Vol à l’étalage
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Vol à l’étalage
Ceci est une histoire inventée et reflète les fantasmes de certains hommes et femmes. Tout cela sans pour autant les cautionner légalement. Je situe aussi cette histoire dans un cadre juridique propice à ce genre de fantasme.
Mon nom est Ronald, vigile dans une super grande surface dont je tairais le nom. J'aime mon métier et je me lever pour m'y rendre est toujours comme partir à l'aventure vers l'inconnu.
Il n'y a pas de femme dans mon lit et je ne pense pas qu'il y en aura tant que je ferai ce métier. Pourquoi y en aurait-il une ? J'ai presque toutes celles que je veux.
Depuis que les sanctions pour le vol à l'étalage se sont durcies, j'ai trouvé le moyen d'en tirer le meilleur parti.
En tant que responsable de la sécurité, j'ai discrètement installé un système de caméra dans des points évidemment illégaux. J'ai installé moi-même les caméras pendant mes quarts de nuit et dès que je suis seul dans mon bureau, je me met aux commandes de mon installation et rien ne peut m'échapper. Mais rassurez-vous, ce n'est pas pour me palucher. J'ai un objectif beaucoup plus ambitieux que celui de simple voyeur. Derrière mon écran j'ai vue sur les allées, les caisses mais aussi les cabines d’essayages. La plupart du temps je vois les femmes en sous-vêtements, mais parfois elles dénudes leurs poitrines et même certaines ne portent pas de culottes.
Bien sûr, j'arrête parfois des mecs, pour le quota, mais c'est pas ce qui m'intéresse dans ce boulot, être flic n'est pas une vocation. Ma mission est de dénicher la bonne proie, tel un chasseur, et cela ne tarde jamais. Il y a des vols tous les jours et je choisis méticuleusement mes victimes. Mon instinct me trompe rarement.
Je vous vois venir ! J'ai employé le mot « victime »... Ce n'est pas le mot approprié... Je ne suis pas un violeur ! Non ! Je ne forcerai jamais une femme ! Je ne suis pas macho non plus ! Ce que je sais, je le sais des femmes elles-mêmes. Si elles ont le choix entre l'humiliation publique ou donner leur corps, la majorité préfère donner son corps. J'utilise cette faiblesse, oui, mais je ne blesse pas son intégrité. Elle a toujours le choix. Elle peut et doit choisir ! C'est là mon excitation suprême.
Je profite de la loi, c'est tout... La voleuse peut repartir menottes aux poignets avec un procès au cul, prison et tout ce que cela implique pour sa vie privée et professionnelle. Ou tout simplement se laisser aller au plaisir de l'interdit... car c'est bien ce que chercher quelque part une voleuse... L'interdit, le risque, l'excite...
Je ne choisis jamais une voleuse de nourriture pour lesquelles je n'ai pas un regard de chasseur... Elles sont peut-être dans le besoin... Mon choix va vers celles qui volent des accessoires de mode, des trucs inutiles et chers, des dessous hors de prix, des bijoux, des cosmétiques de marque, etc...
Mon trip à moi est de transformer son choix en plaisir... C'est rare que je me plante. Je veux l'entendre rugir de délice, je veux qu'elle en redemande. Je veux qu'elle souffre de félicité.
Elle est confrontée à sa propre ambiguïté intérieure, les sensations provoquées par la situation amplifient son excitation. Elle se refuse, mais au fond son corps et surtout son moi intérieur disent... Oui. J'obtiens le plus souvent des jouissances incomparables à celles qu'elles connaissent ou ont connues jusque là !
Je les observe avec attention avant de la faire arrêter... Je dois viser juste sinon je perdrais trop de temps.
Je vois la mère de famille qui veux un dessous sexy pour redonner de l'envie à son mari. La femme dans la cinquantaine qui se sens devenir vieille et essaye des dessous sexy avant de le vouloir. La jeune à peine majeure qui veux essayer des dessous plus à la mode que ce que ces parents lui achètent. Le belle blonde qui pour séduire doit régulièrement avoir de nouveau string, tant les seins sont salis par le sperme. La grand-mère qui veux faire un cadeau à sa petite fille, mais faute de moyens se voit dans l'obligation de le voler.
Mais quelque soit la raison, la situation finit par les exciter comme elles ne l'ont jamais été hormis dans leurs fantasmes les plus intimes.
Comme je l'ai dit, pas de femme qui vole de l'alimentation, pas de femme enceinte, enfin bon... pas les vraies voleuses par nécessite.
