Voisin
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Voisin
Leslie HD12 - Voisin
Laure est aux States et je m’ennuie un peu, pas d’envie de sortir, six mois à attendre le retour de ma belle.
L’autre matin, très tôt, je me suis levée pour aller préparer le petit déjeuner, cela m’arrive quelque fois, et comme chaque matin j’ai jeté un coup d’œil sur l’immeuble d’en face, en regardant par la fenêtre de la cuisine côté cour.
Toujours avant de préparer le petit-déjeuner, je bois un verre d’eau sans allumer la lumière de la cuisine ce qui me donne l’occasion de jeter un coup d’œil dans l’appartement de l’immeuble d’en face.
J’ai remarqué que dans l’appartement d’en face se trouve un homme de 50 ans, brun grisonnant non dénué de charme, et parfois je me fais voyeuse et l’observe un instant en buvant mon café en dans la nuit en buvant un verre d’eau.
Ce matin, je remarque que la lumière de la cuisine d’en face est allumé, l’homme est là assis devant un café, nu.
Cet homme est donc assis là, nu à mon regard, je l’examine en détail et je remarque son bas-ventre totalement glabre, laissant apparaître un long et épais membre avec deux boules imberbes, elles aussi, et de belle taille.
Stupéfaite de cette vision, je ne peux détacher mon regard de son entrejambe. Ce sexe qui pend au bord de la chaise me fait frémir pas ses dimensions.
Etant dans la pénombre l’homme ne peut me voir, et moi de l’observer à ma guise derrière ma fenêtre entrouverte.
Je n’en reviens pas, ce n’est pas de l’exhibitionnisme de sa part, juste de la distraction, car je ne l’ai jamais surpris nu depuis deux ans que je le vois.
Je reste étonnée par les dimensions de son sexe au repos, mes quelques expériences ne m’ont pas données l’occasion de voir un tel engin.
Comment un corps féminin pouvait-il s’accommoder d’un sexe pareil chez son partenaire, et qu’elle devait être sa taille gonflé par l’excitation. Je n’osais imaginer la taille de ce membre en érection, avait-il une fois seulement pratiqué la sodomie et moi, pourrais-je accepter un tel membre en moi.
Ces avec ces pensées que j’ai fait le café en frissonnant parfois en regardant par la fenêtre.
L’homme se lève et j’aperçois son sexe pendant, lui arrivant presque à la moitié de la cuisse. Les deux boules qui accompagnent ce membre pendent lourdement de chaque côté, elles sont imberbes elles aussi.
La lumière s’éteint, le spectacle est terminé.
Je ne rate pas une occasion, maintenant, pour contempler cette curiosité de la nature, que je commence à tenter de m’imaginer ce sexe en érection, puis en action. Pour être franche, que je voudrais voir ce sexe de près, le toucher et le voir grandir dans ma main. Savoir si mes doigts feront le tour de cette verge et pourquoi ne pas tenter l’impossible.
Un soir, l’homme apparaît dans sa cuisine, suivi peu de temps après par une femme, plutôt jolie, environ mon âge. Une bouffée de chaleur teintée de jalousie m’envahit. Leurs frôlements montrent une certaine intimité, une sensualité se dégage de leurs contacts. Il profite de chaque instant de proximité pour la caresser, dans le cou, les hanches.
Elle ne se gêne pas pour venir se frotter contre l’homme.
Je suis troublée, j’aimerais être à la place de cette femme, mais je suis là voyeuse, attendant la suite, espérant plus pour contenter ma curiosité.
Je voudrais voir ce sexe d’homme en érection. Ce que je vois pour le moment, c’est que son pantalon est tendu à craquer. Une bosse impressionnante déforme le devant.
La femme ne se gêne pas pour se frotter à lui, une hanche moulée dans sa robe fendue sur le côté et même une main passée sur le gonflement maintenant peu discret.
