Voirsa et Savoir
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 23 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Alain Dex ont reçu un total de 131 700 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 4 392 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Voirsa et Savoir
Pierre conduisait. J’étais assis derrière à côté d’elle. De temps en temps, profitant d’un ralentissement de la circulation, il passait son bras pour lui caresser les genoux.
Il la baratinait sans scrupule.
À l’arrêt, à un carrefour, il lui demanda de venir s’installer devant, à ses côtés. En silence, elle s’exécuta. La voiture avait redémarré depuis peu de temps, qu’il lui glissait la main sous la jupe.
Il me demanda alors, de la banquette arrière où j’étais assis, de lui retirer son soutien.
Tandis que je m’y affairais, il lui demanda sans façons : « Il en met du temps… Tu crois qu’il bande ? »
Elle répondit simplement : « Oui, sûrement !… »
On était arrivé à l’immeuble. Elle est sortie de la voiture, sans soutien et sans refermer son chemisier. Notre appartement était au cinquième. Elle ne s’est pas rhabillée pour prendre l’ascenseur. Pas très discrètement, elle a senti mon truc. Il était tout dur. J’avais honte. Elle garda la main sur mon machin pendant toute la montée. Pierre souriait.
Une dame qui était montée en même temps que nous, est descendue au quatrième. Elle avait fait semblant de ne rien voir. Mais son visage était tout rouge. J’étais près de jouir.
Nous étions maintenant dans l’appartement.
Sans me regarder, et même, comme s’il ignorait ma présence, il s’adressa à elle : « C’est vrai qu’il souffre d’éjaculations précoces, ton pauvre mari ? Et il n'en a pas une bien grosse, je trouve… Qu'est-ce qu'il peut bien faire avec ça, sinon se branler ? » « Ça !…" fit-elle, sans autre commentaire, ni sans m’accorder le moindre regard. Elle savait que j’aimais cela. Être brimé devant un autre homme, son amant, un « vrai mâle ».
« Et c’est pour ça qu’il aime que tu l’attaches quand tu m'invites ? » interrogea Pierre, un sourire machiavélique aux lèvres. « Je suppose. » répondait-elle, sans intonation particulière dans la voix. « Incroyable ! » s’exclama Pierre, le visage moqueur, mais toujours sans me regarder, comme si je n’existais pas.
« Et bien alors, déshabille-le et attache-le, puisqu’il aime ça ! »
Ça ne se passait pas toujours comme ça, quand elle ramenait Pierre à la maison. Parfois ils m'envoyaient promener, au sens littéral et je devais alors aller faire un tour, pendant qu'ils étaient occupés. Parfois je devais rester pour leur préparer un repas et les servir, habillé ou tout nu, selon leur fantaisie du moment.
Mais aujourd'hui, je sentais que j'allais y avoir droit, à la punition, nu, avec permission et obligation en même temps d'assister à leurs ébats.
Elle me déshabilla aussitôt, avec des gestes secs, voire une certaine brutalité, comme elle en avait l’habitude. Elle me connaissait. Elle savait que j’aimais ça. J'aimais son attitude froide, déterminée, autoritaire. Elle en profita pour me brutaliser un peu les parties tandis qu'elle me retirait mon caleçon. Ce geste n’échappa pas à Pierre qui le commenta avec un sourire vicieusement sarcastique sur le visage.
« Je vois que tu sais le prendre par les sentiments ! Ce doit être une frustration insupportable pour une jeune et très jolie femme comme toi, d’avoir un mari si passif… avec tous ces charmes… qui doivent certainement… exciter beaucoup d’hommes, n’est-ce pas, mon trésor ? »
« J’sais pas… j’en peux rien ! » Elle prenait le ton d’une petite fille, qu’elle imitait assez bien, malgré ses trente-six ans. Elle prit une cigarette. Pierre lui alluma. Ça y est. Elle était excitée. C'était à chaque fois comme ça. Mon truc se remit à durcir, attaché tout nu que j’étais, assis sur ma chaise.