Ma technique est simple. Après les avoir fait arrêter, je les fais mariner un bon moment sur une chaise inconfortable, et je prends mon temps. Bien entendu j'ai des caméras dans la pièce pour les observer depuis mon bureau et réagir si il le faut. Parfois cela peut prendre une demi-heure avant de revenir où elle est enfermée... je prends le temps de m'assurer que je ne serai pas déranger.
Cette phase d'attente est primordiale, ce sont mes préliminaires. Je jauge ainsi si cela va pouvoir aller plus loin. Je lui explique ensuite que je dois informer le boss, je disparais à nouveau pour un moment, puis je reviens pour dire qu'il est absent aujourd’hui. Que je dois dès lors appeler la police et lui déroule tout ce qu'elle risque à cause de son acte. La fille commence à flipper sérieusement quand elle entend le mot prison et la somme à payer comme amende.
La plupart de femmes cachent leur larcin sous leurs vêtements, c'est toujours plus simple pour moi pour les faire se déshabiller. Il y celle qui préfère sa petite culotte, ou celle qui préfère le soutif. Il y a aussi les petites malines.
C'est curieux, d'après les caméras de surveillance, quand vous êtes entrée dans le magasin, vous n'étiez pas enceinte ! Vierge peut-être même... !
Quand elle commence à tourner en rond et se morfondre, c'est que ma proie est bientôt prête ! L'attente est un délice en ce qui me concerne. La fille tente souvent soit de cacher maladroitement son butin, soit de s'en débarrasser du mieux qu'elle peut. J'observe méticuleusement son attitude qui peut m'en dire long sur la suite des événements.
Il y a parfois des surprise agréables ! Tel la fois où elle s'est penchée sur la table laissant voir qu'elle ne portait pas de sous-vêtement, ou encore le meilleur, c'est celle qui s'est mise à se caresser le clito tant elle était excitée par la situation.
Mais ce que j'apprécie, c'est l'observation de la tension qui s'installe en elle et sa réaction au fait de s'être fait prendre. Elle se triture les cheveux, geste si féminin... où alors elle se ronge les ongles, sort son portable, croise et décroise les jambes...
C'est là que je reviens à la charge. Et les réactions son presque souvent les mêmes.
Bon inscrit ton nom et adresse, ensuite tu me passe ta carte d'identité !
Je sais même pas pourquoi je suis là !?
Tu ne sais pas pourquoi ?... tu es ici car tu as volé de la marchandise dans notre magasin... Je t'ai expliqué ce que tu risques à cause de ton vol, en ne rendant pas la marchandise de ton plein gré ce sera pire... Donc tu me rends ce que tu as volé et on voit ce que je peux faire...
Quoi, mais c'est faux ?
Ce serait dommage qu'une jolie fille comme toi soit derrière les barreaux, non ?... Bon, écoute, quoi qu'il arrive, je dois récupérer ce que tu as volé.
Je le jure, j'ai rien pris... Laissez moi partir. Ça fait une heure que je poireaute, on m'attend ! La blague à assez duré.
C'est loin d'être une blague, crois-moi ! Je dois maintenant faire des photos. Lève-toi et déshabille-toi !
Des photos ?
Allez, dépêche-toi !
Me déshabiller ?
Tu fais ce que je te dis ou c'est les flics... commence par le haut et pose le tout sur la table.
À ce stade on à plusieurs cas. La femme sans soutif avec les seins libres, celle avec un soutien qui lui recouvre la moitié de la poitrine, celle qui en a un de sexy et enfin celle qui porte plus un redresse seins.Les soutifs sont différents, ceux avec ou sans rembourrage et enfin ceux qui dans lesquels sont dissimulé les objets du délit.
Je continue ensuite.
Continue avec le bas ! Allez on ne traîne pas. Quelqu'un t'attend ?
Oui, mon petit copain, mon mari, ma mère... les réponse sont toutes différentes.
Très bien, alors si tu veux vite le revoir, il va falloir coopérer. Pose tout cela sur la table.
Là, même cas que pour le dessus. Avec ou sans culotte, string, tong, etc...
Comme j'ai bien choisis mes proies, j'ai toujours quelque chose à découvrir.
Et ceci, c'est à toi sans doute ?
Je...
Trop tard, maintenant je vais prendre des photos.
Voilà, ça se passe toujours de la même manière. Je menace de la livrer à la police ou de suivre mes instructions. Car une fois que j'ai découvert le larcin, je peux tout me permettre, la peur las rend docile.