Ils boivent ensemble un verre d’eau et la lumière s’éteint, terminé pour ce soir.
Frustrée je vais me coucher, mais je me réveille à mon heure devenue habituelle. Dans la cuisine de l’homme est là, je le distingue derrière une lumière à contrejour, assez faible, qui donne l’impression de voir une ombre chinoise.
L’homme est là, debout et je distingue nettement son intimité. Il est seul, il a sans doute laissé dormir sa compagne d’hier soir, à moins qu’elle ne soit partie.
Dix minutes se passent, tapie dans le noir de la cuisine, j’attends, fascinée par cet homme, la femme survient, elle est nue elle aussi, et elle se colle tendrement contre l’homme pour lui offrir un baiser.
Elle est grande et mince, brune avec un joli fessier, dans sa nudité on remarque une certaine classe qui pourrait faire dire qu’elle est assistante de direction.
Quelques caresses mutuelles et la main de la femme descend vers l’entrejambe de l’homme, elle se met à caresser son sexe qui enfle. Le spectacle est impressionnant.
La femme s’agenouille lentement et à genoux entre les jambes de l’homme elle caresse de ses deux mains ce sexe maintenant tendu.
Puis la tête de la femme se rapproche et il ne faut pas être devin pour imaginer que la bouche de cette femme va remplacer ou compléter les caresses de ses mains.
Je peux tout voir, et le spectacle offert me fait monter des désirs, je me caresse en regardant.
La femme pompe le dard avec délectation, elle prend visiblement du plaisir à pomper ce ses impressionnant, et je voudrais être à sa place, même si sa bouche quelque peu déformée a du mal à absorbé la totalité de ce membre.
Je vois juste les mouvements de la tête qui va et vient sur la verge raide et la main de l’homme caressant la longue chevelure de la femme.
Des minutes incroyables s’écoulent, je suis fascinée par cette caresse et je me branle sans vergogne. Il n’est pas possible que la femme ne soit pas heureuse de faire ce qu’elle fait, ses mouvements sont lents, harmonieux, aucune impression de contrainte ne se dégage de ce couple uni dans un acte d’amour.
Les mains de l’homme sur la tête de la femme imprime la cadence, cela dure un temps infini, je suis fascinée par cette bouche autour du cylindre de chair, le faisant disparaitre et réapparaitre au gré de ses mouvements.
Après un temps très long, l’homme est soudain pris de mouvements saccadés. Je crois comprendre. Il vient de jouir dans la bouche de cette femme sans aucune ambiguïté. Ses mouvements à elle continuent encore quelques instants.
La femme se redresse et ils disparaissent.
Même pas le temps de jouir et d’évacuer ma jouissance.
Le spectacle m’a excitée. Je quitte ma cuisine pour me recoucher et je repasse dans ma tête le film de ce qui vient de se passer. Cela me trouble au plus haut point, et je commence à me caresser en repensant à la taille de ce sexe.
Les images tournent dans ma tête, je me plug le cul pour me donner encore plus de plaisir et jouir. Après un moment j’explose arrosant les draps et me rendort au milieu de ma jouissance.
Je suis devenue une droguée du voyeurisme, je ne me lasse pas de regarder cet homme dans son intimité, qui d’ailleurs a du succès auprès des jeunes filles de mon âge.
Je me suis équipée de jumelles afin de bien voir tous les détails, je me fais de plus en plus vicieuse et salope.
Je me suis fait une installation de mateuse, les jumelles sur un pied pour laisser mes mains libres une chaise de cuisine avec un coussin légèrement décalée par rapport à la fenêtre, juste en bonne position pour ne rien manquer.
De plus, je ne manque plus un spectacle sans mettre équipée de mon rosebud. Planté dans mon anus, il me procure des sensations jouissives quand je me déplace sur la chaise.
Il me rappelle qu’il est là, fiché dans mon intimité, en rentrant un peu plus et m’électrisant l’anus.