Je l'aimais comme ça. Froide, méthodique, rapide, instinctive, prenant toujours sur-le-champ la meilleure décision, j'étais fou amoureux d'elle. Elle avait un appétit sexuel en proportion inverse de mes capacités. J'avais, depuis longtemps, pris conscience que je ne pouvais la satisfaire à moi seul. J'avais totalement accepté la situation.
En se mariant, elle quittait ses parents qui lui avaient imposé une éducation sévère inspirée par une morale religieuse austère et un peu archaïque.
Au cours des premières années de notre mariage, nous avons découvert ensemble les plaisirs d'une sexualité enfin débridée. Sauf que… Je me rendis compte bientôt que je souffrais d'éjaculations précoces de plus en plus fréquentes. Il faut dire que c'était un canon, qu'elle avait une libido insatiable et que, en toute complicité, nous n'avions de cesse de faire des découvertes, toutes plus immorales les unes que les autres, dans ce domaine.
Elle se mit à séduire, mais je l'y encourageais, des collègues, pour commencer. Puis elle sélectionna ses proies plus en fonction de leur importance sociale ou de leur fortune. Elle s'habitua à me tenir au courant de ses relations extra-conjugales qui se multiplièrent bientôt. Elle pensa, bien sûr, me quitter. Pour être plus libre, d'une part, et peut-être aussi parce que certaines de ses conquêtes exigeaient une relation exclusive. Elle préféra mettre fin à ce type de relation et rester mariée avec moi. Nous avions deux enfants et un appartement cossu. Une de ses relations privilégiées m'avait justement aidé à trouver un emploi de cadre dans une grande Agence de Publicité. J'étais très bien payé. Ça comptait pour elle.
Et puis, au fil du temps, elle avait découvert, qu'en plus du confort social de cette situation, je pouvais avoir aussi cette attitude d'esclave complètement asservi à sa beauté et à son tempérament. Elle était du signe du Lion et elle aimait me dominer. De plus en plus. Elle voulait tâter les limites. Il n'y avait pas de limites. Elle s'engagea donc dans une recherche effrénée de ses deux puissants leviers opposés du plaisir : les mâles qu'elle dominait et les mâles qui la dominaient. Elle aimait autant les uns que les autres. Les deux catégories réunies lui apportaient la satisfaction de ce qu'elle recherchait avant tout, le Plaisir et le Pouvoir.
Pierre, lui, la dominait de la tête et des épaules. Pierre Voirsa, c'était son nom, était un brillant réviseur d'entreprise. Il avait fait ses études en Suisse. C'était un homme qui en imposait. Brillant en société, cajoleur dans l'intimité. A la fois courtois et autoritaire, c'était un homme à femme. La mienne était à ses pieds et faisait, du moins pour le moment, ses quatre volontés. Il s'était montré curieux de la situation que ma femme, après s'être donnée à lui de manière très conventionnelle, allusions, oeillades appuyées, rendez-vous discrets et ainsi de suite, avait fini par lui proposer. Faire l'amour et toutes ses fantaisies, en présence d'un mari voyeur, docile et très discret. Elle lui promettait en échange des moments très chauds et surtout, beaucoup de variété, s'il pouvait se montrer à la hauteur. Pierre, pour ses soixante ans, était monté comme un âne et il faisait l'amour comme un dieu. Quand il rentrait chez lui, la nuit, ma femme ne pensait plus qu'à aller dormir, épuisée. Quant à moi, je ne devais surtout pas oublier de lui demander de me détacher. Sinon j'avais à passer la nuit, nu, assis, attaché sur ma chaise.
Il la baratinait sans scrupule.
À l’arrêt, à un carrefour, il lui demanda de venir s’installer devant, à ses côtés. En silence, elle s’exécuta. La voiture avait redémarré depuis peu de temps, qu’il lui glissait la main sous la jupe.