Plusieurs réactions sont toutefois possible quand j'en reviens aux photos.
Il y celle qui crie aux scandale quand je lui demande de se mettre complètement nue et de se laisser photographier. Mais elle le fait tout en tentant de cacher ses parties intimes et en protestant pour la forme.
Il y celle qui avait dissimulé des objets dans ses sous-vêtements et qui se retrouve devant l'évidence. Là elle pose rarement de difficulté et obtempère rapidement.
Il y a celle qui se déshabille tout de suite, croyant ainsi qu'elle va pouvoir partir plus vite.
Au final je fais les photos et elle entre dans ma collection personnelle.
J'ai toutes les femmes possibles : de 18 à 80 ans, les chattes imberbes, rasées ou épilées. Celles qui sont taillées, le ticket de métro, simplement entretenue. Les chattes avec des accessoires, boucles, piercing et autres, mais aussi plus rarement des chattes avec un gode. Les poitrines aussi sont toutes différentes. De la grand-mère aux seins flasques et pendants à la jeune à la poitrine opulente et bien dure. Les seins avec ou sans augmentations mammaires. Les corps parfaits au corps couvert de vergetures ou de cicatrices diverses.
Mais au final peu m'importe l'aspect, c'est l'utilisation qui est la finalité.
La phase observation et voyeur passée, j'enchaîne avec l'exploration.
Bon écoute maintenant,soit j'appelle les flics soit tu me laisse faire mon job à fond.
Que voulez-vous ?
Penches-toi sur la table et fais voir ton cul. Tu ne serais pas la première à cacher des choses de valeur ici !
Vous plaisantez ?
Pas du tout, ma chère !
Mais c'est pas possible, hooo !
Tu mouilles, on dirait, hein ? Allez, écarte bien les fesses que je vois correctement.
En fait, il y celles qui préfèrent me monter docilement, parfois même de manière très volontaire et je dirais plutôt avec un amusement non feint. J'avoue que ce moment m'excite au plus haut point. Je commence à entrer dans la phase supérieure.
Bien sûr, il y a une autre solution que d’appeler la police.
Oh !
Je suis déjà bien excité et je suis certain que toi aussi !
Tout en lui parlant, je me suis approché, mettant en évidence la bosse dans mon pantalon et en lui caressant les seins.
Regarde ! Bon, tu as compris ce que j'attends de toi ? Tu te laisse un peu aller, et on efface ta dette. Je ne dis rien à personne.
Mais... mais j'ai un copain, un mari... Je ne peux pas faire ça !
Fais-moi confiance, tu vas l'oublier un moment et vivre un truc mémorable.
C'est de la folie !!! Vous profitez de la situation ! C'est dégueulasse.
La prison c'est pas dégueulasse ?
Je pourrai partir ensuite ? Vous me laisserez rentrer chez moi ?
Promis je te que si tu es docile, tu partiras sans aucune poursuite ! Mais il va falloir me faire confiance et te laisser faire... Compris ?
Là elles ne se posent plus de questions et sont prête à faire tout ce que je leurs demande.
Commence par évaluer ce qui se cache ici. Attrape ma queue. N'aie pas peur !
Je suis très attentif à la réaction lorsqu'elle découvre mon membre. C'est si nouveau et varié à chaque fois... Suivant leur attitude, mes érections sont diablement différentes. Si elle ne le font pas, je la sort moi même avec dextérité ! Faut bien un peu de théâtralité !
Les réactions vont de : Aaaahh !; Quel engin !; Euh... ; Pff, mon mec à la même chose dans son slip ou encore c'est trop énorme !
On vas passer à autre chose, maintenant suce moi !
À nouveau différentes réactions : Heu... ; J'ai jamais fait ça !
Il y a la gênée, la délicate, l’ignorante, la récitante, la gourmande ou même l'experte.
Il y a ensuite celle qui se donne à font croyant me faire jouir rapidement et de cette manière être débarrassée de moi, elle est vite désappointée.
La fellation terminée, on passe à la suite et pour cela elle se penche sur la table, m'offrant ainsi un accès facile à sa chatte et à son cul. Quand elles ne sont pas encore disponible à ce stade, ce qui est rare, je passe à l'arme fatale... Connaissez-vous la langue merveilleuse ? Et je me suis rendu compte que certaines femmes n'ont jamais connu ce plaisir avec leur copain.