A suivre…
Laure est aux States et je m’ennuie un peu, pas d’envie de sortir, six mois à attendre le retour de ma belle.
L’autre matin, très tôt, je me suis levée pour aller préparer le petit déjeuner, cela m’arrive quelque fois, et comme chaque matin j’ai jeté un coup d’œil sur l’immeuble d’en face, en regardant par la fenêtre de la cuisine côté cour.
Toujours avant de préparer le petit-déjeuner, je bois un verre d’eau sans allumer la lumière de la cuisine ce qui me donne l’occasion de jeter un coup d’œil dans l’appartement de l’immeuble d’en face.
J’ai remarqué que dans l’appartement d’en face se trouve un homme de 50 ans, brun grisonnant non dénué de charme, et parfois je me fais voyeuse et l’observe un instant en buvant mon café en dans la nuit en buvant un verre d’eau.
Ce matin, je remarque que la lumière de la cuisine d’en face est allumé, l’homme est là assis devant un café, nu.
Cet homme est donc assis là, nu à mon regard, je l’examine en détail et je remarque son bas-ventre totalement glabre, laissant apparaître un long et épais membre avec deux boules imberbes, elles aussi, et de belle taille.
Stupéfaite de cette vision, je ne peux détacher mon regard de son entrejambe. Ce sexe qui pend au bord de la chaise me fait frémir pas ses dimensions.
Etant dans la pénombre l’homme ne peut me voir, et moi de l’observer à ma guise derrière ma fenêtre entrouverte.
Je n’en reviens pas, ce n’est pas de l’exhibitionnisme de sa part, juste de la distraction, car je ne l’ai jamais surpris nu depuis deux ans que je le vois.
Je reste étonnée par les dimensions de son sexe au repos, mes quelques expériences ne m’ont pas données l’occasion de voir un tel engin.
Comment un corps féminin pouvait-il s’accommoder d’un sexe pareil chez son partenaire, et qu’elle devait être sa taille gonflé par l’excitation. Je n’osais imaginer la taille de ce membre en érection, avait-il une fois seulement pratiqué la sodomie et moi, pourrais-je accepter un tel membre en moi.
Ces avec ces pensées que j’ai fait le café en frissonnant parfois en regardant par la fenêtre.
L’homme se lève et j’aperçois son sexe pendant, lui arrivant presque à la moitié de la cuisse. Les deux boules qui accompagnent ce membre pendent lourdement de chaque côté, elles sont imberbes elles aussi.
La lumière s’éteint, le spectacle est terminé.
Je ne rate pas une occasion, maintenant, pour contempler cette curiosité de la nature, que je commence à tenter de m’imaginer ce sexe en érection, puis en action. Pour être franche, que je voudrais voir ce sexe de près, le toucher et le voir grandir dans ma main. Savoir si mes doigts feront le tour de cette verge et pourquoi ne pas tenter l’impossible.
Un soir, l’homme apparaît dans sa cuisine, suivi peu de temps après par une femme, plutôt jolie, environ mon âge. Une bouffée de chaleur teintée de jalousie m’envahit. Leurs frôlements montrent une certaine intimité, une sensualité se dégage de leurs contacts. Il profite de chaque instant de proximité pour la caresser, dans le cou, les hanches.
Elle ne se gêne pas pour venir se frotter contre l’homme.
Je suis troublée, j’aimerais être à la place de cette femme, mais je suis là voyeuse, attendant la suite, espérant plus pour contenter ma curiosité.
Je voudrais voir ce sexe d’homme en érection. Ce que je vois pour le moment, c’est que son pantalon est tendu à craquer. Une bosse impressionnante déforme le devant.
La femme ne se gêne pas pour se frotter à lui, une hanche moulée dans sa robe fendue sur le côté et même une main passée sur le gonflement maintenant peu discret.
Ils boivent ensemble un verre d’eau et la lumière s’éteint, terminé pour ce soir.
