans!, faisait de même et au fil des jours nous nous sommes mis à discuter amicalement, au moins au début.
Je n'étais pas sans expériences car j'avais eu de nombreux flirts, plus ou moins poussés et des contacts, osées avec des filles.
Comme je n'avais pas encore mon permis de conduire, il m'a proposé, un soir, plus exactement un matin, aux petites heures de l'aube, de me raccompagner chez moi
.
Nous avions dansé des slows, de plus en plus serrés l'un contre l'autre, qui m'avaient permis de coller mon bas ventre contre le sien et de sentir une virilité du plus bon aloi. De longs baisés avaient ponctués le rythme et je sentais que ma culotte était humide, (l'usage du string n'étais pas encore à la mode qui était plutôt celle "Petit Bateau").
Dans sa voiture il a pris le chemin de là où j'habitais mais s'étant arrêté il m'a demandé:
- Acceptes-tu de prendre un dernier verre chez moi ?
Je lui ai dit oui, je ne sais pourquoi, mais sans doute qu'une certaine complicité s'était établie entre nous.
Son appartement était fort agréable, je me suis installée dans un profond canapé tandis qu'il me préparait un verre.
Je sentais, au fond de moi, qu'une chose importante allait arriver…
Günther. est venu s'asseoir près de moi en me tendant un verre.
- "Prost" dit-il en passant son bras autour de mon cou.
Je me sentais toute retournée, sa gentillesse, les lumières tamisées, la musique de Mozart ? J'avais une envie folle de me caresser, ma fente, toute humide, laissait passer un suc dont j'avais envie qu'il déguste le goût .
Sa main était passée dans mon chemisier et caressait avec délicatesse la pointe de l'un de mes seins. Je sentais être de plus en plus mouillée et n'avais qu'une envie : ouvrir son pantalon pour en faire jaillir son sexe, que je savais bien tendu, le prendre dans ma bouche pour le sucer jusqu'à l'extase. Brusquement j'ai éprouvé le désir de le sentir au fond de ma petite grotte. Pourquoi ?
Je n'avais pas prévu de perdre ainsi ma virginité mais je ressentais une envie incontrôlable de sentir dans ma fente un membre comme j'aimais les prendre dans ma bouche.
J'ai posé ma main sur le renflement de son pantalon et lui ai dit :
- Déshabilles moi, j'ai envie de toi, mais ce sera pour moi la première fois.
Il m'a serré très fort en me disant :
- Tu me fais un cadeau somptueux!!!
Il a lentement ôté mes vêtements et les siens et me prenant par la main il m'a guidé vers sa chambre. J'étais dans un état second, il aurait pu me demander n'importe quoi.
Il m'embrassait, le cou, le creux des épaules, les seins, sa main parcourait, lentement et avec beaucoup de douceur, l'ensemble de mon corps nu. La mienne lui caressait le torse pour descendre progressivement vers son sexe tendu à l'extrême.
Je l'ai pris dans ma main en la faisant aller doucement sur cette hampe tendue. En même temps la sienne s'insinuait entre mes cuisses, toutes humides de ma cyprine. C'était délicieux!!!
Je l'ai pris dans ma bouche pour le faire durcir encore, quand il fût bien raide je lui ai dit, en me mettant sur le dos et en écartant les jambes :
-Prends moi, je suis à toi et pour toi, tu es le premier et je me souviendrai de toi toute ma vie.
En même temps que je prononçais ces paroles, l'une de mes mains écartait les lèvres de mon puit d'amour afin qu'il puisse y enfoncer son dard avec plus de facilités.
Très doucement il est entré en moi, sensation exquise….
Après quelques mouvements divins, dans ma petite caverne qui était toute ouverte il sortit de moi et je reçu sur ma touffe son doux liquide car me dit-il:
Il ne voulait pas que cette première fois se transforme en bébé…."
J'étais éblouie par ce récit et j'ai compris, ce jour la, que la "1ère fois" devait se réaliser avec un garçon pour lequel on avait de la sympathie, si ce n'est de l'affection. Brigitte approuva en précisant que l'amour et le sexe sont deux choses bien séparées. Je l'ai vérifié par la suite et le vérifie encore maintenant.
Mais j'avais appris plusieurs choses. Le sexe est l'amour sont deux choses différentes, le verbe aimer est trop vague en langue française. J'aime une personne et j'aime faire l'amour. Deux expressions qui utilisent le même verbe. L'anglais est plus subtitle : I love someone and I Like to make love. Deux verbes différents…
Mes aventures anglaises seront l'objet d'un autre chapitre.
Merci lecteurs. See you later.
Comme je l'ai écrit. Je contemplais le ciel, l'air était doux, l'odeur de la végétation du rivage, mélange de pin et d'herbes des collines, parvenait à moi. Je me sentais pleinement ravie et euphorique. Avoir pu jouer avec les jumeaux me remplissait de joie.
A ce moment, me caressant doucement, j'ai entendu le moteur du canot annonçant le retour de l'ami de mon père et des deux filles.
J'étais sur le pont arrière, ils allèrent s'installer sur celui de l'avant.