Pour moi c'est à chaque fois la découverte d'un saveur différente, mais je dois avouer que je préfère les chattes épilées et bien humides. À ce moment, je me délecte de cet abricot qui se transforme en clémentine juteuse ? J'écoute les sons de sa voix et les râles qui progressivement montre qu'elles s'abandonnent aux plaisirs.
C'est aussi le bon moment pour tester la disponibilité de l'anus. Beaucoup de femmes aiment cela sans le savoir. Une femme qui a connu une vraie jouissance anale est toujours partante pour recommencer ! Lorsqu'elle jouit, l'anus d'une femme se rétracte, se dilate, pulse au rythme de son plaisir. Cela me procure des sensations incomparables lorsque je suis en elle. C'est pourquoi j'emprunte cette voie quand elle s'ouvre ici. Mais je reviens à la matrice si elle reste fermée. Le but est d'atteindre le plaisir pas de lui faire mal, ou de la forcer.
Je m'amuse de son abandon croissant et du lâcher prise qui laisse place au plaisir. Je ne suis pas pressé. Si elle n'est pas encore pénétrable, je continue ma dégustation et je teste régulièrement son hospitalité avec mes doigts.
Quand elles sont prête et que je vais passer à la pénétration, elles me demandent souvent pourquoi j'arrête, elles sont complètement disposées à continuer sentant le plaisir prendre la place de la réticence.
À ce stade, la plupart son devenue volontaire pour se faire pénétrée. Et les chattes sont toutes aussi très différentes.
La chatte peu être à grosses ou petites lèvres ; elle peut être large ou étroite ; dégoulinante ou simplement humide ; profonde ou pas. Et je m'adapte à chacune d'elle. Les femmes aussi ont leurs préférences, celle qui veut être prise violemment, celle qui aime la douceur, celle qui aime les changements de rythmes. Les commentaires me renseignes sur ce qu'elles désire. Celle qui me dit qu'elle est trop grosse ; celle qui dit que c'est bon ; celle qui en veut plus et plus loin. À Chacune j'apporte ce qu'elle demande.
On fil du temps, elle ne parle plus, mais ce sont de gémissements qui sortent de sa bouche. La femme se donne également de plus en plus, certaine prenant même l'initiative de certaines positions.
Au final, j'aime qu'elle chante... Qu'elle souffle ! Je veux l'entendre gémir de plaisir. Mon final se fait sur le siège que je laisse toujours dans la pièce. Je m’assis dessus et c'est elle qui vient s’empaler sur ma hampe. À elle de choisir de face ou de dos et dans la chatte ou dans le cul. Jamais aucune n'a refusé, à ce stade, elles veulent toutes jouir sur ma queue. C'est le moment où je profite le plus de leur râle et de leurs gémissements. Elles sont volontaires et donc se lâche complètement laissant le plaisir monter en elle et elles l'exprime sans plus aucune retenue.
Toutes ont une façon de jouir différente, en voici quelques unes. Celle qui se déchaîne sur mon sexe et hurle son plaisir ; celle qui se retient mais dont le corps tend de toute part ; celle qui à les yeux qui se révulse ; celle qui perd le contrôle de son corps et s'écroule au sol prise de spasmes et bien d'autres encore.
Mais pour finir je jouis toujours sur elle, soit en me branlant , soit en me faisant branler.
Mais voici les deux extrême que j'ai rencontré.
Une Jeune de 19 ans qui était encore vierge et dont j'ai fait l'éducation sexuelle pendant plus de deux heures. Elle a été déflorée en douceur et elle a goûté pour la première fois la semence d'un homme.
Une vieille de 80 ans qui dès qu'elle fut prise la main dans le sac, me proposa en privé de me faire une gâterie pour que j'oublie tout. Elle dût me faire plus et elle accepta de bon cœur de se faire prendre par tous les trous. Son expérience m'a procuré certainement une des jouissance les plus mémorable de ma carrière.
L'épilogue, c'est que j'ai appris il y a déjà quelque temps que ma petite combine tait connue de la plupart des femmes de la région et que celles qui avaient besoin de se faire défoncer ou celles qui voulaient casser la monotonie de leur vie de mère de famille venaient pour se faire prendre en flagrant délit de vol et passer dans mon bureau pour trouver un arrangement à l'amiable. Il n'est d'ailleurs pas rare que je revois de plus en plus souvent les mêmes voleuses.