Il me demanda alors, de la banquette arrière où j’étais assis, de lui retirer son soutien.
Tandis que je m’y affairais, il lui demanda sans façons : « Il en met du temps… Tu crois qu’il bande ? »
Elle répondit simplement : « Oui, sûrement !… »
On était arrivé à l’immeuble. Elle est sortie de la voiture, sans soutien et sans refermer son chemisier. Notre appartement était au cinquième. Elle ne s’est pas rhabillée pour prendre l’ascenseur. Pas très discrètement, elle a senti mon truc. Il était tout dur. J’avais honte. Elle garda la main sur mon machin pendant toute la montée. Pierre souriait.
Une dame qui était montée en même temps que nous, est descendue au quatrième. Elle avait fait semblant de ne rien voir. Mais son visage était tout rouge. J’étais près de jouir.
Nous étions maintenant dans l’appartement.
Sans me regarder, et même, comme s’il ignorait ma présence, il s’adressa à elle : « C’est vrai qu’il souffre d’éjaculations précoces, ton pauvre mari ? Et il n'en a pas une bien grosse, je trouve… Qu'est-ce qu'il peut bien faire avec ça, sinon se branler ? » « Ça !…" fit-elle, sans autre commentaire, ni sans m’accorder le moindre regard. Elle savait que j’aimais cela. Être brimé devant un autre homme, son amant, un « vrai mâle ».
« Et c’est pour ça qu’il aime que tu l’attaches quand tu m'invites ? » interrogea Pierre, un sourire machiavélique aux lèvres. « Je suppose. » répondait-elle, sans intonation particulière dans la voix. « Incroyable ! » s’exclama Pierre, le visage moqueur, mais toujours sans me regarder, comme si je n’existais pas.
« Et bien alors, déshabille-le et attache-le, puisqu’il aime ça ! »
Ça ne se passait pas toujours comme ça, quand elle ramenait Pierre à la maison. Parfois ils m'envoyaient promener, au sens littéral et je devais alors aller faire un tour, pendant qu'ils étaient occupés. Parfois je devais rester pour leur préparer un repas et les servir, habillé ou tout nu, selon leur fantaisie du moment.
Mais aujourd'hui, je sentais que j'allais y avoir droit, à la punition, nu, avec permission et obligation en même temps d'assister à leurs ébats.
Elle me déshabilla aussitôt, avec des gestes secs, voire une certaine brutalité, comme elle en avait l’habitude. Elle me connaissait. Elle savait que j’aimais ça. J'aimais son attitude froide, déterminée, autoritaire. Elle en profita pour me brutaliser un peu les parties tandis qu'elle me retirait mon caleçon. Ce geste n’échappa pas à Pierre qui le commenta avec un sourire vicieusement sarcastique sur le visage.
« Je vois que tu sais le prendre par les sentiments ! Ce doit être une frustration insupportable pour une jeune et très jolie femme comme toi, d’avoir un mari si passif… avec tous ces charmes… qui doivent certainement… exciter beaucoup d’hommes, n’est-ce pas, mon trésor ? »
« J’sais pas… j’en peux rien ! » Elle prenait le ton d’une petite fille, qu’elle imitait assez bien, malgré ses trente-six ans. Elle prit une cigarette. Pierre lui alluma. Ça y est. Elle était excitée. C'était à chaque fois comme ça. Mon truc se remit à durcir, attaché tout nu que j’étais, assis sur ma chaise.
Je l'aimais comme ça. Froide, méthodique, rapide, instinctive, prenant toujours sur-le-champ la meilleure décision, j'étais fou amoureux d'elle. Elle avait un appétit sexuel en proportion inverse de mes capacités. J'avais, depuis longtemps, pris conscience que je ne pouvais la satisfaire à moi seul. J'avais totalement accepté la situation.