Décidant d'aller prendre un bain de minuit, B. et I. descendirent dans la cabine ôter leur robe; le maître des lieux se contentant de jeter pantalon et chemise à coté de lui.
Personne ne m'avait remarqué à mon poste d'observation.
Brigitte. et Isabelle apparurent nues sur le pont et dirent : Un bain de minuit, nues c'est sublime!!!
G., l'ami de mon père, dit qu'il les surveillait depuis le pont. Elles plongèrent ensemble tandis que lui enlevait son maillot. La lune éclairait son sexe que je voyais déjà très raide me donnait envie de le sucer. Un sexe d'homme doit être un bien meilleur régal que celui des garçons que j'avais pris en bouche jusqu'à lors, sans doute un fantasme, mais j'aurais aimé faire la comparaison. Je savais que cela était impossible et qu'il m'aurait, vertement, renvoyé à mes jouets de la toute jeune fille que j'étais à ses yeux.
Brigitte et Isabelle lui avaient-elles raconté nos conversations et leur incitation à ce que je déniaise les jumeaux?
Toujours est-il que la vision de cet homme, penché sur le bastingage, la bite bien raide me faisait couler comme une fontaine et que mon clitoris, exigeant, réclamait que je le caresse. Je le fis, tout doucement, l'effleurant et passant le doigt dans mes lèvres afin de ne pas me déclencher un orgasme trop bruyant qui aurait trahi ma présence.
Les deux filles s'ébattaient dans l'eau, trop proches l'une de l'autre, pour que sous la surface, leurs mains ne se livrent à des activités, que certains diraient, peu avouables.
A la fin de ces joutes nautiques elles remontèrent à bord et dirent en cœur à G. qu'il semblait en grande forme, malgré le champagne bu pendant le dîner.
- J'ai besoin du repos du guerrier !
- Les vestales sont là pour satisfaire ses désirs !
Il était allongé sur un matelas et contemplait les deux naïades qui, debout devant lui, admiraient une érection du plus bon aloi.
Brigitte lui dit : Mon chéri ma fente est toute mouillée et pas uniquement par l'eau de mer, j'espère que tu vas savoir en profiter!!!
Isabelle était assise sur le roof à coté du matelas tandis que Brigitte s'agenouillait sur les cuisses de G.; prenant en main le membre raide et commençait un va et viens, destiné à augmenter sa vigueur. Cette vision, des plus prometteuse, excitait Isabelle qui caressait doucement ses seins d'une main et sa fente de l'autre.
Brigitte s'était redressée afin, telle une cavalière, de pouvoir s'empaler sur ce membre tendu dont le seul souhait était de s'enfoncer au plus profond de sa fente déjà ouverte.
Elle dit à Isabelle : Fais comme moi, mais viens sur sa bouche, je vois que tu coules il va aimer et même adorer te sucer !
Elle ne se fît pas prier et glissant du roof elle est venue appliquer les lèvres de sa fente sur la bouche de G.
Je sentais que je n'allais pas tenir longtemps devant un tel spectacle !!!
Mais j'avais ma petite idée.
Brgitte allait et descendait sur la tige, raide, qui s'enfonçait au plus profond d'elle-même.
G. prenait dans sa bouche toute la cyprine qu'Isabelle déversait d'abondance.
Brigitte "éjectât" brutalement le sexe de G. de sa fente et dit à Isabelle :
- Il va jouir, viens le boire mais je vais sucer ton clito en même temps.
Cette vision de deux filles, l'une penchée sur G. pour le sucer, en position de "levrette" l'autre en train de sucer la fente coulante de l'autre était trop pour moi. Mon sexe n'était que douleur malgré les caresses que je lui prodiguais .
J'ai décidé de descendre dans ma cabine pour me satisfaire moi-même étant persuadée que les jumeaux dormaient.
Pou Jérôme ce n'étais pas le cas et il me dit : As-tu entendu la partouze sur le pont ?
- Mon petit Jérôme je suis d'accord pour continuer avec toi, si tu veux me sucer, je suis toute humide, mais saches que tu ne rentras pas ton sexe dans le mien.
-En revanche, je vois que ta sœur n'est pas endormie, pourrait-elle se joindre à nous?
Mari avaient un œil ouvert et n'en perdait pas une miette.
Immédiatement elle est sortie de sa couchette, entièrement nue, elle est venue vers moi en me disant : "Suces moi comme tu l'a déjà fait"!
J'ai accédé à sa demande à la condition que son frère vienne sucer ma fente.
L'un et l'autre furent d'accord. J'ai passé une nuit d'un érotisme extrême imaginant que G. Brigitte et Isabelle me faisaient jouir et que je les prenais l'un après les autres dans ma bouche….
Le lendemain matin mes draps étaient trempés. Brigitte est entrée dans la cabine pour changer la literie.
- Tu es une franche salope, me dit-elle, tu vas bien t'amuser en Angleterre!!!!
Les vacances étaient presque finies, j'allais, sans déplaisir, rejoindre Londres.
- Effectivement Brigitte mais tu ne m'as pas raconté ta 1ère fois, c'est une lacune pour moi.