Mon nom est Ronald, vigile dans une super grande surface dont je tairais le nom. J'aime mon métier et je me lever pour m'y rendre est toujours comme partir à l'aventure vers l'inconnu.
Il n'y a pas de femme dans mon lit et je ne pense pas qu'il y en aura tant que je ferai ce métier. Pourquoi y en aurait-il une ? J'ai presque toutes celles que je veux.
Depuis que les sanctions pour le vol à l'étalage se sont durcies, j'ai trouvé le moyen d'en tirer le meilleur parti.
En tant que responsable de la sécurité, j'ai discrètement installé un système de caméra dans des points évidemment illégaux. J'ai installé moi-même les caméras pendant mes quarts de nuit et dès que je suis seul dans mon bureau, je me met aux commandes de mon installation et rien ne peut m'échapper. Mais rassurez-vous, ce n'est pas pour me palucher. J'ai un objectif beaucoup plus ambitieux que celui de simple voyeur. Derrière mon écran j'ai vue sur les allées, les caisses mais aussi les cabines d’essayages. La plupart du temps je vois les femmes en sous-vêtements, mais parfois elles dénudes leurs poitrines et même certaines ne portent pas de culottes.
Bien sûr, j'arrête parfois des mecs, pour le quota, mais c'est pas ce qui m'intéresse dans ce boulot, être flic n'est pas une vocation. Ma mission est de dénicher la bonne proie, tel un chasseur, et cela ne tarde jamais. Il y a des vols tous les jours et je choisis méticuleusement mes victimes. Mon instinct me trompe rarement.
Je vous vois venir ! J'ai employé le mot « victime »... Ce n'est pas le mot approprié... Je ne suis pas un violeur ! Non ! Je ne forcerai jamais une femme ! Je ne suis pas macho non plus ! Ce que je sais, je le sais des femmes elles-mêmes. Si elles ont le choix entre l'humiliation publique ou donner leur corps, la majorité préfère donner son corps. J'utilise cette faiblesse, oui, mais je ne blesse pas son intégrité. Elle a toujours le choix. Elle peut et doit choisir ! C'est là mon excitation suprême.
Je profite de la loi, c'est tout... La voleuse peut repartir menottes aux poignets avec un procès au cul, prison et tout ce que cela implique pour sa vie privée et professionnelle. Ou tout simplement se laisser aller au plaisir de l'interdit... car c'est bien ce que chercher quelque part une voleuse... L'interdit, le risque, l'excite...
Je ne choisis jamais une voleuse de nourriture pour lesquelles je n'ai pas un regard de chasseur... Elles sont peut-être dans le besoin... Mon choix va vers celles qui volent des accessoires de mode, des trucs inutiles et chers, des dessous hors de prix, des bijoux, des cosmétiques de marque, etc...
Mon trip à moi est de transformer son choix en plaisir... C'est rare que je me plante. Je veux l'entendre rugir de délice, je veux qu'elle en redemande. Je veux qu'elle souffre de félicité.
Elle est confrontée à sa propre ambiguïté intérieure, les sensations provoquées par la situation amplifient son excitation. Elle se refuse, mais au fond son corps et surtout son moi intérieur disent... Oui. J'obtiens le plus souvent des jouissances incomparables à celles qu'elles connaissent ou ont connues jusque là !
Je les observe avec attention avant de la faire arrêter... Je dois viser juste sinon je perdrais trop de temps.
Je vois la mère de famille qui veux un dessous sexy pour redonner de l'envie à son mari. La femme dans la cinquantaine qui se sens devenir vieille et essaye des dessous sexy avant de le vouloir. La jeune à peine majeure qui veux essayer des dessous plus à la mode que ce que ces parents lui achètent. Le belle blonde qui pour séduire doit régulièrement avoir de nouveau string, tant les seins sont salis par le sperme. La grand-mère qui veux faire un cadeau à sa petite fille, mais faute de moyens se voit dans l'obligation de le voler.
Mais quelque soit la raison, la situation finit par les exciter comme elles ne l'ont jamais été hormis dans leurs fantasmes les plus intimes.
Comme je l'ai dit, pas de femme qui vole de l'alimentation, pas de femme enceinte, enfin bon... pas les vraies voleuses par nécessite.
Ma technique est simple. Après les avoir fait arrêter, je les fais mariner un bon moment sur une chaise inconfortable, et je prends mon temps. Bien entendu j'ai des caméras dans la pièce pour les observer depuis mon bureau et réagir si il le faut. Parfois cela peut prendre une demi-heure avant de revenir où elle est enfermée... je prends le temps de m'assurer que je ne serai pas déranger.