En se mariant, elle quittait ses parents qui lui avaient imposé une éducation sévère inspirée par une morale religieuse austère et un peu archaïque.
Au cours des premières années de notre mariage, nous avons découvert ensemble les plaisirs d'une sexualité enfin débridée. Sauf que… Je me rendis compte bientôt que je souffrais d'éjaculations précoces de plus en plus fréquentes. Il faut dire que c'était un canon, qu'elle avait une libido insatiable et que, en toute complicité, nous n'avions de cesse de faire des découvertes, toutes plus immorales les unes que les autres, dans ce domaine.
Elle se mit à séduire, mais je l'y encourageais, des collègues, pour commencer. Puis elle sélectionna ses proies plus en fonction de leur importance sociale ou de leur fortune. Elle s'habitua à me tenir au courant de ses relations extra-conjugales qui se multiplièrent bientôt. Elle pensa, bien sûr, me quitter. Pour être plus libre, d'une part, et peut-être aussi parce que certaines de ses conquêtes exigeaient une relation exclusive. Elle préféra mettre fin à ce type de relation et rester mariée avec moi. Nous avions deux enfants et un appartement cossu. Une de ses relations privilégiées m'avait justement aidé à trouver un emploi de cadre dans une grande Agence de Publicité. J'étais très bien payé. Ça comptait pour elle.
Et puis, au fil du temps, elle avait découvert, qu'en plus du confort social de cette situation, je pouvais avoir aussi cette attitude d'esclave complètement asservi à sa beauté et à son tempérament. Elle était du signe du Lion et elle aimait me dominer. De plus en plus. Elle voulait tâter les limites. Il n'y avait pas de limites. Elle s'engagea donc dans une recherche effrénée de ses deux puissants leviers opposés du plaisir : les mâles qu'elle dominait et les mâles qui la dominaient. Elle aimait autant les uns que les autres. Les deux catégories réunies lui apportaient la satisfaction de ce qu'elle recherchait avant tout, le Plaisir et le Pouvoir.
Pierre, lui, la dominait de la tête et des épaules. Pierre Voirsa, c'était son nom, était un brillant réviseur d'entreprise. Il avait fait ses études en Suisse. C'était un homme qui en imposait. Brillant en société, cajoleur dans l'intimité. A la fois courtois et autoritaire, c'était un homme à femme. La mienne était à ses pieds et faisait, du moins pour le moment, ses quatre volontés. Il s'était montré curieux de la situation que ma femme, après s'être donnée à lui de manière très conventionnelle, allusions, oeillades appuyées, rendez-vous discrets et ainsi de suite, avait fini par lui proposer. Faire l'amour et toutes ses fantaisies, en présence d'un mari voyeur, docile et très discret. Elle lui promettait en échange des moments très chauds et surtout, beaucoup de variété, s'il pouvait se montrer à la hauteur. Pierre, pour ses soixante ans, était monté comme un âne et il faisait l'amour comme un dieu. Quand il rentrait chez lui, la nuit, ma femme ne pensait plus qu'à aller dormir, épuisée. Quant à moi, je ne devais surtout pas oublier de lui demander de me détacher. Sinon j'avais à passer la nuit, nu, assis, attaché sur ma chaise.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alain Dex
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mais que peut donc être la suite lorsqu'elle rentre épuisée et odorante des souillures de son forfait. Vous en fait elle profiter, au moins ? Moi, oui, et c'est son bonus pour jouir à nouveau en m'humiliant du sperme perlant encore de sa chatte tuméfiée que je dois lécher jusqu'à ce qu'elle se cambre contre ma bouche, avant de me demander de me masturber devant elle, alors qu'elle me meurtri les tétons en me contant combien elle c'est donné à son amant !
Ou est l’amour la !!! Elle garde le mari que pour le pognon.
Le retour d'Alain.
Avec un texte cuckold
Avec un texte cuckold
Femme njl venal pitoyable