- C'est exact mais je vais y remédier.
"J'étais en Allemagne pendant des grandes vacances, j'avais 17 ans et l'habitude de sortir dans la même boite tous les soirs. Il y avait une partie bar isolée du bruit de la musique, j'avais l'habitude de m'y installer pour prendre l'ambiance de la soirée. Un homme plus âgé, il avait 25 ans!, faisait de même et au fil des jours nous nous sommes mis à discuter amicalement, au moins au début.
Je n'étais pas sans expériences car j'avais eu de nombreux flirts, plus ou moins poussés et des contacts, osées avec des filles.
Comme je n'avais pas encore mon permis de conduire, il m'a proposé, un soir, plus exactement un matin, aux petites heures de l'aube, de me raccompagner chez moi
.
Nous avions dansé des slows, de plus en plus serrés l'un contre l'autre, qui m'avaient permis de coller mon bas ventre contre le sien et de sentir une virilité du plus bon aloi. De longs baisés avaient ponctués le rythme et je sentais que ma culotte était humide, (l'usage du string n'étais pas encore à la mode qui était plutôt celle "Petit Bateau").
Dans sa voiture il a pris le chemin de là où j'habitais mais s'étant arrêté il m'a demandé:
- Acceptes-tu de prendre un dernier verre chez moi ?
Je lui ai dit oui, je ne sais pourquoi, mais sans doute qu'une certaine complicité s'était établie entre nous.
Son appartement était fort agréable, je me suis installée dans un profond canapé tandis qu'il me préparait un verre.
Je sentais, au fond de moi, qu'une chose importante allait arriver…
Günther. est venu s'asseoir près de moi en me tendant un verre.
- "Prost" dit-il en passant son bras autour de mon cou.
Je me sentais toute retournée, sa gentillesse, les lumières tamisées, la musique de Mozart ? J'avais une envie folle de me caresser, ma fente, toute humide, laissait passer un suc dont j'avais envie qu'il déguste le goût .
Sa main était passée dans mon chemisier et caressait avec délicatesse la pointe de l'un de mes seins. Je sentais être de plus en plus mouillée et n'avais qu'une envie : ouvrir son pantalon pour en faire jaillir son sexe, que je savais bien tendu, le prendre dans ma bouche pour le sucer jusqu'à l'extase. Brusquement j'ai éprouvé le désir de le sentir au fond de ma petite grotte. Pourquoi ?
Je n'avais pas prévu de perdre ainsi ma virginité mais je ressentais une envie incontrôlable de sentir dans ma fente un membre comme j'aimais les prendre dans ma bouche.
J'ai posé ma main sur le renflement de son pantalon et lui ai dit :
- Déshabilles moi, j'ai envie de toi, mais ce sera pour moi la première fois.
Il m'a serré très fort en me disant :
- Tu me fais un cadeau somptueux!!!
Il a lentement ôté mes vêtements et les siens et me prenant par la main il m'a guidé vers sa chambre. J'étais dans un état second, il aurait pu me demander n'importe quoi.
Il m'embrassait, le cou, le creux des épaules, les seins, sa main parcourait, lentement et avec beaucoup de douceur, l'ensemble de mon corps nu. La mienne lui caressait le torse pour descendre progressivement vers son sexe tendu à l'extrême.
Je l'ai pris dans ma main en la faisant aller doucement sur cette hampe tendue. En même temps la sienne s'insinuait entre mes cuisses, toutes humides de ma cyprine. C'était délicieux!!!
Je l'ai pris dans ma bouche pour le faire durcir encore, quand il fût bien raide je lui ai dit, en me mettant sur le dos et en écartant les jambes :
-Prends moi, je suis à toi et pour toi, tu es le premier et je me souviendrai de toi toute ma vie.
En même temps que je prononçais ces paroles, l'une de mes mains écartait les lèvres de mon puit d'amour afin qu'il puisse y enfoncer son dard avec plus de facilités.
Très doucement il est entré en moi, sensation exquise….
Après quelques mouvements divins, dans ma petite caverne qui était toute ouverte il sortit de moi et je reçu sur ma touffe son doux liquide car me dit-il:
Il ne voulait pas que cette première fois se transforme en bébé…."
J'étais éblouie par ce récit et j'ai compris, ce jour la, que la "1ère fois" devait se réaliser avec un garçon pour lequel on avait de la sympathie, si ce n'est de l'affection. Brigitte approuva en précisant que l'amour et le sexe sont deux choses bien séparées. Je l'ai vérifié par la suite et le vérifie encore maintenant.
Mais j'avais appris plusieurs choses. Le sexe est l'amour sont deux choses différentes, le verbe aimer est trop vague en langue française. J'aime une personne et j'aime faire l'amour. Deux expressions qui utilisent le même verbe. L'anglais est plus subtitle : I love someone and I Like to make love. Deux verbes différents…
Mes aventures anglaises seront l'objet d'un autre chapitre.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
je voulais savoir c est toi en photo??
salut tes histoires me rendent fou je jouis a chaque fois merci merci merci