Cette phase d'attente est primordiale, ce sont mes préliminaires. Je jauge ainsi si cela va pouvoir aller plus loin. Je lui explique ensuite que je dois informer le boss, je disparais à nouveau pour un moment, puis je reviens pour dire qu'il est absent aujourd’hui. Que je dois dès lors appeler la police et lui déroule tout ce qu'elle risque à cause de son acte. La fille commence à flipper sérieusement quand elle entend le mot prison et la somme à payer comme amende.
La plupart de femmes cachent leur larcin sous leurs vêtements, c'est toujours plus simple pour moi pour les faire se déshabiller. Il y celle qui préfère sa petite culotte, ou celle qui préfère le soutif. Il y a aussi les petites malines.
C'est curieux, d'après les caméras de surveillance, quand vous êtes entrée dans le magasin, vous n'étiez pas enceinte ! Vierge peut-être même... !
Quand elle commence à tourner en rond et se morfondre, c'est que ma proie est bientôt prête ! L'attente est un délice en ce qui me concerne. La fille tente souvent soit de cacher maladroitement son butin, soit de s'en débarrasser du mieux qu'elle peut. J'observe méticuleusement son attitude qui peut m'en dire long sur la suite des événements.
Il y a parfois des surprise agréables ! Tel la fois où elle s'est penchée sur la table laissant voir qu'elle ne portait pas de sous-vêtement, ou encore le meilleur, c'est celle qui s'est mise à se caresser le clito tant elle était excitée par la situation.
Mais ce que j'apprécie, c'est l'observation de la tension qui s'installe en elle et sa réaction au fait de s'être fait prendre. Elle se triture les cheveux, geste si féminin... où alors elle se ronge les ongles, sort son portable, croise et décroise les jambes...
C'est là que je reviens à la charge. Et les réactions son presque souvent les mêmes.
Bon inscrit ton nom et adresse, ensuite tu me passe ta carte d'identité !
Je sais même pas pourquoi je suis là !?
Tu ne sais pas pourquoi ?... tu es ici car tu as volé de la marchandise dans notre magasin... Je t'ai expliqué ce que tu risques à cause de ton vol, en ne rendant pas la marchandise de ton plein gré ce sera pire... Donc tu me rends ce que tu as volé et on voit ce que je peux faire...
Quoi, mais c'est faux ?
Ce serait dommage qu'une jolie fille comme toi soit derrière les barreaux, non ?... Bon, écoute, quoi qu'il arrive, je dois récupérer ce que tu as volé.
Je le jure, j'ai rien pris... Laissez moi partir. Ça fait une heure que je poireaute, on m'attend ! La blague à assez duré.
C'est loin d'être une blague, crois-moi ! Je dois maintenant faire des photos. Lève-toi et déshabille-toi !
Des photos ?
Allez, dépêche-toi !
Me déshabiller ?
Tu fais ce que je te dis ou c'est les flics... commence par le haut et pose le tout sur la table.
À ce stade on à plusieurs cas. La femme sans soutif avec les seins libres, celle avec un soutien qui lui recouvre la moitié de la poitrine, celle qui en a un de sexy et enfin celle qui porte plus un redresse seins.Les soutifs sont différents, ceux avec ou sans rembourrage et enfin ceux qui dans lesquels sont dissimulé les objets du délit.
Je continue ensuite.
Continue avec le bas ! Allez on ne traîne pas. Quelqu'un t'attend ?
Oui, mon petit copain, mon mari, ma mère... les réponse sont toutes différentes.
Très bien, alors si tu veux vite le revoir, il va falloir coopérer. Pose tout cela sur la table.
Là, même cas que pour le dessus. Avec ou sans culotte, string, tong, etc...
Comme j'ai bien choisis mes proies, j'ai toujours quelque chose à découvrir.
Et ceci, c'est à toi sans doute ?
Je...
Trop tard, maintenant je vais prendre des photos.
Voilà, ça se passe toujours de la même manière. Je menace de la livrer à la police ou de suivre mes instructions. Car une fois que j'ai découvert le larcin, je peux tout me permettre, la peur las rend docile.
Plusieurs réactions sont toutefois possible quand j'en reviens aux photos.
Il y celle qui crie aux scandale quand je lui demande de se mettre complètement nue et de se laisser photographier. Mais elle le fait tout en tentant de cacher ses parties intimes et en protestant pour la forme.