Frustrée je vais me coucher, mais je me réveille à mon heure devenue habituelle. Dans la cuisine de l’homme est là, je le distingue derrière une lumière à contrejour, assez faible, qui donne l’impression de voir une ombre chinoise.
L’homme est là, debout et je distingue nettement son intimité. Il est seul, il a sans doute laissé dormir sa compagne d’hier soir, à moins qu’elle ne soit partie.
Dix minutes se passent, tapie dans le noir de la cuisine, j’attends, fascinée par cet homme, la femme survient, elle est nue elle aussi, et elle se colle tendrement contre l’homme pour lui offrir un baiser.
Elle est grande et mince, brune avec un joli fessier, dans sa nudité on remarque une certaine classe qui pourrait faire dire qu’elle est assistante de direction.
Quelques caresses mutuelles et la main de la femme descend vers l’entrejambe de l’homme, elle se met à caresser son sexe qui enfle. Le spectacle est impressionnant.
La femme s’agenouille lentement et à genoux entre les jambes de l’homme elle caresse de ses deux mains ce sexe maintenant tendu.
Puis la tête de la femme se rapproche et il ne faut pas être devin pour imaginer que la bouche de cette femme va remplacer ou compléter les caresses de ses mains.
Je peux tout voir, et le spectacle offert me fait monter des désirs, je me caresse en regardant.
La femme pompe le dard avec délectation, elle prend visiblement du plaisir à pomper ce ses impressionnant, et je voudrais être à sa place, même si sa bouche quelque peu déformée a du mal à absorbé la totalité de ce membre.
Je vois juste les mouvements de la tête qui va et vient sur la verge raide et la main de l’homme caressant la longue chevelure de la femme.
Des minutes incroyables s’écoulent, je suis fascinée par cette caresse et je me branle sans vergogne. Il n’est pas possible que la femme ne soit pas heureuse de faire ce qu’elle fait, ses mouvements sont lents, harmonieux, aucune impression de contrainte ne se dégage de ce couple uni dans un acte d’amour.
Les mains de l’homme sur la tête de la femme imprime la cadence, cela dure un temps infini, je suis fascinée par cette bouche autour du cylindre de chair, le faisant disparaitre et réapparaitre au gré de ses mouvements.
Après un temps très long, l’homme est soudain pris de mouvements saccadés. Je crois comprendre. Il vient de jouir dans la bouche de cette femme sans aucune ambiguïté. Ses mouvements à elle continuent encore quelques instants.
La femme se redresse et ils disparaissent.
Même pas le temps de jouir et d’évacuer ma jouissance.
Le spectacle m’a excitée. Je quitte ma cuisine pour me recoucher et je repasse dans ma tête le film de ce qui vient de se passer. Cela me trouble au plus haut point, et je commence à me caresser en repensant à la taille de ce sexe.
Les images tournent dans ma tête, je me plug le cul pour me donner encore plus de plaisir et jouir. Après un moment j’explose arrosant les draps et me rendort au milieu de ma jouissance.
Je suis devenue une droguée du voyeurisme, je ne me lasse pas de regarder cet homme dans son intimité, qui d’ailleurs a du succès auprès des jeunes filles de mon âge.
Je me suis équipée de jumelles afin de bien voir tous les détails, je me fais de plus en plus vicieuse et salope.
Je me suis fait une installation de mateuse, les jumelles sur un pied pour laisser mes mains libres une chaise de cuisine avec un coussin légèrement décalée par rapport à la fenêtre, juste en bonne position pour ne rien manquer.
De plus, je ne manque plus un spectacle sans mettre équipée de mon rosebud. Planté dans mon anus, il me procure des sensations jouissives quand je me déplace sur la chaise.
Il me rappelle qu’il est là, fiché dans mon intimité, en rentrant un peu plus et m’électrisant l’anus.
A suivre…
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