Voir sans être vu

- Par l'auteur HDS MG8895 -
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Voir sans être vu Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

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Voir sans être vu
J’aime me promener en forêt, muni de mon appareil photos, toujours à l’affût d’un cliché singulier pour alimenter mes albums. La photo, il faut être là au bon endroit au bon moment. C’est en parcourant des kilomètres de sentiers et autres chemins escarpés ou non, que vous avez le plus de chance de trouver la lumière, les ombres, la tranquillité pour réaliser l’image qui vous comble de bonheur. L’endroit, l’animal, le rai de soleil, la brume, l’insecte, les couleurs, autant d’éléments qui vous subjuguent.

La traque du bon et beau plan, c’est excitant à l’instar d’une scène de chasse. Vous traquez, vous vous cachez, vous vous grimez comme les militaires d’élite en mission, avec du noir sur la peau. Vous passez des habits discrets qui se fonde dans l’univers que vous évoluez. Vous ne devez faire qu’un avec la nature, vous fondre dans la masse verdoyante et luxuriante, pas de parfum ni d’objet brillant. Parfois vous devez rester planqué, semi enfoui sous des branchages. C’est épique.

Par cette belle journée d’été, je traquais le coucou, oiseau voleur de nid, très difficile d’approcher et à photographier. Le soleil était haut dans le ciel et la chaleur étouffante. Je portais un chapeau à large bord pour me protéger du cagnard et soulager mes yeux de cette belle luminosité. Tee shirt couleur kaki et short de brousse, ample à mi cuisses, sorte de bermuda.

Cela faisait plusieurs heures que je parcourais sentes et clairières, je traversais une prairie loin de tout, tapissée de grandes herbes sauvages. Seul au monde… ! Eh bien non.
Je rampais silencieusement pour essayer de photographier des bernaches nonnettes, au bord d’un petit plan d’eau difficilement accessible, ce qui assurait leur sécurité. Lorsque je les ai vus. Allongées sur de grandes serviettes de plage, nues, luisantes d’huile solaire. Lunette de soleil, sacs à dos à leurs côtés ; elles lisaient. Je voulais me rincer l’œil, alors je m’installai confortablement, ayant un emplacement V.I.P.

J’aurais pu me retirer et laisser ces deux belles plantigrades farnienter, mais c’est lorsque l’une d’entre elles s’est mise à se passer de l’huile sur le corps, que le spectacle de ces égéries m’a figé. Deux jeunes de 18 ans environ, une blanche, type suédoise, cheveux courts blonds, épaules étroites, seins moyens, ventre plat et musclé, de longues jambes fuselées. L’autre, une fille noire de peau, type peuple Harari (Ethiopie), chevelure crépus courts, de beau seins bien tendus, ventre plat, jambes fines et de belles fesses rondes.

J’ai décidé de leur donner des prénoms, Vit, (blanc en suédois) pour la blanche et Dark, (pas besoin de traduire), pour sa voisine.
J’ai mis mon appareil photographique sur son petit trépied et j’ai joué avec le téléobjectif, pour jouir de la scène.
Elles étaient sur le dos, jambes repliées. Vit posa son livre et se frictionnait avec de l’huile solaire. Elle n’épargnait aucun recoin, elle insistait dans les poplités. Elle avait des gestes, amples et lents, elle dégageait une sensualité extraordinaire. La façon de passer ses mains sur ses seins m’excitait, elle allait sur son ventre, sur ses jambes, à l’intérieur des celles-ci. Elle écartait bien ses jambes, je pouvais voir sa fente, bien rasée, elle glissait ses doigts, sur sa moule, remontait sur le derrière des cuisses. Elle prenait ses deux mains maintenant, se caressait le cou, la nuque. Visiblement, l’huile était bien étalée et la palpation de son corps, ne laissait aucun doute, elle se faisait du bien.