Il y celle qui avait dissimulé des objets dans ses sous-vêtements et qui se retrouve devant l'évidence. Là elle pose rarement de difficulté et obtempère rapidement.
Il y a celle qui se déshabille tout de suite, croyant ainsi qu'elle va pouvoir partir plus vite.
Au final je fais les photos et elle entre dans ma collection personnelle.
J'ai toutes les femmes possibles : de 18 à 80 ans, les chattes imberbes, rasées ou épilées. Celles qui sont taillées, le ticket de métro, simplement entretenue. Les chattes avec des accessoires, boucles, piercing et autres, mais aussi plus rarement des chattes avec un gode. Les poitrines aussi sont toutes différentes. De la grand-mère aux seins flasques et pendants à la jeune à la poitrine opulente et bien dure. Les seins avec ou sans augmentations mammaires. Les corps parfaits au corps couvert de vergetures ou de cicatrices diverses.
Mais au final peu m'importe l'aspect, c'est l'utilisation qui est la finalité.
La phase observation et voyeur passée, j'enchaîne avec l'exploration.
Bon écoute maintenant,soit j'appelle les flics soit tu me laisse faire mon job à fond.
Que voulez-vous ?
Penches-toi sur la table et fais voir ton cul. Tu ne serais pas la première à cacher des choses de valeur ici !
Vous plaisantez ?
Pas du tout, ma chère !
Mais c'est pas possible, hooo !
Tu mouilles, on dirait, hein ? Allez, écarte bien les fesses que je vois correctement.
En fait, il y celles qui préfèrent me monter docilement, parfois même de manière très volontaire et je dirais plutôt avec un amusement non feint. J'avoue que ce moment m'excite au plus haut point. Je commence à entrer dans la phase supérieure.
Bien sûr, il y a une autre solution que d’appeler la police.
Oh !
Je suis déjà bien excité et je suis certain que toi aussi !
Tout en lui parlant, je me suis approché, mettant en évidence la bosse dans mon pantalon et en lui caressant les seins.
Regarde ! Bon, tu as compris ce que j'attends de toi ? Tu te laisse un peu aller, et on efface ta dette. Je ne dis rien à personne.
Mais... mais j'ai un copain, un mari... Je ne peux pas faire ça !
Fais-moi confiance, tu vas l'oublier un moment et vivre un truc mémorable.
C'est de la folie !!! Vous profitez de la situation ! C'est dégueulasse.
La prison c'est pas dégueulasse ?
Je pourrai partir ensuite ? Vous me laisserez rentrer chez moi ?
Promis je te que si tu es docile, tu partiras sans aucune poursuite ! Mais il va falloir me faire confiance et te laisser faire... Compris ?
Là elles ne se posent plus de questions et sont prête à faire tout ce que je leurs demande.
Commence par évaluer ce qui se cache ici. Attrape ma queue. N'aie pas peur !
Je suis très attentif à la réaction lorsqu'elle découvre mon membre. C'est si nouveau et varié à chaque fois... Suivant leur attitude, mes érections sont diablement différentes. Si elle ne le font pas, je la sort moi même avec dextérité ! Faut bien un peu de théâtralité !
Les réactions vont de : Aaaahh !; Quel engin !; Euh... ; Pff, mon mec à la même chose dans son slip ou encore c'est trop énorme !
On vas passer à autre chose, maintenant suce moi !
À nouveau différentes réactions : Heu... ; J'ai jamais fait ça !
Il y a la gênée, la délicate, l’ignorante, la récitante, la gourmande ou même l'experte.
Il y a ensuite celle qui se donne à font croyant me faire jouir rapidement et de cette manière être débarrassée de moi, elle est vite désappointée.
La fellation terminée, on passe à la suite et pour cela elle se penche sur la table, m'offrant ainsi un accès facile à sa chatte et à son cul. Quand elles ne sont pas encore disponible à ce stade, ce qui est rare, je passe à l'arme fatale... Connaissez-vous la langue merveilleuse ? Et je me suis rendu compte que certaines femmes n'ont jamais connu ce plaisir avec leur copain.
Pour moi c'est à chaque fois la découverte d'un saveur différente, mais je dois avouer que je préfère les chattes épilées et bien humides. À ce moment, je me délecte de cet abricot qui se transforme en clémentine juteuse ? J'écoute les sons de sa voix et les râles qui progressivement montre qu'elles s'abandonnent aux plaisirs.