Dark était toujours absorbée par son livre, indifférente aux caresses appuyées de Vit. Cette dernière avait une main sur son sexe et l’autre sur ses seins. De son majeur, elle lissait son clitoris, elle ne bougeait pas, calmement, détachée, sans signe extérieur. Ses doigts commencèrent à s’agiter, son bassin vibra, ses jambes en losange, chatte bien ouverte, tête ballottant de gauche à droite. Elle se masturbait, délicatement, en douceur, elle ne jouait qu’avec son bouton et ses seins. Le tout comme au ralenti.
Elle voulait durer et ne pas attirer l’attention de sa compagnie. Son ventre montait et descendait sur la même cadence, soudain, ses cuisses se resserrèrent sur sa main. Elle l’emprisonnait, accentuant sûrement la pression sur sa vulve. Elle voulait peut être se doigter, mais elle n’en fit rien. Elle écarta à nouveau ses cuisses et son majeur, jouait de sa fente largement écartée. Elle passait sur ses grandes lèvres et taquinait les petites. Elle tapotait l’entrée de son vagin, comme si elle battait la mesure, sans y rentrer. Elle osa même effleurer son anus.
Subrepticement, son corps se cabra, son visage fronça et se déforma, elle se mordait la lèvre inférieure, ses jambes tremblaient, son ventre convulsait, ampli de soubresauts. Elle jouissait tout simplement.

J’étais sur le ventre, je bandais, ma bite s’était frayée un passage entre la terre et mon ventre. Je simulais un coït, je faisais rouler ma queue sur ce sol chaud et humide à proximité de ce plan d’eau. Seuls mon caleçon et mon short faisait barrière avec la terre. Mon déhanchement décalottait et recalottais mon sexe. Mon gland glissait grâce au liquide séminal. C’était bon. Mon souffle devenait court et irrégulier. De l’autre côté, le spectacle continuait et d’autres acrobaties se préparaient.

Dark avait laissé tomber son livre et s’était rapprochée de Vit, une de ses mains parcourait sa poitrine. Elles s’embrassèrent assez longuement puis, Vit à retourné Dark sur le ventre et ensuite, elle s’est couchée sur elle. Elle a commencé à onduler sur ce corps chauffé par le soleil, luisant de sueur et d’huile. Vit a repoussé les cheveux de Dark, elle a déposé des petits baisers doux et ponctués. Les mains de Vit effleuraient ce beau corps d’ébène brillant. Dark a ouvert ses jambes laissant apparaître un pubis aux poils ras et frisés. Sa vulve rougissante et ouverte à tous les vents. Vit descendit de son dos, Dark se souleva et proposa sa croupe cambrée à la bouche de Vit.

Vit s’activa d’abord à lui lécher les fesses rondes et fermes, elle dessinait de sa langue de grands cercles pour viser le centre de sa cible. Elle aborda les bords du trou descendit vers la fente de Dark. Cette dernière avait la tête dans ses mains et de mon observatoire, j’entendais des gémissements étouffés mais soutenus par les coups de langues de Vit. Les deux mains sur le postérieur de Dark, elle écartait à son paroxysme les fesses pour faire ressortir la rosace et ouvrir en grand sa chatte. Elle partait du clitoris pour remonter vers l’anus et faisait le chemin inverse.
Dark froissait la serviette de ses mains, la jouissance était proche. Des petits cris de râles gutturaux firent place aux petits gémissements. Dark jouissait grâce à la bouche et à la langue de Vit. Deux doigts se faufilèrent dans l’antre de Dark, lui arrachant le coup de grâce, son dos se mit à s’arrondir, des secousses agitèrent le corps tout entier de Dark, elle orgasmait.

Aussitôt après avoir joui, elle fit volte face, plaça sa tête entre les jambes de Vit, la chevauchant. Elles me gratifièrent d’un beau 69. Elles se broutaient mutuellement l’abricot. Elles se pelotaient, se cajolait, s’agrippaient à ce qu’elles pouvaient, cuisses, hanches, fesses, elles étaient en transes, terrassées par la luxure, l’odeur de leur chatte gorgée de particules d’envie et d’orgasme. Leur mouille enduisait leur visage le rendant encore plus luisants sous ce soleil ardent. Un concert de cris d’excitation, d’encouragement, d’amour, de plaintes jubilatoires emplissait la zone occupée.

Je n’en pouvais plus, je me suis astiqué le manche contre cette terre moelleuse, chaude et humide, comme un dingue, j’ai craché deux fois ma semence. Ma queue avait glissée grâce au précum, dans mon caleçon, Je m’imaginais entre leurs jambes et les prenant successivement. Mon sperme avait maculé l’intérieur de mon sous vêtement. J’avais mal au bas du ventre. Ma prostate et mon anus pompaient fiévreusement. Je me suis écroulé et me suis endormi. C’est la fraîcheur de la terre qui m’a réveillé. Les deux filles avaient disparu. Il était temps de rentrer, la nuit tombait, les grenouilles commençaient à coasser.
Je n’ai pas fait beaucoup de clichés, mais j’ai fait le plein d’images dans ma tête. Il n’y a pas photo.
A votre bon plaisir.

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