C'est aussi le bon moment pour tester la disponibilité de l'anus. Beaucoup de femmes aiment cela sans le savoir. Une femme qui a connu une vraie jouissance anale est toujours partante pour recommencer ! Lorsqu'elle jouit, l'anus d'une femme se rétracte, se dilate, pulse au rythme de son plaisir. Cela me procure des sensations incomparables lorsque je suis en elle. C'est pourquoi j'emprunte cette voie quand elle s'ouvre ici. Mais je reviens à la matrice si elle reste fermée. Le but est d'atteindre le plaisir pas de lui faire mal, ou de la forcer.
Je m'amuse de son abandon croissant et du lâcher prise qui laisse place au plaisir. Je ne suis pas pressé. Si elle n'est pas encore pénétrable, je continue ma dégustation et je teste régulièrement son hospitalité avec mes doigts.
Quand elles sont prête et que je vais passer à la pénétration, elles me demandent souvent pourquoi j'arrête, elles sont complètement disposées à continuer sentant le plaisir prendre la place de la réticence.
À ce stade, la plupart son devenue volontaire pour se faire pénétrée. Et les chattes sont toutes aussi très différentes.
La chatte peu être à grosses ou petites lèvres ; elle peut être large ou étroite ; dégoulinante ou simplement humide ; profonde ou pas. Et je m'adapte à chacune d'elle. Les femmes aussi ont leurs préférences, celle qui veut être prise violemment, celle qui aime la douceur, celle qui aime les changements de rythmes. Les commentaires me renseignes sur ce qu'elles désire. Celle qui me dit qu'elle est trop grosse ; celle qui dit que c'est bon ; celle qui en veut plus et plus loin. À Chacune j'apporte ce qu'elle demande.
On fil du temps, elle ne parle plus, mais ce sont de gémissements qui sortent de sa bouche. La femme se donne également de plus en plus, certaine prenant même l'initiative de certaines positions.
Au final, j'aime qu'elle chante... Qu'elle souffle ! Je veux l'entendre gémir de plaisir. Mon final se fait sur le siège que je laisse toujours dans la pièce. Je m’assis dessus et c'est elle qui vient s’empaler sur ma hampe. À elle de choisir de face ou de dos et dans la chatte ou dans le cul. Jamais aucune n'a refusé, à ce stade, elles veulent toutes jouir sur ma queue. C'est le moment où je profite le plus de leur râle et de leurs gémissements. Elles sont volontaires et donc se lâche complètement laissant le plaisir monter en elle et elles l'exprime sans plus aucune retenue.
Toutes ont une façon de jouir différente, en voici quelques unes. Celle qui se déchaîne sur mon sexe et hurle son plaisir ; celle qui se retient mais dont le corps tend de toute part ; celle qui à les yeux qui se révulse ; celle qui perd le contrôle de son corps et s'écroule au sol prise de spasmes et bien d'autres encore.
Mais pour finir je jouis toujours sur elle, soit en me branlant , soit en me faisant branler.
Mais voici les deux extrême que j'ai rencontré.
Une Jeune de 19 ans qui était encore vierge et dont j'ai fait l'éducation sexuelle pendant plus de deux heures. Elle a été déflorée en douceur et elle a goûté pour la première fois la semence d'un homme.
Une vieille de 80 ans qui dès qu'elle fut prise la main dans le sac, me proposa en privé de me faire une gâterie pour que j'oublie tout. Elle dût me faire plus et elle accepta de bon cœur de se faire prendre par tous les trous. Son expérience m'a procuré certainement une des jouissance les plus mémorable de ma carrière.
L'épilogue, c'est que j'ai appris il y a déjà quelque temps que ma petite combine tait connue de la plupart des femmes de la région et que celles qui avaient besoin de se faire défoncer ou celles qui voulaient casser la monotonie de leur vie de mère de famille venaient pour se faire prendre en flagrant délit de vol et passer dans mon bureau pour trouver un arrangement à l'amiable. Il n'est d'ailleurs pas rare que je revois de plus en plus souvent les mêmes voleuses.
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Les avis des lecteurs
Malgré l'interdiction des caméras dans une cabine d'essayage, quand je suis à l'intérieur
en petite tenue je flippe toujours à l'idée qu'un gros pervers de surveillant ne soit en
train de se rincer l’œil grâce à une caméra cachée
en petite tenue je flippe toujours à l'idée qu'un gros pervers de surveillant ne soit en
train de se rincer l’œil grâce à une caméra cachée